• il y a 11 mois

Pascal Praud revient pendant deux heures, sans concession, sur tous les sujets qui font l'actualité. Aujourd’hui, les fautes de français sont au cœur du débat.

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Retrouvez "Pascal Praud et vous" sur : http://www.europe1.fr/emissions/pascal-praud-et-vous

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Transcription
00:00 12h06, nous allons changer...
00:02 Est-ce que vous faites des fautes de français ?
00:04 Tiens, Louis, on en fait tous.
00:05 - On en fait tous, mais j'ai énormément de mal
00:08 avec les fautes d'orthographe, les fautes de syntaxe.
00:11 Même, vous savez, quand on est à la radio, on écrit ses papiers.
00:13 Eh bien, moi j'ai beaucoup de mal et je sais que mon équipe le sait.
00:16 - Et qu'y avait par exemple la faute de français
00:19 que vous avez pu corriger, que vous faisiez régulièrement
00:22 et puis vous vous êtes aperçu que c'était une faute de français
00:26 et vous ne la faites plus ?
00:28 Est-ce qu'il y a des choses...
00:30 - Il y en a une que je ne supporte pas et qui est de plus en plus récurrente,
00:33 c'est le fait de ne pas accorder les verbes.
00:36 Alors ça, je reconnais qu'on voit de plus en plus
00:39 des verbes qui ne sont pas accordés,
00:41 des antécédents qui ne sont pas pris en compte.
00:44 - Est-ce que ce week-end, par exemple, vous êtes sur Versailles ?
00:46 - J'y étais le week-end dernier.
00:49 - Oui, mais on ne monte pas sur Versailles.
00:52 - Mais voilà !
00:54 - Je pensais que vous changez de sujet, je n'osais pas vous reprendre, Pascal.
00:57 - Parce que c'est une des fautes que je n'aime pas, moi.
01:01 Le "sûr" pour une ville.
01:04 T'es sur Limoges, t'es sur Bordeaux,
01:07 t'es sur Bordeaux Jean-Louis ce week-end ?
01:08 - Par contre, nous sommes sur Europe 1.
01:10 - Ah, nous sommes sur Europe 1.
01:11 Non mais le "sûr".
01:12 - Il y a le "sûr"...
01:14 - Il y a également...
01:15 Enfin, on va en parler, parce qu'il y en a plein de fautes de français,
01:17 mais on en fait tous quand même.
01:19 On en fait tous, plus ou moins.
01:21 - La soeur à ma mère, la soeur de ma mère.
01:23 - Je ne sais pas ça.
01:24 - La soeur à ma mère, ça...
01:25 - Il y en a beaucoup.
01:27 - Donc là, on part de bas, quand même.
01:29 - Oui, mais on l'entend, celle-ci.
01:30 - La soeur à ma mère, c'est la voiture à papa.
01:32 - Moi, je dis "au coiffeur", Pascal.
01:34 - Ah, tu dis "au coiffeur" ?
01:35 - Du coup !
01:36 - Du coup, alors.
01:37 - Alors, ça, c'est pas possible.
01:38 - Je reconnais que ça m'arrive.
01:39 - Ah non, mais du coup...
01:40 - C'est pas beau.
01:41 - Et pourquoi on ne dit pas "du coup" ?
01:42 Excusez-moi, je le dis souvent.
01:44 - Il faut que beaucoup de journalistes, ils disent "suite A".
01:47 Et ça, ce n'est pas français.
01:48 On dit "à la suite de".
01:49 - Bon, du coup, on va passer un générique.
01:51 - Au jour d'aujourd'hui ?
01:52 - Du coup, on passe un générique.
01:54 - Qu'est-ce que vous dites à la place de "du coup" ?
01:56 - Qu'est-ce que vous dites à la place ?
01:57 - Pourquoi on ne dit pas "du coup" ?
01:58 Je n'ai pas compris, en fait.
01:59 - Parce que ce n'est pas français.
02:00 - C'est pas français.
02:01 - On dit "à la suite de".
02:02 - On dit quoi ?
02:03 On dit "par conséquent" ?
02:04 - Non, on parle français, monsieur Boubouk.
02:07 - "Par conséquent", oui.
