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Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent du bilan de la Maire de Paris, Anne Hildago qui ne se visera pas un troisième mandat à Paris.
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Transcription
00:00:00Europe 1, 16h-18h, on marche sur la tête, Cyril Hanouna.
00:00:05Anne Hidalgo, Anne Hidalgo renonce à un troisième mandat à Paris.
00:00:11Deux mandats qui ont fait tellement de mal.
00:00:15On espère qu'on va s'en remettre, on espère qu'on va s'en remettre.
00:00:20On espère que les rats vont quitter la ville en 2026.
00:00:24Car aujourd'hui, il est plus probable de croiser un rat à Paris qu'un être humain.
00:00:29C'est fou, même les rats rentrent en boîte maintenant.
00:00:33J'ai vu des rats avec des cravates rentrer au casino.
00:00:37C'est des rats, c'est des travaux partout, c'est une circulation, c'est n'importe quoi.
00:00:42Ça a été de la pollution incroyable.
00:00:45A force de vouloir faire des travaux et les embouteillages qu'il y a dans Paris,
00:00:50forcément la pollution a explosé.
00:00:52C'est des commerçants qui n'en peuvent plus, puisqu'il n'y a plus accès à certains commerçants.
00:00:58C'est des personnes âgées qui n'en peuvent plus, puisqu'elles ne peuvent plus aller voir leurs petits-enfants,
00:01:02leurs enfants, leurs arrière-petits-enfants.
00:01:05Parce que c'est impossible de se déplacer dans Paris.
00:01:07Donc voilà, c'est devenu... Paris est une jungle.
00:01:11Et on espère que Paris va sortir de cette jungle en 2026.
00:01:15Alors, à la Santé Protégée, Cyril Féraud, qui était dans Slam avant.
00:01:19Je préfère Cyril.
00:01:21Une chose est sûre, c'est que je préfère Cyril.
00:01:24C'est sûr que je préfère Cyril.
00:01:26Mais bon, apparemment...
00:01:28Elle a dit qu'elle continuerait à faire de la politique.
00:01:30Et pas la présidentielle.
00:01:32Je l'explique, c'est quand t'as fait 2%, t'as qu'une envie, c'est de rentrer chez toi et de prendre une tisane.
00:01:36Non mais il faut arrêter les gars.
00:01:381,3 la présidentielle.
00:01:401,7 exactement.
00:01:42N'hésitez pas à...
00:01:441,7.
00:01:46Donc Anne Hidalgo, j'espère.
00:01:48Franchement, il y a des bons candidats là.
00:01:50Vous savez pas, tous ceux qui nous écoutent qui n'habitent pas Paris.
00:01:54Sachez que Paris, c'est devenu...
00:01:56Ah mais moi je ne supporte plus cette ville.
00:01:58C'est une de mes villes détestées.
00:02:00C'est une des villes que je déteste le plus.
00:02:02Je suis allé à Londres, il n'y a pas longtemps. Je suis allé à Madrid.
00:02:04Je suis allé...
00:02:06Alors non, Amsterdam c'est dégueulasse.
00:02:08C'est horrible.
00:02:10C'est la ville la plus pourrie que je connaisse d'Europe.
00:02:12Amsterdam c'est horrible.
00:02:14Budapest c'est vachement bien.
00:02:16Budapest c'est très beau, mais je suis allé à Londres.
00:02:18Mais c'est incroyable la propreté.
00:02:20Mais c'est magnifique.
00:02:22Vous vous sentez plus en sécurité à Londres qu'à Paris.
00:02:24Je vous le dis.
00:02:26Je suis allé à Madrid, mais Madrid c'est magnifique.
00:02:28La propreté des rues, on mangerait par terre.
00:02:30On mangerait par terre.
00:02:32A Paris, c'est plus sale par terre que dans un truc sale.
00:02:38Non mais c'est vrai, c'est horrible.
00:02:40Pourquoi autant de touristes viennent à Paris ?
00:02:42Parce que c'est la capitale.
00:02:44Moi j'adore Paris.
00:02:46J'adore Paris.
00:02:48Dès que je quitte Paris, j'adore Paris.
00:02:50C'est vrai, c'est le président.
00:02:52Comme Gautier avait pu témoigner.
00:02:54Oui mais Gautier c'est Gautier.
00:02:56Quand vous vous appellerez Gautier, vous prendrez la parole.
00:02:58Non, non, je ne veux pas.
00:03:00Je ne veux pas la transformation.
00:03:02Arrêtez Paris, il est devenu horrible.
00:03:04Je vais répondre à Olivier d'Artigol, qui est quand même un ami.
00:03:06Plus pour longtemps.
00:03:08Olivier d'Artigol, pourquoi les gens viennent à Paris ?
00:03:10Pourquoi les gens viennent à Paris ? C'est le mythe.
00:03:12Elle pourra tout salir.
00:03:14Elle ne pourra pas enlever les beaux du molle.
00:03:16Elle ne pourra pas enlever la beauté de Paris.
00:03:18Mais Paris est devenu une ville exécrable.
00:03:20Tous les gens qui viennent à Paris disent que c'est horrible.
00:03:22Il y a eu une alcalmie.
00:03:24Une embellie lors des Jeux Olympiques.
00:03:26Pendant un mois.
00:03:28Mais c'est tout.
00:03:30Comme par hasard, pendant les Jeux, tout était propre.
00:03:32Mais là c'est catastrophique.
00:03:34Excusez-moi.
00:03:36Moi je vois que c'est son travail.
00:03:38Moi je vois que c'est son travail.
00:03:42Quand je ne peux pas aller chez ma mère tous les week-ends,
00:03:44parce que c'est deux heures de route,
00:03:46forcément en plein Paris.
00:03:48Le week-end, vous ne circulez pas.
00:03:50Après le week-end, il vient me dire
00:03:52si je circule à Paris.
00:03:54Il se fout de ma gueule.
00:03:56La presse avait parlé du syndrome de Paris.
00:03:58Les Japonais avaient été choqués.
00:04:00Ils avaient fait plein de vidéos en disant
00:04:02à quel point ils avaient été choqués.
00:04:04Vous n'avez plus jamais un moment d'émerveillement à Paris ?
00:04:06Bien sûr que si.
00:04:08Il n'y a plus d'émerveillement à Paris.
00:04:10Le seul émerveillement, c'est quand tu ne vois pas de rave qui succède.
00:04:12Il n'y a pas de bêtise. Il n'y a plus d'émerveillement à Paris.
00:04:14C'est horrible.
00:04:16La ville en elle-même est magnifique.
00:04:18Arrêtez. C'est normal.
00:04:20On n'enlèvera pas la beauté de Paris.
00:04:22La ville s'est dégradée.
00:04:24Les ouvriers sont partis.
00:04:26Les plus pauvres sont partis.
00:04:28Les familles sont parties.
00:04:30Ils mettent des logements sociaux.
00:04:32Dans tous les quartiers, c'est bien les logements sociaux ?
00:04:34Il faut mettre des logements sociaux partout.
00:04:38Je suis pour qu'on mette des logements sociaux partout.
00:04:40Dans tous les arrangements.
00:04:42Les familles, on s'en fiche.
00:04:44Les logements sociaux, c'est pour les familles.
00:04:46Ce n'est pas que pour les familles.
00:04:48Je voudrais avoir des gens qui habitent Paris ou pas.
00:04:50Des gens qui habitent Paris qui nous appellent.
00:04:52018203921.
00:04:54Pour moi, le départ d'Anne Hidalgo de la mairie de Paris,
00:04:56c'est la meilleure nouvelle
00:04:58depuis que j'ai eu mes résultats au bac.
00:05:00Franchement, je vous le dis.
00:05:02C'est la meilleure nouvelle.
00:05:04Vous savez qui m'a donné la nouvelle ?
00:05:06Qui ?
00:05:08Thomas Guénolé, le politologue de 13 à gauche.
00:05:10Qui ne l'apprécie pas d'ailleurs.
00:05:12Généralement, quand il m'écrit, je me dis quelle flemme.
00:05:14Et là, pour une fois, j'étais heureux d'ouvrir un de ses SMS.
00:05:16Non mais quelle horreur.
00:05:18Je me suis dit Thomas Guénolé.
00:05:20Je vous explique ce qui s'est passé.
00:05:22Je le dis aux auditeurs d'Europe 1.
00:05:2423h hier, je vois Thomas Guénolé qui m'écrit.
00:05:26Thomas Guénolé, c'est un politologue qui est dans mon émission de télévision.
00:05:28Qui a des idées insupportables.
00:05:30Et qui m'écrit.
00:05:32Je vois Thomas Guénolé.
00:05:34Déjà, quel moment de détresse.
00:05:36Et après, je vois une photo d'Anne Hidalgo.
00:05:38C'est le doublé de covalence.
00:05:40Thomas Guénolé qui m'écrit.
00:05:42Plus une photo d'Anne Hidalgo.
00:05:44Et après, je vois la bonne nouvelle.
00:05:46Anne Hidalgo ne se représente pas.
00:05:48Et là, je suis sorti de mon lit.
00:05:50J'étais en slip de bain.
00:05:52Oui, j'allais prendre une douche.
00:05:54Je me suis mis sur le balcon.
00:05:56Et j'ai crié.
00:05:58Exactement.
00:06:00J'étais comme ça.
00:06:02J'étais comme ça.
00:06:04Le quartier a fait une holla.
00:06:06Oui, chez moi, ils ont fait une holla.
00:06:08Je vous confirme.
00:06:10Vous êtes fou.
00:06:12Tous ceux qui connaissent Paris.
00:06:14J'aimerais qu'on en parle deux secondes.
00:06:16Est-ce que pour vous, c'est la meilleure nouvelle depuis longtemps
00:06:18qu'Anne Hidalgo ne se représente pas à Paris ?
00:06:20Valérie Benaym.
00:06:22C'est une très bonne nouvelle.
00:06:24Attention aux successeurs.
00:06:26Ça ne peut pas être pire.
00:06:28Il ne passera pas.
00:06:30Il y a Emmanuel Grégoire.
00:06:32Emmanuel Grégoire, je le préfère.
00:06:34Les voix vont se disperser.
00:06:36Il a pris ses distances.
00:06:38Il va y avoir Rachida Dati.
00:06:40Il va y avoir Yann Brossat.
00:06:42Il va y voir son papy.
00:06:44Yann Brossat, il est insupportable.
00:06:46Yann Brossat, mais il n'y a pas pire.
00:06:48Yann Brossat, sans rigoler.
00:06:50Yann Brossat, je le connais très bien.
00:06:52C'est un enfer.
00:06:54C'est un communiste.
00:06:56Il n'est pas frappé d'indignité nationale.
00:06:58On va mettre un communiste à Paris.
00:07:00Déjà qu'on a eu Anne Hidalgo.
00:07:02On va enchaîner par un communiste.
00:07:04Anne Hidalgo a été élue, puis réélue.
00:07:06Et peut-être que la gauche va rester majoritaire.
00:07:08Qu'est-ce que vous parlez ?
00:07:10Il habite à Pau.
00:07:12Allez voir François Bayrou.
00:07:14C'est vrai, allez voir François Bayrou.
00:07:16Je vis beaucoup à Paris.
00:07:18Allez voir François Bayrou.
00:07:20Non, parce que là,
00:07:22il y a des annonces de candidature.
00:07:24Mais au final, il y aura une liste commune.
00:07:26Je peux juste répondre sur les logements sociaux.
00:07:28C'est insupportable.
00:07:30Il faut pas s'agacer.
00:07:32Il est agaçant.
00:07:34Que fait la mairie de Paris ?
00:07:36Dès que vous avez un certain nombre de mètres carrés,
00:07:38elle peut préempter
00:07:40ou elle peut obliger le propriétaire des lieux
00:07:42à mettre des logements sociaux.
