• il y a 4 mois
Les Vraies Voix avec Philippe Candeloro, Marie-Claire Restoux, Sébastien Deleigne, Marion Clignet et Antoine Mazère.

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##LE_GRAND_DEBAT_DES_VRAIES_VOIX-2024-08-06##

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News
Transcription
00:00En compagnie des vrais voix des JO ce soir, ce plateau XXL, mesdames messieurs, Marie-Claire Restaud,
00:05championne olympique de judo, Philippe Candeloro qui a été vice-champion du monde de patinage,
00:10mais double médaillée aux Jeux, sur une patinoire certes, mais c'est une médaille, ce sont des médailles olympiques.
00:15Double médaille également aux Jeux en cyclisme, c'est Marion Cligny qui est autour de cette table,
00:20Sébastien Delaigne également qui est double champion du monde en pentathlon moderne.
00:25Il a quatre Jeux disputés dans sa carrière et on va revenir avec notre invité sur cette folie douce
00:33qui nous en paraît, est-ce qu'on est étonné de la ferveur des JO, mais aussi au-delà de Paris,
00:37on va voir comment ça se passe tout de suite.
00:39Les vraies voix Sud Radio, le grand débat du jour.
00:43Alors on parle de cette folie, mais aussi de ce qui se passe dans les autres sites olympiques,
00:47Châteauroux, Lille, on en parlait tout à l'heure, 26 000 personnes dans un stade pour voir du handball féminin,
00:53ça n'était jamais arrivé dans l'histoire de ce sport, mais aussi le succès de ces JO tiennent avec l'organisation
01:00et l'ambiance qui est mise grâce à tous ces maîtres et maîtresses de cérémonie,
01:06on les appelle les speakers, c'est bien ça Elodie Bonin, on ne vous appelle pas les speakereen quand même ?
01:11Non, on n'appelle pas les speakereen, là il y a vraiment deux métiers,
01:16il y a le MT, maître et maîtresse de cérémonie, et il y a le speaker sport annonceur,
01:20c'est celui qui va en dire un peu plus commenter, donc moi là je suis souvent speaker,
01:26mais cette fois-ci je suis MT, et donc mon objectif c'est de mettre l'ambiance et le feu dans tous les stades,
01:32dans tous les lieux de compétition.
01:35Alors vous avez fait déjà quoi comme stade et comme compétition où vous avez mis le feu ?
01:41J'ai commencé par Versure Marne avec le canoe et kayak,
01:45on a eu un titre olympique donc absolument extraordinaire,
01:48j'ai eu la chance d'aller au Grand Palais également où on a fait pas mal de victoires pour les screams,
01:52j'ai été ce matin au skate, je suis à la boxe là, j'ai fait le triathlon avec la magnifique victoire de Cassandre Beaugrand,
01:59et puis j'en ai fait d'autres parce que j'en fais tellement.
02:02Voilà une bonne idée pour aller sur toutes les épreuves en fait.
02:06D'ailleurs moi j'ai une question,
02:08Elodie, Philippe Candelé aura une question pour vous.
02:11Est-ce que finalement quand on met l'ambiance comme ça en tant qu'EMC,
02:13en fonction des sites et des sports qui vont avoir lieu,
02:17est-ce que vous changez votre manière d'animer et de mettre l'ambiance ?
02:21Complètement, parce que déjà les centres ne sont pas forcément tous les mêmes,
02:27parfois on a deux tribunes qui s'opposent, le cas au Grand Palais,
02:30quand je suis sur le triathlon par exemple, les gens sont tout au long du parcours.
02:36Quand je suis à Versure Marne, j'ai une grande tribune sur laquelle je peux facilement faire une ola par exemple,
02:43donc il faut vraiment que je m'adapte, et mon discours, et le temps de parole,
02:47et la façon de s'adresser à chacun d'entre eux.
02:50Mais ce qui est génial c'est qu'on retrouve partout la même ferveur.
02:53Oui c'est la question.
02:55Oui c'est ça, c'est qu'ils sont vraiment ultra motivés,
02:58parce qu'on n'a pas forcément des publics qui sont habitués à ces sports en fait,
03:03ce sont des gens qui sont venus découvrir,
03:05et qui ont conscience de la chance qu'ils vont mettre là.
03:08Oui, c'est-à-dire que là il y a une telle ferveur,
03:12c'est presque facile finalement,
03:14en tous les cas ça réagit très vite,
03:16une salle on le sent tout de suite quand elle est prête à réagir,
03:18et là c'est le cas en fait, Elodie Bonin.
03:20Complètement.
03:22Alors facile, il faut s'adapter évidemment,
03:25néanmoins oui, on sent qu'ils sont quand même très ouverts et qu'ils sont là pour faire la fête.
