• hier
Cette semaine dans "I-Média", retrouvez Lucas Chancerelle qui s’attaque au financement de la presse avec les aides directes et indirectes de l’Etat français. Des subventions qui financent une propagande bien rodée et des journalistes, ainsi que des médias, en qui les Français n’ont plus confiance. Entre gaspillage de l’argent public et sponsor du politiquement correct, il est temps de repenser ces dépenses faites avec l’argent du contribuable…

‐-‐-----------

Liens utiles :

OJIM : www.ojim.fr

Polémia : https://www.polemia.com/

Category

🗞
News
Transcription
00:00Madame, Monsieur, la solidarité exceptionnelle autour de TVL pendant les fêtes de Noël
00:12nous a donné un souffle d'espoir.
00:14Mais nous sommes encore loin du but, le combat continue et chaque instant est décisif.
00:19Si nous ne redoublons pas d'efforts immédiatement, tout ce que nous avons construit est en danger.
00:24Il nous reste 5 jours, 120 heures et pas une seconde de plus pour mettre TV Liberté
00:29à l'abri, pour mettre vos idées à l'abri.
00:32Nous avons jusqu'à mardi pour gagner cette bataille vitale et nous avons besoin de vous.
00:37Ce dernier coup de collier, il est vital, vital pour notre projet d'information véritablement
00:43alternative.
00:44Mobilisation totale, défendons la liberté à tout prix, chaque seconde compte pour emporter
00:49ce défi crucial.
00:59Merci d'avoir regardé cette vidéo, n'hésitez pas à vous abonner à notre chaîne, à
01:12partager la vidéo, à vous abonner à notre chaîne, à partager la vidéo, à partager
01:25la vidéo, à partager la vidéo, à partager la vidéo, à partager la vidéo.
01:32Bonjour à tous, je suis très heureuse de vous retrouver pour ce nouveau numéro d'Immédiat,
01:39un numéro un peu spécial, juste après Noël que, j'espère, vous avez fêté dignement
01:45en famille, dans la joie et le bonheur.
01:47On retrouve Lucas Chancerelle qui vient nous expliquer comment est-ce que les aides à
01:51à la presse subventionnent les milliardaires
01:54et le politiquement correct indirectement.
01:56Cette intervention a eu lieu dans le cadre
01:58du dixième forum de la dissidence de Polémia.
02:01Ouvrons la chasse aux dépenses nuisibles.
02:04Je lui cède la place pour expliquer tout ça.
02:11Aujourd'hui, Polémia m'a donné l'occasion
02:13de traiter un sujet passionnant.
02:15Les subventions à la presse,
02:17ou comment on subventionne les milliardaires
02:19du politiquement correct.
02:20C'est pour moi un honneur de m'exprimer au forum de Polémia
02:24et d'avoir l'occasion de vous donner des clés
02:26de compréhension du système médiatique en France
02:29et des liens troubles qui unissent les journalistes
02:31avec le politiquement correct et le pouvoir macroniste.
02:34Les subventions à la presse sont un paradoxe français.
02:38Car le peuple paye pour se faire cracher dessus
02:40par ses journalistes.
02:41Un seul exemple récent, comme le commente Logim,
02:45en un mois, France TV a annoncé l'émission
02:47« Sommes-nous tous racistes ? » pour culpabiliser les Français,
02:50une série pour déconstruire les mythes
02:52provenant du roman national
02:54et un documentaire pour promouvoir
02:56l'enseignement de l'arabe à l'école.
02:58Comme le souligne Jean-Yves Le Gallou,
03:00France Télévisions,
03:013,5 milliards de dépenses de propagande chaque année,
03:053,5 milliards à économiser d'urgence.
03:07Pourtant, il est exigé des Français des efforts conséquents.
03:12Avec encore de nouvelles hausses d'impôts
03:14annoncées par le gouvernement Barnier.
