Smart Good Retraites : un complément de retraite financé par la consommation via le cashback

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Chaque jour, découvrez la pépite du jour dans la France Bouge avec Elisabeth Assayag.
Retrouvez "La pépite" sur : http://www.europe1.fr/emissions/la-france-bouge-academie

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00:00 - Le talent de la France bouge.
00:04 - C'est vous le talent ce soir Serge, enfin un des talents.
00:07 Vous avez 60 ans, vous êtes un entrepreneur dans l'âme.
00:10 Depuis l'âge de 24 ans, vous avez travaillé dans le monde du marketing, de la communication.
00:15 Vous avez lancé des entreprises, notamment vous vous êtes occupé du déploiement de la big data dans des groupes comme Carrefour et vous avez vendu.
00:24 Et puis un jour vous échangez avec votre associé.
00:27 Il se passe quoi ? Je crois que vous vous dites que c'est quand même frustrant de consommer tous les jours pendant toute notre vie mais que finalement on est actionnaire de rien.
00:33 - Oui, ça commence comme ça l'histoire.
00:35 Ça commence un jour derrière un pot de yaourt en disant "mais je vais manger toute ma vie de tes yaourts et je vais jamais être actionnaire de ta boîte".
00:42 Ça a commencé par une plaisanterie de galope, on appelle ça à l'époque.
00:48 Donc moi je suis la génération Bémet Entrepreneur sous Mitterrand, donc ça remonte à il y a un certain temps.
00:53 J'avais 24 ans, fallait avoir un sacré sens de l'humour quand il y a une boîte.
00:57 - En France, oui.
00:57 - On ne parlait pas de start-up à l'époque, on parlait de fou malade qui monte une boîte.
01:01 - Oui, c'était moins en vogue en effet.
01:03 - Oui, ça fait 40 ans.
01:04 - On rêvait plus d'aller bosser chez L'Oréal.
01:05 - Ça fait 40 ans que j'entreprends et je dis toujours à des candidats qui veulent entreprendre, ils viennent me dire "c'est quoi entreprendre ?"
01:11 Alors je leur dis "écoute bien le mot, entreprendre, il n'y a pas le mot réussir dedans mais il y a le mot prendre et en général prendre des claques dans la figure".
01:17 Donc si tu es prêt à prendre des claques dans la figure, à ce moment-là il faut entreprendre.
01:21 Donc c'est la première chose.
01:22 Deuxièmement, il n'y a pas d'âge pour entreprendre, j'ai plus de 60 ans et j'aurais pu arrêter il y a bien longtemps, j'ai vendu ma boîte en 99, donc ça remonte.
01:31 J'aurais pu me mettre gentiment à la retraite, retraite dorée sinon...
01:35 - Un peu jeune non ?
01:36 - Bah non, 40 ans à l'époque ça pouvait être sympa, il y a des sites de rencontres vachement sympas en plus.
01:40 - Mais bon, 40 ans...
01:41 - Mais je suis dans le même métier que Mathieu, on est dans l'espoir tous les deux, donc on est dans l'espoir et puis surtout tous les deux on a un point commun que j'ai entendu,
01:48 qui m'a répété trois fois, dans l'écoute. On écoute le consommateur, je répète tous les matins, le marketing c'est écouter les autres, pas soi-même.
01:55 Parce que le marketing de la cuisine, le marketing de "ma femme m'a dit que" ou "mon mari m'a dit que" ou "mon cousin m'a dit que",
02:01 c'est pas du marketing, c'est pas le marketing du sixième dans le salon, dans les salons on cause, le marketing c'est les gens de la rue, c'est les écouter.
02:09 Qu'est-ce qui nous a amené à ce projet fou ? Parce qu'en fait il s'appelle le projet fou.
02:12 - C'est un projet fou, Smart Goût de Retraite.
02:15 - C'est le projet fou, c'est les consommateurs qui l'ont appelé le projet fou, c'est pas nous.
02:18 - Franchement il nous donne envie, il nous tient en allère.
02:21 - Faites confiance aux consommateurs, on a réuni 8 groupes de consommateurs à travers la France,
02:27 toutes catégories socio-professionnelles, tous les âges, campagnes, villes, et les mecs ont dit "mais c'est fou votre truc, c'est complètement fou".
