• l’année dernière
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##A_VOTRE_ECOUTE-2023-10-03##
Transcription
00:00 L'idéalvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et e-mail présente
00:06 Sud Radio, à votre écoute, 16h-17h, Alexandre Delovane.
00:11 Bonjour à tous, je suis heureux d'être à votre écoute et de vous accompagner jusqu'à
00:23 17h.
00:24 Vous souhaitez participer à l'émission, c'est le 0826 300 300.
00:29 Hier, nous avons parlé beaucoup du lâcher prise et ce que nous devons aussi savoir,
00:37 c'est que lorsque nous ne sommes pas en mesure de le contrôler, nous augmentons notre taux
00:42 d'anxiété.
00:43 Ça vous est peut-être déjà arrivé d'avoir la boule à la gorge, un sentiment d'oppression
00:48 ou de manque d'air, c'est tout simplement un état d'anxiété.
00:52 L'anxiété est naturelle, elle est inévitable chez l'être humain et elle a une fonction,
00:57 celle de prévenir d'un réel danger et de nous permettre d'y faire face efficacement.
01:02 Une anxiété normale surgit, souvient suite à la peur avant un examen ou d'un nouveau
01:08 travail ou de l'attente d'une réponse, mais aussi d'une réaction lors d'une catastrophe.
01:14 Alors l'anxiété est une émotion utile, c'est une réaction psychologique au stress
01:20 et parfois vous-même, les auditeurs, juste le fait de nous appeler, votre anxiété augmente
01:25 par la peur d'entendre des choses qui vous seront difficiles à accepter, mais vous avez
01:30 quand même le courage de le faire.
01:32 Alors profitez de ce moment-là pour nous faire partager vos témoignages au 0826 300
01:38 300 ou tout simplement partager vos avis sur le groupe Facebook à votre écoute.
01:43 Nous sommes en direct live sur YouTube et sur le live de Facebook et aujourd'hui à
01:48 la réalisation de l'émission, c'est Lucille, au standard Aude et Zach.
01:53 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
01:59 Alors avant de retrouver notre premier auditeur Pascal, je reprends un message du groupe à
02:05 votre écoute sur Facebook et concernant le lâcher prise, le sujet de hier.
02:10 Celui de Maryse qui nous dit "Lâcher prise pour moi c'est écouter de la musique, se
02:15 poser avec un bon livre, marcher, respirer dans la nature, au bord de l'eau, se reconnecter
02:21 à soi, écouter aussi sa petite voix intérieure et être dans le moment présent".
02:26 Et oui, effectivement, le lâcher prise c'est aussi respirer, c'est aussi méditer, c'est
02:32 permettre de s'occuper à autre chose pour justement arriver à pouvoir être dans un
02:38 état beaucoup plus serein et beaucoup plus conscient.
02:41 Allez, à présent on va écouter Pascal.
02:45 Bonjour Pascal.
02:46 Oui bonjour.
02:47 Bienvenue sur Sud Radio.
02:48 Merci.
02:49 Alors Pascal, je vais vous poser la question du jour.
02:53 Êtes-vous anxieux ou connaissez-vous des personnes autour de vous qui sont anxieuses?
02:57 Oui, j'en ai connu, mais moi personnellement je ne le suis pas trop.
03:03 Oui.
03:04 J'ai un peu le droit que s'il faut parler en public, c'est comme ça, mais non, anxieux,
03:09 pas tant que ça.
03:11 D'accord.
03:12 Donc vous gérez le stress?
03:14 Oui, oui.
03:16 Parce que généralement ça va avec, quand on arrive à gérer le stress, on peut tous
03:22 avoir une période dans notre vie de stress, mais quand on arrive à gérer le stress, ça
03:26 enlève cette part d'anxiété que nous pouvons avoir.
03:29 Et vous, vous avez cette capacité à pouvoir le faire.
03:33 Alors Pascal, vous nous appelez pour une question professionnelle.
03:37 Racontez-nous un petit peu votre parcours.
03:40 Disons que j'ai démissionné il y a à peu près un an et demi, et puis depuis je fais
03:46 des missions d'intérim, des petites émissions de 15 jours, 3 semaines.
03:50 D'accord.
03:51 Vous êtes dans quel secteur d'activité?
03:53 Alimentaire.
03:54 C'est l'alimentaire, d'accord.
03:56 Et vous avez démissionné pour quelles raisons, Pascal?
04:00 Pour un conflit avec l'entreprise où j'ai travaillé.
04:05 Ils ont voulu licencier quelqu'un, j'ai pris sa défense, et quand la personne a été
04:10 licenciée, je suis parti aussi.
04:13 D'accord.
04:14 Vous avez été dans une réaction émotionnelle?
04:16 Non, c'était une injustice.
04:21 Et puis voilà, je trouvais ça très dégueulasse.
04:27 Parlant poliment, très dégueulasse.
04:29 Injuste.
04:30 Voilà, très injuste.
04:31 Après, je me suis mis tellement en avant qu'après, ce n'était plus possible que je travaille
04:40 avec ces gens.
04:41 D'accord.
04:42 Mais peut-être que cet événement est arrivé, mais peut-être qu'il y avait quelque chose
04:45 depuis quelque temps qui se tramait ou en tous les cas qui était sous-jacent et qui
04:51 s'est réveillé.
04:52 Et cet événement n'a fait que déclencher ce souhait de partir et de démissionner, non?
04:58 C'est-à-dire que c'est la personne qui devait être licenciée, j'avais des sentiments pour
05:05 elle.
05:06 Et voilà, j'ai pris sa défense pour une raison très simple.
05:14 Ils l'ont convoquée sur une période de Covid où elle ne pouvait pas se défendre.
05:19 Donc c'est moi qui l'ai défendue.
05:22 D'accord.
05:23 Vous aviez une relation intime avec ou seulement juste de l'affection?
05:26 C'était juste de l'amitié.
05:29 Bon, petit à petit, après, j'ai eu des sentiments pour elle.
05:32 Et puis bon, on est resté.
05:34 On est resté pour le moment, ça fait plusieurs années.
05:36 On n'est que amis.
05:38 D'accord.
05:39 Je vais répondre à votre question parce que je sais que vous vous appelez pour autre
05:42 chose, mais je crois qu'on a là, on touche un sujet un peu sensible.
05:47 Est-ce que vous avez, vous, l'intention de vous projeter avec cette personne?
