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Lire le plan de transformation de l'économie française https://www.leslibraires.fr/livre/18455241-climat-crises-le-plan-de-transformation-de-l--the-shift-project-odile-jacob
Découvrir le travail du Shift Project https://theshiftproject.org/
Pour changer le système :
Réclamer le RIC constituant : https://petitions.assemblee-nationale.fr/initiatives/i-2082
Changer de banque: https://www.lanef.com/ https://change-de-banque.org/particulier/
Passer à l'action militante: https://extinctionrebellion.fr/ https://derniererenovation.fr/
Changer de travail : https://jobs.makesense.org/fr
Source
Jancovici KPMG https://www.youtube.com/watch?v=fMp74pV2xus
Musique https://www.youtube.com/watch?v=39PVEaSytpo
Réponses au quiz de fin :
/!\ Description à ne pas lire avant d'avoir vu la vidéo entièrement
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Pouvez-vous citer au moins 6 éléments du graphique carbon tunnel ?
Ecotoxicity, biodiversity loss, poverty, eutropication, water crisis, health, education, carbon emissions, resource scarcity, inequalité, overconsumption, affordables goods & services, air polluants.
Écotoxicité, perte de biodiversité, pauvreté, eutrophication (eau qui acquiert une haute concentration en nutriments.), crise de l'eau, santé, éducation, émissions de carbone, rareté des ressources, inégalités, surconsommation, biens et services abordables, polluants atmosphériques.
Quel est le deuxième principe de la thermodynamique ?
Dans un système clos, le désordre ne peut que croître au cours du temps.
Quel est le seul moyen pour que les entreprises gèrent correctement les limites planétaires ?
Il est nécessaire de mettre un système comptable et un tableau de bord par limite à laquelle on va se confronter.
#jancovici #écologie #décarbonation #2034 #kpmg #conférence #interview #janco #shiftproject #limite #planétaire #frontière #ptef #ilnousfautunplan #extrait #ethiqueettac
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Ecotoxicity, biodiversity loss, poverty, eutropication, water crisis, health, education, carbon emissions, resource scarcity, inequalité, overconsumption, affordables goods & services, air polluants.
Écotoxicité, perte de biodiversité, pauvreté, eutrophication (eau qui acquiert une haute concentration en nutriments.), crise de l'eau, santé, éducation, émissions de carbone, rareté des ressources, inégalités, surconsommation, biens et services abordables, polluants atmosphériques.
Quel est le deuxième principe de la thermodynamique ?
Dans un système clos, le désordre ne peut que croître au cours du temps.
Quel est le seul moyen pour que les entreprises gèrent correctement les limites planétaires ?
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ÉducationTranscription
00:00 (Musique)
00:08 Alors Jean-Marc, on est 12 ans, je te rappelle qu'on se projette,
00:11 après la sortie du PTEF, le plan de transformation de l'économie française.
00:14 Il paraît qu'il y a peut-être une V2. Moi j'aime bien teaser, tu nous diras.
00:18 Donc 2034, on est en train de réussir cette décarbonation de l'économie,
00:24 un truc de fou, inespéré.
00:26 Est-ce que tu peux nous dire ce que ça veut dire une économie moins carbonée ?
00:31 Question 1.
00:33 Je commence par les bonnes ou les mauvaises nouvelles ?
00:35 Allez vas-y, tu nous charmes à chaque fois avec les mauvaises.
00:40 Alors ça veut probablement dire une économie plus petite physiquement,
00:45 donc une économie dans laquelle produire tout ce qui est physique devient de fait plus difficile.
00:51 Ça veut probablement dire une économie dans laquelle le prix réel des objets a augmenté.
00:56 Quand on parle de prix réel, c'est le temps qu'il faut travailler pour se le payer.
00:59 Ça veut probablement dire une économie partiellement démondialisée par rapport à aujourd'hui.
01:06 Donc ça, ça veut aussi dire une offre de produits qui se restreint.
