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##LES_PERLES_DU_JOUR-2024-09-02##

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News
Transcription
00:00Sud Radio Bercov, dans tous ses états, les perles du jour.
00:05Quand on est con, on est con.
00:09Con les vingt ans qu'on soit grand-père.
00:12Quand on est con, on est con.
00:15Eh bien moi je vais vous dire, Georges Brassens quand même,
00:18je ne pensais pas que je pourrais dire cela un jour d'une directrice de recherche au CNRS.
00:24Franchement, franchement je ne pensais pas, je me dis quand même,
00:26quelqu'un qui a ses diplômes, qui a tout cela, ne peut pas quand même.
00:31Non, non, ce n'est pas possible.
00:32Et puis, et puis, j'ai écouté Isabelle Vera Masson,
00:37directrice de recherche au CNRS,
00:40et elle était interviewée effectivement sur ce qui s'est passé.
00:45On vient d'en parler de Camilia fauchée par un motard,
00:50fauchée par une espèce d'individu fou.
00:53Les motards, ce n'est pas ça les motards.
00:56Les 99% des motards sont des gens formidables,
00:59qui aiment faire ce qu'ils font et qui font très attention.
01:04Et puis il y a les autres.
01:06Et puis il y a les autres, voilà, elle est morte hier soir Camilia,
01:09et elle commentait Isabelle Vera Masson,
01:14et voici ce qu'elle disait, écoutez.
01:17C'est que, en fait, ces jeunes gens qui font des rodeaux urbains,
01:21ce ne sont pas des voyous.
01:23Ce sont des jeunes gens qui, d'ailleurs c'est intéressant l'idée du Covid,
01:27qui s'ennuient, qui n'ont pas de distraction.
01:29Vous savez, c'est West Side Story, on se retrouve dans les bandes,
01:32on fait des bêtises, etc.
01:34Alors parfois ça a des conséquences épouvantables,
01:36et donc c'est clair, mais décider de mettre en prison
01:39ou d'être extrêmement répressif à garde ces jeunes gens
01:41qui deux ans après vont se marier, vont trouver du boulot,
01:44et finalement seront des citoyens comme vous et moi,
01:46c'est un peu comme le tag.
01:47J'avais une amie de très bon genre,
01:50dont son fils faisait des tags, et c'était dangereux.
01:52Oui, c'est vrai, c'est vrai.
01:54Le fils faisait des tags, et c'est aussi dangereux
01:56que de se faucher une enfant de 8 ans dans une moto, bien sûr.
02:01Mais de quoi vous parlez ? Mais ce ne sont pas des voyous.
02:03Mais non, mais non, ça n'a rien à voir.
02:07Qu'est-ce que vous voulez ? C'est West Side Story.
02:10Bien sûr, c'est West Side Story.
02:12Qu'est-ce que vous voulez ? Ça arrive comme ça, et voilà.
02:14Alors, il ne faut pas les mettre en prison,
02:16il ne faut pas être répressif, il faut comprendre.
02:18C'est extraordinaire.
02:19C'est-à-dire que j'entendais ça, et je me disais,
02:21ce n'est pas possible, c'est une caricature,
02:24ou c'est un sketch de chez Jamel Debbouze,
02:29ou un truc comme ça.
02:30Je me disais, ce n'est pas possible.
02:31Ah non, non, tout à fait, tout à fait.
02:33Oui, vous comprenez, ça arrive, ils s'ennuient,
02:35ils ne savent pas quoi faire, alors ils sont sur la roue arrière.
02:38Alors voilà.
02:39Évidemment, il y a des événements, c'est gravissime,
02:41et alors vous n'allez pas les mettre en prison pour ça.
02:43Dans deux ans, dit Isabelle Vérat-Masson,
02:47ils vont se marier, ils auront des enfants, bien sûr.
