Quel sera le monde de demain ?

  • l’année dernière
Avec Maître Carlo Alberto Brusa, avocat et auteur de “Pour un lendemain sans libertés volées” publié aux éditions Guy Trédaniel.

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##LE_FAIT_DU_JOUR-2023-10-26##
Transcript
00:00 Ici Sud Radio, les français parlent au français. Je n'aime pas la blanquette de veau.
00:14 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
00:17 Midi 12 quasiment sur Sud Radio avant de présenter cette émission exceptionnelle.
00:21 Juste pour vous rappeler que l'entretien enregistré avec Jean-Marie Le Pen sera disponible sur YouTube et sur Facebook à partir de 13h en vidéo.
00:29 Donc vous pourrez voir l'interview d'André Bercov avec Jean-Marie Le Pen.
00:33 Tout de suite nous accueillons Maître Carlo Alberto Brousa, avocat et auteur de ce nouveau livre "Pour un lendemain sans liberté volée".
00:39 C'est aux éditions Guitre et Daniel et bien sûr on prend toutes vos réactions pour questionner Maître Brousa au 0826 300 300.
00:45 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
00:48 Le fait du jour.
00:49 Virus dit Renaud, connard de virus.
00:52 Mais quel dégât, quel dégât depuis 3 ans à tous points de vue et à tous les étages.
00:58 Alors justement aujourd'hui nous recevons Maître Carlo Alberto Brousa.
01:03 Alors quand j'ai annoncé que je recevais Maître Brousa, les hommes ont dit "Ah oui formidable, c'est bien, tu reçois, il a beaucoup de choses à dire et des vérités."
01:10 D'autres m'ont dit "Mais comment, il est sulfureux, il dit n'importe quoi, etc."
01:15 Je vous rappelle quelque chose et vous le savez, vous auditeurs de Sud Radio.
01:18 Ce qui est intéressant, quand des personnes ou des personnalités ou des personnages font polémique,
01:23 qu'est-ce qu'il faut faire ? Leur dire, leur mettre une étiquette et dire "Ah non non, on ne les reçoit pas ceux-là, on ne veut pas les voir."
01:28 Ou on dit "On les écoute."
01:30 Et puis on se fait son opinion.
01:32 Et bien je crois que la seconde solution me paraît la solution la plus...
01:36 Je dirais non seulement la plus démocratique mais la plus de bon sens.
01:39 Vous savez dans quel pays et dans quel régime on fait taire les opposants ?
01:43 Et bien nous on ne fait taire personne.
01:46 Carlo Alberto Brousa, bonjour.
01:48 Alors vous venez de sortir ce livre "Pour un lendemain sans liberté volée" et vous êtes connu depuis déjà quelques années.
01:55 D'abord vous étiez connu, je ne savais pas, j'avoue, je ne savais pas que vous étiez l'avocat des footballeurs.
02:01 Alors je vois, vous avez conseillé Franck Ribéry, Zinedine Zidane, Didier Deschamps et beaucoup d'autres.
02:06 Qu'est-ce qui vous a amené juste une question comme ça au sport et à...
02:09 Je suis tombé dans le chaudron parce que vous m'avez présenté un premier client et puis au fur et à mesure,
02:13 ça a été du bouche à oreille.
02:15 Vous avez travaillé énormément mais surtout ça a été l'affaire Ribéry, dans le cas Zaya, je l'ai défendu et nous avons gagné.
02:21 Il a été relaxé et ça a été quand même un événement très important parce que tout le monde se demandait comment se fait-il
02:26 qu'au lieu de prendre des grands ponts c'est Brousa qui défend Ribéry et ça a marché parce que
02:31 une chose c'est faire des sketchs et autre chose c'est faire l'avocat et travailler les dossiers.
02:35 C'est vrai, c'est vrai, c'est pas tout à fait la même chose, vous avez raison.
02:38 Et puis alors, vous êtes surtout connu depuis quelques années pour votre combat
02:42 depuis que s'est déclenchée effectivement la pandémie, qu'on appelle la pandémie du SARS-CoV-19
02:48 et vous avez fondé le collectif Réaction 19, on en parlera.
02:51 Mais qu'est-ce qui a amené vous dire "écoutez, il y a quelque chose qui ne va pas dans cette histoire,
02:56 vous n'êtes pas le seul bien sûr, les médecins l'ont dit, mais vous, vous avez pris position, position publique
03:02 et vous êtes battu là-dessus".
03:04 Alors, qu'est-ce qui a déclenché chez vous le sentiment que quelque chose n'allait pas ?
03:09 - Moi j'ai réagi en tant que juriste, je ne suis ni médecin, ni sociologue
03:13 et en tant que juriste, la chose qui m'avait choqué, c'est lorsque je vois un président
03:17 qui va annoncer un confinement, qui va décider à l'affirmement de toute la population française
03:23 nous sommes le 16 mars 2020, et en tant que connaisseur du droit, je me dis
03:28 comment se fait-il que le président puisse prendre une telle décision ?
03:31 Une décision qui n'a pas de fondement, parce qu'à un moment donné on est dans un état de droit
03:35 il y a des pouvoirs, il y a ce qu'on appelle l'état d'urgence, mais l'état d'urgence il n'existe pas en matière sanitaire
03:40 il existait en matière de défense, de guerre, etc.
03:43 - Ah oui, l'état d'urgence n'existe pas en matière sanitaire ?