01:10 Du reste, quand on parle de relocaliser l'économie, ça va aussi avec ça.
01:14 La mondialisation, c'est quelque chose qui a permis de mettre tout à disposition partout.
01:19 Ça veut dire une économie dans laquelle personnes et marchandises,
01:22 parce qu'à nouveau, c'est de la physique, vont moins vite, moins loin pour plus cher.
01:28 En gros, il y a quand même beaucoup de domaines dans lesquels, si on cherche à faire la description physique,
01:32 on se rend compte que c'est. J'aime pas tellement le mot retour en arrière, mais enfin, il y a quand même une forme.
01:38 On ralentit au moins.
01:40 Une forme de décélération par rapport à l'accélération qu'on a connue.
01:44 Ça veut peut être dire qu'il y a moins de gens qui travaillent à la défense.
01:47 C'est quand même une bonne nouvelle et qui ont besoin de s'en passer dans l'héritière le matin.
01:50 C'est probablement une économie dans laquelle il y a moins d'emplois de bureaux et plus d'emplois de gens qui doivent avoir une.
02:00 Alors, je dis pas que les gens qui travaillent dans un bureau, parce que j'en fais partie, n'ont pas de compétences techniques.
02:03 Mais enfin, plus de gens qui ont des on va dire moins de gens qui gèrent la complexité chez KPMG comme chez Carbon4.
02:10 Du reste, on gère de la complexité. On ne sert qu'à ça. Dans un monde qui se décarbone, on a un monde qui est moins complexe.
02:16 Et donc, de fait, on a moins besoin de ce genre de personnes. Carbon4 à petit niveau, KPMG à plus gros niveau.
02:23 C'est des supplétifs de la mondialisation et de la complexité de la mondialisation.
02:27 Des problèmes que ça a. C'est là que ça se situe. Le boulot. Donc, c'est des métiers qui vont nécessairement dans une économie qui se serait décarboné.
02:37 Oui, mais on se projette positivement. Tu te rappelles. C'est des et qui se serait décarboné mondialement parce que là, en l'occurrence, je ne peux pas faire.
02:45 Je parle d'entités qui sont mondiales. Ce qui est du reste, je reviendrai peut être après.
02:53 Peut être un motif d'étonnement. Je me suis longtemps demandé comment est ce que les boîtes du CAC 40 pouvaient faire de plus en plus de résultats dans une économie physique française qui globalement se contracte.
03:00 La réponse, c'est la mondialisation. Justement, les résultats sont faits ailleurs. Là où il y a encore des flux physiques en croissance.
03:07 Donc, les voilà, c'est globalement une économie qui est un peu, un peu, voire significativement décélérée. Ce qui est une autre manière de dire que je ne crois pas à la croissance verte.
03:18 Merci. Et je peux tout de suite le dire pourquoi en faisant un tout petit peu de physique, si vous m'y autorisez, ça vient du deuxième principe de la thermodynamique.
03:28 Il y a une loi en physique, le deuxième principe de la thermodynamique, qui dit en bon français que dans un système clos, le désordre ne peut que croître au cours du temps.
03:37 C'est une loi très simple. Il se trouve que notre système économique est un système qui crée de l'ordre. On prend du calcaire et on en fait un immeuble.
03:46 C'est un immeuble, c'est plus ordonné qu'un bloc de calcaire. On prend du minerai de fer et on en fait des fourchettes.
03:53 C'est plus ordonné qu'un bloc de minerai de fer. D'une manière générale, on prend les ressources qu'on trouve dans la nature et on en fait les milliards d'objets qui sont maintenant à notre disposition.
04:01 Et le système humain organisé qui va dessus, c'est beaucoup plus organisé, beaucoup plus complexe. Mais si c'est plus organisé, il y a donc moins de désordre.
04:09 Ce qui veut dire que pour créer ce système humain organisé, on a dû créer à l'extérieur du système humain plus de désordre qu'on en a supprimé à l'intérieur du système humain.
