• il y a 12 heures
Retrouvez "Champions !" du sport au business avec Frédéric Brindelle et Thomas Binet, tous les samedis à 20h sur Sud Radio.

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##LES_CHAMPIONS_BUSINESS-2024-12-21##
Transcription
00:00Sud Radio, le magazine des champions. Frédéric Brindel, Thomas Binet.
00:07Bonsoir à tous, nous sommes samedi, c'est Champion du sport au business sur Sud Radio.
00:12Notre invité est une star du sport roi de Sud Radio, le rugby.
00:16Chaque week-end, il enfile les essais sur les pelouses du top 14, comme beaucoup de joueurs de son club.
00:22Il suit le programme de reconversion professionnelle, désormais chef d'entreprise dans l'immobilier.
00:27Lui aussi est Champion du sport au business, Geoffrey Pallis, du Castrolympic.
00:31Ça me rend vraiment très heureux de rester à la continuité du club, de rester avec les copains, auprès de ma famille aussi.
00:37Et surtout dans un club qui est un grand club, qui est compétitif au plus haut niveau.
00:42Donc je suis vraiment très très content par rapport à ça.
00:45Avec maintenant Dumoura Dumoura, il s'arrête l'essai.
00:47Cette fois-ci, il y aura un essai pour le Castrolympic.
00:50L'essai de Geoffrey Pallis, en bout de ligne, sur une combinaison magnifiquement jouée.
00:55La passe de plus, Geoffrey Pallis n'a plus qu'à plonger.
00:57C'est très positif, notamment la première mi-temps.
00:59Je pense qu'on tient notre première mi-temps en référence, on va dire.
01:04Et oui, qu'est-ce que ça fait plaisir d'avoir une des stars du top 14 qui vous enlivre tous les week-ends sur Sud Radio.
01:10Bonsoir Geoffrey Pallis.
01:13Bonsoir.
01:14Depuis plus de 10 ans, vous brillez avec ce club à la si singulière identité, le Castrolympic.
01:20Vous avez défié tous les cadors du top 14, mais jamais vous n'avez eu affaire à ce légendaire plaqueur bienveillant,
01:26l'expert entrepreneurial de Sud Radio.
01:29Bonsoir Thomas Binet, je place la barre au Thomas.
01:31Merci, bonsoir Frédéric, bonsoir Geoffrey, bonsoir à toutes et à tous.
01:34Allez, l'année 2018 restera pour vous celle de l'apothéose Geoffrey Pallis, champion de France,
01:39sélectionné pour le tournoi des 6 nations avec l'équipe de France.
01:42Depuis, vous avez joué la Coupe d'Europe, deux finales du top 14, dont vous êtes encore, cette saison, l'un des meilleurs marqueurs.
01:49Vous avez 33 ans, jeune diplômé d'un master manager de l'immobilier.
01:54Votre agence immobilière Pallis Imo a vu le jour, un gaillac tout proche de Castro,
01:59où vous finirez votre carrière de joueur.
02:01Maintenant, on le sait et c'est une bonne nouvelle, un essai immobilier a transformé Geoffrey Pallis.
02:09C'est le premier rendez-vous de l'émission Geoffrey le Relais,
02:12une série de questions sur le chemin qui vous conduit du sport jusqu'à votre activité professionnelle.
02:17Petite réponse rapide, rythmée.
02:19Geoffrey Pallis, votre carrière se caractérise par une fidélité exceptionnelle à votre club de Castro.
02:25Vous avez ressigné jusqu'en 2026, vous êtes l'homme d'un seul amour.
02:31Alors j'ai commencé, c'était pas au niveau professionnel, mais j'ai commencé à gaillac.
02:35Ensuite, mon premier contrat, je l'ai signé à Albi, c'était un contrat d'espoir.
02:40Et ensuite, je suis parti à Castro et là, c'est ma douzième saison.
02:44Donc on va dire l'homme d'un seul département, c'est sûr, mais pendant ce club.
02:49Bien vu, parce que gaillac est important et on en a déjà parlé.
02:52Geoffrey, quelle est votre plus grande fierté en tant que joueur de rugby
02:56et en quoi ça vous a accompagné dans votre parcours entrepreneurial ?
03:03Fierté, on va dire que c'est un peu de fierté et un peu de chance aussi.
03:06C'est vrai que j'ai eu, moi, mon parcours idéal, personnellement,
03:10ça m'a arrêté de rester un petit peu dans la région.
03:13J'ai eu la chance de pouvoir commencer à Albi où j'ai pu m'attirer à un niveau inférieur
03:19qui était la pro des deux, mais ça m'a permis d'engranger un petit peu l'expérience.
03:22Et ensuite, il y avait le Castro Olympique, un grand club top 14, compétitif,
03:28dans lequel j'ai signé et qui me fait confiance maintenant pour la douzième saison.
