Né en 1972, Lucien Cerise est expert en ingénierie sociale. Il a une formation en sciences humaines et sociales, avec une spécialisation dans le langage et l’épistémologie. Docteur en philosophie, il participe à la revue Philosophoire et travaille dans les sous-sols de la BNF. Commençant dans les sphères de l'ultra-gauche et des squats parisiens, il passe par le , il comprend à l’occasion du référendum de 2005 que la question de la souveraineté nationale est essentielle et milite de plus en plus dans les milieux nationalistes.
Les références de son ouvrage "Gouverner par le chaos - Ingénierie sociale et mondialisation" sont Guy Debord et son livre La Société du spectacle, Giorgio Agamben, Michel Foucault et le biopouvoir : un projet politique, celui porté par le mondialisme, et dont les conséquences pour la vie, au sens biologique du terme, seront pires que le nazisme et le stalinisme réunis. Analyse de la fabrique du consentement et des différentes stratégies de hacking social par lesquelles on cherche aujourd'hui à faire admettre au peuple français une destruction méthodique des services publics et un alignement complet sur la mondialisation libérale, le texte se termine s'achève sur un appel enflammé à la défense du programme du «Conseil National de la Résistance» de 1945. Outre cette inspiration gaullo-communiste, on y trouve des références à «la Stratégie du choc» de Naomi Klein ou à Jean Baudrillard, ainsi que des allusions à la «Théorie de la Jeune fille» élaborée par «Tiqqun», la revue autrefois animée par Julien Coupat.
Poussant sa réflexion plus loin, il s’intéresse aux notions de frontière et de limite, aussi bien dans le champ politique que dans les domaines psychologique, éthique et comportemental. Dans ses publications, il travaille à décrypter les effets nocifs de l’ingénierie sociale, c’est-à-dire de l’application indiscriminée des sciences de la gestion et du comportement (cybernétique, management, marketing) à la politique, à la géopolitique et à la vie quotidienne dans une perspective transhumaniste. Il a publié sur ces sujets, dont deux romans et trois essais :
⦁ 1999 : "Oliganarchy" chez Le Retour aux Sources
⦁ 2006 : "Photographies d'un Hamburger : Cliché n°1 La guerre des sexes" chez Scali
⦁ 2014 : “Gouverner par le chaos” en 2014 chez Max Milo
⦁ 2016 : “Neuro-pirates” chez Kontre Kulture
⦁ 2017 : “Retour sur Maïdan – La guerre hybride de l’OTAN“ " chez Le Retour aux Sources
Participations :
⦁ 1999 : "Marchandiser la vie humaine" de Maria Poumier
⦁ 2018 : "Soros et la société ouverte : métapolitique du globalisme" de Pierre-Antoine Plaquevent (postface)
Aujourd'hui, Lucien Cerise est fréquemment invité dans différents média - radios, colloques, sites internet, blogs - Novopress, radio courtoisie, méridien-zéro.
Les références de son ouvrage "Gouverner par le chaos - Ingénierie sociale et mondialisation" sont Guy Debord et son livre La Société du spectacle, Giorgio Agamben, Michel Foucault et le biopouvoir : un projet politique, celui porté par le mondialisme, et dont les conséquences pour la vie, au sens biologique du terme, seront pires que le nazisme et le stalinisme réunis. Analyse de la fabrique du consentement et des différentes stratégies de hacking social par lesquelles on cherche aujourd'hui à faire admettre au peuple français une destruction méthodique des services publics et un alignement complet sur la mondialisation libérale, le texte se termine s'achève sur un appel enflammé à la défense du programme du «Conseil National de la Résistance» de 1945. Outre cette inspiration gaullo-communiste, on y trouve des références à «la Stratégie du choc» de Naomi Klein ou à Jean Baudrillard, ainsi que des allusions à la «Théorie de la Jeune fille» élaborée par «Tiqqun», la revue autrefois animée par Julien Coupat.
Poussant sa réflexion plus loin, il s’intéresse aux notions de frontière et de limite, aussi bien dans le champ politique que dans les domaines psychologique, éthique et comportemental. Dans ses publications, il travaille à décrypter les effets nocifs de l’ingénierie sociale, c’est-à-dire de l’application indiscriminée des sciences de la gestion et du comportement (cybernétique, management, marketing) à la politique, à la géopolitique et à la vie quotidienne dans une perspective transhumaniste. Il a publié sur ces sujets, dont deux romans et trois essais :
⦁ 1999 : "Oliganarchy" chez Le Retour aux Sources
⦁ 2006 : "Photographies d'un Hamburger : Cliché n°1 La guerre des sexes" chez Scali
⦁ 2014 : “Gouverner par le chaos” en 2014 chez Max Milo
⦁ 2016 : “Neuro-pirates” chez Kontre Kulture
⦁ 2017 : “Retour sur Maïdan – La guerre hybride de l’OTAN“ " chez Le Retour aux Sources
Participations :
⦁ 1999 : "Marchandiser la vie humaine" de Maria Poumier
⦁ 2018 : "Soros et la société ouverte : métapolitique du globalisme" de Pierre-Antoine Plaquevent (postface)
Aujourd'hui, Lucien Cerise est fréquemment invité dans différents média - radios, colloques, sites internet, blogs - Novopress, radio courtoisie, méridien-zéro.
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