00:07:44Et maintenant, le but de la mairie de Paris,
00:07:46c'est de mettre des logements sociaux
00:07:48dans notamment tous les plus beaux quartiers de la capitale.
00:07:50Le 16ème, etc.
00:07:52Là-haut, quoi ?
00:07:54Oui, quoi là-haut ?
00:07:56Tu peux parler tranquillement.
00:07:58Mais quoi là-haut ?
00:08:00Surtout dans les derniers étages.
00:08:02Le but de la mairie de Paris, c'est de mettre des logements sociaux
00:08:04absolument partout.
00:08:06Ils choisissent un certain type de famille,
00:08:08parce qu'effectivement, ces logements sociaux sont aussi pour des familles
00:08:10les plus pauvres, les plus modestes.
00:08:12Mais par contre,
00:08:14les familles classe moyenne plus,
00:08:16elles, qu'elles partent,
00:08:18c'est très bien, on s'en lave les mains.
00:08:20Et maintenant, dès que vous avez un couple
00:08:22qui a un revenu correct,
00:08:24mais qui n'est pas suffisant pour acheter une chambre de plus,
00:08:26pour avoir un appartement
00:08:28dans Paris, mais qui n'est pas du tout
00:08:30dans les critères de logements sociaux,
00:08:32elle, cette famille-là, elle part à Chigny-Moulinot,
00:08:34elle part à Boulogne, et tout le monde s'en lave les mains.
00:08:36Vous ne parlez pas sur Gauthier Lebray, non ?
00:08:38Merci Cyril.
00:08:40Ce que je trouve positif,
00:08:42Gauthier, c'est que des infirmières,
00:08:44c'est que des policiers...
00:08:46Ils ne sont pas concernés par les logements sociaux.
00:08:48Justement, tu prends le pire exemple.
00:08:50Va demander aux infirmières et aux policiers,
00:08:52ils ne sont pas concernés par les logements sociaux.
00:08:54Justement, pire exemple possible.
00:08:56Il dit des bêtises, Gauthier.
00:08:58D'Artigolle, depuis sa dépression, ça ne va plus du tout.
00:09:00On pourra le faire vérifier,
00:09:02je plaisante, mais en effet,
00:09:04des policiers et des infirmières
00:09:06peuvent se loger dans Paris-Intramuros
00:09:08et ne pas se taper
00:09:10deux heures de RER.
00:09:12Et c'est très positif.
00:09:14C'est fou !
00:09:16Là, ce n'est pas une bêtise.
00:09:18Il se trouve que ce n'est pas une bêtise.
00:09:20Ces logements sociaux ne sont pas
00:09:22pour les policiers et les infirmières.
00:09:24Gartigolle, arrêtez de dire des bêtises.
00:09:26On connaît mieux le sujet de Gauthier Lebray.
00:09:28Non, je le conteste.
00:09:30Allez à Pau, il n'y a pas de bêtises.
00:09:32Je vis à Paris aussi.
00:09:34Je vous assure que la politique
00:09:36de l'homme...
00:09:38Tu ne vis pas à Paris, il n'y a pas de bêtises.
00:09:40C'est vrai, il vient travailler à Paris.
00:09:42Je viens travailler à Paris
00:09:44et j'y habite y compris le week-end.
00:09:46Donc je connais bien Paris depuis
00:09:48à peu près une vingtaine d'années.
00:09:50Vous dites d'énormes bêtises.
00:09:52Les logements sociaux, c'est à la marge pour les policiers
00:09:54et les infirmières.
00:09:56Arrêtez de dire je ne crois pas.
00:09:58Mais est-ce que nous sommes d'accord
00:10:00au moins sur une idée que le fait de produire
00:10:02du logement social dans une ville comme Paris
00:10:04c'est positif ou pas ?
00:10:06C'est pas pour les infirmières,
00:10:08c'est pas pour les policiers.
00:10:10Et de préempter
00:10:12dès que tu as plus de mètres carrés
00:10:14une certaine barre,
00:10:16ce n'est absolument pas.
00:10:18L'idée des logements sociaux d'Anne Hidalgo,
00:10:20ce n'est absolument pas pour les fonctionnaires
00:10:22en première ligne comme les infirmières et les policiers.
00:10:24Tout le monde applaudirait dès demain
00:10:26si c'était pour eux. Ce n'est pas pour eux,
00:10:28c'est pour des familles qui sans cela ne pourraient pas vivre dans Paris.
00:10:30Et les familles qui devraient vivre dans Paris
00:10:32parce qu'elles ont les revenus pour,
00:10:34avec l'explosion des loyers,
00:10:36avec l'explosion de la taxe foncière aussi,
00:10:38elles quittent Paris. Donc c'est faux de dire cela.
00:10:40Ce n'est pas fait pour les policiers,
00:10:42ce n'est pas fait pour les infirmières.
00:10:44Pour les hauts fonctionnaires dans les ministères,
00:10:46ce n'est pas fait pour eux.
00:10:48On va vous sortir les chiffres.
00:10:50Vous allez voir, vous allez comprendre.
00:10:52Je ne sais même pas s'ils existent tellement c'est minoritaire.
00:10:54Mais on le sait.
00:10:56Tout le monde le sait. Il n'y a que Olivier qui ne le sait pas.
00:10:58Je vais aller à la Source.
00:11:00Allez à la Source, allez boire de l'eau.
00:11:02Allez boire de l'eau dehors, vous allez voir.
00:11:04Allez à la Source, peut-être à la Volvic.
00:11:06Allez à la Vichy Saint-Urtien.
00:11:08Il y a Marine qui est avec nous en ligne de Boulogne.
00:11:10Bonjour Marine, merci d'être avec nous.
00:11:12Salut Marine.
00:11:14Je suis trop contente de passer avec vous tous.
00:11:16Je vous adore.
00:11:18Pas tous quand même, pas tous Marine.
00:11:20Je pense que ce que je viens d'entendre dans les Dartigolles,
00:11:22c'est insupportable.
00:11:24Insupportable. On dirait Guénolé de la radio.
00:11:26Bravo, bravo Marine.
00:11:28Bravo.
00:11:30Non mais c'est bon, il faut arrêter.
00:11:32C'est insupportable Marine d'entendre ça.
00:11:34Je viens dans mon émission,
00:11:36je fais l'effort
00:11:38de me mettre à côté de lui.
00:11:40C'est insupportable.
00:11:42Moi j'ai appelé mon mari ce matin.
00:11:44Je lui ai dit chéri, ce soir
00:11:46on sabre le champagne.
00:11:48Mais on sabre le champagne.
00:11:5050 km sur le périph'
00:11:52mais ça va pas.
00:11:54Mais ça va pas.
00:11:56Ecoutez,
00:11:58moi je suis dans le bâtiment,
00:12:00mon mari, on travaille donc à Boulogne.
00:12:02Et mon mari, il faut que je lui donne
00:12:04des interventions sur Paris 16 et Paris 15
00:12:06que le matin très très très tôt
00:12:08ou le soir super tard.
00:12:10Sinon c'est impraticable.
00:12:12Impraticable.
00:12:14C'est pas possible.
00:12:16On peut pas.
00:12:18Donc c'est une très bonne nouvelle pour vous.
00:12:20Quand vous entendez Olivier Dartigolle,
00:12:22qui est au ingénieur de peau,
00:12:24pour venir à la radio et aller à la télé,
00:12:26qu'est-ce que vous lui dites ?
00:12:28J'ai rien que vous lui disiez.
00:12:30Que vous êtes pas dedans.
00:12:32Vous voyez pas ce qu'il se passe.
00:12:34Honnêtement c'est une cata.
00:12:36Je suis sur le périph', je vais chercher mes enfants.
00:12:38Mais ça avance pas.
00:12:40Attention, il y a que la police.
00:12:42Quand ils mettent leur gyrophare, tout le monde se met sur le côté.
00:12:44Eux ils peuvent avancer à plus de 50.
00:12:46Et nous on est derrière
00:12:48comme ça et on attend.
00:12:50Donc on est tous d'accord
00:12:52que c'est compliqué.
00:12:54Donc on aimerait quelqu'un sur Paris
00:12:56qui fasse le nécessaire au niveau
00:12:58de plein de choses.
00:13:00Pas que la circulation, pas que tout ça.
00:13:02Mais comme vous dites, la propreté.
00:13:04Moi mes parents ils sont dans la dératisation.
00:13:06Donc je peux vous en parler.
00:13:08C'est une catastrophe.
00:13:10Mais tout Paris est infesté.
00:13:12Déjà tout le monde est infesté.
00:13:14Mais alors Paris,
00:13:16c'est un vrai délire.
00:13:18Vous marchez, vous prenez le métro,
00:13:20vous les voyez, ça grouille de tous les côtés.
00:13:22C'est...
00:13:24C'est une catastrophe.
00:13:26Paris est devenu un enfer.
00:13:28Mais ça fait de la peine franchement.
00:13:30Et tout est gâché.
00:13:32Ils ont gâché énormément de choses à Paris.
00:13:34Ils ont vraiment...
00:13:36Excusez-moi,
00:13:38il y a des rues entières pour les cyclistes.
00:13:40J'y passe, il y a deux cyclistes
00:13:42qui passent toutes les heures.
00:13:44Elle a tout congestionné.
00:13:46Et même pour les cyclistes c'est dangereux.
00:13:48Et les cyclistes c'est devenu extrêmement dangereux.
00:13:50Mais c'est hyper dangereux.
00:13:52Quand on rentre dans Paris,
00:13:54c'est une angoisse.
00:13:56On a mal aux entres.
00:13:58C'est un affreux.
00:14:00C'est vrai !
00:14:02Je vous le dis parce que vous le voyez pas.
00:14:04Il y a Olivier d'Artigolles qui hoche la tête
00:14:06genre vous dites des bêtises.
00:14:08Qu'est-ce que vous avez à lui dire ?
00:14:10Qui doit dire à qui ?
00:14:12Elle a été coupée, vous avez de la chance.
00:14:14C'est pas grave, on a Yann en ligne.
00:14:16Bonjour Yann.
00:14:18Bonjour Yann.
00:14:20Yann bonjour.
00:14:22Comment ça va ?
00:14:24Ça va bien Yann.
00:14:26Yann qui nous appelle d'Occitanie.
00:14:28Parce que même si on n'habite pas Paris,
00:14:30il y a plein de gens qui viennent,
00:14:32qui passent à Paris et qui peuvent nous donner leurs sentiments.
00:14:34Parce que c'est vrai qu'Anne Hidalgo,
00:14:36ça a été quand même une catastrophe.
00:14:38Vous avez entendu Olivier d'Artigolles
00:14:40qui dit qu'Anne Hidalgo a fait énormément pour Paris.
00:14:42Il est très heureux de vivre à Paris.
00:14:44Il trouve que Paris est une ville exceptionnelle.
00:14:46Qu'est-ce que vous avez à lui dire Yann ?
00:14:48Je suis pas docteur.
00:14:50Je suis pas phtalmo.
00:14:52Je suis pas tout ça moi.
00:14:54Bravo.
00:14:56On peut pas entendre ça Yann.
00:14:58On peut pas entendre quelqu'un dire ça.
00:15:00C'est n'importe quoi.
00:15:02Fin de l'année, je dois monter à Paris.
00:15:04Pour les fêtes de fin d'année.
00:15:06C'est un enfer.
00:15:08Et à l'hôtel que j'ai réservé,
00:15:10il y a un parking.
00:15:12Et j'ai quand même pris la précaution
00:15:14de téléphoner à l'hôtel pour savoir
00:15:16si je pouvais aller en voiture jusqu'à l'hôtel.
00:15:18Non mais c'est sûr.
00:15:20Moi je suis à la province.
00:15:22Quand tu entends que t'as des routes
00:15:24qui sont fermées, tu peux pas y aller.
00:15:26Que la voiture, si t'as pas de pastilles,
00:15:28tu peux pas rouler.