02:08 - Moi, on met de mots de liaison, plus le français est beau.
02:10 - Non, mais monsieur Boubouk, vous savez la langue qu'il parle ?
02:13 - Oh non, attention.
02:14 - Il parle de Boubouk.
02:15 - Un mélange de "slam" et de "rabais".
02:18 - Il a le petit Boubouk.
02:21 - Malgré tout, oui.
02:22 - Il fait cinq pages.
02:23 - Alors, si par exemple, on va voir si vous êtes sûrs.
02:26 Si je dis, par exemple, notre émission,
02:30 on va clôturer notre émission à 13h.
02:33 Qu'est-ce que vous dites ?
02:34 - Euh, ben, on va clôturer.
02:36 C'est très bien, bravo, c'est une belle phrase.
02:38 - Ben, non, parce que le verbe "clôturer",
02:40 c'est mettre des piquets autour d'un champ.
02:42 On va clore notre émission.
02:44 Ce sont deux verbes, le verbe "clore"
02:46 et le verbe "clôturer" sont deux verbes différents.
02:49 - Donc, ça se dit pas, on va clôturer, ça se dit pas.
02:50 - Est-ce que vous héritez de quelque chose ou vous héritez quelque chose, Pascal ?
02:53 - Ah, je pense que c'est un transitif.
02:55 - Normalement, on hérite quelque chose.
02:57 - Oui, on hérite, donc c'est transitif.
02:59 Bon, mais si je demande à monsieur Boubouk ce qu'est un verbe transitif,
03:01 un verbe intransitif, je pense que même il ne sait pas la...
03:04 - Tu héritais sa chemise bleue.
03:06 - Je pense que c'est bien le problème de la jeune génération.
03:09 Non, mais sérieusement, Olivier.
03:11 - Non, mais à quoi ? Qu'est-ce qu'il y a ?
03:12 - Non, mais sérieusement, un verbe transitif et un verbe intransitif, vous savez la différence ?
03:16 - Alors, malheureusement, je dois répondre non.
03:18 - Mais je ne suis pas étonné parce que c'est la jeune génération.
03:21 Mais vous n'y pouvez rien puisqu'on ne vous l'a pas ou mal appris.
03:24 Bon, il est mal appris, vous ne l'êtes pas.
03:28 12h10, on marque une pause ou pas ?
03:30 - Non, non, non, pas lancé générique.
03:32 - On envoie le générique.
03:33 - Lançons le générique.
03:36 - C'est parti !
03:39 - Europain, 11h, 13h, Pascal Praud et vous.
03:44 - Et on parle de faute d'orthographe avec vous.
03:46 Au standard, vous composez le 0, 1, 80, 20, 30, 9, 21, 11h13.
03:50 - 11h13, c'est Pascal Praud sur Europe 1.
03:52 - Est-ce que nous avons Marilyn, je crois ? Bonjour Marilyn.
03:55 - Bonjour Pascal, comment allez-vous ?
03:57 - Ça va très bien, bonne année Marilyn.
03:59 - Merci, à vous aussi et à toute votre équipe.
04:01 - J'imagine déjà que votre prénom, certains font beaucoup de fautes en l'écrivant.
04:05 - Eh oui, tout le monde met un Y.
04:07 - Et il n'y en a pas ?
04:08 - Non, c'est en deux mots, parce que la mairie à cette époque-là n'aimait pas les prénoms étrangers.
04:13 Ça faisait étranger, donc pas de rôle Y.
04:16 - Mais vous êtes née en quelle année ?
04:18 - En 58.
04:19 - Et en 58, on ne pouvait pas vous appeler comme Marilyn.
04:22 Marilyn Monroe était une star en 58, c'est peut-être pour ça que vos parents vous ont appelée Marilyn, je ne sais pas ?
04:28 - Je ne sais pas du tout.
04:30 - Vous n'avez pas posé des questions.
04:32 - Parce qu'il y avait Marilyn, on a Marie-Laure, Marie.
04:34 Je pense que ma mère aimait bien les maris.
04:36 - Bon, ils sont toujours de ce monde, vos parents ?
04:38 - Non.
04:39 - Donc Marie, trait d'union, Linn.
04:41 - Voilà.
