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Jeudi 2 novembre 2023, SMART BOURSE reçoit Emmanuelle Mourey (Présidente du directoire, La Banque Postale AM) et Michel Saugné (Directeur de la gestion, Tocqueville Finance)

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00:00 *Musique*
00:10 Le dernier quart d'heure de Smart Bourges chaque soir, c'est le quart d'heure thématique.
00:13 Le thème ce soir, c'est celui de l'innovation car Bismarck est partenaire de la deuxième édition des Trophées de l'innovation organisée par LBP AM.
00:22 Et nous sommes très fiers de soutenir cette initiative dédiée à l'innovation et au financement de l'innovation pour des enjeux stratégiques.
00:30 Aujourd'hui, Emmanuel Mouret, président du directeur de LBP AM est avec nous et Michel Saunier, directeur de la gestion de Tocqueville Finance, une des filiales de gestion d'actifs de LBP AM aujourd'hui.
00:40 Bonjour à vous deux.
00:41 Bonjour.
00:42 Merci beaucoup d'être avec nous et de reproduire ce partenariat.
00:47 C'était la première édition l'an dernier de ces Trophées de l'innovation, Emmanuel.
00:51 La deuxième édition, on va détailler un petit peu, sans dévoiler évidemment les lauréats, puisque l'événement a lieu le 7 novembre prochain.
00:59 Mais quelles sont les leçons que vous avez tirées de la première édition et que représente pour vous aujourd'hui cet événement qui est amené à durer et à s'installer dans le temps pour le groupe majeur de gestion d'actifs que vous êtes aujourd'hui ?
01:14 Pour répondre à la première question, qu'est-ce qu'on a tiré comme enseignement ?
01:19 C'est quelque chose d'assez important pour nous à multiples titres.
01:24 D'abord, LBP AM, avec sa filiale Tocqueville Finance, et désormais la financière de l'échiquier qu'on a acquis en juillet 2023, est un gérant de 68 milliards d'euros environ.
01:34 Sur la partie gestion d'action de conviction, on est le premier en France sur la partie action, on a 25 milliards.
01:41 Cet événement est important parce que précisément notre job de gérant action, c'est d'identifier les champions de demain.
01:47 C'est précisément tout l'enjeu de ces trophées de l'innovation et c'est donc la raison pour laquelle nous renouvelons.
01:52 Mais il y a un autre enjeu qui tient aussi à l'ADN actionnarial et historique de LBP AM.
02:00 On est le gérant pour compte de tiers du grand pôle financier public, la Banque Postale, CNP Assurance, La Poste et CDC,
02:09 qui fait de l'innovation un marqueur fort et commun de tous ces business, au service des territoires d'un côté, et au service de l'accompagnement du développement des entreprises en France.
02:20 Donc cet événement, c'est aussi une vitrine pour notre groupe qui reflète ses ambitions et ça nous permet de créer un écosystème, grâce à ce jury,
02:29 autour d'entrepreneurs, de ventures capitalistes, de family office, d'investisseurs institutionnels.
02:36 On crée déjà une rencontre entre des gens qui se fréquentent, qui se voient, qui se connaissent,
02:43 mais qui vont dans un moment privilégié, dans une séquence qui amène à la cérémonie des trophées d'innovation,
02:49 qui vont participer à caster, à choisir des lauréats et à échanger peut-être plus profondément que d'habitude.
02:58 Exactement. Et d'ailleurs c'est la raison pour laquelle ils sont revenus.
03:00 C'est parce que cet écosystème, ils ont apprécié la première édition et Michel qui a participé à ce que fait le jury,
03:07 moi je ne peux pas en parler parce que je n'étais pas dans la salle, donc la bonne nouvelle je ne dévoilerai rien,
03:11 mais ils reviennent pour ça. Parce que pour ce jury, c'est l'occasion d'échanger entre leurs différents métiers et de rencontrer les entrepreneurs.
03:19 Très intéressant ces échanges et cet écosystème que ça crée.
03:22 En fait on a vraiment en tête de favoriser la dynamique de place qui a été lancée, puisqu'il y a d'autres initiatives du même type,
03:30 comme ce que fait Philippe Tibi avec l'opération Scale-Up, on a ce que fait la BPI avec les rencontres Cornerstone,
03:37 et puis plus récemment on a Euronext avec les forums IPO.