03:34Donc on va dire que ça peut être ma fierté parce que c'est aussi un club
03:39dans lequel je me retrouve beaucoup sur tout ce qui dégage et tout ce qui véhicule, on va dire.
03:45Et du coup, on sent bien le lien avec votre désormais parcours entrepreneurial
03:49puisque vous restez dans la région. Tout se tient chez Geoffrey Pallis.
03:52Le rugby vous a propulsé sur la scène internationale.
03:55Votre projet professionnel passe-t-il aussi, un jour,
03:58par un développement en dehors de votre sud-ouest natal ?
04:03Dans l'idéal, ça serait ça, oui. Après, on va commencer à bien faire les choses localement,
04:10ne pas non plus se brûler les ailes, on va dire.
04:13Mais c'est vrai que ça rejoint un petit peu les objectifs rugbystiques.
04:18Ça va être de se fixer des objectifs ambitieux et de tout faire pour les réaliser et les mener à bien.
04:24Alors, poussons jusqu'au bout le parallèle.
04:26Geoffrey, vous cumulez les valeurs Cas13, du rugby, du sport,
04:31quelles seront vos valeurs dans le business ?
04:37Dans le business, pour moi, c'est vrai que c'est marrant parce que ça ne se retrouve pas partout,
04:41mais je crois beaucoup au savoir-être.
04:45On va essayer déjà de s'entourer de bonnes personnes,
04:49d'essayer de véhiculer une image positive.
04:52Et autour de ça, bâtir pas mal de connaissances et de compétitivité, on va dire.
04:59Mais le socle, moi, je pense que ça sera vraiment le savoir-être.
05:04Le savoir-faire, ça s'apprendra.
05:06Mais le savoir-être, on essaie d'y croire au maximum.
05:10Joli. Geoffrey Pallis, place à votre parcours entrepreneurial.
05:17Notre expert vous attend dans la mêlée des affaires.
05:20Thomas Binet, cher Thomas.
05:22Oui, Frédéric.
05:23Alors, Geoffrey, vous avez disposé d'une minute
05:26quand notre réalisateur enverra le petit son.
05:29Et tout simplement, pour nous présenter votre activité entrepreneuriale,
05:33ce que vous avez mis en place avec votre épouse,
05:35comment ça se passe.
05:36Une minute pour expliquer à nos auditeurs votre projet.
05:39C'est parti !
05:42Nous avons acheté une agence immobilière avec deux pôles d'action.
05:48Un pôle gestion locative et un pôle transaction.
05:51Cette agence immobilière s'appelle Palissimo.
05:55Mon épouse est sur place à temps plein.
05:58Moi, avec le rugby, je ne peux pas être tout le temps là.
06:01On a embauché il y a maintenant un ou deux mois.
06:05Maintenant, elles sont deux sur place.
06:07On est sur le bassin Gaillacourt.
06:09On se déplace sur 30, 40 kilomètres à la ronde.
06:14Et pour ce qui est d'agence sur locative,
06:16on va même jusqu'à Toulouse, jusqu'à Castre.
06:20On est sur un secteur de 50 kilomètres à peu près.
06:25Bravo ! Et tout ça en une minute.
06:28Geoffrey Palisse, peut-être on a 10 secondes avant que le Gong n'arrive.
06:32Le prénom de votre épouse quand même ?
06:34Sigrid Palisse.
06:35Sigrid.
06:36Sigrid.
06:37Voilà, pour votre épouse.
06:39Bon, le projet...
06:40Ah bah bing ! Parfait.
06:42Absolument.
06:43C'est prêt.
06:44On peut y aller maintenant.
06:45Allez, on envoie la feuille de match.
06:48Ouvrons la feuille de match avec Thomas Binet.
06:50Geoffrey Palisse a suivi le programme de reconversion professionnelle de son club de cœur,
06:54le Castre Olympique, je vous le rappelle.
06:56Il crée en 2022, avec son épouse Palisse Imo,
06:59une agence immobilière à Gaillac où on boit du bon vin.
07:03La première fois que j'ai découvert du vin,
07:05c'était à consommer avec modération, évidemment.
07:08On est bien obligé de le dire.
07:10Un projet entrepreneurial qui ne vous empêche pas de continuer,
07:13de briller chaque week-end.
07:15On est sur les terrains prestigieux du top 14 de rugby.
07:18Nous nous intéressons d'un champion du sport au business à ce brillant parcours sportif.
07:22Il n'y a plus qu'à immobilier.
07:24Thomas Binet et Geoffrey Palisse semblent cumuler les deux activités.
07:28C'est un sacré challenge quand même.
07:30Oui, alors on a entendu quand même de la part de Geoffrey
07:33qu'il se repose, si je peux le dire ainsi, sur son épouse
07:36et sur quelqu'un qui vient de rentrer dans l'activité
07:38pour déjà la soutenir l'activité et ensuite la développer.
