• l’année dernière
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##A_VOTRE_ECOUTE-2023-09-27##
Transcription
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente
00:06 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane
00:12 Bonjour à tous, alors ravi de vous accompagner durant cette heure.
00:22 Vous souhaitez passer à l'antenne, n'hésitez pas à appeler le 0800 26 300 300.
00:28 Hier, nous avons eu des témoignages avec des histoires insolites, notamment avec celui de Pierre,
00:34 puisque cet homme a rencontré sa compagne dans un cimetière,
00:38 comme quoi certains lieux ne sont pas uniquement des lieux de malchance ou de malheur.
00:43 Alors justement, aujourd'hui, nous allons aborder le sujet de la chance ou de la malchance.
00:48 Pensez-vous que la chance ou la malchance est seulement une croyance,
00:52 ou provoquée ou tout simplement influencée par nos choix de vie ?
00:56 Certains vous diront que la chance et la malchance n'existent que dans les choix que nous faisons face aux événements,
01:03 et d'autres pensent que ce qui apparaît comme une malchance aujourd'hui peut devenir une chance demain.
01:09 À 16h30, nous aurons Véron Garnier pour nous transmettre à tous notre message universel,
01:15 un peu comme une carte du ciel, mais par le biais du Tarot de Marseille.
01:19 Et est-ce que la chance sera au rendez-vous ? Elle nous le dira dans quelques minutes.
01:24 Vous souhaitez partager votre témoignage à l'antenne ? C'est le 0826 300 300.
01:29 Cette émission à votre écoute vous donne aussi la chance de vous exprimer et d'avoir une guidance sur votre futur.
01:35 Vous pouvez échanger, partager vos avis sur le groupe Facebook à votre écoute.
01:40 Nous sommes en direct live sur Youtube et sur le live de Facebook.
01:44 Et aujourd'hui, à la réalisation de l'émission, c'est Lucie, Vaustan Dard, Aude et Jordan.
01:49 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane.
01:54 Et j'accueille notre première auditrice qui se nomme Nathalie. Bonjour Nathalie.
02:00 Bonjour Alexandre.
02:01 Bienvenue sur Sud Radio.
02:03 Merci.
02:05 Alors, je vais vous poser la question du jour. Pensez-vous que la chance ou la malchance,
02:12 on se la crée ou elle peut être influencée ? Qu'en pensez-vous ?
02:18 Moi je dis que ça parait plutôt karma.
02:22 Donc c'est plutôt un héritage familial ou par rapport à des choix de vie que l'on fait.
02:29 Alors là, vous avez fait un petit parcours initiatique, on va dire spirituel, pour parler comme ça.
02:35 Quand vous parlez de karma.
02:37 Oui, je pense que ça influence l'héritage qu'on a et les choix qui en découlent derrière.
02:46 Et je pense que ça en découle la chance ou la malchance.
02:50 D'accord. Et vous, vous avez pris le chemin de cette chance ?
02:54 J'essaie.
02:56 J'aime pas dire malchance parce que je trouve que ça a une connotation négative,
03:00 mais c'est un mot qui existe et donc on peut le dire.
03:03 Mais vous essayez. Et vous arrivez à justement générer cette chance ?
03:08 Oui. Alors pas dans tous les domaines.
03:11 Pas dans tous les domaines, d'accord.
03:13 Mais vous avez un petit exemple ?
03:15 Dans mon travail, en tout cas, j'ai provoqué ma réussite professionnelle.
03:20 Je pense que ça m'a sourie jusque là.
03:24 Et au niveau amoureux, par contre, je pense que je...
03:27 C'est un peu plus compliqué.
03:29 Je me suis pas assez posé ma question.
03:31 Alors justement, Nathalie, on y vient parce que vous êtes séparée du papa de votre fils depuis deux ans.
03:36 Et donc en 2021, vous l'avez quitté pour des raisons d'incompatibilité.
03:42 Il provoquait en vous des énervements.
03:47 Il avait aussi des notions de crise de nerfs. C'est bien ça, hein ?
03:51 Oui, c'est tout à fait ça.
03:53 Alors pourriez-vous nous dire quel était son comportement et ses agissements envers vous ?
03:59 Déjà, c'est un test d'autant qu'il y a un manque de communication,
04:05 un manque d'implication dans des tâches, par exemple, ménagères.
04:11 L'implication au niveau du quotidien.
04:14 Des jalousies, fouilles dans le portable, interprétation de monstre de choses.
04:22 Et puis à me provoquer parce que connaissait mon tempérament un peu de feu.
04:27 Et à me provoquer jusqu'à provoquer la crise de nerfs chez moi.
04:34 D'accord. Alors c'est vrai que quand on est en couple, normalement, on se dit tout, on partage tout.
04:39 Mais peut-être que son attitude et son comportement et ses agissements
04:45 n'allaient pas dans le sens de la confiance que vous pouvez accorder dans un couple.
04:49 Et c'est peut-être ça qui vous a amené à réagir, j'imagine.
04:52 Oui, tout à fait. Complètement ça.
04:55 À ce jour, vous avez un enfant de 3 ans et demi.
04:57 Et lors de son arrivée, vous avez pris conscience que vous ne vouliez plus endurer ça.
05:03 Et vous avez fait donc une thérapie de couple ensemble.
05:06 Mais apparemment, ça n'a pas suffi.
05:09 Non, ça n'a pas suffi. Les thérapeutes étaient déjà assez pessimistes à notre arrivée.
05:15 C'est bizarre de l'entendre de la part d'un thérapeute.
05:18 Mais personne ne croyait vraiment.
05:20 Je pense qu'on est parti sur peut-être des mauvais thérapeutes.
05:24 Ou alors on n'a pas bien expliqué. Ou il était peut-être trop tard.
05:27 Mais ça n'a pas suffi à sauver notre couple.
05:30 Ou peut-être trop tôt.
05:32 Ah, peut-être.
05:34 Peut-être parce que lui, il était quand même dans cette démarche de faire cette thérapie.
05:39 Puisque vous l'avez fait ensemble.
05:40 Oui.
05:41 Il était dans cette notion de démarche.
05:42 Donc il attendait quoi de cette thérapie, du résultat de cette thérapie, d'une réussite ?
05:47 Oui. On était tous les deux dans cette attente.
05:50 Dans cette attente. D'accord.
05:52 Et qu'est-ce qui a fait que vous vous êtes séparés ?
05:55 Le fait qu'il manquait de maturité, d'implication, de projet de vie.
06:02 Et en fait, à l'arrivée de mon enfant, j'ai décidé que je n'avais plus besoin d'enfant.
06:11 Peut-être que je le mettais à l'échelle d'un enfant, cet homme.
06:15 Je ne lui ai peut-être pas laissé sa place d'homme.
06:17 Et du coup, une fois que j'ai eu mon enfant, je n'avais plus besoin d'enfant.
06:22 Ah, intéressant ce que vous dites.