04:42 - Bon, et ça vous avez gardé l'orthographe de ce prénom ?
04:47 - Oui, par contre, vous voyez, j'ai appelé ma fille Marjorie, avec un Y, ça fait 42 ans, et ça a été aussi refusé par la mairie.
04:56 - Ah bon ? Et pourquoi ?
04:57 - Parce que c'est avec une connotation étrangère.
05:00 - Oui, mais alors ça, c'était la loi changée je ne sais plus quand d'ailleurs ?
05:04 - Oui, maintenant on peut appeler nos enfants comme on veut maintenant.
05:08 - Oui, et même parfois des prénoms qui n'existent pas.
05:11 Mais avant, on était obligé, je crois, d'avoir un prénom dans le calendrier napoléonien, me semble-t-il.
05:20 Et je ne sais plus en quelle année, on peut trouver d'ailleurs, monsieur Boubouk va chercher,
05:25 la loi a changé et permet aujourd'hui d'avoir des prénoms, alors à consonance étrangère, anglo-saxon, il y en a beaucoup.
05:33 - Et puis après, de différentes cultures, comme ça existe aujourd'hui en France.
05:37 Qu'est-ce que vous venez à nous dire sur les fautes de français ?
05:40 - Alors moi, ce que je voulais vous dire, déjà sur Facebook, on ne peut plus corriger parce qu'on se fait insulter,
05:45 parce que les gens disent "oui mais c'est le contenu qui compte et pas les fautes d'orthographe".
05:50 Et même à l'école, moi j'ai fait 20 ans de maternelle, j'ai vu avec les instits, et même mes enfants.
05:57 Mes enfants, je me rappelle, il y a 30 et quelques années, j'ai corrigé les fautes de mon fils sur son cahier du jour,
06:04 je me suis fait insulter par un petit, parce qu'il m'a dit "mais c'est pas à vous de faire mon travail".
06:09 Sauf que le sien n'était pas fait quoi.
06:11 Donc j'avais passé tout un après-midi à lui corriger ses fautes avec lui, et ça fait longtemps que ça dure, en fin de compte.
06:17 Je pense que notre langue française est en train de partir en cacahuètes.
06:22 - Elle diminue en tout cas, manifestement, les plus jeunes utilisent moins de mots de vocabulaire.
06:29 Mais quand vous dites que vous avez passé 20 ans en maternelle, vous étiez institutrice ?
06:33 - Non, non, j'étais axème.
06:35 - D'accord.
06:36 - Mais bon, je faisais des mots aux parents, et c'est vrai que j'ai toujours fait attention.
06:40 Moi je fais des fautes, comme tout le monde.
06:42 - On en fait tous d'ailleurs.
06:44 - Qui n'en fait pas.
06:45 - Moi je vais vous raconter une anecdote, comme je faisais du foot à TF1 longtemps,
06:50 je disais très souvent qu'un joueur débute le match.
06:53 Par exemple, je me disais "Zidane débute le match".
06:56 Et puis tout d'un coup, un jour, je reçois une lettre d'un professeur de français qui me dit
07:00 "Monsieur, on ne débute pas quelque chose, puisque débuter précisément est intransitif."
07:04 Donc on commence le match.
07:06 Donc on peut débuter à 20h30, bien sûr, vous pouvez dire que la représentation a débuté, ou qu'elle débute,
07:12 mais on ne débute pas quelque chose.
07:14 Donc ça, je l'ai appris, effectivement.
07:17 - Il y a plein de choses.
07:19 - Oui, énormément, on apprend tous les jours.
07:21 - Regardez, écoutez déjà, ne serait-ce qu'à la télé, mais que ce soit les médias, les ministres, tout le monde,
07:28 tous ceux qui disent "un espèce de chien", ça m'écorche les oreilles, "un espèce de chien".
07:34 Ils ne veulent pas dire "une espèce".
07:36 - Oui, alors il y a effectivement également, après la locution, après "que",
07:40 on met l'indicatif, après qu'il a parlé.
07:43 On ne dit pas après qu'il soit venu, etc.
07:46 Mais là aussi c'est logique, pourquoi ?
07:48 Parce que le subjonctif, le mode du subjonctif, c'est le mode du souhait ou de la volonté.