03:17Paradoxe aussi, car on impose ces dépenses
03:21alors que les subventions à la presse
03:23sont de moins en moins acceptées socialement.
03:26Et que la profession de journaliste
03:27est l'une des plus détestées de France selon les sondages.
03:30C'est justement l'objet de ce forum de polémia.
03:33Traquer et combattre les dépenses nuisibles.
03:35Tout d'abord, il convient de comprendre de quoi on parle.
03:39Les subventions à la presse, elles sont de plusieurs natures.
03:43Directes et indirectes.
03:45Publiques ou dissimulées.
03:47Mais elles subventionnent assurément toutes le politiquement correct.
03:52Quotas de diversité.
03:54Collusion avec le pouvoir macroniste.
03:57Ce politiquement correct est venu comme une épée de Damoclès
04:01au-dessus de la tête des journalistes
04:03qui passent au surplus sous les fourches codines
04:06de l'ARCOM, l'ex-CSA.
04:08Et comme le disait Guillaume Fay,
04:10ils sont politiquement corrects.
04:12Or, être politiquement correct,
04:14ce n'est pas une question d'idées, mais d'insertion sociale.
04:17Historiquement, ces fameuses aides à la presse
04:20remontent aux ordonnances de 1944,
04:23adoptées à la libération par le gouvernement gaullo-communiste.
04:27Théoriquement, ces aides devaient arracher la presse
04:31aux puissances de l'argent, je cite,
04:32et garantir l'indépendance et la qualité de l'information.
04:37Brillante idée que de financer l'indépendance des médias
04:40avec l'argent du pouvoir.
04:42Ce sujet nous invite à nous poser la question suivante.
04:45La presse subventionnée, peut-elle être vraiment libre en France ?
04:49Autrement dit, peut-on mordre la main qui nous nourrit ?
04:53Nous commencerons par déterminer le montant
04:56et les modalités de ces aides à la presse.
04:58Puis nous verrons qu'elles profitent en réalité
05:00à quelques milliardaires du politiquement correct.
05:03Pour enfin proposer,
05:05puisque nous sommes ici dans un forum à polémias,
05:07des solutions concrètes pour sortir de ce système
05:10et permettre aux journalistes de retrouver leur liberté.
05:13Les mythes de la presse libre, les chiffres parlent d'eux-mêmes.
05:17Il y a deux sortes d'aides à la presse.
05:20Les aides directes et les aides indirectes.
05:22Puis les aides occultes, nous allons le voir.
05:25Les aides directes, d'abord,
05:26notons qu'il faut avoir le titre de magazine
05:30d'information politique générale pour toucher des aides.
05:35La presse magazine musicale, par exemple,
05:37n'en bénéficie pas donc.
05:39Il existe différents types d'aides.
05:41Les aides directes qu'on peut diviser en trois catégories.
05:44Les aides à la diffusion,
05:46les aides au pluralisme
05:47et les aides à la modernisation.
05:50Et grâce au très bon travail réalisé par l'Observatoire du journalisme,
05:54nous avons les chiffres pour 2023 concernant ce sujet.
05:58Observons cette infographie.
06:01On constate que rien que l'année dernière,
06:03ce n'est pas moins de 204 millions d'euros
06:06pour 809 titres bénéficiaires.
06:09Les aides au pluralisme, par exemple,
06:10à elles seules, totalisent 22,7 millions d'euros.
06:14Aides aux quotidiens nationaux et régionaux
06:16à faible ressource publicitaire.
06:19En réalité, ce sont ces aides au pluralisme
06:21qui sont particulièrement critiquables.
06:24Car elles financent des journaux que personne ne lit.
06:28Le problème de ces subventions
06:30est aussi la dépendance des journaux à leur égard.
06:34En effet, elles prennent une place de plus en plus importante
06:37dans l'économie du secteur.
06:39Hors dépense fiscale,
06:41les aides à la presse représentaient 21,4%
06:45du chiffre d'affaires du secteur.
