À votre écoute - Émission du 21 septembre

  • l’année dernière
Retrouvez À Votre Écoute avec Alexandre Delovane, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##A_VOTRE_ECOUTE-2023-09-21##
Transcript
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:07 Sud Radio à votre écoute, 16h-17h, Alexandre Delovane
00:12 Bonjour à tous, je suis ravi de vous retrouver durant cette heure.
00:24 Vous souhaitez me passer à l'antenne ?
00:26 C'est un numéro, c'est le 0826 300 300.
00:30 Je suis toujours très sensible à vos témoignages et certains montrent la difficulté à l'acceptation d'un changement d'une situation,
00:38 qu'elle soit affective, professionnelle ou même celle du deuil.
00:42 Parfois, ces situations sont hors de votre contrôle avec une impression de les subir sans pouvoir y changer quoi que ce soit.
00:50 On considère souvent que l'acceptation est une pratique passive, consistant à abandonner la lutte contre une situation difficile et à se résigner à la souffrance.
01:02 Mais en réalité, c'est une pratique active qui demande beaucoup d'efforts et de courage.
01:07 Ça implique d'affronter vos peurs, de remettre en question vos croyances et vos valeurs et de faire face à la douleur émotionnelle.
01:15 L'acceptation ne signifie pas que vous êtes en accord avec la situation ou avec ce que vous éprouvez,
01:22 mais de reconnaître qu'elle existe et que vous ne pouvez pas la changer quoi qu'il en soit.
01:28 Il s'agit d'un état d'esprit qui vous permet de libérer l'attention et l'angoisse liés à une situation non modifiable.
01:36 L'acceptation, c'est aussi de se dire "je me lance et j'appelle Sud Radio car j'ai aussi besoin d'être écouté,
01:43 guidé vers mon chemin de l'avenir".
01:45 Je suis à votre écoute jusqu'à 17h au 0826 300 300, mais aussi vous pouvez échanger, partager vos avis sur le groupe Facebook "À votre écoute".
01:55 Nous sommes en direct live sur Youtube et sur le live de Facebook.
01:59 Et aujourd'hui à la réalisation de l'émission, c'est Lucille, au standard Aude et Jordan.
02:10 Et comme tous les jours, notre réalisatrice Lucille branche les micros, allume la console, les téléphones sont à marche et on démarre cette émission avec Lionel.
02:19 Bonjour Lionel.
02:20 Bonjour Alexandre.
02:22 Alors bienvenue sur Sud Radio déjà.
02:25 Merci beaucoup, merci beaucoup, merci pour votre émission.
02:28 Merci à vous. Alors Lionel, avant d'aborder votre sujet, je vais vous poser la question du jour.
02:33 Avez-vous été vous-même face à une situation difficile d'acceptation ?
02:39 Justement, c'est un peu le pourcentage.
02:42 Oui, oui, voilà, je suis à croiser des chemins d'une situation professionnelle inexplicable.
02:49 Je pense que je vais devoir faire un sacrifice et que je vais devoir accepter.
02:54 C'est pour ça que j'aimerais avoir votre ressenti.
02:57 Et cette acceptation est un petit peu malgré vous ?
02:59 Tout à fait.
03:01 C'est un concours de circonstances qui m'amène à faire un choix.
03:05 Un choix quasiment définitif sur un de mes projets professionnels.
03:09 D'accord. Alors Lionel, de ce que j'ai comme information, il y a presque un an, votre compagne nous a appelés à l'antenne pour avoir des renseignements et des informations vous concernant sur votre situation professionnelle.
03:22 C'est un peu presque, oui.
03:24 Et à cette période, vous gériez un commerce dans la restauration rapide. C'est un genre de fusion entre la boulangerie et le snack. C'est bien ça ?
03:33 C'est tout à fait ça.
03:35 Et vous avez dû renoncer à cette entreprise car ça vous prenait trop d'énergie. Le Covid est passé par là malheureusement et vous avez accumulé des dettes.
03:46 Et à ce jour, votre affaire est en vente.
03:48 Alors Lionel, déjà et dans un premier temps, j'aimerais savoir et on aimerait tous savoir, lors de votre passage à l'antenne, je crois que c'était peut-être l'année dernière, qu'est-ce que je vous avais dit ou qu'est-ce que j'ai dit à votre compagne sur votre situation professionnelle ?
04:07 Qu'il y aurait une fin heureuse, alors qu'on était dans la panade, qui allait se passer par rapport à des études ou un changement.
04:22 Et en fait, avec le Covid et mes problèmes, j'ai passé un concours que je n'imaginais pas remporter. J'ai eu ce concours et ça m'a ouvert des portes qui n'ont plus rien à voir avec l'hôtellerie et la restauration.
04:39 D'accord, ce n'est pas un concours de boulangerie ou autre chose ?
04:41 Pas du tout.
04:43 C'est dans l'enseignement. Je me prépare à devenir enseignant. Il y a d'autres formations, il y a beaucoup de temps à passer, etc.
04:55 Je m'y mets évidemment à 100%, mais j'ai cette affaire que j'ai mise précipitamment en location et que je n'arrive plus à gérer. Ça me file un petit peu entre les doigts. J'ai du mal à récupérer le loyer.
05:12 Le locataire actuel rechigne un petit peu à payer parce qu'il dit que le matériel ne va pas, etc.
05:22 Et c'est en train de me prendre énormément de charges émotionnelles alors que j'ai à finaliser un petit peu ma nouvelle vie professionnelle.
05:33 A ce jour, pardonnez-moi Lionel, votre affaire est en gérance ? Comment ça se passe ? Vous avez un responsable ?
05:39 Précipitamment, j'ai fait une gérance. Je veux bien écrire les contrats, je n'en sais rien. J'ai fait ça dans la rapidité.
05:49 Là, j'ai quelqu'un et ce quelqu'un aimerait acquérir le fonds de commerce, bien sûr, mais à un prix dérisoire.
