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00:00Bilan d'étape sur la gouvernance économique et financière. Première question, Maïmouna Ndorfaï.
00:07Merci beaucoup Mariam Andrame. Monsieur le Président, merci de nous avoir accueillis ici,
00:12de nous avoir accueillis sous la force de l'ordre, de savoir qu'on fait tout ce que nous voulons,
00:17et que nous faisons tout ce que nous voulons. Monsieur le Président, vous avez fait un très bon travail.
00:24J'aimerais vous donner une cartographie de la situation macro et de la situation micro.
00:30Un an, jour pour jour, nous avons, ce que vous connaissez comme les indicateurs de conjoncture économique,
00:40c'est le voyant rouge. Ce que vous connaissez comme notre dette, nous avons 18 500 milliards à payer.
00:4999,67% du PIB. Le déficit public est de 12,8% du PIB.
00:58Au Sénégal, quand vous avez fait les rapports courts des comptes, nous avons déprécié notre souveraineté,
01:05nous avons pris un B+, un B- avec des perspectives négatives.
01:11Le secteur BTP, vous le savez, c'est le secteur de l'économie, il y a des employés,
01:18600 000 Sénégalais qui travaillent, ils sont en crise. La production du ciment est aussi en crise.
01:25Au Sénégal, il y a beaucoup de secteurs, nous avons accumulé beaucoup d'employés,
01:30même si vous avez dit que c'est le secteur de l'économie.
01:35Si nous allons dans le secteur de l'économie micro,
01:39il faut qu'on baisse les prix des données de première nécessité au mois de juin,
01:44mais l'inflation et la spéculation doivent être attrapées, vous le savez,
01:49c'est eux qui sont les plus pauvres au Sénégal.
01:51La qualité de l'eau, le sable et les pommes de terre sont beaucoup plus chères,
01:56mais l'économie, l'argent, on ne peut pas l'acquérir parce qu'on n'a pas ce qu'on a demain.
02:03C'est pour ça qu'en Sénégal, nous avons le meilleur état d'avenir.
02:08Le meilleur état d'avenir, c'est ce que vous nous avez donné,
02:11parce que votre référentiel de développement économique est prêt.
02:15Aujourd'hui, vous savez que je vous ai énuméré avec les indicateurs de conjoncture.
02:20Quelle est votre responsabilité, vous et votre gouvernement ?
02:25Bonjour, je m'appelle Maïmouna.
02:27Ma responsabilité, c'est d'être prêt.
02:31Pour résoudre ce problème, vous savez que le Sénégal l'a,
02:36mais est-ce que le Sénégal peut le gérer ?
02:40C'est ce qui est ma responsabilité,
02:42en termes d'économie, en termes d'argent, en termes d'économie, en termes d'argent,
02:46en termes d'argent, en termes d'argent, en termes d'argent, en termes d'argent,
02:48en termes d'argent, en termes d'argent, en termes d'argent.
02:50En termes d'argent, en termes d'argent, en termes d'argent.
02:52C'est ce qu'il faut faire.
02:53C'est une responsabilité que nous devons assumer.
02:55Au Sénégal, nous sommes prêts.
02:58Nous avons des problèmes.
03:01Nous sommes prêts à travailler.
03:04Mais où est le droit de rester ?
03:07Nous devons trouver un chemin.
03:09Si nous ne trouvons pas de chemin,
03:12et si nous ne trouvons pas d'argent,
03:15Je ne crois pas qu'ils peuvent nous dire ce que vous avez fait.
03:19Notre responsabilité aussi, c'est d'assumer tout ça.
03:24C'est-à-dire qu'il est important que les Sénégalais comprennent ce qu'ils ont fait,
03:27ce qu'ils ont donné, ce qu'ils ont connu, ce qu'ils ont perdu,
03:32ce qu'ils ont vécu, ce qu'ils ont vécu, ce qu'ils ont vécu.
03:36Il était important qu'ils comprennent,
03:39d'accord, nous tous les Sénégalais,
03:41où nous devons aller pour y aller.
03:47Alhamdoulilah, depuis 2012,
03:51le Sénégal a voté la loi
03:55qui dit qu'il n'y a pas d'amitié avec l'Amérique du Sud.