02:35 - C'était pour tester votre produit.
02:36 - On testait notre projet.
02:37 - Alors avant de comprendre ce que vous ont dit les consommateurs, les gens de la rue comme vous dites,
02:43 on va déjà comprendre ce que c'est Smart Goût de Retraite, vous allez nous pitcher Smart Goût de Retraite.
02:48 - On va y aller.
02:49 - C'est parti Kiki.
02:50 - C'est quoi ?
02:52 - C'est un projet très simple en fait, il y a quelque chose que vous faites tous, tous les jours, tous.
02:57 - Au toilette, d'accord.
03:00 - Vous allez aux toilettes aussi parce que vous avez mangé, en général il y a une régulation de cause à effet.
03:04 Donc vous mangez, vous buvez, vous éliminez comme disait la campagne de pub, et vous mettez des fringues, etc.
03:10 Et on s'est dit un truc très simple en disant "si chaque fois que vous faites ce geste, je vous aide à mettre de l'argent de côté,
03:17 j'aurais fait quelque chose d'utile dans ma vie".
03:19 Et ça a commencé comme ça l'idée.
03:21 Et l'idée elle est d'une simplicité en fait, j'ai presque envie de dire biblique, mais la Bible n'est pas simple.
03:28 C'est en fait de dire "chaque produit a un prix, et chaque produit a une promotion".
03:36 Ça existe depuis toujours.
03:37 Le coupon, le cashback, le cagnotage, le jeu gratuit, je vous en mets trois pour le prix de deux et vous en remettrez un quatrième madame,
03:44 qui entre parenthèses a un effet perverse, puisqu'il y a une étude qui est sortie qui prouve qu'il y a 46% du gaspillage alimentaire est lié à ces promotions.
03:54 C'est pas parce que je vais vous acheter trois tranches de jambon pour le prix de deux que vous allez en manger trois,
03:58 donc vous allez les laisser pourrir la troisième joyeusement.
04:00 Donc il y a vraiment en plus cette corrélation.
04:03 Ces promotions-là finalement, si elles arrivent au sein d'un collectif pour aider effectivement les gens à financer, en l'occurrence sa retraite,
04:11 puisque c'est un principe de capitalisation par la consommation, j'ai fait quelque chose.
04:15 Donc le projet est très simple, il consiste à dire "chaque fois que vous allez dans une enseigne..."
04:20 - Vous devez commencer le pitch par ça.
04:21 Le pitch donc c'est ça.
04:23 En gros, c'est "à chaque fois que j'achète quelque chose, je capitalise pour ma retraite".
04:29 De quelle manière ? Grâce à des cartes prépayées ?
04:31 - Alors aujourd'hui ça commence comme ça.
04:32 Aujourd'hui vous allez sur le site Le Projet Fou et vous allez voir...
04:36 - Le site c'est Le Projet Fou, c'est pas Smart Go de retraite.
04:38 - Le Smart Go de retraite c'est le nom de l'enseigne, de l'entreprise.
04:41 - Donc Le Projet Fou.fr.
04:44 - Alors vous y allez, là tout de suite, on y va, on clique.
04:46 On se retrouve face effectivement à quelque chose de relativement simpliste, il suffit de s'inscrire.
04:51 Mettez votre nom, votre prénom, votre numéro de téléphone et votre email, c'est entièrement gratuit.
04:57 En ce moment en plus si vous inscrivez, on vous offre un abonnement d'une valeur de 100 euros,
05:04 d'une carte d'abonnement dans une enseigne, mais grosso modo c'est gratuit.
05:10 Et voilà, vous êtes inscrit, il ne s'est rien passé.
05:12 - Et après il se passe quoi pour moi ?
05:13 - Alors ce qui se passe pour vous, c'est que vous allez commencer à comprendre
05:16 qu'en achetant une des 1200 cartes cadeaux présentes, ce sont des cartes cadeaux...
05:20 - Donc ça signifie que vous avez des enseignes partenaires ?
05:22 - On a 1200 enseignes partenaires à date, plus de 1200 enseignes partenaires.
