Le duel des historiens ! D'un côté, Clémentine Portier-Kaltenbach. De l'autre, Stéphane Bern, dont les connaissances sont mises à l'épreuve dans ce quiz où les questions historiques les plus pointues côtoient les plus farfelues. Qui aura réponse à tout ? Ou bien à rien ? Faites vos jeux, rien ne va plus.
Retrouvez "Bern to be alive" sur : http://www.europe1.fr/emissions/bern-to-be-alive
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00:00 16h18 sur Europe 1, historiquement votre.
00:04 Stéphane Bern.
00:05 Chaque après-midi dans l'historiquement votre, je viens à ce moment de l'émission
00:08 où tout le monde se détend, commencez par moi, c'est l'heure du quiz.
00:11 Oui, ben vous détendez pas trop non plus, ou alors prévoyez des bretelles.
00:15 Quoi qu'il en soit, c'est Bern to be alive, il est temps de jouer à leur jour.
00:18 Pour vous Stéphane,
00:23 Benjamin Franklin est considéré comme le père fondateur des Etats-Unis.
00:27 Il a eu une maison à Passy en France, à Boston, ainsi qu'à Londres.
00:31 Pendant 18 ans, il a vécu de 1757 à 1775 dans la capitale britannique.
00:37 En 1998, alors qu'elle menaçait de s'écrouler,
00:41 d'importants travaux de rénovation étaient entrepris dans la maison.
00:44 On a retrouvé une machine servant à fabriquer des savons
00:47 et des bougies inventées par ce dernier.
00:51 Vrai ou faux ?
00:53 Il faisait des savons.
00:55 Hein ?
00:56 Il faisait des savons.
00:57 Et des bougies ?
00:58 Et des bougies.
00:59 Ecoute, c'était quand même un esprit extrêmement créatif,
01:01 parce qu'il a inventé le paratonnerre et qu'il était imprimeur, c'était un bricoleur.
01:05 Il a...
01:06 Non, il sait qu'il sache faire bien.
01:08 Mais c'est les bougies et savons, oui, c'est ça.
01:10 Pourquoi on l'aurait retrouvé juste en... vous voyez, là ?
01:14 Non, on a dû retrouver plutôt du matériel imprimé, non ?
01:18 C'est parce que la maison manquait de s'écrouler,
01:20 donc on a découvert des choses qu'on n'avait pas vues encore dans les fondations.
01:23 Hum.
01:24 Moi, j'y crois pas.
01:27 Moi, je pense qu'il aurait été capable d'inventer quelque chose de très ingénieux
01:32 pour faire des bougies et des savons,
01:34 parce que c'était un homme qui avait un très grand esprit pratique et du génie dans les mains.
01:38 Mais est-ce qu'il ne serait pas plus logique qu'on ait trouvé un objet
01:42 qui lui ait servi à exercer son métier d'origine,
01:44 qui était le métier d'imprimeur ?
01:46 Mais ça, c'est à vous de prendre la responsabilité de répondre.
01:50 Je vous propose une machine servant à fabriquer des savons et des bougies.
01:53 Bon, il y a besoin de cire, évidemment.
01:55 Et inventée par Benjamin Franck-Larra.
01:57 Non, ce sont des moules, si vous voulez, la machine pour faire des bougies.
02:01 Vous savez, c'est une machine en métal avec plusieurs...
02:04 Voilà, vous voyez, c'est pas lui qui a inventé ça, si ?
02:06 Non, je pense pas.
02:07 Non, ça, ça existait déjà.
02:09 Non, il a dû inventer...
02:10 Non, elle a dit non.
02:11 Oui, mais c'est pas elle qui joue !
02:13 C'est vous qui jouez, normalement.
02:16 Vous connaissez pas, en philo, ça s'appelle la dialectique du maître et de l'esclave.
02:20 Voilà.
02:21 Allez, allez !
02:22 Elle, je parle à travers elle, c'est...
02:25 Je parle.
02:26 Oui, je dirais que c'est faux.
02:28 Oui, je dirais que c'est faux.