03:29Et donc dès qu'on lance une ola ou autre,
03:32franchement oui, j'ai eu l'occasion de faire une ola sous la pluie,
03:37ou par temps, 100°C, à Versure Marne,
03:40qui nous assure que c'est assez surprenant
03:42la ferveur qu'il peut y avoir malgré des conditions parfois plus difficiles quand on est en extérieur.
03:46Ça peut faire une chorégraphie, chantons sous la pluie,
03:48ola, on ouvre le parapluie, on referme,
03:50ça peut être sympa.
03:52Ça ne vous quitte jamais, Philippe.
03:54Elodie Bonin, il y a aussi le facteur musique dans les stades,
04:00pour ceux et celles qui n'y sont pas,
04:02et qui n'ont pas pu y aller, ou en tout cas qui regardent ça à la télévision,
04:05c'est que la compétition en elle-même aussi,
04:07c'est presque un show quelque part.
04:09C'est complètement un show,
04:11et c'est vrai que moi j'étudie beaucoup avec le DJ
04:13et avec l'organisation,
04:15sur ce qu'on va faire à chaque fois.
04:17Parfois on fait des clappings,
04:19parfois on a des dance cams,
04:21ou on a un filtre qui, dès qu'on est devant la caméra,
04:23on va danser, etc.
04:25Ou la karaoke, etc.
04:29Non, on n'a pas la kiss cam.
04:31Mais karaoké ou ce genre de choses,
04:33et là, les gens sont tellement contents de passer à l'écran en plus,
04:35mais il faut trouver la bonne musique, forcément,
04:37parce qu'on sait qu'il y en a qui prennent plus que d'autres,
04:39et il y en a qui reviennent régulièrement.
04:41Moi j'avais une question par rapport à ça,
04:43parce que je suis allée sur quelques épreuves,
04:45et à chaque fois il y avait pas mal de chansons françaises,
04:47du Johnny, du Piaf, du Joe Dassin, etc.
04:49J'ai trouvé ça très très sympa,
04:51et donc je me demandais comment
04:53le choix de ces musiques
04:55et de ces chansons avait été fait.
04:57Alors la réalité,
04:59c'est que je n'ai pas forcément
05:01la réponse.
05:03Nous elles nous ont été en tout cas proposées,
05:05on a un répertoire par lesquels
05:07on pioche,
05:09en fonction du public,
05:11et en fonction du timing,
05:13parce que le public au début, à la fin, quand il y a des français,
05:15quand il n'y a pas de français, ce n'est pas la même chose,
05:17et d'ailleurs, moi en fonction des lieux,
05:19c'est la première question que je pose,
05:21est-ce que, souvent par exemple sur les screens,
05:23il y a beaucoup de français dans le public,
05:25il y en a où il n'y en a quasiment
05:27pas ou peu,
05:29et donc du coup on va adapter forcément
05:31la playlist au public aussi.
05:33Donc voilà.
05:35Ça fait partie. Il y a les fameux trois coups aussi,
05:37comme au théâtre, qui sont donnés au démarrage
05:39des compétitions,
05:41ce qui est quand même assez
05:43humoristique en tous les cas.
05:45C'est nouveau, ça fait un petit clin d'œil
05:47au monde du théâtre, on est vraiment dans une cérémonie.
05:49Est-ce que de mémoire,
05:51de tout ce que vous avez vécu là pour l'instant,
05:53Élodie Benin, il y a un moment
05:55plus particulier qu'un autre
05:57qui va rester gravé,
05:59où toutes les compétitions
06:01ont été à chaque fois
06:03un événement en soi ?
06:05Alors, forcément,
06:07moi étant en temps
06:09triathlète,
06:11quand j'ai vu Cassandra Vankegani
06:13à quelques mètres de moi,
06:15forcément ça m'a marquée, mais j'ai été
06:17aussi beaucoup au kayak par exemple,
06:19où c'est complètement différent qu'à Noé Kayak,
06:21et puis surtout on vit avec
06:23des gens qui sont tous aussi passionnés que nous,
06:25beaucoup de volontaires, et en fait
06:27ça devient vraiment une grande famille,
06:29et donc du coup tu crois que c'est plus ça qui va me marquer.
06:31C'est pas forcément un moment
06:33parce que des victoires
06:35j'en ai vécu, des médailles, mais c'est surtout
06:37cette communion globale
06:39que la France a réussi
06:41à mettre, et le sourire
06:43qu'on a chez les gendarmes,
06:45les policiers, chez les bénévoles,
06:47chez les participants,
06:49chez les volontaires, qui fait,
06:51je trouve, une bulle de bonheur.
06:53On aimerait que ça dure, hein !
06:55Ouais !
06:57On a peur
06:59des gueules de bois du lendemain.