05:26 - Et des enseignes qu'on connaît, genre FNAC, Darty, Monoprix ?
05:29 - FNAC, Darty, Decathlon, Monoprix, Casino, Carrefour, qui vous voulez ?
05:33 - Donc les enseignes du quotidien ?
05:34 - Les enseignes du quotidien et le spectacle, et on a le Figaro billetterie, et tout ce que vous voulez.
05:41 Donc on a toutes les enseignes du quotidien.
05:45 Quoi que vous fassiez, vous achetez une carte.
05:47 Alors la carte, on l'appelle cadeau en France, mais en fait c'est une carte prépayée.
05:50 C'est une carte de prépaiement.
05:52 Aux Etats-Unis, c'est des cartes que les gens achètent pour soit l'offrir à quelqu'un,
05:57 je ne sais pas quoi vous achetez Elisabeth pour Noël...
06:00 - Pour votre père Noël.
06:02 - Je vous achète une carte de 100 euros, puis vous allez acheter ce que vous voulez,
06:05 dans l'enseigne que vous voulez, grâce à cette carte.
06:07 - On offre souvent des cartes cadeau quand on ne sait pas trop quoi offrir, bien sûr.
06:09 - Exactement. Sauf que c'est devenu un moyen de paiement, cette carte.
06:12 Pourquoi c'est devenu un moyen de paiement ?
06:14 C'est que comment s'est développé ce business des cartes cadeau ?
06:17 Parce qu'il faut commencer par l'histoire de la carte cadeau en elle-même.
06:20 Donc en fait, des distributeurs, donc des enseignes, ont dit "je vais diffuser le plus largement possible",
06:26 et ils ont confié à des distributeurs le soin de distribuer leurs cartes.
06:29 Ces distributeurs reçoivent une commission pour faire ce boulot.
06:32 - Et vous êtes distributeur ?
06:34 - Voilà. Sauf que la différence avec nous, c'est que les autres rendent une partie de leur...
06:38 puisque c'est leur business model, ils rendent une partie de cet argent.
06:41 En général, deux tiers, ou un peu plus que deux tiers.
06:44 C'est-à-dire que si la FNAC leur donne 10 euros sur 100 euros, ils vont restituer 7 euros,
06:47 d'où le nom de "cashback", gagnotage, on rend au consommateur 7 euros.
06:51 Donc vous, vous faites une bonne affaire, un truc qui vaut 100 euros, vous le payez 93.
06:54 - Mais là, avec la retraite, ça se fait quoi alors ?
06:56 - Et bien cet argent passe directement dans votre contre-tête,
06:58 nous on reverse pratiquement la totalité.
07:00 - Mais quel est mon compte retraite ?
07:01 - Il est ouvert, tout simplement, sur notre site.
07:04 C'est un compte de cagnotage capitalisé.
07:06 - Donc ça veut dire que j'ouvre un compte, une cagnotte...
07:09 - Dans un premier temps, c'est une cagnotte.
07:10 - ...sur votre site.
07:11 - Vous ouvrez une cagnotte.
07:12 - Et je mets de l'argent de côté à chaque fois que je fais des achats
07:15 avec ma carte de l'enseigne que j'ai achetée sur votre site.
07:18 - Exactement. Et en ce moment, effectivement, il se passe...
07:21 on est à la première étape, on est à aujourd'hui.
07:24 La première étape, on va dérouler les étapes,
07:26 et la première étape c'est que cet argent vient sur un compte bloqué, séquestre,
07:30 et vous avez effectivement... on émet une créance,
07:33 c'est-à-dire que vous êtes titulaire de cette créance chez nous.
07:35 C'est très technique, mais c'est pour passer...
07:37 - Moi je trouve ça génial, ça me donne envie de le faire.
07:39 Je ne sais pas vous, autour de la table, franchement c'est super,
07:42 parce que j'imagine que vous avez fait tous les calculs,
07:45 si on s'y met maintenant à adhérer à votre projet,
07:50 ça veut dire qu'au moment où on arrive au moment de la retraite, il se passe quoi ?
07:54 - Alors je vais vous dire, on va parler de calcul, ça va être très simple.
