DB - 22-10-2024
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01:00Le conte Fabregas fait croire au colonel Guérou qu'il a enlevé Maria Grégoire.
01:30Sous la menace de faire disparaître celle-ci, ils somment Milos Grégoire de rendre son trône au roi Fernand IV.
01:37Le colonel Guérou riposte en faisant arrêter Philippe.
01:41Fabregas, affolé, appelle Rico, le chef des partisans royalistes, pour le supplier de ne rien entreprendre.
01:50Mais Rico ne répond pas.
09:53Mademoiselle, mademoiselle...
10:53Voyons, un peu plus de tenue.
13:15Maria !
13:17Il faut se lever !
13:29Maria, je peux entrer ?
13:31Maria !
13:33Maria !
13:45Maria !
13:49Maria !
13:50Il faut vous réveiller, on va rater le train !
13:54Alors ?
14:00Ça a encore recommencé !
14:02On l'a encore raté !
14:06A quelle heure passe le prochain ?
14:09Demain matin, je crois.
14:11Une journée à la campagne.
14:14Une journée de vacances.
14:17Ça vous aime ?
14:19Maria, Maria, Maria...
14:23Je ne m'ennuie jamais avec vous, Maria.
15:54Allô ?
15:56Est-ce que Mlle Grégoire est retrouvée ?
15:58Oui, je l'ai eue !
16:00Elle est dans une auberge près de la rivière,
16:03elle est en train de se baigner.
16:04Parfait.
16:06Le soulèvement de l'eau partisane doit être déclenché à midi juste.
16:09Arrangez-vous,
16:11pour que la personne en question n'arrive pas au château,
16:14avant que tout soit terminé.
16:16Oui.
16:24L'été de la fusée.
16:26La nouvelle se propageait de bouche en bouche dans les maisons grandes ouvertes.
16:30La laine embradée du désert dissolvait aux fenêtres les arabesques du gel
16:34et passait l'œuvre d'art.
16:36Skis et luges devenaient souvent inutiles.
16:39La neige tombant du ciel froid sur la ville
16:42se transformait en pluie chaude avant d'atteindre le sol.
16:45Mlle Maria Grégoire, je suppose ?
16:48Oui, pourquoi ?
16:50Mes hommages, Mlle.
16:51Je suis l'inspecteur Facili
16:54de la police secrète béruvienne.
16:57Le colonel Guérou m'a chargé de vous ramener à Badenberg.
17:03Tout de suite ?
17:05Si possible. Les ordres du colonel sont formelles.
17:10Vous voyez, mon cher Édith,
17:14on ne peut jamais être tranquille.
17:18S'il vous plaît, Mlle.
17:21D'accord.
17:52Oui ?
17:54Oui ?
17:56Ne quittez pas.
17:58On vous demande du château de Badenberg, mon général.
18:04Allô, oui ?
18:07Oui, c'est moi qui me parle.
18:09Contrafabricade.
18:11Ah, c'est vous.
18:13Oui, c'est moi.
18:15Oui, c'est moi.
18:17Oui, c'est moi.
18:18Oui, c'est moi qui me parle.
18:20Contrafabricade.
18:21Oh, bonjour, Comte.
18:23Quoi de nouveau ?
18:24Il y aura de nouveau dans peu de temps un Président sous la forme d'un soulèvement général de tout le pays
18:28contre votre gouvernement.
18:31Quoi ? C'est ce que tu vous dites ?
18:33Oh, j'ajoute que Mlle. Maria, votre fille,
18:37est entre nos mains.
18:39Nous la détenons comme otage
18:41et au premier coup de feu tiré par un de vos hommes
18:45sur l'un de nos partisans,
18:46Fou ! Fou !
18:51Donc, dans votre intérêt, je vous conseille de ne pas vous opposer
18:56à la volonté du peuple
18:57et d'accepter d'une âme sereine
19:01les décisions.
19:09Colonel,
19:12votre président est au bout du fil.
19:15Il voudrait vous parler.
19:19Le colonel Guerreau est étrangement nerveux.
19:22Vous ne le savez pas ?
19:24Hélas, oui, Général.
19:27Maria est prisonnière des partisans.
19:38Mais le prince Philippe lui aussi a disparu.
19:45Pourquoi vous arrêtez-vous ?
19:47Ordre du colonel Guerreau.
19:49Mais nous devrions déchattre à Badenberg.
19:51Il est presque midi.
19:53Il ne veut pas que vous soyez à Badenberg
19:55avant qu'on connaisse la tournure des événements en Bérugie.
19:58La tournure des événements ?
20:00Oui, mesdames et messieurs.