06:47Soit une progression de 6 points sur les dix dernières années,
06:51selon un rapport sénatorial.
06:53Ainsi, sous la présidence d'Emmanuel Macron,
06:56les subventions publiques aux journaux
06:57ont pris des proportions inédites.
07:01En réalité, les subventions globales
07:03ne font qu'augmenter depuis une quinzaine d'années.
07:06390 millions pour la période 2015-2021, par exemple.
07:11Avec les aides à la distribution,
07:13proportionnelles aux ventes papier,
07:14on parle d'un demi-milliard d'euros.
07:17S'ajoutent les fameuses aides indirectes.
07:22Ces aides indirectes, elles sont de plusieurs natures.
07:24D'abord, on a la TVA, à taux dit super réduit, 2,1%.
07:30Ou encore, la compensation versée à la Poste
07:34pour sa mission de distribution des journaux.
07:36Ou enfin, du point de vue fiscal,
07:38les différents abattements pour les journalistes.
07:41Des crédits d'impôt pour les particuliers ou pour les entreprises.
07:45Mais aussi d'autres moyens de subventions indirectes
07:49auxquels on pense un peu moins.
07:51À savoir l'État comme annonceur publicitaire.
07:54Explication par l'expert en marketing Hubert Calmette.
07:58L'État, comme n'importe quelle marque commerciale,
08:01dégage sur différents ministères,
08:03différentes directions de communication de ministères,
08:06des budgets pour faire des campagnes de com.
08:09Campagne de prévention routière,
08:11campagne de vaccination quand il s'agit du ministère de la Santé,
08:14campagne de recrutement pour le ministère des Armées, etc.
08:17Une campagne de recrutement pour les armées,
08:20c'est à peu près 5 millions d'euros.
08:22Et au total, on a là un budget qui s'établit,
08:26si l'on en croit les éléments du service d'information du Premier ministre en 2022,
08:31à près de 500 millions d'euros hors taxes d'achat d'espace sur deux ans.
08:37Donc à peu près 250 millions d'euros par an
08:39d'espace publicitaire acheté par l'État.
08:43Et là, vous êtes ou vous n'êtes pas dans le plan média
08:45quand vous êtes un support.
08:47C'est un petit peu là encore.
08:49Alors non pas à la tête du client,
08:50parce que la centrale d'achat d'espace doit faire une recommandation
08:52en fonction de vos objectifs et vos cibles.
08:55Mais au bout du compte, c'est évidemment le client,
08:58l'annonceur, donc le ministère.
09:00La plupart du temps, la direction de la communication est en étroite relation,
09:04pour ne pas dire en dépendance du cabinet du ministre.
09:08Donc on a évidemment des choix qui s'opèrent,
09:10qui sont parfois, peut-être souvent, des choix d'ordre politique.
09:16Il est très difficile de dégager sur les budgets de communication
09:20la cote-part de frais de ressources humaines et d'achat d'espace.
09:25Mon expérience en tant que professionnel du marketing territorial
09:30au niveau départemental, régional et au niveau métropolitain,
09:34et tout ce que j'ai pu relever des différents rapports des CRC,
09:39des chambres régionales des comptes,
09:40me laisse penser qu'on est dans un ordre de grandeur
09:43qui est du demi-milliard d'euros.
09:45C'est 500 millions d'euros à peu près
09:47qui sont consacrés par les régions, par les départements,
09:50par les métropoles ou les agglos et communautés de communes
09:55à la communication, communication externe
09:58ou communication interne, à destination du citoyen.
10:01Et là encore, vous pensez bien qu'à travers un achat d'espace,
10:07on peut acheter la bienveillance ou à minima la bienveillante neutralité
10:12d'un groupe de presse local qui, le moment venu,
10:16peut être d'un certain intérêt,
10:18vous voyez en période préélectorale par exemple.
10:21Donc on est bien là sur des moyens qui sont hautement manipulatoires
10:25et tout cela se fait bien évidemment avec de l'argent public.