06:01 Ma question est très précise. Est-ce que je vais avoir la capacité nerveuse et émotionnelle de me lancer dans une négociation ?
06:11 Ou est-ce que je dois sacrifier ce fonds de commerce et passer sereinement à ma nouvelle vie professionnelle ?
06:20 Avant de vous répondre, Lionel, est-ce que vous me permettez que je vous fasse des compliments ? Vous acceptez les compliments ?
06:28 Parce que c'est courageux de votre part de passer de ce métier à devenir enseignant aujourd'hui. Vous avez quel âge ?
06:37 J'ai 52 ans.
06:39 C'est très courageux. Je ne dis pas qu'il n'y a pas d'âge pour faire des études, bien entendu, mais en attendant, ça veut dire que vous êtes motivé.
06:46 Malgré la période difficile que vous avez traversée, rien ne s'abat pour vous. Vous avez cette force et ce courage d'aller de l'avant.
06:54 C'est vraiment un exemple de vie. Il faut le reconnaître.
06:58 Essayez de faire une perspective de tout ça, ou en tous les cas de regarder ce qui s'est passé jusqu'à présent, ce que vous avez fait jusqu'à présent,
07:09 et de ce que vous êtes capable. Et vous êtes capable de beaucoup.
07:13 Pour aller dans votre questionnement concernant cette affaire, oui, je pense qu'aujourd'hui, il y a une fragilité sur la vente de cette affaire.
07:26 Et à la fois, vous pourriez décider de renoncer à cette proposition-là pour aller et pour attendre une proposition meilleure,
07:35 mais je sens que ça risque d'arriver beaucoup plus tard.
07:38 Et là, aujourd'hui, même si cette proposition n'est peut-être pas à la hauteur de ce que vous attendez,
07:45 mais émotionnellement, et vous avez besoin justement d'avoir un esprit beaucoup plus libre et de vous sentir détaché de tout ça.
07:54 Si il y a une capacité, une possibilité matérielle et financière aujourd'hui de pouvoir accepter cette offre dérisoire
08:02 et vous permettre aujourd'hui de continuer à avancer et peut-être pas en gagner des bénéfices,
08:10 mais que ça ne vous mette pas à nouveau dans une situation de difficulté financière, et bien faites-le.
08:15 Parce que pour moi, je vous sens, à partir de ce mois d'octobre, rentrer dans une période de signature,
08:21 rentrer dans une période d'accord, de changement, et pour vous libérer de tout ça sur cette période de fin d'année,
08:29 mais voir plutôt début d'année prochaine.
08:31 Alors, cette négociation peut se revoir un tout petit peu, ça peut se revoir un petit peu à la hausse,
08:36 et vous verrez qu'à partir de là, ça permettra d'apporter un peu plus de contentement et de satisfaction pour vous,
08:43 mais pour moi, oui, je vous sens aller vers cette proposition-là, et puis vous concentrer à votre nouveau métier,
08:51 celui d'être enseignant.
08:53 - Oui, oui, ah non, non, je vous écoute tellement.
09:00 - Ça laisse un blanc.
09:02 - Oui, non, mais je vous écoute tellement.
09:04 Ça faisait partie évidemment des éventualités, c'est vrai que ce risque-là, voilà.
09:10 Je ne me sens pas capable, je ne sais pas comment vous le ressentez,
09:13 on va dire nerveusement, émotionnellement, de me lancer dans une bataille de négociations,
09:19 et j'ai besoin, c'est vrai, de sérénité.
09:24 - Exactement.
09:25 - Ça colle exactement, on va dire, avec mon choix.
09:31 - Exactement, et je crois qu'aujourd'hui, vous avez besoin de tourner la page,
09:34 vous avez besoin d'affronter votre nouvelle vie autrement et sereinement,
09:39 et non pas de piétiner ou de rester sur des choses qui vous fragilisent ou qui vous ont fragilisé.
09:45 Donc c'est pour ça que pour moi, ce choix n'est peut-être pas le choix,
09:49 on va dire celui qui vous apporte une grande victoire matériellement,
09:54 mais en tous les cas, ça vous permet de passer à autre chose.
09:57 N'hésitez pas à nous tenir au courant.
10:00 - Je m'occuperai par Alexandre, merci beaucoup.
10:02 - Bien sûr, et puis belle vie pour votre futur métier.
10:06 - Merci, à bientôt.
10:08 - Merci.
10:09 Allez, si on vous attend au standard, au 0826 300 300,
10:14 on se retrouve dans quelques minutes avec Pierre.
10:16 Alors, Pierre est inquiet sur la situation familiale de son fils et de sa belle-fille.
10:20 A tout de suite.
10:21 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission.
10:30 Alors, c'est une émission de partage, d'accompagnement ou de guidance,
10:34 comme avec Pierre, que nous allons retrouver dans un instant.
10:37 Alors, le saviez-vous qu'en pratiquant l'acceptation,
10:40 vous ne vous résignez pas simplement d'une situation,
10:44 mais vous cherchez à comprendre de manière plus profonde,
10:47 à prendre du recul, à identifier aussi vos réactions émotionnelles
10:52 et à trouver des moyens constructifs.
10:55 À ce propos, j'ai lu auparavant un ouvrage que je recommande,
10:59 c'est celui de Lise Bourbeau,
11:01 cet ouvrage s'appelle "La puissance de l'acceptation".
11:05 Alors, ce livre relève un peu le cœur de l'enseignement de Lise Bourbeau,
11:09 auteur de nombreux best-sellers,
11:11 et vous savez qu'à ce jour, elle a la plus grande école en développement personnel au Québec.
11:17 Cet ouvrage vous apprend à faire la différence entre accepter,
11:21 se soumettre et comprendre.
11:23 Très bon livre de chevet.
11:25 Vous souhaitez témoigner et poser des questions à l'antenne,
11:28 je suis à votre écoute au 0826 300 300.
11:31 Et si on écoutait Pierre, bonjour Pierre.
11:33 - Bonjour Alexandre.
11:34 - Bienvenue sur Sud Radio.