04:17 C'est une simple application du deuxième principe de la thermodynamique. Ce qui veut dire que plus on crée à l'intérieur de la société des hommes un gros système économique organisé,
04:26 donc plus on a de la croissance économique, plus on engendre de désordre à l'extérieur du système. Et le désordre, c'est la pollution.
04:32 C'est tout ce qui perturbe à l'extérieur. C'est le fait de rendre les choses moins aptes à faire ce qu'elles faisaient avant. Le désordre est exporté.
04:42 Donc faire de la croissance, c'est nécessairement exporter du désordre à l'extérieur du système humain. Et faire vert, c'est nécessairement supprimer les inconvénients à l'extérieur du système humain.
04:52 Donc le deuxième principe de la thermodynamique vous dit que ce n'est pas possible. C'est aussi bête que ça.
04:58 Donc faire de la croissance verte, on n'y arrivera pas. Ce qui veut dire que si on veut être vert, il faut accepter une forme de contraction du système productif.
05:05 Alors on reviendra sur... Donc si on s'est écarbonné en 2034. Oui. Voilà. Et tu peux nous donner les bonnes nouvelles parce qu'il y a quand même des trucs qui vont être...
05:13 Alors la bonne nouvelle, c'est qu'on a dissous le chiffre project. On ne sert plus à rien. Le chiffre project est une société non pas à mission, mais une société à durée déterminée.
05:20 Et une fois qu'on aura sauvé le climat, les gens pourront mettre sur leur CV. J'ai contribué à sauver le climat. Je ne doute pas qu'ils trouveront un job ailleurs. Mais oui, vous y arriverez.
05:30 Donc ça, c'est la bonne nouvelle. L'autre bonne nouvelle, c'est quand même que dans cette affaire-là, on va préserver un certain nombre d'acquis qu'on est bien parti pour perdre,
05:39 qui sont la stabilité et la paix. Parce que dans un monde qui crée du désordre en pagaille, au bout d'un moment, le désordre se rappelle à vos bons souvenirs.
05:47 Donc le désordre, il peut se rappeler à vos bons souvenirs par la guerre. Il peut se rappeler à vos bons souvenirs par des dislocations économiques.
05:53 Il peut se rappeler à vos bons souvenirs par des régimes totalitaires. Il y a plein de manières dont le désordre peut se rappeler à votre bon souvenir.
06:01 Et je pense que si on ne décarbone pas, si on a décarboné plus exactement, on a augmenté la probabilité, si on l'a fait de manière organisée et pas via des chocs externes,
06:11 parce que l'alternative, c'est que ça arrive comme ça. À ce moment, on a augmenté la probabilité de vivre dans un monde en paix, pacifié, sympathique, on va dire,
06:21 avec encore une forme de liberté de mouvement. L'alternative étant qu'on en est beaucoup moins dans des phénomènes de rupture et de dislocation,
06:28 qui sont malheureusement la façon dont le désordre se résorbe parfois.
06:34 D'accord. Alors, est-ce que je peux te poser la question numéro deux ?
06:38 Oui.
06:39 Qui est que dans les années 2020, le Graal, c'était la neutralité carbone. C'était dans la bouche de tous les politiques et sur les paquets de craquotes.
06:47 Pas que les politiques. Je rappelle que Google était neutre en carbone depuis 2007, jusqu'au moment où une loi française a fait qu'ils ont supprimé cette mention de leur site, de leur page de recherche.
06:59 Donc c'était de toute façon, outre le fait que c'était évidemment du greenwashing, une certaine vue de l'esprit, mais c'était aussi une sorte de vision simpliste du monde.
07:09 Finalement, le carbone, c'est facile à calculer. Donc on fait un plus et un moins et on est neutre. C'est facilement mesurable.
