Bob Morane - 1964 - Episode 18 - Les Forbans de l'Or Noir

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DB - 02-10-2023

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00:00 Sous-titrage MFP.
00:05 -Il ne faut jamais parler d'avion devant un homme.
00:08 ...
00:15 ...
00:24 ...
00:31 -Il ne faut jamais parler d'avion devant Beaumouran.
00:36 Il a soupi quand un colonel sud-américain lui disait au bar d'un hôtel,
00:40 "Nous ne comprenons pas pourquoi ce chasseur en vole."
00:43 Et hop, il a voulu essayer le prototype.
00:46 Moi, j'ai raté un rendez-vous avec une charmante jeune fille.
00:50 -Vous avez quelque chose cassé ? -Non, je ne crois pas.
01:00 Une foulure tout au plus.
01:02 -Vous avez des projets, maintenant ?
01:04 -Je vais t'étonner, mais je suis ravi.
01:07 -Je ne suis jamais étonné avec vous. Jamais.
01:12 -C'est une vibration moléculaire qui a dû faire sauter leurs inks.
01:16 -Hein ? -AMAC 2,3.
01:19 -Il faut téléphoner ça au colonel Sanchez.
01:22 -En passant par là, on doit trouver une route ou une piste
01:25 ou quelque chose de semblable. Donne-moi un coup de main.
01:28 Là.
01:30 -Aïe !
01:31 -Huile. Tu entends pas ?
01:42 Hallucination ? C'est pas bon.
01:58 -Américano ? -Français.
02:00 -Ecossaise. -Et vous venez d'où ?
02:03 -De là-haut. Incident de vol.
02:05 -Vous avez de la chance, vous êtes du matériel,
02:08 à prendre un ferrocarril à San Fernando, à 300 km d'ici.
02:12 Parce que dans ce désert, vous avez pour rester 8 heures.
02:15 Et peut-être 15.
02:17 -La route va bien quelque part, pourtant.
02:19 -Si, à Malo, il y a une blède perdue,
02:22 à côté d'une forage des resserres de pétrole.
02:26 -Vous y allez. Plus loin, nada. Nada.
02:28 -Il y a un docteur, non ? -Oui, il y a même un hôpital.
02:31 Je vais vous y conduire, mais il faut que je passe d'abord
02:34 à Sentier, à cause du sargément.
02:36 -Gardien ! Gardien ! Gardien ! Gardien !
02:40 -Improvisoire, hein ? Elle est pas belle, votre jambe.
02:54 -Vous avez dû forcer. Vous avez de la chance, dans votre malheur.
02:57 Le docteur Morales, c'est un tout-bidou, première.
03:00 -Pourquoi est-il venu s'enterrer ici ?
03:02 -Moi, j'ai une morale. Rien demander, rien savoir.
03:06 Vous voulez que je vous rase ? -Vous êtes coiffeur aussi ?
03:09 -Je remplace tout ce qui manque. Bistrot, infirmier, menuisier,
03:13 coiffeur, impossible de se passer de moi.
03:15 -Toujours dans le pétrole ? -Si possible.
03:18 -Merci d'être venu si vite.
03:23 -C'est parce que vous nous attendiez.
03:24 -Dans mon pays, on dit "espérez pour l'attente".
03:27 Alors, je vous espérais. Pas vous, précisément.
03:30 Mais je pensais bien que mes rapports, ils seraient une suite.
03:33 -J'ai l'impression que vous faites erreur.
03:35 -D'accord, d'accord. Je suis tellement content
03:38 que je deviens bavard.
03:41 -Vous avez raison.
03:44 -Je prends mon bière.
03:49 -Voilà.
03:51 -Pas de meilleurs rapports à personne.
04:04 Méfiez-vous de tout le monde. Je vous reverrai au village.
04:08 Bonne idée. Accident d'avion.
04:11 Original.
04:13 -D'où sont-ils, ces petits bonhommes-là ?
04:19 -C'est lui qui a le permis de recherche.
