Parleman Lepep Michael Jean Louis & Etienne Sinatambou.

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Parleman Lepep Michael Jean Louis & Etienne Sinatambou

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00:00:00dans la gestion de Sugar, c'est ce qu'ils appelaient à l'époque la Sugar Authority.
00:00:08Mais moi, quand la réponse, moi j'attends ça, alors à chaque fois qu'il y a du manège supplémentaire,
00:00:14non, les parisiens allaient à la question principale, c'est ça, moi je ne parle pas ça.
00:00:21Mais je comprends bien, moi je trouve beaucoup, je trouve beaucoup ce pays que, l'attitude,
00:00:26mon camarade de parlement, je trouve beaucoup ce pays que, l'attitude quand on pose question.
00:00:31Alors, ce n'est pas, qui les rappelle, moi, je crois que c'est un beau choix de sens,
00:00:36bien sûr, c'est un beau choix de sens, je pense, puisque quand on va dire, on ne rend
00:00:40ni tellement étroit qu'on va dire, on ne fait qu'une seule question, on va dire coupable,
00:00:44maître la scène, tout autour de lui, personne ne va quand même bouger.
00:00:46Ça a été une question, ça c'est la démocratie parlementaire.
00:00:49Alors, ça question-là, il est amplement lancé aux raisons d'être, pas finie, passe
00:00:53à côté de la plaque, c'est-à-dire qu'il fait une réborque.
00:00:55Après, moi je trouve un journaliste, qui fait une réborque dans l'expression, qui
00:00:59a une autre bite, une autre bouche, une autre balance, l'équation, mais il m'apprend
00:01:03qu'il travaille avec PTP.
00:01:05Mais qui dit ça?
00:01:07Judge and party?
00:01:09Alors, ça, vous pouvez me dire, vous pouvez me faire la leçon, un journaliste, qui fait
00:01:16comment dire, la question qu'il m'a demandé, c'est pas moi qui passe à côté de la plaque,
00:01:19à travers la plaque, mais la question, et laissez-moi vous dire, c'est cette question-là
00:01:23qui aujourd'hui, oblige M.
00:01:27Lissim et tous ses compagnons pour venir devant M.
00:01:31Oré.
00:01:33Je t'ai lancé à 18, 20 secondes, je t'ai lancé à 18 mois, pour mettre tous autres
00:01:40comptes à jour.
00:01:41Et vous connaissez, moi je dirais ça aussi, quand il y a des trous qui finissent là,
00:01:45manquement qui finissent là, vis-à-vis M.
00:01:48Oré, il est extrêmement grave ça.
00:01:50Alors, faire bien attention, c'est pas bonne question, demander avec une certaine légèreté,
00:01:56bien calculer.
00:01:57Non, c'est pas assez saisonné ça, il y a pas envie de vouloir nous trouver, le récit
00:02:00de M.
00:02:01Mélisse par peine à réponse, par connaissance, des fois aussi, le thème aussi, par connaissance,
00:02:05par ça.
00:02:06Non, vous connaissez, aujourd'hui, tout à l'heure, j'ai trouvé un article qui me
00:02:10concernant Peau de vin, qui fait une donnée à un, je ne sais pas, ministre, à un proche
00:02:17qui travaille, à un certain cadre qui travaille au C.E.B., vous connaissez satisfaitement
00:02:21de cette question-là?
00:02:22L'ancien Louis-Guethe?
00:02:23Moi.
00:02:24Et grâce à ma question, mon sacré, bon, M.
00:02:28Colin d'Avelune, il a démissionné comme vice-premier ministre.
00:02:31Comment dire?
00:02:32Il a été révoqué.
00:02:33Révoqué, révoqué.
00:02:34OK, révoqué, pas démissionné.
00:02:35Il n'a pas de définition.
00:02:36Non, il a été révoqué.
00:02:37Il a été révoqué.
00:02:38Et lui, il me défend, lui.
00:02:41Je ne sais pas pour quelle raison, pour avoir une diagramme, je ne sais pas, à la lumière
00:02:46de ma question.
00:02:47Mais est-ce qu'il y a d'autres raisons?
00:02:49Jusqu'à maintenant, je ne sais pas.
00:02:51Mais là-dedans, c'est ce qui est le plus intriguant.
00:02:53Sa compagnie danoise.
00:02:54Elle peut dire que dans le Danemark, elle prend les sanctions qu'elle fait contre ceux
00:02:59qui sont les coupables.
00:03:00De quelle manière, ici à Maurice?
00:03:03Penalité.
00:03:05Penalité.
00:03:06Penalité à chaque salaire.
00:03:09Mon copain a demandé, peut-être.
00:03:17Nous, on ne connaît pas le fond de l'affaire, mais je peux dire, avant qu'il nous en
00:03:20aide, qu'il n'est pas trop à jour avec sa question-là.
00:03:23Mais on a aussi un député-lecteur au sein du ministre au sein du député.
00:03:29Et puis quand même, quand un citoyen de la République, pour moi un intellectuel dans le monde de la finance,
00:03:37quand on est dans notre pays aujourd'hui, nous fais abstraction des mêmes démons qui nous ont causé,
00:03:43des mêmes compagnies qui nous ont causé. Aujourd'hui, quand même, quand quelqu'un, une senior person,
00:03:50quand on est dans notre pays, peut-être on va dire conflit d'intérêt, abus d'autorité,
00:03:56qu'on va dire « judge and party », qui ont réaction au petit virage, peut-être ?
00:04:01Avant de répondre à cette question-là, je voudrais revenir sur l'organisation des courses à Lille-Maurice.
00:04:08J'ai pensé sincèrement, mon collègue Ovid Bullel, quand il a posé cette question-là,
00:04:15comment dire, il a besoin de baisse, peut-être. C'est moi qui lui ai fait des voix pour poser cette question-là.
00:04:23Mais ce qui est important pour les peuples, les peuples ce qui est important,
00:04:29aujourd'hui, Mauritius Club finit facilement. Après, puisqu'ils décentrent l'histoire pour faire l'organisation des courses à Mauritius,
00:04:39ils deviennent un symbole de notre pays. Aujourd'hui, ils deviennent médecins d'une bine,
00:04:45et aujourd'hui, nous connaissons Sainte-Maus, comment elle est finie, pas jolie, jolie.
00:04:50Ils ne veulent pas gagner l'accès même. Les courses pour organiser des situations douteuses.
00:04:57Et bien, le mauricien peut penser que ça, piller l'économie-là, de temps en temps, il est pour détruire ça.
00:05:05Pas beaucoup de pays qui ont réussi à amener l'organisation des courses à Lille-Maurice.
00:05:09Là, il n'y en a pas. Nous avons l'Afrique du Sud, nous avons l'Australie, nous avons ça.
00:05:13Mais là, nous devons dire, nous devons dire que c'est 4 et 4 et dog et dog.
00:05:17Nous devons dire, nous tirons sa peau avec le franco-mauricien qui est venu, nous avons amené ça.
00:05:23C'est un sport, c'est un sport de haut niveau, que doucement, doucement, les autres communautés en apprennent là-dedans.
00:05:32La façon dont ils restent sur ce terrain-là, avec Mauritius Club, moi, je pense qu'il est illégal.
00:05:41Parce qu'il y a une misérabilité dans ce terrain-là, ce mandat est terminé.
00:05:47Mais là, quand on arrive dans une situation, quand on arrive loin dans une situation,
00:05:55nous, c'est que nous avons envie, nous, que le Mauritius Club gagne la priorité pour répondre aux demandes pour organiser les courses.
00:06:06D'une certaine façon, c'est même... c'est une question de propriété de droit, ça.
00:06:12Il faut une compréhension, il faut un consentement, il faut l'espace qu'il faut aller, il faut un contexte, c'est la paix qu'il faut donner là-dedans.
00:06:22Tout le monde peut lui dire comme ça, mon grand-père, mon vieux grand-père, moi, si je suis content, je vais venir là-dedans pour lui.
00:06:27Ils vont dire, pourquoi n'est-ce qu'ils ne sont pas capables.
00:06:30Moi, je pensais que le gouvernement était mal conseillé dedans, très mal conseillé dedans.
00:06:36Mais tout le gouvernement, il y en a certains qui le font très bien, il y en a d'autres qui le font la moitié bien, il y en a d'autres qui le font mal.
00:06:42Mais qu'est-ce qu'ils sont capables de regretter là-dedans ?
00:06:44Moi, je dirais que le Premier ministre regrette ça là-dedans.
00:06:46Quitte toutes mes recherches sur le type gagnant.
00:06:48Nous sauvons les courses épiques à l'Île-de-Maurice.
00:06:51C'est le MTC qui vient de sauver, organiser les courses à l'Île-de-Maurice.
00:06:57Sinon, ça, pitié de l'économie là, pas point d'aucun doute ça, il faut disparaître.
00:07:04Merci.
00:07:05Aujourd'hui, merci P.V. Rajputen.
00:07:08Moi, ce qui m'interpelle au fait, Mickaël, c'est que...
00:07:12Comment P.V. Rajputen vient de dire ?
00:07:15Il y a un dossier qui le gouvernement traite bien, il y a un dossier qui le gouvernement traite moins bien, il y a un dossier qui le gouvernement traite mal.
00:07:21Mais ici, ce qui frappe, ce n'est pas le traitement du dossier.
00:07:24C'est que le monsieur, lui-même, là-dessus, il vient de dire qu'il doit donner 10 millions aux élections au MSM.
00:07:33Alors, est-ce que nous ne pouvons pas quitter le domaine de faire très bien ou faire mal, et nous prenons un domaine d'illégalité ?
00:07:41Parce qu'on n'est pas capable de donner la main aux gens comme ça.
00:07:43On donne tant d'argent.
00:07:45Et puis de l'autre, autant dire, les contrôles Of Course Betting, les contrôles Saint-Domingue, Aster, les contrôles Souval, les contrôles Zoquet, les contrôles Palfrény.
00:07:57Qu'est-ce que vous pensez ?
00:07:59Vous connaissez, nos pays, avant l'indépendance, nous gavons l'indépendance.
00:08:06Aujourd'hui, l'immobilisme est plus grand.
00:08:10Il grandit dans l'organisation, il grandit dans Gross National Products, il grandit dans les physical assets.
00:08:16Et nous espérons que dans l'avenir, nous pourrons grandir encore.
00:08:19Ce sont des choses qui sont claires dans notre tête, parce que nous, les politiciens, nous.
00:08:23Nous, les politiciens, nous savons qu'il y a une certaine inquiétude qui vient d'arriver.
00:08:28Pourquoi arriver dans notre pays ?
00:08:30Pourquoi l'expérience ?
00:08:32Donc, ce sont des choses qui nous ont causé, qui nous ont infiltré dans notre pays.
00:08:38Que le gouvernement, n'importe quel gouvernement, soit en face d'une situation qui n'est pas finie.
00:08:46Manque de connaissances, manque de prévoyance.
00:08:49Là, c'est une question générale.
