Les Vraies Voix avec Olivier Piton, avocat à Paris et Washington, ancien député suppléant des Français d’Amérique du Nord, auteur de nombreux livres sur la politique américaine.
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00:00Les vraies voix Sud Radio, le code projecteur des vraies voix.
00:04J'ai le sentiment que dans tous les pays du monde occidental, on a aujourd'hui un grand vent de liberté qui se lève.
00:10Un vent de liberté économique, mais pas seulement.
00:12La liberté d'expression, vous voyez que c'est un sujet qui est en train de se poser.
00:15On observe qu'en ce moment, il y a un bras de fer entre l'Union européenne et les Etats-Unis.
00:19Nous sommes nous à l'heure de la soumission ou à l'heure du diktat.
00:22Nous sommes nous à l'heure de la vassalisation.
00:25Être le patriotisme de Donald Trump, ça ne veut pas dire être le vassal des Etats-Unis d'Amérique.
00:30Et on nous fixe des objectifs, 5% en matière de défense, et on voit bien que ça marche.
00:36Il faut garder en vue cette idée de l'indépendance française.
00:45Et donc la cérémonie d'investiture de Donald Trump se tiendra à ses tenues en présence de l'italienne Georgia Melloni,
00:50des Français Eric Zemmour, Marion Maréchal, même le chef de l'extrême droite britannique a été invité.
00:55Contrairement au Premier ministre travailliste.
00:57Alors parlons vrai, est-ce que près d'un demi-siècle après l'élection de Reagan,
01:01la réélection de Trump va causer une seconde révolution conservatrice des deux côtés de l'Atlantique ?
01:06Et à cette question, Melloni, Zemmour, Aliot, les invités de Trump sont-ils un message à l'Europe ?
01:10Vous dites oui à 90%. Vous voulez réagir ? Le 0826 300 300.
01:15Et on retrouve Olivier Piton, avocat à Paris et Washington et ancien député suppléant des Français d'Amérique du Nord.
01:20Merci de votre retour. C'est votre deuxième mandat. C'est comme Trump.
01:25C'est son comeback. Et renouvelable, oui.
01:30On revient justement sur cette question. Est-ce que finalement, toutes ces invitations de la droite radicale envoient un message à l'Europe ? Olivier Piton.
01:39Oui, incontestablement. Le choix des invités parlants, il s'agit...
01:44Alors Emmanuel Macron avait parlé d'intention à la réactionnaire.
01:48Sans aller vers ces mots-là, on sent bien qu'il y a de toute façon une convergence idéologique.
01:52Et il y a surtout, ce qui me frappe, c'est qu'il y a une convergence idéologique assumée.
01:57Contrairement à l'habitude, on avait toujours cette impression que la droite avait toujours un peu de mal à s'assumer en tant que telle.
02:04Là, en l'occurrence, sous l'égide de Donald Trump, on sent qu'elle est, en tout cas, une certaine droite.
02:10On aura peut-être l'occasion de la définir.
02:12Mais en tout cas, une certaine droite, celle qui idéologiquement se sent proche de Donald Trump, est invitée, l'assume, le dit.
02:21Et effectivement, une révolution, peut-être une deuxième révolution, est en train de se mettre en place, en tout cas aux États-Unis.
02:28C'est ce qu'on va voir dans les mois qui viennent.
02:30Je trouve ça... D'abord, sur le parallélisme d'efforts, vous avez raison, Cécile, de signifier que le Premier ministre britannique dépanne.
02:38Mais jamais un officiel n'est invité.
02:40En réalité, Mélanie, c'est Mélanie Orban, ça fait partie du chef d'État, mais il n'y a pas d'invitation systématique.
02:46Bien sûr, c'est intéressant.
02:48Vous savez pourquoi Orban n'y est pas allé ?
02:50Je trouve ça très intéressant.
02:51Je vois Éric Zemmour qui court et Sarah Knafo, mais je les trouve extrêmement imprudents, en réalité, politiquement.
02:58Parce que ce que va faire Donald Trump, notamment avec les droits de douane, la façon dont il va assécher les agriculteurs,
03:04la façon dont il va assécher les produits français, ça va être bien de voir Éric Zemmour et d'ailleurs Marine Le Pen les plus malines.
03:11Marine Le Pen, elle est dans la délégation sans y être officiellement invitée,
03:15parce que la politique que va adopter Trump avec Elon Musk est une politique qui ne peut pas à terme convenir à l'électorat de Marine Le Pen.
