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TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka ! 


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Transcription
00:00 disons, mon ancien propriétaire, quand j'étais expulsé,
00:03 je lui avais demandé plusieurs fois de faire les travaux
00:06 parce qu'il y avait des fuites de toit.
00:08 - Des fuites de toit, d'accord.
00:09 - Et en 2019, j'ai été obligé d'appeler les pompiers
00:14 parce que ça a coulé par la bouche d'aération
00:17 et le commandant des pompiers m'a dit
00:19 "Vous ne pouvez plus rester là".
00:22 - D'accord.
00:22 - Donc j'ai demandé à mon propriétaire de faire les travaux,
00:26 il n'a pas voulu, mais j'ai dit "Vous ne faites pas les travaux,
00:28 vous ne payez plus de l'ouvrage".
00:29 - C'est ça, c'est ça Gisèle, donc c'est là que ça a commencé.
00:32 - C'est comme ça que ça a commencé, on s'est retrouvé à la rue.
00:35 - Alors, donc vous payez plus ?
00:39 - Ben puis disons, bon ben, il a fait une demande d'expulsion,
00:43 la loi était pour lui et puis voilà.
00:45 - Il l'a gagnée, c'est tout.
00:46 - Donc, c'était pas la première fois ?
00:49 Ça n'était pas la première fois, c'est ça ?
00:51 - Non, la première fois, ma femme, avant,
00:54 elle percevait l'allocation adulte handicapé.
00:57 - D'accord.
00:58 - Moi, je perçois 250 euros de retraite.
01:01 - 250 euros de retraite ?
01:04 - De complémentaire, pardon.
01:06 - D'accord, oui.
01:06 - Et je touche 860 euros de retraite.
01:10 - C'est ça, d'accord.
01:10 - Ma femme, c'est 900 euros quand elle les a perdus,
01:15 puisque à 60 ans et 9 mois, ils ont pris les comptes du couple.
01:21 - Oui.
01:22 - Et donc, on s'est retrouvé avec 900 euros d'un mois d'un coup.
01:26 - Alors, vous faisiez quoi dans la vie, Alain ?
01:29 - Moi, disons, je suis originaire de Bourgogne.
01:33 - D'accord, et vous faisiez quoi dans la vie ?
01:34 - Je travaillais depuis tout le temps, je travaillais en usine.
01:38 - D'accord. Et vous, Gisèle ?
01:40 - Moi, sans profession.
01:41 - Sans profession, d'accord.
01:42 Alors, à ce moment-là, quand vous vous faites expulser,
01:46 vous allez d'abord vous tourner vers des hôtels.
01:48 Vous habitez à l'hôtel, c'est ça ?
01:49 - Disons, ce qui s'est passé,
01:51 c'est que quand j'ai su qu'on avait l'expulsion,
01:55 j'avais un malinois que j'ai confié à une personne.
02:00 - Un malinois, d'accord.
02:01 - Donc, le 10 avril, j'ai fait une tentative de suicide
02:06 parce que je n'en pouvais plus.
02:07 - Vous n'en pouviez plus ?
02:09 - Non, vous savez, quand vous vous battez
02:11 et puis que vous n'arrivez plus à gagner,
02:13 à un moment donné, vous baissez les bords.
02:16 - Et Gisèle, vous allez laisser Gisèle toute seule ?
02:19 - Oui.
02:20 - Mais vous savez, quand ça arrive...
02:22 - Je suis toujours restée toute seule.
02:23 - Vous savez, quand ça arrive, on réfléchit pas.
02:27 - Ah ouais ?
02:28 - Parce que ça faisait 2 ans que je me battais
02:30 et puis à un moment donné, bah, j'ai calé.
02:33 - Aujourd'hui...
02:36 - Et donc, de là, on nous a mis à la Croix-Rouge.
02:40 - D'accord.
02:41 - La Croix-Rouge nous a mis dans un hôtel à Beauvers.
02:45 3, 4 mois après, ils nous ont dit qu'on ne pouvait plus payer.