07:57 Un français moyen consomme 1000€ par mois,
07:59 d'achat non contraint, c'est-à-dire hors loyer, hors électricité, etc.
08:03 C'est-à-dire 450€ en moyenne en alimentaire,
08:05 550€ hors alimentaire.
08:07 La moyenne du cash-back, du cagnottage, est de 6%.
08:11 Donc, si vous faites 1000€ par mois à 6%,
08:14 vous allez pouvoir épargner 60€ par mois.
08:17 Si vous épargnez 60€ par mois pendant effectivement 40 ans,
08:21 vous faites les calculs, ça fait beaucoup d'argent, ça fait 720€ par an,
08:25 ça fait 28 000€. Mais si vous calculez et vous placez cet argent,
08:29 si on prend une courbe existante,
08:31 parce qu'on ne peut pas présager du futur, on peut présager du passé.
08:35 Si on regarde l'historique par exemple des fonds de pension américains,
08:38 eux, en moyenne, ils ont 6% de rendement.
08:40 Si vous calculez pendant 40 ans, etc.,
08:43 vous vous retrouvez, pour la moyenne des français sur 40 ans,
08:46 avec une retraite par capitalisation de la consommation
08:50 équivalente à la retraite par répartition.
08:53 Dit autrement, vous allez doubler le pouvoir d'achat des français dans 40 ans.
08:56 - Donc, ce que vous nous dites ce soir, Serge Bueno, c'est que grâce à votre solution,
08:59 vous allez doubler le pouvoir d'achat des français au moment de la retraite.
09:01 - Dans 40 ans. - Dans 40 ans.
09:03 - Giletta, vous en pensez quoi ?
09:04 - Moi, je suis absolument fasciné.
09:07 Je trouve qu'il y a une dimension sociale à ce projet qui est absolument extraordinaire.
09:10 En plus, ça ne remet pas en cause notre modèle de répartition,
09:15 mais c'est un supplément pour les retraités.
09:18 Je trouve ça extrêmement ambitieux et j'espère que ça va se développer.
09:23 Avec Origine France Garantie, on soutient vraiment la dimension sociale et française.
09:29 Et là, on a absolument les deux.
09:32 Et puis, il y a une convergence aussi entre l'achat responsable.
09:35 Je trouve que c'est très pertinent.
09:38 Il y a de la consommation responsable, du coup, on est responsable de sa consommation.
09:42 Puis, il y a cette dimension sociale qui est absolument incroyable.
09:45 Là, on n'achète pas pour rien. On sait pourquoi on consomme.
09:47 - On a besoin de savoir pourquoi on consomme aujourd'hui.
09:49 - Vous savez comment je définis mon métier ?
09:52 Grâce à quelqu'un que j'ai rencontré la semaine dernière,
09:54 je suis incubateur d'épargnants.
09:55 Je vais permettre à des gens qui n'ont pas les moyens d'épargner, d'épargner.
09:58 - Tout à fait.
09:59 - Moi, je trouve ça super.
10:00 - Je pense que c'est aussi une clé, un levier important.
10:03 Ce n'est pas un surcoût pour l'épargnant,
10:07 et ça lui donne une visibilité sur le temps long.
10:09 On a besoin de temps long aujourd'hui.
10:11 Plus on commence tôt, plus ce sera pertinent.
10:14 - L'argent est sur Smart Good Growth Rate.
10:19 - Techniquement, je suis comme Mathieu,
10:22 je suis d'entreprise cotée, donc il y a des choses que je ne peux pas dire.
10:24 - Je ne veux pas le chiffre, mais moi, ce que je me demande,
10:26 c'est, il faut que votre entreprise dure,
10:27 parce que quand je m'arrive à 64 ans, comment je récupère l'argent ?
10:29 Il faut que je sois sûre qu'elle existe encore, l'entreprise.
10:32 - Elisabeth, bien sûr qu'elle va exister encore,
10:34 mais ce n'est pas qu'elle va exister encore.
10:35 - Je vous le souhaite.
10:36 - Ce sont des comptes, c'est-à-dire qu'on gère des comptes de tiers.