04:21 Avant, il était commerçant à Maracaibo.
04:23 Un beau jour, il a eu la fièvre du pétrole.
04:26 Pauvre type.
04:28 J'allais lui des tasses à ratisser, comme lui.
04:30 -Pourquoi ? Ça ne marche pas ?
04:32 -Rien que du caillou sec, pareil.
04:34 On dit même qu'on va démonter dans 3 jours.
04:36 -Mais ils sont permis de recherche, alors.
04:38 -Justement, il est à terme dans 3 jours.
04:41 Fini. Foutu.
04:43 Alors, il est en crise. Il commence à débigocher.
04:46 ...
05:04 -Aaah !
05:06 Aaah !
05:08 ...
05:17 -C'est drôlement arrangé.
05:19 -Oui.
05:21 -Donne-nous envie de venir.
05:23 -On se maniera des coupables, c'est le tour.
05:25 -Y va, dans le camion.
05:27 ...
05:39 -Ah, c'est vous qui êtes tombé du ciel.
05:41 Pédro Figueres, je dirige ce chantier.
05:43 Bienvenue à vous, monsieur...
05:45 -Bob Morane, mon ami balentine.
05:47 -Venez, je crois qu'on n'a pas le temps à perdre.
05:50 J'emmène Belmond. Et si vous voulez profiter de la voiture...
05:53 ...
05:56 -Le camion de ravitaillement rejoint la station après-demain.
05:59 Docteur, vous pensez que M. Morane pourra supporter la route ?
06:03 -Certainement, si notre malade est bien sage jusqu'à là.
06:07 -Je voudrais un peu d'urgence Caracas.
06:09 -Le colonel Sanchez, au ministère de l'Air.
06:11 Nous n'avons que téléphone antérieur.
06:13 -Nous sommes en plein essai, ici.
06:15 -Aucune ligne n'est résistée aux tornades.
06:17 -Votre forage n'est pas isolé du monde, non ?
06:19 -Nous avons la radio, les ondes courtes.
06:21 En cas d'urgence.
06:23 -Pravenez le colonel Sanchez que nous sommes sains et saufs ici.
06:26 -C'est un cas d'urgence. -Le nécessaire, ça l'a fait.
06:29 ...
06:39 -Dis donc, tu y crois, toi, à ma patte cassée ?
06:42 -Si c'est pas une preuve.
06:45 -Oui, ça te fait même un petit peu plaisir, non ?
06:47 -Je suis très désolé.
06:49 -Menteur ! Tu espères que je vais enfin me tenir tranquille ?
06:52 -Il est temps de se reposer un peu.
06:55 -Ecoute, le type qui essaie de nous parler se fait fendre le crâne.
06:58 Il m'a voulu se transformer en...
07:00 Ah, non.
07:02 L'accident de vieux est peut-être une coïncidence,
07:04 mais ça, ça, c'est médical.
07:06 -Noyons, j'avais fait tout ce chemin si ma patte avait été cassée.
07:09 Il y a sûrement une autre raison, mais qu'il n'a rien de médical.
07:12 -Vous êtes comme un chien de chasse sur la piste des envies.
07:17 -J'en aurais le coeur net.
07:24 (Bruit de clavier)
07:26 -Pas de traces de fracture, t'as compris.
07:31 -Qu'est-ce qu'on fait ?
07:33 -D'abord, retrouver Belmont. C'est qui, la sapique ?
07:36 -Suramericana Petroleum Internacional Compañía.
07:42 Une fois que j'avais fréré les chisements,
07:47 il fallait les faire jaillir, ce pétrole.
07:50 Un fragile coûte des fortines.
07:52 Je me suis associé avec une très grosse boîte.
07:55 -Vous ne voyez pas en quoi je peux vous être utile ?
07:58 -Depuis 15 jours, les chances de la sapique me semblent bizarres.
08:03 -M. Belmont, je vous répète que nous n'avons jamais rien reçu de vous.
08:07 -Ne m'abandonnez pas.
08:09 Ils veulent m'éliminer, me ruiner.