00:08:51Là, c'est ce qu'il faut faire quand nous arrivons dans cette situation.
00:08:55Quand nous pourrons rendre le procès à l'élection générale, n'importe quel gouvernement finit.
00:08:59Nous mettons un playing field, nous mettons un petit peu d'eau dans ces affaires-là.
00:09:04Nous demandons de l'expertise des étrangers, soit aux Etats-Unis, en Angleterre, même en Afrique du Sud, pour nous conseiller.
00:09:12Et nous devons travailler dans la transparence.
00:09:15Nous devons travailler pour que tous les bénéfices pour notre pays viennent dans la main des gens.
00:09:21Pas qu'ils viennent dans la main des autres.
00:09:23C'est ce qu'il faut quand un gouvernement peut travailler comme ministre.
00:09:25On va connaître qui vient passer.
00:09:27Ce n'est pas facile, 24-7 contrôles de l'information.
00:09:30Mais, prochaine élection générale, après cette élection-là, prochain gouvernement qui vient,
00:09:35nous devons doucement, doucement, moderniser nos institutions.
00:09:40Quand il n'y a pas de problème, nous corriger, nous collaborer, nous amener le pays plus loin.
00:09:46De toute façon, il n'y a pas de pouvoir entre le MTC et le gouvernement.
00:09:50Je suis content d'apprécier l'attitude de mes collègues.
00:09:54Mes collègues ont passé une étude dans le Parlement ensemble.
00:09:57Très bien.
00:09:59Je suis un deputy speaker.
00:10:01Je gère le Parlement bien.
00:10:07Mais il y a une affaire que nous devons reconnaître.
00:10:09Ce gouvernement, et ça, pour autant, l'attitude que nous n'avons pas,
00:10:13est partagée par les partis de l'opposition.
00:10:16Ce gouvernement, « willfully » et « deliberately »,
00:10:20il provoque, comme mon camarade peut le dire, le départ de l'MTC au champ de masse.
00:10:26Nous devons réaliser que, sur le fond,
00:10:30il y a une société qui n'est pas supposée faire profit de l'MTC.
00:10:35Il faut mettre ça bien dans la tête.
00:10:38Ici, on a un bailleur de fond,
00:10:42et l'Indien, lui-même, est loin de dire qu'il est le spécial adviser du Premier ministre.
00:10:48L'Indien, avec ses 10 millions, qui, à la radio,
00:10:52étale ça aux loges,
00:10:55les auditeurs, ce qu'il y fait encore.
00:10:58Et lui, malheureusement, il « drop the name »,
00:11:03il cite le nom des politiciens, il n'y en a plus dans ce poste.
00:11:08La raison pour laquelle, moi, je ne fais pas une dénonce à personne.
00:11:13Nous ne sommes pas capables d'opérer dans l'opacité
00:11:16et dans une situation de monopole, que tout le monde juge, n'importe.
00:11:21Et il dit qu'il y a une exception sur tous les fronts.
00:11:24Vous demandez-nous la question, vous demandez à vos camarades,
00:11:27vous comprenez qu'il y a un camarade de poutine,
00:11:29vous demandez à vos camarades qui sont dans le MTC.
00:11:32Et nous parlons là, qu'il y ait moi, qu'il n'y ait pas d'autre,
00:11:35sinon, on ne va pas faire de l'agenda pour le MTC.
00:11:39Mais demandez-vous,
00:11:42donc ici, vous êtes conscients, c'est une preuve que vous ne l'êtes pas,
00:11:45et demandez-vous quand vous faites l'acquisition de biens,
00:11:48est-ce que vous êtes exonérés de votre taxe, de votre taxe.
00:11:52L'endophine, ce n'est aussi pas Michel Apoiste,
00:11:55l'hippodrome dans, comment ça, « petit gamin » ?
00:11:58Bon, c'est pas grand gamin.
00:12:00En termes d'exonération fiscale, il n'y a pas d'exemption.
00:12:04Alors,
00:12:06ce qui est intéressant, c'est qu'il y a nos camarades indiens.
00:12:09Et là, pour parler, comment on peut dire ?
00:12:11Mais il ne faudrait pas, parce qu'on est presque à la fin des élections,
00:12:15et la personne, M. El-Dissim,
00:12:19la tendance, bon, nous, si vous écoutez,
00:12:23la tendance, on va dire, ça c'est sa conversation-là,
00:12:26c'est une conversation de passage.
00:12:30Moi, tant que le gouvernement, aujourd'hui,
00:12:33OK, le même camarade du PMSD,
00:12:36fait une position claire,
00:12:38c'est pas la première fois
00:12:40qu'il a position dans son ensemble.
00:12:42Il fait une faire sa statement-là.
00:12:45Nous tous connaissons, qui c'est à consens,
00:12:47Gadjadon, qui dit qu'il quitte les courses.
00:12:49Alors, qui c'est à consens ?
00:12:51En même temps, Gadjadon, c'est un brin, un brin même,
00:12:55et nous l'est,
00:12:58les courses, non seulement il y a un loisir,
00:13:01il y a un business,
00:13:04il y a un peu de transparence,
00:13:07et qui paye là sa perception,
00:13:10réalité de judge and party.
00:13:12Ben, dis-moi, l'enquête peut faire,
00:13:14c'est pas Zucchini tombé,
00:13:16ça qui prend la même transparence.
00:13:18Nous comprenons très bien.
00:13:20Ou aussi dans un pays comme l'Australie,
00:13:22qui porte beaucoup d'intérêt avec les courses,
00:13:24qui est une grande industrie,
00:13:27mais si Maurice
00:13:30commande une jurisdiction
00:13:33qui n'est pas propre,
00:13:35qui n'est pas propre,
00:13:38vous ne savez pas ce qu'il dit à Maurice
00:13:40dans les instances
00:13:44qui organisent les courses en Australie ?
00:13:47Alors, c'est extrêmement grave,
00:13:49nous avons une réputation pour garder.
00:13:51On ne peut pas laisser personne tenir sa réputation.
00:13:53Allez, voilà, nous arrivons à 17h.
00:13:55Moi, je vais te donner ce mot-là.
00:13:57Nous, nous wich, nous,
00:13:59au niveau du parti,
00:14:01et en tant que citoyen,
00:14:03nous avons envie de trouver une solution
00:14:05avant d'y trouver une solution au Parlement.
00:14:07Avant même d'y trouver une solution au Parlement ?
00:14:09Avant d'y trouver une solution au Parlement.
00:14:11Ça, c'est la position du PMSD ?
00:14:13Non, non, ça c'est le monopersonnel.
00:14:15Mais, nous avons envie que
00:14:17le MTC regagne sa primeur là.
00:14:19Avec sa primeur...
00:14:21Mais, nous avons envie que le MTC regagne ça
00:14:23avant la dissolution du Parlement.
00:14:25Avant la dissolution du Parlement.
00:14:27Parce que le Premier ministre,
00:14:29lui-même comprend,
00:14:31lui-même a aux attentes des mauriciens,
00:14:33lui-même a écouté,
00:14:35lui-même a fait un pas
00:14:37pour qu'on soit capable d'avancer dans l'avenir ensemble.
00:14:39Pour que le pays ensemble, la population,
00:14:41puisse avancer.
00:14:43Allez, 17h58,
00:14:45nous avons assez de causes.
00:14:47Nous, on a des affaires budgétaires qui sont assez importants.
00:14:49Nous, on a des affaires budgétaires qui sont assez importants.
00:14:51Nous allons l'inviter dans quelques secondes.
00:15:49Abonnez-vous !
00:16:49Abonnez-vous !
00:19:16De retour dans Pôle-Mont-Les-Pêpes.
00:19:18Nous parlons de ce sujet qui fait arriver au Pôle-Mont cet événement.
00:19:21Nous avons trois motions à évoquer.
00:19:24Nous allons terminer avec le premier sujet abordé.
00:19:29La dernière PNQ, datée du 5 août 2024.
00:19:33Le Global Equestrian Limited.
00:19:36Etienne, avant, j'ai une remarque à faire.
00:19:39Une remarque, c'est que quand on regarde bien ce qui s'est passé,
00:19:42il y a une raison pour laquelle le Pôle-Mont-Les-Pêpes a filmé nos radios.
00:19:46C'est parce qu'on a l'impression
00:19:48qu'il n'y a pas d'accès à l'information.
00:19:51Et moi-même, j'ai apporté un gouvernement,
00:19:542014 à 2019,
00:19:56qui dans ce manifeste électoral,
00:19:58qui nous passait de la loi
00:20:00pour donner un droit d'accès à l'information.
00:20:02Et beaucoup de fois, on peut trouver,
00:20:04si il y a l'accès à l'information,
00:20:06il y a beaucoup de maldonnes qui pensent que vous passez.
00:20:08Et comme autant d'autres peuvent le causer,
00:20:10finalement, on pose la question,
00:20:12on n'a pas de réponse.
00:20:14Est-ce qu'ils ne se croient pas qu'on est un petit peu plus dans la démarche ?
00:20:17Est-ce que Maurice n'a pas fini l'ère
00:20:19pour un an dans la loi
00:20:21qui donne l'accès à l'information ?
00:20:23Petit virage plus tard.
00:20:25Je réponds à cette question d'une façon qui,
00:20:28souvent, des fois,
00:20:30doit se passer.
00:20:32C'est une bonne question, dans l'avenir aussi.
00:20:34Quand il y a une bonne question posée par l'opposition,
00:20:37je ne sais pas qui forme l'oppositionalité,
00:20:39qui parle aussi de ça.
00:20:41Mais il y a une tendance aujourd'hui,
00:20:43pas seulement dans Maurice, mais dans d'autres pays aussi,
00:20:45de ne pas répondre à cette bonne question.
00:20:47Je veux dire, je ne suis pas dans l'information.
00:20:49Ou bien, carrément, je ne peux pas répondre à cette question.
00:20:52Je vous rappelle aussi qu'une des bonnes raisons
00:20:55qui font cette phrase universelle,
00:20:57c'est les peuples qui votent.
00:20:59L'un d'entre nous, 18, 20, 22 000 votent
00:21:01aux rangs du Parlement.
00:21:03Donc, j'espère qu'il y a quelqu'un
00:21:05qui pose cette question-là,
00:21:07que vous avez une réponse.
00:21:09Et même sa ministre qui est élu là,
00:21:11il y a un droit moral,
00:21:13et il nous faut un droit légal à ce sujet-là,
00:21:15qui est obligé de répondre à cette question-là.
00:21:17Vous pensez qu'on arrive en l'air,
00:21:19qu'il nous faut une loi,
00:21:21une standing order,
00:21:23nous mettons qu'un ministre
00:21:25refuse de répondre à cette bonne question-là.
00:21:27Il propose de donner l'information.
00:21:29Ou bien, s'il donne l'information
00:21:31fausse, il y a un contempt to the house.
00:21:35Nous avons vu ça tout de DPP.
00:21:37DPP décider, s'il y a envie,
00:21:39enclenche une criminologie.