03:46 - Non, il n'existe pas, il a été introduit, ça a été la loi du 23 mars 2020
03:51 avec le décret du 24 mars, qui était le mécanisme, mais même quand le décret du 16 mars
03:56 a été pris pour confiner, est un décret totalement illégal, dépourvu de tout pouvoir
04:01 c'est-à-dire qu'on ne peut pas, l'exécutif ne peut pas décider par un décret de confiner la population entière
04:07 et en effet c'est pour ça qu'il a fallu prendre la loi du 23 mars, le décret du 24 mars
04:12 pour ensuite tenter de construire une sorte d'état de droit pour mettre en place
04:17 des mesures qui étaient totalement liberticides
04:20 c'est-à-dire qu'en tant qu'avocat, ou en tant que juriste, je regarde sur l'œil et je dis
04:23 je suis en France, pays des droits de l'homme, j'ai quitté l'Italie pour être ici
04:27 dans ce pays qui est un phare de l'humanité, et je découvre que toutes les libertés
04:31 essentielles, la liberté d'expression, la liberté d'opinion, la liberté, parce qu'on en est vraiment là
04:36 parce que les siècles qu'il y a avec ont été terribles, ensuite vous avez la liberté de manifester
04:40 la liberté d'aller venir, toutes les libertés de la déclaration de l'ordre de l'homme
04:44 bloquées du jour au lendemain pour quelque chose, que théoriquement, quelques semaines avant
04:48 on disait "mais il n'y a pas de problème, nous en France on a des frontières"
04:51 c'est exactement la même chose du nuage de Tchernobyl, il s'était arrêté à Strasbourg
04:55 on a franchi au final. - Oui, et puis on n'avait pas besoin de masques, on n'avait pas besoin
04:59 de gants, on n'avait pas besoin de tenues, mais juste un mot, on peut vous répondre
05:03 enfin je me fais l'avocat du gouvernement, en l'occurrence on peut dire
05:07 "mais attendez, c'est une pandémie, on risque d'avoir des millions de morts, ou des centaines
05:11 de milliers de morts, il faut bien se défendre, si on confine c'est parce que
05:15 justement si tout le monde peut circuler n'importe comment, n'importe quoi, ça va être terrible"
05:19 - Oui, mais c'est une mesure très archaïque, et quand on est en face, on est dans un pays
05:24 qui est un pays très connu dans la pharmacovigilance, un pays connu aussi
05:28 en termes de création de médicaments, et des informations parviennent tout de suite
05:32 parce que, n'oublions pas que la déclaration de pandémie est faite le 30 janvier
05:36 par l'OMS, donc déjà le temps s'écoule, et on voit
05:40 - 30 janvier OMS - 30 janvier c'est l'OMS, donc en réalité, quand nous décidons de confiner
05:44 quand l'exécutif décide de confiner, nous sommes déjà à presque 3 mois
05:48 donc ça veut dire qu'il y a eu largement le temps, et quand on sait que tout de suite on commence à parler
05:52 de vaccins, on commence à parler de l'inutilité
05:56 des médicaments, alors que très vite, je rappellerai que même dès le mois de mars
06:00 le professeur Raoul va se prononcer en parlant tout de suite, pourquoi ? Parce qu'il est au courant
06:04 il a travaillé avec les chinois, il sait qu'il y a des infections, il sait qu'il n'y s'agit pas simplement
06:08 - C'est vrai, mais nous ne sommes pas médecins, ni vous ni moi, alors Raoul est aussi contesté
06:13 - Mais moi en tant que juriste, je dis indépendamment de tout, je cherche
06:17 le fondement légal qui permet de pouvoir dire "je viole tous les règles"
06:21 des droits de l'homme, et je viole aussi la convention européenne de sauvegarde
06:25 de droits de l'homme, parce que je vous rappelle que quasiment les mêmes dispositions de notre constitution
06:29 de notre bloc de constitutionnalité, on les a, et comme par hasard
06:33 vous n'avez aucune notification de suspension, parce qu'il y a un texte
06:37 à l'article 16 de la convention européenne de sauvegarde, qui impose à chaque
06:41 état qui ne veut plus appliquer les règles de la convention, de les notifier au secrétariat
06:45 chose que la France n'a jamais été faite, ça veut dire que nous sommes dépourvus
06:49 de tout fondement légal, on brise les règles constitutionnelles
06:53 - Donc vous dites que le confinement est absolument en dehors des lois ?
06:57 - Absolument, le confinement est une violation claire, d'ailleurs après on a
07:01 la reconnaissance scientifique et médicale, mais moi en tant que juriste, en raisonnant
07:05 en tant que juriste, je pense avoir été parmi les premiers, à dire "attention
07:09 je vous alerte, ce n'est pas possible", et puis il y a une chose qui me choquait, c'est que parmi
07:13 toutes les libertés, la seule qui n'était pas remise en cause, était la liberté d'association
07:17 - Et alors là je dis pourquoi ? - Pour une raison très simple
07:21 tous les partis politiques sont des associations, ça veut dire
07:25 que si on avait interdit l'activité associative, on aurait empêché même l'activité
07:29 politique, et c'est pour ça qu'au fond, au début j'ai créé l'association
07:33 Réaction 19 en ne pensant pas du tout que je vais avoir presque 100 000 personnes
07:37 ou 100 000 personnes à un moment donné, je le fais parce que je vais utiliser ce trou de souris pour pouvoir m'exprimer
07:41 et utiliser même le moyen, quand par exemple je me déplaçais en époque de confinement
07:45 ou en époque de couvre-feu, je me déplaçais
07:49 je me rappelle à Aurillac, je suis attendu à la sortie de l'autoroute
07:53 - Vous êtes déplacé tout le temps pendant le confinement ? - Bien sûr, avec les policiers, les gendarmes
07:57 et moi je dis "tiens, c'est un go fast"
08:01 il n'y a personne dans l'autoroute, et je suis tout seul, ils me disent "mais qu'est-ce que vous faites là, vous savez qu'il y a
08:05 couvre-feu et tout ?" je dis "non, je suis président d'une association"
08:09 déjà ils savaient, parce qu'avec la plaque, ils savaient déjà qui j'étais, et après
08:13 - Bien sûr, vous avez le droit de circuler - Bien sûr, je n'avais aucun problème, ils ne pouvaient pas m'empêcher en tant que président d'une association
08:17 d'aller rejoindre mes acolytes, parce qu'ils ne pouvaient pas
08:21 m'empêcher de me réunir, j'ai eu réunion avec mes adhérents, effectivement
08:25 je suis passé, je n'ai jamais eu un PV, j'ai voyagé partout
08:29 je voyageais dans le train, en utilisant simplement le fait, on était
08:33 rassemblement interdiction de dépasser les 6 personnes, on est à Cannes
08:37 avec un groupe, il y a la gendarmerie, les rassemblements généraux qui arrivent, "bonjour, qu'est-ce que vous faites là ?"
08:41 "on est en train de fêter la première année de RAC 119" "ah mais vous ne pouvez pas le faire, vous avez vu combien vous êtes ?"
08:45 alors il y avait les adhérents de la cour d'assur qui étaient là, mais j'ai dit "non, on est réunion"
08:49 "association et tout", alors téléphone, panique, et après
08:53 c'était drôle parce que le commandant de gendarmerie qui était là, il n'a pas suivi, il a mangé des gâteaux avec nous
08:57 et il a compté discuter parce qu'au fond, voilà, il y a des choses qui sont même anecdotiques
09:01 pour faire comprendre qu'on était dans le paradoxe - On aurait dû créer une association
09:05 c'est dommage - Bien sûr, mais vous savez, quand je conseillais les restaurants de faire l'association
09:09 il y a eu aussi un théâtre, le théâtre de vent à Avignon, qui était sous forme associative
09:13 il y avait les camions de CRS, et Francis Lalanne allait jouer
09:17 au théâtre de vent, mais tout le monde qui était présent était des sociétaires
09:21 donc ça veut dire qu'ils pouvaient fermer, mais non, c'était une association qui se réunissait
09:25 et les restaurants, certains restaient ouverts - Il y avait des trous dans la raquette
09:29 - C'était un trou - C'est ça, et dans lequel vous vous êtes engouffré, on comprend
09:33 - C'est ça faire du droit - Eh oui, bien sûr - Ce n'est pas la loi, les gens confondent souvent
09:37 la loi et le droit - La différence c'est quoi alors ?