11:36 - Merci.
11:37 - Alors Pierre, vous avez été confronté à une situation
11:42 vis-à-vis de votre fils et de votre belle-fille,
11:46 puisque vous êtes inquiet par cette situation-là.
11:49 Ce couple est marié depuis 27 ans,
11:53 il rencontre aujourd'hui quelques problèmes,
11:56 et des problèmes depuis Noël dernier,
11:59 à tel point qu'ils ont peut-être prononcé,
12:03 ou ils ont peut-être parlé d'un divorce.
12:06 Récontez-nous un petit peu en détail la situation actuelle du couple,
12:10 et quel a été l'élément déclencheur
12:12 qui amène justement ce couple à cette fragilité, Pierre.
12:16 - C'est un couple qui s'est connu il y a 27 ans,
12:19 qui s'est marié il y a 27 ans.
12:21 Pendant une certaine période, au début du mariage,
12:25 il y a eu quelques difficultés pour avoir une naissance.
12:29 Il y a eu d'ailleurs des possibilités faites par une fille.
12:33 Ceci étant dit, il y a eu de cette fille une naissance, un garçon,
12:38 qui est né après 8 ans de mariage.
12:41 La situation du couple était quelque part un tout petit peu paradoxale pour nous,
12:48 sachant que notre belle-fille est d'origine suisse.
12:52 Bon, c'est peut-être pas un critère majeur,
12:54 mais il y avait quelques distinctions,
12:57 et on sentait d'ailleurs au travail de notre belle-fille
12:59 beaucoup plus d'attachement vers sa famille que vis-à-vis de nous,
13:03 ce qui paraît logique, mais quand elle parlait de nous,
13:07 elle ne parlait pas de ses beaux-parents,
13:09 elle parlait des parents de son mari.
13:12 Bon, ceci étant dit, la vie a continué.
13:15 Mon fils a une situation professionnelle qui est relativement confortable.
13:20 Il a beaucoup bossé d'ailleurs, il a passé un MBA, etc.
13:25 Ils ont acquis un pavillon, ils ont fait des travaux.
13:29 De l'autre côté, ils ont acquis également dans le cadre des fiscalisations un appartement.
13:35 Notre belle-fille a travaillé au début du mariage pendant 2 ans,
13:39 et pendant une vingtaine d'années, elle n'a pas travaillé.
13:43 Elle avait trouvé le prétexte de travailler pour gagner 100 euros par mois
13:48 parce qu'il y avait des placements, etc.
13:50 Ce n'était pas quelque chose de favorable.
13:52 À cette époque-là, le couple fonctionnait d'une manière tout à fait rationnelle et classique.
13:58 - D'accord.
13:59 - Excusez-moi, Pierre, le couple se situe où en France aujourd'hui ?
14:04 - Entre Lyon et Villefranche-sur-Saône.
14:07 - D'accord, ok. Parfait.
14:09 - Donc quelque part, mon fils a une activité relativement intense.
14:14 Il travaille dans une filiale européenne d'un trust américain,
14:18 donc avec pas mal de préoccupations. Il est cadre supérieur dans cette entreprise.
14:23 Des déplacements, certes, mais il apportait, j'allais dire,
14:28 la quasi-totalité de ce qui était nécessaire pour vivre dans une ambiance tout à fait confortable.
14:36 Le travail aidant, il a fait sinon un burn-out, mais il avait des coups de fatigue.
14:42 Et cet hiver dernier, son épouse souhaitait aller faire les fêtes de Noël dans sa famille en Suisse.
14:50 Et mon fils a dit "non, je suis trop fatigué, j'ai pas envie de faire la fête".
14:56 Son épouse est quand même partie faire les fêtes de fin d'année en Suisse
14:59 et a laissé son mari tout seul à la maison.
15:02 - D'accord.
15:03 - Bon, soit.
15:05 Au retour, bien évidemment, il y a eu quelques...
15:09 Si l'on est propos, des quelques attitudes qui étaient quand même un petit peu inquiétantes.
15:15 - Vous voulez dire que c'est à partir de ce moment-là où la relation familiale s'est compliquée
15:21 ou il y a sûrement autre chose ?
15:23 - C'est là où elle s'est compliquée.
15:25 - D'accord.
15:26 - Alors évidemment, dans des cas comme ça, tout l'arriéré ressort.
15:30 Avec toutes les difficultés qu'il y a pu y avoir à une certaine époque.
15:34 Ceci étant dit, mon fils a fait amende honorable.
15:37 Mais, comment dirais-je, la belle-fille a toujours quelques exigences.
15:43 Certes, elle peut les avoir.
15:45 Néanmoins, le mot de divorce est intervenu de la part de notre belle-fille.
15:52 - Alors qu'est-ce qui vous inquiète aujourd'hui, Pierre ?
15:55 - D'abord, le moral de mon fils.
15:57 - D'accord.
15:58 - Il a passé des vacances tout seul et en partie avec nous.
16:01 Parce que son épouse était repartie passer ses vacances d'été en Suisse.
16:05 Ça c'est encore un autre détail.
16:07 Et sa situation physique, morale et même médicale nous inquiète un peu.
16:15 - D'accord.
16:16 Alors, si vous me permettez, je vais répondre à votre questionnement.
16:19 Effectivement, par rapport à ce que vous évoquez sur la situation
16:23 et de ce que je ressens, il y a, je dirais, une différence familiale
16:29 qui est là, qui est présente et qui aujourd'hui marque cette coupure
16:35 et cette rupture dans cette famille.
16:37 Et je crois que votre belle-fille, elle est aujourd'hui en recul
16:41 par rapport à son couple et elle a peut-être envie aujourd'hui
16:46 de se rapprocher de sa famille et de s'éloigner des valeurs
16:51 ou en tous les cas de ce qui a été en termes d'engagement jusqu'à présent
16:55 et ce qui a été construit dans le couple.