02:30 Comment on répond simplement ?
02:33 On n'a pas retrouvé de machine à faire des bougies et des savons.
02:36 D'accord.
02:37 Il y avait une machine à faire les bulles, aussi.
02:39 On vérifie.
02:40 Vous avez...
02:42 gagné !
02:43 Bravo.
02:44 Vous avez gagné ce quiz.
02:46 On a échappé au piège.
02:48 Voilà, c'est ça, exactement.
02:49 Vous avez gagné ce quiz, puisque je vous le rappelle tout à l'heure.
02:51 Enfin, une nouvelle fois, Clémentine était désagréable avec moi.
02:54 Donc il vous suffisait d'une bonne réponse.
02:56 Non, mais pas du tout, je peux jouer pour l'honneur, quand même.
02:58 En plus, en plus, là, c'est moi qui ai donné la bonne réponse.
03:00 Vous pensez vraiment qu'il vous reste de l'honneur ?
03:02 Mais bien sûr, mais bien sûr.
03:04 Non, c'est faux, en tout cas, pour la question sur Benjamin Franklin.
03:07 Par contre, dans cette maison, on a retrouvé 1200 os humains.
03:11 1200.
03:12 Après enquête, on a conclu que Benjamin Franklin n'était pas Serial Killer,
03:15 mais qu'il avait hébergé William Hewson,
03:18 qui n'était pas Serial Killer non plus, mais étudiant en anatomie.
03:21 Et il a dû ramener des devoirs à la maison.
03:23 Ah, c'est une belle histoire.
03:25 Voilà, c'est ça.
03:26 Il y avait plein d'autres belles histoires.
03:27 Dommage que vous n'ayez pas de questions.
03:29 Une nouvelle question pour Stéphane, maintenant.
03:31 Quoi ?
03:32 Oh, bah moi, je veux bien...
03:34 Allez, allez-y, je veux bien répondre à toutes les questions pour Stéphane.
03:37 Non, ça va être pour vous, allez.
03:38 Allez, allez, allez.
03:39 On fait la paix.
03:40 Gaulois.
03:41 Ça vient de "galus" ou "galus" en latin, qui signifie également "coq".
03:46 C'est un hasard, mais le mâle de la poule est naturellement devenu l'emblème de notre beau pays.
03:51 Voici ma question.
03:53 Quand il crie, le coq se bouche...
03:56 Voici ma question.
03:57 Quand il crie, le coq se bouche tout seul le canal auditif pour éviter d'être sourd.
04:02 Vrai ou faux ?
04:04 Oh, mais il se bouche à la bouche.
04:07 Oh, mais il se bouche avec quoi ?
04:10 Vous ne voulez pas savoir.
04:12 Regardez Stéphane, alors le coq, là, quand on veut se déboucher le nez, se déboucher les oreilles,
04:17 on s'appuie sur le nez, on se débouche les oreilles.
04:20 Est-ce que le coq peut avoir un moyen de neutraliser,
04:24 comme nous, nous ne pouvons le faire, mais en ayant besoin des mains pour se faire,
04:29 est-ce que le coq serait capable ?
04:31 Parce que sinon, ça veut dire que le coq deviendrait sourd
04:34 à force de crier tous les matins, c'est rigolo.
04:37 Et puis, il y a bien quelque chose comme ça.
04:39 C'est pour ça qu'il crie de plus en plus fort.
04:41 Sinon, cette question n'aurait pas de sens.
04:43 Il a un moyen d'atténuer le bruit qu'il produit lui-même, le coq.
04:48 Voilà, c'est ça la question.
04:50 Pourquoi pas, écoutez, mystère, mystère...
04:54 Mystère de la nature.
04:56 Par exemple, quand mes chiens aboient, parfois ils aboient fort, ça ne les rend pas sourds non plus.
05:01 Parce qu'ils peuvent s'auto-boucher les oreilles comme un coq.
05:04 Mais est-ce que vous, ça vous irrite les oreilles ?
05:07 Vous allez peut-être le découvrir, Stéphane, que vos chiens ont un système audio-régulateur.
