• il y a 11 mois

Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd’hui il revient sur les propos de l'avocat de Karim Benzema, Maître Hugues Vigier.

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Transcription
00:00 - Karim Benzema n'a aucun problème avec la France, les mots de l'avocat du joueur, maître Hugues Vigier,
00:05 l'ex international a déposé plainte pour diffamation contre le ministre Gérald Darmanin,
00:08 qui l'a accusé de lien avec les frères musulmans. Cette phrase de l'avocat de Benzema vous fera sûrement réagir.
00:14 Qu'est-ce que vous dites à Olivier Giroud qui dit qu'il prie avant chaque match, que sa vie est consacrée à Dieu ?
00:19 Moi ça ne me choque pas mais c'est un chrétien et ça ne pose pas de problème.
00:22 - Oui ça ne pose pas de problème effectivement qu'un chrétien implore le Christ.
00:28 Quand c'est Karim Benzema qui dit qu'il est croyant, il faut croire que l'islam est la religion qui pose problème.
00:33 Non, je ne pense pas non plus que ça pose problème.
00:36 Écoutons maître Hugues Vigier, avocat de Karim Benzema, il était hier soir sur BFM.
00:41 - On a quelqu'un qui ferait une sorte de prosélytisme dit-on, c'est-à-dire qu'il montrerait notamment sur des réseaux sociaux sa pratique de l'islam.
00:49 Qu'est-ce que vous dites à Olivier Giroud qui, dans des entretiens longs parfois,
00:55 vient expliquer qu'il a un psaume tatoué sur le bras, qu'il prie sans cesse avant chaque match,
01:01 que sa vie est consacrée à Dieu, que ça a transformé sa manière de jouer.
01:06 Moi ça ne me choque pas mais c'est un chrétien et là ça ne pose de problème à personne.
01:10 Mais quand c'est Karim Benzema qui le fait en disant "moi aussi je suis croyant et c'est une autre religion",
01:14 ça ne m'en pose pas non plus.
01:16 Mais il faut croire que l'islam aujourd'hui c'est vraiment la religion qui pose problème.
01:19 Et on stigmatise à travers Karim Benzema tous les musulmans.
01:22 Lui n'a pas le droit de dire "moi je pratique et je suis heureux d'aller faire le pèlerinage à la Mecque
01:26 et je le montre sur les réseaux sociaux" quand d'autres ont le droit de dire
01:29 "moi j'ai fait un pèlerinage à Chartres ou à Lourdes et je suis heureux de pratiquer ma foi chrétienne".
01:32 Enfin il faut avoir le même respect pour tous.
01:34 - Salem est avec nous, bonjour Salem et merci d'être avec nous.
01:39 Bonjour.
01:41 - Allô oui, bonjour Pascal, bonne année meilleur vœu !
01:44 - Bonne année à vous !
01:45 - Le deuxième, le number two du PAF après Cyril Hanouna, je vous sens super en ce moment,
01:52 je vous écoute tout le temps Pascal, et je vous sens m'avoir une pleine forme où
01:56 je sais pas ce qui se passe mais c'est pas le Pascal de Canal+ de l'époque.
02:00 - D'autant que je n'ai jamais été à Canal+ donc comme ça c'est...
02:05 - Oui, Zine News, Canal, le groupe quoi !
02:08 - Ah oui !
02:09 - Comment ça va Pascal ?
02:10 - Ça va excellemment, mais j'ai l'impression d'être en revanche toujours un peu le même
02:14 et c'est même mes problèmes de temps en temps, d'assez peu changer sur certaines choses, mais bon...
02:22 - En tout cas vous avez l'air de bonne humeur, c'est l'essentiel.
02:25 - Oui, oui, je vous sens de plus en plus heureux vous aussi.