04:01Madame, à la suite de chaque élection,
04:03même s'il y a quelqu'un d'autre,
04:05il faut savoir qu'il n'y a pas d'amitié avec l'Amérique du Sud.
04:08C'est pour ça qu'il faut faire des comptes.
04:11C'est ce qu'on doit faire aujourd'hui.
04:15Si on ne le fait pas,
04:17si on ne fait pas ce qu'on a fait,
04:19si on ne fait pas ce qu'on a fait,
04:21c'est parce qu'on n'a pas d'amitié avec l'Amérique du Sud.
04:24Donc, notre première responsabilité, c'était de dire aux Sénégalais
04:29d'où viennent les réunions.
04:31Nous devons les connaitre,
04:32nous devons les connaitre avant de les aider.
04:34Parce que ce qu'on voit ici,
04:36c'est exactement ce qu'on croyait qu'on voyait.
04:40Si on savait qu'il y a beaucoup de choses,
04:43si on savait que les Sénégalais vivent de difficultés,
04:46si on savait que la trajectoire économique avec les Sénégalais
04:50ne se développerait pas,
04:52nous devrions savoir que les problèmes sont les mêmes.
04:56Si les Sénégalais faisaient attention à mon cadre,
04:59à ce que j'ai dit aux journalistes ici,
05:02il y aurait eu des problèmes.
05:06Parce que ce n'était pas le moment
05:09d'avancer des chiffres
05:11ou d'annoncer d'une situation économique plus catastrophique
05:15que l'imaginaire ou la connaissance populaire.
05:19Donc, on a laissé la loi opérer.
05:23L'IGF a fait son travail.
05:26Les Sénégalais étaient d'accord.
05:28On avait beaucoup de confiance en eux.
05:30Le cours des comptes était certifié.
05:33On attendait le cours des comptes.
05:36C'est ce qu'ils ont fait.
05:38Donc, on ne les a pas forcés.
05:40Quand ils ont annoncé le cours des comptes,
05:42on a eu peur.
05:43Mais le cours des comptes,
05:45c'est la seule chose qu'on a vu.
05:47C'est le cours des comptes.
05:49Donc, vous savez qu'il n'y a pas d'effet sur eux.
05:53Quand ils viendront,
05:55ils vont nous dire la vraie situation.
05:58Donc, je dirais que l'IGF n'a pas le droit
06:02à ce cours des comptes.
06:04Notre responsabilité, c'est de dire aux Sénégalais
06:07qu'ils ne doivent pas rester ici.
06:09Pour les deux.
06:11Pour qu'ils sachent où ils doivent aller
06:15pour s'occuper d'eux.
06:17Pour qu'ils sachent où ils doivent aller
06:19pour s'occuper d'eux.
06:21Pour qu'ils sachent où ils doivent aller.
06:25Pour que les Sénégalais sachent
06:28ce qu'ils peuvent avoir
06:30et ce qu'ils peuvent nous permettre.
06:32Et quels efforts nous attendent.
06:34Parce que si on ne le savait pas,
06:36il faudrait que le front social que vous voyez
06:40commence à évoluer.
06:42Ce sera très difficile.
06:44Et après tout ça,
06:46nous allons le voir en réalité.
06:48Et vous allez me dire que non,
06:50ils ne le savent pas,
06:52ils n'ont pas d'expérience,
06:54c'est pour ça qu'ils sont là.
06:56C'est important que la situation des références
06:58soit dégagée, avec des données objectives.
07:00Vous savez,
07:02ce n'était pas facile de l'assumer.
07:04Parce qu'il a duré longtemps
07:06qu'on ne le savait pas.
07:08J'ai dit à ceux qui sont venus,
07:10que nous devions faire
07:12pour que les choses
07:14continuent à marcher
07:16le temps qu'on entre dans la phase de redressement.
07:18Mais,
07:20il n'a pas prêté ses serments.
07:24Il a commencé par me dire
07:26qu'il avait quelque chose
07:28à nous dire,
07:30et qu'il devait s'occuper de ça.
07:32C'est la conclusion
07:34qu'il nous a donnée.
07:40Ce qui est plus important,
07:42c'est que
07:44les Sénégalais
07:46soient prêts à se défendre.
07:48Il faut savoir
07:50ce qu'on peut et ce qu'on ne peut pas faire.
07:52Au moins, sur ce plan-là,
07:54on va s'accorder.