02:51 On m'a dit "Vous allez aller à Adéjo."
02:55 - Comme ça ?
02:56 - Adéjo, à Nîmes.
02:57 - D'accord.
02:58 - Non, le gars, seulement, c'est une association de sans-abri.
03:03 Donc ils voulaient nous mettre là.
03:05 Moi, quand j'ai vu ça, j'ai dit "Non, je peux pas."
03:07 Alors ils m'ont dit "On va vous trouver un petit studio."
03:12 Seulement, quand je me suis renseigné et tout,
03:15 fallait pas que je prenne ma petite chienne.
03:19 J'ai dit "Ma femme a un traitement à vie,
03:21 ça fait 25 ans qu'on est suivis par le même médecin."
03:24 "Ah ben non, vous avez tout sur Nîmes."
03:26 J'ai dit "Non."
03:27 Parce que si c'est pour tout me casser,
03:31 quitte à casser la santé de ma femme, j'ai pas voulu.
03:34 Donc, le... comment ?
03:39 La Croix-Rouge nous a dit "On paye plus."
03:41 Il y a une dame qui a été très gentille,
03:43 qui habitait derrière l'hôtel.
03:45 Quand elle a su ce qui nous arrivait,
03:47 elle nous a pris chez elle.
03:49 - Une dame que vous connaissiez pas ?
03:51 - Je l'ai connue grâce à ma petite chienne.
03:54 - Ah c'est fou, ah oui.
03:56 - Et là, j'ai expliqué, elle m'a dit
04:00 "Non, moi je ne veux pas que vous alliez là-haut.
04:02 "Vous venez chez moi."
04:04 Seulement, cette dame, 3-4 jours avant Noël,
04:09 elle a eu des sérieux problèmes de santé.
04:11 Ce que j'ai fait, j'ai dit "On part,
04:14 "parce que sa santé passe avant nous."
04:16 - Malade, elle. - Bien sûr.
04:18 - J'ai dit "Ca, c'est elle, c'est sa santé."
04:20 Elle et son fils ont été des gens super.
04:23 Donc, on est partis chez son frère,
04:28 qui habite la Réunion,
04:30 et qui nous avait laissé sa maison sur Générac.
04:33 - Donc, vous êtes partis, donc,
04:35 parce que vous connaissiez son frère, en fait ?
04:37 Qui était avec elle dans la maison à la base, ou bien...
04:39 - Ben disons, là, cette dame habitait Beaubaird.
04:43 - D'accord. Et donc, son frère vous a accueillis à la Réunion.
04:45 - Son frère habitait à la Réunion,
04:47 nous a laissé sa maison sur Générac.
04:50 - D'accord, d'accord.
04:52 - Très gentil, mais ce qu'il y a, c'est que, disons,
04:55 cette maison était... Il était en train de tout refaire.
04:58 - D'accord. - Il y avait des fils électriques
05:00 qui partaient de partout, il y avait des plafonds
05:02 qui étaient cassés. Moi, j'ai eu peur.
05:05 Parce que j'ai dit "S'il y a un coup de circuit,
05:07 "j'ai dit "On est bon."
05:09 J'ai rappelé la Croix-Rouge,
05:11 et la Croix-Rouge est venue.
05:13 Les 2 jeunes de la Croix-Rouge, ils sont venus,
05:15 ont été super. Ils nous ont dit
05:17 "Vous pouvez pas rester là, il y a un coup de circuit,
05:19 "vous êtes mort." - Ah oui.
05:21 - Donc, ils nous ont mis à l'hôtel César-Anim.
05:24 - D'accord.
05:26 - Et on a été à l'hôtel César-Anim.
05:29 Et après la soutenance sociale de la...
05:32 Comment? La soutenance sociale de la Croix-Rouge,
05:35 elle m'a dit "Je vous ai trouvé un hébergement."
05:38 Je dis "Ah bon, d'accord, tant mieux."
05:40 Maison de retraite, je dis "Ça va pas là-dedans."
05:43 - "Ah, là-dedans."