06:25 Ça arrive souvent dans certains couples, où justement, quand la famille s'agrandit,
06:30 malheureusement, les choses changent et l'intimité du couple se modifie aussi.
06:34 Et parfois, on choisit le père de son enfant.
06:38 On pense avoir choisi l'homme de sa vie.
06:40 Et on choisit inconsciemment, mais on choisit le plus le père de son enfant que l'homme de sa vie.
06:45 Alors, aujourd'hui, malgré votre séparation, vous n'avez rêvé pas de vous défaire de cette histoire.
06:52 Et vous nous avez dit que vous le sentez toujours amoureux.
06:56 Quel est votre questionnement ?
06:58 Je voulais savoir s'il y avait un futur amoureux épanouissant avec lui,
07:05 une compatibilité de futur, une évolution, peu de conflits, une vie de famille possible,
07:13 ou si j'allais faire une rencontre amoureuse plus épanouissante.
07:18 Qu'est-ce que vous aimeriez au fond de vous, Nathalie ?
07:21 J'aurais aimé une vie de famille, mais est-ce que ça correspond vraiment à...
07:26 à une vie épanouissante ?
07:30 Moi, j'aurais voulu garder ce cocon qu'on avait créé.
07:34 Ce que je ressens en vous, c'est cette notion de nostalgie.
07:38 Et ce sentiment un peu de culpabilité de ne pas avoir pu aboutir ou aller jusqu'au bout des choses.
07:45 C'est-à-dire qu'à la fois, et alors après, je ne vais pas faire de la thérapie,
07:49 et ce n'est pas mon rôle non plus,
07:51 mais je crois qu'à un moment donné, tous les deux, vous avez été dans un jeu
07:54 où vous avez poussé l'un à pousser l'autre vers la sortie.
07:59 Et à la fois, il y avait ce besoin et cette nécessité de faire un break,
08:05 de faire peut-être une coupure, parce que votre dimension face à l'amour,
08:09 face à cette relation du couple, avait changé,
08:12 et lui, il n'arrivait pas à mûrir dans cette histoire.
08:16 Il n'arrivait pas à prendre sa place réellement.
08:18 Et c'est ce qui a amené à faire ce décalage.
08:22 Et aujourd'hui, il est peut-être temps, à nouveau, de vous réunir pour discuter,
08:26 pour voir quelles sont les possibilités,
08:29 et quel est aussi le climat de confiance sur lequel vous pourriez aller ensemble,
08:35 et ce que vous ne souhaitez plus, et ce que vous souhaitez avec cette personne.
08:39 Et à partir de là, c'est de prendre votre décision en tant qu'adulte.
08:44 Même si vous, vous considérez qu'il était un peu enfant dans sa manière de faire,
08:49 mais peut-être que vous aussi, vous l'y étiez.
08:51 Je crois qu'il y a toujours des fois, parfois, un effet miroir.
08:55 On n'est pas avec n'importe qui, et on ne rencontre pas n'importe qui aussi dans la vie.
09:01 C'est pour nous apprendre, pour nous permettre d'avancer, d'évoluer par rapport à ça.
09:05 Et justement, c'est peut-être de créer sa chance, et c'est le sujet d'aujourd'hui,
09:10 mais de créer sa chance, son ultime chance, pour se dire "essayons".
09:16 Et si, dans ce cas, il y a trop d'aspects négatifs qui vont empiéter sur votre existence,
09:22 peut-être que là, il faut arriver à mettre un terme sur votre réflexion,
09:27 et passer à autre chose, pour ne pas être toujours dans cette notion de culpabilité et d'attente.
09:32 Alors, bien sûr que vous attendez ma réponse, par rapport à mon ressenti, évidemment.
09:37 Pour moi, vous allez... Je ne vois pas de continuité, sincèrement.
09:42 Je pense que ce qui est important, c'est d'aller jusqu'au bout des choses.
09:47 C'est important d'essayer de le faire avec lui, pour aller jusqu'au bout de cette expérience.
09:52 Parce que sinon, vous allez avoir un sentiment d'inachevé,
09:56 et même par rapport à l'enfant, vous avez besoin d'aller jusqu'au bout.
09:59 Mais, de ce que je perçois, c'est que vous allez avoir une autre réalisation de vie sentimentale,
10:03 qui n'est pas là, enfin, qui n'est pas pour tout de suite, ça va demander un petit peu de temps,
10:08 parce que vous êtes encore dans cette notion de nostalgie, d'attachement,
10:12 enfin, il y a tout un parcours à suivre dans l'évolution des choses.
10:18 Et puis, dans une période d'un an, un an et demi, là, par contre,
10:22 vous êtes dans une belle réalisation sentimentale,
10:24 où là, vous allez pouvoir vous reconstruire sur un terrain solide.
10:28 - Bon, très bien.
10:30 - Alors, il vous reste un an et demi, peut-être, à essayer de donner cette chance-là.
10:34 - Eh bien, voilà, de remettre à plat les choses, tout à fait, d'aller au bout de ça.
10:37 - Voilà. - Merci beaucoup, Alexandre.
10:39 - N'hésitez pas à nous tenir au courant, et puis, même si ça a du sens, par rapport à ce que je vous ai dit,
10:43 et que ça a apporté une réflexion, vous pouvez nous rappeler, pour nous dire comment vous avez évolué,
10:48 et comment les choses ont pu s'arranger, ou s'arrêter, peut-être aussi. D'accord ?
10:54 - D'accord. Merci beaucoup, Alexandre. - Merci, prenez soin de vous.
10:57 - Merci. - Allez, on vous attend au stand-down, 0800 26 300 300.
11:01 On se retrouve dans quelques minutes avec Priscille Léa,
11:03 qui va nous raconter son parcours professionnel, sûrement très enrichissant.
11:07 A tout de suite.
11:08 - Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
11:14 - Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission.
11:17 Au programme de l'émission, eh bien, est-ce que la chance ou la malchance existent ?
11:22 Alors, le savez-vous que, lorsque certains événements de la vie nous amènent à avoir une vision limitée de la réalité,
11:29 ça provoque une réaction émotionnelle en exprimant "Oh, la chance ou la pas de chance".
11:35 Et ce qui nous amène à penser que nous n'avons pas toujours le contrôle sur ce qui nous arrive.
11:40 Vous souhaitez témoigner, poser des questions ? Je suis à votre écoute au 0800 26 300 300.
11:46 Et à présent, si on écoutait Priscille Léa. Bonjour Priscille Léa.
11:49 - Bonjour Alexandre, je suis ravie d'être avec vous. Merci beaucoup.
11:53 - Merci, vous avez une voix solaire, Priscille Léa.
11:56 - Moi j'ai un peu de mal avec la voix en ce moment, mais ça revient.
12:00 - Oui, j'entends. Ça va aller mieux.
12:02 - Mais on peut avoir une voix un peu moins solaire et avoir le cœur...
12:08 - Le cœur solaire, tout à fait. Exactement.