00:15:30Que si t'as un sué, t'es surtaxé.
00:15:32Que tu peux rien faire.
00:15:34Moi j'ai visité Paris
00:15:36il y a un an et demi, deux ans.
00:15:38Comme tout le touriste de base,
00:15:40j'ai été Tour Eiffel, Trocadéro.
00:15:42Bah alors,
00:15:44un Tour Eiffel,
00:15:46ça respire pas
00:15:48le vent de Ronette.
00:15:50Ah bah non, c'est sûr.
00:15:52Là t'as...
00:15:54Non mais vous avez vu le nombre de rats.
00:15:56Il y a énormément de rats à la Tour Eiffel.
00:15:58Je vous le dis sur le champ de Mars,
00:16:00c'est infesté de rats.
00:16:02Si tu veux, moi quand je vois la Tour Eiffel,
00:16:04c'est pas pour chauffer les rats.
00:16:06Non mais c'est ça.
00:16:08En gros, mais...
00:16:10Tout est sale.
00:16:12Moi j'avais vu des travaux partout,
00:16:14alors t'avais un trou,
00:16:16une barrière, et rien.
00:16:18Exactement. Un trou, une barrière, et pas d'ouvrier.
00:16:20Vous avez remarqué ?
00:16:22Un trou, une barrière, et jamais d'ouvrier.
00:16:24On ne sait pas.
00:16:26Et ça peut durer pendant deux ans comme ça.
00:16:28Vous savez que ça ne me fait pas rire du tout,
00:16:30parce que je ne rigole pas du tout avec ça.
00:16:32Ça ne me fait pas rire du tout.
00:16:34Non mais je vous le dis,
00:16:36ça ne me fait pas rire du tout.
00:16:38C'est pas sérieux.
00:16:40Arrêtez de dire des bêtises.
00:16:42C'est la capitale du pays.
00:16:44Tout le monde en parle.
00:16:46On ouvre à l'Elysée, la plus belle avenue du monde.
00:16:48Mais c'est horrible.
00:16:50Mais quand tu y vas, il n'y a rien de...
00:16:52Là j'ai vu les décorations de Noël.
00:16:54Mais ça c'est les écolos.
00:16:56On ne peut pas être écolo et faire des décorations de Noël.
00:16:58Donc à un moment il faut choisir.
00:17:00C'est normal, c'est des décorations de Noël écolos.
00:17:02Mais on croit que la France, on croit que Paris
00:17:04va sauver le monde.
00:17:06Vraiment, on est un microbe dans le monde.
00:17:08Pour sauver le monde.
00:17:10On croit qu'on va sauver le monde en ne mettant pas
00:17:12de grosses décorations pour Noël.
00:17:14Quand ils montraient les Jeux Olympiques,
00:17:16ils montaient toujours des vues aériennes.
00:17:18Ben oui, je sais.
00:17:20C'est ça.
00:17:22Les Jeux Olympiques...
00:17:24Exactement. Après il y a un autre truc à Paris.
00:17:26Je vous le dis, c'est quand même fou.
00:17:28Aujourd'hui, moi je suis allé dans d'autres
00:17:30capitales européennes, je suis allé à Madrid.
00:17:32C'est exceptionnel, c'est très propre en Madrid.
00:17:34Londres, c'est très propre, c'est magnifique.
00:17:36Je suis désolé, on a des années-lumière
00:17:38de Madrid et de Londres en termes de
00:17:40propreté, en termes de sécurité.
00:17:42En termes de sécurité, on n'a rien à voir.
00:17:44La sécurité...
00:17:46Moi aussi, j'étais à Madrid.
00:17:48Rien à voir.
00:17:50On ne fait pas un peu de travers à Madrid.
00:17:52Je vous le dis, à Madrid, on se sent en sécurité.
00:17:54On se sent en sécurité à Madrid, pas ici.
00:17:56Non, à Paris, déjà...
00:17:58Déjà en France, en général,
00:18:00la sécurité, c'est pas ça.
00:18:02T'as pas besoin d'aller à Paris pour te sentir
00:18:04en insécurité.
00:18:06Tu sors de chez toi et quelqu'un te dit bonjour,
00:18:08c'est bon, tu sais pas ce qu'il te veut.
00:18:10Non, mais...
00:18:12Mais Paris,
00:18:14c'est...
00:18:16Quand tu arrives au périph', déjà, tu transpires.
00:18:18Tu sais pas à quelle vitesse tu dois rouler.
00:18:20Moi, je discutais avec
00:18:22les chauffeurs de taxi, ils me montraient tous les radars.
00:18:24Ils me disaient, 30, 30, 30.
00:18:26Je dis, mais...
00:18:28Et ils m'avaient
00:18:30expliqué qu'ils flashaient, ils étaient programmés
00:18:32pour flasher un certain nombre de fois
00:18:34dans la journée.
00:18:36Bien sûr, c'est ça.
00:18:38Non, mais c'est fou, c'est fou.
00:18:40Aujourd'hui, il y a plein de choses qui ont pas, donc c'est une bonne nouvelle.
00:18:42À part pour Olivier d'Artigolles qui est...
00:18:44Apparemment, il a deux amours,
00:18:46Valéry Benahim et Anne Hidalgo.
00:18:48J'ai deux amours, Hidalgo et Benahim.
00:18:52Pour Valéry, je peux comprendre,
00:18:54mais pour Hidalgo...
00:18:56Merci, ça fait plaisir.
00:18:58Mais après, franchement,
00:19:00déjà,
00:19:02moi, je suis pas de ce bord.
00:19:04Moi, dès que j'entends qu'on se débarrasse d'un socialiste,
00:19:06je me sens très léger.
00:19:08Et vous voulez vous en débarrasser
00:19:10comment ?
00:19:12Eh bien, qu'ils fassent comme Hidalgo.
00:19:14Ils décrètent qu'à 30 ans,
00:19:16il faut qu'ils prennent leurs retraites,
00:19:18et ils partent.
00:19:20Vous avez vu, il y a une petite pointe d'ironie
00:19:22dans ce que vous a dit
00:19:24Olivier d'Artigolles. Vous le sentez, Yann ?
00:19:26Oui, oui.
00:19:28Je pense que, quand même, ce soir,
00:19:30il va organiser, peut-être, un repas
00:19:32de soutien.
00:19:34Une soirée
00:19:36à Anne Hidalgo.
00:19:38Non, c'est pas des rats,
00:19:40c'est des surmulots.
00:19:42C'est des surmulots.
00:19:44Merci, Yann, d'avoir été avec nous.
00:19:46Ils ont même le don de rebaptiser les animaux aussi.
00:19:48Ils sont très forts.
00:19:50Je voulais passer un bon jour
00:19:52à un collègue à moi qui doit sans doute écouter.
00:19:54Il s'appelle Michel.
00:19:56Michel, on l'embrasse. Il fait quoi dans la vie ?
00:19:58Michel, il est chauffeur.
00:20:00Je l'embrasse fort.
00:20:02Il transporte les personnes en situation de handicap.
00:20:04Bravo à lui.
00:20:06Bravo à Michel. On lui fait de gros bisous.
00:20:08Il peut nous appeler quand il veut sur Europe 1 0180
00:20:1039 21. Merci,
00:20:12Yann, d'avoir été avec nous sur Europe 1. Je vous fais de gros bisous.
00:20:14Allez, gros bisous. Merci, Sylvie.
00:20:16Merci, Yann. Ça nous a fait bien plaisir.
00:20:18Il y a Sylvie qui est avec nous. Il y a pas mal d'appels.
00:20:200180 39 21.
00:20:22Anne Hidalgo ne se représentera pas à la mairie de Paris.
00:20:24C'est pour beaucoup la plus belle nouvelle
00:20:26depuis des décennies et des décennies.
00:20:28Sylvie, je crois que
00:20:30c'est une bonne nouvelle pour vous également.
00:20:32Sylvie, qui habite et l'Essonne.
00:20:34Oui, bonjour. Bonjour,
00:20:36tout le monde.
00:20:38Moi, franchement,
00:20:40c'est le 14 juillet pour moi.
00:20:42Quand j'entends des gens comme Olivier
00:20:44d'Artigolle défendre le bilan d'Anne Hidalgo,
00:20:46je vous jure que ça me rend fou.
00:20:48Ça me rend fou, Sylvie.
00:20:50Moi, je vais justement
00:20:52intervenir auprès de monsieur
00:20:54d'Artigolle, parce que mon conjoint,
00:20:56il est plombier. Il travaille un peu
00:20:58partout, essentiellement
00:21:00autour de Paris. Le matin,
00:21:02il part à 6h du matin.
00:21:04Et le soir, alors le matin, ça va.
00:21:06Ça roule bien.
00:21:08Mais le soir, il finit à 17h.
00:21:10Il n'est pas à la maison avant
00:21:1221h.
00:21:14Il est pas deux heures
00:21:16pour passer de
00:21:18Paris, de là où il est, sur son chantier.
00:21:20Pour arriver à la Axis,
00:21:22il met deux heures. Donc, c'est pas possible,
00:21:24en fait.
00:21:26À un moment donné,
00:21:28c'est bien qu'elle s'en aille,
00:21:30mais j'espère que le prochain
00:21:32maire de Paris va déjà, dans un
00:21:34premier temps, changer la limitation
00:21:36sur la térritorie.
00:21:38Il y a tellement de choses à changer,
00:21:40Sylvie, c'est incroyable.
00:21:42Je vais vous dire, il y a un chantier énorme à Paris.
00:21:44Elle a mis tellement de chantiers
00:21:46à Paris que le plus gros chantier,
00:21:48ça va être de défaire ces chantiers.
00:21:50Je vous le dis, il y a tous les jours,
00:21:52il y a énormément de barrières, il l'a dit tout à l'heure.
00:21:54Des barrières avec des trous de dents,
00:21:56sans ouvriers, ça dure des 2-3 ans comme ça.
00:21:58Vous restez avec nous, Sylvie, vous nous appelez 0180
00:22:003921 sur Europe 1, on vous attend.
00:22:02Et vous nous dites ce que vous pensez.
00:22:04Anne Hidalgo, c'est une belle nouvelle. Elle ne se représentera pas tout de suite
00:22:06sur Europe 1.
00:22:08On marche sur la tête.
00:22:10Cyril Hanouna.
00:22:12Alors, ça fait rire les oiseaux et chanter les écureuils.
00:22:14Ça fait rire d'Artigol.
00:22:16Mais nous, ça ne nous fait pas rire du tout.
00:22:18Je pense que les auditeurs aussi,
00:22:20ceux qui habitent Paris et ceux qui n'habitent pas Paris,
00:22:22Paris est devenu un dépotoir.
00:22:24Paris est devenu
00:22:26une ville, c'est la ville de l'enfer.
00:22:28Aujourd'hui, Paris, en 5 ans,
00:22:305 ans, 6 ans,
00:22:32en quelques années, 5-6 ans,
00:22:34c'est devenu horrible.
00:22:36C'est devenu
00:22:38une des pires villes européennes.
00:22:40Et je le pense vraiment.
00:22:42C'est une ville qui est dégueulasse, qui est horrible.
00:22:44Sinon, Londres, c'est 100 fois mieux tenu.
00:22:46Madrid, n'en parlons même pas,
00:22:48c'est exceptionnel.
00:22:50Rome, exceptionnel.
00:22:52Rome, c'est d'une propreté, c'est incroyable.
00:22:54Je vous le dis, on est toujours
00:22:56les derniers de la classe.
00:22:58Et là, Paris, c'est devenu horrible Paris.
00:23:00Donc, pour ceux qui habitent Paris,
00:23:02pour ceux qui n'habitent pas Paris,
00:23:04même ceux qui viennent à Paris, parce que tout le monde vient dans la capitale,
00:23:06dites-nous ce que vous en pensez.
00:23:08Anne Hidalgo, qui annonce
00:23:10qu'elle ne se représentera pas à la mairie de Paris,
00:23:12franchement, c'est une des meilleures nouvelles.