16:58 Alors, aujourd'hui, ça pourrait être intéressant, eux, d'avoir peut-être
17:03 ou de se faire aider par une thérapie de couple pour essayer de voir
17:07 et de positionner les choses.
17:09 Car ce que je ressens, c'est que oui, c'est un couple qui est en fragilité,
17:12 qui est en difficulté, mais c'est un couple qui ne communique pas suffisamment bien.
17:16 Alors, peut-être parce que votre fils est très pris par ses activités professionnelles,
17:22 votre belle-fille, elle, elle a ses interrogations
17:25 et elle n'exprime pas suffisamment les choses,
17:28 mais aujourd'hui, il y a un gros problème de communication entre eux
17:32 et ça, je crois qu'il faut absolument les sensibiliser
17:36 pour arriver à trouver ce lien de communication
17:40 et à les rapprocher à nouveau et non pas à ce qu'ils se divisent
17:44 comme ils sont en train de se faire.
17:46 Alors, il y aura encore une période de fragilité,
17:48 encore une période de difficulté, mais je sens malgré tout
17:51 qu'il y a cette possibilité et cette capacité à ce que le couple se reconstruise un petit peu
17:56 et se rapproche.
17:58 Donc, pour moi, même si vous êtes inquiets,
18:00 même si la situation peut paraître alarmante,
18:03 je sens qu'il faut juste travailler sur ce problème de communication
18:07 et peut-être qu'elle a besoin d'exprimer des choses
18:09 qui n'ont pas été dites ou pas suffisamment dites
18:12 et votre fils a besoin aussi d'exprimer les choses
18:16 et sortir du quotidien ou du contexte dans lequel ils étaient.
18:20 Et là, vous verrez qu'à partir de ce début d'année prochaine,
18:23 les choses semblent s'améliorer un petit peu.
18:26 - Oui, parce que le "reproche" que peut faire mon fils à ton épouse,
18:31 c'est qu'elle ne prend aucune décision.
18:33 - Oui, c'est pour ça. C'est pour ça qu'il faut vraiment établir entre eux
18:36 un contact et de la communication.
18:38 N'hésitez pas à nous rappeler pour nous donner un petit peu de nouvelles
18:41 de cette petite famille.
18:43 Et en attendant, je vous souhaite une bonne fin de journée, Pierre.
18:46 Merci à vous.
18:47 - Merci. Merci de vos éléments, Alexandre. Merci beaucoup.
18:49 - Merci. Prenez soin de vous.
18:51 Allez, on vous attend à l'antenne, au 0826 300 300.
18:55 Ne bougez pas, on revient dans un instant avec Nathalie.
18:58 Elle semble être dans un vide professionnel
19:01 et aimerait savoir si elle va pouvoir rebondir.
19:03 On en parle dans un instant.
19:05 - Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delovane.
19:10 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
19:15 - Et de retour sur Sud Radio, il est 16h30.
19:19 Alors je vous rappelle que nous sommes en direct live sur YouTube
19:21 et sur le live de Facebook.
19:23 Vous pouvez poster vos commentaires sur le groupe de Facebook à votre écoute.
19:27 Et je reviens sur le sujet de l'acceptation qui nous concerne à tous.
19:31 Être dans cette notion d'acceptation, c'est aussi prendre du recul
19:35 pour voir la situation sous un autre angle
19:38 et chercher des moyens créatifs de composer avec la situation.
19:42 Parce que l'acceptation peut offrir de nombreux bienfaits dans votre vie quotidienne.
19:47 Notamment sur la gestion de vos émotions afin de les contrôler,
19:52 sur là où les prises de décisions sont plus efficaces.
19:56 Et puis aussi sur l'amélioration des relations avec les autres.
20:01 Aussi celle de la réduction du stress.
20:04 Et ça vous permet de faire du lâcher prise.
20:07 Et si on écoutait à présent Nathalie. Bonjour Nathalie.
20:10 Bonjour Alexandre. Bienvenue sur Sud Radio.
20:13 Merci beaucoup.
20:15 Alors Nathalie, est-ce que vous-même vous êtes retrouvée dans une situation difficile face à l'acceptation ?
20:21 Alors oui, quand j'étais plus jeune, j'avais du mal parfois à accepter les situations qui ne me convenaient pas.
20:29 Et plus je vieillis, plus j'apprends à accepter ce qu'il y a et à me dire que tout est juste et bon.
20:36 Et ça provoquait en vous des réactions émotionnelles ?
20:39 Oui.
20:40 Quel genre de réaction ?
20:42 Du stress.
20:44 Du stress. Et vous mettiez du temps à pouvoir accepter,
20:48 même si on ne veut jamais forcément trop l'accepter,
20:51 mais à intégrer cette acceptation, vous mettiez du temps, beaucoup de temps à le faire ou pas ?
20:56 Oui, oui, avant oui.
20:59 D'accord. Qu'est-ce qui vous a donné,
21:01 excusez-moi de vous poser ces questions-là, mais je trouve ça intéressant,
21:04 qu'est-ce qui vous a amené à ce changement et d'être plus dans cette notion d'acceptation,
21:11 ce que vous n'étiez pas auparavant ?
21:13 C'est quoi ? C'est la vie ? C'est la maturité ? C'est la prise de recul ? Lâcher prise ? C'est quoi ?
21:18 Oui, c'est un peu tout ça.
21:20 La vie, les événements, les livres, écouter des conférences parfois, et puis la foi aussi.
21:29 D'accord. Merci Nathalie pour ces renseignements.
21:33 Je sais que vous appelez pour autre chose, et je reprends justement votre témoignage,
21:38 puisque vous dites vous-même que vous vous sentez être dans un vide professionnel,
21:44 et vous ne savez pas si vous allez pouvoir rebondir.
21:47 Tout ça n'est pas très optimiste, mais en attendant,
21:51 si vous appelez aujourd'hui, c'est que vous cherchez, vous avez une lueur d'espoir quand même,
21:55 et vous cherchez à avoir une bonne réponse.