12:10 - Alors, justement Priscille Léa, puisque notre sujet du jour c'est sur la chance et la malchance,
12:17 est-ce que vous pensez qu'on peut avoir une influence pour provoquer la chance ou la malchance ?
12:24 - Alors pour moi, je ne crois pas à la malchance.
12:27 Je pense que ce sont des expériences qui sont mises sur notre chemin pour justement avancer.
12:35 Et en fait, des fois on se rend compte un peu plus tard que c'était une chance
12:39 et non pas de la malchance comme on aurait pu penser au tout début.
12:43 Donc pour moi, c'est toujours positif et je pense que nous sommes des apprentis de la vie.
12:48 Donc il faut prendre les choses comme ça.
12:53 - Est-ce que vous pensez qu'on peut cerner dès le départ si on en va vers une période de chance ou une période de malchance ?
13:00 Est-ce qu'on arrive à pouvoir le ressentir, à le cerner ?
13:03 - Oui, tout à fait. Mais après, il faut savoir justement prendre les choses comme elles viennent
13:11 et puis rester positif surtout. Je pense que c'est ça surtout. Et puis apprendre à chaque fois de la vie.
13:17 - Oui, d'être dans son libre arbitre peut-être aussi.
13:19 - Exactement.
13:21 - Priscillia, vous vous interrogez beaucoup sur le plan professionnel.
13:25 Vous dites que vous vous donnez tout de vous-même.
13:29 Peut-être qu'il y a des limites quand même.
13:33 Je plaisante.
13:34 Mais malgré tout cela, vous enchaînez des échecs professionnels.
13:38 Ce n'est pas moi qui le dis, c'est vous qui l'avez dit.
13:42 Je comprends que la vie est un peu difficile, que c'est dur de traverser des périodes aussi difficiles.
13:50 Mais enchaîner des échecs professionnels, c'est un peu dur de le penser comme ça, non ?
13:56 - Oui, c'est un peu dur. Mais finalement, c'est une constatation que j'ai faite.
14:02 Parce qu'en fait, je pense que je ne suis pas sur le bon chemin.
14:04 C'est vraiment la vision que j'en ai maintenant.
14:08 Parce que là, je vais sur une rupture conventionnelle.
14:10 Donc encore quelque chose qui se termine.
14:12 Mais dans un sens, quand je regarde bien, c'est une chance que je vais devoir saisir
14:18 pour partir sur autre chose et pour pouvoir créer ce que je veux.
14:22 - Alors là, c'est intéressant ce que vous êtes en train de dire.
14:24 Ça veut dire que grâce à cette malchance, ça vous donne la chance de pouvoir rebondir.
14:30 Donc de la malchance, on peut en faire de la chance.
14:32 - De la chance, exactement.
14:34 - Et pour quelle opportunité justement ?
14:36 - En fait, je voudrais créer ma propre société.
14:40 Et partir vraiment sur des ateliers chamaniques.
14:44 Donc oui, complètement.
14:48 - Alors pardonnez-moi, il n'y a rien de surprenant.
14:50 Mais j'imagine qu'auparavant, vous n'étiez pas dans ce genre de secteur d'activité.
14:54 - Pas du tout, pas du tout, Alexandre.
14:56 Je travaille pour l'armée en ce moment, donc vous voyez.
14:58 - Ah oui, effectivement.
15:00 Vous étiez sur le terrain à l'armée ?
15:04 - Alors, je travaille pour la sécurité de l'armée.
15:06 Donc oui, effectivement, je suis un peu sur le terrain aussi.
15:08 - D'accord, mais vous n'avez pas été dans les tribus amérindiennes ?
15:10 - Non.
15:12 - Non, ça vous aurait peut-être inspiré pour faire la sécurité des Indiens.
15:16 - Je n'ai pas encore fait ce voyage-là.
15:20 - Alors pourquoi vous êtes en arrivée à cette discipline
15:24 qui effectivement peut être aussi un métier, une activité ?
15:28 Pourquoi ?
15:30 - Tout à fait. Alors vous savez, depuis que je suis toute petite,
15:32 j'ai toujours été attirée par la spiritualité.
15:34 Et quand je jouais avec mes frères aux cow-boys, aux Indiens,
15:40 j'ai toujours voulu être une Indienne.
15:42 Je ne sais pas pourquoi, ça m'a toujours appelée.
15:44 Et justement, là j'ai l'appel du tambour qui arrive en ce moment,
15:48 et je vais fabriquer mon tambour chamanique.
15:50 Et je fais justement des ateliers autour de ça,
15:52 parce que vraiment ça m'inspire, ça me parle,
15:54 et je suis en joie quand je fais ça.
15:56 Donc c'est pour ça que j'aimerais vraiment,
15:58 enfin créer quelque chose autour de ça.
16:02 - Alors c'est une vocation, là ?
16:04 - Ben écoutez, ça m'appelle en tout cas.
16:08 - Ça t'appelle, effectivement.
16:10 Et le message que, enfin, bon, je comprends que vous ayez envie de faire ça,
16:14 mais quel est le message que vous aimeriez apporter à,
16:18 je ne sais pas si on appelle ça des clients, à des patients, à des élèves ?
16:23 Qu'est-ce que vous aimeriez leur apporter à eux ?
16:26 - Tout simplement, ça serait plus du développement personnel,
16:30 et aller un petit peu se retrouver soi, vous voyez,
16:34 parce que ça nous fait travailler sur nos peurs,
16:37 ça nous fait travailler sur beaucoup de choses,
16:40 et justement je voudrais que les personnes aillent jusque-là,
16:44 aillent dans leurs limites, dans leur zone de confort,
16:47 parce que moi-même je le fais,
16:49 et je trouve que c'est très très intéressant.
16:51 Et je pense que les gens sont en demande de ça.
16:53 - Et ça vous a beaucoup aidé, vous ?
16:55 - Oui, mais vraiment.
16:57 - D'accord, donc c'est avec cet enrichissement personnel et professionnel
17:01 que vous voulez apporter des compétences dans cette activité-là.
17:06 - Oui, l'activité, tout à fait.
17:08 - Et donc votre question, est-ce que ça va marcher, j'imagine ?
17:10 - Oui, oui, c'est ça.
17:12 - Alors, moi je vais vous répondre, tout simplement,
17:15 je pense que déjà, par rapport à votre activité précédente,
17:18 et aujourd'hui ce que vous êtes en train de faire,
17:20 il y a quand même, même si vous étiez peut-être dans un métier un peu administratif,
17:24 parce qu'au niveau de la sécurité de l'armée, j'imagine qu'il y a toute une partie administrative,
17:28 il y a quand même une gestion de l'humain, et de compréhension,
17:32 parce que c'est quand même un beau secteur d'activité, l'armée,
17:35 et donc, pour moi, vous avez déjà acquis une certaine, je dirais,
17:41 empathie envers l'humain, envers cet enrichissement-là, voyez ?