00:23:14Depuis, je pense,
00:23:16on n'a pas eu des nouvelles comme ça depuis 15-20 ans.
00:23:18Franchement.
00:23:20Normalement, on fait toujours des émissions sur les mauvaises nouvelles.
00:23:22C'est rare qu'on puisse annoncer
00:23:24une bonne nouvelle aux auditeurs.
00:23:26Une nouvelle feel-good.
00:23:28Le journal des bonnes nouvelles, ça ne marche jamais en radio ou en télé.
00:23:30Là, c'est la première fois qu'on va faire 2 heures
00:23:32sur une bonne nouvelle.
00:23:34Je me régale. Alors, dites-moi.
00:23:36J'ai contacté les oppositions
00:23:38à Anne Hidalgo pour savoir si des chiffres précis existaient.
00:23:40Et on me dit bien ce que je disais tout à l'heure.
00:23:42Il n'y a pas de stats précises,
00:23:44parce que c'est très compliqué de trouver des statistiques
00:23:46précises sur qui a
00:23:48un logement social.
00:23:50D'une part, le préfet peut réserver
00:23:52une part de logements sociaux
00:23:54réhabilités par l'État
00:23:56afin de loger des fonctionnaires,
00:23:58mais cela reste une part minoritaire
00:24:00au contingent. Et d'autre part, me dit-on,
00:24:02si les professeurs,
00:24:04infirmiers, policiers étaient majoritaires
00:24:06dans les logements sociaux, pourquoi
00:24:08l'ancienne majorité présidentielle, avec David Amiel,
00:24:10avait déposé en avril 2024
00:24:12une proposition de loi proposant
00:24:14de réserver l'accès des nouveaux logements sociaux
00:24:16aux fonctionnaires dits de première ligne,
00:24:18c'est-à-dire précisément les policiers, enseignants et soignants,
00:24:20justement parce que la mairie de Paris ne le faisait pas.
00:24:22Il y a eu une proposition de loi déposée
00:24:24en avril 2024, avant la dissolution,
00:24:26pour contraindre la mairie de Paris
00:24:28de loger les fonctionnaires en première ligne,
00:24:30enseignants, policiers, soignants,
00:24:32parce que la mairie de Paris ne le faisait pas
00:24:34et ne leur réservait pas les logements sociaux.
00:24:36CQFD.
00:24:38C'est fou.
00:24:40Merci Gauthier Lebray.
00:24:42Merci Gauthier Lebray.
00:24:44Ce sont des informations
00:24:46officielles, il ne les a pas inventées.
00:24:48C'est pourquoi David Amiel avait déposé une proposition de loi
00:24:50dans ce sens, pour contraindre la mairie de Paris
00:24:52qui ne logeait pas les fonctionnaires en priorité.
00:24:54On n'a pas besoin d'entendre dans ce studio des gens qui vont remettre en cause
00:24:56ce que vient de dire Gauthier Lebray, puisque ce sont
00:24:58des indications.
00:25:00On va se donner des maux d'estomac pour rien.
00:25:02Ce que vous avez rappelé, ce sont des indications officielles.
00:25:04C'est de l'opposition.
00:25:06Il ne faut pas inventer des choses.
00:25:08C'est-à-dire que si je contacte Anita Gaulle,
00:25:10elle va me dire qu'elle est formidable.
00:25:12Je vais plutôt contacter l'opposition.
00:25:14Cyril, je ne dis pas que tout va
00:25:16toujours très bien à Paris.
00:25:18C'est catastrophique, écoutez les auditeurs.
00:25:20Mais sur le logement social,
00:25:22question importante,
00:25:24parce qu'en effet, se loger à Paris, c'est très cher.
00:25:26Le dernier, c'est à l'actualité,
00:25:28c'est le plan local d'urbanisme
00:25:30que l'opposition initie.
00:25:32Il a été cherché sur internet.
00:25:34C'est un supportage.
00:25:36Moi, c'est de première source.
00:25:38Là, c'est les services de l'urbanisme.
00:25:40Il y a un plan local de l'urbanisme
00:25:42qui prévoit, ce qui est intéressant
00:25:44pour 2035,
00:25:4640% de logement public,
00:25:48dont 30% de logement social
00:25:50et 10% pour du logement
00:25:52intermédiaire.
00:25:54Il ne faut pas oublier que les grands ministères,
00:25:56c'est le cas des hôpitaux de Paris,
00:25:58Assistance Publique,
00:26:00mais aussi la SNCF,
00:26:02disposent de logements aussi pour permettre
00:26:04à leurs salariés d'habiter dans Paris.
00:26:06C'est donc un partenariat entre l'État
00:26:08et la collectivité parisienne.
00:26:10Quel rapport, il dit n'importe quoi.
00:26:12D'accord, oui, Gauthier Leroy,
00:26:14je ne comprends rien de ce qu'il dit.
00:26:16Je ne vais pas évoluer sur ce que je viens de vous dire.
00:26:18La mairie de Paris, son but,
00:26:20l'un de ses derniers buts, c'était de faire des logements sociaux
00:26:22dans tous les arrondissements, le plus possible.
00:26:24De coopter des logements
00:26:26dès qu'ils étaient en vente
00:26:28ou dès qu'ils étaient réhabilités,
00:26:30passer à un certain nombre de mètres carrés.
00:26:32La question, c'est qui vous mettez dans ces logements sociaux ?
00:26:34Personne n'est contre
00:26:36le fait qu'on donne ces logements sociaux aux infirmières,
00:26:38policiers, enseignants.
00:26:40Tout le monde applaudit.
00:26:42Sauf que ce n'est absolument pas le cas.
00:26:44Ils sont ultra minoritaires dans ces logements sociaux.
00:26:46Et David Amiel,
00:26:48qui est donc député,
00:26:50avait fait une proposition.
00:26:52Fait semblant de ne pas comprendre depuis le début.
00:26:54Je suis intellectuellement lent et laborieux.
00:26:56Je l'ai dit doucement.
00:26:58Qui bénéficie des logements sociaux ?
00:27:00C'est des personnes qui peuvent quand même habiter Paris.
00:27:02Il fait exprès.
00:27:04Je suis fatigué là.
00:27:06Les logements sociaux,
00:27:08c'est bien simple.
00:27:10La mairie de Paris choisit ses familles.
00:27:12Tu m'entends ?
00:27:14La mairie de Paris choisit ses familles.
00:27:16Les familles qui ne peuvent pas bénéficier des logements sociaux,
00:27:18on s'en lave les mains, on les laisse partir à Boulogne
00:27:20et à Issy-les-Moulineaux.
00:27:22Il dit n'importe quoi.
00:27:24La mairie de Paris n'a aucune responsabilité.
00:27:26Elle ne fait rien.
00:27:28Stop.
00:27:30Je ne peux pas laisser dire à l'interne
00:27:32des choses qui sont erronées.
00:27:34C'est vous qui dites des bêtises.
00:27:36C'est totalement vrai.
00:27:38Vous ne décidez pas seul de l'attribution
00:27:40des logements sociaux.
00:27:42Quand je parle, stop.
00:27:44Vous venez de dire un truc qui résume tout.
00:27:46C'est là où on voit, quand il a dit tout à l'heure qu'il était laborieux,
00:27:48je vous le confirme, il est vraiment laborieux.
00:27:50Vous êtes lents, laborieux et vous ne comprenez pas très bien les choses.
00:27:52Excusez-moi de vous dire ça.
00:27:54Quand il dit que ce n'est pas la mairie de Paris seule qui décide,
00:27:56vous croyez vraiment que les bailleurs sociaux vont dire à la mairie de Paris
00:27:58que c'est la mairie de Paris qui décide ?
00:28:00Mais bien sûr, il n'y a pas de projet politique.
00:28:02Mais qu'est-ce qu'il raconte ?
00:28:04Il dit n'importe quoi.
00:28:06Donc je confirme à l'antenne que pour l'attribution
00:28:08des logements sociaux, la mairie de Paris
00:28:10n'est pas seule décisionnaire.
00:28:12Mais vous dites des bêtises.
00:28:14Mais s'ils ne sont pas seuls décisionnaires,
00:28:16c'est qu'ils sont décisionnaires.
00:28:18Vous croyez vraiment qu'ils n'influencent pas
00:28:20les bailleurs sociaux ?
00:28:22Mais qu'est-ce qu'ils racontent ?
00:28:24Mais ce n'est pas possible que c'est une telle naïveté.
00:28:26Ou c'est de la naïveté ou il nous prend pour des idiots.
00:28:28Excusez-moi Gautier Levray.
00:28:30Pourquoi ? Réponds.
00:28:32Il va répondre dans un instant.
00:28:34Là franchement c'est compliqué.
00:28:36Vous n'avez pas un truc pour les maudits estomacs ?
00:28:38C'est compliqué.
00:28:40J'ai gainolé le soir, j'ai d'artigole l'après-midi.
00:28:42Franchement les gars, je vais me mettre un patch.
00:28:44Je vais aller acheter un patch.
00:28:46Un sociopatch.
00:28:48Franchement c'est insupportable.
00:28:50A tout de suite sur Europe 1.
00:28:54Il est 16h40 sur Europe 1.
00:28:56On vient de se régaler il y a un instant.
00:28:58Je voulais dire aux auditeurs d'Europe 1.
00:29:00Il y a Olivier Lartigolle qui a voulu dire un truc pour faire le malin.
00:29:02J'aimerais qu'il le lise aux auditeurs d'Europe 1
00:29:04dans un instant parce qu'on parle de l'Amérique-Paris.
00:29:06Lise et je ferai les commentaires après.
00:29:08En lisant,
00:29:10tous les auditeurs d'Europe 1 qui nous écoutent
00:29:12et qui peuvent nous appeler au 01-80-20-39-21
00:29:14on vous pose la question.
00:29:16Anne Hidalgo qui ne se représente pas, est-ce que c'est une bonne nouvelle ?
00:29:18Ici autour de la table,
00:29:20il y a 75%.
00:29:22On est 5, il y a quoi ? Il y a plus.
00:29:2480% de oui.
00:29:26Notre controverse c'est donc
00:29:28est-ce que la mairie décide seule de l'attribution
00:29:30des logements ?
00:29:32Je lis.
00:29:34La Ville de Paris
00:29:36a mis en place une commission de désignation
00:29:38des candidats aux logements sociaux.
00:29:40Chaque semaine,
00:29:42une commission composée d'élus
00:29:44du Conseil de Paris,
00:29:46de représentants d'associations
00:29:48qualifiés au titre de leur implication dans nos logements
00:29:50c'est donc des associations indépendantes
00:29:52et plusieurs fois par an
00:29:54des parisiens
00:29:56examinent environ
00:29:58150 dossiers de demande.
00:30:00Donc tu viens de nous prouver que c'était politique.
00:30:02Tu disais que c'était au René avant la pub.
00:30:04Mais bien sûr que c'est politique Olivier d'Artigolle.
00:30:06Vous êtes très gentil mais arrêtez un peu d'être naïf.
00:30:08On peut être gentil mais pas naïf.
00:30:10D'accord.
00:30:12Je vous connais, je connais votre tête.
00:30:14J'ai eu deux têtes que je connaissais d'Artigolle.
00:30:16La première quand il est tombé amoureux de Valéry Béry.
00:30:18Je l'ai vu le premier.
00:30:20La deuxième
00:30:22quand il a vu que
00:30:24attention c'était pas
00:30:26c'était pas si clair que ça.
00:30:28C'était pas si clair que ça.
00:30:30Et vous savez pourquoi je m'énerve ?
00:30:32Parce que j'aime Olivier d'Artigolle.
00:30:34Je l'aime et je n'aime pas.
00:30:36Généralement il dit souvent
00:30:38des vérités. Et là c'est une des premières fois
00:30:40dans l'émission sur Europe
00:30:42que je le vois complètement à côté de la plaque.
