TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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00:00 Déjà, est-ce que vous pouvez nous raconter comment vous êtes retrouvée en famille d'accueil il y a trois ans ?
00:03 - Alors j'ai été enlevée de ma mère à l'âge de trois ans parce qu'elle n'était pas en capacité de s'occuper de moi.
00:08 Donc j'ai été placée dans une première famille d'accueil de mes trois ans jusqu'à mes dix ans.
00:13 Dans cette famille où j'ai subi des violences, donc des violences physiques, mais aussi des violences psychologiques, parce que j'ai été isolée,
00:20 mise à part de tout le monde.
00:23 J'ai pu être enfermée dans une cave.
00:27 J'ai reçu des coups jusqu'à suffocation, à signer du nez.
00:32 On venait me tirer par les cheveux de ma chambre, tout le long des escaliers.
00:38 Et on me laissait à genoux pendant des heures sur des cailloux dans une petite pièce où je pouvais me retrouver à manger toute seule,
00:47 sans contact avec la famille qui m'accueillait.
00:53 - Vous en parliez à l'école ?
00:55 - A l'école, non. L'école, c'était le seul endroit où j'étais bien.
00:59 - C'est ça. Justement, comment ça se passait quand les parents venaient vous chercher à l'école ?
01:04 - Alors, quand la famille venait me chercher à l'école, ces familles-là font très bien semblant devant tout le monde.
01:11 Ils savent faire en sorte que les personnes ne le voient pas.
01:15 - C'est ça qui est fou.
01:16 - Donc, ils venaient me chercher, sourier et à peine rentrer dans leur voiture, je savais que c'était reparti.
01:24 - Vous n'aviez pas des copains à l'école à qui vous pouviez parler ?
01:27 - J'avais une copine, mais je ne pensais pas parler de ça.
01:34 Il y a juste une fois où...
01:35 - Vous avez fait une fugue avec une copine, non ?
01:37 - Un jour, je lui ai dit que ça n'allait pas et que je voulais fuguer.
01:40 Ce que j'ai fait, j'ai voulu fuguer.
01:45 Après, je n'ai pas entré dans les détails de pourquoi je voulais fuguer.
01:50 Donc, j'ai commencé à fuguer et une professeure m'a rattrapée.
01:53 Quand elle m'a demandé pourquoi je voulais fuguer, je ne lui ai pas forcément dit parce qu'à 8-10 ans, on a peur de raconter.
02:03 On ne se rend pas forcément compte aussi que ce n'est pas normal.
02:06 Donc, on m'a convoquée dans le bureau avec la famille d'accueil qui est venue.
02:10 Et donc, pareil, devant tout le monde, devant les professeurs, c'est "Pourquoi tu fais ça ? On ne comprend pas.
02:16 Tu sais, si quelque chose ne va pas, tu peux nous en parler."
02:19 Et elle était venue avec sa fille.
02:20 Et après, je suis repartie dans la voiture et ça n'a rien changé.
02:24 C'est reparti.
02:25 - Nadia, à vos 10 ans, cette famille décide de se séparer de vous.
02:32 Il paraît que vous n'avez pas été tout de suite soulagée de quitter cette famille.
02:37 - Parce que quand j'ai été enlevée, forcément, à 10 ans, moi, j'ai grandi là-bas de mes 3 ans jusqu'à mes 10 ans.
02:44 Donc, c'était un peu la normalité.
02:46 C'était la famille qui m'a éduquée pendant 7 ans.
02:50 Donc, j'ai eu mal au cœur quand j'ai été enlevée parce que j'ai vécu un abandon de ma mère.
02:56 Et là, de me faire retirer encore une fois de mes repères, parce que même s'ils s'occupaient mal de moi, c'était mes repères.
03:02 Au début, j'ai eu très mal au cœur.
03:05 Mais par la suite, je me suis rendue compte que ce n'était pas normal quand j'ai vu que la deuxième famille d'accueil s'occupait bien de moi.
03:10 - Alors, ce qui est fou et la question que doivent se poser tous nos téléspectateurs ce soir, c'est pourquoi ?