00:21:41Une offense criminelle.
00:21:43Une offense.
00:21:45Il n'y a rien pour prendre
00:21:47taureau par cône.
00:21:49Mon pape est pinpoint,
00:21:51mais il n'était pas capacité
00:21:53de finir ce travail,
00:21:55et pendant cinq ans,
00:21:57ce député ou ce ministre-ci
00:21:59n'a pas fait le travail.
00:22:01Nous faisons touf là, nous faisons roofless.
00:22:03Parce que si ce n'est pas roofless,
00:22:05nous payons pour descendre.
00:22:07Ce qui est passé dans Bangladesh,
00:22:09ce qui est passé dans l'Inde,
00:22:11ce qui est arrivé dans l'Afrique du Sud,
00:22:13et bien depuis arrivé dans l'Amérique.
00:22:15Dans tous les pays, il n'est pas arrivé ça.
00:22:17Nous faisons aussi du travail en collaboration.
00:22:19Nous faisons du travail en sérénité.
00:22:21Nous faisons du travail avec un
00:22:23broad state of mind,
00:22:25dans la spiritualité aussi,
00:22:27au service des autres.
00:22:29Au final, vous êtes huit fois élu au Parlement.
00:22:31Et,
00:22:33vous n'avez pas la loi
00:22:35sur l'accès à l'information.
00:22:37Quel est le recul que vous pensez?
00:22:39Vous me demandez combien de fois?
00:22:41Moi, avec le soutien de tout un chacun,
00:22:43et la force divine.
00:22:45Vous connaissez le rapport
00:22:47qui est soumis par l'ordre
00:22:49de Robertson.
00:22:51Et quand nous, au gouvernement,
00:22:53nous demandons
00:22:55une liste
00:22:57des services
00:22:59de l'ordre de Robertson,
00:23:01qui s'intéresse au cas.
00:23:03Et ils soumettent ce rapport.
00:23:05Un rapport que nous finissons d'étudier,
00:23:07mais, après,
00:23:09nous avons besoin d'y aller aussi.
00:23:11Nous devons mettre un comité parlementaire
00:23:13pour étudier les findings
00:23:15de ce rapport-là.
00:23:17Mais avec le recul, maintenant,
00:23:19la sagesse prévaloir,
00:23:21parce que ce n'est pas juste la sagesse,
00:23:23c'est que mon camarade devient
00:23:25élu de l'attente du public,
00:23:27qui a accès à l'information.
00:23:29Il ne faut pas y avoir de privilèges,
00:23:31il y a besoin de droits.
00:23:33Je crois qu'il m'a mis un radio,
00:23:35ici,
00:23:37et avec raison,
00:23:39oui, il y a besoin d'un
00:23:41Freedom of Information Act.
00:23:45Deuxièmement, je voulais vous parler,
00:23:47nous pouvons vivre à l'ère de l'intelligence artificielle.
00:23:51Tandis que là, je me trouve,
00:23:53avec l'intelligence artificielle,
00:23:55je me trouve,
00:23:57Trump intraplamé.
00:23:59Harris. Comme Harris.
00:24:01Je ne vais pas vous raconter d'autres détails.
00:24:05Alors, il y a aussi
00:24:07un Online Safety Bill.
00:24:09Vous avez étudié cela.
00:24:11Vous avez un bon équipe parlementaire.
00:24:15Le comité, vous avez étudié cela
00:24:17avec un bon terme de référence.
00:24:19Mais oui, certainement,
00:24:21pour un Freedom of Information Act,
00:24:23vous n'avez plus besoin d'un
00:24:25Online Safety Bill.
00:24:27Maintenant,
00:24:31tout en disant cela,
00:24:33je ne vais pas aller aussi loin
00:24:35que mon camarade,
00:24:37je vais vous dire six ou huit choses.
00:24:39OK.
00:24:41Ou bien quelqu'un qui mislead.
00:24:43Vous ne savez pas comment mislead
00:24:45le ministre aussi.
00:24:47Ou bien le ministre délibéré
00:24:49qui a voulu fouliguer à ce moment.
00:24:51Certainement.
00:24:53Et il y a des sanctions qu'il n'y a pas.
00:24:55Au Singapour, il y a un comité parlementaire
00:24:57qui a ajouté.
00:24:59C'est-à-dire qu'il n'est plus capable
00:25:01de prendre des sanctions légales.
00:25:03Je ne vais pas vous dire,
00:25:05je vais refaire le cas d'Ippipi.
00:25:07Le Parlement, je crois qu'il a
00:25:09une séparation du pouvoir.
00:25:11Je crois qu'il a une démarcation
00:25:13qui est claire et nette.
00:25:15Et si...
00:25:17Je vous donne l'exemple.
00:25:19L'exemple qu'il nous a suivi,
00:25:21c'est la Chambre des communes
00:25:23de l'Angleterre.
00:25:25C'était un bon système.
00:25:27Il y a eu des « check and balances »
00:25:29au-delà du spi commun
00:25:31qui n'a pas rappelé
00:25:33à l'autre bien, parce qu'il est fier
00:25:35et indépendant, mais il y a eu des sanctions
00:25:37qu'il n'a pas pris contre
00:25:39les députés qu'il fallait.
00:25:41Il n'a pas dit « whip ».
00:25:43Vous connaissez? C'est le mot de « whip ».
00:25:45200.000 députés là.
00:25:47Et ils ont utilisé d'autres sanctions.
00:25:49Mais quelque part,
00:25:51est-ce que vous ne sentiez
00:25:53un sentiment comme si
00:25:55oui, tu es capable de faire ça,
00:25:57mais tu as manqué dans quelque chose.
00:25:59Parce qu'au pouvoir, malgré tout,
00:26:01tu n'as pas réussi à mettre ça de l'avant.
00:26:03En fait, tout le gouvernement
00:26:05est dans l'ordre.
00:26:07Beaucoup d'idées sont proposées, et au pouvoir,
00:26:09personne n'en fait rien.
00:26:11Le premier ministre,
00:26:13il n'est pas d'accord du tout.
00:26:15Il ne dit pas quoi là.
00:26:17Nous, ce que nous voulons dire,
00:26:19c'est que l'alliance
00:26:21travaille à un niveau démocrate.
00:26:23Nous ne prenons l'engagement ferme.
00:26:25Ce qui est bizarre,
00:26:27c'est la liberté
00:26:29de l'information.
00:26:31Maintenant,
00:26:33nous disons que c'est une forme
00:26:35de « reverse pyramide »
00:26:37que tu laisses à la décision
00:26:39du peuple.
00:26:41Je vais répondre à cela.
00:26:45Nous avons constaté
00:26:47que les générations
00:26:49politiques de l'année 1960
00:26:51de l'année 1985
00:26:53à 2000,
00:26:55ils ont dit
00:26:57— dans l'époque j'ai dit, ce n'est pas pareil ça —
00:26:59ils ont dit
00:27:01que la nouvelle génération
00:27:03de jeunes
00:27:05a une tendance
00:27:07de banaliser l'institution.
00:27:09Ce n'est pas à cause du parti politique.
00:27:11Les jeunes banalisent la vie.
00:27:13C'est comme un accident.
00:27:15Maintenant qu'on est au Parlement,
00:27:17si vous pensez
00:27:19jouer au jeu,
00:27:21je vais vous répondre à cette question.
00:27:23D'un côté,
00:27:27il y a l'abuse
00:27:29d'un comportement.
00:27:33Comme je disais,
00:27:35il y a des députés,
00:27:37de la même manière que je conduis
00:27:39les vies,
00:27:41je pense
00:27:43que
00:27:45ces affaires
00:27:47qui reflètent dans ma tête des députés,
00:27:49c'est important.
00:27:51Pourquoi continuer?
00:27:53Parce que si nous ne mettons pas un virgule,
00:27:55si nous ne commençons pas à être soft,
00:27:57ça peut être un problème.
00:27:59Nous ne pouvons plus être soft.
00:28:01C'est ma position.
00:28:03Nous ne pouvons plus être soft.
00:28:05Nous devons juste faire un S
00:28:07et laisser la situation aller
00:28:09pour que tout le monde pense ce qu'il veut.
00:28:11Surtout les jeunes politiciens.
00:28:13Nous ne pouvons plus y aller.
00:28:15Qui sera là pour venir?
00:28:17Qui prendra le pays?
00:28:19Dans dix ans, quinze ans, vingt ans?
00:28:21C'est maintenant que le prochain
00:28:23gouvernement doit
00:28:25consolider la Constitution,
00:28:27remettre les
00:28:29« checks and balances »
00:28:31qui sont liés avec le Nouveau Etat.
00:28:33Parce que tout système peut changer.
00:28:35La technologie doit rentrer.
00:28:37L'intelligence artificielle doit rentrer.
00:28:39La façon dont les entreprises
00:28:41travaillent à la maison.
00:28:43Nous ne pouvons pas travailler
00:28:45au niveau international.
00:28:47Donc nous devons arrêter tout ça.
00:28:49Même si un gouvernement
00:28:51peut nous faire rire,
00:28:53nous devons nous inquiéter, nous devons écouter.
00:28:55Laissez-moi m'occuper de ça
00:28:57à ce moment-là.
00:28:59Il y a un dossier que moi,
00:29:01personnellement, j'ai pensé de renouveler.
00:29:03La communauté tamoule,
00:29:05la communauté indo-christienne,
00:29:07peut-être dans d'autres terrains.
00:29:09C'est pareil comme
00:29:11M. Messine a écrit dans « Week-end »
00:29:13une jolie interview.
00:29:15Ce n'est pas une proteste
00:29:17politique. C'est une proteste
00:29:19culturelle.
00:29:23J'ai demandé au Premier ministre de renouveler
00:29:25ce dossier-là. Il n'a pas conclu non plus.
00:29:27Tout Premier ministre
00:29:29nous respectait. Il a dit que
00:29:31nous devions le renouveler.
00:29:33Il a dit que demain,
00:29:35nous devions renouveler
00:29:37et prendre une décision
00:29:39pour que tout le monde
00:29:41soit content que ce terrain soit renouvelé.
00:29:43Nous avons respecté les droits des propriétaires.
00:29:45Nous passons maintenant à la série
00:29:47d'émotions.
00:29:49Il ne va pas être à court.
00:29:51C'est un très bon débat.
00:29:55Qu'est-ce qu'il y a en Grande-Bretagne?
00:30:01La Chambre des communes.
00:30:03Il y a un député
00:30:05qui s'appelle Cash4Questions.
00:30:07C'est un député du rang du gouvernement
00:30:09et il a besoin d'un problème pour Cash4Questions.
00:30:13C'est un sujet avant l'enquête.
00:30:15Il n'a pas besoin
00:30:17de mon camarade pour dire
00:30:19qu'il n'est pas capable.
00:30:21Il a besoin
00:30:23d'un bon paramètre.
00:30:25Certainement, Cash4Questions
00:30:27est préféré
00:30:29au bureau du député.