02:49D'ailleurs, les frères Kouachi,
02:51si on ne les avait pas arrêtés avec Charlie Hebdo,
02:53ils étaient mariés, ils auront des enfants,
02:55et ils seraient bien maintenant.
02:56Et tous les autres, et tous les autres.
02:58Écoutez, attendez un peu, laissez-les,
03:00ce n'est pas grave, ils se marieront,
03:02ils auront des enfants, voilà, c'est ce qui compte.
03:04Et la même Isabelle Vérat-Masson,
03:08parce qu'elle est multirécidiviste,
03:10et oui, elle est récidiviste,
03:12à propos de Crépole, vous vous rappelez,
03:14il y avait eu un drame sanglant à Crépole,
03:16il y avait un bal, et des gens étaient venus
03:18d'une ville d'à côté,
03:20massacrer, effectivement, et tuer à coups de couteau,
03:22à coups presque de sabre,
03:24un gosse de 16 ans.
03:28Et la même directrice de recherche du CNRS
03:32avait déjà parlé de ça.
03:34Donc, du meurtre de Thomas,
03:36de la nuit du 18 au 19 novembre 2023,
03:38à Crépole,
03:40et voici ce qu'elle avait dit,
03:42à l'époque, écoutez.
03:44Moi j'ai été très frappée,
03:46vous le répétiez, par la ressemblance
03:48entre ce fait divers et Romain et Juliette.
03:50C'est-à-dire que c'est une rixe,
03:52avec deux familles...
03:54On est dans Shakespeare,
03:56c'est-à-dire que c'est un bal,
03:58dans lequel une famille qui déteste l'autre famille
04:00va chercher des filles,
04:02et il y a l'idée qu'il y a,
04:04parce qu'on sait qu'il y avait cette démarche-là,
04:06ils se détestent, ils se cachent,
04:08c'est un petit truc sympa,
04:10un peu provocateur, mais sans plus,
04:12et ça devient quelque chose de gravissime.
04:14Voilà, voilà.
04:16Eh bien écoutez, c'est merveilleux les références.
04:18Nous étions dans West Side Story,
04:20et puis là, il y a un an,
04:22nous étions dans Roméo et Juliette.
04:24C'est pas beau ça.
04:26Mais c'est vrai, de quoi vous parlez ?
04:28Qu'il y a des problèmes d'insécurité,
04:30d'attentats, de violence,
04:32de filles qui se font agresser,
04:34qui se font emmerder.
04:36C'est Roméo et Juliette, c'est Shakespeare,
04:38c'est West Side Story, bien sûr,
04:40revu et corrigé par une directrice
04:42de recherche au CNRS.
04:44C'est pas beau ça.
04:46Vous voyez, quand ça arrive à ce degré-là,
04:48c'est très intéressant, ce degré,
04:50ce n'est même pas une décollection de la réalité,
04:52c'est que c'est un autre monde.
04:54On vit dans le métaverse, c'est un autre monde.
04:56Moi j'ai mon petit monde, je suis protégé,
04:58je suis dans des quartiers protégés,
05:00j'ai en général mes enfants
05:02dans des lycées et des écoles protégés,
05:04donc tout va bien.
05:06Je peux me permettre de faire de la littérature.
05:08J'appelle pas ça de la littérature,
05:10j'appelle ça des litres
05:12et des ratures.
05:34Ce que vous écoutez,
05:36ce que vous écoutez,
05:38c'est des chansons,
05:40des chansons des femmes, des afghanes.
05:42Des afghanes.
05:44Il faut reparler un peu de l'Afghanistan.
05:46Vous savez, quand quelque chose disparaît,
05:48effectivement, des antennes,
05:50des chaînes en continu,
05:52d'informations en continu,
05:54ou de déformations en continu,
05:56c'est que vous êtes en train
05:58d'écrire des chansons,
06:00des chansons d'Afghanistan.
06:02Ou de déformations en continu.
06:04Voilà, ça n'existe plus,
06:06mais oui, on est loin de tout ça.
