• l’année dernière
Le nouveau président argentin, Javier Milei, a promis un choc d’austérité dès son discours d’investiture : réduisant drastiquement le nombre de ministres de son gouvernement, il souhaite réduire des dépenses publiques de 5% du PIB. Ultra-libéral et libertarien, il souhaite sortir l’Argentine de la crise qu’elle traverse, malgré un impact négatif de ses mesures sur « le niveau d'activité, l'emploi, les salaires réels et le nombre de pauvres. »

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Transcription
00:00 Je dois le dire encore, il n'y a pas d'argent.
00:05 J'aime Javier Gerardo Milei, je prie pour Dieu et pour la Patrie
00:23 sur ces saints évangiles, de faire avec loyauté et patriotisme
00:28 le travail de président de la nation argentine
00:31 et observer et faire observer fièrement
00:34 ce que dépend de moi la constitution de la nation argentine.
00:37 Si, j'y jure !
00:39 Liberté ! Liberté ! Liberté !
01:06 Si un pays manque de reputation, comme c'est le cas de l'Argentine,
01:12 les entrepreneurs ne vont pas investir jusqu'à ce qu'ils voient le réchauffement fiscal.
01:16 Et malheureusement, je dois le dire encore, il n'y a pas d'argent.
01:30 La conclusion est que l'ajustement n'est pas une alternative, ni le réchauffement.
01:37 Bien sûr, cela aura un impact négatif sur le niveau de l'activité,
01:42 l'emploi, les salaires réels, la quantité de pauvres et de handicapés.
01:47 Mais si on ne peut pas faire de la politique,
01:52 on ne peut pas faire de la politique.
01:55 On ne peut pas faire de la politique.
01:58 On ne peut pas faire de la politique.
02:01 On ne peut pas faire de la politique.
02:04 On ne peut pas faire de la politique.
02:07 On ne peut pas faire de la politique.
02:10 On ne peut pas faire de la politique.
02:13 On ne peut pas faire de la politique.
02:18 Merci.
02:21 Merci.
02:25 Merci.
02:29 Merci.
02:32 Merci.
02:35 Merci.
02:39 On en est là.
02:42 On en est là.
02:45 On en est là.
02:48 On en est là.
02:51 On en est là.
02:54 On en est là.
02:57 [SILENCE]

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