17:45 Donc, je sens que, oui, vous êtes dans cette volonté, dans ce choix décisif,
17:52 dans cette détermination d'aller dans cette voie-là,
17:56 et de vous accomplir en tant que thérapeute.
17:59 Ensuite, est-ce que ça va fonctionner ?
18:01 Oui, ça peut fonctionner, effectivement, je le sens bien.
18:05 Alors, bien sûr, comme toute discipline,
18:08 comme toute personne qui se met à son compte et qui est indépendante,
18:12 et bien, parfois, ça peut être difficile, avant de trouver un bon rythme régulier,
18:17 mais si vous appliquez l'intégrité, l'honnêteté, le respect vis-à-vis de l'individu,
18:22 déjà, ça fera parler de vous positivement, voyez ?
18:27 Et pour moi, oui, je sens que vous allez évoluer,
18:31 vous allez avancer avec le temps,
18:33 et on pourra donner un bon espoir sur cette activité.
18:36 Il faut juste, peut-être, prévoir une période, un peu,
18:41 une alternative pour avoir, peut-être, une activité en parallèle,
18:47 le temps que les choses se mettent en place,
18:49 et vous verrez qu'à partir de l'après, au bout de deux ans,
18:52 et bien, votre activité sera bien aussi.
18:54 - Ah, j'en ai des frissons, Alexandre !
18:57 - Eh bien, c'est très bien, je suis heureux de vous donner des frissons,
19:01 même s'il fait chaud aujourd'hui en France !
19:03 - Oui !
19:04 - Merci !
19:05 - Ah, merci, c'est un très beau message, merci beaucoup, Alexandre, en tout cas !
19:08 - Merci !
19:09 - Merci à votre équipe, également !
19:10 - Merci, Priscilla, et surtout, venez nous retrouver pour nous raconter votre expérience,
19:16 en tant que chaman, peut-être ?
19:18 - Oui, peut-être !
19:19 - Allez, merci, à bientôt !
19:21 - Allez, merci à vous, merci beaucoup, au revoir, Alex !
19:23 - On vous attend à l'antenne, au 0826 300 300, ne bougez pas, on revient dans un instant,
19:28 avec Véron Garnier, coach divinatoire,
19:31 elle va vous transmettre votre message universel de la semaine par le biais du Tarot de Marseille,
19:36 alors quelle est votre tendance à tous de la semaine ? On en parle dans un instant !
19:41 - Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
19:47 - Et de retour sur Sud Radio, alors il est pratiquement 16h30,
19:50 je vous rappelle que nous sommes en direct live sur Youtube et sur le live de Facebook,
19:55 vous pouvez aussi poster vos commentaires sur le groupe de Facebook à votre écoute.
19:59 Alors comme tout, les mercredis, on accueille notre chère Véron Garnier,
20:04 formatrice dans les arts divinatoires et coach divinatoire,
20:07 qui va nous transmettre votre message universel de la semaine.
20:10 Bonjour Véron !
20:12 - Bonjour Alexandre, et bonjour à tous !
20:14 - Bienvenue pour cette nouvelle semaine qui commence ensemble !
20:18 - Eh oui !
20:19 - Et ça va, vous allez bien ?
20:20 - Très très bien, c'est toujours un plaisir d'être avec vous !
20:23 - Bon, alors Véron, j'espère qu'il y a de bonnes nouvelles pour la semaine ?
20:28 - De toute façon, toutes les cartes du Tarot annoncent de toute façon,
20:33 elles sont toujours positives, voilà, comme ça.
20:36 - Mais, quelle est la carte aujourd'hui ?
20:38 - Alors aujourd'hui, nous explorons le message de la semaine
20:40 à travers la symbolique de la lame 10, la roue de fortune.
20:44 Attention à ne pas confondre avec la roue de la fortune, d'accord ?
20:46 C'est la roue de fortune.
20:48 Et cette carte, elle va représenter la vie avec ses hauts et ses bas,
20:52 elle symbolise les nouveaux cycles de vie,
20:54 la chance, ou ce que l'on nomme aussi la malchance,
20:57 elle nous rappelle que le changement est inévitable,
21:00 car tout est cyclique, que tout a un début et une fin dans ce monde matériel,
21:04 mais que par cette même loi, il y aura toujours de nouveaux débuts,
21:08 et je dirais que c'est magique aussi dans la vie.
21:10 Alors, vous êtes peut-être en ce moment confrontés à des changements inattendus,
21:14 à des coups de théâtre, sous domaine confondu,
21:17 très positifs pour certains et c'est tant mieux,
21:20 ou bien encore défavorables pour d'autres.
21:22 Alors, si cela vous semble négatif, ne laissez pas ces changements vous décourager,
21:27 au contraire, restez confiants, car la chance peut toujours tourner en votre faveur.
21:33 Et oui, on dit la roue tourne.
21:35 Et oui.
21:36 Et puis parfois, assez souvent même, je dirais,
21:39 ce que l'on appelle la chance peut être caché dans un événement
21:42 que l'on va qualifier au premier abord de malchance.
21:45 Je vous ai tous certainement déjà dit, finalement c'était un mal pour un bien.
21:50 Alors, c'est vrai, les hauts et les bas peuvent sembler déstabilisants,
21:54 mais je dirais que c'est l'histoire de la vie, le hasard n'existe pas,
21:57 tout est une histoire de cause et exception.
21:59 Exactement. Alors Véron, par quel moyen on peut attirer la chance à soi ?
22:03 Alors, par pas mal de choses.
22:05 Si on veut attirer la chance, oui.
22:07 Alors déjà, en un, il est primordial de penser de manière positive,
22:12 parce qu'on récolte ce que l'on sème.
22:14 Imaginez un jardin où vous semez des graines de pissenlit,
22:17 vous ne pouvez pas vous attendre à récolter des roses.
22:19 Alors, en premier lieu, reprenez le pouvoir sur vos émotions et vos pensées,
22:24 faites en sorte de toujours le verre, de voir le verre à moitié plein et non à moitié vide.
22:28 Mais ensuite, il y a des aides, vous pouvez aussi porter sur vous
22:32 une citrine naturelle ou une topaz impériale, par exemple.
22:35 Ces deux pierres magnifiques sont connectées au soleil,
22:38 elles vous aideront à maintenir une belle énergie,
22:40 à vous sentir positif et plein d'élan.
22:42 Il y a aussi l'enceinte pontificale, l'enceinte chantale, la sauge, la lavande.
22:46 Ça, c'est aussi très bénéfique pour attirer à soi les bonnes ondes.
22:49 Mais pour conclure, n'oubliez jamais que vous avez le pouvoir de façonner votre destinée.
22:54 Les amulettes, les pierres, les talismans, les grilleries, tout ce que vous voulez,
22:58 ne sont que des aides d'ancrage.
23:00 Vous détenez quand même le plus grand pouvoir qui soit,
23:03 celui de faire tourner la roue de la vie dans le sens que vous souhaitez.