00:30:44Je vous jure que c'est vrai.
00:30:46Hier en dépression
00:30:48aujourd'hui à côté de la plaque.
00:30:50Si c'est Benahim qui vous fait du mal
00:30:52je la sors.
00:30:54Si c'est Benahim
00:30:56qui vous met son dessus-dessous
00:30:58je la sors.
00:31:00Ce qu'on dit il suffit de parler 30 secondes
00:31:02à des policiers par exemple, à des infirmières.
00:31:04Je vais juste dire un truc.
00:31:06Je pardonne tout à Olivier d'Artigolle.
00:31:08Car pour moi, l'amour passera toujours avant tout.
00:31:10Je le dis.
00:31:12Je le dis d'Artigolle.
00:31:14Concentrez-vous sur vous.
00:31:16Il y a Sylvie qui est en ligne avec nous sur Europe.
00:31:18Bonjour Sylvie.
00:31:20Rebonjour Cyril.
00:31:22Moi ça me fait mal aux oreilles
00:31:24ce que j'entends.
00:31:28Je vais vous dire deux choses.
00:31:30Premier point.
00:31:32Qui veut vivre à Paris au milieu des rats
00:31:34et de la saleté ?
00:31:36Personne.
00:31:38Les logements sociaux, même je pense que
00:31:40si on les donnait à des gens
00:31:42ils n'en voudraient pas.
00:31:44Parce que c'est dégueulasse.
00:31:46Paris est devenu dégueulasse.
00:31:48Deuxième point.
00:31:50J'ai une voisine
00:31:52qui habite dans les Seine avec moi
00:31:54bien sûr.
00:31:56Elle est aide-soignant dans les hôpitaux de Paris.
00:31:58Ça fait 4 ans qu'elle attend un logement social.
00:32:00Et elle n'a toujours rien.
00:32:02Donc le matin
00:32:04elle prend le train tôt.
00:32:06Elle doit déposer son fils
00:32:08à la nuit.
00:32:10Très tôt le matin.
00:32:12Et en attendant, elle se tape les allers-retours.
00:32:14Parce que ça fait 4 ans qu'elle attend un logement social.
00:32:16Donc je veux bien
00:32:18que M. Darstigold dise qu'il y a des logements sociaux
00:32:20qu'il y a des commissions et tout ça.
00:32:22Mais il faut où
00:32:24les logements sociaux ?
00:32:26Il en manque.
00:32:28Il en manque beaucoup.
00:32:30Moi personnellement...
00:32:32Ce ne sont pas les bonnes personnes qui ont des bénéfices ?
00:32:34Exactement.
00:32:36Exactement.
00:32:38C'est toujours les mêmes
00:32:40qui sont entre guillemets
00:32:42Ah ben oui, lui il a un bon travail.
00:32:44Il gagne bien. Donc il pourra payer
00:32:46le loyer.
00:32:48Il n'y aura pas de problème.
00:32:52Et puis je vous dis, il y a énormément de passe-droit
00:32:54sur ces logements sociaux, croyez-moi.
00:32:56C'est le copain d'un tel,
00:32:58le pote d'un tel qui connaît un tel.
00:33:00Croyez-moi, je sais comment ça se passe
00:33:02avec les dossiers.
00:33:04Mais il n'est pas besoin d'aller à Paris.
00:33:08Moi en 2018, mon propriétaire
00:33:10a récupéré son logement.
00:33:12C'est son droit.
00:33:14Moi je suis en situation
00:33:16de handicap. J'avais peu de revenus.
00:33:18J'étais à la mairie.
00:33:20Je peux le dire, à Blanc-Mémile.
00:33:22J'étais à la mairie. Ma voisine
00:33:24pareil, du dessus, elle a été à la mairie.
00:33:26J'ai demandé un logement social
00:33:28parce que je supposais
00:33:30avoir droit parce que
00:33:32j'avais peu de revenus.
00:33:34Vous savez ce que m'a dit la personne en face de moi ?
00:33:36Elle m'a dit, désolé, vous n'avez pas
00:33:38d'enfant, vous n'êtes pas prioritaire.
00:33:40Alors que je suis en
00:33:42situation de handicap.
00:33:44Ma voisine qui avait deux enfants,
00:33:46qui était grande déjà,
00:33:48elle a eu un logement social et moi,
00:33:50je me suis retrouvée à la rue. C'est pas normal.
00:33:52Un logement social,
00:33:54en fait, c'est un logement social.
00:33:56C'est pour des gens qui en ont besoin.
00:33:58Pas des gens qui...
00:34:00Moi, je sais que j'ai une amie
00:34:02qui travaille sur Paris.
00:34:04Il y en a, ils ont des logements
00:34:06sociaux, mais ils gagnent
00:34:083, 4, 7 000 euros.
00:34:10Mais pourquoi
00:34:12ils ont des logements sociaux, ces gens-là ?
00:34:14Pourquoi ? Parce que c'est du copinage.
00:34:16C'est tout. On ne va pas se raconter.
00:34:18Il y a l'électoralisme aussi.
00:34:20Il faut suivre des électeurs qui vont voter à Nidalgo
00:34:22pour les prochaines élections municipales.
00:34:24Là, on m'écrivait à l'instant du côté de l'opposition à la mairie de Paris.
00:34:26Paris est en train de devenir la ville des très riches
00:34:28qui ont les moyens de s'acheter un logement
00:34:30et des très pauvres qui bénéficient
00:34:32des logements sociaux. Les classes moyennes
00:34:34s'en vont dès que vous avez un couple
00:34:36qui a un enfant. Ici, les Moulineaux,
00:34:38Boulogne encore une fois, eux, ils ne peuvent pas avoir des logements sociaux
00:34:40et ils ne peuvent pas avoir un appartement
00:34:42avec une pièce de plus pour l'enfant.
00:34:44Donc, eux, la mairie de Paris s'en lave les mains.
00:34:46Excusez-moi, je vais être un peu vulgaire,
00:34:48mais heureusement
00:34:50et merci Seigneur qu'elle dégage
00:34:52parce que c'est devenu
00:34:54un enfer. Je suis dans
00:34:56les sols, mais c'est un enfer.
00:34:58Je vais souvent dans les hôpitaux de Paris.
00:35:00Ne serait-ce que de partir de chez moi
00:35:02avant, je mettais une heure, voire
00:35:04une heure et quinze pour aller sur les hôpitaux
00:35:06de Paris. Maintenant, je suis obligée de partir
00:35:08deux heures à l'avance.
00:35:10Elle a foutu un bordel, excusez-moi
00:35:12du terme, mais c'est
00:35:14incroyable. Et je vais même vous dire autre chose,
00:35:16Thierry, parce que je vais souvent dans
00:35:18les hôpitaux de Paris, un peu à droite
00:35:20à gauche, j'ai même vu
00:35:22des rats dans les hôpitaux.
00:35:24Je vais vous raconter un truc moi,
00:35:26mais mon père, vous savez que mon père
00:35:28était longtemps hospitalisé.
00:35:30Vous savez ce que j'ai fait ? J'ai mis quelqu'un avec lui
00:35:32le soir parce qu'il y avait des rats
00:35:34qui étaient dans sa chambre. Je vous jure que c'est vrai.
00:35:36Il y avait des rats dans sa chambre.
00:35:38Même la même journée aussi,
00:35:40mais je me suis dit, comme la journée, il y avait des gens qui passaient.
00:35:42Mais je voulais que quelqu'un surveille
00:35:44le soir pour voir s'il n'y avait pas un rat
00:35:46qui monte sur le lit ou un truc comme ça.
00:35:48Je me suis dit, il y avait des rats
00:35:50et des souris dans sa chambre.
00:35:52Vous vous rendez compte ou pas ? Pourquoi ?
00:35:54Parce qu'il y avait des travaux partout autour
00:35:56et que l'hôpital
00:35:58était infesté de rats et de souris.
00:36:00Est-ce que vous vous rendez compte ? Même pour le personnel
00:36:02hospitalier, dans les conditions de travail
00:36:04dans lesquelles ils y sont.
00:36:06Et c'est vecteur de maladie en fait.
00:36:08Ça peut aggraver
00:36:10quelqu'un qui est en faiblette
00:36:12et qui n'a pas de
00:36:14défense immunitaire.
00:36:16Moi je l'ai vu,
00:36:18c'est pas un rat, c'est une souris.
00:36:20J'ai vu une souris quand j'étais
00:36:22aux toilettes.
00:36:24Il y en a partout dans tous les hôpitaux.
00:36:26Elle a foutu un bordel.
00:36:28C'est pas possible en fait.
00:36:30Même mon conjoint, comme je vous ai dit tout à l'heure,
00:36:32il travaille sur Paris.
00:36:34Il est devenu infernal,
00:36:36même parce qu'il a une voiture de société
00:36:38ce qui est logique
00:36:40pour intervenir chez les particuliers
00:36:42ou les entreprises.
00:36:44Mais même pour se garer,
00:36:46c'est devenu
00:36:48du n'importe quoi.
00:36:50Même avec un papier
00:36:52ou d'une société,
00:36:54il arrive à se ramasser
00:36:56des bébés. Heureusement que c'est le patron
00:36:58qui paie les bébés, mais à un moment donné
00:37:00il en a marre en fait. Moi je vous dis,
00:37:02Alléluia, elle se barre.
00:37:04Merci Seigneur.
00:37:06Merci Sylvie d'avoir été avec nous.
00:37:08Excusez-moi Cyril, j'ai juste un petit
00:37:10message.
00:37:12C'est un message personnel pour vous.
00:37:14Je voulais vous remercier parce qu'en
00:37:162014 on m'a diagnostiqué
00:37:18une sclérose en plaques et c'est à ce moment-là
00:37:20où je vous ai connu parce que j'ai eu un
00:37:22traitement très violent et en fait
00:37:24vous m'avez sauvé la vie.
00:37:26J'aurais pas eu votre émission,
00:37:28j'aurais pas tenu.
00:37:30Et c'est grâce à vous, à toute votre
00:37:32équipe que j'ai
00:37:34pu tenir et que
00:37:36je suis vivante
00:37:38aujourd'hui et je voulais vous remercier
00:37:40vraiment infiniment. Merci à Valérie,
00:37:42à toute votre équipe.
00:37:44Vous êtes formidables.
00:37:46Vous êtes géniales.
00:37:48Et sachez-le, c'est grâce à vous qu'on est là.
00:37:50Et le succès en plus d'Europe 1 aussi,
00:37:52c'est vraiment les auditeurs.
00:37:54Moi j'écoutais pas Europe 1,
00:37:56c'est à cause de vous que j'écoute Europe 1 maintenant.
00:37:58Je voulais vous remercier
00:38:00de tout mon coeur.
00:38:02Vous êtes un ange pour moi.
00:38:04Franchement,
00:38:06il faut que
00:38:08vous tenez bon. Je suis persuadée
00:38:10que vous allez y arriver
00:38:12et que vous allez avoir
00:38:14bien de cause sur tous ces
00:38:16connards
00:38:18qui en veulent à votre peau.
00:38:20C'est vous qui allez
00:38:22leur cesser la moelle.
00:38:24Excusez-moi, je suis un peu vulgaire.
00:38:26Mais c'est dégueulasse
00:38:28de s'en prendre
00:38:30comme ça. En fait,
00:38:32ils vous connaissent pas.
00:38:34Je ne vous connais pas personnellement
00:38:36mais je sais que
00:38:38vous me faites un immense
00:38:40bien avec toute votre équipe
00:38:42tous les jours. Quand je ne peux pas vous voir,
00:38:44je vous résiste.
00:38:46Je voulais
00:38:48vous remercier beaucoup
00:38:50parce que vous êtes un amour
00:38:52de personne.
00:38:54Je voulais faire un gros bisou
00:38:56à Gautier Lebrec.