07:41Donc on a déjà ce principe de base.
07:43Alors si vous en êtes d'accord, on va parler un peu du marché de l'immobilier
07:46parce que c'est quand même un sujet dont on entend parler de temps à autre.
07:49Depuis que la crise s'est installée,
07:51on avait des chiffres qui étaient assez hallucinants
07:54dans les années précédentes en termes de transactions.
07:56On avait dépassé largement le million de ventes.
07:59On pense à un atterrissage en fin d'année autour des 700, 750 000.
08:03Bon, les chiffres, on ne les a pas encore évidemment,
08:05ce qui veut dire un reflux quand même par rapport à ça.
08:07Donc un marché qui est un peu en crise.
08:09Et cette crise, elle est due à quoi ?
08:11Concrètement, elle est due aussi à des taux d'intérêt qui sont remontés
08:14et qu'on n'en prenne plus au même prix.
08:16Peut-être Thomas, juste une question à Geoffrey Pallise.
08:19Vous sentez, Geoffrey, parce que vous avez déjà deux ans d'expérience,
08:22que c'est un petit peu plus dur en ce moment ?
08:25Sur la partie transactions ?
08:27On le sent, oui. En effet.
08:29Après nous, on a racheté il y a un an et demi
08:31et on n'a pas connu les grandes heures d'il y a trois, quatre ans
08:34où c'est que tout se vendait
08:36et il y avait des agences qui fleurissaient un petit peu partout.
08:39Au final, c'est peut-être pas plus mal d'arriver un petit peu dans le dur
08:42parce qu'on n'a pas connu les grandes heures,
08:44mais il y en aura d'autres, on espère.
08:46Et puis vous, l'arrière, ça vous fait pas mal de jouer un peu dans la mêlée quand même.
08:49Vous voyez ce que c'est ?
08:51Voilà, exactement.
08:53Thomas ?
08:54Oui, alors, continuons à préciser que c'est un métier réglementé.
08:57On ne l'exerce pas parce qu'on a décidé d'être agent immobilier.
09:00Tout à l'heure, notre invité surprise à qui on fera rencontrer Geoffrey
09:06va nous en parler.
09:08Il faut effectivement une capacité professionnelle pour exercer ce métier.
09:11D'ailleurs, en l'occurrence,
09:13Geoffrey a suivi ce programme de réinsertion Diploman
09:16qui lui permet de porter ce qu'on appelle dans le jargon la carte T.
09:19T pour transaction, la carte G pour gestion,
09:21lui permettant effectivement de faire tant de la transaction,
09:24donc c'est de l'achat à vente, évidemment, naturellement,
09:27et de la gestion locative.
09:28Il l'a évoqué tout à l'heure, gestion locative,
09:30c'est effectivement la capacité de gérer des portefeuilles en gestion,
09:34chercher les locataires, etc.
09:36Ça, il est clair que sans la formation qu'a suivi Geoffrey,
09:39Thomas, c'est impossible.
09:41A part rentrer, mais c'est un indépendant,
09:42à part rentrer dans un réseau qui porterait,
09:44me rendant des subtilités sur lesquelles on ne va pas s'encombrer ce soir,
09:48mais on va rester dans un raisonnement
09:50où effectivement il faut avoir une compétence.
09:53D'ailleurs, Geoffrey l'a dit tout à l'heure, très clairement,
09:56il n'a pas vécu les grandes périodes,
09:57ces grandes périodes où beaucoup de personnes faisaient,
10:00et ça nous sera confirmé par notre invité,
10:02surprise aussi, des grandes périodes
10:04où tout le monde faisait un peu ce métier,
10:06et il ne faisait pas forcément bien.
10:08Oui, oui, on est purgé.
10:09On a tous un copain qui se dit, je me lance dans l'immobilier.
10:11Geoffrey, une question quand même,
10:13parce que je reviens à ma question de départ.
10:15Quel temps, vous, à titre personnel,
10:17vous arrivez à consacrer en plus des entraînements à votre agence ?
10:23Aujourd'hui, c'est surtout pendant mes temps de vacances,
10:26parce qu'ayant deux enfants en bas âge,
10:30donc mon épouse maintenant,
10:31nous on a le mercredi de repos,
10:33et le mercredi, c'est moi qui garde les enfants sur la journée,
10:36et le soir, à la sortie de l'entraînement,
10:39c'est moi qui récupère les enfants,
10:41jusqu'à 19h30, 20h, qu'elle arrive.
10:44Pendant ces temps-là, je ne peux pas être présent à l'agence,
10:47mais après, pendant les vacances,
10:49j'essaie d'y être le maximum possible,
10:51de pouvoir un petit peu mettre le pied à l'étrier,
10:53mais on va dire que pour l'instant,
10:55c'est plus les enfants qui me prennent du temps,
10:57et qui m'empêchent un petit peu d'être plus présent à l'agence.