09:41 - Le droit c'est l'ensemble des règles qui régissent la vie en société, et quand on parle d'ensemble
09:45 de règles, au fond, c'est aussi la perception, le raisonnement, la manière
09:49 dont on va, la logique, etc. Le droit, c'est une des choses les plus complexes
09:53 La loi est une source normative, c'est-à-dire que la loi est celle qui est votée par le Parlement
09:57 et beaucoup disent "moi aussi", pour parler d'un règlement qui est pris par le gouvernement
10:01 c'est-à-dire que c'est normalement souvent la règle écrite, c'est pour ça que souvent
10:05 l'exécutif dit au juge "vous ne devez qu'appliquer la loi"
10:09 parce qu'en réalité, quand le juge s'érige un créateur de règles
10:13 qui n'est pas exactement ce qu'il a inscrit, ça fait peur, ça fait penser à la Révolution française
10:17 Donc le droit en réalité, il englobe, c'est pour ça qu'on a un contrôle
10:21 de constitutionnalité qui se fait par le droit
10:25 et c'est pour ça que les gens quand ils disent "la loi", non mais la loi n'est pas ennuyeuse
10:29 - Et la loi peut changer - La loi peut changer, mais en réalité, même le droit
10:33 peut changer, parce que le droit est parfois le reflet d'un État. Quand vous aviez les femmes
10:37 qui prenaient des scènes nues, étaient punies parce que c'était outrage public
10:41 à la poudre, et c'est en 1982 que effectivement la loi a été changée
10:45 est-ce que la loi était juste avant et pas juste après ? - Après, oui
10:49 - Voilà, c'est toutes les problématiques de cette compréhension - Donc, et à votre avis
10:53 justement, et sur le plan qui nous occupe ici, votre métier
10:57 votre vocation, il y a eu énormément
11:01 de ruptures, de règlements, de ruptures de légalité
11:05 dans cette phase du Covid qu'on connaît maintenant depuis 3 ans
11:09 - Absolument, parce qu'il y a un problème
11:13 il y a quelque chose qui a été rédhibitoire dans notre affaire, et c'est la vaccination
11:17 Moi je ne suis pas anti-vax, mes enfants, je les ai vaccinés
11:21 par l'obligation légale pour aller à l'école, donc le mot anti-vax c'est quelqu'un qui se positionne
11:25 en disant "je suis contre" - Oui, je suis contre - Je ne suis pas contre la science - Moi non plus
11:29 - Je ne suis pas contre les médecines, moi aussi j'ai pris des médicaments, j'ai 4 stentes, je prends des statines
11:33 pour vivre, parce qu'aujourd'hui je n'ai jamais dit "Aro, je défends des médecins
11:37 j'ai défendu des médecins qui ont eu des problèmes dans le cadre" donc me présenter
11:41 comme quelqu'un de complotiste, non, je suis quelqu'un qui tente d'utiliser
11:45 le droit, la science juridique, pour comprendre. Sous la question
11:49 de la vaccination, par exemple, on a vendu en disant "magnifique
11:53 la vaccination, merci", on a même le conseil de l'Europe qui remercie tous les scientifiques
11:57 pour leur résolution, etc. Le problème qui se pose, est-ce que ce sont des vaccins ?
12:01 Le juriste arrive, voyez, quasiment au même résultat
12:05 que certains médecins - Que certains médecins qui posent la question - Pourquoi ? Parce que le juriste a des règles
12:09 il va chercher, je vais chercher la majeure, je vais chercher la définition des vaccins
12:13 et une définition qui n'existe pas en droit français - Ah bon ? - Non,
12:17 en droit français - Il n'y a pas de définition du vaccin en français - Vous n'avez aucune définition
12:21 de vaccin en droit français, et la définition de vaccin vous la trouvez dans une directive
12:25 européenne, et c'est pour ça que je prends la directive, qui ensuite
12:29 a évolué, mais la directive dit "c'est un produit médical qui a pour finalité
12:33 de avoir une fonction préventive", c'est-à-dire de
12:37 protéger la personne contre un virus et d'empêcher la transmission.
12:41 Ce sont les deux critères essentiels qui étaient les critères.
12:45 Quand on sait, et on le sait très tôt, on le sait très tôt, que
12:49 le vaccin ne protège pas, et le vaccin n'empêche pas la transmission.
12:53 - Alors quand vous dites, juste je vous arrête un moment,
12:57 Maître Broussard, j'allais dire Docteur Broussard, c'est intéressant comme lapsus,
13:01 quand vous dites, effectivement on l'a su très tôt, vous avez vu hier même
13:05 le professeur Jean-François Delphrécy, ancien président du conseil scientifique,
13:09 aujourd'hui conseil d'éthique, a dit "oui mais nous on pensait que, ah aujourd'hui on sait
13:13 on sait tromper, effectivement il n'empêche pas la transmission", on parlera des formes graves
13:17 après. Donc vous vous dites, il le savait, pas lui seulement, mais
13:21 depuis longtemps. - Mais bien sûr, vous prenez le conseil d'État, décision du mois de mars
13:25 2021, un petit monsieur de 87 ans qui se fait vacciner,
13:29 il court vite devant le conseil d'État pour dire "je veux sortir"
13:33 sans masque, parce que je suis vacciné. Et le conseil d'État
13:37 dans la décision, en répondant aux arguments du ministère de la Santé, va dire "non monsieur,
13:41 vous êtes vacciné, mais malheureusement ça ne protège pas et ça n'empêche pas la transmission".
13:45 - Mars 2021 ? - Mars 2021, mais j'irai beaucoup plus loin. Vous avez une décision
13:49 très importante, qui a été rendue par la
13:53 Supreme Court of New York, qui est là,
13:57 traduite, 24 octobre 2022.
14:01 - 24 octobre 2022 ? - Oui, je parle de cette décision, mais qui ne fait que
14:05 confirmer, parce qu'elle statue sur une demande de
14:09 interdiction pour les gens qui ne sont pas vaccinés. - Ah oui. - Il dit "non,
14:13 on sait depuis", et il se réfère à 2021, au début 2021,
14:17 que ça ne protège pas et ça n'empêche pas la transmission. Donc, on ne peut pas
14:21 différencier le nom "vacciné", "vacciné". Vous avez une décision, rendue encore
14:25 récemment, en Italie, dans laquelle le juge de l'Aquila dit exactement la
14:29 même chose. On sait. Mais aujourd'hui, quand on a sorti du
14:33 chapeau, et ça c'est très important, et là les juristes ne parlent pas en tant que médecin,
14:37 ça protège contre les formes graves. - Oui, je le dis encore,
14:41 Del Freyci dit "au moins, on peut le dire, on peut l'affirmer, que ça protège
14:45 contre les formes graves". - Mais ce n'est pas une définition de vaccin.
