Retour du en même temps / Macron au Canada / Frappes sur le Liban : Débat Alex Darmon x Erik Tegner

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Avec Alex Darmon, journaliste politique, chaine Youtube Les Indécis et Erik Tegner, Journaliste, Président de "Frontières"

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##LA_VERITE_EN_FACE-2024-09-27##

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Transcription
00:009h-10h, Sud Radio, La Vérité en face, Patrick Roger.
00:05La Vérité en face, le en même temps, on en parlait tout à l'heure.
00:09Il était organisé auparavant, maintenant il n'est plus organisé, c'est ce que vous disiez Alex Darmand.
00:15C'est-à-dire que c'est les circonstances qui amènent à faire ça, donc vous dites, vous êtes pessimiste, vous dites que ça ne va pas tenir.
00:22Non mais déjà rien qu'à l'intérieur de la Macronie ou même de l'atalisme, maintenant je vais appeler ça...
00:27— À l'atalisme, oui. — Non mais vous avez des divergences.
00:30Cette semaine, on a vu le nouveau ministre de l'Économie, Antoine Armand, qui dit qu'il ne recevra pas l'ERN.
00:36Je peux vous dire que ça a fait des remous dans la majorité, l'ancienne majorité présidentielle. C'est voulu.
00:41Donc à l'intérieur même du gouvernement, il y a une stratégie du chaos.
00:45— C'était Gabriel Attal ? C'est ce qui se dit ? — C'est ce qui se dit, c'est ce qu'on peut comprendre.
00:48En tout cas, il y a une stratégie du chaos au sein même du gouvernement.
00:51Quand on nous parlait du en même temps avant, avec des ministres qui venaient de droite, de gauche, c'était assumé, c'était travaillé.
00:56C'était coordonné. Aujourd'hui, vous n'avez plus cette coordination dans ce gouvernement. Donc après, chacun fait comme il en veut.
01:02— Le ERN, donc évidemment, face à cela, a réagi mais un peu mollement, Éric Tegner, non ?
01:07— Oui. Hier, il y a eu justement l'audition du ministre de l'Économie, Antoine Armand, hier.
01:13Et étonnamment, il y a eu des consignes qui ont été données justement par les députés du Rassemblement national.
01:17Je pense à Jean-Philippe Tanguy, qui préside justement ce groupe à la Commission des finances,
01:20disant qu'il faut épargner quand même Antoine Armand, parce qu'il faut savoir qu'Antoine Armand,
01:25c'est quelqu'un qui, originellement, n'était pas dans cette logique de diabolisation du ERN.
01:29— Complètement. — Il pensait qu'il était plutôt du spectre républicain.
01:31Il était même considéré par certains ERN comme un député à qui on peut parler,
01:35parce qu'il faut savoir qu'au sein de la majorité, il y a aussi un groupe d'une trentaine, d'une quarantaine de députés plutôt de droite
01:41qui, eux, justement, veulent être le pendant dans ce que faisait Sacha Houli à l'époque, mais de façon plus discrète.
01:46Donc c'était surprenant. — Donc c'était une posture en quelque sorte, alors aussi, d'Antoine Armand.
01:49Alors il était sur France Inter. — C'est de la politique.
01:51— C'est de la politique. — Oui, il voulait leur plaire.
01:53— Non, mais il voulait des repères, l'appui, effectivement, peut-être d'auditeurs.
01:56— Et la peur de dire une connerie, je pense. La peur, je pense, de dire une connerie, c'est qu'il montre ce que tu disais très bien.
02:02C'est qu'en fait, ce qui est intéressant, c'est qu'Attal, il y a 6 mois, s'était vu comme le gars de centre-droit.
02:08Et là, maintenant, ce gouvernement, en fait, il va être encore plus à gauche qu'avant, parce qu'il est passé au centre-gauche
02:13et qu'en fait, il renforce ce pôle qui, à l'origine, était isolé avec un Sacha Houlié qui a fini quasiment tout seul.
