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Les Vraies Voix avec Philippe Bilger, Françoise Degois et Sébastien Ménard

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##LE_GRAND_DEBAT_DES_VRAIES_VOIX-2025-01-29##

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Transcription
00:00Les vrais voici de radio, 17h-19h, Philippe David, Cécile de Ménibus.
00:07De corps et d'esprit en tout cas, pour ceux que... non, pour personne d'ailleurs, vous
00:13avez raison, Philippe David, vous m'avez regardé avec des yeux à l'air de dire « ah bon,
00:16on est sains de corps et d'esprit ? » Oui, théoriquement oui, enfin peut-être pas tout
00:19le monde ici.
00:20Vous mettez votre casque beaucoup trop fort Philippe, ça fait des larcènes.
00:23Ah oui ? Oui.
00:24Des larcènes du pain.
00:25Ha ha ha ! T'as vu ? Elle est bonne celle-là.
00:26Elle est bien, elle est pas du tout attendue en fait.
00:30Je tenais à m'excuser auprès d'une jeune génération qui nous écoute, qui ne vous
00:36comprend pas de vie tout à l'heure.
00:37Allez, on vous souhaite la bienvenue avec Philippe-Biliger-Françoise de Gouin et Sébastien
00:41Ménard, jusqu'à 19h, tout de suite le Grand Débat du Jour.
00:44Les vrais voici de radio, le Grand Débat du Jour.
00:48Il faut que nous ayons légiféré sur la fin de vie et sur une aide active à mourir
00:53avant la fin du quinquennat.
00:54La majorité est très fière de pouvoir porter ce texte.
00:56La légalisation de l'euthanasie poserait des tas de problèmes.
00:59Moi, j'y suis très opposé.
01:00Il faut pouvoir y accéder sur notre territoire.
01:02Le suicide assisté, là, Emmanuel Macron a fait un choix de mots particulièrement précis.
01:08Tous les pays qui ont légalisé l'euthanasie ont connu les dérives.
01:10Question d'égalité aussi, puisque certains d'entre eux vont en Suisse, vont en Belgique
01:14pour recourir à une aide active à mourir.
01:16Ça va faire parler parce que la société est divisée selon les convictions de chacun.
01:19Mais en tout cas, c'est une évolution majeure.
01:21Et plus de 200 socialistes et macronistes ont exhorté François Bayrou à opposer l'aide
01:26à mourir à ne pas scinder le texte, jugeant que dissocier les soins palliatifs de l'aide
01:30médicalisée active à mourir serait une erreur.
01:33Alors, parlons vrai.
01:34Seriez-vous partisan d'une loi ou d'un référendum sur ce sujet ?
01:38Et à cette question, faut-il légaliser l'euthanasie et le suicide assisté ?
01:41Je me suis trompé de sondage tout à l'heure.
01:43Vous dites non à 66%.
01:45Voulez réagir le 0 826 300 300.
01:48Notre invité aujourd'hui pour en parler, Jonathan Denis, est avec nous.
01:51Bonsoir.
01:52Merci d'être avec nous.
01:53Vous êtes président de l'Association pour le droit à mourir dans la dignité,
01:56auteur de Mourir dans la dignité, plaidoyer pour la dernière des libertés,
02:00aux éditions du Cherche midi.
02:02Phil Bilger.
02:03Pardon pour ce poncif.
02:06C'est un sujet infiniment délicat, sur lequel j'aimerais moi-même penser délicatement,
02:13si j'ose dire.
02:14D'abord, je trouve que la distinction qu'a proposé le premier ministre est très pertinente
02:21entre le palliatif et ensuite l'aide à mourir.
02:25Parce qu'on peut espérer que, par exemple, ceux qui voteront en faveur des soins palliatifs,
02:31ils trouveront matière à réflexion pour se dissuader de vouloir disparaître.
02:38Deuxième élément, je crains les dérives de ce droit à mourir s'il était voté.
02:47Troisième élément, et là c'est strictement personnel,
02:51je n'aime pas cette idée que l'État, même prétendu non pour notre bien,
02:58va nous déposséder, non pas du droit de vivre, mais de notre liberté de mourir.
03:05Je préfère gérer seul ce moment terrifiant de la finitude,
03:11plutôt que de compter sur une loi qui me permettra, peut-être,
03:16d'oublier que la vie jusqu'au bout, quel que soit son état, est de la vie.
03:22Françoise de Gaulle.
03:23Moi, je ne suis pas du tout d'accord avec vous, Philippe Bilger.
03:25Je ne pense pas du tout que c'est l'État qui se mêle du droit à mourir.