00:30:31Nous passons à la série d'émotions.
00:30:33Nous passons à la première émotion
00:30:35qui finit le débat.
00:30:39Est-ce que le leader de l'opposition
00:30:41et le député de l'opposition
00:30:43gagnent un peu plus d'attitude?
00:30:47Est-ce qu'il y a une question
00:30:49qu'on peut réfléchir avant?
00:30:53Est-ce qu'il y a un sentiment?
00:30:57Laisse-moi dire une chose.
00:31:01L'objectif n'est pas agressif.
00:31:05Mais l'objectif reste le même.
00:31:09Moi, j'ai beaucoup de P&Q.
00:31:11Je ne vais pas vous dire
00:31:13que c'est la...
00:31:17Pas le charcuterie.
00:31:19Mais la forme.
00:31:23En rouge dans le libellé de la question.
00:31:27Intérêt, non.
00:31:29Mais dans la forme et la substance.
00:31:33Avant, on peut dire.
00:31:35Mais c'est la question qui nous est posée.
00:31:37Non, la façon qui nous est posée.
00:31:41Mais la prise de l'attitude d'aujourd'hui.
00:31:47Ce qu'il faut faire,
00:31:49c'est donner une dimension humaine
00:31:51mais sans perdre de vue
00:31:53sur agir au point serré
00:31:55et rendre la vie de l'opposition difficile.
00:31:57Ça devient une série de bandes.
00:31:59De bandes faites.
00:32:03Si vous voulez, avec plaisir.
00:32:05Non, vous répondez à nous là.
00:32:07Vous êtes d'accord?
00:32:09Non, je ne suis pas d'accord du tout.
00:32:11Enfin, il y a eu un désaccord.
00:32:13Le début de l'opposition m'a fait un statement
00:32:15que le nouveau Speaker,
00:32:19qui nous montre que tout Speaker
00:32:21doit être en l'armée pour contrôler la maison.
00:32:23La maison ne doit pas sortir de contrôle.
00:32:27C'est lui qui lance un Speaker.
00:32:29Comment tu peux rouler le parlement
00:32:31si tout le monde de l'opposition
00:32:33t'est bien baissé la tête, tu peux y aller.
00:32:35Non, il est encore à port.
00:32:37On peut dire qu'il est toujours à l'intérieur.
00:32:41Je ne suis pas d'accord.
00:32:43C'est un statement gratuit que vous pouvez faire.
00:32:45Non, il n'est pas gratuit.
00:32:47Non, non, écoutez.
00:32:49L'effet que vous avez dit,
00:32:51même si vous n'êtes pas là,
00:32:53à une session,
00:32:55même si vous n'êtes pas là,
00:32:57de censure,
00:32:59de blâme,
00:33:01il n'y a aucune raison pour que vous fassiez un statement comme ça.
00:33:03Au contraire, quand il est fini,
00:33:05comment dire, il n'est pas agressif,
00:33:07il est plus humain,
00:33:09il donne au parlement
00:33:11un lieu pour qu'il puisse respirer aussi,
00:33:13une certaine élégance.
00:33:15Toutes les parlementaires qui ne se suspendent pas
00:33:17qui ont l'accès à la présidence
00:33:19de l'Assemblée nationale,
00:33:21qui ont l'accès à une date de non-séance,
00:33:23toutes les bonnes questions
00:33:25qui l'ancien Speaker parti d'accord
00:33:27avec les autorités locales,
00:33:29ils l'ont accepté.
00:33:31Toutes les bonnes questions
00:33:33que l'opposition peut se poser,
00:33:35le tirage au chaud,
00:33:37une décision pour lui-même,
00:33:39tous leurs anciens systèmes.
00:33:41Mais même là aussi, quand il n'invite pas de membres de l'opposition
00:33:43pour venir dans cette session-là,
00:33:45personne ne va le faire venir.
00:33:47Vous avez une certaine faiblesse.
00:33:49C'est comme ça.
00:33:51C'est pour ça qu'il est venu,
00:33:53il est resté sur le siège,
00:33:55avec la façon dont il se comportait correctement.
00:33:57Et maintenant, il est allé en visite à l'étranger
00:33:59pour faire de l'honneur au pays.
00:34:01C'est pour ça qu'il est venu.
00:34:05Pourquoi les gens qui nous manquent d'auditeurs,
00:34:07qui nous manquent d'internautes,
00:34:09réalisent qu'enfin nous trouvons un désaccord
00:34:11entre les deux invités du jour ?
00:34:13C'est un désaccord
00:34:15qui est assez normal
00:34:17puisque l'un a récupéré l'AMSD,
00:34:19l'autre est le leader de l'opposition,
00:34:21ou ils finiront une motion
00:34:23contre le SPICA,
00:34:25qui est quand même quelqu'un qui a démissionné du PMSD
00:34:27pour prendre des fonctions
00:34:29de SPICA aussi.
00:34:31Attendez, écoutez, je veux que vous l'aiez.
00:34:33Pour ne pas prendre la nomination du SPICA,
00:34:35ça nous regardons ça pour plus tard.
00:34:37Moi, on explique bien quand même.
00:34:39Ce n'est pas un privilège le SPICA.
00:34:41C'est un droit qu'il a enlevé
00:34:43des parlementaires,
00:34:45des membres de l'opposition.
00:34:47Ceux qui nous ont dit
00:34:49que l'opposition a besoin d'un C.
00:34:55Le gouvernement a besoin d'un C,
00:34:57l'opposition a besoin d'un C.
00:34:59Bureau-leader de l'opposition,
00:35:01qui étais-tu ?
00:35:03C'est dans l'ancien.
00:35:05Dans l'ancienne de l'ancienne.
00:35:07J'étais,
00:35:09littéralement,
00:35:11comment on dit à Vienne-Bourg,
00:35:13de l'ancien SPICA,
00:35:15de l'ancienne SPICA.
00:35:19Deuxièmement,
00:35:21nous ne sommes pas choqués
00:35:23quand on pose des questions
00:35:25aux collectivités locales,
00:35:27sachant très bien qu'ils ont sorti
00:35:29d'un poste de contribuables
00:35:31au niveau national.
00:35:33Troisièmement,
00:35:35le droit des questions
00:35:37est la façon de s'y faire.
00:35:39C'est l'opacité.
00:35:41Ce n'est pas s'ils nous font crier
00:35:43devant le public.
00:35:45Nous faisons la guerre pour nos droits.
00:35:47Ce n'est pas une privilège
00:35:49qu'ils restituent.
00:35:51C'est un droit comme parlementaire.
00:35:53Je l'ai fait ressentir très clair.
00:35:55Mais il y a tant
00:35:57qui, quand ils viennent avec le SPICA,
00:35:59demandent davantage
00:36:01nos droits.
00:36:03Malheureusement, ils nous rejettent
00:36:05beaucoup de choses.
00:36:07Tu m'as demandé les raisons.
00:36:09Alors, ça ne m'intéresse pas.
00:36:11Ils nous font une faveur.
00:36:13Loin de là.
00:36:15Et aujourd'hui, quand...
00:36:17Encore, tout à l'heure,
00:36:19le problème.
00:36:21Ils nous commencent comme un underdog.
00:36:23Ils nous tiennent là pour restituer
00:36:25certains droits à nous.
00:36:27Ça, c'est ce qu'on appelle...
00:36:31On refait l'image
00:36:33parce qu'ils nous collent dans
00:36:35une circonstance nommée comme SPICA.
00:36:37Alors.
00:36:39Donc, pas courantier.
00:36:41Je vais répondre à sa question.
00:36:43Je vais répondre à sa question.
00:36:45Un SPICA, les vignes,
00:36:47ce n'est pas une question d'un underdog,
00:36:49pas d'un underdog.
00:36:51Ce n'est pas une question d'un petit garçon
00:36:53qui était là-bas.
00:36:55Un SPICA, il n'y a pas d'enfants là-bas.
00:36:57Il ne fallait pas protéger.
00:36:59Non, non, non.
00:37:01Si un membre de l'opposition
00:37:03fait ça, on appelle ça un lapse of judgment.
00:37:05C'est un coup de respect, un lapse of judgment.
00:37:07Maintenant, je me connais comment
00:37:09j'ai été terrifié pendant des mois et des mois
00:37:11avec l'ancien SPICA.
00:37:13Moi, j'ai causé l'horreur de plus.
00:37:15J'ai fait un courant, j'ai donné tous les détails.
00:37:17Le SPICA a résigné.
00:37:21Il n'a pas résigné.
00:37:23Non, non, non.
00:37:27Officiellement, il a résigné.
00:37:31L'opposition a un membre
00:37:33pour devenir un SPICA.
00:37:37Le SPICA, l'honorable
00:37:39Adrien Duval,
00:37:41définitivement, il préfère ce mieux.
00:37:43Il est un dogme.
00:37:45Il est fou d'être un SPICA.
00:37:47Il a tous les pouvoirs du SPICA pour diriger le Parlement.
00:37:49Et d'ailleurs, il ne fait pas
00:37:51ce geste de bienveillance vis-à-vis
00:37:53de tout, et de nous autres, l'étant.
00:37:55Par contre, l'opposition,
00:37:57elle a souhaité
00:37:59nous retourner là-bas.
00:38:01Mais j'ai tous les défauts avec lui.
00:38:03Mais tout ce qu'il a fait, je n'ai pas trouvé.
00:38:05J'ai piqué quelque chose.
00:38:07Mais tout ça, pendant des mois et des mois,
00:38:09l'autre là, c'est un peu mort.
00:38:11C'est un peu comme un boule de ouf.
00:38:13Tout le monde est un membre de l'opposition.
00:38:15C'est ça. Ce n'est pas correct.
00:38:17Et le premier ministre ne prend pas
00:38:19aucune action, là.
00:38:21Qu'est-ce qu'il arrive quand on finit
00:38:23causer le SPICA
00:38:25finalement, mais quand il y a un nouveau SPICA
00:38:27dans cette élégance.
00:38:29Je suis d'accord,
00:38:31un camarade à un camarade,
00:38:33Javier Ludival, pendant 50 ans,
00:38:35on connaît bien, on s'est rendu au Parlement ensemble.
00:38:37On connaît bien ces familles-là.
00:38:39Pareil, on connaît
00:38:41la famille Mohamed.
00:38:43Moi, j'ai un grand-père,
00:38:45ma maman, c'est Abdoul Razak Mohamed.
00:38:47Mais j'ai des affaires.
00:38:51Si on connaît ces familles-là,
00:38:53je ne crois pas qu'ils soient aussi loin
00:38:55de la façon
00:38:57qu'ils sont arrivés là.
00:38:59On est dans la vie.
00:39:01Vous êtes un peu...
00:39:03Vous êtes comme « Catch the wind »
00:39:05« Hold the wind »
00:39:07C'est un homme qui fait de la radio-yoga, ça.
00:39:11Avant de vous parler,
00:39:13je vais répondre.