02:18Et donc, il y a des gens comme Antoine Arnault qui, d'un point de vue stratégique, alors qu'ils sont plutôt à droite,
02:23sont contraints, effectivement, d'aller dans la légitime d'Attal, parce que ça se passe au centre-droit.
02:28— Il vient de la gauche, quand même. Il vient de dire que le gouvernement est de centre-gauche, aujourd'hui.
02:32— Mais cette gauche qui, avant, allait à droite, maintenant, il repasse à gauche. C'est ça que je suis en train d'expliquer.
02:36— Alex Darmond, Éric Tegner, le perdu en même temps, Emmanuel Macron, qu'est-ce qu'il va faire, maintenant ?
02:41Est-ce que, comme le dit Persif certains, il va aller inaugurer les chrysanthèmes ?
02:46— Il va subir ce qui va se passer aujourd'hui à l'Assemblée nationale. Il va subir ce qui se passe politiquement dans son pays en France, entre guillemets.
02:54Et puis il va faire de la politique internationale. On va en parler dans un instant. On va faire ça.
02:58— Le Figaro, ce matin, a rapporté une phrase très drôle d'un conseiller lycéen qui disait « C'est devenu notre René Cotillanou ».
03:04— Oui, oui, c'est ça. — Celui qui, justement, inaugure les chrysanthèmes.
03:07— Oui, oui, absolument. Mais je crois que ça vient d'un conseiller plutôt de chez François Hollande. Non ?
03:11— Oui, François Hollande. Pardonnez-moi. Vous avez raison, Patrick. — Non, non, non, mais c'est vrai.
03:14— Dans ce papier du Figaro – je vous invite à le lire –, on apprend aussi que tout le monde... Enfin beaucoup de conseillers sont en train de faire leur carton à l'Élysée.
03:23Ils disent de toute manière « Maintenant, tout va se passer à Matignon. Circuler, il n'y a rien à voir ».
03:29— Alors qu'avant, ils avaient les super pouvoirs, parce que c'était des fameux conseillers partagés. On se retrouvait avec les mêmes à Matignon et à l'Élysée.
03:34Donc oui, beaucoup partent. Ceux qui se retrouvent renforcés potentiellement, ils disent « C'est la cellule diplomatique », parce que c'est le fameux domaine justement réservé ou partagé du président.
03:44Et Alexis Kohler, qui semble toujours quand même incontournable, renforcé dans cette situation, lui-même qui connaît d'ailleurs très bien le directeur de cabinet de Michel Barnier,
03:53parce que pour le coup, ça, c'est un Star-Watch. Il faisait partie de l'équipe. — Ça va, oui. C'est vrai.
03:56— Non, mais oui. De toute façon, on va voir ce qui va se passer pendant 3 ans, parce que le problème, c'est que le pouvoir n'est plus à l'Élysée.
04:01— Est-ce que ça va durer 3 ans ? — Non, mais on sera obligés. Ça sera obligé de durer 3 ans d'une façon ou d'une autre.
04:06À moins que le président de la République démissionne. Moi, personnellement, je n'y crois pas. Même s'il y a une dissolution dans les mois qui viennent, ce qui semble se dessiner,
04:12il n'y aura pas de majorité. Ou alors, vraiment, il faudra que la situation du pays ait changé. Comme vous voyez la trahison que certains ont ressentie par rapport au NFP et au Front républicain,
04:22je pense pas qu'on ait des taux aussi importants de vote dans les mois qui viennent.
04:25— Alors justement, Emmanuel Macron, à l'international, ça reste l'une de ses zones de prédilection. Cette semaine, il était à l'ONU, à la tribune, avec d'autres grands chefs d'État, bien sûr,
04:39face aux guerres qui ont explosé, quand même, depuis 3 ans. Il y a l'Ukraine. C'est reparti aussi au Proche-Orient. Gaza, bien sûr. Il a eu des mots très forts.