00:38:58Je l'adore aussi.
00:39:00Moi aussi. Vous savez la plus belle chose
00:39:02qui pourrait m'arriver, c'est qu'il soit avec moi tout le temps en télé.
00:39:04J'espère. Ça va arriver un jour.
00:39:06Vous pensez ? J'espère.
00:39:08Merci Sylvie d'avoir été avec nous.
00:39:10Je vous fais un énorme bisou
00:39:12et ça m'a fait très plaisir tout ce que vous m'avez dit.
00:39:14Ça me touche beaucoup.
00:39:16Je vous fais de gros bisous. Mais c'est la réalité
00:39:18et c'est sincère. Merci. Merci Sylvie.
00:39:20Je vous fais de gros bisous. Merci. Gros bisous.
00:39:22On a Asiliane
00:39:24en ligne.
00:39:26Bonjour Asiliane. C'est la première fois je pense qu'elle nous appelle. Allô ?
00:39:28Oui, bonjour Cyril.
00:39:30Je suis très contente de vous avoir en ligne.
00:39:32Moi aussi, ça me fait plaisir Asiliane.
00:39:34Merci vraiment pour vos émissions.
00:39:36C'est top.
00:39:38Moi j'avais plusieurs choses.
00:39:40Pour rebondir un peu sur
00:39:42les logements sociaux, je trouverais
00:39:44ça intéressant de savoir
00:39:46le pouvoir de décision des associations.
00:39:48Je crois qu'il n'y a pas grand chose.
00:39:50Des associations apolitiques
00:39:52totalement désintéressées.
00:39:54Absolument pas en lien.
00:39:56C'est des associations apolitiques.
00:39:58Oui, ça existe.
00:40:00Comme la ville.
00:40:02Moi j'ai plusieurs choses.
00:40:04Pour avoir vécu à Paris,
00:40:06depuis des années, plus de 40 ans,
00:40:08il y a une chose que j'ai remarqué.
00:40:10Quand je vais bosser,
00:40:12avant je mettais 20 minutes,
00:40:14maintenant je mets 1h15.
00:40:16Je suis au ralenti,
00:40:18on parle, on n'arrête pas de nous dire
00:40:20il faut faire de la prévention
00:40:22sur la santé, il faut faire attention à tout.
00:40:24En même temps, est-ce que
00:40:26il faut freiner, accélérer,
00:40:28freiner, accélérer, on n'est pas en train
00:40:30de nous tuer tous,
00:40:32à nous mettre des 30 km heure,
00:40:34des feux rouges partout.
00:40:36Enfin, ça devient dingue.
00:40:38J'avais quand même une petite question
00:40:40à réfléchir, je voudrais demander.
00:40:42C'est quand même bizarre, mais vous ne croyez pas
00:40:44qu'à chaque fois qu'une ville est à gauche,
00:40:46elle s'écrade. C'est sale.
00:40:48Et c'est insécure.
00:40:50Exactement, il y a quand même un mystère.
00:40:52Ça me fait penser aux villes communistes,
00:40:54où on ne nettoie pas parce que
00:40:56ce n'est pas politiquement correct.
00:40:58Vous allez réveiller la bête.
00:41:00Moi, je suis désolée,
00:41:02mais c'est la vérité. Quand vous regardez
00:41:04les villes autour de Paris, Bagneux, Malacov,
00:41:06alors là, il ne faut surtout pas
00:41:08faire de choses bien parce que
00:41:10ce n'est pas politiquement correct.
00:41:12Vous savez qu'il y a Olivier d'Artigolle qui me regarde,
00:41:14qui me limite un coup de pression, qui me dit arrête,
00:41:16mets un coup de pression à moi.
00:41:18Généralement, ça ne se passe pas bien.
00:41:20C'est pas ce que tu penses passer.
00:41:22C'est pas ce que tu penses se passer sur Europe 1.
00:41:24A l'instant. Et je le dis à tous les deux,
00:41:26il dort d'Europe 1.
00:41:28Je suis choqué.
00:41:30Il y a Asiliane,
00:41:32vous étiez en train de dire...
00:41:34Les villes communistes, c'était pas bien.
00:41:36Il y a d'Artigolle qui m'a mis un coup de pression,
00:41:38qui m'a regardé, qui m'a fait arrête.
00:41:40Franchement. Il a levé les yeux.
00:41:42Il a levé les yeux.
00:41:44Merci Romain.
00:41:46Mais il habite à Bagneux ou quoi ?
00:41:48Mais il habite nulle part.
00:41:50Il pense qu'il y a une seule chose, c'est séduire.
00:41:52C'est séduire Valérie Benayim.
00:41:54Quand il voit des rats dans la rue,
00:41:56il croit qu'il fait partie du romantisme parisien.
00:41:58C'est quand même bizarre
00:42:00à croire que la propreté
00:42:02ne doit pas être à gauche.
00:42:04Beaucoup de gens votent à gauche.
00:42:06C'est comme ça.
00:42:08Je vois bien les villes de droite.
00:42:10Elles sont entretenues.
00:42:12Mais à Paris, on a la plus belle ville du monde.
00:42:14Mais franchement...
00:42:16Asiliane, j'aimerais que vous restiez avec nous.
00:42:18Vous allez nous dire ce que vous pensez
00:42:20d'Olivier D'Artigon.
00:42:22Non, non, non.
00:42:24Lui, il sent très bon.
00:42:26On ne peut pas lui enlever.
00:42:28Asiliane, on va faire une pause.
00:42:30J'aimerais que vous lui disez
00:42:32ce que vous pensez de lui dans un instant.
00:42:34J'aimerais discuter avec d'entre vous.
00:42:36Laissez-le pas.
00:42:38Elle va dire ce qu'elle pense de vous dans un instant.
00:42:40Je vais vous parler d'un autre truc.
00:42:42A Strasbourg, des cours WOC obligatoires
00:42:44pour valider son diplôme à l'université.
00:42:46On va arrêter. Asiliane, vous direz ce que vous pensez
00:42:48d'Olivier D'Artigon et vous continuez à nous appeler.
00:42:5001820 3921, tout de suite sur Europe 1.
00:42:52Europe 1, 16h, 18h.
00:42:54On marche sur la tête.
00:42:56Cyril Hanouna.
00:42:5817h11, merci d'être avec nous sur Europe 1.
00:43:00Beaucoup d'infos. On va revenir sur cette info.
00:43:02Ce baromètre annuel du monde.
00:43:04Le journal Le Monde.
00:43:06Là, on peut...
00:43:08C'est de référence.
00:43:10Je ne sais pas si c'est de référence, mais en tout cas...
00:43:12Généralement,
00:43:14il penche plutôt à gauche qu'à droite.
00:43:16Donc, s'ils nous disent que le baromètre annuel du monde
00:43:18s'intéresse au Rassemblement National.
00:43:20Et d'après ce baromètre, apparemment,
00:43:22le Rassemblement National ferait moins peur
00:43:24maintenant que la France insoumise.
00:43:26Vous nous dites si vous êtes d'accord avec ça.
00:43:28Je vais vous donner tous les chiffres de ce baromètre dans un instant.
00:43:3001820 3921, vous réagissez.
00:43:32Vous nous dites si vous pensez,
00:43:34si ce baromètre vous semble juste.
00:43:36Asiliane
00:43:38est avec nous sur Europe 1.
00:43:40On parlait d'Anne Hidalgo, qui a donc décidé
00:43:42en son âme et conscience de quitter
00:43:44la mairie de Paris.
00:43:46Alléluia.
00:43:48Il nous reste encore deux ans.
00:43:50Ça ne fait rien, c'est Noël avant l'heure quand même.
00:43:52Ah oui, ça je peux vous dire,
00:43:54c'est Noël avant l'heure.
00:43:56Jusqu'en 2026, on va en prendre plein la gueule pour pas un rond.
00:43:58On aura écrasé
00:44:003000 cyclistes, parce que là,
00:44:02ce n'est plus possible quand on roule dans Paris.
00:44:04C'est vrai que c'est une dangerosité pour les cyclistes.
00:44:06C'est incroyable.
00:44:08Parce qu'elle leur a donné le sentiment
00:44:10qu'ils pouvaient tout faire
00:44:12et que la ville était à eux.
00:44:14Donc forcément, les cyclistes, les pauvres,
00:44:16ils prennent de moins en moins de précautions.
00:44:18Et aujourd'hui, c'est devenu, je vous dis,
00:44:20200 morts par an et 3000 blessés par an.
00:44:22C'est pas étonnant.
00:44:24Ils sont à droite, ils sont à gauche,
00:44:26ils sont partout.
00:44:28Ils sont comme Olivier d'Artigolle.
00:44:30Ah non, mais lui,
00:44:32chaque fois que je l'entends, je suis contente
00:44:34de ne pas lui ressembler.
00:44:36Qu'est-ce que vous lui diriez,
00:44:38Olivier d'Artigolle, s'il était devant vous ?
00:44:40C'est très à gauche,
00:44:42mais dans le mauvais sens du terme.
00:44:44Il a toutes les mauvaises idées de gauche.
00:44:46Mais ça, c'est une espèce de...
00:44:48Comment appelle-t-on ça ?
00:44:50De posture.
00:44:52Ils aiment bien dire
00:44:54qu'ils sont à gauche,
00:44:56avoir des idées de gauche.
00:44:58Mais ça, c'est être snobinar.
00:45:00Mais en fait, quand on voit ce qu'est devenu Paris...
00:45:02Est-ce que vous trouvez
00:45:04que des personnes comme Olivier d'Artigolle
00:45:06font mal à la France ?
00:45:08Non, je ne vais pas dire
00:45:10qu'elles font mal à la France.
00:45:12On sait bien que tout le monde s'exprime.
00:45:14Il manque un peu de jugeottes.
00:45:16C'est ça, son problème.
00:45:18On me l'a toujours dit, vous savez.
00:45:20Déjà, mon institutrice,
00:45:22Madame Dior, elle a dit
00:45:24que je ne vous dirais pas bien.
00:45:26Non, mais je l'aime bien quand même.
00:45:28Quand il parle, c'est une catastrophe.
00:45:30Vous l'aimez bien quand il ne parle pas.
00:45:32Vous aimez son physique, quoi.
00:45:34Non, mais je veux dire...
00:45:36C'est intéressant d'avoir des gens
00:45:38qui ont des idées pas comme les vôtres.
00:45:40Mais en même temps,
00:45:42à chaque fois qu'il a une idée que vous parlez,
00:45:44Cyril, à chaque fois, vous lui démontrez
00:45:46qu'il a tort. Non, mais vous lui faites
00:45:48beaucoup de bien, lui.
00:45:52Dans 10 ans, il voudra peut-être quelque chose.
00:45:58Vous voyez que je vous fais du bien, d'Artigolle.
00:46:00Azylian le dit tous les jours.
00:46:04J'aime bien le taquiner.
00:46:06C'est vrai qu'il est un peu out
00:46:08dans ses idées.
00:46:10Je veux vous dire, il fait des progrès.
00:46:12Je ne sais pas si vous l'avez vu.
00:46:14Azylian, il fait des progrès.
00:46:16Il y a encore du temps.
00:46:18Vous savez que j'ai commencé avec Cyril en septembre.
00:46:20C'est dans mon premier trimestre.
00:46:22Je sens que j'ai peu et doit mieux faire.
00:46:24J'avais horreur de cette appréciation.
00:46:26En tout cas, elle vous aime bien.
00:46:28Ça veut dire que Paris est dans l'état
00:46:30de Paris actuellement.
00:46:32En 10 ans, vous ne voyez pas la différence ?
00:46:34Non, mais là, il y a un problème.
00:46:38Répondez à Azylian, Olivier d'Artigolle.
00:46:42Je pense que le premier mandat d'Anne Hidalgo
00:46:44est meilleur que le second.
00:46:46Oui, mais parce qu'on avait les fêtes surprises.