14:49 Un médicament peut protéger contre les formes graves de quelque chose.
14:53 Il peut atténuer, mais ce n'est pas un vaccin. Le vaccin que vous faites, quand
14:57 vous allez éviter la diphtérie, d'autres maladies, - La poliomyelite,
15:01 le tetanos, etc. - C'est pour empêcher. Après, bien sûr, vous n'aurez jamais peut-être un vaccin
15:05 qui va vous protéger à 5%, il y aura 99. Il y en a un par moins, qu'on ne peut
15:09 pas raconter des barres. Mais ce que nous disions, M. Bekoff,
15:13 et je le dis à tout le monde, parce que c'est une bonne occasion, Pfizer le
15:17 savait. Pfizer le savait. - Alors, on va en parler,
15:21 justement, on va parler des contrats, etc. juste après cette petite pause.
15:25 A tout de suite, et on est avec M. Carlo Alberto Brusa. - Avec M. Brusa
15:29 et avec vous, au 0826 300 300, vous êtes nombreux à réagir sur le
15:33 Facebook et sur le Youtube. A tout de suite, sur Sud Radio. - 12h30 sur Sud Radio, on est toujours
15:37 dans ce filet du jour exceptionnel avec M. Carlo Alberto Brusa, qui vient nous voir pour ce nouveau
15:41 livre "Pour un lendemain, sans liberté volée", c'est aux éditions Guitre et Daniel. - Alors, justement,
15:45 Carlo Alberto Brusa, on parlait de ses rapports,
15:49 on parlait des vaccins, et vous dites "mais c'est Pfizer lui-même qui dit
15:53 ce n'est pas un vaccin". Et vous avez preuve à l'appui, vous avez
15:57 le rapport, je le rappelle, c'est intéressant, ce n'est pas le rapport qui est signé
16:01 avec l'Union Européenne, mais le rapport que Pfizer a signé avec
16:05 l'Afrique du Sud, c'est bien ça. - C'est le contrat. - Le contrat, pardon, le contrat de vente.
16:09 Oui, ce n'est pas le rapport, bien sûr, c'est le contrat de vente, qui date de... - 30 mars
16:13 2021. - Voilà. Et alors, on ne va pas lire ce rapport
16:17 complètement, mais il est en son intégralité, mais il y a quelques phrases
16:21 qui sont assez parlantes, dites-nous. - Alors, il y a un élément
16:25 que je me permets de rappeler, c'est quand même un pays comme l'Afrique du Sud
16:29 qui a permis d'avoir connaissance de la
16:33 forme des contrats que presque tout le monde a signé. - Oui.
16:37 Et les éléments que nous avons, j'ai eu le contrat. - Vous voulez dire que, pardon, le contrat de l'Afrique du Sud
16:41 ressemble beaucoup à ce... - C'est un contrat pro-format. - Un contrat pro-format, en réalité.
16:45 Donc l'Union Européenne a signé pratiquement les mêmes... - J'ai la preuve avec l'Albanie,
16:49 quelques mois après, c'est exactement les mêmes textes. - C'est le même, d'accord. - Et la chose importante,
16:53 c'est que la Cour de Pretoria, après avoir eu un collectif de médecins, etc.,
16:57 qui demandent la transparence, publie, demande, fait injonction
17:01 sous astreinte à l'État soud-africain de publier
17:05 le contrat. Or, je rappelle à tout le monde, qu'il y avait une clause de confidentialité
17:09 qui était insérée dans tous les contrats. Par exemple, le CABEP,
17:13 le Canada, a refusé la publication des contrats, parce que
17:17 la directrice de Pfizer a dit "si vous publiez le contrat, faites attention,
17:21 ça pourra remettre en cause notre capacité à commercialiser avec vous,
17:25 risque même d'enlever les usines". Donc on a utilisé le chantage. Je rappelle à tout le monde
17:29 que l'Union Européenne, on a permis à quelques députés de l'Union Européenne
17:33 de se rendre dans une pièce fermée, sans téléphone, sans crayon, pour aller
17:37 regarder des contrats qui en plus étaient biffés. - Michel Rivasi et Virginie Jouan,
17:41 pour ne citer qu'elles, nous l'ont dit. - Absolument. Et ils n'ont pas pu rapporter
17:45 grand-chose, parce que la plupart du contrat était biffé. Maintenant, on a ici le contrat.
17:49 Il est publié, c'est le contrat que je récupérais de la
17:53 Cour de Pretoria, de la publication, qui est mis sur le site,
17:57 et là, il y a une clause, qui est une clause extraordinaire. C'est l'article 5.5
18:01 de ce contrat, qu'on retrouve aussi dans le même draft, dans le même projet de contrat
18:05 du 30 mai avec l'Albanie, dans lequel il dit
18:09 "C'est Pfizer qui demande à l'acheteur..." - C'est Pfizer, c'est un contrat ?
18:13 - C'est une clause contratuelle, qui dit "L'acheteur
18:17 reconnaît que le vaccin et les matériaux liés
18:21 au vaccin, ainsi que leurs composants et matériaux constitutifs
18:25 sont en cours de développement." - Déjà c'est...
18:29 - C'est déjà très intéressant. - Oui, bien sûr. - Et que, à raison
18:33 de circonstances d'urgence de la pandémie de Covid-19,
18:37 je rappelle que nous sommes au mois de mars 2021, la déclaration de pandémie
18:41 était faite le 30 janvier, et que Pfizer déclare avoir déjà son vaccin
18:45 le 10 juillet, avec une publication faite par Biontech,
18:49 dans un communiqué de presse, avec la convention qui était scrite avec l'FDA.
18:53 Je continue. Et continuerons d'être étudiés, après la fourniture
18:57 du vaccin à l'acheteur, en vertu du présent accord. Et maintenant,
19:01 l'acheteur... - Attendez, juste redites cette phrase, vous dites que
19:05 les conditions... - Oui. - Non, vous dites que
19:09 les études ne sont pas achevées. - Absolument, et continueront d'être
19:13 étudiées. - Donc, oui, les études ne sont pas achevées et continueront d'être étudiées.
19:17 - D'accord. - C'est quand même extraordinaire. - Après la livraison des vaccins. - Oui, après la livraison.
19:21 - D'accord. - Je sais que ça va. - La fourniture du vaccin en vertu du... Et là, il y a la
19:25 phrase incroyable. "L'acheteur reconnaît en outre
19:29 que les effets à long terme et l'efficacité
19:33 du vaccin ne sont pas connus
19:37 à l'heure actuelle. Et qu'il peut y avoir des effets
19:41 indésirables du vaccin qui ne sont pas
19:45 connus à l'heure actuelle. En outre, dans la mesure où cela
19:49 est applicable, l'acheteur reconnaît que le produit ne sera pas sérialisé."