05:45 - Je dis "Je serai malade, je serai gravataire.
05:48 "J'aurai pas toute ma tête, j'aurai dit oui, mais pas là."
05:51 - Ah oui, pourquoi? Vous ne vouliez pas aller en maison de retraite?
05:54 - Non. - "Je serai pas là-dedans."
05:56 - Et comme on a refusé,
05:58 eh bien, la Croix-Rouge nous a mis à la rue.
06:01 - Donc, là, aujourd'hui, vous dormez dans votre voiture.
06:06 - Voilà. Mais maintenant, là, il y a...
06:09 Un jour, on était garés là, et un couple de jeunes est arrivé.
06:16 J'ai eu peur, j'ai dit "Qu'est-ce qu'ils veulent?"
06:19 - J'ai dit "J'ai peur."
06:21 - Eh bien, ils se sont approchés de nous, ils nous ont dit
06:24 "Qu'est-ce que vous faites là?"
06:26 Ben, j'ai dit "On mange, et après, on va dormir."
06:29 "Demain matin, vous venez à la maison, vous aurez le déjeuner."
06:35 "Le repas, vous pourrez vous laver."
06:38 Et moi, et la femme de cet homme m'a dit "Je vous lave votre linge."
06:44 "Je vous dis que c'est prénom Benjamin et Patricia."
06:49 - Bravo. - Très gentil comme tout.
06:52 - Moi, quand j'ai su ça, excusez-moi, j'en ai pleuré,
06:55 parce que ça m'a beaucoup touché.
06:57 - Bien sûr. Et donc, vous y êtes allé.
06:59 - Et ils ont tout fait.
07:01 C'est d'ailleurs lui qui a fait de façon à ce que ça passe
07:06 sur les réseaux sociaux.
07:08 - C'est ça, d'accord. Bravo à lui, bravo Benjamin et Patricia.
07:11 - C'est pour ça que...
07:13 - Et donc là, vous êtes allé chez eux?
07:15 - Comment? - Vous êtes allé chez eux?
07:17 - On veut manger. - Ils se lavaient.
07:19 - Et ce que je n'arriverai jamais à comprendre,
07:22 c'est que monsieur le maire de Beaubaire,
07:25 quand on a été, il y avait eu France 2 Garlaudère.
07:30 Le maire de Beaubaire, il nous a reçus avec des gens
07:33 et il me fait "Vous avez demandé que Beaubaire".
07:36 J'ai dit "Monsieur le maire, vous êtes un menteur,
07:38 je n'ai pas demandé que Beaubaire".
07:40 - Ça ne vous dérange pas?
07:42 - J'ai dit "J'ai demandé dans un rayon de 60 km,
07:44 parce que comme notre fils est décédé,
07:46 je ne voulais pas partir trop loin, parce que, bon,
07:48 le large que j'ai, je ne peux plus me permettre
07:50 de faire 400, 500 km".
07:52 - Vous en êtes où aujourd'hui, alors?
07:54 - Comment? - Aujourd'hui, vous en êtes où?
07:56 - Ben... - Vous, pareil?
07:58 - Non, non, parce qu'il y a...
08:00 Maître Collard... - D'accord.
08:05 - Il m'a contacté. - D'accord.
08:08 - Et il m'a dit "Alain, je veux vous voir".
08:12 - Et vous ne connaissez pas?
08:14 - Maître Collard, je le connaissais de la télé.
08:16 - C'est ça, mais vous ne connaissez pas, il vous a appris...
08:18 - Ben, disons que c'est... Comment on sait?
08:21 D'après les... - D'après ça, il vous a retrouvé?
08:24 - Ben, disons, il a eu mon téléphone, il m'a contacté.
08:27 - D'accord. Il vous a dit quoi, alors?
08:29 - Il m'a dit "On va tout faire pour vous,
08:31 parce que ce n'est pas normal, même que vous ayez fait des erreurs,
08:35 ce n'est pas normal qu'à votre âge, on vous laisse dans la rue".
08:39 Et maître Collard a été très gentil avec nous, très sympathique.