04:50On va les écouter. Et puis le Liban, aujourd'hui, qui est inflammable, bien sûr. Tiens, Emmanuel Macron, cette semaine.
04:57— Il ne doit pas, il ne peut pas y avoir de guerre au Liban. C'est pourquoi nous appelons avec force Israël à cesser l'escalade au Liban et le Hezbollah à cesser les tirs vers Israël.
05:15Nous appelons avec force tous ceux qui leur en fournissent les moyens à cesser de le faire.
05:20— Voilà. Et il a appelé également aussi à la fin de la guerre dans les territoires... à Gaza. Alex Armand.
05:27— Franchement, quelle mascarade. Excusez-moi, mais... — Ah bon ? Pourquoi ?
05:30— Oui, mais parce que... Ça veut dire quoi, ce discours à l'ONU, en disant qu'il faut appeler Israël à la fin de la guerre ?
05:36La guerre, c'est le Hezbollah qui la déclenche le 8 octobre, au lendemain des drames qui se passent.
05:41— Non, mais le Hezbollah, la guerre au Liban, en l'occurrence, c'est entre Israël et le Hezbollah.
05:45Le Hezbollah, le 8 octobre au matin, tire quotidiennement, sans requête, sur Israël,
05:50et force 100 000 personnes à se déplacer du nord d'Israël pour aller dans le sud, pour aller dans le centre.
05:56C'est aussi ça, la guerre. Le Hezbollah, depuis le 8 octobre, déclare qu'il veut être en guerre contre Israël.
06:01Donc dire... On appelle Israël à mettre fin à la guerre, mais Israël n'a pas déclenché la guerre avec le Liban et ni avec le Hezbollah.
06:07— Oui, mais aujourd'hui, évidemment, il y a une riposte qui est terrible avec des milliers de morts, quoi, Alexandre.
06:12— Mais malheureusement, la guerre, c'est terrible. Je vous le dis comme je le ressens. Malheureusement, la guerre, c'est terrible.
06:18Que ce soit à Gaza, en Israël, au Liban, en Ukraine, la guerre, c'est terrible.
06:22Mais on ne peut pas tenir sur un pied d'égalité un pays démocratique comme Israël et un mouvement terroriste comme le Hezbollah.
06:29Il faut dire les choses. La France est un grand pays, et aujourd'hui, la France ne tient pas son rôle à ce niveau-là.
06:35— Éric Tegner ? — C'est vrai que moi, quand je l'écoute, là, je me demande s'il veut succéder au pape François ou au Dalai Lama.
06:40C'est-à-dire que c'est facile de faire des grandes incantations disant « Mettons fin à la guerre », etc.
06:45Moi, ce que je dote, c'est un deux poids, deux mesures. D'un côté, on le voit très bien, par exemple, parce qu'il y a deux conflits aujourd'hui.
06:50C'est Israël-Gaza qui sont importants et l'Ukraine et la Russie. On voit que Vladimir Poutine a changé sa doctrine nucléaire quand même cette semaine,
06:57ce qui devrait quand même nous inquiéter, les signaux qui sont envoyés, avec un Emmanuel Macron qui soutient quand même d'une certaine façon
07:03avec ses alliés occidentaux la possibilité pour l'Ukraine de tirer directement justement dans le territoire russe.
07:09Donc cette sorte d'escalade, même si évidemment l'Ukraine se défend, ça, ça n'a pas l'air de le déranger.
07:14En revanche, sur la question justement du Liban, d'Israël, là-dessus, il n'a pas du tout le même discours.
07:19Mais pourquoi ? Pour aussi une logique électorale, d'un point de vue interne, etc., parce qu'il a des pressions extrêmement importantes en France
07:27sur la politique par rapport justement à Gaza. Mais de toute façon, dire aussi que ça va s'arrêter face au Liban,
07:31c'est une guerre qui dure depuis des années, ça fait depuis 2006 aussi qu'on est embombé dessus, depuis 1982.