07:15 Mais on oubliait du coup les autres limites planétaires, la justice sociale et on était tenté d'avoir des réponses toutes faites de type, on n'a qu'à avoir un aspirateur à carbone et tout ira très bien.
07:25 Donc neutre en carbone, ça ne voulait pas dire neutre en impact. De toute façon, il y a un chouette graphique que j'aimerais voir, qui est celui du carbone tunnel ou cone carbone.
07:35 C'est le graphique de Jeanne Konieczko, que je ne connais pas et je ne sais même pas prononcer son nom. Mais ce graphique, je le trouve pas mal.
07:42 Il montre le danger finalement de regarder tout par le prisme du carbone. Donc est-ce que tu peux nous dire, Jean-Marc, à quelles conditions l'action carbone peut-elle faire une pierre deux coups avec la biodiversité,
07:54 l'égalité, les limites planétaires, bref, d'avoir une approche holistique et systémique? Qu'est ce qui pourrait ouvrir le cône carbone aux yeux des entreprises pour qu'elles agissent de manière holistique?
08:03 Alors déjà, il y a beaucoup de sujets là qui sont associés parce que c'est en fait, c'est lié à la surtransformation quelque part de ressources naturelles.
08:17 La transformation demande de l'énergie et l'énergie est fossile l'essentiel du temps. Les inégalités, malheureusement, ça joue dans l'autre sens.
08:24 Alors ça, il y a souvent beaucoup de gens qui pensent que réduire les émissions de gaz à effet de serre, ça réduira par construction les inégalités, qu'il y a une convergence des luttes.
08:31 C'est l'exact inverse. Malheureusement, quand on regarde ce qui s'est passé sur le 20e siècle en France, l'augmentation des émissions de gaz à effet de serre, c'est l'augmentation de la quantité d'énergie par personne.
08:41 C'est l'augmentation du pouvoir d'achat et c'est l'émergence des classes moyennes et c'est la diminution des inégalités.
08:47 Donc, penser que spontanément, la lutte contre le changement climatique amène une diminution des inégalités. Malheureusement, ce n'est pas vrai du tout.
08:54 C'est historiquement l'inverse qui s'est passé. Bien et service abordable. Je viens de dire que ça, c'est justement aussi un effet des émissions de gaz à effet de serre,
09:07 puisque la productivité du travail qui permet d'abaisser les prix, c'est en fait adjoindre des machines aux gens. C'est essentiellement ça, la productivité du travail.
09:16 Donc, si aujourd'hui, on peut avoir une chemise pour le prix de quelques heures de travail, alors qu'il y a un siècle, on avait trois chemises dans sa vie ou à peu près,
09:23 c'est précisément parce qu'on a augmenté la productivité industrielle en mettant des machines partout et en mettant de l'énergie partout.
09:30 Donc, en fait, la santé, si je m'en tiens aux statistiques, l'espérance de vie à la naissance en France était inférieure à 50 ans en 1900, au moment où on était à moins de 300 ppm.
09:44 Et maintenant qu'on est à 400, l'espérance de vie à la naissance est à 80. Donc voilà, il faut faire attention. Oui, bien sûr, il faut faire attention.
09:52 Donc, je ne suis pas en train de dire qu'on ne peut pas être en meilleure santé si il y a moins de. Exactement. Le changement climatique n'a pas impacté notre santé future.
10:00 Mais je dis juste il faut faire attention aux associations simplistes. Et voilà. Alors si les entreprises veulent gérer autre chose que le carbone, eh bien il faut qu'elles se dotent d'une.
10:10 Je vais faire plaisir à KPMG. Il faut qu'elles se dotent d'une batterie d'indicateurs sur chaque sujet qu'elles veulent surveiller. Et aujourd'hui, on ne sait pas additionner trois alouettes en moins, une tonne de CO2 en plus et un peu d'autrophisation en moins.
10:26 On ne sait pas faire ce genre de truc et un peu de consommation d'équivalent anti moine en plus. On ne sait pas additionner ces trucs là. Ce qui veut dire que c'est la difficulté des limites planétaires.