02:28 - Oui, je sais pas si on est heureux ou pas, on a eu cette discussion avec Luc Ferry, mais
02:34 en tout cas le monde parfois nous inquiète et l'état d'esprit du pays m'inquiète souvent
02:40 plus et le climat, vous voyez, la légèreté dont vous faites preuve, elle me fait plaisir
02:45 parce que moi j'aimais bien la dérision, j'aimais bien un certain état d'esprit, j'aimais bien
02:50 qu'on ne comprenne pas forcément toujours les choses au premier degré, j'aimais bien
02:52 qu'on puisse dire des blagues que chacun comprenne parce que précisément elles étaient au second degré.
02:58 Donc tout ça est un peu disparu et les discussions sont parfois un peu tendues.
03:04 - C'est vrai.
03:06 - L'exemple, écoutez, quand on parle de la natalité et que c'est quand même pas mal
03:11 de vouloir relancer la natalité et qu'immédiatement Sandrine Rousseau interprète ça comme les
03:17 utéruses des femmes ne sont pas une affaire d'état, à la fois elle a raison, c'est ce
03:20 que je disais tout à l'heure, le paradoxe c'est que cette phrase est juste, mais de
03:24 faire un rapport, personne n'a dit qu'on allait réquisitionner le corps des femmes
03:29 ou le ventre des femmes pour faire des enfants et heureusement comme le dit, donc c'est
03:33 un état d'esprit et cet état d'esprit, je le trouve aujourd'hui, c'est vrai qu'il
03:40 ne me convient pas forcément.
03:41 Mais en revanche vous nous appelez pour parler de Benzema, que voulez-vous nous dire, Salem ?
03:45 Alors écoutez, je voulais simplement rajouter, moi Pascal, sur son avocat, qu'il a mis du
03:52 trop, je l'ai dit hier avec son intervention, comment il a parlé de notre pauvre Giroud,
03:57 Giroud n'a rien à voir et qu'il soit pieux ou pas tant mieux, tant mieux pour lui, pour
04:02 tout un chacun, mais c'est vrai qu'il ne fallait pas parler, à chaque fois qu'on
04:05 parle de Benzema il faut qu'il y ait du Giroud, je ne sais pas pourquoi, on essaye de les,
04:10 j'ai cette impression de les mettre en concurrence à deux, et pourtant je sais qu'à mon avis
04:16 il s'aime bien, même s'il y a eu quelques clashs entre eux de temps en temps, mais
04:19 jamais du facial, je n'ai pas aimé ce qu'il a dit l'avocat.
04:23 L'avocat en rajoute une couche, le vrai problème ce n'était pas Giroud, il ne fallait pas
04:29 le rentrer dans l'histoire, c'était Darmanin, c'est Darmanin qui foutait la merde à dire
04:33 oui Benzema, les frères musulmans, Patin, Kouffa, il ne fallait s'occuper que de lui.
04:37 On essaie toujours d'avoir certaines tenues, comment dire, des phrases qui sont dites sur
04:44 cette antenne, ça c'est votre avis, manifestement une plainte a été déposée, écoutez, on
04:50 verra ce que dira la justice, il faut dans ces cas-là toujours être prudent.
04:55 Ce qui est vrai, mais on en a parlé tellement de fois de Karim Benzema, Karim Benzema c'est
05:00 le meilleur numéro 9 de l'histoire du foot français, ça c'est factuel, c'est le meilleur,
05:05 le meilleur avance-entre du foot français.
05:07 Simplement, il entretient avec le public français un rapport, je dirais, qui n'est pas toujours,
05:19 ou le public français ne l'a pas compris, ou lui s'est mal parfois exprimé, mais manifestement
05:25 le courant n'est pas toujours passé, voilà, on peut le dire comme ça.
05:29 - Je sais que je vous ai déjà appelé à ce sujet, parce qu'elle nous a toujours dit
05:33 qu'il est de chez nous, il a grandi chez nous, Benzema.
05:36 - Mais ça veut dire quoi, grandir chez nous ?
05:38 - Alors, il est lyonnais à la base.