11:00Et si, Joseph, vous allez un peu sur le terrain, immobilier ou pas alors ?
11:04Oui, oui, j'ai pu aller sur le terrain,
11:06donc il y a eu des jours, bien sûr, où c'est que je peux me rendre disponible,
11:10mais c'est vrai que je me rends compte qu'on a appris pas mal de théories
11:14dans tout ce qui est cours,
11:17mais une fois que tu fais un petit peu de terrain,
11:19c'est là vraiment où c'est que tu boostes tes connaissances,
11:22et tu progresses énormément.
11:24Donc il me tarde vraiment de pouvoir être présent en temps plein sur le terrain,
11:28pour évoluer et acquérir pas mal de compétences et de connaissances.
11:34Alors, le buzzer pile !
11:36Voici le buzzer, celui qui annonce la mi-temps de champion du sport au business.
11:40Dans un instant, Thomas Binet, vous conseillerez notre invité,
11:43Geoffrey Pallis, où quand une star du top 14 de rugby
11:46déborde sur son aile jusqu'au monde de l'immobilier.
11:49Vous imaginez les clients qui vont dire
11:51« Oh, c'est Geoffrey Pallis qui vient pour… »
11:53« Allez, j'achète l'appartement ! »
11:55Moi, je serais comme ça !
11:58En tout cas, avec ses allers-retours,
12:00cadrage débordement entre le castre olympique et Gaillac,
12:03Geoffrey Pallis gère un emploi du temps copieux, vous l'avez compris.
12:06Nous l'accompagnons sur Sud Radio avec notre expert Thomas Binet.
12:09A tout de suite !
12:17Ces champions du sport au business,
12:19comme désormais chaque samedi sur Sud Radio,
12:21Geoffrey Pallis est notre invité,
12:23un de nos plus gros marqueurs d'essai de l'histoire du top 14 de rugby.
12:27Depuis 13 ans fidèle à son légendaire club,
12:30le castre olympique international français,
12:33champion de France à 33 ans,
12:35il est déjà dans son projet de reconversion professionnelle.
12:38Il a créé en 2022 son agence immobilière,
12:41on va dire qu'il a racheté, à Gaillac.
12:43Pallissimo désormais, ce soir,
12:45il est reçu dans l'embûte par notre expert entrepreneurial
12:49au physique de Pongiste, Thomas Binet.
12:54Bon Geoffrey,
12:55on va recontextualiser avec vous votre projet professionnel.
12:59L'objectif de votre agence immobilière aujourd'hui,
13:02c'est quoi ?
13:03Quel est votre temps de développement finalement ?
13:08Alors l'objectif déjà dans un premier temps,
13:10ça a été de bien structurer cette agence-là,
13:14de réaliser les premières affaires,
13:16mais de vraiment bien les réaliser,
13:18parce que de se faire connaître,
13:21on va dire, c'est vrai que je ne vous ferai pas l'issue,
13:23c'est connu, mais c'est à double tranchant.
13:25Si on réalise des premières affaires qui ne se passent pas très bien,
13:28à Gaillac, ce n'est pas très grand,
13:30ça va vite se savoir,
13:31et la boule de neige ne va pas se créer,
13:34ça va être même pire.
13:35Donc on essaie de bien structurer ça,
13:37de bien faire ses affaires,
13:38de les faire correctement,
13:40et maintenant dans un second temps,
13:41de se développer,
13:42donc de développer le portefeuille gestion,
13:44et aussi maintenant que ma femme est épaulée,
13:47de pouvoir être plus actif sur le côté transaction.
13:49Voilà, plus une employée,
13:50vous l'avez dit, deux personnes à plein temps,
13:52vous passez entre deux essais,
13:54c'est le cas de le dire.
13:56Alors, on vous laisse dans les mains du coach.
14:01Thomas Binet.
14:02Oui, Frédéric Grandel.
14:03Alors, Geoffrey Pallis,
14:05on va dire que c'est solide,
14:07une formation, un achat,
14:10il est lancé, si je puis dire.
14:12Il est lancé, parce qu'il a repris effectivement cette structure
14:15il y a un an et demi, deux ans.
14:18Je donne certains chiffres qui sont importants.
14:21Il subit, je vais le dire directement,
14:23quand même une concurrence sur son marché,
14:25alors dans beaucoup de marchés,
14:26il y a beaucoup de concurrence,
14:27il ne faut pas non plus raconter d'histoire,
14:28mais là, il y a à peu près,
14:29je les ai identifié une vingtaine quand même,
14:30d'agences face à lui.
14:32Donc, comme il le disait,
14:33il ne faut pas faire n'importe quoi,
14:34parce que vite, on est marqué,
14:35surtout territorialement parlant.
14:37Donc, il faut être bon dans sa démarche.
14:40Donc, quelle est sa problématique aujourd'hui ?