21:57 Si mes informations sont bonnes, vous avez passé plus de 20 ans dans le secteur du tourisme,
22:02 et aujourd'hui, vous ne voulez plus de cette vie,
22:05 parce que ça a eu trop d'impact sur votre vie personnelle.
22:09 Il faut savoir que vous êtes séparée aussi depuis 9 ans du père de votre fils.
22:14 Votre fils aujourd'hui a 12 ans, c'est ça ?
22:16 Oui, bientôt 12 ans.
22:18 A ce jour, vous habitez en Occitanie, et pour des raisons professionnelles,
22:22 vous êtes souvent amenée à faire des allers-retours sur Paris,
22:26 et pour vous, ça devient très difficile, voire ingérable,
22:29 et notamment par rapport à l'équilibre de votre fils.
22:33 Alors Nathalie, êtes-vous déjà toujours dans le secteur du tourisme ?
22:38 Ou pas ?
22:39 Alors, pour l'instant, je ne suis pas sortie de mon entreprise,
22:44 je suis en arrêt, oui.
22:47 D'accord. Est-ce que vous avez évolué dans ce métier ?
22:51 Racontez-nous un petit peu.
22:52 Le tourisme, c'est large, qu'est-ce que vous faisiez dans le tourisme,
22:55 et comment vous avez évolué toutes ces années-là ?
22:57 J'ai occupé différents postes que j'ai voulus,
23:05 par contre, en étant maman aujourd'hui, en devant,
23:09 en habitant loin de mon lieu de travail, c'est très compliqué.
23:12 D'accord. Et vous faisiez quoi dans le tourisme ?
23:16 Je ne voudrais pas trop donner...
23:18 Ah d'accord, ok, ça vous appartient, il n'y a pas de souci,
23:22 excusez-moi d'être intrusif.
23:24 Bon, et aujourd'hui, quel est votre questionnement ?
23:32 Je suis en processus de sortie de mon entreprise,
23:37 et puis après, professionnellement, je ne sais pas trop vers quoi je vais me diriger.
23:45 D'accord. Alors, ce que j'entends, c'est que vous êtes en train de négocier
23:49 avec votre entreprise à départ ?
23:52 C'est bien ça ? Voilà, c'est clair.
23:54 Et aujourd'hui, c'est en cours de se faire,
23:57 et pour moi, j'ai l'impression que malgré tout, vous allez y arriver.
24:00 Est-ce que vous êtes assez confiante sur cette sortie ?
24:03 Oui, oui, oui.
24:05 Parce que pour moi, je pense que vous allez y arriver,
24:07 que ça va être positif.
24:09 Alors, ça demande encore quelques semaines,
24:11 mais je sens que d'ici cette fin d'année,
24:13 il y a moyen, il y a possibilité,
24:15 à ce que vous puissiez retrouver, en tous les cas,
24:19 un changement à ce niveau-là,
24:21 et que, administrativement, vous ayez passé le cap
24:23 et que vous soyez libéré de cette entreprise.
24:27 Ensuite, il y a besoin d'un temps de réflexion chez vous.
24:31 Il y a un besoin d'un temps de réflexion.
24:33 Alors, peut-être que justement, le fait d'être dans cette période,
24:36 un peu, on va dire, de stand-by,
24:38 cette période de réflexion, ça va vous permettre
24:40 de pouvoir faire peut-être un bilan de compétence sur vous,
24:43 peut-être de réfléchir sur le secteur
24:46 ou la voie dans laquelle vous devez vous diriger.
24:49 Mais je sens quand même qu'il y a des idées
24:52 qui sont là, qui sont présentes en vous,
24:56 et à la fois, il y a déjà un statut qui risque de se changer
25:01 ou qui risque de se modifier par rapport au statut
25:03 que vous aviez auparavant.
25:04 C'est-à-dire, quand je parle de statut,
25:06 je dirais que vous avez peut-être l'idée
25:09 de travailler de manière beaucoup plus autonome
25:11 et plus indépendante. Est-ce que c'est le cas ?
25:14 - Oui, oui, c'est le cas.
25:15 - D'accord. Donc, vous voulez créer quelque chose ?
25:18 - J'aimerais vendre des choses et créer, être autonome.
25:22 - Voilà, exactement. Et je pense que vous allez le faire.
25:24 Vous allez le faire, ça va demander du temps,
25:26 ça va demander de la réflexion,
25:28 ça va demander aussi un besoin peut-être...
25:31 Alors, je ne parle pas de formation,
25:33 mais un peu dans ce style-là.
25:35 C'est-à-dire que vous risquez,
25:37 durant cette période des un an,
25:39 parce que je vous sens un an de battement,
25:41 et durant ces un an, et bien là,
25:43 je vous sens dans cette notion d'apprentissage,
25:45 peut-être de petite formation,
25:47 pour vous permettre d'aller...
25:49 d'aller...
25:51 de mettre en place ce projet
25:55 et d'aller jusqu'au bout de votre réalisation.
25:58 Et ça, ça va être positif.
26:00 Il faut à peu près une période d'un an
26:02 avant d'arriver à ce changement-là.
26:04 Et progressivement, les choses se remettent en place,
26:07 les choses se positionnent pour vous.
26:09 Il y a un homme à vos côtés qui vous aidera.
26:12 Alors, je ne sais pas si aujourd'hui,
26:14 vous avez décidé de collaborer,
26:17 pas forcément de vous associer,
26:19 mais de collaborer avec un homme.
26:20 Et il y a un homme à vos côtés.
26:22 - Hum hum. - Bon, d'accord.
26:24 Alors, en tous les cas, ça viendra.
26:26 Et vous verrez que les choses se mettront en place pour vous.
26:30 Vraiment.
26:32 Vous serez beaucoup plus confiantes sur l'avenir.
26:35 Vous serez amenés à, peut-être,
26:37 à prendre plus de décisions,
26:40 et puis à pouvoir développer les choses
26:43 et à mettre en place de nouveaux projets
26:45 sur les mois et les années à venir, Nathalie.
26:49 - D'accord. - Merci à vous, Nathalie.