19:53 C'est une phrase technique. Mais ce qui compte, c'est un
19:57 méconnaissance des effets à long terme. Méconnaissance à l'heure actuelle,
20:01 nous sommes le 30 mars 2021, sur l'efficacité et
20:05 méconnaissance des effets indésirables. M. Bercoff, et je le dis à tous
20:09 vos auditeurs et tous les spectateurs, en même temps, le 30 mars
20:13 2021, avec un jour de décalage, le journal
20:17 Le Monde, comme les autres journaux de France et de Navarre,
20:21 affirme que l'Union Européenne a reçu plus de 100 millions de doses
20:25 de vaccins, la Covid-19 sur l'ensemble.
20:29 Covid-19, Pfizer et BioNTech affirment que leur vaccin est efficace
20:33 à 100% chez les 12-15 ans.
20:37 - Dans Le Monde, donc le lendemain... - Le lendemain !
20:41 On a quelqu'un qui achète une tondeuse, et qui dit "je reconnais
20:45 que j'achète une tondeuse, mais je ne sais pas si je pourrais tondre mon jardin"
20:49 - Et si le tondre revient efficacement... - Et de l'autre côté, on dit "nous vendons
20:53 des tondeuses magnifiques qui tondent la pelouse". Voilà. Maintenant,
20:57 moi je suis juriste, ça c'est pas du complotisme. C'est une chose qui ne peut
21:01 que faire comprendre que nous sommes dans une tromperie, parce que juridiquement
21:05 parlant, ça s'appelle une tromperie. Et la force
21:09 de Pfizer, c'est qu'ils espéraient que ce contrat... Pourquoi Pfizer s'est battu
21:13 pour que ce contrat ne soit pas publié ? Parce qu'ils savaient qu'avec la publication
21:17 tout allait se révéler. Parce que quand vous parlez de la clause d'irresponsabilité
21:21 c'est une autoclause exorbitante. Alors beaucoup de professeurs de droit
21:25 ont dit "mais non, c'est des clauses qu'on trouve classiques". - Non mais la clause d'irresponsabilité
21:29 hallucinante, ça on le sait. - Non mais quand on a les deux, quand on a quelqu'un qui dit "je ne sais pas
21:33 ce que je te vends, mais je te le vends quand même, et
21:37 s'il y a des effets secondaires, je ne suis pas responsable". - Et alors là, c'est quelque chose d'exceptionnel.
21:41 Parce que les effets secondaires, on ne les sait pas. Alors il y a
21:45 beaucoup de professeurs qui ont tenté. Maintenant, regardons
21:49 la chose et la réalité actuelle. Une chose très simple.
21:53 Regardez comment fonctionne. Quand je me suis battu pour dire "les vaccins
21:57 que vous avez mis sont des vaccins qui sont expérimentaux, etc.", j'ai attaqué
22:01 y compris l'Agence Nationale de Sécurité des Médicaments, et le Vidal je me suis fait
22:05 condamné, il a fallu aller en appel, et aujourd'hui, quand le Vidal
22:09 disait "mais non, moi j'ai inscrit toutes les choses qui sont vraies", le Vidal aujourd'hui,
22:13 qu'est-ce qu'on trouve ? Je vous le dis ? Et les gens doivent le savoir
22:17 parce que quand on fait la campagne de vaccination, et qu'on dit "tout va bien, ils sont sûrs à 100%",
22:21 il suffit d'ouvrir le Vidal, "a comirnati, comirnati",
22:25 parce que je dis à tout le monde qu'aujourd'hui, le seul vaccin quasiment utilisé
22:29 est le vaccin Pfizer. Le Moderna est un ARN.
22:33 - Le Vidal date de quand ? - C'est la dernière publication.
22:37 - La dernière publication. D'accord. Et ils disent ? - "Il existe un risque
22:41 accru de myocardite et de péricardite après vaccination par comirnati".
22:45 - Nous en avons parlé, ça. - Oui, mais on va recouter. "Les données disponibles indiquent
22:49 que la plupart des cas se sont résolus, certains cas ont nécessité
22:53 un seuil médical intensif, et un cas et des cas
22:57 d'issue fatale ont été observés". - Ouais.
23:01 - Attention, c'est ce qui est écrit par le Vidal, alors que quand vous avez
23:05 des mots qui sont encore plus forts, dans la note
23:09 "comirnati annexe 1" de son propre vaccin,
23:13 il n'utilise pas le mot "fatale", parce que le mot "fatale" ça fait penser à fatalité. Et les gens, quand ils pensent
23:17 à fatalité, ils pensent à quelque chose qui peut ne pas arriver. Pas du tout.
23:21 Le mot "fatale", en étymologie, veut dire "quelque chose qui va arriver inéluctablement".
23:25 - Ouais, et puis ils pensent à la mort. - Absolument. - Bien sûr. - Monsieur Berkhoff,
23:29 vous venez de mettre le point fondamental. Écoutez,
23:33 c'est la différence du Vidal, ça c'est le "annexe 1"
23:37 tiré de Pfizer, le mot d'emploi qui est annexé,
23:41 après avoir reçu l'agrément. Point très important. La plupart des cas
23:45 de myocardite et de péricardite se rétablissent. Dans certains cas, des soins intensifs
23:49 ont été nécessaires, et des cas mortels ont été
23:53 observés. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que quand vous avez des cas mortels
23:57 qui sont déclarés en annexe, des effets désirables, je le dis en tant qu'avocat
24:01 aussi de médecin, vous avez l'obligation, dans le cadre
24:05 du devoir d'informer, qu'il existe cette situation.
24:09 - C'est ça. - Qui aujourd'hui va mener son enfant à une vaccination Pfizer
24:13 s'il y a des possibilités fatales ? - C'est pas une possibilité, c'est à dire qu'en réalité
24:17 quand on dit que des cas mortels ont été observés, c'est comme si vous prenez
24:21 la roulette russe, vous avez une balle. Vous savez que quelqu'un d'un moment donné va la prendre
24:25 la balle. - Oui, alors juste un mot, j'entends ce que vous dites
24:29 Mme Broussard, mais on vous dit "regardez, il y a des milliards de gens qui ont été
24:33 vaccinés, des milliards, 4 milliards, 5 milliards, je ne sais pas combien"
24:37 on ne peut pas dire que les issues fatales ont été, je ne dis même pas la majorité
24:41 mais ont été infimes. Est-ce qu'on peut aujourd'hui
24:45 faire cette comparaison en disant "d'accord, il y a effectivement ce que vous
24:49 soulignez, très très très, je veux dire, logique et légitime"
24:53 mais enfin, ils vous disent, quand ils vous disent "oui mais attendez, peut-être
24:57 que nous avons en même temps sauvé des vies pendant que vous pensez que nous avions supprimé des vies"
25:01 - Alors M. Bercoff, il y a quand même une chose qui est le fait de tuer
25:05 avec autorisation et le fait de mourir de manière naturelle
25:09 Les questions sont une question de philosophie, moi je ne suis pas philosophe
25:13 et je ne ferai pas cette idiotribe devant vous. Deuxièmement, il y a
25:17 Pierre Chaillot qui écrit un livre exceptionnel, que la Mosa a éclairé
25:21 et qui nous éclaire tous les jours sur la question. - Le statisticien - Absolument. Aujourd'hui,
25:25 nous avons des morts qui ne sont pas rattachés par lien de causalité
25:29 au vaccin. Il n'y a de morts pas moins qui sont des morts inexpliquées, de plus en plus.