05:13 Peut-être qu'ils n'entendent rien du tout, les chiens.
05:16 Alors, pour mon coq, on fait quoi ?
05:18 J'ai dit oui, j'ai dit oui.
05:20 Vous voyez que...
05:22 Elle devient agressive.
05:23 Pas du tout, mais les gars, vous vous rendez pas compte ce que c'est.
05:27 Vous allez voir, vous allez me voir agressive.
05:29 Vous avez appris ce mariage, vous avez apprenu...
05:31 Vous voulez vous le reprendre pour époux, vous faites "oui, oui, oui, je veux, oui".
05:34 Oui, c'était à peu près ça.
05:36 Vous avez dit oui, on vérifie.
05:40 Le cri du coq, c'est 100 décibels.
05:46 C'est équivalent à un marteau-piqueur.
05:48 Donc quand il crie, le coq, il penche sa tête et de la peau vient recouvrir une partie de son tympan.
05:54 Extraordinaire.
05:55 Mais peut-être que vos chiens ont la même chose.
05:57 Est-ce que les chiens ont pareil ?
05:59 Ils ont les oreilles déjà.
06:01 Oui, tout à fait.
06:03 Mais est-ce qu'ils ont un petit pavillon qui leur tombe sur l'oreille quand ils aboient ?
06:06 Est-ce qu'ils aboient en baissant la tête d'ailleurs ?
06:08 Non, le chien s'allève plutôt...
06:09 Vous voyez, c'est ça le problème avec vos questions, Jean-Luc.
06:12 Vous les approfondissez jamais, nous on aimerait bien connaître les déglais, les débloquements...
06:18 Si j'ouvre après sur les chiens, vous allez me parler des loups,
06:20 après vous allez me parler d'autres animaux, on ne s'en sort plus avec vous.
06:23 Est-ce que les éléphants peuvent faire la même chose quand ils barrissent ?
06:26 Exactement.
06:27 Une question pour Stéphane.
06:28 Lui, Stéphane, il ne prend pas la tête après une question, il répond et puis c'est tout.
06:32 Oui, parce que Stéphane, il n'a qu'une hâte, c'est que ça se termine.
06:35 Alors on va aller vite.
06:38 Comme vous avez bien deviné !
06:40 Parfois l'histoire hésite.
06:42 Néron était-il cruel ou était-il fou ?
06:45 Bon, ce n'est pas la question que je vous pose maintenant.
06:47 Ma question c'est, est-ce que son palais appelé le Domus Area
06:51 était équipé d'un système permettant de lâcher une pluie de pétales depuis le plafond sur ses invités ?
06:57 Ah, ça c'est plutôt Elio Gabal qui faisait ça, qui lâchait des roses.
07:01 Mais lui, sur ses orgies, on lâchait des perroquets ou des oiseaux dont on parfumait les ailes
07:10 et qui lâchaient des gouttes de... et des roses sans doute aussi.
07:13 Je pense que c'était... il avait une vue très agréable.
07:18 Et les fans faisaient ça dans ses festouilles, ils regardaient, vous avez tout d'un coup des pétales, des roses...
07:22 Et donc il y avait des gens à l'étage au-dessus...
07:25 Non, il y avait un dispositif, on stockait les pétales et puis tout d'un coup...
07:29 On ne va pas sentir la rose, n'empêche pendant les...
07:33 Alors ?
07:35 Elle n'est pas pour moi cette question, elle est pour lui.
07:37 Elle est pour moi.
07:38 Ne me regardez pas comme ça.
07:39 Je relis la question.
07:40 Est-ce que son palais appelé...
07:42 La Domus Area, la ville là...
07:44 Est-ce que je peux la dire la question ?
07:46 Est-ce que son palais appelé la Domus Area était équipé d'un système permettant de lâcher une pluie de pétales depuis le plafond sur ses invités ?
07:53 Mais c'est pas Area, c'est Orea.
07:55 C'est le palais doré.
07:58 Bon, c'est pas grave, je ne dis plus rien, moi là je vois que je suis mal vue du scrutateur.