06:08Et bien, vous savez ce qui s'est passé
06:10là, là,
06:12depuis qu'effectivement,
06:14on a relaissé l'Afghanistan aux talibans.
06:16Je rappelle
06:18à tous les auditeurs de Sud Radio,
06:20les résistants, les autres,
06:22de regarder des images d'Afghanistan dans les années 50-60.
06:24Regardez, regardez
06:26sur vos réseaux, etc.
06:28Comment elles étaient habillées,
06:30comment ça allait, et aujourd'hui,
06:32cette prison, la prison de la burqa,
06:34du grillage, mais surtout,
06:36voilà ce qu'a décidé le ministère
06:38afghan de la justice.
06:40Ils ont fait une nouvelle loi
06:42qui muselle encore un peu plus les femmes.
06:44Désormais,
06:46écoutez-moi bien, c'est pas...
06:48c'est pas du...
06:50ce ne sont pas des rumeurs.
06:52Les Afghans ne doivent plus
06:54faire entendre
06:56leur voix en public.
06:58Elles ne peuvent plus chanter, réciter une poésie
07:00ou même lire à voix haute si elles ne sont pas confinées
07:02dans un espace fermé.
07:04Voilà. Elles ne sont plus
07:06que des ombres dans la société afghane.
07:08Cet
07:10apartheid de genre, parce que
07:12qu'est-ce que c'est sinon un apartheid ?
07:14Il est pire, il est pire.
07:16Il est condamné par les organisations, quand même, ici, internationales.
07:18Et voilà, ce texte
07:20a été promulgué pour promouvoir
07:22la vertu et prévenir le vice
07:24parmi la population.
07:26Avec la charia, selon le ministère de la Justice
07:28taliban. Voilà.
07:30Le texte édite, d'ailleurs,
07:32puisque je vais jusqu'au bout,
07:34des sanctions graduelles
07:36auxquelles s'exposent ceux qui ne la respecteraient pas.
07:38Avertissement verbal,
07:40menace, amende,
07:42ce garde-à-vue allant
07:44d'une heure à trois jours, autre sanction
07:46réclamée par la police des vices
07:48et de la vertu.
07:50En cas de récidive, la justice est saisie.
07:52Voilà. Et j'entends pas,
07:54alors j'entends pas du tout
07:56et normal, le silence
07:58assourdissant des féministes.
08:00Où sont les néo-féministes ?
08:02Où sont
08:04celles qui
08:06font des... qui vont
08:08dans les entreprises
08:10pour, à monnaie sonante
08:12et trébuchante,
08:14faire promouvoir, effectivement,
08:16l'avancement de la cause des femmes. C'est très bien.
08:18Mais là, là,
08:20vous entendez un mot ?
08:22Vous entendez les féministes patentées ?
08:24Vous entendez les professionnelles ?
08:26Vous entendez celles qui font leur fonds de commerce
08:28avec ça ? Vous les entendez ?
08:30Et bien moi pas. Et si elles sont là, dites-moi.
08:32Je crois que nous avons d'ailleurs
08:34Angèle au téléphone, c'est ça
08:36Marie ?
08:38Oui, allô Angèle ?
08:40Oui, monsieur Bercoff, bonjour.
08:42Je voulais déjà présenter
08:44mes condoléances, donc, aux policiers
08:46qui sont morts et ainsi qu'à cette fillette.
08:48Donc,
08:50je voulais témoigner parce que
08:52moi, en fait, j'ai eu
08:54plus de chance que cette petite fille.
08:56C'est-à-dire que j'ai été
08:58percutée sur un trottoir
09:00puisque maintenant les trottoirs sont
09:02aussi des autoroutes pour vélo,
09:04pour trottinette,
09:06pour scooter.
09:08Donc, j'ai été percutée par un vélo
09:10qui faisait une roue
09:12sur une roue.
09:14Sur le trottoir, oui.