00:46:48Comment ?
00:46:50Parce qu'elle n'avait pas assez
00:46:52d'un mandat pour pourrir la ville.
00:46:54Il en a fallu deux.
00:46:56C'est un grouillard.
00:46:58On a des rats partout.
00:47:00Il y a des souris partout.
00:47:02Même les gens, quand vous voyez les parisiens...
00:47:04Avant, moi aussi, je suis parisienne.
00:47:06Mais les gens sont devenus
00:47:08tristes, comme la ville.
00:47:10En fait, on détend sur cette ville.
00:47:12Vous vous baladez, il n'y a plus
00:47:14cette espèce de joie de vivre.
00:47:16Alors bon, il y a
00:47:18pour tous les problèmes les autres, bien sûr.
00:47:20Mais vous savez que ça, c'est comme une maison.
00:47:22Vous avez une jolie maison
00:47:24que vous la rangez bien, vous êtes bien.
00:47:26Et quand vous vivez dans une ville
00:47:28où vous êtes mal, où à chaque fois
00:47:30que vous prenez la voiture, vous frôlez des canards
00:47:32que vous ne pouvez plus sortir
00:47:34dans la rue, parce que même à 4h
00:47:36de l'après-midi, vous rangez
00:47:38votre montre, le téléphone,
00:47:40vous sortez... On a peur de tout.
00:47:42Vous allez chercher votre pain,
00:47:44on vous menace d'un couteau.
00:47:46On ne peut plus rien faire. Mais c'est elle qui a provoqué aussi.
00:47:48Pourquoi on a viré
00:47:50les lumières partout ? Mais qu'est-ce que c'est que
00:47:52ces rédits-là ?
00:47:54Cotillot, vous nous parliez des
00:47:56villes de gauche.
00:47:58Pour moi, l'information la plus importante
00:48:00des derniers jours, qui montre qu'il y a
00:48:02une défaite politique,
00:48:04culturelle de la gauche,
00:48:06c'est le maire de Bordeaux, Pierre Urmic, qui a décidé
00:48:08d'armer en partie sa police municipale
00:48:10en disant qu'il avait sous-estimé
00:48:12l'insécurité.
00:48:14Ça, vous avez la preuve par A plus B,
00:48:16d'un rétro-pédalage, et c'est totalement inédit
00:48:18dans la gauche, c'est la première fois que ça arrive,
00:48:20parce que c'est le début d'une longue série.
00:48:22C'est plutôt positif. Vous ne pouvez pas dire le contraire,
00:48:24ça c'est une énorme défaite.
00:48:26Parce que ce maire, je me rappelle,
00:48:28il voulait même des sapins en plastique pour Noël.
00:48:30Ça avait été une rigolade. Il ne voulait plus de sapins
00:48:32pour Noël, il ne voulait plus d'armes pour la police,
00:48:34il ne voulait plus rien en fait. Et maintenant,
00:48:36il revient sur tout. C'est vrai Cyril,
00:48:38mais vous pouvez avoir cette grille
00:48:40de lecture. On peut aussi se dire qu'il arrive
00:48:42en responsabilité avec une idéologie,
00:48:44avec des idées préconçues, et que l'idéologie
00:48:46se fracasse sur le réel. C'est ce que j'ai dit.
00:48:48Et que l'expérience le fait évoluer
00:48:50et le fait prendre de bonnes décisions.
00:48:52C'est plutôt une trajectoire positive.
00:48:54Ah non, ce n'est pas une trajectoire positive.
00:48:56Pour moi, c'est un naufrage.
00:48:58C'est un naufrage.
00:49:00Ça veut dire que toutes
00:49:02ses idées et toute son idéologie,
00:49:04il s'est rendu compte sur
00:49:06le terrain que ça ne marchait pas,
00:49:08que ce n'était pas la bonne. Et le mec
00:49:10qui arrête de nous dire que ce qu'il avait
00:49:12pour la ville était le bon projet.
00:49:14Je suis désolé. Bien sûr, bien sûr.
00:49:16Vous avez raison.
00:49:18Il a été réélu très confortablement.
00:49:20Mais arrêtez.
00:49:22Le résultat aux élections, c'est quand même...
00:49:24Les gens qui vivent dans cette ville-là...
00:49:26Il a été élu ou pas réélu ?
00:49:28Non, c'est son second mandat.
00:49:30On va voir s'il va être réélu.
00:49:32Mais bon, aujourd'hui, je vous dis...
00:49:34Mais arrêtez. Vous voyez bien que toutes
00:49:36les villes de France, c'est catastrophique.
00:49:38Regardez à Nantes encore ce qu'il s'est passé hier.
00:49:40C'est son premier mandat.
00:49:42Il a été élu au moment
00:49:44où tu vois...
00:49:46Ça arrive !
00:49:48Là, aujourd'hui, vous les mettez tout à côté.
00:49:50Ça fait deux fois que tu me dis quelque chose
00:49:52qui est erroné.
00:49:54La première fois, c'est sur
00:49:56la manière de répartir les logements sociaux
00:49:58qui est totalement apolitique.
00:50:00Donc, il a été élu la première fois
00:50:02dans un contexte très particulier en sortie de Covid
00:50:04avec une très forte abstention.
00:50:06Et on va voir s'il va être réélu, le maire de Bordeaux.
00:50:08Parce que je peux vous dire qu'à Bordeaux, il y a énormément de gens qui se plaignent.
00:50:10Comme à Nantes, comme à Rennes,
00:50:12il y a énormément de villes. Vous avez vu ce qu'il s'est passé à Nantes ?
00:50:14Grenoble.
00:50:16Je vais vous le dire dans un instant, vous allez voir.
00:50:18Rennes, catastrophique aussi.
00:50:20Grenoble, catastrophique.
00:50:26Arrêtez de taper du poing sur la table.
00:50:28Les gens se plaignent. Tous les Français se plaignent.
00:50:30À Nantes, ils ne peuvent plus sortir dans la rue.
00:50:32On ne peut plus sortir dans la rue à Nantes.
00:50:34On ne peut plus sortir dans la rue le soir. Vous avez connaissé des Nantais ?
00:50:36Qu'est-ce qu'il raconte ? Il est fou, ce mec.
00:50:38C'est la vérité.
00:50:40Vous ne savez pas ce qu'il se passe à Nantes aujourd'hui.
00:50:42On parle de mexicanisation.
00:50:44Mais à Nantes, ce n'est pas le Mexique.
00:50:46Vous ne vous rendez pas compte de ce qu'il se passe à Nantes.
00:50:48À Nantes aujourd'hui, qui était une ville tranquille,
00:50:50aujourd'hui, les jeunes ne peuvent plus sortir le soir à Nantes.
00:50:52On parlait de l'info du Figaro,
00:50:54de Cyril, sur ce qui s'est passé à Nantes.
00:50:56Un SDF en situation irrégulière viole un handicapé
00:50:58dans un centre commercial.
00:51:00Le suspect âgé de 36 ans était ivre et sous influence.
00:51:02Dite de la drogue du pauvre,
00:51:04au moment des faits, il a été placé en état de supervisoire.
00:51:06Ce qu'il s'est passé, ils sont dans un supermarché.
00:51:08C'est ça Gauthier Lebray.
00:51:10À Nantes, c'est une maman qui est avec son fils handicapé de 25 ans,
00:51:12qui est handicapé mental.
00:51:14On l'embrasse fort et on embrasse la maman.
00:51:16Il va aux toilettes.
00:51:18Sa maman l'attend dehors, puisqu'elle ne peut pas rentrer,
00:51:20puisque ce sont des toilettes pour hommes.
00:51:22Elle attend une minute, cinq minutes,
00:51:24dix minutes, quinze minutes.
00:51:26Forcément, la maman s'inquiète.
00:51:28Elle rentre dans les toilettes,
00:51:30elle trouve un homme,
00:51:32un SDF âgé de 36 ans,
00:51:34ivre, sous influence de drogue,
00:51:36qui est en train de violer son fils.
00:51:38En situation irrégulière.
00:51:40Vous vous rendez compte ou pas ?
00:51:42Le mec se sauve.
00:51:44Finalement, il a été appréhendé
00:51:46par la police.
00:51:48Mais vous vous rendez compte de ça ?
00:51:50Il était sous pré-gabaline et visiblement,
00:51:52ça prolifère cette drogue du pauvre à Nantes.
00:51:54Je vais vous dire, Gauthier Lebray,
00:51:56on me parle de Nantes,
00:51:58mais est-ce que vous vous rendez compte à Nantes,
00:52:00on ne peut plus aller dans un supermarché ?
00:52:02Une dame va dans un supermarché avec son fils,
00:52:04ce n'est pas très bien.
00:52:06Non mais excusez-moi, Zidiane, moi je...
00:52:08Non mais Cyril, il y a un gros problème.
00:52:10Il n'y a que les grandes écoles,
00:52:12comme Sciences Po et tout ça,
00:52:14ils sont très à gauche avec des idées saugrenues.
00:52:16Comme vous voyez aussi que maintenant,
00:52:18dans les hauts fonctionnaires,
00:52:20tout ce qui se passe,
00:52:22la justice, c'est une catastrophe.
00:52:24La justice, elle est très à gauche.
00:52:26Ce n'est pas possible que vous faites des faux billets,
00:52:28vous prenez perpète,
00:52:30vous violez 80 femmes ou 50,
00:52:32vous allez prendre 20 ans.
00:52:34Elle parle de procès-maison.
00:52:36On marche sur la tête.
00:52:38Le jour où on comprendra que violer une femme,
00:52:40c'est quand même plus important qu'aller faire des faux billets
00:52:42dans sa cave, bien que ce ne soit pas bien.
00:52:44Les deux ne sont pas bien, mais je suis d'accord avec vous.
00:52:46Je suis complètement d'accord avec vous, Zidiane.
00:52:48Il faut quand même faire une différence.
00:52:50Moi, là,
00:52:52cet homme,
00:52:54pour moi,
00:52:56c'est horrible ce qui s'est passé.
00:52:58Est-ce qu'on vous rend compte du traumatisme du petit
00:53:00et de la maman qui vont dans un supermarché ?
00:53:02Ecoutez-moi bien.
00:53:04Il est en situation irrégulière.
00:53:06Un Algérien âgé de 36 ans,
00:53:08sans domicile fixe et sans papier.
00:53:10Il y a un problème avec les Algériens pour les ramener
00:53:12chez eux. Je ne sais pas. Je pense que le gouvernement
00:53:14a un problème conignant
00:53:16parce qu'il ne les renvoie pas.
00:53:18Il doit y avoir,
00:53:20à mon avis...
00:53:22Il y a une tension entre l'Allemagne et la France, bien sûr.
00:53:24Tension ou pas.
00:53:26Si c'est un fumier, il faut le ramener
00:53:28dans l'avion.
00:53:30Tu lui mets un parachute,
00:53:32dégage.
00:53:36Avec ce qu'il a fait là, je suis désolé.
00:53:38Ce qu'il a fait là...
00:53:40Violer un enfant...
00:53:42On revient à la volonté politique.
00:53:44Je suis d'accord avec Cyril.
00:53:46Un enfant, on ne touche pas à un enfant.
00:53:48Même un jeune homme de 25 ans qui est handicapé.
00:53:50Il est en situation de handicap.
00:53:52C'est quoi ça ?
00:53:54Quand il y avait le problème de viol,
00:53:56j'ai parlé à un moment de cette histoire
00:53:58de la jeune fille qui a été violée.
00:54:00J'avais téléphoné, mais on ne m'a pas appris
00:54:02parce que c'était un peu mauvais.
00:54:04Pourquoi quelqu'un qui viole
00:54:06un enfant, une femme
00:54:08et un enfant, pour moi,
00:54:10comment se fait-il ?
00:54:12On ne le soigne pas.
00:54:14C'est à son bon vouloir.
00:54:16Il faut l'aider, cet homme.