07:55 Et par définition, après "que", c'est une action qui s'est passée, donc c'est forcément l'indicatif.
07:59 Après, la grammaire, c'est logique.
08:02 Le vocabulaire, elle n'est pas toujours.
08:04 Mais la grammaire, c'est logique.
08:06 Donc après "que", c'est une logique que ce soit l'indicatif.
08:10 - On a une langue compliquée quand même, c'est vrai que si on prend ceci, on a une langue...
08:14 - Justement, mais tant mieux qu'elle soit !
08:16 On a trois temps, je crois, du passé à l'indicatif.
08:19 L'imparfait, le passé simple et le plus que parfait.
08:22 Les anglais ont combien de temps ?
08:25 - Dans les livres d'enfants...
08:27 - Le passé, il y a un passé vraiment, il y a un passé qui a une répercussion sur le présent.
08:31 Il y en a plusieurs quand même, il faut bien comprendre le temps des anglais.
08:33 Il y en a moins que chez nous quand même.
08:35 - Marie-Lyne ?
08:37 - Si vous prenez quand même, ne serait-ce que les livres pour enfants,
08:40 pourquoi supprimer le passé simple dans les livres pour enfants ?
08:43 - En fin de compte, on abîme tout.
08:45 Parce que moi j'ai appris le passé simple et puis j'en suis pas morte.
08:48 Pour moi, on touche à tout, on rénove tout, mais pas dans le bon sens.
08:54 - Mais c'est vrai que le passé simple, ma fille ne l'a pas appris en CM2,
08:57 elle l'apprend seulement en 6ème.
08:59 - Mais c'est très joli le passé simple.
09:01 - Le temps du récit en fait.
09:03 - C'est très joli. Si on parlait uniquement passé simple, c'est un peu littéraire.
09:07 Par exemple, M. Boubouk, vous passate hier une bonne soirée ?
09:11 - Oui !
09:13 - Ah non, vous ne devez pas connaître un passé simple.
09:15 - Je passais une très bonne soirée.
09:17 - Je passais.
09:19 - Je passais.
09:21 - Fais pas ci, fais pas ça.
09:23 Je passais !
09:25 - Je sais, je sais.
09:27 - Vous passate hier soir ?
09:29 - Ce matin.
09:31 - Vous vintes à Europe 1 ?
09:36 - Je vins à Europe 1 ce matin.
09:38 - Vous vintes comment ?
09:40 - Je vins sur moi.
09:42 - Moi, le vin de l'amour.
09:44 - C'est joli le passé simple.
09:46 - Oui, c'est pas facile.
09:48 - C'est vrai que c'est pas facile.
09:50 - Ça fait très romantique.
09:52 - Si on écoute l'éducation nationale,
09:56 ils veulent bien niveler le niveau par le bas.
10:00 Moi, je vois mon fils, de la 6ème à la 3ème,
10:06 il a assez de médois pour compter le nombre de dictées qu'il a fait.
10:10 - Hier, à cette heure-là, nous écoutâmes une page de publicité.
10:22 Aujourd'hui, nous allons faire pareil, DJ Fab.
10:26 On pourrait parler uniquement en passé simple.
10:28 - Ce sera trop facile.
10:30 - Je pense que ça donnerait un genre à la radio.
10:32 - Il faut protéger notre langue.
10:34 - Il faut protéger la couleur à la radio.
10:36 - Ça fait un peu noble.
10:38 - Oui, ça fait un peu précieux.
10:40 C'est comme l'imparfait du subjonctif.
10:42 - Oula !
10:44 - Si on commence à utiliser l'imparfait du subjonctif,
10:46 c'est un peu précieux.
10:48 Plus personne ne l'utilise.
10:50 Il lui fallut que vous le sachiez.
10:52 - Si on utilisait le basique, ça serait déjà pas mal.
10:54 - Oui, je suis d'accord.
10:56 Un petit coup de basique et on revient.
10:58 - On se retrouve très vite.
11:00 Vous écoutez Pascal Froy et vous, sur Europe 1.
11:02 Vous réagissez à son numéro de téléphone.
11:04 - Appelez Pascal Froy au 01 80 20 39 21.
11:08 - Europe 1. - Pascal Froy et vous.