09:16Et on est obligé,
09:18ils sont obligés d'aller beaucoup plus vite
09:20et ils ne maîtrisent
09:22plus rien.
09:24Parce que sinon, ils ne tiennent pas.
09:26Donc, ils sont obligés d'accélérer.
09:28Donc, ils sont quand même responsables
09:30pour moi. Quand on accélère
09:32volontairement et qu'on arrive à fond
09:34quelque part. Parce que le mec, sinon,
09:36c'est lui qui se casse la figure.
09:38C'est ça le problème.
09:40C'est lui qui meurt.
09:42S'il ne va pas
09:44assez vite, c'est lui qui tombe
09:46et c'est lui qui est blessé.
09:48Moi, je voulais faire ce témoignage.
09:50Résultat des courses,
09:52j'ai pris la tête
09:54sur le trottoir.
09:56J'ai cassé le coude. J'ai 67 ans.
09:58J'ai cassé le coude.
10:00J'ai été opérée deux fois. J'ai eu un stastéococque
10:02doré. Parce que c'est ça qu'il faut voir
10:04aussi. Donc, il y a des
10:06morts, il y a des blessés.
10:08Il y a des gens qui restent blessés à vie aussi.
10:10Voilà.
10:12Et je voulais dire aussi que
10:14par exemple, à Marseille,
10:16vous avez des rues où ils ont mis
10:18des pistes cyclables sur les trottoirs.
10:20Vous prenez le boulevard Longchamp,
10:22vous ne pouvez plus sur les trottoirs.
10:24Vous prenez le boulevard Longchamp
10:26à Marseille, vous ne pouvez
10:28plus marcher sur le trottoir.
10:30Ils ont mis un mètre cinquante
10:32pour les vélos
10:34et un mètre pour les trottoirs,
10:36pour les piétons. On ne peut plus.
10:38C'est des autoroutes.
10:40Parce qu'en fait, vous comprenez pourquoi aussi
10:42les autoroutes, c'est parce que
10:44ça partait d'un bon sentiment.
10:46Ils ont baissé les trottoirs,
10:48arrivés à chaque rue, à chaque croisement,
10:50pour les handicapés.
10:52Mais moi, à Marseille, j'en vois pas des handicapés.
10:54Ils risquent leur vie
10:56de partout à Marseille.
10:58À Marseille, on ne voit plus
11:00les handicapés. On ne voit plus
11:02les vieux. On n'a plus le droit
11:04de citer. Et les enfants,
11:06c'est pareil. C'est-à-dire les enfants,
11:08comme cette fillette, ils risquent leur vie
11:10à chaque fois qu'ils traversent.
11:12Parce que plus personne ne respecte rien.
11:14Et le pompon, c'est que Martine Vassal,
11:16de la Métropole,
11:18j'ai lu un article, la semaine dernière,
11:20dans la Provence, qui vient de dire
11:22qu'ils venaient d'autoriser les vélos
11:24à griller les feux rouges
11:26au croisement pour aller tout droit et à droite.
11:28Je vais vous dire, Angèle, c'est ce qui se passe
11:30à Paris. À Paris,
11:32les vélos, en tout cas,
11:34on peut tous en témoigner,
11:36grillent les feux rouges très allègrement.
11:38C'est pas que Martine Vassal...
11:40De toute façon, Martine Vassal est invitée
11:42à répondre si elle a envie de répondre, mais
11:44c'est un vrai problème. Vous avez raison.
11:46En tout cas, à Paris, je ne sais pas,
11:48dans toutes les villes, mais j'appelle les éditeurs
11:50de Sud Radio à témoigner là-dessus.
11:52Est-ce que dans d'autres villes,
11:54elles peuvent
11:56effectivement
11:58passer comme elles veulent
12:00et faire comme elles veulent ? C'est quand même hallucinant.
12:02Merci, Angèle.
12:04Voilà. Merci beaucoup.