00:39:15Moi, mon retrait de la politique,
00:39:17ça veut dire que je ne suis ni PMSD,
00:39:19ni travailliste, ni MSM,
00:39:21mais je connais tous les membres de la famille.
00:39:23Et je suis content d'avoir fait un petit virage
00:39:25dans la spoutaine,
00:39:27où j'ai fait un ancien député-spikeur,
00:39:29moi un ancien député-spikeur.
00:39:31Et pour moi,
00:39:33pour moi, Maudit Oufran,
00:39:35moi et notre jeune spikeur,
00:39:37un ancien député-spikeur,
00:39:39on a autant un claim pour le spikeurship
00:39:41que lui.
00:39:43Mais je ne suis pas le fils de mon père.
00:39:45M'a pas dit méchamment,
00:39:47mais pour moi,
00:39:49il est déjà comme un spikeur malade
00:39:51qui risque
00:39:5360 jours
00:39:55avant que le parlement
00:39:57dissoute de plein droit.
00:39:59Mais normalement, il est malade.
00:40:01Il est remplacé.
00:40:03Pour moi,
00:40:05comme analyste,
00:40:07comme observateur éclairé,
00:40:09ceci est le prélude
00:40:11d'un arrangement électoral.
00:40:13Je vais répondre à sa question.
00:40:17Première fois, nous trouvons un membre
00:40:19d'une partie de l'opposition,
00:40:21un membre d'une partie de l'opposition,
00:40:23qui est un spikeur.
00:40:25Je dois dire à M. Sapo,
00:40:27au Premier ministre,
00:40:29qu'il faut faire quelque chose
00:40:31pour calmer
00:40:33cette cyclone du parlement.
00:40:35C'est important.
00:40:37Parce que l'ancien spikeur,
00:40:39ce n'est pas possible.
00:40:41Mais un célèbre peut dire
00:40:43que son père est petit.
00:40:45Qu'est-ce que c'est?
00:40:47Ecoute-moi.
00:40:49C'est un détonation.
00:40:51M. Papacicité.
00:40:55R. Boulez.
00:40:57Ch. Mohamed.
00:40:59J. Béranger.
00:41:01R. Rézaoutim.
00:41:03Mais je trouve que tout peut faire bien.
00:41:05Je trouve.
00:41:07Même moi, un politicien,
00:41:09quand nous faisons nos mandats,
00:41:11quand nous députons,
00:41:13ce n'est pas facile.
00:41:15Nous sacrifions la famille,
00:41:17il n'existe qu'à nous d'aller dans l'hôtel,
00:41:19dans sa chaleur,
00:41:21pour passer un petit moment ensemble.
00:41:23Je pense que c'est encore plus difficile.
00:41:25Je ne comprends pas
00:41:27qu'est-ce que vous êtes capables de faire.
00:41:29Lui n'est pas capable.
00:41:31Ce garçon n'est pas capable de faire politique.
00:41:33Ce garçon-là, c'est un député spikeur.
00:41:35Qu'est-ce qu'un spikeur peut dire à M. Papacicité?
00:41:37Deuxième chose que je veux rectifier aussi,
00:41:39c'est qu'au Japon.
00:41:41Japon, c'est une belle démocratie,
00:41:43un grand pays.
00:41:45Là-bas, c'est
00:41:47grand-père, petit premier ministre,
00:41:49ce garçon, petit ministre,
00:41:51ce petit enfant,
00:41:53premier ministre.
00:41:55L'autre côté, c'est les mêmes affaires.
00:41:57Grand-père, petit ministre,
00:41:59papa, petit premier ministre,
00:42:01petit enfant devient premier ministre.
00:42:03Mais il ne nous vient pas comme ça,
00:42:05je veux dire.
00:42:07Le Japon n'est pas l'exemple.
00:42:09Non, non, je veux dire.
00:42:11Je vais finir là.
00:42:15Mais il n'est pas capable
00:42:17de faire le bashing de la famille Duval.
00:42:21Moi, je pensais sincèrement
00:42:23que ça ne le ferait pas.
00:42:25On connaît les élections, on peut finir doucement,
00:42:27on peut accélérer.
00:42:29C'est ce premier ministre qu'on connaît
00:42:31du sud du Parlement.
00:42:33Pour montrer ce travail qu'il a fait,
00:42:35il faut dissoudre tout ça.
00:42:37Mais
00:42:39nous laissons une nouvelle réponse
00:42:41par rapport à ce que vous dîtes.
00:42:43Il y a une affaire, mon camarade Poutine,
00:42:47il y a une personne qui fait des paiements
00:42:49pour les épreuves indiennes.
00:42:51Il y a un effet maléfique
00:42:53sur la politique.
00:42:55Il y a un effet maléfique
00:42:57sur le PMS.
00:42:59Vous pensez que c'est le tien?
00:43:01Non, pas pour le tien,
00:43:03c'est pour moi.
00:43:05Je prends ma responsabilité.
00:43:07Je prends ma responsabilité.
00:43:13Non, pas si tu es en colère.
00:43:15En colère, c'est ce que tu fais.
00:43:19Il y a un effet négatif.
00:43:25Laisse-moi prendre le cas
00:43:27de
00:43:29le Speaker
00:43:31qui
00:43:33a un caractère difficile
00:43:35et qui n'est pas respectueux
00:43:37des institutions.
00:43:39Pour moi, il y a une collusion
00:43:41entre lui et le leader of the house.
00:43:43Ça, je le dis avec certitude.
00:43:45Deuxièmement,
00:43:49il a fait une déclaration
00:43:51dans la Gazette
00:43:53pour dire qu'il
00:43:55allait prendre
00:43:57sa démission.
00:43:59C'était
00:44:01sans pour.
00:44:03Qui finit là
00:44:05entre lui et Jagnath?
00:44:07Nous connaissons les Leptis qui ne sont pas électoraux.
00:44:09Mais Jagnath ne parle pas du vote
00:44:11de human feelings.
00:44:13Qui boucle une mauvaise démarche?
00:44:15C'est sous instruction de Jagnath.
00:44:17Le Parlement géré tel quel.
00:44:19Vous pouvez faire
00:44:21boucler les gens qui le connaissent.
00:44:23Et ne le faire
00:44:25pas simplement
00:44:27avec Fouquier.
00:44:29Qu'est-ce qu'ils ont fait
00:44:31avec Damien?
00:44:33Vous entendez qui est Damien?
00:44:35L'ancien directeur
00:44:37du service météorologique.
00:44:39Il a dit qu'il allait
00:44:41prendre sa démission
00:44:43sans qu'il ne donne sa démission
00:44:45à travers le premier ministre.
00:44:47Et là, c'est deux madames qu'ils ont fait
00:44:49aller dans la municipalité.
00:44:51Comme une mairesse.
00:44:53Toutes les mairesses.
00:44:55Anne-Marie de Beauvoir-Saint-Denis
00:44:57et Anne-Marie de Caraupin.
00:45:03C'est une fausse éviction.
00:45:05C'est un premier ministre
00:45:07qui mérite le respect.
00:45:09Comme vous le connaissez dans le Parlement.
00:45:11Avec
00:45:13de quelle façon
00:45:15ils ont fait une traite à Adrien Duval.
00:45:17Quand ils étaient opposants.
00:45:19Quand ils étaient opposants.
00:45:21Et vous savez comment ils ont réagi.
00:45:23Comment Adrien Duval, comme un papa
00:45:25qui se réagit aujourd'hui.
00:45:27Il leur a dit, ne fais pas moi loin.
00:45:29Ne fais pas moi cause à la famille.
00:45:31Alors,
00:45:33dans cette optique,
00:45:35moi je veux
00:45:37qu'il y ait une honnêteté.
00:45:39Quand on me dit qu'il n'y a pas
00:45:41d'acte de lâcheté,
00:45:43je suis honnête.
00:45:45Je me demande la question.
00:45:47Il ne faudrait pas pour moi
00:45:49qu'il y ait une trahison.
00:45:51Dans cette optique-là.
00:45:53Si PMSD,
00:45:55parce qu'il y a Zavier Luc
00:45:57qui a une fonction
00:45:59à Indira Gandhi Cultural Center.
00:46:01Après il s'est perdu
00:46:03à Nabil Ramboulam et Bérangé.
00:46:05Je comprends ce body language.
00:46:07Et je comprends aussi
00:46:09que Diagnate peut causer ce body language
00:46:11dans sa fonction.
00:46:13On va discuter aussi
00:46:15par respect pour Zavier Luc Duval.
00:46:17Il faut qu'on finisse notre relation.
00:46:19Je ne suis pas un peu capable de le savoir.
00:46:21Mais le temps est un facteur.
00:46:23Comprends-moi.
00:46:25C'était un accord
00:46:27politique.
00:46:29L'élection
00:46:31de camarades
00:46:33Adrien Duval,
00:46:35c'était une élection
00:46:37basée sur un règle
00:46:39politique.
00:46:41Rien de plus, rien de moins.
00:46:43Comprends-ça bien.
00:46:45Que vous savez me dire.
00:46:47Au nom de l'intégrité
00:46:49et de l'honnêteté,
00:46:51j'attends que...
00:46:53Là vous trouvez qu'il arrive avec une histoire d'écho,
00:46:55c'est dans mon mochon.
00:46:57Ce n'est pas un mochon venu avec légèreté.
00:46:59Possiblement
00:47:01j'attends que
00:47:03Zavier Luc Duval, en tant qu'élu
00:47:05du PMSD, vienne dire
00:47:07oui, nous avons un engagement politique
00:47:09avec MSM.
00:47:11Oui, nous parlons aux élections
00:47:13ensemble.
00:47:15Nous n'avons aucun droit
00:47:17assis sur les bancs
00:47:19de l'opposition.
00:47:21Avant de répondre,
00:47:23nous arrivons là pour prendre une pause.
00:47:25Nous sommes libres comme ils disent.
00:47:27Nous prenons la pause et après nous répondrons.
00:47:29Prêt pour la semaine.
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00:50:12Et d'autres dans l'opposition, je ne sais pas comment, sont traumatisés par l'ancien Speaker.
00:50:18Ils m'ont vraiment choqué quand j'ai vu que le Parti travailliste et le MMM s'assoient là-dedans.
00:50:24Faire des autres dans le Parlement. Il y a autant d'injures.
00:50:29Il y a autant d'injures. Il y a un malmeu de déplacer.
00:50:35Qui me fait même mal à l'aise.
00:50:40Les autres membres de l'House, pourquoi ne pas courir?
00:50:45Parce que l'opposition n'est pas d'accord.
00:50:47Ils ne sont pas venus s'assoyer.
00:50:49Parce que là, il peut y avoir une élection d'un Speaker.
00:50:53Un poste constitutionnel plus fort qu'il n'y en a pas dans les Russies.
00:50:59Donc, d'un certain point de vue, on connaît qu'il y a un Speaker dans l'Assemblée.
00:51:05Ce qui est important, c'est que tous les membres de l'opposition montrent leur sincérité.