03:29Je pense que c'est l'État qui donne les moyens légaux, à un moment donné,
03:32à un médecin de permettre de soucier toute souffrance.
03:37Je pense à la mère, par exemple, de Lionel Jospin, dont on a oublié que Mireille Jospin,
03:41grande éducatrice, infirmière, est partie en Suisse pour mourir.
03:44Les témoignages et les exemples se multiplient.
03:49Pourquoi un État ne peut pas donner ?
03:52D'ailleurs, François Bayrou nous a fâchés avec les Belges.
03:54Il a été insultant avec les Belges.
03:56Et Elio Di Rupo lui a répondu, point par point,
03:58en expliquant ce que vous dites est faux, notamment sur les dérives.
04:01C'était sur le droit à mourir des adolescents.
04:04Je suis désolé, vraiment.
04:06Si un État est capable de garantir une paix judiciaire à un médecin,
04:12parce qu'il vous donne le droit de mourir,
04:15parce que c'est insupportable,
04:17parce que quand vous avez la maladie de Charcot,
04:19tout à l'heure je parlerai de Charles Biettri, qui a la maladie de Charcot,
04:22si cet État est capable de donner cette loi
04:25qui permet aux médecins de ne pas finir en prison,
04:28parce qu'il vous aide à mourir,
04:30je trouve ça formidable, je trouve que c'est un progrès humain.
04:32Sébastien Minard.
04:34Je m'inscris en faux avec la position de Philippe Bilger.
04:38Moi je vais vous raconter une petite anecdote.
04:42J'ai accompagné quelqu'un, et ce quelqu'un c'était mon grand-père,
04:45qui était en parfaite santé,
04:48et qui a décidé à un moment donné de rejoindre ma grand-mère,
04:51parce que c'était comme ça,
04:53et donc il a décidé d'arrêter de prendre ses médicaments,
04:55il a décidé d'arrêter finalement de...
04:59sa petite quotidienneté qui lui permettait d'aller bien, etc.,
05:03et de surmonter son deuil, il a décidé d'y mettre un terme.
05:06Alors évidemment, il n'y a pas eu de droit à mourir,
05:09il n'y a pas eu d'euthanasie, il n'y a pas eu tout ça,
05:11mais son État s'est considérablement dégradé en moins de 8 jours.
05:15Et donc il a eu accès aux soins palliatifs.
05:18Mais qu'est-ce que sont les soins palliatifs aujourd'hui en France ?
05:21Ce sont des sédatifs, un excès de sédatifs,
05:24et puis on ne va plus vous donner à manger et à boire,
05:26parce que c'est de ça dont il s'agit.
05:28Et que quand vous avez votre grand-père qui veut partir,
05:31qui nous dit je veux partir mais j'ai soif,
05:33et là on est en train de...
05:35C'est ça le vrai sujet, concrètement,
05:37que moi j'ai vécu dans ma chair et que j'ai vécu devant moi.
05:40C'est quoi les soins palliatifs ?
05:42C'est la raison pour laquelle,
05:44moi je suis complètement d'accord avec Françoise de Gaulle,
05:48c'est qu'à un moment donné, si l'État,
05:50si une grande puissance comme la France,
05:53est capable d'exonérer,
05:56non pas d'une morale, de ses valeurs,
06:00d'une profonde éthique, intellectuelle, spirituelle, religieuse, etc.
06:04Celui qui va accompagner ne va pas donner la mort,
06:08il va simplement libérer,
06:10libérer d'une souffrance,
06:12une souffrance qui peut être physiologiquement, psychologiquement,
06:16totalement insurmontable.
06:18Sans parler des dommages collectifs.
06:20On est de la famille, mais bien sûr.
06:22C'est ça dont il s'agit.
06:24Je pense aussi, évidemment,
06:26rien ne vaut la vie.
06:28La vie jusqu'au dernier souffre, jusqu'au dernier moment.
06:30Mais à un moment donné, il faut juste se mettre à la place
06:33de celles et ceux qui ne peuvent plus, n'en peuvent plus.
06:36Et ce qu'on leur propose aujourd'hui,
06:38c'est une agonie assistée.
06:40Ce qui est totalement différent.
06:42Jonathan Donnie est avec nous,
06:44président de l'Association pour le droit à mourir dans la dignité,
06:46auteur de ce livre, Mourir dans la dignité,
06:48plaidoyer pour la dernière des libertés,
06:50aux éditions du Cherchemidi.
06:52Bien entendu, Philippe Bilger l'a dit,
06:54c'est un sujet très compliqué quand même.
06:56C'est surtout un sujet qui touche à l'intime.
06:58Et aux convictions de chacun,
07:00il faut savoir respecter les positions de chacun.