07:56Maintenant,
08:00c'est l'heure.
08:04Quand nous avons fait
08:06les premiers audits
08:08avec l'IGF,
08:10nous avons atteint
08:1273%,
08:143,8%
08:16ou 3,7%.
08:20Le déficit était de 4,9%
08:22à 11%.
08:26Comment faire ?
08:28Le marché
08:30va nous sanctionner.
08:34Avant la conclusion
08:36du cours des comptes,
08:38nous étions sur le marché
08:40financier.
08:42Avec un taux
08:44de 8%,
08:46nous avons discuté
08:48pour voir si nous pouvions l'améliorer.
08:50Nous avons discuté du rapport
08:52des comptes.
08:54Même si nous étions à 8%,
08:56nous n'avons pas pu l'améliorer
08:58jusqu'à 12%.
09:00Le marché qui nous a sanctionné
09:02était attendu.
09:04La deuxième chose,
09:06c'était la dégradation de notre souveraineté.
09:08Nous le savons.
09:10Nous l'avons assumé,
09:12malgré la dégradation de notre souveraineté.
09:14Cela correspond à la situation
09:16de référence.
09:18La troisième chose, c'était
09:20ce que nous avons fait récemment,
09:22le misreporting.
09:24Aujourd'hui, nous avons le droit
09:26de faire tout ce que nous avons
09:28demandé.
09:30Nous ne pouvons pas
09:32l'améliorer.
09:34Nous pouvons l'améliorer
09:36car nos conditions ont changé.
09:38Il n'y a rien
09:40qui nous garantit que nous ne l'améliorerons pas.
09:42Car,
09:44si je suis
09:46ma propre personne,
09:48je suis la personne
09:50de mon prédécesseur.
09:52En définitive,
09:54le Sénégal est le meilleur.
09:56Il n'y a pas d'autre option.
09:58Le Sénégal est le meilleur
10:00pour faire
10:02les changements de régime.
10:04Mais vis-à-vis des Sénégalais,
10:06nous avons adopté
10:08cette démarche.
10:10Je pense que
10:12nous sommes là
10:14pour dire aux Sénégalais
10:16la vérité.
10:18Si c'est ce qu'ils attendent,
10:20je ne me présenterai pas.
10:22Nous sommes là
10:24pour leur donner confiance.
10:26C'est vrai.
10:28Nous sommes
10:30par rapport aux partenaires.
10:32Nous voulons
10:34qu'ils respectent le Sénégal.
10:36Nous voulons
10:38que les Sénégalais le respectent.
10:40Car,
10:42le respect est la seule chose
10:44que nous avons.
10:46Si nous voulons que les partenaires nous respectent,
10:48nous devons être respectables.
10:50Nous ne pouvons pas être respectables
10:52dans la contre-vérité.
10:54Prenons en compte tous ces éléments
10:56qui m'ont décrit
10:58vis-à-vis des Sénégalais.
11:00Par rapport aux efforts
11:02que nous devons faire,
11:04évidemment,
11:06nous avons choisi d'entendre
11:08les Sénégalais dire la vérité.
11:10C'est difficile,
11:12mais la vérité
11:14est la seule chose
11:16que nous devons faire.
11:18Nous devons nous concentrer
11:20sur la vérité.
11:22D'abord,
11:24nous devons dire
11:26qu'il n'y a pas de manque
11:28ni de prix.
11:30C'est le contraire.
11:32Il y en a d'autres.
11:34Mais, grâce à Dieu,
11:36nous devons nous concentrer
11:38sur la vérité.
11:40C'est difficile,
11:42mais c'est la seule chose
11:44que nous devons faire.
11:46Nous devons nous concentrer
11:48sur la vérité.
11:50C'est la seule chose
11:52que nous devons faire.
11:54Il n'y a pas de manque
11:56ni de prix.
11:58Quand j'ai fait mon discours,
12:00j'ai demandé à d'autres
12:02d'aider.
12:04Ils ont aidé.
12:06Ils nous ont aidés.
12:08Ils nous ont aidés.
12:10Si on regarde le prix
12:12aujourd'hui,
12:14c'est de 100 francs.
12:16Ce n'est pas rien,
12:18parce que personne n'a acheté
12:20un sac de 100 kilos
12:22qui a été vendu
12:24pendant des années.
12:26C'est un marché international.