10:39 Ce sont des comptes de tiers,
10:40 et on est engagé dans nos conditions générales de vente
10:43 à, dans les trois ans, proposer des solutions
10:45 qui sont des solutions de produits standards,
10:47 qui peuvent être de l'assurance-vie, du PER, ou tout ce que vous voulez.
10:50 - C'est-à-dire que tous les trois ans,
10:52 l'argent qui est mis de côté sur Smart Good Retraite,
10:55 vous allez nous proposer de pouvoir le placer ailleurs ?
10:58 - Dès lors que vous allez être inscrit sur Smart Good Retraite,
11:01 ce compte, l'argent, va, vous avez une créance.
11:05 Vous, Elisabeth, vous venez d'avoir 33 euros.
11:08 33 euros, nous émettons une créance.
11:10 Donc vous avez une créance, vous êtes propriétaire, titulaire, c'est 33 euros.
11:14 Comprenez bien le modèle, c'est du cash back,
11:16 c'est du cash qui nous appartient, qu'on rend aux consommateurs.
11:18 C'est ça le charme du business model, c'est que ça nous appartient.
11:21 On rend quasiment 100% de notre commission.
11:23 Donc c'est ça, le modèle.
11:25 On rend cet argent aux Français,
11:28 donc on le place dans un compte,
11:30 ensuite, chaque Français est différent.
11:31 Chacun a des profits, je suis comme toi, Mathieu.
11:34 Chaque profit est complètement différent.
11:35 Vous avez des gens qui sont comme lui, probablement il est jeune,
11:38 il va être super offensif, il va dire "mettez-moi tout ça en bourse",
11:40 et puis vous avez vous et moi, on dit "non, surtout pas,
11:44 j'ai des enfants, vous êtes super défensif".
11:46 Chaque Français va être traité individuellement.
11:48 - D'accord, donc ça va être du cas par cas, quasiment.
11:50 - Du cas par... Et puis vous, vous avez peut-être déjà un PER ou une assurance vie,
11:54 puis vous, vous avez peut-être rien.
11:55 Donc en fait, c'est un traitement...
11:56 - Effectivement, vous m'avez mis ça en...
11:58 - Non, non, mais c'est...
11:59 Et j'ai dit "peut-être" quand même.
12:00 Vous avez rajouté "beaujamais", j'ai rajouté le mot "peut-être".
12:03 Donc si vous voulez, on est nous un site.
12:06 Alors nous aussi, on est un site de rencontre
12:08 entre des gens qui n'ont pas les moyens d'épargner
12:09 et des gens qui vont épargner.
12:10 Il y a eu...
12:11 - Pourquoi pas les moyens ?
12:12 Comme ceux qui ont les moyens, ils peuvent peut-être venir chez vous.
12:15 - Oui, mais alors, je vais vous dire, c'est un truc,
12:17 la France est un pays extraordinaire.
12:19 Moi, j'ai vécu 40 ans à l'étranger.
12:20 Alors, pourquoi cette idée-là ?
12:21 - T'as vécu où ?
12:22 - J'ai vécu un peu partout dans le monde.
12:24 Etats-Unis, Chine, Israël, Italie, Espagne, etc.
12:28 - Donc vous connaissez le monde.
12:28 - Ah, je connais le monde.
12:29 Partout où je suis passé, on m'a dit "Ah, vous les Français, vous êtes des assistés."
12:32 Vous avez deux manières de recevoir une information.
12:34 Vous vous vexez comme un pou.
12:36 - Non, parce qu'on a un très bel accompagnement social.
12:38 - Ou alors vous vous dites "Mais finalement, on m'envie quelque chose."
12:40 Et en fait, qu'est-ce qu'on nous envie ?
12:42 Notre système de protection sociale est extraordinaire.
12:44 Je voudrais dire aux Français un truc,
12:46 arrêtez de râler sur votre pays,
12:48 mais arrêtez de râler, allez à l'étranger,
12:50 vous allez voir ce qui se passe.
12:51 Et je peux vous dire que vous allez revenir en courant chez vous.
12:53 - Serge Bueno, vous avez votre business model,
12:56 on l'a compris, il est bien rodé, en plus de ça.
12:58 Vous avez un directeur général associé qui s'appelle juste Tony Parker.