14:43Il ne l'a pas directement évoqué,
14:44mais on en a parlé hors antenne,
14:46justement, pour préparer cet entretien
14:48de ce samedi soir.
14:49C'est quoi la problématique de Geoffrey Pallis ?
14:52C'est de pouvoir, dans deux ans à peu près,
14:56arriver au sein de l'agence,
14:58y contribuer, en vivre,
15:01en faire un modèle véritablement économique
15:03qui lui permettra de développer,
15:04avec son épouse et l'employé,
15:06cette structure.
15:07Alors, la question, c'est comment s'y prendre ?
15:09Parce qu'en fait, on arrive à ça, justement.
15:11Geoffrey, sur la concurrence,
15:1314 agences...
15:14Une vingtaine, une vingtaine.
15:15Oui, une vingtaine.
15:1614, c'est le top 14.
15:17C'est ça.
15:18En fait, c'est drôle.
15:19Vous avez 13 concurrents avec Castres,
15:21mais là, vous en avez 19.
15:23Vous aviez vu, déjà,
15:25cette surreprésentation ou pas ?
15:28Ah oui, oui.
15:29C'est pour ça qu'on est conscient
15:31que la concurrence, elle est rude,
15:33elle est énorme.
15:34Donc, c'est bien ce que je dis.
15:36C'est qu'il faut...
15:37Geoffrey Pallis, il est bien mignon,
15:39il est bien gentil,
15:40mais il va falloir que les gens,
15:41ils ne vont pas venir pour Geoffrey Pallis.
15:43Ils vont venir parce qu'ils font du bon boulot,
15:44parce que c'est sérieux,
15:45et c'est sur quoi, nous,
15:47on voudrait s'appuyer, quoi.
15:49Bon, vous savez ce qu'on va faire
15:50pour faire avancer la mêlée ?
15:51On va appeler notre renfort.
15:52Allez, renfort !
15:57Bernard Cadot,
15:58qu'on connaît bien,
15:59désormais d'un champion
16:00sur Sud Radio,
16:01expert immobilier,
16:02ancien président du réseau Orpi.
16:04Bonsoir, Bernard.
16:05Bonsoir.
16:06Vous avez remarqué
16:07que je n'ai pas encore fait le jeu de mots
16:08sur votre nom,
16:09mais quand même,
16:10c'est toujours un plaisir de vous avoir
16:11en cette période de Noël.
16:14Exactement.
16:15Voilà, j'ai tout dit.
16:16Bon, Thomas Binet,
16:17reprenez la main,
16:18on a notre renfort,
16:19on rentre dans le vif du sujet
16:21pour Geoffrey Pallis.
16:23Oui, Bernard Cadot,
16:24bonsoir.
16:25Vous avez entendu
16:26le début de notre échange
16:27avec notre invité.
16:29Il est dans une situation
16:31où il cherche à développer sa structure
16:33de manière à atterrir en son sein
16:35dans à peu près deux ans.
16:37Vous qui avez piloté
16:38un des plus grands réseaux français
16:40créés en 1966,
16:41c'est le réseau Orpi.
16:42Quel conseil, spontanément,
16:44pouvez-vous donner,
16:45sachant que vous n'avez pas été
16:47que président d'Orpi,
16:48vous avez vous-même eu des agences
16:50et vous avez fait ce même parcours
16:52que celui de notre invité.
16:54Quel conseil, spontanément,
16:55vous pourriez lui donner
16:56à la base, alors ?
16:57Oui.
16:58Alors, d'abord,
16:59moi, ce que je voudrais dire,
17:00c'est que Geoffrey,
17:01il coche à peu près toutes les cases
17:02parce qu'il a pris le problème
17:03par le bon bout.
17:04Il a joué énormément
17:05la compétence, la formation
17:07et dans ses métiers,
17:08c'est très important.
17:09Il a aussi, bien sûr,
17:10les valeurs de son sport
17:11qui sont des valeurs majeures
17:13et il a une très grosse
17:14notoriété locale.
17:15Donc, premier conseil,
17:16c'est continuer de développer
17:18cette notoriété locale.
17:19Il ne faut effectivement
17:20pas se louper,
17:21mais avec ce qu'il nous a dit,
17:23je pense qu'il est très vigilant
17:24là-dessus.
17:25Ça, c'est le premier conseil.
17:27Deuxième conseil,
17:28c'est même s'il y a 19 agences
17:31autour de vous,
17:32rapprochez-vous de ses confrères
17:33locaux parce que vous qui voulez
17:35développer la gestion immobilière,
17:37peut-être que parmi
17:38ces 19 confrères,
17:39tous ne font pas de la gestion
17:41et vous pouvez peut-être
17:42collaborer avec eux parce que
17:44vous leur apporterez
17:45un service à un service
17:46pour leurs clients
17:47qui vous permettra de développer
17:48votre portefeuille de gestion.