07:01Bon bah écoutez Elodie, on vous libère
07:03parce que je sais que vous devez partir
07:05justement sur l'organisation de...
07:07C'est quoi le programme de boxe
07:09ce soir que vous allez
07:11ambiancer en tous les cas en tant que maîtresse de cérémonie ?
07:13Alors là on a plusieurs
07:15combats féminins ce soir.
07:17Pour la boxe demain
07:19ce sera les hommes.
07:21Et c'est bien...
07:23C'est à Roland-Garros ?
07:25Qui s'est transformé aussi.
07:27Ça aussi c'est des prouesses...
07:29Il y aura un Français.
07:31Elodie, merci infiniment
07:33d'être passée nous voir, d'être
07:35venue dans cette émission Les Vraies Voix des JO
07:37et bonne continuation à vous
07:39et on saura mettre un visage derrière
07:41ces voix dans les stades grâce à vous.
07:43Alors mes chères vrais voix, effectivement
07:45l'ambiance dans les stades, mais est-ce que
07:47Antoine, tout le monde est du même avis en termes
07:49d'ambiance ? En tous les cas il y a eu
07:51une petite pique qui a été lancée par une jeune
07:53médaillée française. Un célèbre
07:55animateur de télévision qui
07:57se demandait si elle avait pu fêter comme
07:59ça aurait pu être le cas à Paris.
08:01On va l'écouter justement.
08:03Sur quel jeu hier soir sur France 2 ?
08:05Comment à Châteauroux on vit
08:07ces Jeux Olympiques
08:09au loin de Paris ?
08:11Si tu ne peux pas les fêter déjà.
08:13Si tu gagnes une médaille à Châteauroux, tu ne peux pas la fêter.
08:15C'est peut-être
08:17ce que tu as pensé, mais moi j'ai vécu
08:19quelque chose de différent. C'était incroyable parce que
08:21le public était proche de nous, le stand était
08:23incroyable et j'ai rapidement été emmenée au
08:25Club France et je crois que j'ai fêté
08:27la médaille avec un public qui a été
08:29vraiment magique. J'ai rencontré
08:31Lisa hier qui m'a aussi fait pleurer
08:33pour cette médaille de bronze. On est
08:35sensibles, on assume et la célébration
08:37a été très belle. La petite Lisa qui n'a pas
08:39mâché ses mots. C'était Camille
08:41Jędrowski, médaille
08:43en tir aux JO et donc c'était bien du côté de
08:45Châteauroux. C'était en tir
08:47sur quel jeu ? Je l'ai vu
08:49ce petit pic, c'était pas vraiment
08:51un petit pic, mais c'est vrai que finalement, on pourrait
08:53se dire qu'à l'extérieur de Paris
08:55les médailles sont moins bien célébrées
08:57et je pense peut-être finalement au contraire par rapport
08:59à ce qu'elle explique, c'est que finalement les gens sont
09:01plus proches, il y a peut-être moins de sécurité, il y a peut-être
09:03moins d'enfermement avec
09:05les athlètes, le public est peut-être plus proche
09:07des athlètes une fois que la médaille est remportée.
09:09Donc voilà, après ils ont deux heures
09:11et mille voitures à faire pour venir au Club France et puis
09:13fêter ça avec tout le monde.
09:15Je pense que c'est un public à viser parce que
09:17prendre sa voiture ou faire le chemin jusqu'à
09:19Châteauroux pour aller voir
09:21du tir qui est une très très belle discipline.
09:23Ce sont des gens qui sont
09:25motivés. Oui.
09:27Mais ce que je veux dire c'est qu'il y avait
09:29aussi le même cas pour le basket à Lille.
09:31Alors on aurait pu penser que c'était un
09:33handicap et les
09:35fédérations s'inquiétaient en basket.
09:37On le sait, ils voulaient pas monter
09:39à Lille, enfin ça a tout été une négociation en se disant
09:41on va pas avoir de public. C'était
09:43plein. Pour le handball, il y avait une petite
09:45inquiétude sur le transfert des équipes
09:47pour les finalités tournant à Lille.
09:49Record de représentation.
09:51C'était plein partout. Ce matin j'étais au Stade de France
09:53à 10h, c'était plein. Il y avait 79
09:55000 personnes dans le stade pour
09:57des repêchages et puis
09:59des qualifs. C'est un truc de fou.
10:01Je trouve ça génial. Même sur
10:03des matchs de foot, on n'a pas eu ça.
10:05Peut-être en 98 mais ça fait
10:0720 ans qu'on n'a pas eu ça.
10:09C'est plein partout.
10:11C'est ce qu'on peut observer avec des gens qui sont
10:13vraiment de bonne humeur.