12:06Merci de m'avoir écoutée.
12:08Merci beaucoup.
12:36...qui se raconte aujourd'hui.
12:38Et c'est pas nouveau.
12:40Vous savez, à Solingen,
12:42vendredi dernier,
12:44Solingen, c'est en Allemagne.
12:46C'est dans l'ouest,
12:48en Allemagne de l'ouest.
12:50Un homme a poignardé à mort trois personnes
12:52vendredi soir.
12:54Donc, voilà.
12:56Au couteau, effectivement.
12:58Et vous savez qu'en France, il y a eu énormément
13:00d'attentats au couteau.
13:02Et on en a connu beaucoup.
13:04Et donc,
13:06c'est les libérations du 24 août
13:08qui le rapportent.
13:10Donc, le 2 juin,
13:12c'était le 2 juin dernier,
13:14un jeune policier de 29 ans
13:16poignardé à la tête deux jours plus tôt à Mannheim,
13:18c'était déjà avant.
13:20Deux jours avant.
13:22Et puis, il y a eu effectivement
13:24Solingen,
13:26trois personnes.
13:28Et puis, il y en a d'autres, effectivement.
13:30Et alors, qu'est-ce que ça a
13:32suscité comme réaction
13:34chez les autorités allemandes
13:36et peut-être les autorités françaises ?
13:38Faut-il
13:40interdire les couteaux ?
13:42C'est pas beau, ça.
13:44Ça, c'est pas beau.
13:46Quand on arrive à ce point zoologique,
13:48il faut quand même se poser beaucoup de questions.
13:50Donc,
13:52des gens massacrent au couteau,
13:54il faut interdire les couteaux.
13:56Demain, la fourchette,
13:58il faut interdire les fourchettes.
14:00Demain, la cuillère, il faut interdire les cuillères.
14:02Je ne parle pas des cutters et compagnie.
14:04Mais dites-moi, c'est comme quand
14:06on entendait, vous vous rappelez,
14:08la voiture folle,
14:10le bus fou.
14:12Mais attendez, c'est pas
14:14la voiture qui tue.
14:16C'est l'homme
14:18ou la femme qui conduisent
14:20la voiture. Ce n'est pas
14:22la bicyclette qui tue.
14:24Ce n'est pas la moto qui tue.
14:26C'est bien la personne qui la conduit
14:28qui est dans un état soit
14:30d'ébriété, soit de folie,
14:32soit d'état meurtrier, etc.
14:34Et là, on dit
14:36qu'on veut interdire.
14:38Et voyez, c'est vraiment, on est au nœud du problème,
14:40au cœur du problème.
14:42On ne veut pas voir la cause.
14:44On veut voir les apparences.
14:46On veut voir, comme d'habitude, la perception.
14:48Ah là là, les couteaux, c'est pas bien.
14:50Donc, il faut interdire les couteaux.
14:52Imaginez, on pose le débat sur
14:54l'interdiction des couteaux.
14:56On peut, d'ailleurs, formuler ça.
14:58Comment des gens qui ont, soi-disant,
15:00un neurone,
15:02l'avant-dernier neurone,
15:04peuvent poser comme ça ?
15:06Ce ne sont pas les armes qui tuent.
15:08Bande de nazes !
15:10Ce sont les gens qui les tiennent.
15:12Ce sont les gens qui les opèrent.
15:14Ce sont les gens qui les utilisent.
15:16Alors, de quoi vous parlez ?
15:18Mais vraiment, c'est absolument
15:20lamentable.
15:22Alors André, on a Dominique de Roussillon
15:24qui voulait réagir sur
15:26Martine Vassal dont on vient de parler.
15:28Non, alors je crois que Dominique
15:30n'est plus
15:32à antenne. En revanche,
15:34ce qu'il faudrait maintenant faire,
15:36c'est peut-être passer...
15:38Je crois qu'il y avait une publicité.

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