23:06 Et voilà, c'était le beau message.
23:08 - Mais c'est magnifique, c'est super, ça va nous donner de l'énergie, de la force et de la chance,
23:13 surtout parce que c'est le sujet du jour, Vérone.
23:16 Donc merci vraiment à nouveau de votre intervention et on se retrouve mercredi prochain ?
23:22 - Eh bien oui, c'est moi qui vous remercie et à mercredi prochain. Au revoir Alexandre, au revoir tout le monde.
23:26 - Merci, prenez soin de vous Vérone. - Merci.
23:29 - Allez, maintenant la parole est à Charlène.
23:33 - Bonjour Alexandre, je suis ravie d'être à l'antenne avec vous
23:37 et je vous suis depuis très longtemps déjà.
23:39 - Oh, c'est très gentil. Depuis combien de temps ?
23:41 - Oh, depuis au moins trois ans avec... - C'est pas assez, c'est pas assez Charlène.
23:47 - Oui, oui, mais avant je n'avais pas connaissance de ce genre de...
23:51 - Mais c'est pas grave, je vous en veux pas. On vous aime comme ça, d'accord ?
23:56 - Ça marche, merci. - Je plaisante.
23:58 Alors Charlène, puisque c'est la question du jour,
24:01 est-ce que vous pensez que la chance ou la malchance,
24:04 on se la crée ou on peut influencer tout ça ?
24:08 - Alors moi je fonctionne avec deux principes par rapport à ça.
24:12 Alors comme Vérone, en fait je pense toujours qu'il faut voir le verre à moitié plein.
24:17 Et c'est un peu mon état d'esprit.
24:20 Je crois beaucoup à cet adage qui dit qu'on attire ce que l'on est.
24:24 Voilà, donc...
24:26 Et ensuite, je pense qu'on a toujours à penser que notre révolution
24:33 et on est dans un cheminement d'évolution personnelle.
24:37 Et même les mauvaises expériences, on peut en tirer des leçons de vie
24:44 et je pense qu'on en ressort toujours gagnant.
24:48 - Oui, effectivement.
24:49 Alors justement, vous nous appelez, vous soutez témoigné par rapport à votre couple.
24:55 Vous êtes dans une relation et vous souffrez d'un manque d'harmonie dans votre couple.
25:01 Vous dites que lorsque vous avez rencontré cet homme,
25:04 vous avez eu le sentiment de l'avoir rencontré dans une autre vie.
25:09 Alors on reviendra sur ce sujet car j'aimerais avoir un petit peu plus de précision à ce niveau-là.
25:15 Mais au fil des années, votre relation est devenue très conflictuelle
25:18 et vous avez traversé beaucoup de fragilité, de difficultés.
25:21 Ensemble, vous avez des caractères plutôt opposés.
25:25 Et aujourd'hui, votre relation devient un peu plus violente.
25:29 Alors je ne sais pas si c'est violente par les mots ou physiquement, mais vous allez nous le dire.
25:35 Maintenant, est-ce que vous pourriez me dire pourquoi vous avez eu le sentiment
25:39 de l'avoir déjà rencontré dans une autre vie ?
25:42 - Alors en fait, quand on s'est rencontré, moi je fonctionne, j'ai énormément de timidité,
25:47 je suis très très mal à l'aise dans les nouvelles expériences, les nouvelles relations.
25:53 Je ne vais pas forcément au contexte facilement, je jauge beaucoup.
25:57 Et quand je l'ai rencontré, ça a été comme une évidence.
26:00 Il n'y a eu aucun frein, ça a été comme si on se connaissait depuis longtemps.
26:08 Pas de sentiment de honte ou le sentiment d'avoir envie de cacher certaines choses
26:16 pour éviter de faire peur, parce que bon, moi je suis très spirituelle aussi,
26:21 donc des fois on n'ose pas trop en dire de peur de se faire passer pour des...
26:27 - Des illuminés.
26:29 - Des illuminés, c'est ça, tout à fait.
26:31 Et donc avec lui, non.
26:34 Ça a été simple, ça a été très simple.
26:37 - Il a été dans la compréhension.
26:39 - Exactement, totalement.
26:41 Et puis on a ouvert notre cœur l'un à l'autre de suite.
26:45 - D'accord.
26:46 Donc il y a une alchimie qui s'est créée, mais aujourd'hui c'est plus difficile.
26:50 On parle de violence, c'est quoi cette violence ?
26:53 - Alors il y a eu des scènes de...
26:55 Alors quand je parle de violence, il m'a poussée.
26:58 Donc moi, étant donné que j'ai eu un premier mariage où il y a eu de la violence conjugale,
27:04 c'est vrai que ça m'a interpellée, tout de suite.
27:07 Je lui ai pas laissé de chance en fait.
27:10 - D'accord.
27:11 - Donc finalement ça s'est passé qu'une fois.
27:14 Évidemment ça n'a pas à se produire, mais il s'en est voulu.
27:18 Et moi en fait, je lui ai laissé aucune chance de parler ou quoi ou qu'est-ce.
27:23 Parce que du fait de ma première expérience.
27:25 - Bien sûr.
27:26 - Et puis Lémon aussi, mais c'est quelqu'un qui a énormément souffert dans sa jeunesse,
27:32 qui n'a pas connu l'amour maternel ni paternel,
27:35 qui a été torturé vraiment par ses parents, physiquement, mentalement.
27:39 Donc des fois je me dis...
27:41 Il est...
27:43 Enfin, dans son amour, il est très très très entier.
27:48 Et c'est un homme d'une dévotion sans égale.
27:54 Le problème c'est que quand il perd prise,
27:57 et quand il a l'impression de perdre quelque chose ou quelqu'un,
28:00 en l'occurrence moi,
28:02 il peut devenir dur.
28:04 Dur parce qu'il a peur que des choses lui échappent.
28:07 - D'accord.
28:08 - Voilà.
28:09 - D'accord.
28:10 Et aujourd'hui quel est votre questionnement ?
28:12 - Alors en fait aujourd'hui, ce qui s'est passé,
28:14 c'est qu'on a décidé de vivre chacun de notre côté
28:18 et de se voir pour les bons moments.
28:20 Les échanges, les sorties,
28:23 venir vivre à la maison quand tout va bien,
28:26 mais dès qu'on sent,
28:29 parce que maintenant il arrive à ressentir la boîte ultra terre à terre,
28:32 il arrive à ressentir les énergies qui se dégagent.
28:35 Et l'autre jour il m'a dit "toi je te sens pas bien".
28:37 Ouais, effectivement, ça a commencé à monter.
28:39 Et donc maintenant en fait,
28:41 on a décidé d'avoir notre petit sac de décompression,
28:44 chacun chez soi,
28:46 et de se retrouver,
28:48 on se voit très souvent, enfin tout le temps quasiment,
28:50 mais avoir notre petit sac de décompression au cas où,
28:53 parce qu'on n'a pas envie de se perdre,
28:55 on a besoin l'un de l'autre.