03:39 Donc on s'inscrit vraiment dans la même dynamique, dans la même idée, avec l'idée de construire un écosystème dynamique sur la place de Paris
03:46 et surtout de constituer un socle de capital stable, ne plus être tributaire des flux, des allées et venues,
03:53 de la version risque ou pas par rapport à ce segment-là et à ces petites sociétés-là.
03:57 Donc on veut vraiment, comme on dit, nous quand on nous demande c'est quoi notre idéal d'investisseur,
04:01 l'idéal c'est simple, c'est d'accompagner la société depuis sa petite tendre en force, depuis le berceau, jusqu'au CAC 40.
04:07 Alors ça c'est un vœu pieux, ça arrive très rarement, mais c'est génial quand ça arrive.
04:10 Et dans le cadre des trophées, on arrive à réunir l'entrepreneur génial et le financier patient.
04:18 C'est parfait.
04:19 Bien sûr. Oui c'est ça, c'est un accompagnement tout au long de la vie de l'entreprise.
04:24 Et on manque souvent de patience en Europe, à la différence de ce qui se passe aux Etats-Unis.
04:28 Justement, qu'est-ce qui caractérise cette deuxième édition ?
04:34 Mais si je reviens à la première édition, cette idée d'accompagnement,
04:38 alors je me souviens, j'ai repris Hansome, Frugger, Carbometrics, Weather Treadnet,
04:43 je crois qu'il y avait même quatre prix, il devait y avoir trois lauréats,
04:46 et puis il y avait eu un prix où on avait deux lauréats ex-aequo parce que le jury n'avait pas pu...
04:50 C'est des entreprises que vous continuez de suivre aujourd'hui, que vous avez pu accompagner, soutenir dans certaines initiatives ?
04:57 On les a suivis parce qu'en fait on leur donne d'une part la visibilité grâce à BeSmart,
05:00 donc ça les a aidés évidemment, et puis on les a suivis peu de temps avant le lancement de la deuxième édition
05:04 pour savoir "ok, et vous en êtes où grâce à ces différents prix qu'on leur a octroyés ?"
05:09 En fait c'est assez intéressant parce que les réponses qu'ils nous ont données nous font dire qu'il faut qu'on continue avec ces trophées.
05:14 Donc par exemple, Hansome qui est une solution de paiement pour déficients visuels,
05:18 donc nous disent, et le patron nous dit qu'il a bénéficié de cette visibilité qui a été vraiment un accélérateur,
05:23 et d'ailleurs il mentionne que suite à ce prix, un client potentiel en Amérique du Nord l'a contacté pour sa solution.
05:30 Donc ça pour nous c'est une grande victoire.
05:32 Et puis Frugger, alors c'est une solution différente puisqu'ils s'occupent de décarbonation...
05:36 Du numérique, c'est ça.
05:37 Du numérique en particulier. Alors eux, on les a suivis très particulièrement parce qu'ils ont noué des liens au sein de la banque postale,
05:42 et on est très fiers de dire qu'aujourd'hui c'est eux qui calculent l'empreinte carbone et la décarbonation du site internet de l'LBPM,
05:50 donc on les a utilisés en tant que prestataires, et puis par ailleurs, ils viennent de décrocher un contrat avec l'ADEME,
05:55 ils pourraient devenir une référence, en tout cas c'est ce qu'on leur souhaite, et donc oui, ça a été un accélérateur pour eux, on en est très fiers.
06:02 C'est une vitrine, mais pas juste une vitrine.
06:05 Non mais c'est important d'avoir une vitrine, mais c'est intéressant de voir derrière tout cet écosystème,
06:10 comment il se diffuse, comment il se consolide, un an après encore.
06:13 Oui, on est là aussi pour leur mettre le pied à l'étrier, en tout cas favoriser ça,
06:16 donc comme tu le disais, il y en avait quatre, les deux autres c'est Carbometrix,
06:19 c'est un peu le même positionnement que Früger, des solutions vers la décarbonation,
06:22 qu'est-ce qu'on voit en termes de business ? Ce sont des contrats, des contrats avec des banques,
06:26 des contrats avec des cabinets de conseil, donc on voit que ça marche, la mise en avant via BISMARD, via nos réseaux, ça fonctionne.
