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00:00C'est ce que vous avez remarqué dans l'observation de Moustapha Diagne.
00:06D'abord, votre avis sur le discours.
00:10Si j'ai entendu ce que vous avez dit, j'ai eu des questions.
00:14Je pense que c'est là que nous avons tous pensé à ce discours.
00:19Pour le moment, oui.
00:21Ce que je peux dire, déjà sous la forme,
00:24c'est que c'est un discours fier.
00:28Sans que l'honorable Sambar ne l'ait pas dit.
00:31C'est un discours fier.
00:34Il faut respecter ceux qui en parlent surtout.
00:37Le temps.
00:39Parce que ceux qui en parlent, c'est trop tard.
00:42Ils sont dans une démarche pédagogique, d'explication.
00:46Ils savent que c'est eux qui travaillent.
00:50Ce n'est pas ce qu'on a vu auparavant.
00:52C'est un discours trop arrogant et menaçant.
00:54Si vous avez entendu le discours du président de la république, vous l'avez compris.
00:59Depuis le début, il a fait tous ses discours au même rythme.
01:04C'est naturel car c'est comme ça qu'on le connait.
01:08Depuis qu'il est le président de la république, c'est comme ça qu'on le continue.
01:12Les deux points principaux que j'ai notés
01:15c'est qu'un président de la république doit avoir un sens de l'histoire
01:20et un sens de la responsabilité.
01:23Je ne vais pas parler de remercier l'armée et de la cohésion nationale.
01:33Il faut savoir où se trouve le sens de l'histoire actuellement.
01:37On doit avoir un retour à la souveraineté.
01:43Toutes les règles doivent être prioritées.
01:47Surtout en matière d'économie.
01:49L'économie est l'un des points les plus importants
01:53et nous devons y réfléchir en profondeur pour faire de l'agriculture, de l'agriculture, etc.
01:59C'est ce qu'il faut faire.
02:01Heureusement pour le Sénégal, il y a une partie qui a anticipé cela.
02:08Le souverainisme et la présence de l'agriculture
02:13sont le présent et l'avenir.
02:16Je pense qu'on ne l'a pas prévu dans le programme.
02:19Et c'est ce qu'on doit faire.
02:22Je pense que le président de la république doit avoir un sens de la responsabilité
02:28et confirmer ce qu'on a dit sur l'économie du Sénégal.
02:35Sur les catastrophes que nous avons vues.
02:39Sur la dette cachée qu'on a vécue.
02:42Donc, il faut dire que la situation est difficile et qu'on doit le faire.
02:46C'est la sincérité.
02:48La responsabilité est d'avoir le courage de le faire.
02:55Il faut dire non seulement qu'il y a des changements et que les dirigeants ont baissé
03:00mais qu'il n'y a plus de dirigeants, c'est la fin du Sénégal.
03:04Le gouvernement doit aussi respecter les lois.
03:10Si on se souvient bien, le directif EUMOA a été transposé en décembre 2012
03:18c'est-à-dire qu'avec l'élection, le gouvernement a décidé de refuser les finances publiques.
03:25Il a refusé de faire de l'IGF en trois mois.
03:29Je rappelle qu'en 2019, ça n'a pas été fait.
03:31Il a aussi dit qu'il devait faire un cours de comptes certifié.
03:36Je pense que ce débat est clos parce que le président de la République l'a dit aujourd'hui.
03:40C'est pour ça que le Sénégal est important.
03:44Si on veut un réel changement, on doit faire un diagnostic.
03:49C'est très important car mon grand-frère Armand Duba, l'honorable, l'a dit
03:55qu'il n'y a pas de faible diagnostic.
03:59On dit qu'il y a des groupes sanguins et qu'il faut le faire.
04:05On ne fait pas de radio, c'est autre chose.
04:09Mais si on l'opère, c'est un problème.
04:12Donc, on doit faire un diagnostic pour voir les groupes sanguins
04:17pour voir ce qui l'inquiète et faire un bon radio.
04:22J'ai entendu des choses qui m'ont fait peur.
04:26On ne savait pas ce qui se passait au Sénégal.
04:31Si on savait que les courriels comptaient 4500 milliards
04:38et qu'on passait à l'opposition, on le saurait.
04:41Le manque de sérieux qui a commencé il y a deux mois n'a pas changé.
04:46Notre programme, notre livre-solution et notre bonheur ont changé.
04:50La preuve est que le Sénégal a une stratégie nationale de développement.
04:56Un plan quinquennal 2024-2029.
05:00Tout ce qu'on a fait, on l'a fait dans les 5 premières années.
05:04Il y a un masterplan sur les 10 ans.
05:08Il y a aussi le Sénégal 2050.
05:10Ce n'est pas que les Sénégalais attendent le Sénégal 2050 pour s'amuser.
05:14C'est une étape.
05:15Si on a un immeuble, comme je l'ai fait avec Lai Ligaye.
05:20Si on a un immeuble avec une bonne fondation
05:23et qu'on a une belle peinture de l'immeuble
05:27et qu'on a un immeuble, c'est une démolition de l'immeuble.
05:37C'est ce qu'il y a.
05:38Il y a aussi la cohésion nationale.
05:45Il a parfaitement raison.
05:47Tout ce qu'on a au Sénégal, comme la richesse et l'immeuble
05:55c'est ce qu'on a au Sénégal.