25:33 Vous avez aujourd'hui une mortalité qui explose, comme par hasard, chaque fois
25:37 que la vaccination a été faite. Ce n'est pas moi qui le dis, c'est Pierre Chaillot
25:41 avec aussi le professeur Raoul qui a mis en exergue cela. - Et Laurent Toubianna. - Et Laurent Toubianna aussi
25:45 qui a fait un travail remarquable et on ne peut pas le traiter de complotiste. Ça veut dire tout simplement
25:49 que moi, en tant que juriste, je regarde cela. Et quand je vois que l'Agence
25:53 Nationale de Sécurité du Médicament est capable de nous dire
25:57 de ne pas utiliser Humex, Actifed, Nérophène,
26:01 Dolurum, que nous avons tous pris peut-être un jour, depuis même des années
26:05 et cela fait des années, et qui dit de provoquer des rares effets indésirables,
26:09 tels que des arthritis, des rares effets indésirables. Ce ne sont pas
26:13 les morts annexées à Comirnaty. Ça veut dire tout simplement qu'aujourd'hui,
26:17 on va dire "ne prenez pas d'Humex, mais va te faire vacciner sans problème parce que tu dormiras
26:21 de sommeil tranquille". - Ça s'appelle les deux poids et deux mesures, c'est bien ça.
26:25 - Oui, mais l'avocat, qui est aussi avocat de personnes qui frappent
26:29 à sa porte à la suite d'erreurs médicales, moi je ne dis
26:33 "chacun doit être libre", mais il faut... - Consentement libre
26:37 et éclairé. - Oui, mais qu'est-ce que ça veut dire "donner tout" ? Parce que quand j'ai donné
26:41 le conseil aux gens, qui sont venus voir, pas l'antivax, mais Maître Broussard,
26:45 qu'est-ce que je fais ? Vous allez voir votre médecin, vous lui apportez
26:49 le Vidal, et Comirnaty vous dit "est-ce que, monsieur le médecin, pouvez-vous me garantir
26:53 que je ne risque pas de mourir ?" Et vous me signez un pamier, que vous
26:57 assumez la responsabilité ? Aucune signature de préfecture. - Et vous savez qu'il y a
27:01 eu un extraordinaire échange qui a été dans les réseaux sociaux, et nous l'avons
27:05 émis, et ici dans Bercov, dans Suzette, nous l'avons diffusé,
27:09 où quelqu'un disait "mais écoutez, vous me dites ça", et le médecin qui vaccinait
27:13 dit "mais écoutez, tout le monde meurt un jour". C'est une réponse
27:17 tout à fait... Esteban, nous avons des auditeurs. - On marque une courte
27:21 pause et après on prend les auditeurs.
27:25 Sud Radio Bercov, dans tous ses états. Appelez maintenant pour réagir
27:29 0826 300 300. - 12h46 sur Sud Radio, nous sommes
27:33 toujours avec Maître Carlo Alberto Brousa, et nous sommes avec Valérie, qui nous appelle depuis
27:37 Savigny-sur-Oroge. Bonjour Valérie. - Bonjour Monsieur Bercov,
27:41 bonjour Maître Brousa, et tout d'abord un immense merci à tous les deux pour tout ce que vous faites.
27:45 Ma question est simple, j'ai refusé de me faire vacciner contre
27:49 la Covid, je le spécifie, comme vous l'avez très bien dit tout à l'heure, je ne suis absolument pas
27:53 anti-vax, je suis vaccinée avec tous les vaccins classiques, mes enfants également, mes
27:57 chats aussi, enfin voyez le truc. La question est simple, qu'est-ce qu'on peut faire de façon
28:01 pratique pour obtenir réparation de tous les préjudices
28:05 que nous avons vécus au cours de cette période qui a été
28:09 complètement dingue pour nous. C'est-à-dire interdiction d'aller dans certains lieux publics,
28:13 interdiction d'aller au stade, interdiction d'aller au resto, j'ai vu ma
28:17 fille qui est soignante être obligée d'aller se faire vacciner tandis qu'elle n'avait aucun
28:21 aucune raison médicale de le faire et elle y est allée en larmes
28:25 donc j'aimerais savoir qu'est-ce qu'on peut faire Maître Brousa pour obtenir réparation
28:29 de ce préjudice car on ne fera plus jamais les mêmes, on a été tous
28:33 moi j'ai été complètement bouleversée par cette période, je veux dire j'ai toujours
28:37 travaillé, payé mes impôts, vous voyez, voilà, qu'est-ce qui m'est tombé dessus
28:41 j'ai été mise au banc de la société, je ne comprends pas, j'aimerais obtenir réparation.
28:45 - Maître Brousa, qu'est-ce qu'on peut faire ? - C'est une question extrêmement complexe, c'est parce que
28:49 ce sont des actes de gouvernement, ce sont des décisions prises
28:53 par le Parlement, dans des lois, qui ont fait l'objet de recours, le cas échéant devant le
28:57 Conseil Constitutionnel qui a été validé et par conséquent quand on est face
29:01 à un problème de loi, il est quasiment impossible
29:05 d'obtenir une action à justice parce qu'on dira "la loi avait ordonné
29:09 le confinement, avait créé le pas sanitaire, des décrets, vous pouvez attaquer
29:13 un ministre, mais vous irez à ce moment-là devant le Cours de Justice de la République
29:17 où j'exprime les plus grands doutes en tant que juridiction
29:21 et ça sera extrêmement compliqué, difficile de pouvoir établir une faute de nature
29:25 pénale à l'encontre des ministres. Aujourd'hui
29:29 nous opérons et nous avons des actions en cours, des actions qui concernent
29:33 plutôt la tromperie vaccinale, des actions qui concernent les problématiques comme
29:37 la tromperie dans les fausses déclarations de non-effets indésirables
29:41 c'est sous ces questions-là qu'on peut peut-être arriver pénalement
29:45 à faire quelque chose, mais ça sera très difficile. - Vous répondez
29:49 très franchement, mais les citoyens
29:53 en plus ils ne peuvent pas se retourner contre les labos, ils doivent se retourner contre leur gouvernement.