08:04 Non, en fait, il n'avait pas ça.
08:07 Il avait pensé à l'installer...
08:09 [Rires]
08:13 Alors, je crois qu'il avait pensé à l'installer...
08:14 Excusez-moi, est-ce que je peux poser ma question ?
08:16 [Rires]
08:17 Non mais Jean-Luc, il y avait pensé à l'installer.
08:20 Et quand il a reçu...
08:22 Mais il a préféré, évidemment, il a préféré une véranda.
08:26 [Rires]
08:27 Akena.
08:28 Est-ce que son palais appelé la Domus Area était équipé d'un système permettant de lâcher une pluie de pétales depuis le plafond sur ses invités ?
08:36 Il y avait pensé, mais...
08:38 Ce qui est formidable, c'est qu'après on me dit vrai ou faux, alors que c'est une question.
08:41 [Rires]
08:43 Je pense qu'il y avait pensé, mais...
08:45 Mais Elio Gabbal avait un truc comme ça.
08:47 Quand il a reçu le devis, il a vu que c'était beaucoup trop cher.
08:51 [Rires]
08:52 Il a dit quoi ?
08:53 Bah oui, c'est ça.
08:54 On lui a pas dit.
08:55 1750 euros pour une pluie de roses ?
08:57 Non, mais vous n'y pensez pas.
08:58 Quand on lui a fait un devis, il était pas bien.
08:59 Alors Stéphane, d'après vous, vrai ou faux ?
09:01 Il s'est très occupé avec les Britannicus, Agrippine, tout le monde.
09:06 Mais souvenez-vous, le dispositif extraordinaire à bord de la galère de sa mère pour la tuer.
09:10 Oui.
09:11 Donc, qui peut le plus, peut le moins.
09:13 Oui, mais là, il a...
09:14 Vous pensez qu'il a radiné sur le dispositif de distributeur de pétales ?
09:18 Il aimait pas la rose.
09:19 Non.
09:20 Alors, on vérifie.
09:22 Et bah voilà, et bah voilà, et bah voilà.
09:29 Bien sûr, il avait ça.
09:30 Oui, oui, enfin bien sûr.
09:32 C'est facile après.
09:33 À l'entrée, une statue de lui-même de 36 mètres de haut, comme chez vous Stéphane.
09:37 Non, y a pas ça.
09:38 Non, c'est quoi, c'est 42 ?
09:39 Y a pas de statue.
09:40 D'accord.
09:41 Dans les salles de bain de l'eau salée et de l'eau douce, les salles étaient pourvues de tuyaux pour parfumer ses convives
09:46 et le plafond permettait de laisser tomber sur les mêmes convives des pétales de fleurs.
09:50 Oui, oui, oui.
09:51 C'était au 15e siècle qu'un jeune Romain tombe dans un trou.
09:54 On redécouvre l'endroit où était édifiée la Domus Aurea.
09:57 Dommage.
09:59 Ah là là, moi ça m'embête vraiment parce que là...
10:01 Oui, parce que c'est elle qui va gagner.
10:03 Ah oui, oui, oui, là c'est embêtant.
10:05 Et on en a encore une question.
10:06 Ça m'arrange pas du tout.
10:07 On va s'arranger.
10:09 Si je vous dis 1936, vous me répondez...
10:13 Les congés payés.
10:14 Front populaire.
10:15 Mais c'est aussi la mort de Louis Blériot et la naissance de Yves Saint-Laurent.
10:19 Et de mon père.
10:20 Et de votre père, j'allais le dire, c'était dans la question.
10:23 Merci.
10:24 C'est aussi l'invention d'un ordinateur très particulier, conçu par l'ingénieur russe Vladimir Loukianov.
10:30 Il marchait à quoi cet ordinateur ?
10:32 Au gaz ?
10:33 À l'eau ?
10:34 Ou à l'alcool ?
10:36 Avec Loukianov, c'est forcément à l'alcool.
10:40 À l'alcool, ça devait marcher à la vodka.
10:42 À la patate ?
10:44 À la patate.