10:30Vous avez d'une part ceux qui sont les groupes de presse,
10:33qui sont les groupes de médias, qui sont redevables.
10:36Profil Patrick Drahi, 2014, Affaires SFR,
10:39réalisé grâce à M. Macron.
10:42Donc là, Drahi, c'était BFM jusqu'à il n'y a pas longtemps
10:45et c'est encore Libération par le biais d'une entreprise
10:48qui s'appelle La Presse Indépendante, ce qui est amusant d'ailleurs.
10:52Vous avez également évidemment ceux qui sont dépendants de la commande publique,
10:57profils Bouygues et Dassault, Bouygues c'est TF1, LCI,
11:01Dassault c'est le Figaro.
11:03Donc là encore, une dépendance étroite à l'État,
11:06on ne vend pas des rafales aux charcutiers du coin de la rue,
11:09vous l'aurez compris.
11:10Vous avez les amis politiques.
11:13Ce sont des gens comme M. Xavier Niel,
11:16Huffington Post, Le Nouvel Obs, Télérama, Le Monde
11:20et quelques autres, le Courrier international.
11:24Donc des grands titres, des grands titres on va dire
11:28de gauche bobo, de gauche cateau, de gauche bourgeoise.
11:34Et puis vous avez les amis évidemment personnels,
11:39Arnaud, c'est les échos aujourd'hui en France, le Parisien.
11:45Et vous avez ceux qui ont un lien évidemment organique avec l'État.
11:50Je pense à France Télévisions et Radio France.
11:52Pour rappel, le président de Radio France et de France Télévisions
11:55est nommé par le président de l'ARCOM,
11:57qui est lui-même nommé en Conseil des ministres
11:59par le président de la République.
12:01Donc vous voyez, on n'est pas loin de l'OMRTF quoi qu'ils en disent.
12:05D'autant que vous avez face à cela un apport financier,
12:09une dotation de l'État tout à fait considérable,
12:12de l'ordre de 3 milliards d'euros.
12:14Donc la dépense, elle est très très forte évidemment là.
12:18Et la nébuleuse de ces médias est considérable
12:21en termes de part de voix et d'impact.
12:23Mais alors, qui sont les bénéficiaires de ces aides ?
12:26Certainement pas TV Liberté ou Valeurs actuelles.
12:29En réalité, ce sont le fruit de copinage idéologique
12:34qui finance le politiquement correct.
12:36Ce qui est intéressant, c'est d'entrer dans le détail,
12:40de voir quels journaux bénéficient et perçoivent ces aides en particulier.
12:44Typiquement, comme le souligne l'OGIM,
12:46l'un des plus gros bénéficiaires de ces aides
12:48est le journal communiste L'Humanité.
12:51Voyez par vous-même l'évolution de leur juteuse tirelire.
12:55En 2017, un peu plus de 4 millions d'euros.
12:58En 2023, 6,5 millions.
13:01S'il était vraiment nécessaire de rappeler ce qu'est l'humanité,
13:04un seul exemple peut résumer leur propagande.
13:07Lisez par vous-même, l'immigration n'est pas un problème.
13:11Ben voyons.
13:13Comme le met en avant l'OGIM pour rendre plus éloquent le vol du contribuable,
13:16le journal d'extrême-gauche L'Humanité
13:18est le champion du monde des subventions publiques.
13:21Il reçoit 6,6 millions d'euros chaque année,
13:24soit une aide de 0,698 euros par exemplaire.
13:29Par ailleurs, les journaux Libé, Luma et La Croix
13:32touchent à eux seuls, tenez-vous bien,
13:34la moitié des aides au prétendu pluralisme.
13:38Et rappelez-vous des unes que nous offrait justement Libé,
13:41rendue pour bons et loyaux services.
13:44Faites ce que vous voulez, mais votez Macron,
13:47nous en joignait le journal anarcho-bancaire.