08:12 Vous avez vu cet accident ? C'est un attentat.
08:15 Je suis certain qu'ils sabotent les recherches.
08:18 -Soyez logique. Vos associés ont les mêmes intérêts que vous.
08:21 Un forage de recherche échoue, c'est une perte d'argent,
08:24 même pour une société puissante.
08:26 -Mais non, vous ne les connaissez pas.
08:29 Le désastre serait de devoir partager l'exploitation du chisement avec moi.
08:35 S'ils ne trouvent rien dans deux jours, on ferme.
08:39 Mon permis de recherche est échoué.
08:41 Ils s'achètent pour eux tous seuls.
08:44 Un nouveau permis ? Je ne peux pas le faire.
08:47 Je n'ai plus d'argent.
08:49 -Ils ont trouvé le forage et le pétrole.
08:52 -C'est astucieux.
08:54 Malhonnête, mais astucieux.
08:56 Je ne vois pas ce que je peux faire.
09:01 -Il faut prouver leur mauvaise foi.
09:04 Deux jours. Il n'y a plus que deux jours.
09:07 -Votre ami Morales les a mobilisés jusqu'à leur départ.
09:16 -L'imbécile n'a rien compris.
09:18 -Avez-vous envoyé le message ? -C'est pas pressé.
09:21 -Nous venons de vous remercier. -Bien normal, monsieur.
09:29 -Votre jambe. Le tout-vive parlait d'une fracture.
09:33 -Erreur de diagnostic.
09:35 -Ou moi aussi.
09:37 -C'est Morales qui vous a enlevé votre plat ?
09:40 -Non, nous ne voulions pas le déranger.
09:43 -Vous m'envoyez ravi. -C'est ce qu'on s'est dit.
09:46 -M. Figueres va être ravi de savoir que nous n'avons rien cassé.
09:50 -Mais il ne fallait pas venir. -Si, mais si.
09:53 -Billy et moi, nous avions une autre raison.
09:56 Nous sommes journalistes, et les distractions sont rares.
09:59 Nous aimerions visiter votre chantier. C'est possible ?
10:02 -Vous serez déçu. Un forage de pétrole stérile ?
10:06 C'est pas passionnant. -C'est possible, non ?
10:09 -Si vous y tenez. -Je vais piloter, c'est monsieur.
10:13 -Je vous confie à M. Bargnasse.
10:15 -Le meilleur géologue de la compagnie. -Voilà.
10:18 -Merci. -Au revoir.
10:20 -Huam ! Bengaporaki !
10:26 -Mon rôle n'est pas de guetter l'avenue du pétrole.
10:41 -Vous voyez apparaître le pétrole ? -Oui, par fluorescence.
10:45 -Les bouts ont 2 autres utilités.
10:46 La consolidation des parois du trou et le refroidissement du trépan.
10:50 -La circulation sanguine du forage. -Si vous voulez.
10:53 Ces appareils décelent la présence des gaz à craindre dans les bouts.
10:57 -Et les carottes ?
10:59 -Leur étude nous sert à vérifier si la marche du forage
11:02 correspond aux prévisions géophysiques.
11:04 Vous avez ici la coupe géologique de notre forage.
11:08 Les rapports prévoyaient la rencontre du toit vers 1300 m.
11:13 Nous devions tomber dans la roche imprégnée, 50 m plus bas.
11:16 Rien. Nous sommes à la côte 2000.
11:18 -Conclusion ? Échec total.
11:20 -Nous disons... conclusion négative.
11:24 -Vexant, quand même. -Absolument pas.
11:27 Notre métier, ce n'est pas d'inventer du pétrole.
11:30 C'est de creuser un trou bien vertical
11:32 en attendant l'apparition des indices du pétrole.
11:34 -Vous avez la conscience tranquille ?
11:36 -Que voulez-vous dire ? -Rien.
11:38 Je petiterai mon article "Pas de pétrole, mais bonne conscience".