07:02Maintenant, ce qui est demandé,
07:04c'est qu'il y ait un nouveau droit,
07:06qui est cette liberté,
07:08cette dernière liberté qui aujourd'hui est interdite.
07:10Et dans le témoignage que vous avez apporté,
07:12on se rend bien compte des accompagnements
07:14qui ont pu se faire,
07:16de la protection, de l'encadrement qui est nécessaire.
07:18Il faut bien protéger les patients
07:20et protéger les médecins.
07:22Parce qu'il ne faut pas se mentir,
07:24des euthanasies, vous en avez qui se font en France.
07:26Mais elles ne se font pas continuellement dans ce cadre-là.
07:28Et il faut bien pouvoir protéger les patients,
07:30mais protéger aussi ces médecins qui font,
07:32ce qui est pour moi un dernier acte de soin.
07:34Maintenant, il ne faut pas opposer les soins palliatifs
07:36à l'aide active à mourir.
07:38C'est pour ça que je suis en désaccord avec François Bayrou.
07:40Il faut qu'il y ait des soins palliatifs partout et pour tous.
07:42Pour tous ceux qui souhaitent y accéder,
07:44il y a un grand travail encore à faire dessus.
07:46Mais il faut qu'il y ait cette possibilité
07:48pour les personnes qui aient des maladies
07:50qui soient graves, incurables,
07:52avec des souffrances physiques ou psychologiques
07:54qu'elles jugent insupportables.
07:56Il faut qu'il y ait cette solution
07:58qui puisse exister d'un accompagnement
08:00dans le cadre d'une énamourir,
08:02qu'il soit à la fois l'euthanasie ou le suicide assisté.
08:04Mais il s'agit bien de pouvoir respecter
08:06toutes les consciences.
08:08Et moi j'en vieux vraiment au Premier ministre
08:10par ses propos, par ses sorties délastreuses,
08:12par ses insultes, même envers les Belges.
08:14Dernièrement, parce qu'on avait un débat
08:16serein et apaisé qui avait eu lieu dans la société
08:18à l'Assemblée Nationale, il est en train
08:20de donner une passion autour
08:22et finalement de libérer
08:24une parole où on raconte tout et n'importe quoi
08:26sur nos voisins étrangers
08:28qui aujourd'hui font vraiment de la fraternité
08:30en accompagnant les Français qui ne sont pas accompagnés
08:32dans leur propre pays.
08:34C'est Jonathan Denis.
08:36Je vous remercie parce que
08:38vraiment, Bayrou,
08:40François Bayrou, qui normalement est un homme
08:42qui maîtrise le langage, etc.,
08:44il raconte n'importe quoi depuis qu'il est Premier ministre.
08:46Que ce soit sur une chose ou l'autre,
08:48est-ce qu'il avait besoin
08:50de relancer et de remettre de la passion ?
08:52On a débattu, vous vous souvenez, Nadine Morano
08:54avec notre amie,
08:56le duo des députés,
08:58bien sûr, qui avait
09:00beaucoup travaillé sur la fin de vie
09:02avec Léonetti.
09:04C'est un débat qui mériterait
09:06autre chose que parce qu'il fait de la politique, François Bayrou.
09:08Il a une posture,
09:10il a une posture de croyant, bien sûr,
09:12il a une posture catholique dans sa façon
09:14d'aborder ce débat. Il n'a pas besoin
09:16de remettre le feu comme ça.
09:18Moi, je trouve que c'est désastreux de remettre le feu
09:20là-dessus, désastreux.
09:22Il me semble, Monsieur le Président,
09:24que je n'ai pas
09:26l'impression que François Bayrou a
09:28remis le feu. Il a été maladroit
09:30pour ce qu'il a dit
09:32sur la Belgique,
09:34mais la distinction, je la trouve pertinente,
09:36mais je
09:38peux comprendre votre point de vue
09:40et décidément,
09:42je ne parviens pas à mettre dans la tête
09:44et dans le cœur que
09:46dénaturer le rôle d'un médecin
09:48nous déposséder,
09:50encore une fois,
09:52de la liberté de choisir
09:54notre mort, mais personnellement,
09:56je n'arrive pas
09:58à me dire que c'est un droit,
10:00un progrès. Mais sans doute est-ce tort.
10:02Mais parfois, on ne peut pas le faire
10:04soi-même, Philippe Bilger, quand on a une maladie,
10:06type un AVC massif,
10:08ou une maladie de charcot.
10:10C'est terrifiant,
10:12mais je comprends,
10:14je n'ai absolument
10:16pas l'ombre
10:18d'un mépris
10:20sur la faiblesse
10:22de ceux qui, à un moment donné,
10:24jugeant leur vie insupportable,
10:26veulent la voir disparaître
10:28par les moyens qu'on évoque.