08:44 - Et vous... Il vous a... Alors, vous en êtes où aujourd'hui?
08:47 - Et donc, là, on a été trois jours à l'hôtel à Saint-Gilles.
08:51 - D'accord. - Justement, pour ne pas qu'on dorme dans la voiture.
08:54 Et il y a des gens... - C'est pas mal, moi, qui viennent.
08:57 - Et il y a des gens... - Je suis en train de me coucher avec vous.
09:00 - Quand ils ont su notre problème,
09:03 ils nous laissent un bungalow pendant 15 jours.
09:07 - Donc là, vous allez avoir un bungalow, après?
09:09 - Je vais avoir un bungalow pendant 15 jours,
09:12 donc je vais... Normalement, je vais y aller ce soir.
09:14 - D'accord. Ce soir, vous êtes à l'hôtel. C'est pour nous, ce soir.
09:17 - À l'hôtel, oui. - Comme je suis ici, je peux pas...
09:19 - Vous allez rester à l'hôtel. Ce soir, vous êtes à l'hôtel.
09:22 - Par contre, ce que je n'aime pas, c'est que M. le maire,
09:25 avec les soucis qu'on a... - Le maire de Beauvais.
09:28 - Les problèmes qu'on a, il a dit qu'on était des gens douteux.
09:31 - Ah oui. C'est ça, parce que c'est ce qu'il a dit.
09:33 - C'est vrai que c'est ce qu'il a dit, Gilles, le maire.
09:35 - C'est le maire de Vauvert qui... - De Vauvert, oui, exactement.
09:37 - Vous n'êtes pas du tout... Et qui s'appuie sur le fait
09:39 qu'il y ait eu 3 expulsions pour dire, finalement...
09:41 Ils ont un peu... Dans son esprit, ils ont un peu cherché
09:43 ce qui leur arrive, ce qui est scandaleux.
09:45 - C'est pas normal, c'est pas normal.
09:46 - Et ils vous reprochent un peu ça.
09:47 Donc c'est très bien qu'il y ait des initiatives,
09:49 parce qu'effectivement, vous devez être dans un rayon proche,
09:51 il faut le rappeler. - Il y a beaucoup de conséquences.
09:53 - Mais seulement, si j'ai bien compris, tous les gens
09:55 ont le même problème que moi, c'est des gens douteux.
09:57 - C'est ce que dit le maire, c'est ce que sous-entend le maire,
09:59 qui n'a rien fait pour vous. - Il dit, voilà, il dit,
10:01 vous avez été beaucoup... - Pourquoi tu le sais ?
10:03 - Voilà, de ce qu'il dit, vous avez refusé la maison de retrait,
10:05 vous avez refusé le studio... - Ah bah alors, le Marvone, peut-être.
10:08 - Le Marvone, là, récemment. - Voilà ça, donc c'est pour ça.
10:10 Il dit que vous avez refusé beaucoup de choses.
10:11 Qu'est-ce que vous lui répondez, au maire de Vauvert ?
10:13 - Parce que le maire de Vauvert ne m'a jamais proposé de logement.
10:17 - Non, jamais. - Parce que, comme j'ai dit,
10:20 si on me propose un logement n'importe où...
10:23 - Un studio, par exemple. - Dans un rayon de 60 km,
10:26 je le prends, parce que moi, je veux un toit.
10:28 Pour ma femme, ma pitié n'est pour moi.
10:32 - Mais pour la petite... - Même un petit studio,
10:34 je m'en fous. - Bien sûr.
10:36 - Parce que mon épouse a quand même été opérée du dos.
10:40 - Ah oui ? - Oui, j'ai été opérée du dos.
10:41 - Elle a des prothèses dans le dos et de dormir dans la voiture,
10:43 c'était pas marrant pour elle.
10:45 - Donc là, on a ce soir un hôtel, après 15 jours en Bangalow, et après ?
10:50 - Maître Collard. - On attend.
10:52 - Donc, et Maître Collard, il va vous aider ?