13:03 Donc franchement, la vie est belle,
13:06 mais vous avez des besoins, vous avez besoin de conseils,
13:09 donc vous restez avec nous.
13:10 Parmi les besoins, il faut trouver...
13:13 Il faut que ça se fasse connaître.
13:15 Qu'est-ce qu'il y a ?
13:16 - J'ai un peu de mal avec un expert d'un tel niveau
13:18 de pouvoir me dire que je peux lui donner des conseils,
13:21 c'est un peu surprenant.
13:22 - Ben, ça, ça me touche.
13:23 - J'ai lui donné des petits conseils.
13:24 - Vous rigolez ?
13:25 - Beaucoup de conseils du côté amoureux,
13:28 et puis là, je vais avoir la suite.
13:29 - Et bien voilà, donc vous restez avec nous,
13:30 on va écouter France Gall sur Europe 1.
13:32 Viens, je t'emmène, on se retrouve juste après sur Europe 1.
13:35 - Elle bouge et elle parle pendant qu'on écoutait France Gall.
13:42 Ça vous a plu, j'ai l'impression, Serge Bueno ?
13:44 - Ouais, c'est sympa.
13:45 - Vous êtes le patron de Smart Gout de retraite.
13:47 - Ouais, j'aime bien, j'aime bien, j'aime bien.
13:48 Viens, je t'emmène, nous aussi, on veut emmener...
13:51 - Devant le micro, c'est encore mieux.
13:52 - On veut emmener, toi et moi, devant le micro,
13:54 on vous déplace le micro.
13:55 On veut emmener, nous aussi, effectivement, tout le monde.
13:57 - Alors, vous avez parlé de mon associé, Tony Parker.
13:59 - Tony Parker, c'est l'associé de Smart Gout de retraite.
14:03 Comment il est venu à vous ?
14:04 - Alors, c'est moi qui suis venu à lui il y a deux ans.
14:06 Il y a deux ans, on avait...
14:09 On est toujours dans la bienveillance et on était sur...
14:14 Enfin, sa présidente à Las Velles féminines était venue me voir,
14:17 Marie-Sophie Obama, et m'a dit
14:20 "Tu es dans le maintien domicile,
14:21 tu regardes l'éducation et l'égalité femmes-hommes."
14:25 Ça m'a bien fait sourire,
14:28 parce que ce n'est pas une question que je me suis posée
14:29 de non-nous que je viens, où ce problème ne se pose pas.
14:33 Mais donc, on a commencé à discuter,
14:35 et puis Marie-Sophie m'a dit "Il faut que tu rencontres Tony."
14:38 C'est une histoire qu'il raconte beaucoup mieux que moi,
14:40 mais elle est très jolie, cette histoire.
14:42 En fait, on était sans saison pendant trois heures.
14:45 - Et ça a duré une semaine.
14:46 - Ça a duré trois jours, une nuit quasiment,
14:49 où on a refait le monde.
14:50 Et comme je dis toujours, quand on a refait le monde,
14:52 il était plus rond, il était cubique,
14:53 avec un chapeau pointu, on a adoré.
14:55 - C'est plus dur pour jouer au basket.
14:57 - C'est plus dur, mais vous savez que Tony est un homme
14:59 extrêmement empathique, un mec très, très, très, très, très...
15:04 Quand il dit "Je veux rendre à la France
15:05 ce que la France m'a apporté",
15:07 je pense qu'on est exactement dans la même chose.
15:08 - C'est sincère.
15:10 Donc, je rappelle pour les auditeurs, si vous nous rejoignez,
15:13 vous êtes le PDG de Smart Go de retraite.
15:14 Ce soir, on parle de la vie après 55, 60 ans.
15:18 La vie à travers la rencontre amoureuse.
15:20 On est avec Mathieu Jacquier,
15:21 vous êtes le patron de Mythique 10 ans demain.
15:24 Avec vous, Serge Bueno, Smart Go de retraite.
15:26 Donc, le site, c'est leprojetfou.fr.
15:29 Et grâce à vous, on peut déjà préparer sa retraite
15:32 et nous faire gagner du pouvoir d'achat
15:34 au moment où on va arriver à la retraite.
15:35 On peut épargner grâce à vous, grâce au cashback.