03:16 Ces familles accueillent des enfants et, a priori, vous dites que c'est pour l'argent.
03:20 - Comment ? - C'est pour l'argent qu'ils accueillent ces enfants ?
03:22 - Alors, pour moi, je ne vois pas d'autres raisons.
03:28 Parce que si on aime vraiment son boulot, on ne fait pas ça à des enfants qui ont été enlevés.
03:34 Déjà, j'ai été enlevée de ma mère parce que j'étais en danger.
03:36 Donc, on est censé être dans une famille qui nous protège, qui nous donne de l'amour, qui nous montre ce que c'est une famille.
03:42 Si on aime vraiment ce qu'on fait, parce que pour faire ce boulot, il faut aimer ce qu'on fait et on ne peut pas donner ce boulot à n'importe qui.
03:50 Je pense qu'ils ne m'aimaient pas et qu'ils n'ont aimé aucun enfant qu'ils ont accueilli.
03:56 - Justement, tu as une anecdote d'un autre enfant scotché, je crois.
04:00 Tu peux nous raconter ?
04:01 - J'ai un souvenir d'un petit garçon qui était accueilli là-bas.
04:07 Je n'ai pas tous les souvenirs autour, mais juste ce moment où ils l'ont scotché sur un arbre avec du gros scotch.
04:14 Et en fait, ça les amusait.
04:16 Et je n'ai plus la suite autour.
04:18 Je n'ai aucun souvenir de ce qui s'est passé après, à côté.
04:21 Mais j'ai cette image où, oui, ils l'ont scotché avec du gros scotch autour.
04:24 Et il était petit. On avait presque le même âge.
04:26 On devait avoir 8 ans, 7, 8 ans.
04:29 - Il y a une autre anecdote aussi avec une fille plus âgée que toi que tu admirais beaucoup.
04:33 - Oui, alors cette fille était là pas longtemps.
04:38 On était à table et je voyais qu'elle n'allait pas bien.
04:43 Ça se voyait, elle était beaucoup plus grande que moi.
04:45 Elle devait avoir 16 ans.
04:46 Je remarquais qu'elle n'allait vraiment pas bien et je l'ai vue partir avec un couteau dans les mains.
04:50 Et sur le coup, je sais qu'un couteau, ce n'est pas bien, mais on ne sait pas trop comment réagir.
04:56 Et je l'ai vue, son fils, revenir avec cette fille, avec les veines ouvertes.
05:02 Et donc, la situation est vraiment triste.
05:05 Mais ce qui m'a marquée, c'est qu'ils ont bien réagi.
05:09 Ils ont appelé les pompiers et lorsqu'il a tené, cette fille a craché sur le visage de la famille d'accueil.
05:14 Et c'est peut-être bête, mais pour moi, je la voyais comme, mais elle a de la force, elle a fait ça.
05:19 Et moi, j'ai 7 ans, je ne peux rien faire.
05:21 Et elle, elle a fait ça.
05:22 Après, je ne l'ai plus jamais revue, mais ça m'a marquée parce que je me suis dit, il faut avoir une force énorme pour pouvoir faire ça.
05:28 - Justement, à 7 ans, vous avez eu une opération du coeur.
05:32 - Oui, je suis née avec une malformation cardiaque.
05:35 Et donc, j'ai dû venir à Paris me faire opérer.
05:39 Et je suis...
05:40 On m'a déposée en taxi, donc ma famille d'accueil est venue avec moi en taxi.
05:44 Et ils m'ont juste déposée.
05:46 Et ils sont repartis.
05:48 - Quoi, quoi, à 7 ans, vous êtes partie faire l'opération toute seule ?
05:50 - Oui, à Paris, toute seule.
05:52 Ils ont juste déposé mes affaires et ils sont repartis.
05:55 Ils sont repartis et je suis restée un mois, toute seule.
05:59 Et heureusement qu'il y avait l'équipe médicale qui était présente parce que j'étais toute seule.
06:04 - Ça va mieux aujourd'hui ?
06:07 Vous avez eu une opération récemment, je crois.
06:09 - J'ai été opérer une deuxième fois à 17 ans.