26:51 - Merci beaucoup. - Merci.
26:52 - Merci beaucoup, Alexandre. - Merci.
26:53 Prenez soin de vous.
26:55 - Merci, c'est gentil. Au revoir.
26:57 - Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delevanne.
27:01 - Et la parole est à Catherine.
27:03 Bonjour, Catherine.
27:04 - Bonjour, Alexandre.
27:06 - Bienvenue sur Sud Radio.
27:07 - C'est gentil, merci.
27:09 - Bon, vous avez une voix solaire.
27:10 - C'est le Sud. - C'est très bien.
27:12 - C'est le Sud. De quel Sud vous êtes ?
27:14 - Rodez. - Bon, très bien.
27:16 Vous avez du beau temps ?
27:17 - Non, il pleut.
27:19 - Oui, c'est un peu général, je crois.
27:21 - Mais ce n'est pas grave.
27:22 - Bon, ce n'est pas grave.
27:23 Est-ce que vous, vous avez été déjà face...
27:25 Vous avez fait face à une situation de non-acceptation,
27:29 mais vous avez dû accepter malgré tout ?
27:31 - Ben, souvent, oui.
27:34 - Souvent ? - Oui.
27:35 - Vous avez un petit exemple ?
27:37 - Chaque fois que j'ai eu des décès proches
27:41 ou des secrets d'amour,
27:43 et personnellement, j'ai beaucoup de mal à accepter.
27:48 Beaucoup, beaucoup, beaucoup.
27:50 J'ai beaucoup de mal à accepter.
27:51 Alors, je ne sais pas pourquoi,
27:52 peut-être parce que je suis très sensible.
27:57 Je trouve que c'est très dur d'accepter.
27:59 Il faut être très sage pour accepter.
28:01 - Oui, le terme est bien, je dirais, approprié.
28:06 Il faut être sage, oui, effectivement, pour accepter.
28:08 Ça demande beaucoup de recul sur soi
28:11 et aussi sur une gestion d'émotions particulière.
28:14 Mais vous avez réussi à le faire.
28:16 - Oui, je crois qu'en vieillissant,
28:22 on a plus d'expérience.
28:25 Et je crois qu'on relativise plus sur la vie, sur...
28:29 Vous voyez ?
28:30 - Exactement.
28:32 L'expérience nous amène à réfléchir autrement et différemment.
28:35 Il y a des personnes, des individus,
28:38 chacun a ses expériences de vie.
28:40 Il y a des individus où ça vient plus difficilement,
28:42 puis d'autres où on apprend avec l'expérience,
28:46 on apprend les leçons de la vie, comme on dit.
28:49 Alors, Catherine, je vais revenir sur votre interrogation.
28:54 Vous êtes avec votre compagnon depuis un an et demi
28:58 et vous le sentez justement stressé par son travail.
29:01 Vous n'habitez pas ensemble, c'est bien ça ?
29:03 - Oui.
29:04 - Vous vous êtes rencontré en faisant du sport,
29:06 donc ça c'est déjà pas mal comme activité.
29:08 Et vous avez échangé vos numéros,
29:11 vous vous êtes vu quelques fois,
29:12 ce qui vous a permis de sympathiser ensemble
29:15 et de tomber amoureux l'un de l'autre.
29:18 Alors est-ce que c'est le cas ?
29:19 Vous êtes vraiment amoureuse de lui, lui aussi ?
29:21 - Oui.
29:22 - Bon, très bien, il vous l'a dit ?
29:24 - Oui, oui, oui, tout à fait, oui.
29:27 - Et oui, sauf que vendredi dernier,
29:29 il s'est passé un événement surprenant
29:31 et ce qui vous amène à être aujourd'hui dans le doute
29:34 face à cette relation.
29:36 Alors racontez-nous un petit peu
29:38 comment vous avez vécu votre histoire jusqu'à présent
29:41 et quels sont les aspects positifs et négatifs
29:43 de cette relation
29:45 et qu'est-ce qui s'est passé vendredi dernier ?
29:47 - Vendredi dernier, il m'a dit qu'il venait
29:50 passer le week-end avec moi et puis voilà.
29:55 Et puis une demi-heure après, il m'a envoyé un SMS
29:59 en me disant qu'il préférait rester chez lui,
30:02 qu'il avait envie d'être seul.
30:05 Mais ce n'était pas la première fois qu'il me faisait ça
30:07 et donc il stresse beaucoup au travail
30:13 et puis il a eu des déchets autour de lui
30:16 et alors je ne sais pas si c'est à cause de ça,
30:22 je ne sais pas si il a remis notre couple en question.
30:25 C'est pour ça que je voudrais avoir votre avis,
30:29 votre clairvoyance.
30:31 - D'accord. Dans ses propos, ou en tout cas dans sa réponse,
30:36 vous avez senti qu'il vous cachait quelque chose ?
30:40 - Non.
30:41 - Non ? D'accord. Donc il avait juste besoin de son moment à lui,
30:45 il avait peut-être besoin de se retrouver aussi, non ?
30:49 - Oui, mais enfin ce n'est pas la première fois,
30:51 c'est la deuxième fois qu'il me fait ça.
30:53 Et étant donné en couple, c'est...
30:57 - Bien sûr, bien sûr.
30:59 Qu'est-ce qui vous donne le doute justement
31:03 par rapport à ce qu'il pourrait vivre à côté ?
31:07 Est-ce qu'il y a un élément majeur qui vous donnerait le doute à tout ça ?
31:11 - Non, non, non, il ne me trompe pas, je ne pense pas.
31:16 Non, je ne pense pas.
31:18 - D'accord. En tous les cas, moi de ce que je ressens vraiment,
31:21 Catherine, c'est que je ne sens pas de gros problèmes ou de grandes difficultés.
31:26 Je pense qu'effectivement, c'est un homme qui a un fonctionnement
31:29 de rythme très différent peut-être de vous.
31:32 Peut-être que l'engagement d'un week-end aurait pu lui faire peur.