05:51 Moi, j'aimerais bien.
05:53 Oui.
05:54 Et vous y croyez?
05:55 Oui, oui.
05:56 Eh bien, je vous pose cette question parce que je pense qu'avec le temps, il y aura
06:02 une possibilité de rapprochement.
06:03 Peut être aussi, elle a pris conscience de l'acte que vous avez fait et du soutien
06:11 que vous avez eu auprès d'elle par rapport à cette injustice professionnelle.
06:15 Et je crois que c'est pas uniquement cette valeur là ou en tous les cas, c'est cette
06:22 prise d'édition qui va faire changer les choses, mais ça donnera quand même un peu
06:28 plus de rapprochement avec elle.
06:30 Bon, en tous les cas, voilà, je crois qu'on est très amis, on est très liés, on est
06:35 très proche, on se voit souvent.
06:37 Mais voilà, elle ne veut pas aller plus loin parce qu'il me dit qu'il y a trop d'amitié.
06:42 Elle ne veut pas lâcher cette amitié.
06:44 C'est bien, c'est qu'elle vous respecte.
06:46 Elle vous respecte.
06:47 Oui, on se respecte.
06:48 Oui, oui.
06:49 Et puis, vous savez que parfois, les sentiments évoluent, les événements changent et ça
06:56 permet de se rapprocher, comme ça permet aussi de se détacher.
06:59 Pour moi, je sens que ça vous amènera à vous rapprocher.
07:02 Alors, je ne vous dis pas ça pour donner de faux espoirs.
07:05 Laissez le temps se mettre en place.
07:07 Et d'autant plus que votre question d'aujourd'hui n'est pas orientée sur ça.
07:10 Elle est plus orientée sur votre avenir professionnel.
07:13 C'est bien ça.
07:14 Oui, c'était les deux.
07:15 C'est un peu lié.
07:16 Ah bon, très bien.
07:18 Alors, quelle est votre question, Pascal ?
07:20 Oui, disons que je suis en intérim et puis bon, je trouve pas ça très, très intéressant.
07:26 Est-ce que je vais rester comme ça jusqu'à la retraite ? Il me faut encore trois, quatre
07:30 ans avant de prendre la retraite.
07:31 Ou s'il y aura quelque chose de plus intéressant.
07:34 Vous voulez toujours rester sur le statut d'intérim ou est-ce que vous avez pour intention
07:39 d'avoir un statut avec un contrat ?
07:42 Je suis ouvert à tout.
07:45 D'accord.
07:46 Et toujours dans le même secteur d'activité, vous cherchez ?
07:48 Oui, je suis ouvert.
07:49 Je suis boucher, boucher, charcutier.
07:50 J'ai travaillé, enfin, j'ai fait du fromage, assommage, je fais six jours dans ce milieu.
07:57 D'accord.
07:58 Alors, c'est étrange parce que pour moi, je vous sens changer un petit peu.
08:01 C'est-à-dire que je vous sens pas forcément changer du tout au tout par rapport au secteur
08:06 d'activité, mais je vous sens aller vers un changement de poste ou de fonction que
08:11 vous avez eu jusqu'à présent.
08:13 Et je vous sens bouger, je vous sens vous déplacer.
08:16 Alors, c'est peut-être lié à une société qui fait de soi traiteur ou qui crée des
08:23 événements ou peut-être est-ce qu'il y a du marché.
08:26 Mais en tout cas, pour moi, il y a cette notion de déplacement qui ressort chez vous, cette
08:31 notion de capacité à vous épanouir aussi et à être très autonome et très indépendant
08:37 et à gérer, avoir cette capacité à gérer une toute petite équipe.
08:42 Mais il y a une responsabilité nouvelle qui vous attend.
08:46 Vous avez les compétences, vous avez l'expérience de votre métier et vous allez le mettre en
08:53 application.
08:54 Mais vous verrez que la méthode de travail ou l'organisation dans laquelle vous allez
08:59 intérer ou l'entreprise dans laquelle vous serez sera très différente de ce que vous
09:03 avez eu auparavant.
09:04 Mais il y a cette capacité, cette possibilité de trouver une stabilité, un épanouissement
09:11 et de pouvoir aller jusqu'au bout de votre échéance à la retraite.
09:17 Donc, c'est une période de deux à trois ans, vous m'avez dit.
09:22 Oui, voilà.
09:23 Bon, en tous les cas, je vous sens aller jusque là et être dans une garantie ou dans
09:28 une sécurité professionnelle.
09:30 N'hésitez pas à nous tenir au courant, Pascal.
09:32 D'accord, ça marche.
09:34 Merci à vous.
09:35 Prenez soin de vous.
09:37 Merci.
09:38 Allez, on se retrouve dans quelques instants avec Marie.
09:41 Alors, si vous aussi, vous avez envie de témoigner, n'hésitez pas à appeler le 0 826 300 300.
09:48 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delevanne.
09:53 Et de retour sur Sud Radio, merci d'être à l'écoute de cette émission, au programme
09:57 de l'émission L'Anxiété.
09:59 Alors, si vous souhaitez réagir aux témoignages de nos auditeurs et n'hésitez pas à poster
10:04 aussi vos commentaires sur le groupe Facebook à votre écoute.
10:08 Et vous avez un numéro d'appel de 0 826 300 300.
10:12 Alors, le saviez-vous que l'anxiété touche entre 5 et 8 % de la population ? Les femmes
10:18 sont deux fois plus touchées que les hommes, surtout après 40 ans.
10:22 Et le lâcher-prise a un effet thérapeutique sur l'anxiété.
10:25 Plus vous contrôlez le lâcher-prise et plus vous diminuez votre taux d'anxiété.
10:31 Je sais si on écoutait Marie.
10:34 Bonjour Marie.
10:35 Bonjour Alexandre.
10:36 Merci de me recevoir.
10:38 Bienvenue sur Sud Radio.
10:40 Merci.
10:41 Merci.
10:42 Marie, alors je vais vous poser la question du jour.
10:45 Êtes-vous anxieuse ?
10:47 Oui, très, très, très anxieuse.
10:49 Et de plus en plus avec l'âge.
10:51 D'accord.
10:52 Et avez-vous un conseil à nous donner pour évacuer cette anxiété ?
10:56 Ecoutez, j'essaie de faire des cours de méditation depuis peu et j'arrive par ce
11:03 biais à lâcher-prise.