06:11 Ça va mieux en ce moment, mais ça revient.
06:15 C'est pas guéri à 100%.
06:18 C'est...
06:20 Ça va revenir.
06:22 Je sais que je vais devoir me refaire opérer.
06:24 Je ne sais pas quand, mais prochainement.
06:27 - Aujourd'hui, vous êtes...
06:28 Après, à l'âge de 10 ans, comme vous l'avez dit, vous êtes donc envoyée dans une nouvelle famille.
06:31 - Oui.
06:32 - Et avec eux, ça se passait bien ?
06:33 - Alors, dans cette famille, c'était complètement différent.
06:37 Je suis arrivée de mes 10 ans jusqu'à mes 17 ans et demi.
06:40 Je n'ai eu aucune violence.
06:43 Après, c'est toujours difficile de trouver sa place dans une famille d'accueil,
06:46 surtout après ce que j'avais vécu avant.
06:48 Donc, c'est très bien passé.
06:50 Je pense que je me suis sentie vraiment épanouie à partir du moment où j'ai eu mon indépendance,
06:56 presque à mes 18 ans.
06:57 J'ai été prise en charge ensuite par une association à mes 17 ans
07:02 et ils m'ont aidée à avoir un logement.
07:04 - Audace. - Audace, c'est ça.
07:06 Je remercie beaucoup les éducatrices parce que...
07:08 - Bravo, bravo.
07:09 Et il paraît que grâce à ton témoignage, à votre témoignage, un enfant a été sauvé.
07:14 - Oui, alors...
07:15 Avec mon placement dans ma première famille d'accueil.
07:21 - Oui, c'est ça.
07:22 - Oui.
07:23 Alors, le petit garçon qui a été scotché autour de l'arbre.
07:28 Lorsque je suis arrivée dans ma deuxième famille d'accueil,
07:31 j'ai averti tout de suite qu'il y avait ce petit garçon qui était encore là-bas.
07:37 Donc, les services sociaux sont intervenus à l'improviste dans cette famille.
07:41 Et on a enlevé...
07:43 On remarquait que ça se passait mal et on a enlevé le petit garçon.
07:46 La famille d'accueil n'a plus le droit de travailler pour l'Aide sociale à l'enfance du Pas-de-Calais,
07:51 mais ont pu retravailler, donc ils ont déménagé dans le Nord et ont pu retravailler pour le Nord.
07:56 - Ils ont juste déplacé.
07:59 - Ils ont déplacé.
08:00 - C'est pour l'argent.
08:01 - Non, mais c'est fou.
08:02 C'est incroyable cette histoire.
08:05 Oui, Gilles, très vite.
08:05 - Il y a quelque chose qui me sidère.
08:07 J'ai discuté avec Nadia, j'en tremble, j'en tremble.
08:11 Nadia, elle va mieux.
08:14 Récemment, elle a voulu porter plainte.
08:15 Elle a été portée plainte.
08:17 - Bien sûr.
08:18 - Que ces gens soient sanctionnés.
08:20 Et pour tous les jeunes aussi qui sont des enfants martyrés, victimes de ces bourreaux d'enfants.
08:23 Elle va porter plainte.
08:25 Les gens qui la reçoivent cherchent et disent "Oh là là, mais ça, c'est rien, c'est un délit.
08:31 Délit, c'est six ans pour porter plainte, c'est prescrit.
08:34 Vous ne pouvez pas porter plainte.
08:36 C'est doublement scandaleux parce que la prescription ne joue pas a priori.
08:40 On a le droit de porter plainte, donc on va y retourner, porter plainte.
08:43 Vous allez de nouveau aller porter plainte.
08:44 Ce qui s'est passé est inadmissible.
08:46 D'autre part, il n'y a pas de prescription parce que pour moi là, on est dans des tortures et actes de barbarie sur mineurs, vu ce qu'elle raconte.
08:54 Et ça, c'est 20 ans pour prescrire.
08:57 Et ces gens-là, ils risquent 30 ans.
08:58 Donc la manière dont elle a été traitée après tout ce qu'elle a vécu par les autorités, c'est abominable.