12:28Mais non.
12:30C'est pourquoi,
12:32nous devons nous concentrer
12:34sur la vérité.
12:36Je me souviens,
12:38quand je suis arrivé ici,
12:40j'ai demandé au directeur
12:42du commerce intérieur
12:44la situation.
12:46Parce que les Sénégalais
12:48sont fatigués.
12:50Nous devons nous concentrer
12:52sur la vérité.
12:54Le prix est de 450 francs
12:56pour un kilo.
12:58C'est pourquoi,
13:00nous ne pouvons pas
13:02acheter un sac de 100 kilos.
13:04Nous ne pouvons pas acheter
13:06un sac de 100 kilos.
13:08Nous ne pouvons pas acheter
13:10un sac de 100 kilos.
13:12Nous devons acheter
13:14un sac de 100 kilos.
13:16Nous devons trouver une stratégie
13:18pour répondre aux demandes
13:20des Sénégalais.
13:22Voilà pourquoi,
13:24le prix est assez élevé.
13:26Nous ne pouvons pas acheter
13:28un sac de 100 kilos.
13:30Nous avons une seule
13:32maîtrise sur le prix
13:34des transports.
13:36Nous avons tous des opérateurs
13:38qui importent.
13:40Je demande au ministre
13:42de l'Intérieur
13:44et à son équipe
13:46de voir comment
13:48nous pouvons compter
13:50C'est ce qu'on a fait.
13:54D'abord, il y avait 500 000 tonnes de riz,
13:59et on ne pouvait pas les récupérer.
14:01Pourquoi ?
14:03Parce qu'il y avait des problèmes de transport,
14:06et on ne pouvait pas les récupérer.
14:08C'est pourquoi nous sommes allés en Inde,
14:10pour discuter directement avec eux,
14:12car on ne pouvait pas les récupérer.
14:14Ce qui nous permettait d'aller en Inde.
14:16Non seulement nous avons discuté,
14:18nous avons supprimé deux intermédiaires,
14:20pour les récupérer,
14:22mais nous avons encore un quota double.
14:24On a récupéré 500 000,
14:26et un quota d'un million.
14:28Lorsque nous savions qu'on allait les récupérer,
14:31c'est pourquoi,
14:33nous avons discuté avec tout le monde,
14:35et nous avons décidé d'aller dans le marché,
14:38pour les récupérer.
14:40C'est pourquoi, en décembre,
14:42nous avons annoncé qu'on allait les récupérer.
14:44J'ai demandé au ministre,
14:46est-ce qu'on est sûrs que sur le marché aujourd'hui,
14:48les intermédiaires qu'on avait discutés,
14:50on les a récupérés à plus bas prix
14:52que les intermédiaires qu'on avait,
14:54qu'est-ce qui se passe dans le marché ?
14:56Et dans notre perspective,
14:58on peut avoir quatre quotas,
15:00mais on peut aussi avoir des intermédiaires
15:02sur le marché international.
15:04Donc, nous attendons,
15:06et nous devons le maîtriser.
15:08C'est ce que vous pouvez voir.
15:10Notre stratégie,
15:12c'est de dérouler
15:14tout le secteur d'activité.
15:16Vous avez parlé du BTP.
15:18Oui, le BTP a des problèmes,
15:20comme tous les autres secteurs,
15:22parce que le Sénégal en lui-même
15:24a des problèmes dans ce contexte.
15:26Il y a beaucoup de dettes intérieures,
15:28c'est un secteur très dur.
15:30S'il n'y en a pas,
15:32on peut éponger
15:34toutes les dettes extérieures
15:36pour une relance économique.
15:38Il y a des injections financières,
15:40mais ce qu'on injecte,
15:42les banquiers l'aspirent
15:44parce qu'il y a beaucoup
15:46d'endettement dans le secteur privé.
15:48Qu'est-ce qu'il nous faut faire
15:50aujourd'hui?
15:52On a parlé avec
15:54les différents secteurs.
15:56Jusqu'à ce que
15:58nous arrivions à l'état
16:00d'amortissement.
16:02Mais en attendant,
16:04par rapport à ce qui est disponible,
16:06on va faire des injections.
16:08C'est ce qu'on va faire.