13:49En fait, comme le dit très bien Jean-Yves Le Gallou,
13:52un journaliste de Libération, c'est un porte-plume de la banque Rothschild.
13:57Et voici une transition toute trouvée.
14:00Pour souligner le fait qu'en France,
14:02en plus d'être scandaleuse politiquement,
14:04les aides à la presse subventionnent
14:07les copains de Macron et les milliardaires du Politiquement correct.
14:11Vous connaissez ces noms.
14:12Xavier Niel, Bernard Arnault, Patrick Drahi.
14:16Aussi aberrants que cela puisse paraître,
14:18si l'on compte par propriétaire, pour ne pas dire par milliardaire,
14:22ce sont les titres détenus par le PDG de LVMH, Bernard Arnault,
14:26l'un des hommes les plus riches du monde,
14:28qui sont les mieux lotis par l'argent public.
14:31Ainsi, les aides à la presse alimentent
14:33les caisses des principaux groupes de presse.
14:35Elles subventionnent la distribution sur tout le territoire
14:39d'une poignée de quotidiens détenus par quelques milliardaires.
14:42Elles renforcent ainsi leur emprise sur la presse française
14:46au lieu de soutenir le pluralisme.
14:48Alors, pourquoi aider des milliardaires qui sont déjà richissimes, me direz-vous ?
14:53Eh bien, on peut s'interroger aussi sur la transparence politique,
14:58ou plutôt l'absence de transparence politique.
15:01En ceci que le pouvoir dispose, par ce moyen,
15:05d'une immense influence sur la presse.
15:07L'opacité des décisions publiques permet aussi de contrôler la presse
15:11en organisant le marché du scoop, du confidentiel auprès des politiques.
15:17Il faut donc bien s'entendre, copiner, ou plus, avec le pouvoir
15:22afin d'être un insider et avoir des informations privilégiées
15:26par rapport à la concurrence.
15:27Cette situation ne peut plus durer.
15:29Polémia met des solutions sur la table pour faire des économies
15:33et permettre aux journalistes de retrouver leur liberté.
15:36Certains députés patriotes, à l'instar de Philippe Ballard,
15:39député Rassemblement national et ancien journaliste sur LCI,
15:42qui connaît donc bien le sujet, font des propositions
15:45pour remplacer les aides directes au pluralisme
15:48par un crédit d'impôt sur l'abonnement aux médias.
15:51De cette façon, en incitant les lecteurs à s'abonner
15:54aux titres qu'ils choisissent,
15:56seuls les titres qui intéressent réellement les gens et les lecteurs
15:59pourront survivre, à terme.
16:02En somme, laisser la loi de l'offre et de la demande
16:05faire disparaître les journaux que personne ne lit.
16:09Une telle solution de bon sens avait déjà été envisagée
16:13par l'ancien gouvernement,
16:14mais l'initiative avait été tuée dans l'oeuvre par Bercy.
16:19Combien de temps va-t-on tenir à bout de bras des médias désuets
16:23uniquement par souci d'un prétendu pluralisme ?
16:27Pour conclure ces propos,
16:29les aides publiques à la presse sont un paradoxe français.
16:33Elles sont censées favoriser le pluralisme et l'indépendance,
16:37mais elles contribuent, en réalité,
16:40à renforcer le politiquement correct
16:42et quelques milliardaires proches du pouvoir macroniste.
16:45Il est temps de briser les tabous
16:47et de repenser ce système de fond en comble.
16:50En réalité, le débat qu'il va falloir assumer
16:53est la disparition progressive totale des aides à la presse.
16:57Particulièrement dans ce contexte,
16:59avec le développement des médias en ligne,
17:02comme par exemple TV Liberté, Radio Courtoisie, Frontières, Tocsin.
17:07Voilà une presse réellement indépendante, réellement libre,
17:12de la générosité de ses donateurs,
17:14avec zéro euro d'argent public,
17:16et ce, grâce à vous.

Recommandations