11:42 -Si ça vous amuse. -Que M. Balmond soit ruiné,
11:45 ça ne vous concerne pas. -Absolument pas.
11:48 Notre société investit de gros frais également.
11:51 Il existe un côté jeu de hasard dans la recherche.
11:54 -Berilalos apesardeio.
11:56 -Solovirilar ? -Et ça ?
11:58 -Prélèvement de gaz pour les laboratoires de Caracas.
12:01 -Parce qu'on peut trouver la gaz et pas de pétrole ?
12:04 -Nous creuvons sans cesse des couches de gaz carbonique.
12:07 -Pour la bonne conscience. -Absolument.
12:10 -J'étais persuadé que les gaz que vous trouviez
12:13 étaient aussi inflammables.
12:15 -C'est vrai quand les gaz sont ceux qui arrivent avec le pétrole.
12:18 On emploie le gaz carbonique dans la mousse des extincteurs
12:21 pour combattre le feu. -Je comprends.
12:38 -Il est formellement interdit de fumer sur le chantier.
12:41 C'est une règle et un principe.
12:43 -Excusez-nous de ne pas comprendre l'espagnol.
12:46 -Bon, eh bien, si vous voulez continuer...
12:49 J'ai des lettres à signer.
12:52 Des paperas.
12:54 Je vous rejoins tout de suite.
12:56 -Va-t'en, d'après.
13:00 ...
13:23 -Ils sont nerveux.
13:25 -Ce n'est pas une preuve. -Ca peut le devenir.
13:28 -En faisant n'importe quoi pour les énerver encore plus.
13:31 -¡Espinada, patina, salsa costica!
13:45 -Qu'est-ce qu'il raconte, lui? -Il dit que c'est dangereux.
13:49 Ca brûle, y a un acide ou de la soupe caustique dans les bouts.
13:52 -Allez.
13:56 ...
14:01 -C'est pas une épreuve.
14:03 ...
14:08 ...
14:20 ...
14:34 -Non, c'est qu'il est là.
14:36 -Vous ne pouvez pas entrer. C'est dangereux.
14:39 -Va-t'en.
14:41 ...
15:10 ...
15:14 -Où vous ouvriez son maladroit,
15:16 où il arrive particulièrement beaucoup d'accidents sur votre chantier?
15:19 A croire qu'on vous achetait un mauvais sort.
15:21 -Ce ne sont que des... -Marignac!
15:23 -Des incidents. -Un message radio vous convoque
15:25 à San Fernando, à la direction du district.
15:28 Au lieu d'attendre encore 48 heures,
15:32 vous pouvez profiter de la voiture.
15:34 Pour vous, c'est providentiel.
15:36 -Providentiel?
15:38 Pour vous ou pour nous?
15:40 ...
15:56 -Vous nous permettrez d'aller dire au revoir à notre ami Belmont.
15:59 -Impossible, hélas. Nous sommes déjà justes.
16:02 Et vous risqueriez de rater le train de San Fernando.
16:05 Navré. -Moi aussi.
16:08 -Go!
16:10 ...
16:20 -Vite, Bill, dépêche-toi.
16:22 ...
16:34 -Que voulez-vous? -Pour l'instant,
16:36 c'est une erreur de diagnostic.
16:38 M. Belmont a reçu un choc, mais il n'a pas de fracture du crâne.
16:41 -Je préfère. Je croyais que ce soit...
16:43 -Quentin Majambe, cet idiot.
16:45 -Il se toupit d'intervention de radio.
16:47 -Non, complicité.
16:49 Devant un tribunal, le mot a un sens précis.
16:51 -Non, je ne veux pas. -Vous ne voulez pas quoi?
16:54 -Pas de juge. -Pas de procès.
16:56 -Ca dépend de vous.
16:58 Pourquoi êtes-vous complice des associés de M. Belmont?
17:00 -Je ne comprends pas. -Mais si, mais si.
17:02 -Des traces. Il y a des floures et ça.
17:05 -Regardez.
17:07 Les traces noires, visqueuses, c'est l'huile de pétrole.