06:32 On a aussi notre coup de cœur qui était Weather Treadnet, là c'est assez atypique, c'était atypique,
06:37 puisque c'est la gestion du risque climatique, on voit en ce moment, aujourd'hui avec la tempête, que c'est pas neutre,
06:42 que ça peut arriver, même chez nous, et alors elle a réussi un tour de force exceptionnel,
06:47 puisqu'elle a 800 sociétés qui ont contracté un abonnement avec elle, dont Bloomberg.
06:52 Incroyable.
06:53 Donc ça fonctionne.
06:54 Bloomberg est allé chercher l'expertise de Weather Treadnet.
06:57 On espère que Bloomberg ne va pas les racheter, qu'ils vont rester en France et qu'on va pouvoir en acheter.
07:02 C'est eux qui décideront, c'est Weather Treadnet qui décidera, si jamais Bloomberg leur fait une offre un jour.
07:07 Mais effectivement, dans le domaine financier, quelle récompense quand même d'avoir Bloomberg qui vient signer un contrat avec vous.
07:14 Qu'est-ce qui va caractériser cette deuxième édition par rapport à la première ?
07:17 Je me souviens que la première était très tournée vers les FinTech, même si on voit d'ailleurs qu'on était déjà très largement aussi
07:23 dans le domaine climatique, avec certains exemples qu'on a cités.
07:26 Alors déjà, il y a ce qui ne change pas.
07:28 On partenarise avec Investance, sur laquelle on se repose beaucoup, et puis on a toujours ce jury assez exceptionnel
07:34 qui est sur toute la chaîne, de l'entrepreneuriat à la cotation.
07:39 Donc ça, ça ne change pas.
07:40 Cette année, on accueille deux nouveaux partenaires, Alpha FMC et Microsoft.
07:44 Et puis surtout, on a élargi le spectre des sociétés qu'on regarde.
07:47 Et là, en effet, l'an dernier, on était 100% FinTech.
07:50 Cette année, on est FinTech et GreenTech.
07:53 Et donc, on aura trois prix.
07:55 On espère que ce sera trois et pas quatre, mais bon, on verra le 7 novembre.
07:58 Donc la meilleure FinTech 2023, la meilleure GreenTech et le prix coup de cœur du jury.
08:03 Un spectre qui s'élargit, FinTech, GreenTech.
08:08 Est-ce que ça coïncide aussi avec les objectifs que se fixent LBPAM, Tocqueville Finance, en matière d'accompagnement de l'innovation ?
08:16 Il faut choisir ses combats, j'imagine, à un moment.
08:18 Financer certains segments par rapport à d'autres parce qu'on y croit plus,
08:23 parce qu'on pense que l'écosystème français-européen est peut-être plus solide pour développer certaines technologies par rapport à d'autres ?
08:32 Oui, alors nous, on a deux axes clés.
08:34 On ne peut pas tout faire, comme ce que disait Michael.
08:36 Il faut choisir ses batailles, ses combats.
08:38 Ce qu'on fait principalement, c'est qu'on essaye de favoriser, dans un cadre ISR aussi qui nous tient à cœur,
08:44 l'innovation, mais aussi les territoires.
08:46 Ça, c'est lié à notre ADN de groupe.
08:47 On est très focalisés sur les territoires.
08:49 Donc on essaye de favoriser l'émergence de champions nationaux français dans l'innovation, mais aussi dans les territoires.
08:56 Donc en fait, en parallèle, on mène aussi des actions, un tour des régions qu'on appelle Francis-Bac,
09:02 qui permet de jouer un peu sur le même registre, sachant que si on revient au trophée de l'innovation,
09:07 on a un petit quart des candidats cette année qui proviennent des régions.
09:10 Frugger, dont on vient de parler, et une société qui est une société renaise.
09:14 Donc si ça, c'est montrer qu'au-delà de l'île de France...