10:46 Le premier ordinateur de patate.
10:48 Non, à l'alcool.
10:50 Vous avez...
10:52 Ah !
10:53 ...perdu !
10:54 Ah voilà, voilà, comme ça.
10:55 Ils ont été pronds quand même à envoyer...
10:57 Je crois que d'autres gens souhaitaient votre défaite.
11:00 Alors allez-y.
11:01 Il marchait à l'eau.
11:02 Il fonctionnait avec un intégrateur hydraulique.
11:04 Ah, la vapeur alors, non ?
11:06 Les...
11:07 Non mais...
11:09 Il marchait à l'eau.
11:13 Il fonctionnait avec un intégrateur hydraulique.
11:15 Les données étaient stockées grâce à d'infimes mouvements d'eau.
11:18 Et quand il est sorti en 1936,
11:20 c'était le seul ordinateur capable de résoudre des équations aux dérivés partiels.
11:24 Ah, vous m'en direz tant, mais alors qu'est-ce exactement...
11:27 Vous savez à quoi ça sert les dérivés partiels ?
11:29 Non, non, non.
11:30 J'en ai absolument pas...
11:32 Mais Stéphane le sait.
11:34 Il a eu un frère très grand mathématicien.
11:36 Exactement.
11:37 Mais c'est pas transmissif.
11:39 Oui.
11:40 C'est dommage, là.
11:42 La nature s'est reposée sur mes enfants, comme disait Tolstoy.
11:46 C'est pas transmissif par voie orale.
11:48 Voilà.
11:49 Une question pour vous départager.
11:51 Pas sur les dérivés partiels, hein.
11:53 De préférence.
11:54 30 novembre 1906.
11:56 Un biologiste marin du nom de George Parker Bieder
11:59 prodige du calcul sans savoir battre un record.
12:03 Il jette une bouteille dans la mer avec un message pour faire des expériences de biologie maritime.
12:07 Il ne se doutait pas qu'il venait de lancer la bouteille qui restera le plus long temps dans la mer de toute l'histoire de l'humanité.
12:14 Elle est restée combien de temps dans la mer, la bouteille ?
12:17 1906.
12:18 Ah oui, exactement.
12:20 10 ans.
12:25 Elle est restée, moi je dirais, 80 ans.
12:29 De 10 à 80 ans.
12:31 Moi j'ai dit 200, moi.
12:33 200 ans.
12:34 200 ans. Moi je dis 80.
12:35 Écoutez,
12:37 étrangement, c'est Stéphane, parce que
12:42 Clémentine a beaucoup de qualités, mais comme elle se fout régulièrement de ma tronche,
12:47 elle a réussi à jeter une bouteille en 1906 et de la récupérer 200 ans plus tard.
12:53 Ah non, je croyais que c'était en 1906.
12:55 Et ça c'est fort.
12:57 J'ai mal compris. Moi j'ai cru que c'était en 1906.
13:00 On trouve la bouteille et de quand datait-elle de 200 ans auparavant ?
13:03 Si vous ne comprenez pas les noms, c'est des questions.
13:05 Oh, mais dites donc, ça va.
13:07 La prochaine fois que vous me supplirez de vous aider avec votre petit air de chien battu, là ça sera non.
13:14 Bon, c'était 108 ans.
13:16 108 ans et 138 jours.
13:18 Dans la bouteille, il y avait un message "Renvoyez la bouteille au laboratoire de Plymouth au Royaume-Uni, vous recevrez un shilling".
13:28 J'ai raconté des tas d'histoires de bouteilles à la mer, mais c'est pour ça que les 200 ans me paraissent...
13:32 C'est pas hurissant, mais...
13:34 Oui, mais comme je vous ai dit qu'elle avait été jeter en 1906.
13:36 Oui, oui, oui. Non, moi je croyais qu'elle avait été trouvée en 1906.
13:38 Moi j'ai pensé 1986, c'est pour ça que j'ai dit 80 ans.
13:42 Vous avez eu raison. C'est encore une victoire, un triomphe.
13:45 Oh non, oh non, alors salut.