17:49Et puis aussi,
17:50parce que c'est la réalité
17:51du terrain,
17:52vous pouvez partager
17:53certaines affaires ensemble
17:55et collaborer.
17:56L'un aura le mandat devant,
17:58puis l'autre aura
17:59l'acquéreur au bon moment
18:01et vous développerez ainsi
18:02du chiffre d'affaires
18:03et aussi de la notoriété
18:04et de la reconnaissance
18:05par les professionnels.
18:07Alors, le premier conseil
18:08de Bernard Cadeau
18:09et non pas le premier cadeau
18:10de...
18:11On a compris.
18:12Non, mais c'est un tel plaisir
18:13pour moi, c'est un tel plaisir.
18:14Le premier cadeau de Bernard Cadeau.
18:15Oui, voilà, voilà ça.
18:17Voilà.
18:18Geoffrey Pallis,
18:19est-ce que vous avez déjà
18:20eu des contacts
18:21avec ses concurrents à côté ?
18:25Alors, oui.
18:26Quand on a repris
18:27cette agence immobilière
18:28avec mon épouse,
18:29on est spontanément allés
18:30se présenter auprès
18:31de la concurrence.
18:32On s'est déplacés,
18:33on est allés chez...
18:34Il y en a beaucoup
18:35que ça leur a fait bizarre
18:36parce que c'est peut-être pas...
18:37C'est peut-être pas coutumier,
18:38mais on s'est présentés.
18:39Donc, voilà,
18:40on a été repreneurs.
18:41Ah oui, oui, Bernard.
18:42Oui, oui.
18:43On croit pas mal aussi.
18:44C'est vrai qu'il y a...
18:45Bon, il y a de l'enjeu,
18:46il y a un enjeu financier,
18:47mais la collaboration,
18:48on est certains que ça peut...
18:49Ça peut nous amener
18:50à partager des affaires.
18:51Ça rend le client qui est content,
18:52qui est satisfait
18:53et nous, de notre côté,
18:54tu y trouves aussi
18:55tes intérêts.
18:56Donc, on croit pas mal en ça.
18:57Donc, sur ce côté-là,
18:58c'est vrai qu'on a essayé
18:59de le mettre en place déjà, oui.
19:00Ils vous ont demandé des places.
19:01Mais on se rend compte
19:02que surtout moi
19:03qui suis dans le rugby
19:04depuis un moment,
19:05j'ai l'impression que
19:06tout le monde te veut du bien,
19:07tout le monde est mignon,
19:08tout le monde est gentil.
19:09Mais c'est vrai
19:10que quand t'arrives
19:11dans ce monde-là
19:12qui est un monstre de bien
19:13dans le milieu,
19:14moi, j'étais un petit peu surpris.
19:15Donc, on n'est peut-être
19:16pas assez habitués.
19:17Donc, on reste...
19:18Voilà.
19:19Donc, ça...
19:20On en prend.
19:21C'est exactement ça.
19:22Juste, je reviens vers vous, Bernard,
19:23mais il vous semble
19:24qu'il y en a
19:28qui vous ont certainement
19:29demandé des places
19:30pour le match, non ?
19:31Un petit peu.
19:32C'est un peu ça.
19:33Geoffray, non ?
19:34Ouais.
19:35Franchement,
19:36ils ne sont pas embêtants.
19:37Mais ça peut arriver.
19:38Ou alors,
19:39si on travaille ensemble,
19:40spontanément,
19:41on peut aussi leur offrir
19:42des places.
19:43Voilà.
19:44En plus, Bernard Cadot.
19:45Bernard Cadot, oui.
19:46Oui.
19:47Juste, ce que je voulais dire
19:48à Geoffray,
19:49c'est que moi,
19:50j'avais inventé
19:51un nouveau mot
19:52qui était le mot
19:53de coopétition.
19:54On peut coopérer
19:55mais on ne peut pas
19:57On peut coopérer
19:58mais on reste
19:59dans une compétition.
20:00Les confrères,
20:01ce ne sont pas des ennemis
20:02mais ce sont des compétiteurs.
20:03Et vous,
20:04qui êtes dans le sport
20:05de haut niveau,
20:06vous savez ce que ça veut dire
20:07que d'avoir des compétiteurs
20:08en face de vous.
20:09Thomas Binet.
20:10Oui.
20:11Ce qu'il faut rappeler,
20:12parce qu'on ne l'a pas dit
20:13mais même si tout le monde
20:14l'a en tête,
20:15c'est qu'effectivement,
20:16il a 19 concurrents
20:17et je vais aller sur le terrain
20:18à l'ajustement de Bernard Cadot,
20:19aussi confrères,
20:20évidemment,
20:21mais on n'a pas tous
20:22les produits différents.
20:23Il faut savoir
20:24qu'on se partage
20:25les mêmes biens à vendre.