15:38 - C'est ça l'idée, grâce au cagnotage et grâce au cashback.
15:42 Vous allez pouvoir avoir fromage et dessert.
15:43 Le fromage, c'est avec la carte de l'enseigne X.
15:46 Si vous voulez bénéficier de la marque distributeur
15:48 ou des promotions, vous continuez à en bénéficier.
15:50 Et le dessert, c'est le fait qu'on met un pourcentage
15:53 l'entièreté du pourcentage qu'on vous remet
15:55 ou la quasi entièreté rentre pour vous dans un compte départ.
15:59 - Et on sait combien c'est important,
16:01 puisque Benjamin, le pouvoir d'achat des seniors se réduit.
16:05 - Oui, c'est une étude CSA, donc entre 50 et 65 ans.
16:09 Vous avez un salarié sur deux
16:10 qui déclare avoir du mal à boucler les fins de mois.
16:13 Et au total, les dépenses de première nécessité
16:16 des seniors actifs représentent 1 604 euros en moyenne par mois.
16:21 - Mathieu Jacquier, on vous en parle,
16:22 vous êtes le patron de Dison Demain,
16:24 ce pouvoir d'achat des seniors,
16:25 c'est quelque chose qui revient dans les personnes
16:27 qui se connectent pour rencontrer l'âme sœur.
16:29 Il y a aussi ce besoin d'être à deux pour traverser ces périodes.
16:35 - Ils ne le disent pas comme ça, mais quand il y a effectivement
16:39 cette projection-là dans le couple, c'est plus facile à deux.
16:42 Et quand ils nous parlent de moments romantiques, par exemple,
16:45 c'est quoi des moments romantiques ?
16:46 Le moment romantique qui est le plus cité,
16:48 c'est déjà une promenade.
16:50 Alors souvent, ça commence par aller boire un verre,
16:53 mais la promenade, c'est gratuit.
16:54 Il y a beaucoup de choses qui sont gratuites dans l'amour.
16:57 Ça commence comme ça, une promenade.
16:59 Ça commence ensuite, c'est aller prendre un verre.
17:02 Voilà les moments romantiques au début.
17:03 Alors après, pour ceux qui ont les moyens
17:06 et qui continuent leur belle histoire,
17:08 c'est aller passer un week-end ensemble.
17:09 Voilà les beaux moments romantiques, on va dire,
17:13 au début d'une relation.
17:14 - Et c'est ce qui permet peut-être de s'engager un petit peu plus.
17:18 Je me tends vers vous, Gilles Attaf.
17:19 Vous êtes le coach de ce soir, Gilles.
17:21 Vous êtes un entrepreneur.
17:22 Vous êtes le président de la certification
17:23 Origine France Garantie.
17:24 On l'a entendu avant d'écouter France Gall.
17:28 Vous êtes convaincu par Smart Gout de retraite,
17:31 mais tout de même, Serge a des besoins.
17:34 Quel est le principal besoin aujourd'hui, Serge Bueno,
17:36 pour développer votre boîte ?
17:37 - Alors un, c'est déjà, on a 1000 enseignes,
17:41 j'ai presque envie de dire, plus de 1000 enseignes,
17:43 1200 enseignes, que 1200 enseignes.
17:45 Donc demain matin, mon rêve,
17:48 c'est que tous les bouchers, tous les coiffeurs,
17:50 surtout moi, j'en ai besoin.
17:51 - Il est chaud au garage, pas si mal.
17:53 - Je suis chaud, voilà.
17:54 Donc on ne voit pas la radio, mais je n'ai pas de cheveux.
17:56 Tout le monde nous rejoigne dans ce projet fou.
18:00 Et tout le monde dit, bah oui, nous aussi,
18:02 on veut que dans 40 ans, dans 20 ans,
18:04 le pouvoir d'achat des Français augmenté,
18:06 puisqu'en fait, c'est un cercle vertueux.
18:07 Si vous avez une boucherie aujourd'hui,
18:09 que vous la cédez à votre fils,
18:10 vous allez être content de voir des clients
18:11 qui vont dépenser deux fois plus d'argent chez vous.
18:12 Donc c'est un cercle vertueux.