31:36 Il a ce besoin de se retrouver avec ses repères, avec ses habitudes,
31:43 et s'abandonner à tout ça, ou en tous les cas,
31:47 s'abandonner à vous durant tout un week-end,
31:50 ça lui a peut-être ramené à une crainte et à une peur.
31:54 Et je ne sens pas que ça remette en cause votre relation.
31:58 Je crois vraiment que c'est son fonctionnement dans lequel il est aujourd'hui.
32:02 Donc, est-ce que vous avez essayé de discuter avec lui ?
32:06 Est-ce que vous avez essayé d'aborder le sujet ?
32:09 Peut-être pas ce jour-là, mais depuis vendredi dernier,
32:11 est-ce qu'il y a eu des échanges qui auraient pu, pour vous, vous rassurer un petit peu ?
32:16 - Non, parce qu'on ne peut pas trop discuter.
32:19 On ne peut pas trop discuter. Je n'ai pas ouvert la communication, je trouve.
32:24 - Alors, pour moi, je sens que vous allez discuter ensemble.
32:29 Vous allez essayer d'ouvrir la discussion.
32:31 Il faut peut-être le faire. Il faut peut-être provoquer,
32:35 parce que parfois, c'est important de créer un peu des électrochocs.
32:39 Mais il faut le faire parce que je sens que chez cet homme,
32:43 il n'y a rien en lien avec vous ou en rapport à une prise de conscience vis-à-vis de votre histoire
32:51 ou de prise de recul vis-à-vis de votre histoire,
32:54 mais tout simplement son rythme dans lequel il est.
32:58 Et je crois qu'il a une période de stress qui lui est tellement importante et tellement forte
33:05 que lui-même a du mal à pouvoir se libérer et à pouvoir donner dans l'amour,
33:11 notamment, peut-être même avec son entourage.
33:13 Donc, essayez. Essayez tout simplement, je ne dis pas de dépasser tout ça
33:18 ou de faire abstraction à ce problème, mais essayez de reprendre un dialogue,
33:23 d'essayer de discuter en face à face.
33:27 Et vous verrez qu'il va vous rassurer.
33:29 Et c'est peut-être aussi son fonctionnement.
33:31 Vous devez l'accepter tel qu'il est aujourd'hui.
33:34 - D'accord.
33:36 - Merci Catherine. Merci. N'hésitez pas.
33:39 - Je vous ferai un retour, Alexandre, d'accord ?
33:41 - Oui, avec plaisir.
33:42 - Parce que je trouve que c'est important pour les gens qui écoutent la radio d'avoir le retour.
33:46 - Évidemment. Et on adore les retours.
33:48 Merci à vous Catherine.
33:50 - Merci. Au revoir à tous.
33:52 - Allez, on se retrouve dans quelques minutes avec Lily.
33:55 Elle va nous parler de son parcours professionnel.
33:58 Elle tente d'aller vers une reconversion, mais pas n'importe laquelle.
34:02 On en parle dans un instant. Ne bougez pas et c'est sur Sud Radio.
34:06 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
34:11 - Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie.
34:14 Avant de retrouver les vraies voix, présentées par Philippe David et Cécile Dominibus.
34:18 Alors il vous reste encore quelques minutes pour passer à l'antenne de Sud Radio.
34:22 Et avant de retrouver Lily, je vais vous donner quelques conseils pour pratiquer l'acceptation.
34:28 Alors, cultiver la pleine conscience, c'est une pratique qui consiste à être pleinement présent
34:34 et attentif à l'instant présent et sans jugement.
34:38 Pratiquez l'auto-compassion, soyez gentil envers vous-même.
34:42 Identifiez les pensées négatives. En identifiant les pensées négatives,
34:47 cela peut vous aider à prendre du recul et à voir les choses sous un angle différent.
34:51 Pratiquez la gratitude, c'est un sujet que nous avons abordé hier.
34:56 Et se fixer aussi des limites saines, poser des limites qui vous permettent d'accepter
35:01 les situations difficiles en évitant des situations trop toxiques
35:06 et qui ne respectent pas vos besoins et vos valeurs.
35:09 Et la parole est à Lily. Bonjour Lily.
35:12 Bonjour Alexandre.
35:14 Bienvenue sur Sud Radio.
35:16 Merci de me recevoir.
35:18 Merci à vous. Alors Lily, je vais vous poser, comme tous nos autres auditeurs auparavant,
35:22 je vais vous poser la question du jour. Avez-vous été face à une difficulté sur l'acceptation ?
35:28 Sur l'acceptation, oui.
35:34 J'ai dû avec le temps accepter mon histoire, ce qui était intrinsèque à moi,
35:49 en évitant de chercher à le camoufler ou à le remettre droit.
35:58 Accepter que ça fasse partie de moi et que je dois vivre avec, tout simplement,
36:08 et sans servir de force ou de particularité.
36:12 Du moment où vous avez accepté ce genre de situation,
36:16 est-ce que vous avez senti en vous quelque chose se libérer d'une charge émotionnelle qui se libérait ?
36:22 Oui, plus la culpabilité de ne pas être comme tout le monde ou normée.
36:36 Très bien. Merci Lily. Alors aujourd'hui, vous vous posez des questions sur votre parcours professionnel.
36:41 Je rappelle que vous êtes conductrice de bus, c'est bien ça ?
36:45 Oui, c'est ça.
36:47 Jusqu'à présent, ça vous convient parce que vous êtes passionnée de moto ?
36:50 Oui, tout à fait. Je suis conductrice de bus depuis un an à peine.
36:55 C'est un tremplin pour moi, pour accéder à un prêt financier.
37:01 D'accord. Et quel est le lien avec la passion de la moto et le bus ?
37:05 Conduire.
37:07 C'est que de conduire, tout simplement. Parce que je pense que la sensation est un peu différente, quand même,
37:11 entre la moto et le bus.
37:13 Il y a quand même une sensation de hauteur, de la RIA, je ne sais pas.
37:22 D'accord.