07:37Donc ça ne va pas s'arrêter aujourd'hui. Et le Hezbollah lui-même a un intérêt de toute façon à ce qu'il y ait un conflit.
07:43Et l'objet, ils disent tout à fait, il faut d'abord avoir une trêve à Gaza.
07:46Or, on sait très bien que voulant une trêve à Gaza tout de suite, c'est aller dans les intérêts du Hamas.
07:51On va poursuivre sur justement les grands qui semblent impuissants quand même à l'ONU face à cela.
07:57On l'a vu, Israël, Liban, Gaza, et puis l'Ukraine aussi. On entendra Zelensky tout à l'heure.
08:04Et vous avez parlé de la stratégie de Vladimir Poutine. Evidemment, tout ça reste inquiétant.
08:09Alors il y a la perspective des élections américaines aussi. Et évidemment, ça va influer d'une manière ou d'une autre.
08:14Et les Chinois qui jouent leur jeu. On va en parler dans un instant sur Sud Radio avec vous.
08:209h10, Sud Radio, la vérité en face, Patrick Roger.
08:25La vérité en face, on se dit les choses sans tabou. Et vous avez aussi, bien sûr, la parole 0826-300-300.
08:33Vous pouvez réagir. Vous avez déjà beaucoup réagi tout à l'heure en début d'émission avec Manu Haustandard,
08:39Éric Tegner, et puis Alex Darmon comme chaque vendredi pour revenir sur l'actualité de cette semaine.
08:45Et du moment, on a parlé des grands de ce monde qui semblent impuissants à la tribune des Nations Unies.
08:51On a entendu Emmanuel Macron, tout à l'heure, qui a refait une petite déclaration, encore hier soir aussi, au Canada.
08:56C'est ça, cette nuit. Et Vladimir Zelensky aussi, qui est venu toujours demander de l'aide.
09:03Alors il a eu une aide de Biden, un peu limitée, puisqu'évidemment, il y a les élections américaines qui arrivent.
09:08Tiens bon, on l'écoute, justement, Zelensky.
09:12Je veux la paix pour mon peuple, une vraie paix, une paix juste. Et je vous demande votre soutien.
09:19Je le demande à tous les pays du monde. Nous ne divisons pas le monde.
09:26Je vous demande la même chose. Ne divisez pas le monde. Soyez des nations unies.
09:32Voilà. Parce qu'il y a des divisions, toujours, bien sûr. Et des Nations Unies, elles sont de moins en moins unies,
09:39y compris à la tribune, bien sûr, là-bas, à l'ex-Darbonne.
09:42– Mais pareil, quelle est la crédibilité, aujourd'hui, des Nations Unies ?
09:45Quand on regarde, quand on lisait des enquêtes sur les Nations Unies,
09:48on sait très bien que c'est devenu un lobby géant, quoi.
09:51Un lobby géant pour de simples partis et simples pays. Ils travaillent pour eux.
09:56Quand vous voyez que l'Iran peut présider une conférence pour le droit des femmes, à l'ONU,
10:01excusez-moi, mais cette institution n'est plus crédible. Ça, c'est un premier point.
10:05Le deuxième point, vous savez, j'ai l'impression qu'on est un peu dans une guerre mondiale sans le nommer.
10:11Parce que vous avez les conflits, que ce soit au Proche-Orient, que ce soit en Ukraine,
10:14aujourd'hui, on parlera de la Chine aussi sans doute après, mais il faut choisir son camp, à un moment donné.
10:19Vous avez l'Occident contre la Russie. Et je pense que c'est aussi ça, l'erreur de la France
10:25et l'erreur du Président de la République, c'est de ne pas dire clairement les choses.
10:27On parlait de lui en même temps, c'est le début de l'élection.
10:29– Il l'a dit plus ou moins, non ?
