Aux obsèques du président tchadien Idriss Deby Itno, en avril 2021, Emmanuel Macron est le seul chef d’Etat occidental présent. Il veut ainsi monter les liens politiques, militaires et historiques qui unissent la France au Tchad. Ainsi, 1 000 hommes de ce qui fut l’Opération Barkhane sont encore déployés à N’Djamena pour lutter contre le terrorisme islamiste africain. Dans une région particulièrement sensible, dans un pays qui doit voisiner avec la Libye ou le Soudan, une nouvelle fragilisation est apparue avec le maintien au pouvoir du successeur du président défunt : son fils, le général Mahamat Idriss Deby. Manifestations, émeutes ont secoué le pays en octobre dernier. En France, les responsables politiques de gauche dénoncent en vrac : putsch, népotisme et illégalité institutionnelle.
Pour faire la part des choses et sortir des simples postures idéologiques, TVL a donné la parole à Jean-Bernard Paradé, ministre d’Etat tchadien et conseiller du président Déby, ainsi qu’à Jean-Louis Tremblais, grand reporter au Figaro-Magazine et auteur d’un portrait-rencontre avec l’actuel président pour Le Figaro. Et si, derrière tout cela, il y avait la volonté de faire partir totalement la France du Sahel, de la bande sahélo-saharienne ? Et seconde question : qui a intérêt à cela ?
Pour faire la part des choses et sortir des simples postures idéologiques, TVL a donné la parole à Jean-Bernard Paradé, ministre d’Etat tchadien et conseiller du président Déby, ainsi qu’à Jean-Louis Tremblais, grand reporter au Figaro-Magazine et auteur d’un portrait-rencontre avec l’actuel président pour Le Figaro. Et si, derrière tout cela, il y avait la volonté de faire partir totalement la France du Sahel, de la bande sahélo-saharienne ? Et seconde question : qui a intérêt à cela ?
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