09:05 Pour moi, c'est une deuxième blessure qu'on lui inflige.
09:08 Quand elle m'a raconté ça, j'ai dit "Mais Nadia, ce n'est pas possible.
09:11 C'est impossible ce qu'on vous a fait."
09:13 Comme vous dites souvent Cyril, on marche sur la tête.
09:15 - Mais là, c'est...
09:17 - Il faut un avocat qui s'en part de tout.
09:18 - Voilà, il faut que vous soyez entendu.
09:20 - Nadia, si on peut vous aider là-dessus, ce serait avec plaisir.
09:24 - Si on peut vous aider, la production et moi-même, avec un avocat qui peut vous aider là-dessus, parce que c'est vraiment important et il faut qu'on soit à vos côtés.
09:33 Et si vous avez besoin d'aide, on sera bien sûr là pour vous aider, pour faire les démarches avec vous.
09:38 Et vous aider, parce qu'on sait que ce n'est pas évident et que ça coûte énormément d'argent.
09:42 - Merci beaucoup.
09:44 - Vous nous direz après, on vous mettra en contact.
09:45 On a votre numéro, mais on aimerait bien le faire et assez rapidement.
09:49 Parce que je pense vraiment que c'est, comme a dit Gilles, une deuxième blessure.
09:52 Et surtout, ce qui est grave, c'est qu'on pense aux autres enfants et c'est ce que vous pensez actuellement.
09:58 - Ils sont encore familles d'accueil là aujourd'hui ou pas ?
10:01 - J'ai su il n'y a pas très longtemps qu'ils ne travaillaient plus.
10:05 Mais après moi, ils ont eu des nourrissons.
10:08 Ils ont eu ensuite des ados.
10:10 Et après, les ados, forcément, ça ne se laisse pas faire.
10:13 Donc, il y a eu des plaintes contre eux.
10:14 Les ados ont déposé des plaintes, mais qui ont été laissées sans suite.
10:17 Et ensuite, une personne de leur famille est revenue vers moi il y a quelques années.
10:23 Et elle m'a dit, est-ce que si on te contacte pour témoigner, tu y vas ?
10:27 Moi, je lui ai répondu, oui, même si c'est ta famille.
10:31 Moi, si on me contacte, je vais y aller.
10:32 Après, à cette période, je n'étais pas encore assez prête pour me lancer toute seule.
10:36 Je n'étais pas encore bien pour le faire.
10:40 Et on ne m'a jamais contacté.
10:41 Et lorsque j'étais au commissariat pour déposer ma plainte la semaine dernière,
10:45 je leur ai dit qu'il y avait eu des plaintes contre eux.
10:47 Et ils m'ont dit, de toute façon, si c'était il y a plusieurs années, on ne le verra pas.
10:50 - Incroyable.
10:53 Alors, il paraît que vous avez retrouvé votre petit frère biologique grâce à un tweet.
10:58 - Oui, il y a un an, j'ai retrouvé mon petit frère.
11:03 Il a eu une chance d'adoption il y a quelques années.
11:07 Et j'ai posté un tweet.
11:09 Je me suis dit, je me lance.
11:11 Je voulais le retrouver et je voulais créer un lien avec.
11:14 Parce que moi, je n'ai pas de lien.
11:17 J'ai des frères, mais je n'ai pas de lien avec eux.
11:20 Et mon tweet a été relayé 16 000 fois en moins de 24 heures.
11:26 Et grâce à mon tweet, j'ai reçu un message de mon petit frère qui m'a écrit,
11:32 c'est moi, je suis là sous tes yeux.
11:34 Et il était très content que je l'ai retrouvé, que j'ai cherché à reprendre contact avec lui.
11:39 - C'est magique.
11:39 Vous avez des contacts avec lui maintenant, ça y est ?
11:42 - Je lui parle par message, mais des fois, je sens que ses parents,
11:46 je pense qu'ils ne sont pas prêts à ce qu'ils reprennent un lien avec un membre de sa vraie famille.