11:04 D'accord.
11:05 Qu'est-ce qui explique que vous êtes de plus en plus anxieuse avec l'âge ?
11:11 Je ne sais pas.
11:12 Je suis tracassée tout le temps pour des broutilles.
11:16 Je vois plutôt le verre vide que le verre à moitié vide, que le verre à moitié plein.
11:21 J'ai des questionnements surtout, tout le temps.
11:24 Mais je ne m'explique pas vraiment pourquoi.
11:27 Je me sens un peu fragilisée, peut-être manque de confiance en moi aussi.
11:31 D'accord.
11:32 Est-ce que le collectif, l'extérieur, l'environnement, le climat social, politique vous fait peur
11:37 ? Oui.
11:38 Oui, ça joue et ça crée chez vous un stress aussi, j'imagine.
11:43 Oui, j'ai très peur de l'avenir pour mes enfants.
11:46 Oui, oui, surtout que c'est anxiogène.
11:48 D'accord.
11:49 Alors, je vais vous donner un petit exercice à faire et qui peut être utile à contrôler
11:53 l'anxiété et qui est valable, bien sûr, pour tout le monde.
11:56 C'est un exercice avec la respiration en carré.
11:59 La respiration en carré, on vous demande d'inhaler 4 secondes, de garder les poumons
12:06 pleins pendant ces 4 secondes et d'expirer lentement sur 4 secondes et vous gardez aussi
12:13 les poumons vides pendant ces 4 secondes.
12:17 Pratiquez cette respiration.
12:18 C'est une respiration qui s'appelle la respiration en carré.
12:22 Mais si vous la pratiquez plusieurs fois par jour, vous verrez qu'elle peut justement
12:29 recarrer les symptômes de l'anxiété.
12:30 Ça peut vous aider dans ce sens-là.
12:32 Bien sûr, il y a d'autres remèdes, il y a d'autres méthodes et d'autres techniques.
12:36 Et puis aussi, parfois, il faut se faire aider par un professionnel pour justement diminuer
12:41 l'anxiété.
12:42 Mais cette respiration est assez efficace.
12:44 Donc, c'est sur un rythme de 4 secondes d'inspiration et d'expiration.
12:48 Alors Marie, vous nous appelez pour un témoignage bien particulier.
12:53 Vous avez eu une première relation avec un homme et vous êtes séparée de cet homme
12:59 en 2010.
13:00 Ensuite, vous avez vécu seule pendant un moment et depuis 8 ans, vous partagez votre
13:06 vie avec un homme.
13:08 Et la relation jusqu'à ce jour était plutôt agréable.
13:11 Mais vous avez quand même des doutes sur l'avenir de votre relation.
13:16 À plusieurs reprises, il vous a lancé des phrases très blessantes et qui vous fragilisent
13:22 et qui fragilisent forcément votre intimité.
13:24 Pourriez-vous, Marie, nous raconter comment vous vous êtes déjà rencontrée avec cet
13:29 homme et comment la relation a évolué jusqu'à aujourd'hui ?
13:33 Alors, on s'est rencontré totalement par hasard.
13:36 C'était une rencontre par rapport à nos animaux, à nos chiens.
13:41 Donc, c'était vraiment le pur hasard.
13:43 Je ne cherchais pas du tout d'homme à ce moment-là.
13:45 J'étais avec mes filles et ça a bien fonctionné.
13:49 On est très amoureux parce qu'il me dit toujours qu'il m'aime toujours autant.
13:54 Lui, il a eu un petit coup de foudre plus fort que moi.
13:57 Puis après, moi, dans les temps, j'étais très attirée.
14:00 Ça fait 8 ans maintenant.
14:04 On a de bonnes relations.
14:06 On est très tactiles.
14:08 On est en train des relations amoureuses.
14:10 Mais après, c'est dans l'intimité qu'il a les reproches à me faire dans le sens où
14:15 ce n'est peut-être pas assez à son goût parce qu'il aimerait, parce qu'il souhaiterait.
14:19 Mais en même temps, il ne me dit pas vraiment ce qu'il voudrait.
14:22 Donc, il a du mal à s'exprimer sur ce sujet.
14:24 Je ne sais pas comment faire.
14:27 J'ai même peur qu'il en vienne à la rupture.
14:30 Justement, ça fait partie un peu de cette angoisse, de cette anxiété que vous avez.
14:37 Est-ce que lui vous rassure au-delà des moments où vous avez tous les deux des différents
14:43 ou des fragilités relationnelles ou même liées à des conflits ?
14:48 Mais est-ce qu'il vous rassure quand même dans le quotidien ?
14:51 Oui, il est très rassurant.
14:53 Il est très positif, très positif et très calme.
14:56 D'accord.
14:57 Et pourquoi vous avez peur de cette rupture ?
14:59 Parce que ça fait deux ou trois fois qu'il me dit qu'il n'est pas satisfait de nos relations
15:04 intimes.
15:05 Il attend autre chose et qu'il voudrait...
15:08 Il attend quoi exactement ?
15:10 Il ne me le dit pas.
15:12 Il ne me le dit pas, c'est ça.
15:13 Il ne l'exprime pas. Très difficile pour lui de l'exprimer dans le concret.
15:18 Est-ce que vous avez le sentiment que vous n'apportez pas assez d'attention pour lui
15:25 ou pourquoi lui-même a des exigences et il a l'impression que vous ne répondez pas à
15:32 ses exigences ?
15:33 Est-ce que c'est lié à un problème d'attention ou à autre chose ?
15:35 Non, je pense que c'est autre chose.
15:37 Moi, je suis très dans l'affectif et lui, il est plus côté peut-être affectif aussi
15:42 mais sexuel aussi.
15:44 D'accord, donc la problématique est peut-être d'ordre plus sexuel, c'est ça ?
15:48 Plus, oui.
15:49 Je suis prête à changer, à évoluer, enfin pas changer vraiment mais à évoluer.
15:55 Mais encore faut-il que je sache vers quoi.
15:58 Bien sûr.
15:59 Vous profitez un petit peu de sortir en extérieur, de vivre des moments ensemble pour découvrir
16:05 un autre environnement, pour stimuler aussi votre intimité.
16:09 Est-ce que vous le faites tous les deux ?
16:11 Oui, on sort pas mal, on sort beaucoup.
16:13 On s'y promène beaucoup, on marche, on visite pas mal les régions.