03:25Et je ne vois pas comment ça peut convenir à terme à l'électorat d'Éric Zemmour et de Sarah Knafo, vraiment.
03:31Mais moi, ça me fait rire parce qu'ils sont comme des enfants à la foire, dans un magasin de bonbons, mais en réalité, à part de belles images.
03:39— Olivier Piton. — Voilà.
03:41— C'est une très bonne question. Maintenant, ils y sont. Pourquoi ?
03:46Ils y sont parce qu'ils veulent marquer idéologiquement une sorte de tempo, une sorte de changement.
03:52Ça, c'est le premier point. Le deuxième point qui est important,
03:55c'est le discours qui a été martelé en particulier par Jordan Bardella – je l'ai entendu tout à l'heure – qui disait,
04:01et c'est ce que disait aussi Sarah Knafo, c'est que l'objectif, il est de dire que les États-Unis défendent les Américains d'abord
04:09n'est pas en soi une grossièreté, un gros mot. Il nous appartient à nous, Français, de nous défendre et de défendre nos intérêts d'abord.
04:16Et dans cette logique-là, même si effectivement la guerre commerciale éventuelle qui pourrait y avoir entre les États-Unis et l'Europe,
04:22les États-Unis et la France... Je signale que la taxation sur les volailles a été levée aux États-Unis et au Canada aujourd'hui.
04:30Donc on part déjà sur de bonnes bases. — Oui, mais ça va pas être le cas des viticulteurs, non ?
04:34— Laissez-le parler. — Mais ça va pas être le cas des viticulteurs, par exemple. Vous le savez très bien.
04:37Sur les produits de luxe, on sait très bien. — Non, mais le message ne met pas à la place des invités.
04:40Et ce que je veux dire, c'est que le message de défense des intérêts nationaux est plus important que ce qui va se passer
04:48dans le cadre d'une guerre commerciale. Parce que je pense que c'est comme ça qu'il faut le comprendre.
04:52Et peut-être que l'électorat ne le comprendra pas. Mais ça, c'est autre chose.
04:56— Je pense que ça rapporte 0,8,0 à Tintin Toto, moi. Ça, c'est sûr.
05:00— Oui. La présence là-bas de personnalités françaises, je sais pas si elles sont marquantes pour l'opinion publique française d'une manière générale.
05:09Alors pour leur électorat particulier, oui. Pour l'opinion publique française d'une manière générale, j'en suis pas persuadé.
05:17Maintenant, moi, j'adhère à ce que vous dites. Je pense que c'est avant tout de vouloir imprimer le fait qu'on peut défendre les intérêts de son pays.
05:29Alors on peut prendre l'exemple sur l'Amérique pour défendre les intérêts de son pays.
05:33Et ça, c'est une chose que je comprends tout à fait. Maintenant, attendons de voir comment les choses vont évoluer,
05:45parce qu'il y a beaucoup d'annonces, il y a beaucoup de représentations dans ce domaine-là.
05:49Encore une fois, je suis pas persuadé que l'Amérique peut, même si c'est un très grand pays,
05:55elle peut faire tout seule en se protégeant des droits de droit importants. J'en suis pas persuadé.
06:02Et si elle faisait de cette manière-là, elle met tellement de personnes contre elle, le Canada en particulier.
06:12Je rappelle qu'on a signé le CETA avec le Canada, donc on a des accords commerciaux importants.
06:17Il y a des accords commerciaux forts entre les Etats-Unis, le Canada et le Mexique.
06:22Le Mercosur est quelque chose qui est sur la voie, alors qu'on le veuille ou qu'on ne le veuille pas.
06:28Et j'ai vu dernièrement aussi qu'on est en train de se tourner vers le Mexique, 128 millions d'habitants.
06:34En fait, la réalité des choses, c'est que l'économie mondiale est plus complexe que tout ça.
06:43En tout cas, Olivier Piton, il a été clair puisqu'il a commencé à faire certaines annonces,
06:48grandes annonces des millions et des millions de migrants en situation irrégulière qui souhaitent expulser.
06:53Alors ça, il en avait parlé déjà. Là, c'est d'entrée de jeu, en fait.
06:58Oui, ça fait partie d'un de ses points forts de campagne.
07:01Il l'avait dit, il l'a redit à de nombreuses reprises. Maintenant, on en est au stade du « on fait comment ? ».