18:13 - Gilles ?
18:15 - Oui, tout à fait.
18:16 Je trouve qu'il y a une quête de sens dans ce projet
18:18 qui est absolument fantastique.
18:20 Moi, je n'ai aucun conseil à donner.
18:22 Hélas, je suis désolé, Elisabeth, aujourd'hui.
18:23 - Qu'est-ce que c'est ?
18:24 Ça vous est pas posé ou quoi ?
18:25 - Là, franchement, je trouve ça assez extraordinaire.
18:27 - C'est un projet abouti, quand même.
18:28 - Non, c'est très abouti.
18:29 Et juste, moi, j'aimerais voir comment on pourrait...
18:32 Bon, moi, je suis à la tête d'une certification
18:35 qui garantit que des produits sont fabriqués en France.
18:36 Je voulais voir comment on pourrait trouver des passerelles
18:39 pour que les produits soient refléchis
18:42 vers des produits réellement fabriqués en France.
18:44 - Oui, ce serait bien d'avoir...
18:45 - Voilà, il y a une dimension...
18:46 - C'est là-dessus où vous pouvez ouvrir votre carte de marge, d'ailleurs.
18:48 - Absolument.
18:49 Vous savez, nous, on a des partenariats, par exemple,
18:51 avec une carte, ça s'appelle la carte française,
18:53 qui est une carte sur des produits qui sont...
18:56 Voilà, qu'on peut dépenser sur des produits
18:58 qui ont été fabriqués en France.
18:59 Donc voilà, avec Origines France Garantie,
19:00 nous, ce qu'on veut, c'est réfléchir vers les territoires,
19:02 vers les régions, les achats de nos concitoyens
19:06 pour expliquer que ça participe au modèle social français.
19:08 Ce qu'on fait un peu tous les deux, c'est un peu la même chose.
19:10 Nous, ce qu'on veut, c'est participer.
19:12 On parlait du modèle social qui, à l'étranger,
19:14 peut paraître un modèle, peut-être,
19:16 où les gens sont trop assistés.
19:17 Moi, je suis très fier de notre modèle social français.
19:18 - On peut l'être.
19:19 - Et je trouve qu'il faut y participer.
19:22 Et on peut y participer par plein de sujets
19:24 et par des produits Origines France Garantie.
19:26 Et donc, voilà...
19:27 - Il y a peut-être quelque chose à faire là-dessus.
19:28 - Il y a certainement des choses à faire ensemble.
19:29 - Ah, vas-y, le mois demain matin,
19:30 parce qu'en fait, il suffit de créer la carte cadeau
19:32 "Produits" de tous vos adhérents,
19:34 et elle devient universelle sur tous ces produits français.
19:37 - Bonko !
19:38 - Et j'ai la même affaire à Mathieu,
19:40 puisqu'en fait, il suffirait que Mathieu me dise
19:43 sur les "euros X" par mois
19:45 que l'on facture, entre guillemets, l'abonnement,
19:48 on verse X % pour la retraite.
19:52 Et puis, je pense qu'on a deux cartes cadeau
19:54 qui viennent de naître.
19:55 Une, "Produits Origines France"
19:56 et une, effectivement, "La carte de l'amour".
19:58 - Et voilà, c'est ça aussi, la France Bouche.
20:00 - Bonko, sérieux ?
20:01 - Sérieux ?
20:02 - Formidable.
20:03 - Et bien voilà, c'est ça, la France Bouche,
20:04 c'est créer des deals, des fonds.
20:06 - Merci Elisabeth, je viens de faire un appel
20:10 aux commerçants français de Nord-Johannes,
20:12 et j'ai la fierté d'avoir le "Made in France".
20:15 Alors, c'est mon deuxième souhait,
20:18 amener la France,
20:21 le modèle social français,
20:22 aux Chinois, aux Africains, aux Américains,
20:25 aux Indiens, et exporter.
20:27 Donc, faire le match retour de ce qu'on a raillé
20:30 pendant 40 ans, disant "vous êtes un assisté",
20:32 et faire de ces gens des assistés grâce à leur consommation,
20:35 grâce aux produits effectivement "Made in France" mais grâce à un concept français.

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