00:51:10Montrent leur hauteur. Leur respect.
00:51:13Je vais peut-être donner un exemple au pays.
00:51:15Parce que demain, vous-même, vous n'avez pas de Premier ministre.
00:51:18Aujourd'hui, vous n'avez pas de leader.
00:51:21Demain, vous n'avez pas de leader Parti travailliste.
00:51:23Demain, vous n'avez pas de Premier ministre dans ce pays.
00:51:26C'est à ce jour-là que je vois le Parti travailliste et le MMM faire ces manifestations-là.
00:51:32C'est à ce jour-là que je vois le Parti travailliste et le MMM faire ces manifestations-là.
00:51:35D'une certaine façon, je m'embarrasse de dire ça.
00:51:41Parce que ce n'est pas aussi important.
00:51:43Ce n'est pas correct.
00:51:45La Gazette peut dire ce qu'elle voit.
00:51:47Les Peps peuvent dire ce qui est arrivé.
00:51:49Dans le processus de nomination du nouveau Speaker, l'honorable Adrien Duval,
00:51:55il est bien de faire face et de courir comme ça.
00:52:00Parce que vous-même, vous-même, vous devez donner l'exemple au pays.
00:52:03Et le public, il nous blâme, je le sais.
00:52:05Mais il n'a pas à le faire.
00:52:06C'est mal. Il ne peut pas y aller.
00:52:08Mais ce n'est pas correct.
00:52:10Deuxièmement,
00:52:16je fais un ultimatum avec lui.
00:52:20Nous ne pouvons pas nous emparer.
00:52:21Moi, tant pis, ça ne va m'emparer de monter sur ce panneau-là.
00:52:23Je te connais, je suis un biaisouère.
00:52:25Je suis le leader de l'opposition.
00:52:27Vous connaissez le nom d'un député.
00:52:32C'est le leader de la maison à l'époque.
00:52:34Dans la maison.
00:52:36Qui présente une motion qui a été commise en semaines.
00:52:38C'est une motion, ça.
00:52:40Une résolution.
00:52:42Moi, je trouve les lettres qui finissent avec « i ».
00:52:47Moi, j'avoue que le speaker,
00:52:49il me fait un petit rire quand je lui dis
00:52:51qu'il finit par dire « i ».
00:52:53Qu'il finit par dire « i ».
00:52:55Qu'il lève sa suspension-là.
00:52:57Parce qu'il m'a donné la lettre officielle
00:52:59adressée au leader de la maison.
00:53:01Non, non, non.
00:53:02Je ne l'ai pas laissée, je peux dire,
00:53:04dans le bois qui est arrivé.
00:53:06Vous, en tant qu'un leader de l'opposition,
00:53:08vous connaissez, il n'y a pas de speaker
00:53:10qui lève sa suspension-là.
00:53:12Non, non.
00:53:15Il n'est pas capable de faire comme ça.
00:53:17On connaît comment ça finit par se passer.
00:53:19Vous allez rentrer.
00:53:21Vous allez travailler en sérénité.
00:53:22Vous allez poser des questions.
00:53:23Vous allez avoir des réponses.
00:53:25Après, laisse-moi.
00:53:26Allez.
00:53:27Allez.
00:53:28Déjà, j'aime ça faire.
00:53:29Non, non, non.
00:53:30L'hôtel politique, vous allez un peu vite.
00:53:32Avant d'y aller, vous allez un peu vite.
00:53:34Moi, comme aussi député de Speaker,
00:53:36je peux dire, moi, à aucun moment,
00:53:38je n'ai subi la pression du leader
00:53:40du Parti politique de Provincial Nat
00:53:42pour interférer dans mon travail.
00:53:43Ni Sani Roudjianna pour interférer dans mon travail.
00:53:45Ni Paul Béranger pour interférer dans mon travail.
00:53:47Ni Provincial Nat aussi pour interférer dans mon travail.
00:53:49Moi, j'ai eu toute la liberté pour faire mon travail.
00:53:51En tout cas,
00:53:53en tout cas,
00:53:55le côté politique,
00:53:57c'est là,
00:53:59le fait de mentionner que
00:54:01l'élection d'Adrien Gival,
00:54:03c'est un côté politique, ça.
00:54:05Mais il y a une chose à dire
00:54:07qui, comme ça,
00:54:09qui, le Parti travailliste
00:54:11le Parti travailliste peut manipuler
00:54:15et surtout, ou même,
00:54:17on peut manipuler
00:54:19pour les autres,
00:54:21parce que les autres ne peuvent pas accepter
00:54:23notre allusion contre Xavier Gival
00:54:25et Adrien Gival et le PMSD.
00:54:27C'est ce que
00:54:29les gens disent. Vous avez gardé l'indépendance.
00:54:31Vous êtes des bons gens.
00:54:33Mais les gens pensent qu'on peut voter.
00:54:35À cause de ça, peut-être que Xavier Gival
00:54:37ne tiendrait pas la flaque.
00:54:39Non, Xavier Gival,
00:54:41sans mauvaise intention,
00:54:43Xavier Gival ne tiendrait pas la flaque.
00:54:45Ecoute, laisse-moi causer.
00:54:47Il ne tiendrait pas la flaque.
00:54:51Deux affaires.
00:54:53Bon, pas pour
00:54:55rentrer dans les détails, parce que ça n'est pas encore dans la motion.
00:54:59Un camarade journaliste, Lindsay Rivière,
00:55:01disait ça. Il y a un moment
00:55:03indépendant. Il disait
00:55:05l'arrivée ou la nomination
00:55:07d'Adrien Gival était
00:55:09prématurée.
00:55:11Épargnez-moi les détails
00:55:13qui m'ont causé l'accident. Ça n'a rien à voir.
00:55:15C'est OK.
00:55:17Je ne peux pas vous rentrer là-dedans.
00:55:19Je comprends bien.
00:55:21Il n'y a pas autant ça.
00:55:23C'est comme dire que la nomination
00:55:25était prématurée. Épargnez-moi
00:55:27les détails. Maintenant,
00:55:29ça va le camarade parlementaire.
00:55:31Il n'est pas là pour faire le jugement.
00:55:33Mais quand on fait l'invite tout parlementaire
00:55:35de l'opposition
00:55:37pour l'intronisation,
00:55:39pour le vote,
00:55:41et les affaires après,
00:55:43bien, toi, tu ne peux pas prendre une sanction contre toi.
00:55:45Tu ne peux pas rendre.
00:55:47Qui tient vite toi, qui finit
00:55:49l'année réelle ou non,
00:55:51ça, c'est autre chose.
00:55:53Quand elle est là, on peut dire
00:55:55que c'est le leader of the house
00:55:57qui enlève la sanction.
00:55:59Maintenant,
00:56:01vous n'êtes pas capables
00:56:03de la démocratie parlementaire.
00:56:05Vous avez un respect pour le Parlement.
00:56:07Le Parlement, moi, je l'ai dit,
00:56:09c'est le temple
00:56:11de la démocratie.
00:56:13On ne peut pas faire ça
00:56:15sachant très bien
00:56:17que la personne
00:56:19a un problème.
00:56:21On ne peut pas l'élaborer.
00:56:23On ne peut pas choisir la personne pour être speaker.
00:56:25Deuxièmement,
00:56:27nous parlons de dissolution du Parlement.
00:56:29Il y a quelques semaines
00:56:31de la dissolution du Parlement.
00:56:33Un des meilleurs scénarios
00:56:35pour le Parlement,
00:56:37c'est le 21 novembre.
00:56:39Disons que c'est parti dans l'élection partielle.
00:56:41Si on fait l'élection partielle,
00:56:43on ne peut pas parler au-delà du 21 novembre.
00:56:45Il y a un député speaker
00:56:47qui est capable
00:56:49d'agir
00:56:51comme un speaker.
00:56:53Il est capable
00:56:55d'avoir l'approbation de tout un chacun.
00:56:57Il doit être consensuel
00:56:59dans l'absolu.
00:57:01Il n'est pas capable
00:57:03d'avoir que le peuple mauricien
00:57:05qui doit dire
00:57:07pour sa période
00:57:09qu'il n'y a pas d'autres personnes
00:57:11qui ont voté.
00:57:13Le public comprend.
00:57:15Le public comprend.
00:57:17Vous n'êtes pas d'accord.
00:57:19Vous pensez que la nomination
00:57:21d'Adrien Duval
00:57:23au poste de speaker est légitime.
00:57:25Orvin Boulel
00:57:27n'est pas d'accord.
00:57:29Non, non, non.
00:57:31J'ai répondu.
00:57:33J'ai répondu.
00:57:35Je le reconnais bien.
00:57:37Je suis dans le Parlement depuis 1987.
00:57:39Une fin de vie.
00:57:41L'élection de Pérou.
00:57:43Prayag.
00:57:45Saramé-Zéoulal.
00:57:47Vous connaissez le passeport section 30D.
00:57:49Quand il n'y a pas de speaker,
00:57:51vous avez le passeport section 30D.
00:57:53Quand il y en a 50, il n'y a pas de speaker.
00:57:55Donc, vous pouvez me faire
00:57:57fantaisie, déclencher une moinelle,
00:57:59avec beaucoup de respect,
00:58:01m'accepter, fin d'année réelle ou là.
00:58:03A cette élection, c'est des autres qui sont là.
00:58:07D'après la loi de 1953,
00:58:11il n'y a pas de contempt of the house dedans.
00:58:15C'est un contempt of the house.
00:58:17Failing to obey.
00:58:19Insulting any member.
00:58:21Insulting any member.
00:58:23Reflecting, resisting, insulting.
00:58:25Là,
00:58:27le DPP
00:58:29est là tout droit pour guetter,
00:58:31pour faire une enquête
00:58:33et prendre des sujets qui visent.
00:58:35Je vous arrête là.
00:58:37Je vous rappelle aux internautes et aux auditeurs
00:58:39qu'en fait, si on applique
00:58:41les lois parlementaires
00:58:43à la lettre,
00:58:45on croit trois corps au Parlement.
00:58:47Non.
00:58:49Ça fait 25 ans qu'ils montent en politique.
00:58:51C'est une affaire de zalousie.
00:58:53Non.
00:58:55Nous ne prenons plus le côté de la personne.
00:58:57Le point qui nous fait nous retenir
00:58:59pour les auditeurs et les internautes,
00:59:01c'est que Petit Virage Poudin du PMSD
00:59:03pensait que la nomination
00:59:05est légitime.
00:59:07Orvin Boulel,
00:59:09le leader de l'opposition opposant,
00:59:11pensait que ce n'est pas le cas.
00:59:13Moi, quand mon bilan a été éclairé,
00:59:15j'aurais eu mon point de vue.
00:59:17Nous n'avons pas dit notre motion.
00:59:19Nous n'avons pas dit notre motion.
00:59:21Nous avons dit notre motion.
00:59:23Le procès.
00:59:25Nous avons dit notre motion.
00:59:27Nous avons dit notre motion.