10:30– Mais non, mais franchement, je suis désolé, il ne s'affirme pas sur ce qui se passe au Proche-Orient.
10:34Par contre, il s'affirme sur ce qui se passe en Ukraine.
10:36Mais c'est deux visions qui sont complètement différentes.
10:39Et ce que je veux vous dire par là, c'est qu'Emmanuel Macron,
10:41il fait du en même temps au niveau national, on en parlait en début d'entretien,
10:44et il en fait aussi au niveau international.
10:47C'est qu'il va dire ce que tout le monde va entendre à celui qui veut entendre.
10:49Hier, quand il est pris à partie au Canada par une femme qui lui dit qu'il ne fait rien pour Gaza,
10:53il répond, on fait le maximum, on fait ce qu'on peut, mais en même temps,
10:57il faut qu'Israël puisse se défendre.
10:59Mais en fait, il faut prendre parti contre les dirigeants.
11:01Et il ne le fait plus, il ne le fait pas.
11:02Éric Tegner, vous êtes d'accord avec cette vision des choses ?
11:05Il faut prendre parti à ce point-là ?
11:07Oui, c'est plutôt arrêter de prendre parti et être libre aussi de certains intérêts électoraux et idéologiques français.
11:15Non, moi, ce que je vois quand même dans ces deux grands conflits israélo-palestinien et russo-ukrainien,
11:21c'est le fait qu'en face de nous, il y a un front extrêmement homogène
11:24de gens qui globalement soutiennent la Russie.
11:28Ils vont dire à quel moment l'Occident s'est insurgé à délivrer des milliards, etc. à l'Ukraine
11:34parce que l'Ukraine était bombardée et se range aujourd'hui du côté israélien.
11:38Vous pensez à qui ?
11:40L'ensemble des pays aujourd'hui, globalement.
11:42L'argumentaire des pays africains aujourd'hui, c'est de dire en permanence...
11:46Oui, mais c'est parce qu'ils sont noyautés aussi par les Russes, non ?
11:48Mais ça n'empêche pas que c'est un discours qui pèse.
11:51Vous savez, depuis le début, les Russes, c'est pas une puissance aussi importante que ça.
11:55Il y a cette idée à chaque fois que l'Occident donne des leçons de morale et ne se les applique pas.
11:59Donc, qu'est-ce qu'ils ont dit ? Ils ont repris l'argumentaire humaniste
12:02et ils ont dit que le vrai camp des humanistes aujourd'hui, ce sont les palestiniens.
12:06Ce ne sont pas les israéliens.
12:07Et nous-mêmes, étant dans cette logique humaniste, on s'est retrouvés enfermés là-dedans
12:11parce qu'on a arrêté de faire la réelle politique ces dernières années.
12:14Et donc, le même cri de lecture qui nous poussait à défendre en permanence,
12:19sans aide sur une politique un peu à la de Gaulle de l'époque, l'Ukraine,
12:22où on n'allait pas être capable de se dire qu'il faudrait quand même un plan de paix,
12:25on ne peut pas laisser la Russie gagner, mais on ne peut pas la laisser perdre non plus,
12:29ça s'est retourné contre nous sur le conflit israélo-palestinien.
12:32Où là, on est obligés de se retrouver à dire, oui, il y a des morts à Gaza,
12:35mais vous savez, il n'y a pas le choix, c'est ça la guerre, etc.
12:38On se fait traiter d'hypocrites.
12:39Parce qu'en fait, on se retrouve justement enfermés sur 30 ans de politique
12:43où à chaque fois, on a fait des grands leçons de morale.
12:45Et derrière, ils sont unis, ils sont en train de trouver de nouveaux plans.
12:47On le voit là avec le plan chinois, avec le Brésil, les pays du BRICS, l'Arabie Saoudite, etc.
12:52qui veulent pousser leur propre solution de paix, justement, en Ukraine.
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