16:18 Oui, on fait pas mal de choses.
16:20 D'accord.
16:21 Mais on vit chacun chez nous, il y a ça aussi.
16:24 On a chacun notre maison.
16:26 On se voit pratiquement tous les jours, très régulièrement mais on est chacun chez nous
16:31 quand même.
16:32 Et ce n'est peut-être pas qu'un petit détail.
16:33 Et ce n'est pas qu'un petit détail pour moi.
16:36 Exactement.
16:37 Je crois que ça vous rassurerait de pouvoir construire ensemble et d'avoir un homme à
16:43 vos côtés au quotidien.
16:45 Et je crois que là, c'est justement, vous avez mis le doigt sur un sujet qui pourrait
16:50 vous rapprocher, qui pourrait permettre de consolider la relation.
16:54 Et aussi de répondre à sa demande ou à ses exigences ou d'améliorer justement cette
17:01 intimité-là.
17:02 Il faut lui en parler.
17:03 Il faut vraiment soumettre l'idée de vouloir construire ensemble, de vouloir vivre à
17:10 deux pour faire en sorte que la relation puisse évoluer et puisse aussi se stabiliser, se
17:18 construire et non plus être dans cette peur et dans cette crainte.
17:20 Et puis, je crois que ces phrases qui sont un peu blessantes, c'est lui-même se contrarie.
17:26 Oui.
17:27 Et lui étant contrarié, il vous reproche des choses qu'il pourrait peut-être lui-même
17:33 se reprocher.
17:34 Donc pour moi, Marie, je ne vois pas de séparation.
17:38 Je ne vois pas de rupture.
17:39 Je vois au contraire peut-être d'aller dans l'idée d'un projet commun, de vous rapprocher,
17:45 de faire en sorte d'unir cette relation et de la construire progressivement comme un
17:51 jeune couple.
17:52 Parce que pour moi, vous ressortez comme un jeune couple.
17:56 Donc il y a de l'espoir, vraiment.
17:59 Il y a de l'espoir.
18:00 Oui, il y a de l'espoir.
18:01 Il faut peut-être sortir de cette peur, de cette angoisse, de cette anxiété que vous
18:08 avez et vous verrez que les choses vont évoluer, vont grandir dans le temps.
18:13 Et pour moi, vraiment, cet homme n'a pas pour intention pour l'instant de vous quitter.
18:18 D'accord ?
18:19 D'accord.
18:20 Parce que c'est quelqu'un de charmant et j'aimerais vraiment qu'il a beaucoup de qualité,
18:25 sauf qu'il a des propos un peu durs parfois.
18:27 Oui.
18:28 Mais j'aimerais vraiment que c'est ce...
18:30 C'est aussi sa personnalité.
18:32 Elle est comme ça.
18:33 Mais il y a de l'espoir.
18:34 Oui.
18:35 Merci Marie pour votre témoignage.
18:37 Merci Alexandre.
18:38 Merci infiniment.
18:39 Merci à vous.
18:40 Allez, si vous avez envie de poser des questions sur votre devenir et vous souhaitez témoigner
18:45 à l'antenne, c'est le 0 826 300 300.
18:47 Ne bougez pas, on revient dans un instant avec Hélène.
18:50 Hélène, à la suite d'un accident, elle a dû faire des choix sur sa vie professionnelle.
18:56 C'est dans un instant.
18:57 À votre écoute.
18:58 Sud Radio, à votre écoute.
19:01 Alexandre Delovane.
19:03 Sud Radio, à votre écoute.
19:05 16h17, Alexandre Delovane.
19:08 Et de retour sur Sud Radio, il est pratiquement 16h30.
19:11 Nous sommes en direct live sur YouTube et sur le live de Facebook.
19:14 Alors, soyez nombreux à poster vos commentaires sur le groupe de Facebook.
19:17 À votre écoute.
19:18 Et pour revenir sur le sujet du jour, l'anxiété.
19:22 L'anxiété est une émotion utile.
19:24 C'est une réaction psychologique au stress.
19:28 C'est un état qui fait partie de vos réactions d'adaptation aux stimulations extérieures
19:33 et elle vous permet de mobiliser votre attention et aussi d'élever votre vigilance dans des
19:38 situations de nouveautés, de choix, de crise ou de conflits.
19:42 Et c'est pour cela qu'on considère que l'anxiété normale, je dis bien une anxiété normale,
19:48 peut être utile.
19:49 Alors, avant de retrouver Hélène, je vais prendre une autre auditrice qu'on a eue le
19:54 26 septembre.
19:56 Elle s'appelle Christelle.
19:58 Bonjour Christelle.
19:59 Bonjour Alexandre.
20:00 Bonjour mes sous-titres.
20:01 Je suis heureux de vous retrouver Christelle.
20:05 Alors, vous étiez passée à l'antenne le 26 septembre.
20:08 Voilà, pour une histoire sentimentale avec un homme que vous avez connu il y a quelques
20:12 mois et il vous sollicitait à le rencontrer.
20:16 Et vous avez accepté, samedi dernier, de faire un dîner avec cet homme au restaurant.
20:21 Et je vous ai demandé, ou en tout cas je vous ai proposé de vous recontacter pour
20:26 voir comment ça a évolué cette histoire.
20:29 Et là, on est tous curieux de savoir, non ?
20:30 C'est ça.
20:31 Et en fait, c'était un déjeuner.
20:33 Et je suis très dubitative en fait.
20:37 Je l'ai trouvé assez stressée.
20:40 Je l'ai trouvé très stressée.
20:42 Après, il ne parlait pas beaucoup.
20:45 Moins que sur SMS d'ailleurs.
20:47 Donc voilà, on a discuté un petit peu.
20:52 Après, moi j'avais une réunion donc je suis partie.
20:55 Et il était entendu que le lendemain, on irait à la plage parce qu'il faisait très
20:59 beau.
21:00 Et qu'on irait à la plage.
21:01 Et puis le lendemain, je l'ai contacté.
21:04 Il m'a dit qu'il n'était pas très bien.
21:06 D'ailleurs, il m'a avoué qu'il était stressé à cause de la reprise du travail.
21:09 D'accord.
21:10 Parce qu'il reprenait le travail.
21:11 Et c'est vrai que je ne l'ai pas vu du tout détendu.
21:13 Et donc il m'a dit le dimanche qu'il n'était pas très bien.