29:57 - Sur le plan juridique, les labos ont mis des clauses
30:01 d'exclusivité, d'irresponsabilité
30:05 en réalité ce ne sont pas des clauses d'irresponsabilité mais limitatives ou élusives des responsabilités, ça veut dire tout simplement
30:09 qu'aujourd'hui le système présent, si on prend la vaccination, vous êtes dans le régime de l'omnium
30:13 c'est-à-dire que vous êtes dans le régime juridique d'une indénisation qui pourrait être versée
30:17 par l'organisme d'indénisation des
30:21 problèmes vaccinons dans le cas d'espèces. Mais aujourd'hui vous n'avez pas
30:25 le confinement en tant que tel est une faute entre guillemets politique
30:29 il faudrait établir que le confinement a généré un préjudice
30:33 qui peut avoir une connotation pénale pour pouvoir le cas échéant attaquer
30:37 tel ministre ou tel ou le président ou le premier ministre
30:41 qui a décidé du confinement. Mais c'est une faute aujourd'hui
30:45 quasiment impossible à établir. - Travail d'Hercule. - Merci beaucoup Valéry
30:49 pour votre appel, on accueille Emmanuel qui nous appelle depuis PESAC. - Bonjour Emmanuel.
30:53 - Bonjour André, bonjour Maître Broussard, bonjour à vous. Parce que dans cette période
30:57 moi je ne suis pas vacciné non plus, ni ma femme ni mes enfants et vous avez été un phare parce qu'on avait
31:01 vraiment l'impression d'être les seuls fous. Donc ça nous a vraiment aidé
31:05 parce que vous aviez une parole vraie et qui nous a rassurés.
31:09 Vous parliez de la faillite, enfin pas lors de l'émission à l'heure actuelle mais vous en avez parlé
31:13 sur l'éventuelle faillite de Pfizer. Bon, à voir. - Oui ça c'est un autre problème.
31:17 - Non mais parce que je vais faire un parallèle avec une autre société
31:21 qui s'appelle la société Perdu qui a été impliquée dans les opioïdes aux Etats-Unis
31:25 avec des gens qui ne faisaient que le reste, 500 000 morts puis je ne sais pas combien les faits secondaires
31:29 et la famille d'ailleurs demande une impunité totale. Donc je me demande si
31:33 jamais ça arrive en train d'organiser justement une faillite qui permettrait d'éviter
31:37 et les poursuites et les amendes parce que finalement le pognon qui a été encaissé il est déjà là.
31:41 Pour revenir à ce que vous disiez juste avant, s'il y a eu
31:45 tromperie sur le produit, notamment sur sa composition, est-ce que les clauses
31:49 d'impunité tombent ? Parce que là il y a quand même aux Etats-Unis
31:53 pas mal de procès qui commencent à s'ouvrir sur le fait que ce qui a été vendu
31:57 ou en tout cas prétendument vendu comme un produit X n'est pas
32:01 celui qui a été injecté, en tout cas pas pour tout le monde.
32:05 J'ai une dernière chose, par exemple on parlait aussi tout à l'heure
32:09 du fait que vous disiez qu'effectivement sur les milliards il n'y a pas eu beaucoup
32:13 d'effets secondaires ou en tout cas pas répertoriés. Je vais vous citer une anecdote
32:17 les gendarmes ont été obligés de se vacciner, moi j'ai un collègue qui l'est
32:21 enfin un copain qui l'est, quand je lui ai demandé, je lui ai dit "écoute il a eu des problèmes"
32:25 au niveau des yeux, je lui ai dit "va demander à ton médecin de faire des dédimers" ce médecin lui a refusé
32:29 donc quand on ne veut pas trouver, on ne cherche pas, ça va mieux.
32:33 - Emmanuel nous avons beaucoup de lutteurs, on ne peut pas vous prendre trop longtemps
32:37 et il faut que vous compreniez ça. Non mais je voudrais que vous voudriez
32:41 parce que sinon on n'en sort pas et vous n'aurez pas de réponse à aucune de vos questions.
32:45 Donc ce que je voudrais par rapport à ça, parce qu'il y a eu une très bonne question d'Emmanuel
32:49 c'est la composition, est-ce que si la composition du vaccin ou du produit
32:53 s'est avérée, parce que vous avez dit vous-même où il y a des problèmes, est-ce qu'on peut
32:57 attaquer à ce moment-là, est-ce qu'on ne peut pas renverser la clause des contrats ?
33:01 - La clause des contrats, elle ne peut que protéger Pfizer et BioNTech
33:05 de ce qu'on appelle les questions civiles, des actions de nature civile.
33:09 Quand vous placez sur le plan pénal, et la tromperie
33:13 c'est une infection pénale, la tromperie est l'escroquerie
33:17 en matière de produit... - Mais ces tromperies, je les ai bien vécu en grand, c'est incroyable.
33:21 - C'est du pénal, la clause ne pourra pas fonctionner et la responsabilité pénale de Pfizer
33:25 ou de BioNTech pourra être engagée avec aussi
33:29 toutes les autres personnes. Quand vous avez le journal Le Monde, qui participe
33:33 à travers ses articles, sans se poser des questions, à une
33:37 propagande en disant que ce produit protège à 100%,
33:41 il participe, même s'il est simplement média, à la mise en œuvre
33:45 d'une tromperie. - Non mais donc, s'il y a tromperie, enfin je ne sais pas, je ne prends pas
33:49 partie bien sûr, s'il y a tromperie, et bien on peut attaquer.
33:53 - On peut attaquer, et c'est ce que nous sommes en train de faire, parce que je ne pouvais
33:57 pas le faire avant. Je vous rappelle que le contrat est en notre possession depuis
34:01 le mois d'août, le temps d'accéder c'était en septembre, et aujourd'hui nous sommes en train
34:05 de travailler... - Depuis un mois, un mois et demi quoi. - Absolument, nous sommes en train de travailler pour mettre en place
34:09 parce que je rappelle que la prescription ne sera qu'à partir du mois de mars 2024
34:13 prescription triennale, si on se place dans les délits, et une prescription
34:17 beaucoup plus élevée de 10 ans, si on se place dans le crime. Si aujourd'hui on parle de bande organisée
34:21 et qu'on établisse cette bande organisée, on peut. Mais sans prendre des risques
34:25 on peut parfaitement commencer sur la tromperie, parce que le fait de dire qu'ils étaient
34:29 efficaces, vous avez la preuve contraire dans l'article 5.5 du contrat, et vous
34:33 avez la preuve contraire de tout ce qu'aujourd'hui nous connaissons. - Donc il y a une marge de manœuvre aujourd'hui.