00:59:29Le rouge fleuve
00:59:31qui finit
00:59:33levé
00:59:35contre Orvin Boulel.
00:59:37Et nous avons dit notre motion
00:59:39contre le ministre de
00:59:41l'environnement.
00:59:43C'est la première fois
00:59:45qu'un membre de l'opposition,
00:59:47c'est-à-dire qu'il n'y a pas dans l'opposition, et donc mettez-moi sur compte le leader de l'opposition.
00:59:53C'est ça. Laisse-moi...
00:59:56Je crois que nos camarades, les leaders de l'opposition,
01:00:01d'accord, qu'ils avaient dit que c'était un très bon jumeau, ça.
01:00:05Où est-ce qu'on dit ça?
01:00:07Beaucoup de jumeaux disent ça.
01:00:09Où est-ce qu'on a le plaisir...
01:00:11Non, non, non, non, même si c'est un très bon jumeau.
01:00:14Beaucoup de membres de l'opposition disent ça.
01:00:17Moi, j'ai intégré le PMSD,
01:00:19je me dis que c'est un grand plaisir que je travaille vis-à-vis de l'Octuval.
01:00:26N'importe qui a le téléphone, 7h du matin, 10h du soir, 7h,
01:00:29il nous demande notre point de vue.
01:00:31Il est très élégant, il a beaucoup de manières, un savoir de faire,
01:00:35il écoute tout le monde.
01:00:37Là, ce qui pour moi,
01:00:40déclare que ce qui peut arriver dans le Parlement,
01:00:45c'est un power game, c'est déjà là.
01:00:48Le Parti travaille sur le MMM,
01:00:51moi, dans mon opinion personnelle,
01:00:53les pays négocient pour des tickets, portent des tickets,
01:00:55c'est comme ça qu'ils arrivent.
01:00:57Je n'ai pas envie de flipper le PMSD,
01:00:59c'est tout, ni plus ni petit.
01:01:02Il y a 5 ans qu'il n'a pas été président du Parlement.
01:01:06Après 5 ans, il est venu dans l'élection,
01:01:09il prend 30 tickets,
01:01:11le MMM prend 30.
01:01:15Le Parti travaille,
01:01:17depuis 2014, 2024,
01:01:19il prend 35,
01:01:21il en donne 17.
01:01:23Donc là, il y a le budget de 2006,
01:01:25après 2008.
01:01:35Si tu donnes 30, 20, 10,
01:01:39il est là, dans l'allocation de 20 tickets,
01:01:41il n'est pas aussi présent,
01:01:43il n'est pas capable même de faire ses affaires.
01:01:45Non mais là, il n'y a pas de cause au motion de blâme.
01:01:47David Duval met une motion de blâme,
01:01:49quand il a vu une boulette.
01:01:51Tout ça, il a décalé à cause de tout ça.
01:01:53C'est-à-dire qu'au pire,
01:01:55ça veut dire qu'ils sont au-dessus de l'élection.
01:01:57Parce qu'ils sont au-dessus de l'élection,
01:01:59quand le Speaker
01:02:01continue son travail
01:02:03pour écrire le PMSD,
01:02:05pour que l'électorat
01:02:07déteste le PMSD,
01:02:09avec un game factor dedans.
01:02:11Il n'a pas fait RL,
01:02:13il a souligné ça, les politiques,
01:02:15ils ont dit clair, carré, carré, black and white,
01:02:17voilà la situation, c'est un write-off.
01:02:19Il y a un gouvernement,
01:02:21il y a tout là-dedans.
01:02:23C'est un power game ça, tout le temps il y a ça.
01:02:25Mais on ne peut pas caractériser un parti politique...
01:02:27On ne peut pas caractériser un parti politique,
01:02:29un parti politique,
01:02:31Libéraux, il y en a sur la force.
01:02:33Merci.
01:02:35Avec tout le respect pour le rapport,
01:02:37il y a des choses qui...
01:02:39Quand il y a un Speaker,
01:02:41ou quand il n'y a pas un garçon Speaker,
01:02:43mais là, c'est pas une relation
01:02:45papa-garçon, là,
01:02:47comprends ça bien.
01:02:49Avec tout le respect.
01:02:51Moi je suis étonné quand vous avez du val
01:02:53de titre fauteuil.
01:02:55Et deuxièmement,
01:02:57si ils nous attaquent, ils nous attaquent.
01:02:59Et quand la personne
01:03:01s'est choisi
01:03:03à politique,
01:03:05il n'y a pas de déclaration.
01:03:07Astaire.
01:03:09Maintenant,
01:03:11on retrouve,
01:03:13on peut dire qu'en cause de la motion qu'ils avaient...
01:03:15Je ne vais pas rentrer dans le détail,
01:03:17mais c'est bon,
01:03:19Antoine Demaine,
01:03:21il n'y a pas d'info que ça n'a.
01:03:23Signeur Karnes.
01:03:25Et il n'y a pas beaucoup de camarades qui connaissent
01:03:27la loi.
01:03:29Jamais vu ça, jamais entendu.
01:03:31Oui.
01:03:33Bon, pas pour le dire, c'est que...
01:03:35M. Antoine, il disait, nous sommes tous
01:03:37concernés.
01:03:39Que le membre de l'opposition puisse présenter ainsi une motion
01:03:41de blâme contre le leader de l'opposition.
01:03:43C'est là, unprecedented.
01:03:45Dépourvu de bon sens.
01:03:47Il est évident que vous avez du val
01:03:49en réponse à la motion
01:03:51du leader de l'opposition à l'encontre
01:03:53de son fils, qui est le nouveau Speaker.
01:03:55L'intérêt personnel des du val
01:03:57père et fils...
01:03:59Un petit moment.
01:04:01Je comprends bien.
01:04:03Pas moi, ça.
01:04:05Autant qu'il me connaît
01:04:07par le membre du Bloc de travail.
01:04:09Alors, je vous ai
01:04:11clair et net là.
01:04:13Ça, si vraiment
01:04:15les clients vivent avec
01:04:17une motion, c'est qu'il n'y en a
01:04:19pas de monde qui...
01:04:21M. est certain, il y a des expérimentations.
01:04:23Les autres fois, ils vivent avec une Private Member's Bill.
01:04:25Quatre fois.
01:04:27Donc, c'est du jamais vu.
01:04:29Jamais entendu.
01:04:31C'est la résultat par les gens qui mettent le document.
01:04:33Vous connaissez ça.
01:04:35Vous connaissez un Speaker.
01:04:37Vous connaissez quand on attaque
01:04:39un Speaker.
01:04:41Il est difficile pour lui, pour être capable
01:04:43de réagir. Il veut laisser passer.
01:04:45Il n'est pas capable.
01:04:47Tout le monde commence à être enceint.
01:04:49Je pense que là, en tant qu'un père et un papa,
01:04:51c'est tout à fait normal.
01:04:53C'est ça le point.
01:04:55Moi, je ne suis pas pour
01:04:57Xavier Duval. Je ne suis pas pour
01:04:59Avin Boulel. Il y a deux choses
01:05:01qui me frappent, qui me mettent à mes coups.
01:05:03La première, c'est qu'il m'entende, Xavier-Luc Duval, dire
01:05:05que je ne vais pas faire du mal.
01:05:07Et deuxièmement,
01:05:09on peut dire jalousie
01:05:11qu'il peut faire contre le Speaker
01:05:13pour faire une bataille
01:05:15contre le PMSD. Mais, puisque
01:05:17le principe veut que le Speaker
01:05:19n'est plus membre du PMSD.
01:05:21C'est un bon sens de dire ça.
01:05:23C'est ça que le leader du PMSD ne comprend pas.
01:05:25Mais non, c'est le leader du PMSD
01:05:27qui contient une motion.
01:05:29Donc, aujourd'hui,
01:05:31moi, je vais vous dire.
01:05:33Non, non, vous avez fait erreur là.
01:05:35Il y a l'antenne là.
01:05:45Exactement.
01:05:47C'est ça.
01:05:49Mais il est valide.
01:05:51Il est valide.
01:05:53Il est valide.
01:05:59Pour moi, personnellement,
01:06:01un membre de l'opposition
01:06:03qui rentre une motion de blâme
01:06:05contre un autre membre de l'opposition,
01:06:07pour moi, il n'est même pas recevable dans l'opposition.
01:06:09Je ne sais pas ce qu'il met.
01:06:11Ou parce que c'est le Réal Madrid,
01:06:13ou parce que c'est contre Barcelone.
01:06:15Ou parce que c'est le Réal Madrid.
01:06:17Pour moi, la question,
01:06:19est-ce qu'il est recevable?
01:06:21Parce que, d'ailleurs,
01:06:23je n'ai pas tant d'amis
01:06:25un membre de l'opposition,
01:06:27un membre de l'opposition.
01:06:29Non, mais il est arrivé,
01:06:31ça ne veut pas dire qu'il est illégal.
01:06:33Non, non, je ne dis pas.
01:06:35C'est le président de la République
01:06:37qui nous ment.
01:06:39OK?
01:06:41C'est vos partis, vos parlementaires.
01:06:43Il y a quelque chose qui...
01:06:45Mais qu'est-ce que ça?
01:06:47Nous résistons dix minutes.
01:06:49Non, mais qu'est-ce qu'on a fait?
01:06:51Nous avons posé des ordres
01:06:53que l'opposition ne peut pas faire.
01:06:55On a posé des ordres
01:06:57qui expliquent
01:06:59sa place constitutionnelle.
01:07:01On a expliqué ces ordres-là.
01:07:03Pour faire une enquête,
01:07:05on ne va pas arriver là-dedans.
01:07:07Troisièmement, on a dit
01:07:09à nos parlementaires,
01:07:11vous avez l'exemple.
01:07:13Et quatrièmement,
01:07:15il y a eu le même
01:07:17pêche-pêche politique aussi,
01:07:19l'Ola, le pêche-pêche politique,
01:07:21le PMSD.
01:07:23Si le PMSD quitte l'Alliance,
01:07:25ce droit...
01:07:27Absolument.
01:07:29C'est pour ça que nous disons
01:07:31qu'il y a moins d'analyse comme outsider,
01:07:33c'est que ce qui se passe,
01:07:35c'est que tout ça forme partie
01:07:37d'une alliance électorale qui est en gestation.
01:07:39Le PS peut-il conclure
01:07:41l'alliance avec MSM?
01:07:43Non, non, non.
01:07:45Non, je ne vais pas conclure.
01:07:47Valéry a dit qu'il n'y a pas d'alliance
01:07:49entre le PMSD et le MSM.
01:07:53Il n'y a aucune...
01:07:55Attendez, attendez.
01:07:57Il n'y a pas d'alliance.
01:07:59C'est-à-dire...
01:08:03Le PMSD, pour faire l'alliance,
01:08:05s'il trouvait qu'il n'y avait pas
01:08:07de conditions réunies
01:08:09pour qu'il ait aussi l'espace démocratique
01:08:11et tous les bons travailleurs mourissent,
01:08:13consolider le gain de pouvoir d'achat
01:08:15et pouvoir imposer
01:08:17cette qualité de vie,
01:08:19s'il trouvait qu'il n'y avait pas
01:08:21d'alliance en tant qu'aidé des petits.