20:26On n'est pas forcément
20:27en mandat exclusif
20:28et ça, c'est aussi important.
20:29Quand Geoffrey évoque
20:30tout à l'heure
20:31le fait de savoir
20:32faire autrement
20:33peut-être son métier
20:34de façon différente,
20:35plus professionnelle, etc.
20:36C'est très important
20:37parce qu'on vend
20:38quelquefois le même produit
20:39d'une agence à une autre.
20:40Et le client, lui,
20:41il est face à toutes ces vitrines,
20:42tous ces acteurs
20:43et quelque part,
20:44ce n'est pas le produit
20:45qui va faire la différence,
20:46c'est l'accompagnement,
20:47le service.
20:48Évidemment,
20:49Bernard Cadot l'a dit aussi,
20:50la notoriété
20:51qui peut entraîner
20:52de nouveaux clients à venir.
20:54On ne peut pas forcément
20:55plus créer de la récurrence
20:56avec le même client.
20:57Une fois que vous avez acheté
20:58votre maison,
20:59vous avez acheté votre maison.
21:00Vous n'allez pas en acheter une
21:01tous les huit jours.
21:02En revanche,
21:03je connais du monde
21:04qui connaît du monde
21:05et je peux avoir envie
21:06de pousser la personne
21:07dans mon entourage
21:08à devenir client
21:09de Palissimo.
21:10Alors, un thème
21:11que nous allons aborder,
21:12messieurs,
21:13à la fois Bernard Cadot
21:14et Thomas Binet,
21:15mais je veux bien sûr
21:16passer par Geoffrey Palisse.
21:17Déjà, tout à l'heure,
21:18je vous ai un petit peu
21:19tendu la perche,
21:20Geoffrey.
21:21Il y a une volonté
21:22de se développer
21:23peut-être sur l'ensemble
21:24du territoire français.
21:25On est d'accord
21:26que tant que vous n'avez pas
21:27terminé votre contrat
21:28va jusqu'en 2026
21:29aux Castres Olympiques.
21:30L'idée de se développer
21:31un peu partout en France,
21:32ça attendra ou pas ?
21:36Oui, je pense, oui.
21:37L'idée, vraiment,
21:38c'est de se structurer,
21:39d'être solide.
21:40Là, on commence
21:41un développement,
21:42mais on va dire
21:43à échelle locale.
21:44Mais pour le reste,
21:45les ambitions,
21:46je pense,
21:47elles viendront
21:48quand je pourrai
21:49être présent aussi,
21:50quand il y aura
21:51du coup,
21:52ça fera un salarié de plus,
21:53ça fera une maine
21:54de plus aussi.
21:55Donc, on aura
21:56plus d'armes, je pense,
21:57pour se développer.
21:58Oui, Thomas Binet.
21:59Oui, j'aurais
22:00prolongé votre question,
22:01Frédéric,
22:02et la poser aussi
22:03à Bernard Cadot,
22:04parce que je pense
22:05que ça peut éclairer
22:06aussi Geoffrey.
22:07Vous avez demandé
22:08s'il avait l'ambition
22:09de se développer
22:10en dehors de son territoire.
22:11Bernard Cadot,
22:12vous qui avez été
22:13président d'Orpi,
22:14qui est un réseau,
22:15on a entendu
22:16que Geoffrey Pallis
22:17a une agence indépendante
22:18qui n'est pas affiliée
22:19à un réseau.
22:20Est-ce que demain,
22:21après-demain,
22:22vous voyez ce qu'on veut dire,
22:23s'il avait cette vocation
22:24de se développer
22:25en dehors de son territoire,
22:26est-ce que le fait
22:27de rallier un réseau,
22:28c'est un atout différenciant,
22:29accélérateur de développement
22:30ou pas selon vous ?
22:31Bernard Cadot.
22:32Oui, effectivement,
22:33rallier un réseau
22:34structuré,
22:35c'est toujours
22:36un atout supplémentaire,
22:37parce que ça apporte
22:38des moyens,
22:39parce que ça apporte
22:40des outils
22:41qui sont peut-être
22:42développés
22:43de manière
22:44beaucoup plus efficace
22:45que ce qu'on a
22:46aujourd'hui.
22:47C'est un atout
22:48différent.
22:49C'est un atout
22:50qui est développé
22:51de manière
22:52beaucoup plus efficace
22:53et peut-être aussi
22:54à moindre coûte
22:55que lorsque l'on est
22:56un agent individuel.
22:57Oui, ça a du sens.
22:58La première règle
22:59et j'ai entendu
23:00au début de l'entretien
23:01Geoffrey en parler,
23:02en disant
23:03il faut qu'on creuse
23:04un peu notre sillon local,
23:05il faut qu'on fasse
23:06bien localement
23:07avant de penser à autre chose
23:08et c'est la sagesse,
23:09il a tout à fait raison.