09:16 C'est pas réalité. On a tous envie de croire que l'innovation, ça n'est pas juste par l'île de France.
09:20 Oui, vous pouvez répondre oui, une partie de l'innovation...
09:24 Non mais c'est un tout petit quart.
09:26 Et puis, on peut peut-être dire aussi que l'innovation, on se dit souvent que c'est l'apanage des start-up
09:33 qui inventent des nouvelles technologies, et c'est partiellement vrai en fait.
09:38 Ce qu'on se dit pour un gestionnaire d'actifs, en fait, oui, il y a des nouvelles idées qui sont mises en œuvre
09:45 par de nouvelles entreprises, des petites entreprises, et c'est pour ça qu'on lance aussi une activité de private equity
09:49 qui précisément va se focaliser sur des projets dans les territoires.
09:54 Mais, l'innovation, c'est aussi des grands projets infrastructures immobiliers en France et en Europe,
10:00 et ceux-là, on les finance déjà grâce à nos fonds de dettes privées.
10:05 Et puis, comme tu le dis Michel, l'innovation, ça passe aussi par les small cap et les large cap,
10:10 qui en font quand même tous les jours, et là, c'est un secteur en France et en Europe sur lequel on est historiquement présent.
10:14 C'était ma question un peu stratégique, Emmanuelle.
10:16 Effectivement, quand on voit, c'est ce que disait Michel, l'idée étant, ce qui serait génial,
10:21 de pouvoir accompagner tout au long de la vie de l'entreprise, de sa création jusqu'à sa cotation sur les marchés boursiers,
10:27 il y a des stratégies pour ça, des stratégies cross-over, etc., qui font tomber les frontières entre le non-coté,
10:33 le monde privé et le monde public, au terme anglo-saxon, à savoir, vous êtes coté, vous êtes public.
10:41 Stratégiquement, comment LBPAM se positionne ? Il y a vraiment l'idée que ces deux mondes-là doivent non plus seulement coexister,
10:49 mais se parler de plus en plus, voire s'imbriquer de plus en plus ?
10:52 En fait, c'est la tendance de fonds, et finalement, ça se ressent aussi chez les investisseurs.
10:57 Il y a quelques années, jamais on ne se serait dit, un investisseur privé particulier va investir dans un projet infrastructure.
11:05 En fait, c'est terminé, ça.
11:06 Jamais on ne disait, un investisseur particulier va investir dans le private equity parce que c'est réservé à une certaine élite.
11:12 Eh bien, en fait, ces frontières sont tombées.
11:14 Une catégorie d'investisseurs professionnels.
11:15 Ces frontières sont tombées, et en effet, je pense que notre job, il est de pouvoir produire, ou offrir en tout cas, des solutions pour tous les types d'investisseurs.
11:23 Et donc, ce continuum, le private equity, les fonds de dette, la cotation, les small cap, les large cap, la France, l'Europe,
11:30 c'est évidemment un continuum stratégique hyper important parce que désormais, ces frontières tombent.
11:35 Tous les investisseurs s'intéressent à ces sujets, et le thème un peu sous-jacent de la transition énergétique, finalement, nous concerne tous.
11:42 Donc oui, je pense que les frontières sont en train de tomber.
11:46 Ça change beaucoup de choses quand même dans le monde de l'investissement, j'ai l'impression, Michel.
11:50 C'est des mondes qui ne se connaissent pas forcément, qui ne se sont pas toujours parlé, qui ont même eu peut-être du mal à se parler à un moment.
11:57 Et là, c'est ce qu'on... pour reprendre l'idée de l'écosystème que vous créez avec ces trophées, ah ! Il faut que tout le monde se parle !
12:03 Il faut que tout le monde se parle !
12:04 Il y a deux illustrations, c'est nous qui sommes à l'origine plus sur le côté que sur le non-côté, qu'on se positionne sur ce genre d'événements, ça montre que...
12:10 Voilà, encore une fois, cette édition, c'est 700 sociétés qui ont reçu un dossier, 80 candidats, 12 finalistes, 3 lauréats.
12:17 Donc c'est quand même assez étendu.
12:19 Et derrière, en effet, le fait d'investir sur la tech pour nous, c'est aussi pas que l'investissement, c'est-à-dire que ça va chercher des fournisseurs de solutions à l'extérieur.