21:16 Donc je lui ai dit tu veux rester seule ? Il m'a dit oui.
21:19 Je lui ai répondu qu'il me recontacte quand il veut, s'il veut.
21:24 D'accord.
21:25 Et depuis, vous avez eu des nouvelles ?
21:26 Et depuis, je n'ai plus de nouvelles.
21:27 Donc il est parti dans la nature.
21:30 Voilà.
21:31 Voilà.
21:32 Bon, Christelle, et vous, est-ce que vous continuez dans cette notion de recherche ? Ou
21:37 est-ce que vous avez été déçue par rapport à cette rencontre ?
21:40 Eh bien oui, ça me déçoit toujours parce que moi je suis assez honnête et franche.
21:46 Donc voilà.
21:47 Et oui, j'aimerais bien rencontrer quelqu'un.
21:50 J'aimerais bien refaire ma vie, bien sûr.
21:51 J'ai beaucoup de choses à donner.
21:53 J'ai beaucoup d'amour à donner.
21:54 Donc maintenant, oui, j'aimerais beaucoup.
21:57 Bien sûr.
21:58 Mais vous savez, c'est intéressant parce que votre petite voix vous disait, c'est pour
22:02 ça que vous avez tardé à le rencontrer peut-être, parce que votre petite voix vous disait attention,
22:06 prudence.
22:07 Et elle vous avertissait depuis un moment.
22:10 Et c'est peut-être pour ça que les choses ont tardé à se faire et à le rencontrer.
22:16 Ne perdez pas espoir, Christelle.
22:17 Ne perdez pas espoir parce que je sais que vous allez à nouveau rencontrer quelqu'un
22:22 et que votre avenir sentimental vous est amené à vivre beaucoup de choses.
22:28 Vous nous tiendrez au courant ? Oui, il n'y a pas de souci.
22:32 En tout cas, merci de m'avoir repris.
22:33 C'est gentil.
22:34 Merci à vous.
22:35 Et puis, plein de bonnes choses pour la suite.
22:37 Merci.
22:38 Au revoir.
22:39 Merci à vous.
22:40 Bonne journée.
22:41 Merci.
22:42 Sud Radio, à votre écoute, Alexandre Delevanne.
22:44 Ici, on écoutait Hélène.
22:46 Bonjour, Hélène.
22:47 Bonjour, Alexandre.
22:48 Bienvenue sur Sud Radio.
22:50 Merci.
22:51 Alors, je vais vous poser la question du jour.
22:53 Êtes-vous anxieuse ou peut-être connaissez-vous des personnes autour de vous qui sont dans
22:58 cet état-là ? Et est-ce que vous avez un petit conseil à nous donner ?
23:01 Un conseil, je ne sais pas.
23:04 Je peux dire ce que moi, je fais quand je suis anxieuse.
23:07 Bien sûr.
23:08 C'est vrai que parfois, ce n'est pas toujours la même chose.
23:12 Parfois, je médite.
23:13 Mais bon, ça, je pense qu'il faut être un peu habitué avant parce que si on le fait
23:18 à ce moment-là, je ne crois pas que ça marche.
23:19 Et sinon, ce qui est efficace en ce moment, ce que je fais, c'est que je fais des petits
23:25 dessins.
23:26 Et ces petits dessins me donnent des informations sur ce que je vis en fait et que je ne vois
23:33 pas.
23:34 Après, en regardant les dessins, ça me donne des informations sur ce qui est vraiment
23:39 important pour moi à ce moment-là.
23:41 Effectivement, ça donne beaucoup d'indications et ça parle le dessin et ça exprime bien
23:51 sûr.
23:52 Alors Hélène, auparavant, vous étiez formatrice dans le développement personnel.
23:57 Puis vous avez changé de voie professionnelle.
23:59 Vous vous êtes lancée dans le secteur artisanal.
24:03 Et durant cette période, vous avez eu malheureusement un grave accident.
24:08 Et c'est à partir de ce moment-là que vous avez eu une remise en question totale.
24:12 Vous avez été prise en charge avec une aide.
24:15 D'ailleurs, je pense que vous avez un dossier en cours.
24:17 Et aujourd'hui, vous devez vous concentrer sur l'après.
24:21 Vous avez plusieurs pistes, mais vous n'arrivez pas à faire un petit peu le deuil de cette
24:27 ancienne activité artisanale.
24:29 Alors Hélène, racontez-nous un petit peu votre parcours et de ce qui vous est arrivé.
24:35 Et si vous le voulez bien, le raconter.
24:37 Et quelles sont aujourd'hui vos possibilités ou vos choix que vous devez faire par rapport
24:42 à votre situation professionnelle ?
24:43 En fait, ce que je pense, c'est que je suis encore un peu trop fatiguée pour prendre
24:50 des décisions et pour mettre en route toute l'énergie qu'il faut pour se projeter.
24:58 Le timing administratif n'est pas le même que le mien.
25:04 Et du coup, je suis un peu bousculée et je n'arrive pas à avoir clair sur ce que je
25:10 veux.
25:11 J'aime tellement de choses.
25:12 Il y a tellement de choses que j'aimerais faire.
25:13 En fait, c'est trop ou rien.
25:14 Je n'arrive pas à trancher.
25:17 Il y a des choses qui me plaisent beaucoup dans la créativité, que ce soit le dessin,
25:23 la photo, des activités créatives que je pourrais encore pratiquer.
25:28 Et il y a aussi le social qui m'intéresse beaucoup.
25:33 J'ai aussi travaillé dans le social.
25:36 J'aimerais aider les gens à se loger, avoir des logements plus sympas.
25:41 C'est un peu par rapport aux besoins que je vois aussi.
25:46 Et puis, c'est vrai que parfois je me suis rendu compte que je n'avais pas peur d'aborder
25:53 les sujets de la mort.
25:55 Peut-être que je pouvais faire l'accompagnement de fin de vie.
25:58 Mais comme je suis un peu fatiguée pour me projeter dans aucune de ces situations, je
26:05 me sens vraiment à l'aise parce que je ne suis pas prête.
26:08 Sinon, reprendre mon ancien métier de formatrice.
26:13 En tous les cas, votre esprit est très créatif parce que vous partez sur plusieurs idées
26:22 qui sont riches et intéressantes, bien entendu, et avec beaucoup de générosité parce que
26:27 c'est pour aider les autres.