17:11 Quand vous avez ramassé ces bouts?
17:13 -Aux 2 heures environ.
17:15 -Alors, alors ce soir, cette nuit, l'huile de pétrole doit chahir.
17:19 -C'était donc ça.
17:21 -Tiens, vous commencez à comprendre.
17:24 -Les gens de la SAFIC m'avaient demandé de vous immobiliser tous
17:27 au mois 48 heures.
17:29 -Et vous n'avez pas exigé d'explication.
17:31 -Quand on n'aime pas les courriers,
17:33 il faut savoir de ne pas l'être soi-même.
17:35 -Si le pétrole jaillit cette nuit, vous êtes sauvé.
17:38 -Pas forcément. Il existe un moyen infaillible
17:41 pour empêcher, vous savez, le pétrole de sortir.
17:44 On pousse la pression des bouts liquides dans les touvaches.
17:48 Le pétrole est chassé par ces bouts
17:51 à l'intérieur des roches imprégnées
17:54 et rien ne vient en surface.
17:57 -Comment prouver ça?
17:59 -Devant l'homme qui surveille la marche du trépin,
18:02 il y a un manomètre.
18:04 -Alors, à 1 000 de pression,
18:07 je suis sûr que l'huile remonte.
18:10 Au-dessous de 3 000, il s'avante.
18:13 -Alors? -Il faut y aller cette nuit.
18:16 -Je ne sais pas s'ils vont être contents de nous revoir.
18:19 -Les 2 étrangers qui ont visité notre chantier,
18:22 ce sont des saboteurs payés par une compagnie rivale.
18:25 Ils vont sûrement revenir.
18:27 Il faut défendre notre travail pour notre sécurité.
18:30 -Je vous en prie, ne vous empêchez pas de nous approcher.
18:34 -Oui, monsieur.
18:36 ...
19:03 ...
19:24 -C'est bien délicat.
19:26 ...
19:42 ...
19:56 -On va tous les avoir sur le dos.
19:59 ...
20:03 -Essayez de gagner la plate-forme.
20:06 Je vais leur faire mon petit cercle.
20:09 ...
20:17 ...
20:26 -Pas de feu.
20:28 ...
20:39 ...
20:58 ...
21:28 ...
21:51 ...
22:21 ...
22:31 -Los gaz !
22:33 ...
22:51 -Les vannes, là ! Les vannes de sécurité.
22:54 Allez, vite !
22:56 ...
23:26 ...
23:47 -Les portes de la comporte sont serrées.
23:50 -Allez, viens, c'est là.
23:53 ...
24:03 -Venez, la pluie est menace.
24:06 La nappe de casse atteindra le village.
24:10 ...
24:23 -Il faut le sauver, tout le monde.
24:25 Il n'y a plus qu'une solution.
24:27 Il faut injecter du ciment dans le tubage.
24:29 -Il faudrait mettre les tonneilles en marche.
24:31 -Je sais.
24:32 -Avec cette cochonnerie de gaz, la moitié des dansettes tout sauvent.
24:34 -Je sais ça aussi.
24:36 C'est moi qui vais y aller.
24:39 -Quand vous entendrez les tiesselles tourner,
24:41 vous rassemblez tout le monde pour injecter le ciment, en vitesse.
24:45 -Vous savez ce que vous risquez.
24:47 -Merci, merci.
24:49 J'ai fait tellement de bêtises pour le pétrole
24:51 que je peux bien en faire une de plus.
24:54 Ça passe, frère ?
24:57 -Ils ne pourront plus vivre
25:00 qu'il n'y avait pas de pétrole.
25:03 ...
25:31 ...
25:49 ...
26:00 -Votre petit commerce à Maracaibo, vous l'avez vendu ?
26:03 -Naturalement.
26:05 Mais avec une preuve comme celle-là,
26:08 demain, j'ai fait trouver tout l'argent
26:12 que je voudrais pour renouveler mon permis.
26:15 -Il est incorrigible.
26:18 ...
26:47 ...
26:50 ...

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