10:15Ils sont là pour communier
10:17et ça c'est très
10:19chouette. Même je suis allé dans le RER
10:21pour rentrer. Il y avait
10:23énormément de monde qui marchait pour rejoindre
10:25les deux stations de RER mais en fait ça ne se bouscule
10:27pas, c'est tranquille. Les trains sont
10:29bien acheminés pour que dès que c'est un peu
10:31plein, ils en font partir, ils en font venir d'autres.
10:33Franchement si ça pouvait rester comme ça
10:35effectivement après des Jeux, je pense
10:37que la France se porterait mieux.
10:39Sébastien Delagne.
10:41On les a tellement attendus
10:43ces Jeux avec tous les revers qu'on a pris à chaque
10:45candidature. Je crois que
10:47la mayonnaise a bien pris et tous les spectateurs sont là
10:49aujourd'hui. Les spectateurs,
10:51les athlètes et puis il y a aussi
10:53toute l'organisation.
10:55Attention, il y a toute la partie
10:57sécurité. On a dit beaucoup de choses
10:59et c'est vrai que ça donne quand même un sentiment
11:01d'une ville et de site.
11:03Mais la question c'était est-ce que d'avoir
11:05effectivement excentré par exemple
11:07on entendait les interviews
11:09des surfeurs qui sont
11:11à 14 000 kilomètres de là.
11:13Ils sont encore plus loin parce que pour venir au Club France, ça fait loin quand même.
11:15Mais je ne sais pas s'ils ne vont pas venir.
11:17La cérémonie de clôture peut-être.
11:19Tout à fait.
11:21C'est dommage, le Concorde s'est arrêté.
11:23Bon.
11:27C'est compliqué. Sébastien.
11:29Oui mais comme je disais
11:31en fait il y a
11:33parler du record
11:35de la rencontre du handball féminin
11:37donc ça n'a pas freiné.
11:39Ça ne freine personne.
11:41Les organisateurs sont bien obligés d'y être
11:43mais en attendant, remplir
11:45ces gymnases de l'autre côté
11:47de Paris, au nord
11:49de la France, on l'aurait fait ailleurs
11:51je pense qu'il y aurait eu autant de monde.
11:53Voilà, c'est ce qui
11:55est encourageant pour la suite.
11:59Tous les sites étaient pleins. Le golf
12:01qui est loin, qui est à plus du nord de Paris
12:03c'était plein aussi.
12:05Le cyclisme sur piste, c'est loin
12:07mais c'est rempli.
12:09L'escalade
12:11c'est une foule incroyable bourgée.
12:13Il y a des gens qui se révélaient
12:15à la dernière minute, qui étaient dit
12:17on verra les billets.
12:19Il y a tellement de ferveur.
12:21Donc on va sur le site, on achète son truc.
12:23L'application du site est extrêmement
12:25bien faite quand même.
12:27Ça paraît compliqué quand on
12:29n'a pas de téléphone.
12:31Quand on n'a pas de téléphone, c'est pas possible.
12:33On n'existe pas
12:35quand on n'a pas de téléphone.
12:39Il y a trois applications sur les jeux.
12:41L'application pour les tickets,
12:43l'application pour suivre le programme,
12:45et l'application pour les transports.
12:47Les trois sont extrêmement bien faites.
12:49C'est vrai.
12:53C'est un portable, pas un billet.
12:55C'est pas possible.
12:57Par contre, on peut acheter
12:59un billet souvenir.
13:01Ah oui, c'est vrai.
13:03Vous pouvez acheter des billets souvenir.
13:05Version papier, je pense.
13:07Je pense, oui.
13:09C'est là où on perd beaucoup, nous les françaises,
13:11les billets qu'on avait à la main.
13:13Les gars, ils voulaient te faire plaisir.
13:15Souvent, ça faisait des tribunes vides
13:17parce que les places n'étaient peut-être pas toujours utilisées.
13:19Mais au moins, tu savais que tu avais ton billet
13:21dans la main, que tu pouvais y aller, que tu pouvais t'organiser.
13:23Là, c'est au dernier moment, faire le transfert du nom
13:25sur le billet, c'est possible.
13:27Mais bon, il faut se piler.
13:29Et en sachant que le dernier site
13:31où tout le monde se bouscule,
13:33c'est le Club France,
13:35qui est complet jusqu'à la fin.
13:37C'est-à-dire jusqu'à dimanche soir.
13:39Il n'y a absolument plus aucune place. Je ne sais pas combien la jouge.
13:41C'est à 25 000.
13:43Si tu n'es pas en VIP, tu ne vas pas.
13:45Mais même en VIP, je crois que c'est complet aussi.
13:47C'est difficile d'obtenir...
13:49De toute façon, on n'est plus VIP, nous.
13:51Maintenant, on est des vieilles P.
13:53On n'est pas des very important people, on est des vieilles P.
13:55Oui, we are a very important people.
13:57On est des plus importantes personnes.

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