26:28 Mais je vais revenir sur votre activité artisanale.
26:32 Vous faisiez quoi en tant qu'artisan ?
26:34 En fait, je n'ai pas pu.
26:37 J'avais tout mis en place et j'ai eu l'accident.
26:43 D'accord.
26:44 C'était pour faire quoi ?
26:45 J'ai du mal à en parler.
26:48 D'accord, c'est respectable.
26:49 Pardonnez-moi.
26:50 Ça vous émet un petit peu ?
26:52 Je suis un peu blessée.
26:54 Oui, c'était une première activité de jeunesse que j'avais mis en place et j'ai été fauchée
26:59 au moment de le réaliser.
27:02 J'ai eu espoir de continuer, mais je vois que physiquement, je ne pouvais pas.
27:11 D'accord.
27:12 Peut-être que vous pourrez le faire autrement et différemment plus tard et peut-être tout
27:15 simplement par plaisir, par passion et non pas forcément par activité professionnelle.
27:22 Moi, je le ressens plus comme ça et de cette manière-là.
27:24 Donc, n'ayez pas peur.
27:28 Ça ne s'efface peut-être pas de votre vie, mais ça se fera autrement et différemment.
27:33 Parfois, la vie nous amène à des expériences, à des épreuves pour justement comprendre
27:40 que ce n'est peut-être pas cette voie-là sur laquelle on doit s'épanouir, mais le
27:46 faire à un autre moment et différemment.
27:50 Vous parlez d'administratif et je sens que oui, effectivement, vous êtes dans cette
27:55 période où sur le plan administratif, il y a beaucoup de choses au-delà du dossier
28:00 en cours concernant votre santé, mais sur le plan professionnel.
28:03 Je vous sens aller dans de la formation et là, j'ai l'impression qu'à partir de là,
28:09 il y a du potentiel en vous pour apprendre tout ce qui est peut-être du domaine social,
28:14 associatif.
28:15 Il y a quelque chose qui vous est destiné et ça vous permettra progressivement de mettre
28:23 un pied dedans et de vous sentir plus épanoui ou reconnu aussi pour votre valeur et aussi
28:32 cette volonté d'apporter humainement.
28:35 Le côté associatif ressort beaucoup chez vous.
28:39 Quand je parle d'associatif, ce n'est pas pour autant de faire du bénévolat.
28:43 Vous pouvez très bien intérer un système associatif et pouvoir en vivre aussi, mais
28:48 vous verrez qu'il y a quelque chose dans ce sens-là qui semble se présenter à vous.
28:54 Ça va demander un petit peu de temps, mais la période du printemps 2024 est une période
29:03 de changement, de transformation.
29:05 Par rapport à toutes les idées que vous avez, j'ai l'impression que chaque idée regroupe
29:13 une information et que ça ne fera qu'une seule activité.
29:17 C'est pour ça que le côté social associatif ressort énormément.
29:22 D'accord.
29:23 Allez, gardez courage.
29:24 Ça me fait du bien que vous disiez que ce n'est pas un abandon des activités.
29:30 Il faut juste recentrer tout ça, réorganiser tout ça et ne pas abandonner ce que vous
29:38 êtes et ce que vous pouvez apporter aux autres.
29:40 D'accord ? Merci, Alexandre.
29:41 Merci beaucoup.
29:42 Vous avez de la valeur.
29:43 N'oubliez pas.
29:44 Merci beaucoup.
29:45 Merci à vous.
29:46 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
29:52 Et la parole est à Laurence.
29:54 Bonjour, Laurence.
29:55 Bonjour.
29:56 Bienvenue sur Sud Radio.
29:57 Merci de me recevoir.
29:58 Merci à vous.
30:00 Alors, je vais vous poser la question du jour.
30:02 Est-ce que vous-même, vous êtes anxieuse ou un entourage autour de vous peut l'être ?
30:07 Et si un petit conseil ? Ah, oh oui.
30:10 C'est quoi ce "oh oui" ?
30:12 Je pense que c'est la vie qui m'a juste rendue anxieuse.
30:17 Une vie un peu compliquée.
30:18 Vos choix de vie, vous voulez dire ?
30:21 Ah non, pas de choix du tout.
30:23 Qu'est-ce qui vous a rendu anxieuse de la vie ?
30:26 C'est beaucoup de pertes en fait.
30:31 J'ai perdu mon père, j'ai perdu mon mari, j'ai perdu mon père.
30:35 Ah oui, effectivement.
30:37 Le sentiment de l'abandon, enfin pas que le sentiment, il y a l'abandon qui est là aussi.
30:42 Et donc pour vous, ça vous a amené à être dans cette, ou d'entretenir cette notion de...
30:50 Donc c'était, je crois qu'on vous a perdu, on vous a retrouvé peut-être ?
30:53 Non, non, je suis là.
30:54 D'accord, je croyais vous avoir perdu.
30:56 Donc oui, ça a été un cumul de séparation et de pertes aussi qui vous a amené à cette anxiété.
31:03 Oui, ça m'a amené à une anxiété perpétuelle.
31:07 Bien sûr, ça se comprend.
31:08 Je le gère.
31:09 Et vous le gérez de quelle manière ?
31:12 Je suis, j'habite en campagne, donc je me concentre sur la nature, je me pose en nature et je bois des pisanes.
31:20 Voilà, j'essaie de vraiment me refontrer.
31:23 C'est bien, c'est bien.
31:25 Oui, vous êtes à l'écoute de votre corps, de prendre soin de votre corps, c'est très très bien et c'est important de le faire.
31:33 Alors justement, vous vous inquiétez vous aussi par rapport à votre fils.
31:38 Votre fils passe une période difficile en ce moment.
31:41 Des informations que j'ai de votre fils, c'est qu'il est saisonnier, il travaille en chante maritime.
31:49 Et sa saison se termine le 30 novembre et après, il ne sait pas trop ce qu'il va faire.
31:55 Alors vous dites que votre fils a du mal à s'intégrer dans la société, il a du mal à rester en place.
32:02 Il envisagerait même de partir, partir peut-être loin.
32:06 Laurence, avant toute chose, je vais vous demander, est-ce que votre fils a une vie stable, sentimentalement, émotionnellement ?
32:14 Est-ce qu'il est stable ?
32:16 Sentimentalement, je dirais que non.
32:20 Émotionnellement, il se raccroche beaucoup à moi.