23:10Il vaut mieux être
23:11le roi de son quartier
23:12plutôt que de se disperser
23:13et vouloir...
23:14Parce que c'est pas intuitif ça.
23:15On se dit
23:16je vais aller
23:17un petit peu plus loin
23:18et puis je vais chercher
23:19des affaires.
23:20Oui, pourquoi pas,
23:21mais à condition
23:22d'avoir les fondamentaux,
23:23les fameux appuis
23:24des rugbymen
23:25avant de penser à autre chose.
23:26Et l'adhésion
23:27à un réseau national,
23:28c'est justement
23:29ce moyen d'aller
23:30un petit peu plus loin,
23:31de collaborer par exemple
23:32avec des confrères
23:33qui sont à plusieurs centaines
23:34de kilomètres
23:35de chez vous
23:36mais par le biais
23:37de cette adhésion
23:38et pas à titre personnel
23:39parce que c'est beaucoup
23:40trop compliqué
23:41de le faire tout seul.
23:42Donc il faut savoir
23:43ce qu'il faut faire
23:44avant de penser
23:45à autre chose.
23:47Donc il faut savoir
23:48s'entourer et s'appuyer.
23:49Geoffrey,
23:50un sportif de haut niveau
23:51est ambitieux,
23:52vous l'avez imaginé,
23:53intégrer un réseau
23:54ou alors c'est
23:55Palissimo
23:56qui devient un réseau
23:57à l'envers ?
24:00Très honnêtement,
24:01on ne se ferme à rien
24:02là pour l'instant.
24:03C'est dur de se projeter.
24:04On en parle un peu,
24:05on en discute,
24:06mais pour l'instant
24:07c'est peut-être
24:08des opportunités
24:09qui viendront.
24:10Très honnêtement,
24:11on ne sait pas encore.
24:12Donc pourquoi pas
24:13se franchiser ?
24:14Pourquoi pas
24:15faire de Palissimo
24:16une franchise ?
24:17Honnêtement,
24:18pour l'instant,
24:19on ne sait pas.
24:20Ah !
24:21Alors,
24:22il est temps
24:23de la photo finish.
24:24Allez-y,
24:25pour les préconisations,
24:26Thomas Billet.
24:27On va essayer d'en résumer
24:28quelques-unes
24:29qui a été d'ailleurs
24:30donnée par Bernard Cadeau
24:31et que je valide également.
24:32Développer sa notoriété,
24:33évidemment,
24:34localement.
24:35Continuer,
24:36vous avez parlé
24:37de savoir-être,
24:38moi je vais parler
24:39de savoir-faire.
24:40Vous l'avez évoqué,
24:41c'est votre formation.
24:42Et un faire-savoir,
24:43évidemment.
24:44Tout ça, ça se combine
24:45et ça doit fonctionner ensemble.
24:46Peut-être recruter
24:47des agents-coins
24:48à un moment donné
24:49pour développer la transaction.
24:50Ça ne coûte pas plus cher que ça
24:51parce que ce n'est pas
24:52des salariés à temps plein
24:53pour vous
24:54et ça vous permettra
24:55d'accompagner votre développement.
24:56Faire de l'inter-cabinet
24:57avec vos confrères,
24:58évidemment.
24:59Essayer de trouver
25:00des voies d'association
25:01intelligentes.
25:02Bernard Cadeau l'a dit
25:03par rapport
25:04à la gestion immobilière.
25:05Enfin,
25:06il y a beaucoup de possibilités
25:07sur la table.
25:08Maintenant,
25:09il faut les travailler
25:10sur le fond.
25:11Oui.
25:12Prêt.
25:13Prêt.
25:14Geoffrey Pallis.
25:15Pallissimo va-t-il faire
25:16des petits partout en France ?
25:17Quand on sait marquer
25:18des essais comme vous,
25:19on ne peut qu'entrer
25:20sur les terrains
25:21à construire avec sérénité.
25:22Seule interrogation,
25:23pas facile d'enchaîner
25:24les essais
25:25chaque week-end
25:26dans le top 14
25:27et en Coupe d'Europe.
25:28Tout ça, bien sûr,
25:29à suivre sur Sud Radio.
25:30En tout cas,
25:31nous, nous suivrons
25:32ce sacré challenge
25:33de Geoffrey Pallis
25:34dans Champion
25:35du sport au business
25:36avec Thomas Binet,
25:37bien sûr,
25:38avec Bernard Cadeau
25:39qu'on remercie.
25:40Allez le castre olympique,
25:41Geoffrey Pallis.
25:42Exactement,
25:43allez le castre olympique,
25:44oui.
25:45Allez,
25:46à très bientôt.
25:47Merci d'avoir été
25:48notre invité.
25:49Tout de suite,
25:50il faut que ça change
25:51avec Anthony Martin-Smith.

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