11:10 - De 11h à 13h sur Europe 1, nous retrouvons Mariline Pascal.
11:12 - Je remercie évidemment Mariline.
11:14 Nous en parlions d'ailleurs ce matin
11:16 et c'est pourquoi nous avons évoqué ce sujet.
11:18 Les fautes de français ont un impact sur notre rythme cardiaque.
11:20 C'est une récente étude scientifique.
11:22 C'est quand même extraordinaire.
11:24 Mais c'est vrai que certaines fautes nous horripilent.
11:26 Mettent nos nerfs à rude épreuve au jour d'aujourd'hui.
11:28 Si j'aurais su, ils croivent.
11:30 Eh bien, sachez-le, le cœur saute
11:32 parfois imbattement
11:34 lorsque l'on entend des erreurs
11:36 grammaticales. Il y a comme un effet de surprise.
11:38 C'est absolument fou. Au total,
11:40 41 adultes en bonne santé,
11:42 dont 21 femmes, ont été recrutées pour cette expérience.
11:44 Tous avaient un âge compris
11:46 entre 18 et 44 ans. Et comme l'ont expliqué
11:48 les chercheurs à l'origine de cette étude,
11:50 les participants ont été invités à écouter
11:52 40 cours extraits de discours en anglais,
11:54 dont la moitié contenait des erreurs grammaticales.
11:56 Et pour que les résultats ne soient pas faussés,
11:58 différents accents ont été utilisés
12:00 et prononcés par des voix masculines
12:02 et féminines. Les Français ne sont pas
12:04 réputés pour être très bons en grammaire et en orthographe.
12:06 Pour rappel, il y a quelques mois, moins de 6
12:08 Français sur 10 ont obtenu
12:10 un minimal à mode note de 12 sur 20
12:12 un test d'orthographe qui leur a soumis
12:14 l'Institut de sondage IFOP.
12:16 Merci Marine Hine, qu'est-ce qu'on vous souhaite pour
12:18 l'année 2024 ?
12:20 - La santé, c'est le principal.
12:22 Dans ma vie, tout va bien.
12:24 Donc, il faut être en bonne santé.
12:26 - Eh bien, écoutez, merci à vous.
12:28 - Je vous écoute tous les soirs.
12:30 Je voulais vous remercier.
12:32 Parce que grâce à votre émission,
12:34 j'ai découvert Jean Raspail,
12:36 le candessin. - Oui, vous avez raison.
12:38 - Je ne connaissais pas du tout. - Excellent.
12:40 Excellent livre, effectivement.
12:42 - Donc, je voulais encore vous remercier
12:44 parce que je ne connaissais pas du tout.
12:46 Je suis plongée dedans et je n'ai pas pu m'arrêter.
12:48 - Eh bien, écoutez,
12:50 merci beaucoup.
12:52 - Et je vous dis, il faut aimer les mots.
12:54 C'est l'avenir de notre pays.
12:56 - Merci beaucoup, Marilyn.
12:58 - C'est moi qui vous remercie. - Et belle année à vous.
13:00 Il est 12h20 ou 2. - Merci.
13:02 - 11h, 13h.
13:04 - Pascal Praud sur Europe 1.
13:06 - ♪ Pêcher, pêcher ♪
13:08 ♪ Ici, c'est faire des pêchers ♪
13:10 ♪ Pêcher, pêcher ♪
13:12 - Qui n'aime pas Laurent Roudy ? - C'est dans l'anglais.
13:14 - Ben oui. C'est la légèreté,
13:16 le talent. Et d'ailleurs,
13:18 ce matin, parce que j'écoute
13:20 très souvent la chanson à 6h20,
13:22 c'est formidable.
13:24 - La partition d'Omblin.
13:26 - Et ce matin, c'était la partition
13:28 d'Omblin, qui était consacrée à Véronique Janneau.
13:30 Et c'est une chanson
13:32 de Woolsey que je voudrais qu'on
13:34 réécoute tout à l'heure, "Aviateur".
13:36 J'espère qu'on pourra l'entendre, parce que
13:38 Omblin disait que c'était sa chanson préférée,
13:40 "Aviateur", et c'est vrai
13:42 que cette chanson est absolument formidable.

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