32:24 Je pense être un pilier important pour lui.
32:27 Mais ça l'empêche quand même d'être stable, par exemple dans son travail.
32:32 D'accord.
32:33 Mais il vit avec vous ?
32:35 Non, du tout.
32:36 Non, du tout, d'accord.
32:37 Il a quel âge ?
32:38 27 ans.
32:40 27 ans, d'accord.
32:41 Et aujourd'hui, quels sont ses projets ?
32:45 Vous nous entendez, Laurence ? Je crois qu'on a un petit peu de mal à...
32:49 Oui, je suis désolée, c'est l'endroit où j'habite en fait.
32:53 Oui, il y a des coupures de réseau, c'est pas grave.
32:56 Donc aujourd'hui, il a des projets ?
33:01 Alors il a toujours le projet de trouver du travail et de bouger d'endroit en endroit.
33:07 D'accord, d'accord.
33:08 Toujours en tant que saisonnier.
33:10 Alors voilà, son but c'est vraiment d'avoir du travail et de bouger avec son travail en fait.
33:15 C'est très beau souhait, je pense.
33:16 D'accord.
33:17 Mais quand vous parlez d'un métier de saisonnier, c'est un métier lié à la restauration ?
33:21 Non, il fait de tout.
33:23 Non, non.
33:24 Aujourd'hui, il réparait tout ce qui est entretien dans les campings.
33:28 D'accord.
33:29 Donc il est dans une région et il fait de l'entretien en tout genre en fait.
33:32 Il répare les caravanes, les mobilhommes, il répare.
33:36 Bon, très bien.
33:37 Bon, pour moi, il a ce besoin de changer.
33:41 Il a besoin de se réoxygéner ailleurs, de voir autre chose, d'aller vers un autre environnement.
33:47 Et cette envie de partir vers le lointain, même peut-être de dépasser des frontières,
33:52 eh bien je crois qu'il va arriver à le faire.
33:55 C'est un objectif chez lui qu'il va pouvoir atteindre.
33:59 Alors ça va demander encore un petit peu de temps, mais faites-lui confiance.
34:03 Parce que chez lui, il y a quand même cette notion de stabilité, il y a cette notion d'envie de se construire.
34:10 Et même si aujourd'hui, il n'a pas encore défini cette construction de vie comme il le souhaiterait,
34:19 mais ça va se mettre en place.
34:21 Et d'ici une période de deux ans, eh bien vous verrez qu'il va évoluer, il va grandir vers quelque chose de beaucoup mieux.
34:27 Merci à vous, Laurence, on a un petit souci de réseau.
34:31 En tous les cas, n'hésitez pas à nous tenir au courant.
34:34 Allez, si vous avez besoin de mon ressenti et d'être accompagné dans votre évolution de vie,
34:39 n'hésitez pas à appeler le 0 826 300 300.
34:43 On se retrouve dans quelques minutes avec Benoît.
34:45 Sans doute que Benoît a des problèmes avec un artisan.
34:50 Alors, est-ce qu'il doit lui faire confiance ou pas ?
34:53 On en parle dans un instant, ne bougez pas, c'est sur Sud Radio.
34:56 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
35:02 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
35:07 Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie, avant de retrouver les vrais voix,
35:11 présentées par Philippe David et Cécile de Minibus.
35:13 Alors, il vous reste quelques minutes pour passer à l'antenne de Sud Radio.
35:17 Et avant de retrouver Benoît, je vais vous donner quelques conseils pour diminuer l'anxiété.
35:22 Alors, dans un premier temps, évitez la caféine et autres stimulants,
35:26 comme la consommation de café, de thé, de boissons gazeuses et aussi du chocolat.
35:31 Bon, même si c'est sympa, mais il faut faire attention, pas trop en excès.
35:36 Il faut aussi faire de l'exercice cardiovasculaire au moins trois fois par semaine.
35:41 Ça permet de changer un peu la chimie du cerveau pour qu'il secrète des substances
35:47 qui donnent un sentiment de bien-être.
35:49 Bien manger, évidemment, s'assurer d'un nombre d'heures de sommeil suffisant,
35:53 puisque la fatigue n'aide pas au rétablissement.
35:57 Et éviter, lorsqu'on tente d'éviter toute situation qui provoque de l'anxiété,
36:05 eh bien, vous verrez que ça permettra de pouvoir générer un bien-être.
36:12 Alors, pratiquez aussi l'exercice de la respiration en carré, comme je vous l'ai dit tout à l'heure.
36:17 Et la parole est à Benoît. Bonjour, Benoît.
36:20 Bonjour, Alexandre.
36:22 Bienvenue sur Sud Radio.
36:23 Merci.
36:25 Alors, Benoît, vous êtes en couple, vous vivez à Bordeaux
36:28 et vous avez construit une maison dans les Pyrénées.
36:31 Ou exactement dans les Pyrénées ?
36:34 Les Hautes-Pyrénées.
36:36 C'est les Hautes-Pyrénées.
36:38 Pour l'instant, il s'agit juste d'une maison secondaire.
36:42 Et sur le long terme, vous avez peut-être pour intention de vous y installer définitivement.
36:47 Et dans cette maison, vous y faites des travaux.
36:50 Et la semaine dernière, vous avez sollicité un couvreur qui a commencé son travail,
36:55 mais il a dû tout arrêter.
36:58 Pour quelle raison il a arrêté ?
37:00 Parce que la charpente n'était pas assez solide.
37:07 Et du coup, il a arrêté.
37:11 Alors, juste pour qu'on puisse recontextualiser la situation,
37:17 cette maison, vous l'avez achetée, elle était vraiment tout à refaire ?
37:22 Non, c'est une construction neuve.
37:25 C'est une construction neuve, d'accord.
37:27 C'est une construction maison bois.
37:29 D'accord.
37:30 Et il y a eu un diagnostic de fait sur cette charpente ?
37:36 Là, je vais avoir un expert qui va passer.
37:41 Du coup, pour solutionner le problème et voir ce qu'il y aurait à faire.
37:47 D'accord.
37:48 Donc, voilà.
37:50 Et vous avez vraiment confiance au couvreur ?
37:53 Je ne veux pas mettre en doute la parole du couvreur,
37:55 mais comme lui dit que le charpentier, ce n'est pas forcément ce qui...
37:58 Oui, oui, j'ai complètement confiance au couvreur.