12:30 Par exemple, sur des thèmes aussi spécifiques que la biodiversité, on va recourir à des expertises locales, bien françaises, pour pouvoir crédibiliser encore plus notre démarche.
12:38 Donc notre fonds thématique, il va pouvoir publier une empreinte biodiversité qui est calculée par un acteur français.
12:44 Et puis bientôt, on va avoir des indicateurs clés, comme des indicateurs de reforestation, qui vont être publiés grâce à une expertise satellite, d'image satellite, d'un acteur français aussi.
12:53 Donc voilà, en gros, l'approche, elle est pluridisciplinaire.
12:56 Et c'est vrai que la frontière entre le côté et le non-côté est de plus en plus fine, ténue.
13:02 C'est ce que vous disiez aussi, Emmanuel.
13:04 Promouvoir l'innovation à travers des événements comme celui-là, mais c'est aussi être utilisateur en tant que groupe de gestion d'actifs.
13:12 C'est un vrai sujet. L'innovation, la technologie, la donnée, le traitement de la donnée, etc.
13:17 J'imagine qu'il y a plein de sujets où vous êtes capable d'aller chercher de l'expertise nécessaire à votre métier de gérant d'actifs.
13:23 Ah oui, en fait, on s'applique à nous-mêmes en tant que société de gestion, cette fois-ci, ce que Michel met en place dans les portefeuilles.
13:28 Donc en effet, c'est essentiel de comprendre ces technologies.
13:31 Mais là-dessus, il faut être très humble et très attentif, parce que l'innovation, c'est un puits sans fond.
13:37 Et en fait, on peut vite se disperser sur des innovations technologiques qui fleurissent chaque jour et partout.
13:43 Donc notre rôle en tant que société de gestion, c'est d'être capable d'identifier ce dans quoi on va investir en propre,
13:50 parce que ce sera core business, versus ce dans quoi on ne va pas investir, mais pour des solutions pour lesquelles on va chercher des partenaires externes.
13:58 Et donc, à titre d'illustration, ce qu'on a choisi de faire chez LBPM, c'est d'investir en propre sur la partie data, y compris la data extra financière.
14:05 Donc là, on a énormément investi avec un data spéciaire.
14:08 Ça, c'est cœur, ça.
14:09 Ça, c'est très très cœur.
14:10 En revanche, sur des technologies différentes, qui ne sont pas core business, on est allé chercher des partenaires.
14:15 Donc par exemple, sur la blockchain ISNES, on a été des fondateurs historiques de cette plateforme.
14:21 Et puis récemment, on vient de conclure un partenariat avec Manaos, qui est une plateforme d'investissement qui offre à des investisseurs institutionnels
14:28 ou des asset managers, la possibilité de transpariser tout leur portefeuille et d'homogénéiser toutes leurs données.
14:35 Donc ça, c'est assez important pour nous et clairement, on n'a pas envie de le faire.
14:38 En revanche, partenarier avec eux, c'est très important.
14:41 Rendez-vous le 7 novembre pour cette deuxième édition des Trophées de l'Innovation.
14:46 On vous en fera le compte-rendu évidemment dans Smart Bourse et même plus que ça puisqu'on recevra les trois lauréats, théoriquement.
14:53 Avec un très bon millédie cette année.
14:55 Le jury présidé par Pierre Hinde, ça a très bien travaillé.
14:59 Vous connaissez les lauréats déjà.
15:00 C'est très intéressant.
15:01 Ni nous ni eux ne savent qu'ils sont encore lauréats.
15:04 On découvrira ça le 7 novembre et vous pourrez évidemment suivre une interview de ces lauréats dans Smart Bourse au cours en novembre, dans les jours qui suivront.
15:14 Cette deuxième édition des Trophées de l'Innovation qui se tient donc le 7 novembre prochain, organisée par LBP AM.
15:20 Emmanuel Mouron est sa présidente du directoire et Michel Saunier, directeur de la gestion de Tocqueville Finance, était avec nous dans ce dernier quart d'heure de Smart Bourse ce soir.
15:27 [Musique]

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