10:55 - Maître Collard... - C'est grâce à lui
10:56 que vous avez eu le Bangalow ? - Voilà.
10:58 - D'accord, très bien. Donc là, vous avez 15 jours de Bangalow, déjà.
11:01 - En plus de ça, j'ai contacté une association
11:04 qui s'appelle l'Espelido.
11:06 - C'est-à-dire qu'elle ne vous connaît pas ?
11:08 - C'est une association qui loue des logements.
11:11 - Voilà. - D'accord.
11:13 - C'est à part des HLM.
11:18 Mais seulement maintenant, on ne me connaît pas.
11:22 Et pourtant, j'ai la preuve, puisque le 1er juin,
11:26 j'ai eu affaire à une dame de l'Espelido,
11:29 le 8, j'ai eu affaire à une dame de l'Espelido,
11:32 et là, dans ma poche, j'ai un rendez-vous,
11:35 comme quoi j'ai rendez-vous le 28, encore avec cette dame.
11:38 - D'accord. - Alors quand on me dit que...
11:40 - Grâce à la médiatisation, il va y avoir des propositions.
11:41 - Voilà, là, grâce à ce soir encore,
11:42 j'espère que vous allez avoir d'autres propositions.
11:44 Vraiment, Alain et Gisèle, là, vous êtes tranquilles
11:47 pour 15 jours, on l'entend. - Voilà.
11:49 - D'accord, donc on va essayer de faire le maximum
11:51 pour que vous soyez tranquilles pour tout le temps.
11:53 - Parce qu'en plus de ça, moi, j'ai pris un objectif honnêtement.
11:55 - Bien sûr. - Parce que j'en pouvais plus.
11:57 - Ah oui. - Parce que ma femme,
11:59 au départ, quand elle a perdu son AH,
12:02 on lui a donné 50 euros. - Heureusement,
12:04 on ne se voit pas grand-chose. - Et maintenant,
12:06 c'est l'ARMS, je ne comprends pas pourquoi
12:08 elle a aimé ça à la paie. - C'est bizarre, ça.
12:10 - Je ne comprends pas pourquoi elle a aimé ça à la paie,
12:13 puisqu'elle n'a jamais travaillé de sa vie,
12:15 et on lui donne 172 euros par mois.
12:19 - OK. OK. Bon, bah, Alain et Gisèle,
12:22 ce que je propose, c'est qu'on fasse...
12:24 Enfin, on va essayer de vous aider, nous aussi,
12:26 grâce à l'émission. On va voir ce qu'on peut faire
12:28 pour que Gisèle puisse s'allonger,
12:30 parce qu'elle s'est faite... Voilà.
12:32 Gisèle et Alain, on va essayer de faire le maximum.
12:34 C'est bien que vous soyez venus ce soir,
12:36 parce que ça va encore faire rebondir l'affaire.
12:38 Donc merci d'avoir été là. On va suivre l'autre aussi.
12:40 On va essayer de vous aider aussi, nous aussi.
12:42 - Et vous savez, je me battrai juste au bout pour moi.
12:44 - Ah, bravo. Voilà. Et donc là...
12:46 - Parce que ça, c'est ma femme. - Et là, vous lâchez pas, Gisèle.
12:48 - Ah, non. - Voilà. - Et même ma petite chienne.
12:50 - Eh bien, très bien. - Ça, elle est là-haut.
12:52 - Et je remercie du fond du coeur
12:54 Benjamin et Patricia, un maître collat.
12:56 - Bravo. Oui, tout à fait.
12:58 - Mais surtout Benjamin et Patricia.
13:00 - Tout le monde, vous avez raison.
13:02 - Parce qu'ils ont eu un coeur comme ça.
13:04 Et pourtant, c'est des gens
13:06 qui font tout pour récupérer leurs enfants.
13:08 Et moi, j'ai bien dit,
13:10 je ne veux pas vous créer de problèmes.
13:12 Vos enfants sont primordiales par rapport à nous.
13:14 Sous-titrage Société Radio-Canada
13:16 [Musique]

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