28:56 Et en fait je voulais savoir moi,
28:58 comment évoluerait notre relation,
29:00 parce que là ça va,
29:02 mais ça va mieux depuis,
29:04 mais j'ai besoin d'être rassurée par rapport à ça,
29:07 parce qu'on a vécu quand même des moments compliqués.
29:09 Bien sûr.
29:10 Ça fait combien de temps que vous êtes ensemble ?
29:12 Oh, ça fait un an et demi.
29:14 Un an et demi.
29:15 Vous avez beaucoup,
29:16 j'ai l'impression que votre histoire,
29:17 quand vous la racontez,
29:18 ça a l'air que ça fait des années que vous êtes ensemble.
29:20 Vous avez peut-être été trop vite justement dans cette histoire.
29:23 Pour moi, je crois que vous avez trouvé le bon tempo,
29:26 le bon rythme,
29:28 pour justement peut-être tempérer tout ce qui est en rapport
29:31 à des débordements émotionnels,
29:33 parce que ce que je ressens tout simplement,
29:34 c'est que vous êtes dans les excès.
29:36 C'est-à-dire que,
29:38 bon, c'est pas un reproche et un jugement,
29:40 mais parfois être trop dans le côté,
29:42 je dirais excessif,
29:43 autant sur l'ouverture d'esprit ou la spiritualité,
29:47 autant sur des règles de vie
29:50 ou des choses sur lesquelles vous ne laissez pas passer
29:53 ou de certaines valeurs,
29:54 peuvent être parfois un peu excessives.
29:56 Et justement, il faut régler tous ces aspects-là
30:01 pour que vous puissiez trouver un rythme
30:03 et avancer dans l'avenir.
30:05 Mais je sens que votre histoire n'est pas terminée.
30:08 Je sens que vous avez besoin, justement,
30:10 de mieux vous connaître,
30:13 même si vous avez l'impression de vous connaître
30:15 et qu'il y a une évidence,
30:16 mais il y a peut-être des étapes qui ont été échappées
30:19 ou qui se sont échappées
30:21 et que vous avez peut-être été trop vite sur cet aspect-là.
30:24 Et c'est important de modérer,
30:27 de prendre du recul,
30:28 de vivre à ce rythme-là pour redonner un souffle,
30:32 parce que je sens qu'il y a un souffle
30:33 qui est en train de se mettre en place,
30:35 un nouveau souffle pour vous.
30:37 Alors, je vais faire une tentative, voyez.
30:40 C'est la première fois que je vais le faire,
30:42 mais vous allez rester avec nous, à l'antenne,
30:45 vraiment, Charlène,
30:46 et je vais prendre notre prochain auditeur, qui est Fred.
30:49 Je vais dire bonjour à Fred.
30:51 Bonjour Fred.
30:52 - Bonjour Alexandre.
30:54 - Alors, excusez-moi,
30:55 mais je vous fais participer à cette conversation
30:58 et je n'ai pas demandé l'autorisation à Charlène,
31:00 mais je me suis permis de le faire
31:02 parce que je trouve que ça peut être intéressant.
31:04 Vous êtes un homme,
31:05 vous qui avez vécu une expérience,
31:07 parce qu'on va aller sur votre histoire aussi,
31:09 mais vous qui avez vécu une expérience,
31:11 est-ce que, si vous avez pu entendre le témoignage de Charlène,
31:15 est-ce que vous, en tant qu'homme,
31:17 vous pourriez peut-être apporter une idée, un conseil ?
31:21 - Euh, non, pas...
31:23 - Vous avez pu entendre un petit peu son témoignage ?
31:26 - Oui, un tout petit peu,
31:27 mais parce que ça a commencé quand on m'avait mis en ligne, en fait.
31:30 - D'accord, ok.
31:31 D'accord, mais en tous les cas, c'était peut-être,
31:33 s'il y avait eu une information qui aurait pu se faire,
31:37 ça aurait pu être intéressant d'avoir un avis extérieur d'un auditeur,
31:43 c'est pour ça que j'ai tenté de le faire.
31:45 Mais pour moi, Charlène, vous êtes toujours là.
31:48 Vous êtes là, Charlène.
31:50 Ah, je vais peut-être perdre Charlène.
31:52 En tous les cas, ce qui me semble positif pour vous,
31:56 c'est justement d'être dans cette notion d'écoute
31:58 et dans cette notion de possibilité d'avancer ensemble,
32:02 de se poser les bonnes questions.
32:04 N'hésitez pas à nous tenir au courant
32:07 et n'hésitez pas à nous tenir informés de la suite, Charlène.
32:11 D'accord ?
32:12 - D'accord, merci beaucoup.
32:13 - Merci à vous.
32:14 - Merci, Alexandre.
32:15 - Merci.
32:16 Et je reprends Fred.
32:18 Alors Fred, vous avez vécu plusieurs relations
32:22 qui, à ce jour, sont toutes terminées.
32:25 Vous êtes resté 20 ans avec votre ex-compagne
32:28 et ensuite deux ans avec une femme.
32:31 Et vous avez préféré mettre un terme à cette relation
32:35 parce que vous sentez que vous n'avez aucun contrôle
32:38 avec ces enfants.
32:40 Vous aviez une vision différente de l'éducation.
32:43 Qu'est-ce qui était pour vous important
32:47 sur cette notion d'éducation ?
32:50 - Ouais, comme elle élevait ses enfants tout seul,
32:54 c'était assez dur, quoi, en fait.
32:56 - C'était dur, d'accord.
32:57 - Et puis, qu'il commandait, quoi, en fait.
32:59 - D'accord.
33:00 Ah oui, ça veut dire qu'il prenait le dessus un peu
33:02 sur le foyer familial.
33:03 - Il prenait le dessus, ouais, en fait.
33:04 - D'accord.
33:05 Et pour vous, ça a été difficile ?
33:06 - Ouais.
33:07 - Alors, vous avez donc décidé d'arrêter aujourd'hui.
33:08 Vous êtes dans une histoire depuis un mois.
33:11 - Depuis un mois, oui.
33:12 - Voilà.
33:13 Et à ce jour, vous ne souhaitez pas continuer cette histoire.
33:16 - En fait, je ne sais pas si ça va continuer ou pas.
33:18 C'est pour ça que je l'ai...
33:20 - Pour quelle raison vous vous posez autant de questions ?
33:23 - Je ne sais pas.
33:24 Je ne suis plus sûr de moi, en fait, je pense.
33:26 - Vous n'êtes pas sûr de vous.
33:27 - Non, non.
33:28 - Mais est-ce que vous avez un problème ?
33:31 Est-ce que le sentiment disparaît un peu ?
33:34 - Non, le sentiment ne disparaît pas,
33:37 mais en fait, j'ai l'impression que ça n'avancera pas, quoi.