37:23 Je ne sais pas comment l'expliquer.
37:25 Très bien. Alors, vous avez longtemps travaillé aussi dans le domaine du paramédical.
37:28 Tout à fait.
37:29 Et aujourd'hui, ce qui vous pousse et vous amène à vouloir aller dans un autre métier,
37:34 c'est lié justement à ce domaine de paramédical et pour aller vers le métier de psychothérapeute.
37:42 C'est bien ça ?
37:44 Tout à fait. Ça fait presque 5 ans maintenant que je suis des cours.
37:49 J'ai passé une première année de sexothérapie, une seconde de thérapie de couple.
37:54 Je vais enchaîner en octobre le langage des signes, parce que j'ai envie de pouvoir accueillir ce profil-là aussi,
38:03 de personnes sourdes et malentendantes.
38:06 Donc, j'avance. J'essaie de compléter ma formation.
38:14 D'accord. Alors là, on est vraiment sur un autre domaine totalement différent à celui d'une conductrice de bus.
38:21 Mais à la fois, je trouve que ce sont deux jolis parcours et très différents.
38:26 Et aujourd'hui, quel est votre questionnement ?
38:29 Alors ma question, c'est qu'il m'arrive, même si je suis toujours dans le contrôle lié avec la route,
38:36 conduire dans le contrôle, dans le luide, dans l'action, il m'arrive de douter.
38:42 Et c'est vrai que comme certaines de mes copines de promo qui ont déjà démarré leur activité de thérapeute,
38:53 je ne me sens pas encore prête ou légitime, on va dire.
39:00 Et bien que je pourrais le faire.
39:05 Et en fait, je voulais voir si vous voyez quelque chose.
39:09 Une réalisation.
39:10 Voilà.
39:11 Exactement. Alors oui, il y a une réalisation qui est amenée à se faire.
39:14 Et je crois que c'est un métier qui n'est pas nouveau pour vous.
39:18 Et vous l'avez bien dit, auparavant, vous étiez dans le paramédical.
39:20 Ça fait des années que vous frôlez, que vous avez mis un pied aussi dans ce secteur-là.
39:26 Mais aujourd'hui, vous êtes en train de vous révéler.
39:29 C'est très différent de ce que vous avez pu faire auparavant.
39:33 Auparavant, vous avez fait un métier et aujourd'hui, vous êtes en train de révéler une passion aussi.
39:37 Alors ça demande du temps.
39:39 Ça demande encore un petit peu de temps et vous l'avez bien dit.
39:42 C'est-à-dire que vous ne vous sentez pas encore à la hauteur de pouvoir vous sentir légitime.
39:51 Mais c'est en train de se mettre en place pour vous.
39:55 Et vous verrez que d'ici une période, une petite année,
39:58 et bien là, il y a des choses qui vont bouger, qui vont changer pour vous.
40:02 Et c'est un entourage près de vous qui va vous donner cette confiance pour vous lancer et vous permettre de vous réaliser.
40:08 Donc pour moi, allez, un an maximum et dans un an maximum, vous avez votre cabinet
40:13 et vous êtes, je dirais, une professionnelle en tant que psychothérapeute.
40:17 C'est ce que je ressens et il y a quelque chose qui doit finir de se valider aussi
40:21 au niveau de, soit d'une formation ou autre.
40:23 Et vous verrez qu'à partir de là, voilà, des choses vont se mettre en place.
40:26 N'hésitez pas Lily à nous rappeler et à nous tenir au courant de votre évolution.
40:31 D'accord ?
40:32 Merci Alexandre.
40:33 Merci à vous.
40:34 Et pour conclure, je dirais, l'acceptation est une clé pour avancer et faire face à la réalité.
40:41 Allez, on se donne rendez-vous demain.
40:42 Je vous attends à présent sur le groupe A votre Écoute de Facebook
40:45 avec les conseils du jour, les extraits de l'émission, ainsi que tous vos commentaires.
40:49 Et la place est au Vrai Voix avec Philippe David et Cécile Minubus.
40:53 Bonsoir Alexandre Deloval.
40:55 Vous allez renforme ?
40:57 Comme tous les jours.
40:58 Au menu des Vrais Voix, notre grand débat.
41:02 Léri Pécresse demande un SMIC différent en Ile-de-France puisque la vie y est plus chère.
41:06 Et on va vous poser cette question.
41:08 Faut-il régionaliser le SMIC ?
41:11 Parce qu'après tout, le logement c'est beaucoup moins cher à Guéret dans la Creuse qu'à Paris.
41:16 Mais il y a une question qui se pose aussi.
41:18 C'est qu'à Paris, on a des transports en commun alors qu'à Guéret dans la Creuse,
41:20 il faut avoir une voiture en général.
41:22 Et puis si on le régionalise, vraie question, quand on habite en Occitanie,
41:26 si on habite Toulouse ou la Rockdolme dans l'Ariège,
41:29 le prix de l'immobilier n'est pas le même non plus.
41:31 Donc vaste débat qu'on va avoir dans les Vrais Voix de Sud Radio à 17h30.
41:35 A 18h37, le coup de projecteur.
41:37 Une tribune de maires de grandes villes de France qui demande
41:40 de généraliser les enquêtes sur le patrimoine des trafiquants de drogue
41:44 pour pouvoir mettre à bas les réseaux.
41:46 Et on vous pose cette question.
41:47 Faut-il généraliser les enquêtes sur le patrimoine et le train de vie des trafiquants
41:51 pour lutter contre le trafic de drogue ?
41:54 Vous allez travailler avec les stups, vous connaissez un peu le sujet.
41:57 Vous voyez des gens qui touchent le RSA mais qui roulent en Porsche et qu'on n'embête pas.
42:01 Venez témoigner au 0826 300 300.
42:04 Avec Cécile de Ménibus, nos Vrais Voix du jour,
42:06 Philippe Billiger, Françoise Degoy et Sébastien Ménard.
42:09 Il y a du débat.
42:11 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
42:17 Avec Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email.