16:10Parce qu'en arrivant,
16:12d'abord, dans le secteur agriculture,
16:14les opérateurs,
16:16on a vu qu'il y a eu
16:18en 2020, en 2021,
16:20en 2022, et en 2023,
16:22on a fait tout.
16:26On a vu qu'en Angleterre,
16:28on a gagné de 22%.
16:30Après, la double quantité.
16:34Donc, si on regarde
16:36les différents secteurs, des efforts ont été faits.
16:38Comme je vous l'ai dit,
16:40dans la campagne 2024,
16:42on a gagné
16:44environ 3 milliards d'euros.
16:46C'est ce qu'on doit faire.
16:48Donc,
16:50dans le secteur opérateur,
16:52dans d'autres secteurs comme le BTP,
16:54on a fait des efforts.
16:56C'est insuffisant, certainement.
16:58Parce que le BTP
17:00fait beaucoup.
17:02Avant de pouvoir répondre à tout ça,
17:04une relance de l'activité
17:06efficace,
17:08il faut que l'on regarde
17:10comment dégager des couloirs budgétaires.
17:12Parce que si on ne le fait pas,
17:14ce que l'on peut faire sur l'impôt sur le plan intérieur,
17:16c'est ce qu'on a le plus besoin aujourd'hui.
17:18Parce que le marché international
17:20est dur d'accès pour nous
17:22au regard de la notation de la situation budgétaire
17:24du Sénégal.
17:26Ce que l'on peut faire,
17:30c'est l'intérêt de la service de la dette
17:32pour l'aspirer, parce qu'il est énorme.
17:34En réalité, il n'est pas de 18 500 milliards.
17:36Il n'est pas.
17:38La service de la dette,
17:40c'est ce que l'on doit faire
17:42pour qu'elle sorte du mandat précédent.
17:44Pour qu'elle tombe sur notre mandat.
17:46C'est pourquoi quand on regarde,
17:48on sait que ce n'est pas soutenable.
17:50Il nous faut maintenant, entre autres stratégies,
17:52le ministère de l'Economie et des Finances,
17:54le ministère de l'Economie,
17:56du Plan et de la Coopération,
17:58le ministère des Finances
18:00et du BDG,
18:02les services actifs
18:04et la gestion active
18:06de la dette.
18:08La gestion active de la dette,
18:10c'est ce qui nous permettra
18:12de faire des reports et des échéances
18:14pour, quand nous ferons une mobilisation
18:16à l'intérieur,
18:18répondre aux besoins d'investissement
18:20et à l'épongement de la dette
18:22qui permettra de relancer l'activité.
18:24Alhamdoulilah,
18:26la série des autorités est bien appréciée
18:28des partenaires.
18:30C'est pourquoi,
18:32nous sommes venus,
18:34mais nous étudions aussi
18:36pour ne pas commettre les mêmes erreurs
18:38que nos prédécesseurs.
18:40L'urgence politicienne
18:42ou l'urgence de la pression sociale,
18:44c'est vrai qu'elle est là.
18:46C'est pourquoi nous faisons des choix,
18:48ce ne sont pas des choix économiques lucides.
18:50On ne peut même pas se les permettre.
18:52C'est pourquoi, l'orthodoxie budgétaire,
18:54nous ne pouvons plus le faire.
18:56Maintenant, le mécanisme,
18:58nous l'avons restauré.
19:00Mais nous ne pouvons pas
19:02faire mieux que ça.
19:04C'est pourquoi,
19:06il y a des questions de gouvernance
19:08sur lesquelles nous sommes
19:10très à cheval.
19:12Les récentes communications,
19:14y compris celle d'hier,
19:16nous rendent compte
19:18qu'il y a des problèmes
19:20particulièrement dans le secteur
19:22de l'économie.
19:24C'est pourquoi,
19:26nous faisons des choix
19:28particulièrement sur les lois et les réformes.
19:56Le 1er janvier,
19:58on t'a dit que tu as rencontré
20:00un administrateur et un manager public.
20:02On t'a dit
20:04que tu étais dans un état
20:06où il n'y avait plus
20:08de marge budgétaire.
20:10Alors, ma question c'est,
20:12est-ce que tu es prêt,
20:14ou est-ce que tu n'es pas prêt?
20:16Ce que je veux dire,
20:18c'est que
20:20c'est de plusieurs ordres.
20:22Il y a des choses
20:24que je ne sais pas.