05:40 - Il est lyonnais, oui, bon, bien sûr, mais personne n'en dit ce qu'on vient, il a le
05:44 droit d'être lyonnais.
05:45 Il est 12h20, nous marquons une pause peut-être, on n'entend pas beaucoup DJ Fifi, franchement,
05:51 il est très milde, et puis DJ Fifi, il n'y a pas beaucoup de musique.
05:55 - La pression DJ Fifi.
05:58 - Donc là, on n'a rien du tout, il est très concentré, mais bon, en même temps, c'est
06:02 difficile de prendre comme ça.
06:04 - Comme ça, le matin, on vous crie bien.
06:06 - On pourrait le rappeler avant la fin, notre ami DJ Fab pour lui dire qu'il n'y a plus
06:09 de neige.
06:10 - Il peut venir.
06:11 - Moi, je trouve qu'il est un peu dans cet affaire.
06:14 - C'est une excuse, il n'avait pas envie de venir, c'est tout.
06:16 - Surtout que le RER qui prend ne fonctionne pas.
06:18 - Bien sûr, mais il habite loin.
06:19 - Pas vraiment, vers Disneyland.
06:21 - À 50 kilomètres.
06:22 - Il a dû se faire une journée là-bas.
06:23 - Il est sur place pour effectivement.
06:26 - Il est avec Mickael.
06:28 - Et il y a le panda à Disneyland.
06:32 - Ah bon ?
06:33 - Je ne sais pas si le panda...
06:34 - Non, je ne pense pas qu'il y ait...
06:35 - Le panda, ce n'est pas un animal pour Disney.
06:40 Il n'y a pas le panda et les sept nains.
06:43 - Non, il n'y a pas ça.
06:44 - Il n'y a pas le...
06:45 - Je ne sais pas, il n'y a pas...
06:48 - Non, écoutez, je viens d'y arriver.
06:50 - Un film de Disney.
06:51 - Ah si, Kung Fu Panda, mais ce n'est pas Disney.
06:53 Mais Kung Fu Panda, bien sûr.
06:54 - Kung Fu Panda, il ne s'est jamais échappé.
06:56 - C'est un panda qui fait du Kung Fu.
06:57 - Non, c'est vrai ?
06:58 - Oui.
06:59 - Regardez-le, regardez votre Jean Gabin là.
07:02 - Ça change rien un petit peu.
07:03 - Mon Jean Gabin.
07:05 - Vous modernisez un petit peu.
07:07 - On va passer Josette.
07:08 - J'aurais dû me taire.
07:09 - Je dis Josette, regardez-moi là.
07:10 - Non, non, vous aurez dû me taire.
07:11 - Vous savez la promesse.
07:12 - Bah oui, j'ai dit "Ruth, Ruth".
07:14 - Regardez, vous n'avez jamais vu un film de Jean Gabin.
07:17 - Non, mais j'ai vu tous les Kung Fu Panda.
07:19 - Regardez Kung Fu Panda, il est là.
07:20 - Non, mais écoutez, franchement.
07:21 - Ça, c'est la musique de Kung Fu Panda.
07:25 - Exactement.
07:26 - Mon Dieu.
07:27 - Et qui regarde ça ?
07:29 - Comment ça qu'ils regardent ça ?
07:31 - C'est un grand succès.
07:32 - C'est pour ses grands publics.
07:33 - Attendez, moi je regarde.
07:34 - Oui, c'est vrai.
07:35 - Mais ça parle de quoi ?
07:37 - C'est un panda qui devient maître Kung Fu.
07:41 - C'est un panda qui devient un Kung Fu ?
07:43 - Voilà, c'est un panda de base qui mange beaucoup,
07:44 qui ne fait pas de sport et qui devient maître Kung Fu.
07:47 - Attendez, mais c'est un film d'animation.
07:49 - Bien sûr.
07:50 - Ah, c'est pas un vrai film.
07:52 - Comment ça c'est pas un vrai film ?