10:37 C'est qu'on va sortir d'un monde simple, plus exactement d'un monde qu'on croyait simple. Je vais plutôt le dire comme ça. Où on pensait que toute l'information pertinente était contenue dans les prix.
10:47 Donc, vous avez des comptes de résultats et vous avez des conseillers en stratégie qui vous déforment votre compte de résultats et vous savez à peu près tout ce qu'il faut savoir.
10:55 On va devoir basculer dans un monde dans lequel l'économie d'hier est moins prédictive de l'économie de demain que les flux physiques d'hier. Dans ce genre de monde qu'on va basculer.
11:06 Et ça, ça veut dire qu'on va devoir surveiller et comptabiliser pas seulement l'argent, mais tout un tas d'autres trucs qui ne sont pas fongibles entre eux, malheureusement, et qui vont nous être nécessaires parce qu'il y a un indicateur pour se confronter à une limite donnée.
11:23 Et ce n'est pas le même indicateur pour se confronter à la biodiversité, à la perte de biodiversité que pour se confronter à la dépletion des ressources non redoublables métalliques ou pétrolières que pour se confronter aux changements climatiques, etc.
11:37 Ce n'est pas les mêmes indicateurs. Donc, ce qui veut dire que si on voulait maintenir les activités actuelles à la même échelle, ça reboucle avec ce que je disais tout à l'heure.
11:45 On devra considérablement complexifier le système de gestion et augmenter les coûts de transaction. Alors ça, KPMG a augmenté les coûts de transaction. Ils adorent. Mais c'est une autre manière de dire que du coup, on ne pourra complexifier les systèmes actuels que jusque dans une certaine mesure.
12:01 Et c'est une autre façon de dire qu'à un moment ou un autre, les systèmes actuels très complexes. Exactement. Il y en a une partie qui. Alors je ne sais pas si ça sera déjà le cas en 2034, si ça attendra 2044 ou 2054, mais ça attendra pas 3260.
12:16 On va avoir des modifications importantes des systèmes organisationnels. Voilà donc la conclusion très simple à très court terme. C'est qu'on est malheureusement obligé de mettre en place un système comptable et un tableau de bord par limite à laquelle on veut se confronter.
12:34 Et comme les informations n'étaient pas déjà centralisées pour ce genre de choses, eh bien, si on veut avoir quelque chose d'un peu pertinent, ça coûte un bras. Oui, il n'y a pas. Il n'y a pas moyen de faire autrement.
12:43 Alors autre question, une autre manière de dire qu'une entreprise sérieuse sur la question, c'est quelque chose que j'ai souvent dit, est une entreprise dont quelques pourcents des coûts à minima sont dévolus à la tenue et à la surveillance des indicateurs dont je viens de parler.
12:59 Une entreprise qui a cinq personnes pour un rapport à ce dans un coin n'est pas sérieuse. Une entreprise qui consacre quelques pourcents de son budget à tenir des indicateurs sur le carbone, la biodiversité, etc.
13:11 On peut commencer à discuter. Mais c'est quand même une condition pour sa propre durabilité. Donc disons qu'en 2034, je ne sais pas si c'est une condition pour sa propre durabilité.
13:20 Oui, au moins de savoir dans quel gouffre. Je ne suis pas sûr parce qu'il y a des entreprises qui peuvent être extrêmement pérennes dans un monde violent parce qu'elles sont positionnées sur des biens de première nécessité,
13:31 qu'elles sont copines avec le dictateur du moment, que je ne sais rien. Je ne suis pas du tout sûr que ce soit une condition de leur pérennité. Par contre, ce que je sais, c'est que si la collectivité entend qu'on s'occupe sérieusement du problème,
13:41 c'est plutôt comme ça qu'il faut le faire. Alors c'est une condition, c'est un mode de fonctionnement qu'il faut appliquer aux entreprises.
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