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Voilà bientôt un an que l’ultra-libéral Javier Milei a été élu à la tête de l’Argentine. Le président de 53 ans s’était fixé pour mission de ralentir l’inflation qui sévit dans son pays en réduisant drastiquement les dépenses de l’État. Mais cette politique libertarienne n’est pas sans conséquences. Les différentes coupes budgétaires ont plongé l’Argentine dans une très grande précarité.

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Transcription
00:00Des centaines de milliers d'Argentins se sont mobilisés partout dans le pays ce mercredi contre un homme, Javier Milei.
00:06Ministère de l'éducation !
00:08Adoctrinement !
00:09À l'extérieur !
00:10Merci beaucoup.
00:11Vive la liberté !
00:15Voilà bientôt un an que l'ultralibéral Javier Milei a été élu à la tête de l'Argentine.
00:19Le président de 53 ans s'était fixé pour mission de ralentir l'inflation qui sévit dans son pays.
00:24Sa méthode ? Réduire drastiquement les dépenses de l'État.
00:27Mais cette politique libertarienne n'est pas sans conséquences.
00:30Les différentes coupes budgétaires ont plongé l'Argentine dans une grande précarité.
00:3353% de la population vit aujourd'hui sous le seuil de pauvreté, estimé à 240 dollars par mois.
00:38C'est 11 points de plus qu'il y a un an et c'est un record depuis 20 ans.
00:58Cette semaine, c'est le milieu universitaire qui a appelé à manifester
01:02après que le président a assuré mettre son veto sur une loi visant à augmenter les salaires des enseignants.
01:07Un rassemblement de masse qui fait suite à de nombreuses manifestations contre les coupes budgétaires ces derniers mois.
01:12De son côté, le camp Milei se défend en rejetant la faute sur les gouvernements précédents.
01:28En parallèle, le gouvernement se félicite d'être parvenu à ralentir l'inflation en Argentine,
01:33la faisant passer autour de 120% contre 211% il y a un an, et promet de ne pas en rester là.

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