00:54:18Pour les femmes,
00:54:20pour plus qu'elles aient d'enfants,
00:54:22on sait agir. On fait pareil pour un mec.
00:54:24Il n'aura plus ses problèmes et ses pulsions.
00:54:26Ça, ça a été essayé
00:54:28et ça ne marche pas si bien que ça.
00:54:30Sachez-le, ça ne marche pas si bien que ça.
00:54:32Ça a été essayé, ça ne marche pas si bien que ça.
00:54:34La castration chimique, ce dont vous voulez parler,
00:54:36ça ne marche pas si bien que ça.
00:54:38Ça a été testé et il y a même eu
00:54:40des cas où des gens,
00:54:42des mecs ont subi
00:54:44la castration chimique et ils ont recommencé après.
00:54:46Oui, parce qu'ils n'ont pas besoin
00:54:48de leur sexe.
00:54:50Ils peuvent utiliser autre chose.
00:54:52Ils n'ont pas la télé, pas Canal+,
00:54:54pas toutes ces choses.
00:54:56Il faut que la prison
00:54:58redevienne une prison.
00:55:00Moi, je dis toujours une chose.
00:55:02Dans dix ans,
00:55:04Cyril, pour être en sécurité,
00:55:06il faudra aller en prison.
00:55:08C'est drôle de dire ça.
00:55:10Dans dix ans, pour être en sécurité, il faudra aller en prison.
00:55:12C'est la vérité.
00:55:14Merci d'avoir été avec nous, Asiliane. Je vous fais de gros bisous.
00:55:16Et gros bisous à vous et continuez.
00:55:18Franchement, j'adore.
00:55:20Merci Asiliane, vous êtes un amour.
00:55:22Moi, ce qui s'est passé à Nantes,
00:55:24je suis désolé, ça me rend fou.
00:55:26Et quand j'ai des gens comme Thomas Guénolé,
00:55:28un politologue,
00:55:30qui est avec moi à la télé, qui va me dire
00:55:32que ces gens-là sont malades,
00:55:34qu'ils sont addicts à des substances
00:55:36et qu'ils sont malades et qu'il faut s'en occuper,
00:55:38pour moi, je suis désolé.
00:55:40Pour moi, ça, c'est inadmissible
00:55:42d'entendre ça quand on entend des drames pareils.
00:55:44On va en parler dans un instant sur Europe.
00:55:46On est en direct.
00:55:48On a le baromètre annuel du Monde, du journal Le Monde,
00:55:50qui s'intéresse au Rassemblement National,
00:55:52qui fait probablement maintenant moins peur que la LFI.
00:55:54A tout de suite sur Europe 1.
00:56:04On a le baromètre annuel du Monde
00:56:06qui s'intéresse au Rassemblement National.
00:56:08On va en parler dans un instant.
00:56:10Pour le moment, Gauthier Dubré,
00:56:12vous vouliez dire quelque chose ou tout va bien ?
00:56:14Je vous suis, Cyril.
00:56:16Ce que je vous propose,
00:56:18c'est qu'on va prendre Guy au téléphone
00:56:20qui voulait reparler de Paris et dire ce qu'il pensait
00:56:22d'Olivier d'Artigolle.
00:56:24Le Rémi Féraud,
00:56:26il peut aller faire ses courses tranquillement.
00:56:28Le futur successeur d'Anne Hidalgout potentiel.
00:56:30Il peut descendre et remonter les Champs-Élysées.
00:56:32Il n'y aura pas d'émotes.
00:56:34Il peut aller faire son marché tranquille.
00:56:36Il peut aller chercher des aubergines pour faire de la moussaka.
00:56:38Il y aura plus de monde pour Olivier d'Artigolle
00:56:40que pour Rémi Féraud.
00:56:42Olivier d'Artigolle, c'est une star.
00:56:44Merci.
00:56:46Vous nous appelez.
00:56:48J'aimerais qu'on parle du baromètre annuel du monde
00:56:50dans un instant. Mais Guy, je voudrais que vous réagissiez
00:56:52parce que vous nous avez appelé sur Paris.
00:56:54Oui, bonsoir
00:56:56Cyril. Je suis Guy.
00:56:58J'ai 75 ans.
00:57:00Ça fait des dizaines d'années que je suis
00:57:02sur Paris.
00:57:04J'ai vu le délitement
00:57:06de cette ville qui correspond tout à fait
00:57:08au délitement depuis 55 ans de nos politiques
00:57:10dans tous les domaines.
00:57:12Il ne faut pas se le rire.
00:57:14C'est l'image du délitement
00:57:16qui se fait dans cette France
00:57:18qui quand même résiste.
00:57:20Qui reste solide malgré tout.
00:57:22Il faut avoir cette espérance.
00:57:24Il ne faut pas être défaitiste.
00:57:26Mais ça fait beaucoup de mal.
00:57:28La saleté et les travaux.
00:57:30J'attends d'avoir le bilan
00:57:32de madame Anne Hidalgo en ce qui concerne
00:57:34l'endettement.
00:57:36On est à plus de 8 milliards d'euros.
00:57:38On est à plus de 8 milliards d'euros.
00:57:40Quand elle n'est pas partie, on sera à 11-12.
00:57:46Vous calculez avec le nombre
00:57:48d'arrondissements.
00:57:50Ça fait plus de 500 millions
00:57:52d'endettements par arrondissement.
00:57:54C'est grave.
00:57:56Quand on ramène ça à un arrondissement.
00:57:58Oui, c'est très grave.
00:58:00Quand vous entendez Olivier Dartigold
00:58:02qui défend le bilan d'Anne Hidalgo, vous avez envie de lui dire quoi ?
00:58:04J'ai envie de lui dire
00:58:06qu'il quitte les filles.
00:58:08Il n'est pas élifié.
00:58:10L'autre est là pour le défendre.
00:58:12Je comprends ce que veut dire Guy.
00:58:14Monsieur Olivier Dartigold,
00:58:16soyez un
00:58:18homme de gauche
00:58:20qui a une représentation réelle
00:58:22dans un parti de gauche.
00:58:24Or, il n'y a plus de parti de gauche qui est une représentation réelle.
00:58:26Les communistes,
00:58:28les socialistes,
00:58:30les écologistes se sont ralliés
00:58:32sous la même manière que celle de l'élifié.
00:58:34On voit ce que ça donne.
00:58:36Soyez vous-même.
00:58:38Vous avez vendu
00:58:40votre parti intrinsèque.
00:58:42Vous l'avez vendu à l'élifié.
00:58:44Vous l'avez vendu à Mélenchon.
00:58:46C'est ça. J'ai compris tout de suite ce que vous vouliez dire.
00:58:48Parce que Valéry Bénahim a bondi
00:58:50pour défendre son mec,
00:58:52mais Guy, j'ai très bien compris ce que vous vouliez dire dès le début.
00:58:54Moi, je suis content.
00:58:56Peu importe que la personne soit de gauche,
00:58:58de droite, du sud, du nord, de l'est, de l'ouest,
00:59:00blanc, orange, jaune, rouge, verte, jaune, azur, quoi, carré.
00:59:02Ce n'est pas ça qui compte.
00:59:04Ce n'est pas ça qui compte.
00:59:06C'est que la personne soit solide dans ses convictions.
00:59:08Olivier Dardignolle m'a dit
00:59:10je suis communiste. Très bien.
00:59:12Mais ne te vends pas
00:59:14à ce groupe de l'élifié
00:59:16ou à l'NFP. D'accord ?
00:59:18Sois toi-même. Sois solide dans tes bonnes.
00:59:20Sois toi-même, Olivier.
00:59:22Ose être toi-même.
00:59:24C'est vrai, Olivier. Sois toi-même.
00:59:26Quel signe astrologique, toi ?
00:59:28Vierge.
00:59:30Sois une vierge folle.
00:59:32C'est vrai.
00:59:34Moi aussi, je suis vierge.
00:59:36D'abord, je n'ai plus d'engagement
00:59:38politique. Je suis un modeste chroniqueur
00:59:40avec une sensibilité de gauche.
00:59:42Je n'ai plus d'engagement, de responsabilité, de mandat
00:59:44politique. Je suis d'accord
00:59:46totalement avec vous sur le fait
00:59:48que les autres composantes de gauche
00:59:50hors France Insoumise
00:59:52doivent se sortir des griffes
00:59:54mélenchonistes. Je suis d'accord.
00:59:56Je pensais que ça allait se faire
00:59:58avant les législatives et après les européennes.
01:00:00Je ne me suis trompé.
01:00:02Je pense, parce que je vois les choses ainsi,
01:00:04que la gauche peut
01:00:06dans les prochains
01:00:08mois, disons,
01:00:10se recomposer.
01:00:12Avec qui ?
01:00:14Avec qui ?
01:00:16Avec qui ?
01:00:18Il peut y avoir une irruption.
01:00:20Je n'ai pas l'impression que la gauche soit en train de se recomposer.
01:00:22Avec qui ? Avec François Hollande ?
01:00:24Avec qui ?
01:00:26Avec ma mère.
01:00:28Il est mort de Raphaël Guzman.
01:00:32Le lendemain, il était chez Jean-Luc Mélenchon.
01:00:34Il est rôti, Raphaël Guzman.
01:00:36Il est rôti comme un poulet.
01:00:38Il s'est déculotté.
01:00:40Raphaël Guzman, il s'est déculotté.
01:00:42En l'instant, on n'a pas l'incarnation.
01:00:44Il faudra peut-être se dépêcher.
01:00:46Ça va arriver.
01:00:48Dans tous les autres partis, il y en a plusieurs sur la ligne de départ.
01:00:50Et là, Olivier nous dit qu'on n'a pas l'incarnation.
01:00:52Ce qui vous pendait,
01:00:54c'est François Hollande.
01:00:56François Hollande,
01:00:58François Hollande, s'il se présente,
01:01:00je vous le dis, je peux vous donner son score dès maintenant.
01:01:02Un petit pari.
01:01:044.
01:01:06Vous êtes dur.
01:01:08Faites un effort, Cyril.
01:01:10Guy, est-ce que vous êtes d'accord avec moi ?
01:01:124%.
01:01:14Peut-être moins.
01:01:16Peut-être un 2,5.
01:01:18Je suis content qu'elle quitte.
01:01:20Quand on voit le merdier
01:01:22qu'elle nous appelle depuis des années.
01:01:24L'incarnation LR, c'est qui ?
01:01:26L'incarnation Macroniste, c'est qui ?
01:01:28Il y a plusieurs incarnations.
01:01:30Je vais répondre à ça dans un instant.
01:01:32Quand j'entends des bêtises pareilles,
01:01:34aujourd'hui, c'est une émission, il n'en met pas une dedans.
01:01:36C'est Mbappé au réel.
01:01:38N'oubliez pas qu'il était français.
01:01:40Vous allez me répondre.
01:01:42Guy, merci d'avoir été avec nous sur Europe 1.
01:01:44Merci pour votre émission.
01:01:46Ça me fait plaisir, Guy. Merci de nous avoir appelés.
01:01:48Restez avec nous, Guy, parce qu'on va parler
01:01:50de ce baromètre annuel du monde qui s'intéresse au Rassemblement National.
01:01:52Vous allez voir, les chiffres sont incroyables.
01:01:54On vous en parle dans un instant.
01:01:56D'après les chiffres qu'on a eu aujourd'hui
01:01:58et des chiffres qu'on avait eu à l'époque sur la LFI,
01:02:00sur le comparatif entre les deux,
01:02:02apparemment, aujourd'hui, la France insoumise
01:02:04fait plus peur que le Rassemblement National.
01:02:06On en parle dans un instant sur Europe 1.
01:02:08Je vais répondre à Dartigold.
01:02:10Aujourd'hui, c'est un gars...
01:02:12J'ai fait une belle émission.
01:02:14Il a les pieds carrés.
01:02:16A tout de suite.

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