38:03 D'accord. Alors, qu'est-ce que vous envisagez de faire et quel est votre questionnement, Benoît ?
38:09 Déjà, parce qu'on a pris beaucoup de retard avec ce charpentier,
38:15 si ça va continuer avec lui,
38:19 parce que c'est très compliqué à communiquer avec lui,
38:24 à l'avoir au téléphone.
38:26 Et si la maison va bien continuer à se construire
38:30 et qu'il ne va pas avoir d'autres soucis.
38:34 D'accord. Et est-ce qu'il y a des assurances qui peuvent éventuellement
38:38 prendre le relais pour dédommager de certaines erreurs ou pas ?
38:45 Normalement, oui, oui.
38:47 Mais bon, je pense qu'on n'en est pas là.
38:50 Le coup, c'est de trouver la solution pour renforcer cette toiture et continuer les travaux.
38:59 Du coup, j'en saurai un peu plus quand l'équipeur va passer.
39:03 Bien sûr. D'après vous, c'est des travaux supplémentaires importants ?
39:08 Importants, je ne pense pas, mais ça va être des travaux supplémentaires, bien sûr.
39:13 Et un coût aussi.
39:14 D'accord. Alors, bon, moi, je n'y connais pas grand-chose dans ce milieu-là
39:19 et je ne suis pas l'expert dans la construction, évidemment.
39:23 Mais pour moi, je sens que ce n'est pas si grave que ça.
39:26 Je sens qu'il y a peut-être quelque chose où on parle de consolidation.
39:31 Donc, peut-être qu'il va falloir consolider.
39:34 Alors, est-ce que c'est lié à quelque chose d'une poutre ou autre chose ?
39:39 Je ne peux pas vous dire.
39:40 Je ne pourrais pas avoir les bons termes appropriés et les bons termes techniques.
39:46 Mais en tous les cas, pour moi, je dirais qu'aujourd'hui,
39:51 la situation de ce qu'on a pu vous dire ou de ce que vous pouvez ressentir
39:57 est beaucoup moins dramatique que ce que vous redoutez par la suite.
40:03 Donc, vraiment, il ne faut pas hésiter, comme vous essayez de le faire,
40:10 à essayer d'entrer en contact avec le charpentier, de voir les solutions.
40:13 Peut-être aussi, de ce que je ressens et de ce que je perçois,
40:16 c'est que vous allez faire intervenir une autre société extérieure
40:20 pour avoir un avis extérieur et pour avoir des conseils.
40:24 Et peut-être que ça vous vient par ce couvreur qui, lui, peut vous aider
40:29 à avoir des personnes aussi compétentes et des experts dans la matière.
40:34 Et on va arriver à trouver un terrain d'entente.
40:39 Et je sens que ce charpentier, lui, va jusqu'au bout de son travail
40:43 et va rectifier ce qu'il a rectifié.
40:45 Donc, même si aujourd'hui, il semble jouer un peu à la carte de la discrétion et du silence,
40:54 vous verrez qu'il va se manifester.
40:56 Il y a un moyen de communiquer avec, il y a un moyen de trouver une solution.
41:00 Donc, il faut persévérer, il faut essayer d'ouvrir le dialogue.
41:06 Et vraiment, il y a cette capacité de changement et d'évolution sur votre projet.
41:12 Alors, bien entendu, votre maison, je la vois aller jusqu'au bout de sa construction
41:16 et pouvoir y vivre sereinement et pleinement dans cette habitation.
41:21 - Très bien.
41:22 - Ça va ? D'ici la fin de l'année, les choses vont se mettre en place ?
41:26 - D'accord. Parfait.
41:29 - Merci Benoît. N'hésitez pas à nous tenir au courant.
41:32 - D'accord. Merci. Au revoir.
41:35 - Et pour conclure, je dirais, lutter contre l'anxiété, c'est lâcher prise sur son futur.
41:40 Allez, on se donne rendez-vous demain, on parlera de la prise de décision.
41:44 Je vous attends à présent sur le groupe, à votre écoute de Facebook,
41:47 avec les conseils du jour et les extraits de l'émission, ainsi que tous vos commentaires.
41:51 Passez une bonne soirée et la place est aux vrais voix. Bonsoir Philippe.
41:55 - Bonsoir Alexandre Delovane. - Bonsoir.
41:58 - Bonsoir. Avec un menu des vrais voix qui est vraiment dans l'actu chaude.
42:02 Et vous savez qu'en ce moment, il y a une loi au Parlement, à l'Assemblée Nationale,
42:05 sur le cyberharcèlement et ça se combat dans tous les camps politiques
42:09 pour savoir s'il faut donner, lever ou pas, l'anonymat des comptes,
42:15 pas diffusé, mais pour les opérateurs, au cas où quelqu'un enfreindrait la loi,
42:21 pour qu'on puisse lancer des procédures contre lui.
42:24 Et on vous pose cette question. Pour combattre le cyberharcèlement
42:27 et les injures sur les réseaux sociaux, faut-il 1) rendre les comptes payants,
42:31 2) justifier de son identité, c'est ce qui est demandé dans la loi,
42:34 3) aucun des deux. Venez nous le dire au 0826 300 300,
42:38 tiens, vous avez été injurié sur internet, vous avez porté plainte,
42:41 mais ça n'a pas abouti. Venez témoigner à 18h37.
42:45 Sondage IFOP, on a le droit de le dévoiler qu'à 18h30, donc je ne dirai rien.
42:50 Elisabeth Born, #ElisabethBorn, #IFOP,
42:54 un premier ou une première ministre doit-il être populaire ?
42:58 Puisque vous avez deviné que la cote de popularité de la première ministre
43:02 avait légèrement baissé dans le sondage IFOP,
43:04 donc on ne pourra dévoiler que dans 1h04.
43:08 Vous pensez qu'un premier ministre ou une première ministre n'a pas besoin d'être populaire,
43:12 que le tout c'est qu'il soit matignon et qu'il fasse sa politique ?
43:15 Ou vous pensez que l'impopularité ça peut durer un temps mais pas éternellement ?
43:19 Venez nous le dire au 0826 300 300.
43:22 Avec Cécile de Ménibus, nos 3 vraies voix du jour,
43:25 Philippe Bilger, Françoise Degoy et Benoît Perrin,
43:28 le directeur de Contribuables Associés.
43:30 Bonne émission.
43:32 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.