01:08:23Si l'alliance était confiée, moins éclairée,
01:08:25moins d'observateurs éclairés,
01:08:27pas-ce qu'il n'y avait pas d'adrien Duval, Speaker...
01:08:29Allez, nous allons dans l'autre...
01:08:31L'instrumentalisation des politiques partisanes.
01:08:35Observateurs,
01:08:37d'observateurs.
01:08:39Si la motion n'est pas pour débattre,
01:08:41si jamais le Parlement ne répond pas
01:08:43avant le 15 octobre,
01:08:45si jamais le Parlement décide d'entretendre
01:08:47jusqu'au 15 octobre,
01:08:49qu'est-ce qu'on peut mettre en motion là
01:08:51contre le ministre de l'Environnement ?
01:08:53Qu'est-ce qu'on peut mettre en motion là ?
01:08:55C'est extrêmement grave.
01:08:59On ne peut pas être ministre
01:09:01et noter en même temps.
01:09:03On n'a pas de documents
01:09:05pour définir ce bureau
01:09:07peut travailler,
01:09:09et ce nom peut servir.
01:09:11Et la chèque plus que
01:09:132,5 millions,
01:09:15c'est signé
01:09:17par l'Environnement.
01:09:19C'est extrêmement grave, ça.
01:09:21Pas moins que ça.
01:09:23On ne peut pas dire
01:09:25que c'est signé par l'Environnement.
01:09:27Oui, c'est signé par l'Environnement,
01:09:29mais on n'a pas le droit de faire ça.
01:09:31On n'a pas le droit de faire ça.
01:09:33Ce n'est pas...
01:09:35Non, mais,
01:09:37on ne peut pas noter les commandes
01:09:39pour ces affaires-là.
01:09:41Est-ce que vous pouvez montrer nous ?
01:09:43Ce n'est pas la signature.
01:09:45Ce n'est pas la signature.
01:09:47Il y a des affaires extrêmement graves
01:09:49pour moins que ça.
01:09:51Mais qu'est-ce que vous pouvez demander dans la motion ?
01:09:53La motion, c'est qu'effectivement,
01:09:55vu son caractère,
01:09:57il en compte toujours
01:09:59sur la liste
01:10:01des notaires,
01:10:03pour avoir l'argent des clients,
01:10:05d'une failleur
01:10:07à sa tâche comme ministre.
01:10:09Donc, ça, c'est oublié dans la motion.
01:10:11Dans la motion, il n'est pas capable d'y aller.
01:10:29Est-ce que ma ministre,
01:10:31c'est un des méchants ?
01:10:33C'est extrêmement simple.
01:10:35Avec les GAT,
01:10:37on a un document ici.
01:10:39C'est l'arrivée qu'il faut mettre le document 1.
01:10:41Oui.
01:10:43Vous pensez que c'est ça.
01:10:45Un document, oui, voilà.
01:10:47Un document qu'on a là.
01:10:51Que bel et bien,
01:10:55c'est ce bureau qui le processe.
01:10:57Ah ça ?
01:11:01Néanmoins,
01:11:03si jamais le Parlement ne répond pas...
01:11:05Ce n'est pas ma responsabilité, ça.
01:11:07Moi, je m'assume mes responsabilités
01:11:09pleinement, pour moins que ça.
01:11:11Il y a des gens qui vont y aller.
01:11:13Pour moins que ça. Moi, je ne vais pas travailler
01:11:15ensemble avec des gens, pour moins que ça.
01:11:17Il y a des gens qui ne vont pas travailler si vous êtes démissionnés.
01:11:19Je tiens un PPS.
01:11:21Et ils font ce travail, bien,
01:11:23simplement, ils servent le fax
01:11:25du gouvernement.
01:11:27un step down
01:11:29et tu es un enquêteur.
01:11:31Ah, si Djou Miniso, Abou Djouna
01:11:33Abou Djouna ?
01:11:35Il est extrêmement
01:11:37grave, ça, vous pouvez dire moi
01:11:39c'est un nom là, qui était fictitieux, ça.
01:11:41SBI.
01:11:43Mais seulement,
01:11:45Eh eh eh.
01:11:47Il nous rappelle,
01:11:49il dirait qu'il informe
01:11:51le Parlement super.
01:11:53En informer, il prend ses responsabilités.
01:12:25ou bien un autre, nous disons au gouvernement que c'est un scandale, c'est à dire faire.
01:12:31Moi, je veux dire, c'est inacceptable. Inacceptable.
01:12:36Donc vous, vous ne vous satisfaites pas de l'explication que vous lui avez donnée jusqu'ici ?
01:12:38Bien sûr qu'elle n'a pas, cette explication n'a pas patiné la route du tout.
01:12:42Il assume ses responsabilités pleinement, devant l'électorat, devant la population.
01:12:49Vous n'aimeriez pas poser cette question-là ?
01:12:51Non, vous me faites du mal, vous me faites du mal.
01:12:53Vous me faites du mal, vous me posez cette question.
01:12:55Alors, si jamais arrivait, vous débattez cette motion-là ?
01:12:59Bien sûr, la motion, vous allez la débattre.
01:13:02Bien alors, il n'y a rien de mal, c'est bien de débattre cette motion-là.
01:13:05Ce n'est pas parce que vous étiez là, le nombre.
01:13:08On appelle ça la tyrannie du nombre.
01:13:11Mais c'est la façon dont la motion se débat, c'est qu'il faut soit répondre le 15 octobre, ou rappeler.
01:13:17Mais peut-être que la régie n'a pas la deuxième, l'image numéro 2.
01:13:21Parce qu'il y a une évolution.
01:13:23C'est la régie qui n'a pas...
01:13:24C'est la draft motion qui nous a envoyé.
01:13:26Oui, oui, il y a une draft motion qui nous a envoyé.
01:13:28Une draft motion qui nous a envoyé.
01:13:29Voilà, voilà, c'est ça que je veux dire.
01:13:31Qu'est-ce que ça veut dire ?
01:13:32Non, non, une draft motion fait circuler.
01:13:35Donc, qu'est-ce que ça veut dire qu'une draft motion fait circuler, M. l'ex-député-explicateur ?
01:13:41Bon, qu'est-ce qu'il y a ?
01:13:42Est-ce que moi, j'ai le cloche de l'Assemblée.
01:13:46Mme l'a parlé, là.
01:13:48Hein ?
01:13:49Vous trouvez ça ?
01:13:50C'est ma motion, ça ?
01:13:53Ça, si vous parliez de moi,
01:13:56on va vous dire qu'une...
01:13:58Une charcuterie.
01:13:59Une charcuterie.
01:14:00Je savais qu'il m'essayait de me manipuler.
01:14:02Ça, c'est manipuler.
01:14:05Vous savez ce qu'il y a ?
01:14:06Vous savez qu'il y a la substance de la motion.
01:14:10Alors, moi, je ne peux pas accepter ça.
01:14:13Moi, je ne peux pas accepter cette motion-là telle qu'elle est.
01:14:16Mais ça lui montre qu'il y a un problème au niveau du bureau de cloche et du speaker.
01:14:21Donc, vous pouvez dire qu'il ne peut pas accepter sa façon de réformuler.
01:14:24Bien sûr, non.
01:14:25Ma motion, c'est un as-is.
01:14:29Soit elle nous donne un état de droit,
01:14:31que ta démocratie parlementaire devienne prévaloire,
01:14:34mais moi, pas pour les...
01:14:35Comment vous dire ça ?
01:14:36Charcuterie.
01:14:37As-is.
01:14:39Est-ce que vous réalisez que le speaker,
01:14:41d'après les règlements des Standing Orders,
01:14:43il y en a le dernier mot ?
01:14:45Fais un oeuf !
01:14:46Mais s'il y en a le dernier mot...
01:14:48Pour vous appuyer, vous devez voir ce qu'il peut dire.
01:14:50Mais c'est bon.
01:14:51Tout ce qui est légal n'est pas légitime.
01:14:54Il y a un électorat qui peut surveiller de près ce qui peut arriver.
01:14:58C'est comme s'il y avait un pouvoir qui avait un droit à remettre en cause un mot chaud.
01:15:04Mais c'est là un mot chaud...
01:15:06Non, s'il y avait une situation comme ça,
01:15:08vous pensez qu'il n'y a pas autant de devoirs
01:15:12qui faisaient une rencontre avec les membres de l'Assemblée
01:15:15de manière d'explication ?
01:15:16Pas là.
01:15:17Bien sûr.
01:15:18J'ai déjà fini de le dire.
01:15:19Vous pouvez retourner là où je l'ai dit.
01:15:20Vous connaissez, en tant que leader de l'opposition,
01:15:24moi j'ai déjà fait mon travail,
01:15:26parce que je n'ai pas le respect de la chaire.
01:15:30J'ai la qualité de la chaire.
01:15:32La chaire, pour moi, c'est important.
01:15:34J'ai la qualité de M. Adrien Duval
01:15:38pour une cause de l'arrangement du siège.
01:15:41Vous connaissez, aujourd'hui,
01:15:42Travaillisse et même Nouveau-Démocrate constituent un bloc,
01:15:46une cluster.
01:15:47Nous vivons dans des circonstances pareilles.
01:15:50Nous devons revoir ce siège d'arrangement.
01:15:52Comme ça, il dit toujours.
01:15:54Il est là.
01:15:55On s'en suis absolument.
01:15:56Non, non.
01:15:57Moins tolérant.
01:15:58On s'en suis absolument.
01:15:59Moins tolérant.
01:16:00Non, non.
01:16:01Il n'est pas possible.
01:16:02Il n'est pas possible.
01:16:03Moins tolérant.
01:16:04Moins tolérant.
01:16:05Comment aucun membre ne peut se le dire ?
01:16:06Moins tolérant.
01:16:07Il est presque le premier ministre.
01:16:08Le premier ministre.
01:16:09Le premier ministre.
01:16:10Légitime.
01:16:11Légitime.
01:16:12Légitime.
01:16:13Légitime.
01:16:14Allez, voilà.
01:16:15Bonne soirée.
01:16:16Bonne soirée à vous tous.
01:16:17Merci beaucoup à tous les téléspectateurs.
01:16:19À la semaine prochaine.
01:16:20À la semaine prochaine.
01:16:22Pas houleux, mais un petit peu énergique aujourd'hui.
01:16:25À la semaine prochaine.
01:16:26C'est ça, la démocratie.
01:16:27Une démocratie très vivante.
01:16:29Donc, merci à tout le monde et au revoir.
01:16:31Attends, on a encore l'antenne.
01:16:32On a encore l'antenne.
01:16:33Petit virage foutu.
01:16:34Allez, bonne soirée.
01:16:35Paul Monlepeu.
01:16:36Bizarre.

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