07:07Tout simplement parce que d'une part, il va y avoir effectivement un décret présidentiel,
07:11c'est-à-dire un moyen pour l'exécutif de pouvoir acter une décision sans passer forcément tout de suite par une loi au Congrès.
07:18La loi au Congrès suivra. Mais il y aura évidemment des recours. Les Etats-Unis restent un État de droit.
07:23Il y aura des recours en particulier à l'échelon local. Ça, ça donne d'États à majorité démocrate.
07:29Il est possible que l'élection se prenne au bout du compte à la Cour suprême.
07:33Ceci va probablement prendre encore un petit peu de temps. Mais en tout cas, il est très attendu sur cette question.
07:39C'est un de ses mantras. C'est un des points sur lesquels, s'il échouait,
07:43un peu comme il n'a pas totalement réussi à satisfaire son électorat sur la construction du mur lors de son premier mandat,
07:50ce serait pour lui compliqué. Donc il va sans doute mettre, juridiquement parlant,
07:55toutes les chances de son côté pour tenter de réussir en tout cas à mettre en place ce que j'appelle le « comment on fait ».
08:01Parce que là, non, c'est bien. Mais maintenant, il va falloir effectivement y parvenir.
08:05— Il y a un point fort aussi. Il n'y a que deux sexes, masculin et féminin. Il l'a déclaré dans ses premières déclarations.
08:12Le wokisme dans ce domaine, c'est fini. — Même chose. Il va y avoir un combat culturel qui va se mener aussi...
08:21— Ah, vous m'entendez ? — Oui, on vous entend très bien.
08:25— Si vous m'entendez, c'est bon. Je continue. — Allez-y.
08:27— L'image avait sauté. Pardonnez-moi. Donc oui, là aussi, il y a un combat culturel qui va être mené.
08:32On le sait, qui va être mené à l'égard, je dirais, du personnel enseignant et d'un certain nombre...
08:39Même chose, d'État. Et là aussi, il y aura sans doute des recours déposés contre l'offensive visant...
08:45Enfin l'offensive, la décision de mettre fin à un certain nombre d'enseignements à l'école tels qu'il a été fait effectuer
08:55au cours de ces années précédentes. Mais je le dis, les États-Unis restent un État de droit.
08:59Il y aura donc des recours, des décisions qui seront prises sans doute à l'échelon de la Cour suprême.
09:03On va voir ce qui va se passer. Et surtout, il y a un point qui est très important.
09:06La justice est politisée. Je dis ça de manière tout à fait objective. La justice est politisée
09:10puisqu'elle est élective. C'est-à-dire que les juges, les shérifs, les procureurs sont nommés par le pouvoir politique.
09:15Donc c'est un fait. C'est factuel. Ça veut dire que la nomination des juges dans les mois qui viennent
09:20va également être un élément extrêmement important pour la stratégie de Trump en vue de faire valider
09:26et surtout adopter les positions qu'il entend prendre.
09:30— Jean-Christophe Kouvi. — Pour l'instant, d'après ce que j'ai compris, c'est que Trump a quand même
09:33l'opinion publique avec lui. Une large majorité, d'ailleurs, parce qu'il y a un camp qui a quand même
09:37pris une volée, une volée de bois. Donc là, il envoie des signaux quand même à l'Europe.
09:42Il envoie des signaux à tous les mouvements souverainistes, qui accourent d'ailleurs
09:46tout de suite dans les bras de Trump. Maintenant, ce qui va être intéressant aussi,
09:50c'est l'Europe qui va être challengée. Et c'est bien de se challenger aussi des fois.
09:54Comment l'Europe va réagir ? Comment nous, en France, on va réagir aussi par rapport à ça ?
09:58Après, il faut encore une fois prendre en compte la réalité des marchés. Voilà.
10:02C'est-à-dire que c'est pas avec des verbes et des phrases, des phrases-chocs qu'on fait bouger
10:06aussi des marchés qui sont installés depuis de nombreux années.
10:08– François de Gaulle, j'ai une question à vous poser, puisque le wokisme vient forcément
10:12des Etats-Unis à outrance, beaucoup, beaucoup, beaucoup. Ça a rejailli sur la France.
10:15Est-ce que ça veut dire que nous-mêmes, on va regarder ce qui se passe aux Etats-Unis
10:18et peut-être faire machine arrière sur certains faits ?