33:42 - Hum, d'accord.
33:44 Alors, bon, moi, de ce que je ressens par rapport à cette histoire,
33:48 c'est qu'effectivement, je sens un blocage vraiment frais.
33:51 Peut-être qu'elle a une manière de vivre ou d'être
33:54 ou d'attitude, de comportement, de personnalité
33:57 qui n'est peut-être pas le même de ce que vous attendez d'une femme.
34:01 Donc, c'est un peu compliqué pour avoir cette notion de stabilité.
34:06 Après, ce que j'aurais tendance à dire,
34:08 c'est que si vous avez du mal aujourd'hui à vous stabiliser
34:11 dans une histoire sentimentale,
34:13 ce n'est pas à cause de vous et à cause des autres.
34:16 Il est important de se remettre en question, certes.
34:19 Mais je crois que c'est surtout peut-être au niveau de l'entourage.
34:23 Alors, là, je ne suis pas en train de dire que c'est à cause de l'entourage,
34:26 mais attention, travaillez bien votre...
34:28 Ou travaillez, c'est un mot, mais je veux dire,
34:31 soyez prudent sur les réseaux dans lesquels vous êtes
34:35 ou les rencontres vers lesquelles vous allez,
34:40 parce que c'est là où je vous sens un peu vous perdre
34:43 et ne pas être dans ces bons réseaux, dans ces bonnes influences
34:47 et ne pas vous donner les bonnes rencontres.
34:49 C'est ce que vous pensez aussi ?
34:51 Oui.
34:52 Alors, il faut du temps pour que ça se modifie, pour changer.
34:56 Mais vous verrez que pour moi, ça va se modifier.
34:58 Et à partir de ce printemps 2024,
35:03 là, je vous sens dans une véritable réalisation.
35:05 Mais avant, d'ici la fin de l'année,
35:08 il y a quand même une histoire qui sera importante,
35:10 mais d'une femme avec beaucoup de fragilité.
35:13 Et c'est elle qui risque de vouloir peut-être ne pas aller plus loin
35:16 parce qu'elle se sentira trop fragile pour pouvoir assumer cette relation.
35:20 Et au printemps, tout ira beaucoup mieux.
35:23 Ok.
35:24 Merci Fred de votre intervention.
35:26 Je vous remercie. Au revoir, bonne journée.
35:28 Merci.
35:29 Merci à vous David.
35:30 Allez, on se retrouve dans quelques minutes avec Mireille
35:32 pour un éclaircissement concernant son avenir professionnel.
35:35 On en parle dans un instant, ne bougez pas, c'est sur Sud Radio.
35:38 13h17, Alexandre Delovane.
35:41 Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie,
35:44 pour retrouver les vraies voix présentées par Philippe David et Cécile Dominibus.
35:47 Alors, il vous reste quelques minutes pour passer à l'antenne de Sud Radio.
35:51 Avant de retrouver Mireille, je vais vous donner quelques conseils
35:54 pour vous protéger de la malchance.
35:57 Dans un premier temps, adoptez des rituels
35:59 ou peut-être des petits riris qui pourraient vous porter chance.
36:02 Entourez-vous de bonnes personnes qui vous valorisent.
36:05 Nourrissez-vous de la réussite et de personnes brillantes.
36:10 Ne limitez pas votre pensée vers une seule croyance,
36:13 mais acceptez la réalité pour en changer votre existence.
36:16 Et la dernière chose, le libre arbitre détermine si on se donne la chance ou pas.
36:22 Et la parole est à Mireille. Bonjour Mireille.
36:25 Bonjour Alexandre.
36:26 Bienvenue sur Sud Radio.
36:27 Bonjour à tous. Merci, c'est gentil.
36:30 Alors, je reviens sur cette question du jour.
36:32 Est-ce que vous, vous avez ce sentiment
36:34 qu'on peut influencer la chance ou la malchance ?
36:38 Peut-être. Quand on m'a posé la question tout à l'heure,
36:41 j'avais dit non, mais c'est vrai qu'en y réfléchissant,
36:44 inconsciemment, oui, je pense qu'on l'influence peut-être.
36:48 On l'influence, d'accord.
36:50 Mireille, vous souhaitez avoir un éclaircissement sur votre avenir professionnel
36:54 parce que vous avez le sentiment qu'en ce moment, vous stagnez.
36:57 Oh, c'est pas un sentiment.
36:59 C'est plus qu'un sentiment.
37:01 Oui, oui, oui, c'est une... oui, c'est une... c'est concret.
37:04 J'stagne depuis des années.
37:06 Depuis combien de temps ?
37:08 Ouf, ça va faire... oui, dix ans, en fait, je suis dans la restauration.
37:13 J'aime ça. Ils aimaient ça longtemps.
37:16 Ça fait quelques années que j'ai envie de m'en sortir.
37:18 Le problème, c'est qu'il y a un manque de confiance.
37:21 Après, élever son enfant.
37:23 Après, en fait, on replonge toujours dans les mêmes...
37:27 Je prends pas mon envol.
37:29 Enfin, j'ose pas, donc je continue à faire des choses
37:33 qui ne me plaisent plus forcément, quoi,
37:36 mais je sais pas quoi faire d'autre
37:38 et je sais pas vers quoi me diriger et je stagne.
37:41 Et je me dis qu'un jour, je vais avoir un déclic ou pas.
37:44 Bien sûr. Vous remettez en question votre secteur d'activité ?
37:48 Comment ça ?
37:51 Est-ce que vous avez pour intention d'aller vers une reconversion
37:54 ou est-ce que vous voulez continuer dans le métier de la restauration ?
37:57 En fait, des fois, j'aimerais bien me sortir de ça.
38:01 Le problème, c'est que ça fait tellement longtemps que j'y suis
38:04 que je me vois pas faire autre chose.
38:06 Et c'est un peu conflictuel dans ma tête, du coup.
38:09 D'accord. Alors, qu'est-ce qui bloque jusqu'à présent ?
38:12 À chaque fois, quels sont les blocages que vous avez dans le travail ?
38:16 Alors, dans le travail en lui-même,
38:18 non, en fait, c'est un métier que j'ai bien aimé.
38:20 Après, physiquement, ça devient fatigant.
38:22 Enfin, voilà, c'est de la restauration.
38:24 Peut-être changer ailleurs, trouver un autre restaurant ailleurs.
38:27 Mon gros problème, en fait, je pense que c'est mon manque de confiance en moi.
38:32 Mon manque d'inertie, d'aller de l'avant, en fait.
38:38 D'accord. C'est étrange parce que quand je vous entends
38:41 et de ce que je ressens de vous,
38:43 j'ai l'impression qu'il y a un souci de reconnaissance.
38:46 C'est-à-dire que par rapport à vos expériences que vous avez eues,
38:50 on vous a pas toujours donné cette notion de reconnaissance en vous.