06:00C'est ce qu'on a au Sénégal et c'est ce qu'on veut.
06:03C'est ce qu'on veut et c'est ce qu'on doit remercier.
06:09C'est la responsabilité du président de la République.
06:14Je veux terminer par dire qu'il faut prendre sa responsabilité.
06:19Il y a des choses qu'un républicain ou un démocrate ne peut pas dire.
06:23Le plan de Dioumaï pour la casemence ne veut pas dire qu'elle doit avoir un avantage précis.
06:29Personne ne peut le dire comme des bourses familiales.
06:33Comme si nous voulions avoir un avantage par rapport au Sénégal.
06:37Le Sénégal est un et indivisible.
06:40Il n'y a pas de rapport.
06:42Le Sénégal est un et indivisible.
06:45Le Sénégalais est à Ziguenshor.
06:48Le Sénégalais est à Podhok.
06:50Le Sénégalais est à Kédou.
06:51Le Sénégalais est à Dakar.
06:52Le Sénégalais est à Salou, à Nianbourg, à Noyem, à Ket.
06:55Aux yeux du président de la République.
06:57Le Sénégal est un et indivisible.
07:01Il faut le savoir.
07:03Cela devrait même être sujet d'un consensus national.
07:07Personne ne peut le dire comme des bourses familiales.
07:09Le Sénégal est un et indivisible.
07:11Le Sénégal est un et indivisible.
07:14La région naturelle de Casamance a des ressources naturelles.
07:18Le Sénégal est un et indivisible.
07:22Le président de la République l'a dit.
07:25Il n'a pas fait de mal au président de la République.
07:30Il a dit que le Sénégal est un et indivisible.
07:33C'est ce qu'on a fait.
07:34On a fait ce qu'il fallait faire.
07:38On va le faire.
07:40On a reformé la justice.
07:43On a fait ce qu'il fallait faire.
07:46C'est pour cela qu'on a fait ce qu'on a fait.
07:50On a tué nos enfants.
07:51On leur a pardonné.
07:54C'est pour cela qu'on a fait ce qu'on a fait.
07:56Notre engagement est pour que le Sénégal ait de la justice.
08:00Pour qu'on fasse ce qu'il fallait faire.
08:03Si la justice est là, on pourra en parler plus tard.
08:06Je crois qu'il y a eu une rencontre entre trois partis.
08:11Le syndicat, le patrian et eux.
08:12Le syndicat a annoncé qu'il allait s'intégrer à l'agriculteur.
08:16Pour permettre le pays de souffler.
08:19Ils ont travaillé jusqu'à ce jour.
08:22Ils ont travaillé pour l'industrialisation.
08:26Ils ont fait des efforts mais ils n'ont jamais travaillé.
08:30Ils continuent de travailler mais le Sénégal n'a pas travaillé.
08:35C'est ce qui les fatigue.
08:37M. Diagne, vous savez peut-être ce que je veux dire.
08:42Il y a des choses qui m'inquiètent mais il y a quelque chose qui m'inquiète.
08:46Il est revenu en question et il veut qu'il soit sincère.
08:51Je crois qu'il manque de sincérité avec les acteurs politiques.
08:59On a fait plein de débats et les Sénégalais savent ce qu'il y a.
09:04Le président Basseult Djamal Faye, on l'envoie 54%.
09:10Les Sénégalais sont bien placés pour juger de sa sincérité.
09:14On l'envoie la majorité avec 130 députés.
09:17Je crois que les Sénégalais sont d'accord.
09:19Le président Basseult Djamal Faye est très sincère.
09:22Il ne peut pas se faire la paix.
09:24On ne veut pas de dialogue.
09:28On a la majorité.
09:30Si on fait comme les autres, on le fera.
09:33Le président a une légitimité populaire inédite dans l'histoire du pays.
09:39C'est la première fois qu'on voit l'opposant gagner au premier tour avec 130 députés.
09:43On peut utiliser cette légitimité à d'autres fins.
09:46Mais il faut qu'il y ait une légitimité et qu'il y ait un gouvernement pour qu'on fasse du dialogue.
09:54On a subi des dialogues insincères.
09:58On a subi des dialogues où j'ai fait ce que je voulais.
10:04On a subi des consensus où j'ai signé avec réserve.
10:09On ne doit pas croire que les Sénégalais sont amnesiques.
10:13Les Sénégalais sont très intelligents et très politiques.
10:22On sait tous les différences entre le président Basseult Djamal Faye et Kifin Nekom.
10:27Si on regarde leur posture et la façon dont ils parlent avec les Sénégalais,
10:34on peut voir une différence qui n'existe pas aujourd'hui.
10:38Le dialogue est très sincère.
10:39Il a commencé par le secteur et aujourd'hui, le secteur et le sous-secteur
10:45ont dialogué pour trouver des solutions et j'en suis témoin.
10:48Si le dialogue est sincère, on le saura à la fin.
10:54Si le président Basseult Djamal Faye n'admet rien,
10:58est-ce qu'il le fera ou pas?
11:01Il faut respecter les dialogues.
11:03Il faut juger le président Djamal Faye et il ne faut pas l'oublier.
11:07Je vais aller voir Abdou Rachman pour savoir si le président veut qu'il s'occupe de la cohésion sociale.

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