10:22– Je crois pas une minute qu'on fera machine arrière, parce que d'abord, on a une exception française
10:26et on a une façon de penser. Le débat public français, bien sûr, on se nourrit des Etats-Unis,
10:30mais le débat public français, il est constitutif de notre nation.
10:34Donc, je crois pas une minute. Par ailleurs, c'est bien qu'Olivier rappelle en permanence
10:38que les Etats-Unis sont un État de droit. Et c'est encore mieux de rappeler à Éric Zemmour
10:45qu'il a perdu la présidentielle aussi à cause de Vladimir Poutine
10:48et de son admiration pour Vladimir Poutine. Il n'est pas bon de se mettre, pardonnez-moi,
10:54dans les pas forcément d'un leader de cette manière-là.
10:57– On sent, Olivier Piton, qu'il y a aussi, il veut marquer l'histoire,
11:02redonner toute sa splendeur aux Etats-Unis en posant ce drapeau, ce qu'il a dit,
11:09le drapeau américain sur la planète Mars. Là, on sent qu'il y a une course
11:13avec Elon Musk derrière, justement, à s'approprier Mars.
11:17– Comme Kennedy avait promis la Lune. – Oui.
11:20– Oui, Kennedy avait promis la Lune, lui, il promet Mars.
11:23En tout cas, c'est très excitant comme perspective, effectivement.
11:26Moi, je trouve que tout ce qui permet d'aller dans un sens,
11:30une sorte d'évolution scientifique menant à ce qu'au bout du compte,
11:34l'homme dépasse ses limites, et en allant en particulier vers Mars,
11:38puisque Elon Musk en est le chaud partisan, c'est tout à fait intéressant.
11:43Et derrière, ça veut dire quoi ? C'est une sorte de remake
11:48de cet esprit pionnier typiquement américain où, en fait,
11:51on ne se fixe jamais vraiment de limites et on veut aller le plus loin possible.
11:54Et c'est très intéressant que ceci fasse aussi partie du message de Trump,
11:59qu'on ne se limite pas uniquement à des problématiques celles qu'on vient d'évoquer,
12:02mais qu'également l'espoir que l'humanité puisse faire autre chose
12:06et de grandeur de l'Amérique retrouvée comme dans le courant des années 60
12:11où les États-Unis refont leur retard pour damer le pion russe sur la Lune,
12:15c'est absolument excitant et c'est remarquable.
12:17En tout cas, c'est un vrai message d'espoir aussi.
12:21Et ça fait aussi partie du combat idéologique puisqu'on est,
12:26pour aller vite et pour schématiser,
12:28on est dans une logique un peu décroissante d'un côté
12:33où, en fait, on est dans une forme de panique qui émerge un petit peu partout,
12:38en particulier chez les 15-35 ans.
12:40Et là, on a l'inverse où on fait finalement confiance à la science,
12:44on fait confiance au progrès humain et au génie humain
12:46pour réussir à surmonter un certain nombre de problèmes.
12:48C'est très intéressant, je trouve.
12:50Merci mille fois en tout cas d'avoir accepté notre invitation, Olivier Piton.
12:54On espère vous retrouver bientôt, forcément.
12:57Renouvelable, renouvelable.
12:59Renouvelable.
13:00Si Hélène Meuse pouvait trouver un truc anti-Toussy, ça serait génial.
13:03Oui, écoutez, on va lui demander.
13:05Merci beaucoup, Olivier Piton, avocat à Paris et à Washington
13:08et ancien député suppléant des Français d'Amérique du Nord.
13:11Merci beaucoup, Jean-Christophe Couvy.
13:13Merci beaucoup, Jean-Michel Fauberg.
13:15Merci, Françoise Degoy.
13:16Vous passerez dans mon cabinet.
13:18Je vous fais une petite ordonnance.
13:20Patrick Gauthier, la dame aux camélias.
13:24Merci beaucoup, Philippe David.
13:25On se retrouve demain à partir de 17h.
13:27Et vous, dans un instant ?
13:28Eh bien, tout de suite, les vraies voix citoyennes.
13:30On va faire le bilan de la nuit du bien commun.
13:32Un événement que vous connaissez bien.
13:34On va recevoir trois des associations qui ont été fortement récompensées
13:37à la nuit du bien commun.
13:39Évidemment, en compagnie d'Aurélie Gros et Stéphane Pelé du G500.
13:42A tout de suite et pour nous, à demain.