34:37 - Il y a une marge de manœuvre, je rassure tout le monde, la seule chose qu'il faut
34:41 c'est d'éviter de partir de tous les côtés, il faut rester concentré, et taper
34:45 dans ce qu'il y a de certain, ce sont les affirmations fausses
34:49 et mensongères qui ont été montées à l'époque dans une opération, qui est une opération
34:53 menée par McKinsey, il ne faut pas l'oublier, c'était quelque chose de très important
34:57 il était le relais entre les gouvernements et Pfizer, et ceci est prouvé.
35:01 Je voudrais terminer sur un point très important, il n'y aura pas de faillite de Pfizer.
35:05 Pfizer est montée jusqu'à 930 milliards
35:09 chiffre d'affaires 2022, en gagnant 30 milliards
35:13 entre l'année 2021, ils étaient à 70, ils montent à 93, et
35:17 avec la trésorerie, ils ont acheté un autre labo à 43 milliards
35:21 donc aujourd'hui, Pfizer, qui est contrôlé par Vanguard
35:25 et BlackRock, qui finance
35:29 les grands retraits des américains, vous imaginez si aujourd'hui Pfizer
35:33 je le dis, et c'est une phrase qui avait étonné beaucoup de monde, Pfizer est l'Amazon
35:37 des produits médicaux. Pfizer n'est pas
35:41 un fabricant, Pfizer ne connaissait pas Comirnaty, Pfizer ne connaissait pas
35:45 Biontech, qui a travaillé sur l'ARN messager, Biontech a souscrit
35:49 un contrat de licence avec Pfizer, et Pfizer en tant que vitrine mondiale
35:53 a permis à l'ARN messager que personne ne connaissait
35:57 d'accord ? Si ce n'est que quelques spécialistes.
36:01 - Merci beaucoup Emmanuel pour votre rapport. - Un dernier, hélas, parce que vous voyez, malheureusement
36:05 nous n'avons pas le temps suffisant, mais on reviendra sur cette histoire
36:09 parce qu'elle n'est pas finie évidemment. - Oui, rapidement, on a Stéphane de Bordeaux, bonjour Stéphane.
36:13 - Stéphane, rapidement, dites-nous tout. - Oui, pas grand chose,
36:17 juste deux petites questions. Vous parliez tout à l'heure
36:21 de ce qui sort actuellement sur les effets secondaires ou très indésirables
36:25 de produits qu'on prend quotidiennement ou régulièrement, humex et d'autres choses comme ça,
36:29 et je trouve qu'il y a une concordance de temps qui est assez
36:33 étonnante en fait, c'est-à-dire qu'en même temps qu'il y a beaucoup d'éléments qui sortent sur la
36:37 dangerosité réelle du vaccin, ou au moins des
36:41 cas fatals qui peuvent apparaître, et puis ce qu'on entend
36:45 sur humex, et je me pose la question, si ce n'est pas un
36:49 pare-feu, ou en fait se dire que si effectivement ça sort vraiment et que
36:53 on entend parler de ces décès dus au vaccin, on ne pourrait pas très facilement dire
36:57 "ben non, humex, tout le monde en prend, et ce n'est pas le vaccin, c'est humex".
37:01 Ça c'est une première question. La deuxième question, quand on a des
37:05 grands sujets comme celui-ci, on se rend compte qu'il y a finalement trois grands intervenants,
37:09 on a les gouvernants, on a la population, et puis on a une courroie
37:13 de transmission qui s'appelle les médias. Et ce qui est incroyable
37:17 c'est que finalement on avait une voix des médias, et on retrouve à peu près la même chose,
37:21 c'est-à-dire cet éloignement qui est entre le premier
37:25 sentiment de la population, et ce que proposent certains gouvernements, et puis les
37:29 médias en fait arrivent peu ou prou à transformer la position de la
37:33 population. On retrouve exactement cette même chose, cette même dialectique sur
37:37 le conflit israélien-palestine, c'est absolument écœurant, incroyable.
37:41 La différence qu'on a entre la population et ce que vous disent les médias
37:45 en fait, c'est écœurant, c'est-à-dire qu'on a l'impression parfois de ne pas vivre dans le même
37:49 monde, vous voyez ? Et la question que je pose à l'avocat présent,
37:53 est-ce qu'il y a un moyen d'attaquer ces médias en fait ? Parce que le vrai danger
37:57 vient d'ici, enfin pour une grande partie, on a des médias qui sont terrifiants.
38:01 - Le vrai danger est partagé, effectivement. Carlo Alberto Brusa, je réponds tout simplement.
38:05 Attaquer et faire du pénal contre tous les médias de France
38:09 et de Navarre n'est pas une solution. Il faut surtout à ce moment-là, regarder
38:13 écouter les radios qui fonctionnent et les télévisions qui portent la bonne parole. Écoutez
38:17 Sud Radio et M. Bercoff, vous aurez peut-être la possibilité de sortir de la caverne, d'avoir un esprit
38:21 critique. Je dis cela parce que c'est une question que m'est souvent posée. Mais aujourd'hui
38:25 ce n'est pas un faison. Les médias sont le reflet
38:29 d'une société. La société que nous avons construite est une société
38:33 qui a fait que, à partir d'un certain moment, l'État a pris une telle dimension
38:37 que les gens ont accepté. Et au fond, la Covid qui était pour eux
38:41 une occasion peut-être de mettre en place certaines opérations d'agenda
38:45 a été aussi un réveil pour beaucoup de gens qui avant accepté d'une manière, je dirais
38:49 facile, toutes les décisions du gouvernement, la confiance que les Français avaient auprès de leur
38:53 gouvernement, de leurs gouvernants, elle s'est effritée. Et c'est là qu'il y a une sorte de réveil.
38:57 C'est pour ça qu'aujourd'hui on se dit, parce que je peux vous dire, que les médias, pendant la Covid
39:01 n'ont fait qu'agir comme les médias qu'ils agissaient 5 ou 10 ans
39:05 auparavant. Ils n'ont pas changé. Ils étaient exactement les mêmes. Et c'est là qu'on s'est aperçu
39:09 qu'on était peut-être dans un système de doxa contrôlé par un système
39:13 de pensée unique que nous voulons combattre. - Et la question qu'on peut se poser
39:17 c'est, est-ce qu'on a les médias et est-ce qu'on a les politiques
39:21 que l'on mérite ? Vraie question. - Aussi. Mais le reflet c'est aussi la question
39:25 quelle est aujourd'hui la démocratie, quel est le rôle du peuple dans la démocratie
39:29 quel est l'implication du peuple dans les choix démocratiques. - Vaste question philosophique.
39:33 On reviendra, y compris avec vous Carlo Alberto Bruza pour parler de tout cela.
39:37 - Merci Maître et on rappelle ce livre pour un lendemain sans liberté volée. C'est aux éditions Guy Très Daniel.
39:41 On se retrouve dans un instant.

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