07:54 - C'est un film d'animation, c'est pas un vrai panda.
07:57 - C'est un chef-d'oeuvre, arrêtez.
07:59 - Excusez-moi, je n'ai jamais vu Kung Fu Panda.
08:04 Mais bon, j'ai plus d'enfants, aujourd'hui, jeunes.
08:06 Si j'en avais, parce que ça, un film d'animation,
08:08 c'est pas un film grand public.
08:09 Tu ne regardes pas ça à 30 ans.
08:10 - Si, si, les familles, à bientôt.
08:12 C'est les familles qui y vont, attendez.
08:14 - Non, mais les familles y vont pour leurs enfants.
08:16 - Ou avec leur amoureux, peut-être.
08:17 - Je sais pas.
08:18 Vous allez pouvoir voir.
08:19 Moi aussi, je propose à mon amoureux d'aller voir Kung Fu Panda.
08:22 - Je suis pas sûr de faire un malheur.
08:24 Il est 12h22, à tout de suite.
08:26 - Claire.
08:27 - Europe 1.
08:28 - Pascal Prohevo.
08:29 - 11h à 13h, vous écoutez Pascal Prohevo
08:31 et nous retrouvons Salem.
08:32 Pascal.
08:33 - Salem est toujours avec nous.
08:35 Pour finir, avec Karim Benzema, vous disiez.
08:39 Il est de Lyon, il est de chez nous.
08:41 Je trouve que c'est un rendez-vous manqué, Karim Benzema.
08:45 L'histoire aurait pu être différente.
08:47 C'est un rendez-vous manqué avec le public.
08:49 Avec la carrière qu'il a, avec le joueur qu'il a,
08:52 il aurait dû effectivement être une star absolue
08:55 dans le cœur des Français.
08:57 Et il l'est en tant que star de football, sans doute.
08:59 Mais c'est vrai qu'il n'y a pas le lien qu'il y a eu avec d'autres sportifs.
09:03 Je pense à Yannick Noah, je pense à, pourquoi pas,
09:06 des gens comme Poulidor, je pense à Platini, etc.
09:09 Où son statut aurait mérité un lien plus fort, me semble-t-il,
09:13 je dis bien "me semble-t-il", avec le public.
09:16 Alors un million de fois d'accord avec vous, Pascal.
09:19 Parce que c'est le plus grand joueur, c'est le plus grand numéro 9.
09:22 Ah oui, bien sûr, bien sûr.
09:24 Alors là, je répète, Pascal, je suis un million de fois d'accord avec vous.
09:28 Alors pourquoi ? Je ne sais pas.
09:30 Toute ma vie à Benzema, il ne s'est pas communiqué, c'est tout, c'est malheureux.
09:34 Il ne s'est pas communiqué.
09:36 Pour moi, c'est un jeune qui a grandi ici avec nous, dans la banlieue,
09:39 il est resté dans sa tête banlieue,
09:41 même s'il avait loué que ça était un super joueur de foot,
09:44 tout ce qu'on veut.
09:45 En communication, je suis d'accord avec vous, il est zéro.
09:48 Il est zéro, il ne sait pas faire.
09:50 Qu'il aille faire le pèlerinage à la Mecque,
09:52 ou qu'il aille parler aux jeunes, c'est malheureux, il ne sait pas faire.
09:55 Il ne sait pas envoyer les messages.
09:57 Il se renferme sur lui-même, ce qu'on a nous, nos violents situations.
10:00 Mais la communication, parfois, ça révèle quelque chose.
10:03 Ce n'est pas que de la communication, c'est peut-être une...
10:05 Voilà, ça révèle aussi une personnalité, un caractère, forcément.
10:09 Bien sûr même !
10:10 Donner des conseils à tous ces jeunes qui grandissent et qui sont perdus, Pascal.
10:13 C'est ça, c'est dommage.
10:15 Lui, c'est plus qu'un exemple.