38:55 Et je crois que ça, ça a été peut-être pénalisant
38:59 pour pouvoir avancer, pour pouvoir peut-être à un moment donné
39:03 mettre de l'avant vos talents et vos capacités.
39:06 Et puis, il y a eu auparavant,
39:08 mais c'est peut-être pas sur votre dernière expérience,
39:11 mais il y a eu peut-être la possibilité de vous investir
39:15 sur une entreprise, ou en tous les cas sur un restaurant,
39:18 où vous avez donné beaucoup, beaucoup.
39:20 Et il y a un sentiment qu'on a pu profiter
39:22 ou qu'il y a eu quelque chose qui s'est mal passé.
39:24 Est-ce que ça a été le cas pour vous ?
39:26 Oui, oui, oui, ça a été le cas.
39:29 Ça s'est mal terminé, c'est sûr.
39:31 Oui, même plusieurs fois en fait.
39:34 Je peux, je peux, ouais.
39:36 Et c'est pour ça, quand vous parlez d'un problème de confiance en vous,
39:39 ce problème de confiance en vous,
39:41 peut-être que vous l'attendez de l'extérieur,
39:45 sur lequel vous auriez aimé,
39:47 que ça vous donne de la motivation, de l'ania,
39:51 qu'on vous encourage, qu'on vous valorise,
39:53 et on ne vous a pas donné cette possibilité-là
39:55 ou cette capacité-là.
39:57 Et aujourd'hui, ça remet tout en question
40:00 votre cheminement professionnel
40:03 et sur la voie dans laquelle vous devez vous diriger.
40:05 Alors, pour moi, je sens qu'il y a un besoin
40:09 peut-être d'un métier,
40:11 soit de service ou d'aide à la personne.
40:13 Il y a quelque chose dans ce sens-là qui semble ressortir.
40:16 Quand je dis d'aide à la personne,
40:18 ce n'est pas forcément pour être auxiliaire de vie,
40:21 ou autre, pas forcément ce métier-là.
40:23 Mais peut-être que ça peut tout simplement
40:25 être toujours en lien avec un métier alimentaire,
40:29 d'alimentation, de restauration,
40:31 où vous pouvez peut-être faire quelque chose,
40:34 vous introduire, ou en tous les cas,
40:37 intégrer une association
40:39 qui est en lien à la relation humaine,
40:43 à l'entraide, à cette notion-là.
40:46 Et là, vous verrez que vous aurez la possibilité
40:49 de vous sentir reconnu, valorisé,
40:52 et surtout de pouvoir trouver
40:55 un travail qui vous équilibre.
40:58 - C'est ça.
41:00 - Parce que je sens que chez vous,
41:03 il y a cette fragilité et vraiment de soucis
41:06 un petit peu de valorisation et de reconnaissance.
41:09 Mais après, au niveau du secteur d'activité,
41:11 ça se modifie un peu, mais pas énormément.
41:14 Je ne vous sens pas changer du tout autour.
41:16 - D'accord.
41:18 - Parce que j'avais en tête, peut-être,
41:22 mais sans grande persuasion,
41:24 je sais qu'il y a des formations de réflexiologie,
41:26 de choses comme ça, qui se créent.
41:28 Et j'étais plus ou moins intéressée par ça,
41:31 mais quand je vois, ça demande quand même
41:34 peut-être un peu plus d'études,
41:36 et j'ai 53 ans, donc...
41:39 - Oui, mais moi je vous encourage à le faire,
41:42 bien entendu, il faut toujours vivre son expérience.
41:44 Après, de ce que je perçois,
41:46 pour se mettre à son compte et se réaliser,
41:49 ça sera un peu plus difficile,
41:51 mais je ne veux pas vous couper cet élan
41:53 et vous donner de faux espoirs.
41:55 D'accord ?
41:56 - Oui, tout à fait. J'entends bien.
41:58 - Merci à vous Mireille. Prenez soin de vous.
42:01 Et pour conclure, je dirais,
42:03 le libre arbitre est un facteur-clé
42:05 de chance ou de malchance.
42:07 Allez, on se donne rendez-vous demain,
42:09 on parlera des effets de la lumière.
42:11 Et je vous attends à présent sur le groupe
42:13 A votre écoute de Facebook
42:15 avec les conseils du jour, les extraits de l'émission
42:17 ainsi que tous vos commentaires.
42:19 Passez une belle fin de journée.
42:21 Et c'est la place pour les vrais voix.
42:23 Bonjour Philippe.
42:25 - Bonjour Alexandre Delovane.
42:27 Ou plutôt bonsoir.
42:29 Les jours encore, ça raccourcira un peu.
42:31 Et là on va commencer à tirer sur le bonsoir
42:33 plutôt que sur le bonjour.
42:35 Le menu des vrais voix.
42:37 Taxer les grandes fortunes
42:39 pour financer la transition écologique,
42:41 c'est une idée commune d'un député modem
42:43 et d'un député communiste.
42:45 Et on va vous poser cette question,
42:47 est-ce qu'il faut taxer les grandes fortunes ?
42:49 Est-ce que les riches doivent payer
42:51 pour la transition écologique ?
42:53 Vous pensez qu'ils payent déjà suffisamment ?
42:55 Vous dites que c'est l'Europe qui doit taxer
42:57 mais la Suisse c'est en Europe
42:59 et on peut y passer facilement
43:01 en se disant qu'ils vont partir avec leur argent ?
43:03 Ou vous pensez qu'ils doivent payer à 100% ?
43:05 Appelez-nous au 0826 300 300.
43:07 Dans le coup de projecteur,
43:09 crise du logement, pouvoir d'achat,
43:11 interdiction de location des passoires thermiques.
43:13 Je ne vous apprends rien, il y a une crise du logement
43:15 qui dure depuis des décennies en France
43:17 et là maintenant, on va rendre impossible
43:19 de louer des appartements
43:21 parce qu'ils n'ont pas la bonne
43:23 lettre sur le diagnostic
43:25 de performance énergétique, vous savez,
43:27 ABCDE, etc.
43:29 Est-ce que pour vous, il faut repousser l'interdiction
43:31 de location parce que la crise du logement
43:33 est là et ça va l'amplifier
43:35 et sinon avec le coût des travaux,
43:37 on va encore augmenter le prix de la location
43:39 et donc amputer le pouvoir d'achat.
43:41 Vous pensez qu'il faut le repousser ?
43:43 Ou vous pensez qu'au nom de la protection de l'environnement,
43:45 il faut le faire tout de suite ?
43:47 Appelez-nous au 0826 300 300.
43:49 Avec Cécile de Ménibus, on a le plaisir d'avoir ce soir
43:51 en vraie voix, Philippe Bilger, Olivier D'Artigolle
43:53 et Mickaël Sadoun.
43:55 Sud Radio, à votre écoute,
43:57 16h-17h,
43:59 Alexandre Delovane.
44:01 Avec Idealvoyance.fr
44:03 Coaching de vie spirituelle
44:05 par téléphone, chat et e-mail.

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