11:50 Après, moi, c'est ce que j'essaie d'expliquer, c'est que je suis dans la même situation que lui.
11:53 Au final, je n'ai juste pas été adoptée.
11:54 Moi, j'ai été tout autant séparée de ma famille que lui, en fait.
11:58 C'est juste que moi, j'ai été en famille d'accueil et lui a été adopté.
12:01 Mais je pense que sa famille adoptive a du mal à...
12:04 Je peux comprendre, ça doit faire peur de laisser son enfant reprendre contact avec sa famille.
12:08 - Et tu as des nouvelles de ta maman biologique ?
12:11 - Non, du tout.
12:12 J'ai eu des nouvelles de ma mère depuis...
12:13 - Et tes frères et tes autres frères et sœurs ?
12:15 - Je n'ai pas plus de nouvelles que ça et moi, je n'ai pas forcément envie de reprendre...
12:20 - Contact ?
12:21 - Je ne veux pas...
12:24 C'est un peu compliqué.
12:26 - Beaucoup de gens disent que vous êtes rayonnante.
12:28 - C'est vrai.
12:28 - Nadia, vraiment.
12:30 - C'est vrai.
12:30 - Vraiment.
12:31 - On a le sentiment que tu t'es reconstruite presque toute seule.
12:34 Incroyable, ton récit.
12:35 - Tu fais de quoi aujourd'hui ?
12:36 - Aujourd'hui, je suis étudiante en deuxième année de BTS,
12:40 analyse biologique et biotechnologique.
12:42 Je n'ai malheureusement pas eu mon année, donc je refais mon année.
12:45 - Pas grave.
12:46 Les années...
12:47 Voilà, moi, j'ai eu le bac à 35 ans.
12:51 - On s'en fout.
12:53 - Franchement, on s'en fout.
12:54 Mais c'est vrai, on s'en fout.
12:55 Une fois que vous...
12:56 On ne va pas vous demander à quel âge vous avez eu votre diplôme quand vous êtes en train de travailler.
13:00 - C'est vrai.
13:00 - Tranquille.
13:01 Tranquille.
13:02 Vous avez le temps.
13:03 - J'espère l'avoir cette année.
13:04 Après, si je peux passer un message en même temps, je cherche une entreprise.
13:09 Je n'ai malheureusement pas trouvé d'entreprise.
13:11 - Dans quoi ?
13:11 - En laboratoire.
13:12 - En laboratoire, c'est...
13:14 - En alternance.
13:14 Donc là, il me reste quelques jours pour m'inscrire en candidat libre.
13:17 Si je ne trouve pas d'entreprise.
13:19 - Alors, en laboratoire, je ne connais pas...
13:20 Je ne te cache pas que je ne suis pas hyper calé en labo.
13:22 Tu m'aurais dit dans l'audiovisuel, j'aurais dit, bon, peut-être, voilà,
13:26 je peux peut-être faire quelque chose.
13:27 - On peut lancer un appel.
13:28 - Mais là, voilà.
13:29 - L'appel est lancé.
13:29 - On appelle, on peut l'appeler, voilà, ou Mohamed Sanofi ou Rachid Faïzer.
13:34 Les potes, voilà, s'ils peuvent faire quelque chose, voilà.
13:39 Merci.
13:40 Ça nous ferait du bien.
13:41 Merci, en tout cas, Nadia, d'avoir été avec nous.
13:43 - Merci à vous.
13:43 - Et continuez à être régulièrement...
13:45 Nadia !
13:45 Je le dis, là, je le dis, il faut vraiment qu'on s'occupe de vous, là.
13:54 D'accord ?
13:54 Donc, on va vraiment vous aider sur ce qu'on s'est dit, parce que c'est important.
13:58 Et c'est important pour vous.
13:59 Et si c'est important pour vous, c'est important pour nous.
14:01 Et je pense que toutes les personnes qui nous regardent ont envie que, voilà,
14:05 qu'il se passe quelque chose, parce que ce n'est pas possible de laisser ça comme ça.
14:08 Merci beaucoup.
14:08 - Merci.
14:09 - Merci, Nadia.
14:09 cinétiens.