10:30Simplement, au regard
10:32de l'humain que je suis,
10:34je ne m'imagine pas le faire.
10:36Romina est avec nous.
10:38Pardonnez-moi, mais il y a des mots très durs.
10:40Vous venez de dire le mot faiblesse. C'est excessivement
10:42insultant envers toutes les personnes qui sont
10:44malades. Elles n'ont pas la faiblesse. Elles vont mourir.
10:46Elles ont une force considérable.
10:48Elles aiment la vie plus que
10:50n'importe qui. Mais elles vont mourir.
10:52Elles n'en peuvent plus de leur souffrance. Il faut une
10:54grande force, au contraire, pour
10:56pouvoir se dire, je demande à être accompagné
10:58dans le cas d'une élève qui va mourir.
11:00Ils ne sont pas faibles.
11:02Ça n'était pas méprisant de ma part, mais
11:04j'avais tendance
11:06à considérer que la plus
11:08grande force, c'est de continuer à vivre
11:10comme ça. Je pense que je suis d'accord avec
11:12Jonathan, avec le Président.
11:14Je pense vraiment qu'il faut
11:16une force considérable pour demander
11:18à quelqu'un de mettre fin à sa vie.
11:20Nous sommes des animaux.
11:22Ce qui prime
11:24en nous, c'est l'instinct de survie.
11:26Et le faire accepter à ses proches.
11:28Moi, je trouve ça vraiment extraordinairement
11:30puissant d'être capable de dire
11:32à un médecin, s'il te plaît, arrête.
11:34Notre auditrice du jour, c'est Romina de
11:36Vicambigore, qui est infirmière.
11:38Alors Romina, votre avis ?
11:40Moi, il faut savoir que
11:42je suis infirmière et j'ai eu besoin
11:44de faire un diplôme universitaire en plus
11:46de ma formation infirmière parce que, justement,
11:48je ne me sentais déjà pas du tout armée
11:50pour accompagner les gens
11:52en fin de vie. Parce que j'ai
11:54très vite voulu faire du libéral.
11:56Moi, vraiment, ce que je veux,
11:58c'est que les gens qui en font le choix
12:00puissent mourir chez eux dignement.
12:02Aujourd'hui, en plus, on a des gens
12:04qui sont âgés, qui vivent souvent seuls.
12:06Et malgré tout, c'est pas
12:08pour autant qu'il faut négliger ce fait-là.
12:10Ils veulent mourir dans leur maison.
12:12Et je vous assure
12:14que ça fait...
12:16Ça fait 18 ans que je suis infirmière.
12:18Je n'ai jamais eu aucune demande de Tanavi.
12:20On avait la chance...
12:22Alors là, ça a été supprimé. On avait le réseau Arcade.
12:24C'était un réseau de soins palliatifs qui fonctionnait
12:26très, très bien. Une coordination
12:28infirmière, des médecins...
12:30On avait tout ce qu'il fallait, et puis tout ça a disparu.
12:32Pour autant, on n'arrête pas de faire du palliatif.
12:34Mais
12:36j'ai peur que,
12:38effectivement, dans ce texte, on n'ait pas
12:40les atouts pour
12:42que les soignants
12:44puissent avoir les moyens de continuer
12:46dans leur soin palliatif, de faire du soin palliatif.
12:48Du vrai soin palliatif.
12:50C'est quoi le vrai soin palliatif ?
12:52Est-ce que je peux poser une question ?
12:54Très vite, parce qu'on a plus de temps.
12:56C'est-à-dire être capable, à n'importe quelle heure,
12:58de pouvoir soulager les symptômes d'inconfort.
13:00D'accord.
13:02C'est-à-dire soulager la douleur, etc.
13:04La soif, la faim...
13:06Les morales aussi, tout ce qui est...
13:08Parce qu'il y a une prise en compte globale de la douleur.
13:10Et puis, la douleur, elle est dans toutes ses dimensions.
13:12Elle est différente en fonction
13:14de la culture.
13:16Merci beaucoup, Romina,
13:18d'avoir resté avec nous. Merci beaucoup, Jonathan,
13:20Denis, d'avoir accepté notre invitation
13:22au président de l'association pour le droit à mourir,
13:24la dignité, et auteur de ce livre
13:26« Mourir dans la dignité »
13:28plaidoyé pour la dernière des libertés aux éditions
13:30du ChercheMidi.
13:32Merci d'avoir accepté. Dans un instant,
13:34on fait une petite pause.
13:36Et puis, le qui sait qui qui l'a dit. A tout de suite.

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