10:16 Il suffit qu'il dise un mot ou deux, qu'il fasse un style ou deux,
10:19 pour que la semaine d'après, toute la population française se change en Benzema.
10:23 C'est malheureux qu'il n'y ait pas de passif pour les jeunes.
10:25 - Vous avez quel âge, Salem ? Vous êtes de sa génération ?
10:27 - J'ai 47 ans, Pascal.
10:28 - Et qu'est-ce que vous faites dans la vie, Salem ?
10:30 - Alors moi, je vous avais déjà dit, je vous ai déjà appelé plusieurs fois, Pascal.
10:34 Moi, je suis dans le monde du transfert d'argent,
10:36 tel que Western, Monogram, via...
10:38 Vous pouvez connaître ce monde-là.
10:39 Et puis, je suis dans la réparation.
10:41 - Dans la ? - Je reparle des ordinateurs.
10:43 Dans la réparation des ordinateurs, des tablettes, des smartphones.
10:47 - Oui, effectivement, parce que parfois, ça tombe en panne.
10:50 Qu'est-ce qu'il faut vous souhaiter ?
10:52 Parce qu'on pose parfois cette question aux auditeurs qui passent.
10:55 Est-ce qu'il y a quelque chose que vous avez envie de faire cette année,
10:58 que vous n'avez jamais fait depuis que vous êtes né ?
11:00 - Alors honnêtement, Pascal, depuis que je suis né, non.
11:04 J'ai fait pas mal de choses que j'ai aimées.
11:06 - Un voyage, peut-être ?
11:08 - Je voyage aussi.
11:10 - Est-ce qu'il y a un pays, un endroit où vous aimeriez aller,
11:13 où vous n'êtes jamais allé ?
11:14 - Oh là là, si vous me l'offrez, j'aimerais bien.
11:16 - Mais où ?
11:17 Vous n'êtes jamais allé aux États-Unis ?
11:19 - Non, jamais.
11:21 - Là, aujourd'hui, attendez, c'est pas le but du monde.
11:24 Vous pouvez vous payer un petit voyage à Los Angeles.
11:27 Aujourd'hui, j'imagine, il y a des billets peu chers.
11:32 Vous savez que j'ai passé, pendant la Coupe du Monde 94,
11:36 je suis arrivé, je pense, le 5 juin à Los Angeles,
11:39 et je suis reparti le 20 juillet.
11:41 Et c'est un de mes souvenirs les plus formidables,
11:42 parce que c'est une ville exceptionnelle.
11:44 Et comme en plus, à l'époque, TF1 avait beaucoup d'argent,
11:47 on a passé un mois et demi au Four Seasons de Los Angeles.
11:50 Donc croyez-moi, j'avais 30 ans,
11:52 je n'aurais jamais pu me payer ça à titre personnel.
11:55 Et c'était le charme de ce métier, d'ailleurs.
11:58 C'était la Coupe du Monde des États-Unis.
11:59 Allez à Los Angeles, vous avez raison.
12:01 Allez à Los Angeles.
12:02 Merci à soi-même.
12:04 - Est-ce que j'aimerais que vous me souhaitiez, Pascal,
12:05 vous m'avez dit tout à l'heure ce que j'aimerais que vous me souhaitiez,
12:07 il y a un mois et demi de mon âge,
12:09 vous avez appelé, vous parliez d'un sujet de prostate,
12:11 je suis le plus grand phareau de la planète,
12:13 de tout ce qui est médecine.
12:15 J'ai 47 ans de Doliprane.
12:18 Je veux dire, appareil forcé.
12:19 Moi, le seul souhait, c'est plutôt la santé.
12:22 - Mais on est tous pareil, je vous assure.
12:23 On ne fait pas le malin quand on arrive dans un scanner,
12:26 ou quand on fait quelque chose.
12:27 On est tous pareil.
12:28 La pause, à tout de suite.
12:29 Vous écoutez Pascal Frey, au super repas.
12:31 au 01 80 20 39 21.

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