20:02La voici.
20:04La tournure des événements.
20:06La tournure des événements.
20:08La tournure des événements.
20:10La tournure des événements.
20:12La tournure des événements.
20:14La tournure des événements.
20:44Hommes et femmes de Béruvie, restez calmes.
20:49L'armée libératrice des partisans, partisans de la paix, de la liberté, de la réconciliation,
20:57l'armée des partisans commandée par le général Rico vient de se lever en même temps dans tout le pays.
21:03Sans avoir livré à un seul combat, nous avons occupé tous les postes clés.
21:07Le pays est parfaitement tranquille, nous sommes maîtres de la situation.
21:11Partout, les policiers et les miliciens suppos de la dictature sont tenus en respect.
21:15Qu'est-ce qu'ils attendent ?
21:16Dans toutes les rues de la capitale béruvienne, les partisans défilent l'arme au coin.
21:20Ils se dirigent vers l'ancien palais royal devenu palais national où loge le président Grégor.
21:25Les soldats de celui-ci eux aussi, armés jusqu'aux dents, entourent le palais et s'apprêtent à le défendre.
21:32Nous sommes en direct avec le palais de Béruvie.
21:35Notre caméraman a pu se mêler au groupe de partisans qui accompagne le général Rico.
21:39Jusqu'à maintenant, il n'y a eu aucun incident.
21:41Mais on peut craindre à tout moment des heurts graves entre les partisans et les troupes qui gardent le palais.
21:46Le général Rico et une vingtaine de partisans se présentent à la porte du palais.
21:51Les soldats s'écartent pour les laisser passer.
21:53Mais qu'est-ce qu'ils attendent pour leur tirer dessus ?
21:57Notre caméraman a pu lui aussi franchir le poste de garde.
22:00Et dans les couloirs du palais, nous suivons maintenant le général Rico
22:04qui se dirige vers le cabinet de travail du président Grégor.
22:07Notre caméra n'a pas été autorisée à pénétrer dans le cabinet du président Milos Grégor.
22:13Aussitôt que nous connaîtrons le résultat de l'entrevue du président,
22:17chef du parti nationaliste et du général Rico, chef du parti royaliste et promoteur du coup d'État,
22:22nous vous le ferons savoir.
22:24En attendant les prochaines dépêches, voici la suite de notre programme de variété.
22:37Je regretterai si je t'aime.
22:40Les jolies manières de te révolver ne me touchent pas.
22:45L'amour au feu, je n'y crois pas.
22:47Mais si je prends un jour 10 balles dans l'amour.
23:05Arrêtez cette musique !
23:08Ah, puis non, laissez-la.
23:11Et puis, dès à présent, vous tenez une explication intéressante.
23:16Si Milos Grégor n'a pas réagi avec sa brutalité, disons,
23:22son énergie habituelle contre le soulèvement des partisans,
23:27c'est qu'il croyait que ces partisans vous avaient fait prisonnière et vous tenaient en otage ?
23:32Il faut aller à Badenberg les prévenir et téléphoner à papa.
23:36Qu'est-ce qu'il vous prend ? Vous êtes malade ?
23:38Oui, excusez-moi, je vous ai un petit peu menti.
23:41Je suis en effet inspecteur de la police beruvienne, secrète,
23:46mais de la police fidèle au roi et au général Rico.
23:51Nous recevons à l'instant...
23:52Chut, écoutez !
23:53...une information de Beruvi.
23:55Le président Milos Grégor et le général Rico sont toujours en conférence
23:59dans l'ancien cabinet du roi de l'ancien palais royal devenu palais national.
24:04Le coup d'état du général Rico a-t-il réussi ou échoué ?
24:08Le président Milos Grégor va-t-il démissionner
24:11et le roi Fernand IV remonter sur le trône de Beruvi ?
24:14Le mystère demeure entier.
24:16Nous attendons des informations complémentaires
24:19que nous vous communiquerons au fur et à mesure.
24:34Que voulez-vous ?
24:36Votre démission.
24:39Je n'ai pas l'intention d'abdiquer.
24:41Vous ne m'avez pas très bien compris.
24:43Vous n'ignorez sans doute pas que nous gardons votre fille en otage.
24:47Vous n'ignorez pas non plus que le prince Philippe a mystérieusement disparu.
24:53N'avez-vous pas pensé qu'il pouvait être entre nos mains ?
24:59Notre prisonnière.
25:02Notre prisonnière est votre fille.
25:06Votre prisonnier, si prisonnier il y a, n'est pas mon fils.
25:31Sous-titrage Société Radio-Canada
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