L'Équipe du Soir du 27 juillet - L'Équipe du Soir - replay
Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 27/07/2024.
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00:00:00Elle est là, la première médaille d'or pour l'équipe de France dans ces Jeux Olympiques.
00:00:29Merci Antoine Dupont, merci le rugby A7. C'est fait, la première médaille d'or, la fête au Club France à la Villette.
00:00:36On lance bien ces Jeux Olympiques pour cette première journée.
00:00:40Et Hugo Bonneval, il est champion olympique !
00:00:42Je ne suis pas champion olympique, mais Hugo Bonneval est champion olympique et je suis très très heureux pour lui, vraiment c'est génial.
00:00:49Et oui, un président heureux, Stéphanie !
00:00:51Le soir, on est tous champions olympiques, c'est ça les Jeux, c'est ça la magie des Jeux.
00:00:56On se sent tous champions olympiques, c'est génial.
00:00:58Dave, ça fait quoi d'être champion olympique ?
00:01:00J'ai l'habitude.
00:01:02Mais je laisse ça à ceux qui découvrent, évidemment.
00:01:04Georges Quirino !
00:01:06Magnifique, le rugby A7, j'ai toujours regardé.
00:01:08Je connais tout le circuit.
00:01:12Eric Rabessandratana, pas ancien joueur du PSG, ancien rugbyman A7 ?
00:01:16Absolument, j'ai le physique pour jouer au rugby, tout va bien.
00:01:20Quel bonheur de vous accueillir pour cette équipe du soir spéciale.
00:01:24L'équipe de France de foot est en train de battre la Guinée.
00:01:27Vous allez nous rejoindre progressivement pour partager ces émotions-là.
00:01:314 médailles aujourd'hui, déjà.
00:01:33Journée record, Claire va nous accompagner pour toutes les images, toutes les infos.
00:01:37Ça va, Claire ?
00:01:39Pour l'instant, ça va.
00:01:41On n'a pas eu de Français champion ou médaillé au cyclisme, mais ça viendra.
00:01:43C'était pas loin.
00:01:45C'est votre prono pour la semaine prochaine ?
00:01:47On n'est passé pas loin, mais je mets le prono.
00:01:49Allez, c'est parti, je retiens.
00:01:51L'équipe Connect, Claire, 4 médailles aujourd'hui et vous avez un sondage pour nous.
00:01:55Pour vous montrer la démarche, pour pouvoir nous rejoindre et partager ce magnifique moment avec vous.
00:02:01On est sur le site de l'équipe.
00:02:03On va juste donner le sondage.
00:02:05Juste la question et on peut y aller avec le QR code de toute façon.
00:02:07Je m'étais préparée, c'est terrible.
00:02:09C'est bien sûr dans l'onglet TV de votre application ou du site.
00:02:13Pour le sondage, l'intitulé exact, je vais le reprendre en même temps.
00:02:17La France va-t-elle battre son record de médailles ?
00:02:21On est à 40 points à Pékin.
00:02:244 médailles sur cette première journée, donc savoir si on va le battre ou pas.
00:02:26Franchement, moi je vote oui.
00:02:28On va battre son record après 4 médailles déjà aujourd'hui.
00:02:30Mais vous n'êtes pas étonné.
00:02:34C'est surtout Anne-Sophie Bernadie qui nous connaît.
00:02:36Tous les sondages billettes longues.
00:02:38C'est oui en faveur de l'équipe de France.
00:02:40Anne-Sophie, vous êtes à la Villette au Club France.
00:02:42Là où la fête bat son plein avec cette journée exceptionnelle.
00:02:46Il y a un programme absolument royal qui nous attend pour fêter cette journée folle.
00:02:50Club France où tout le monde connaît bien sûr les règles du rugby à 7.
00:02:54Et l'identité, le palmarès d'Oriane Malot-Breton.
00:02:58Bien sûr, comme vous tous en plateau, j'en suis sûre.
00:03:00C'est aussi ça la magie des choses olympiques.
00:03:04On a pris un peu de hauteur avec Charles-Antoine Nora parce qu'on ne s'entendait pas il y a quelques instants.
00:03:08Bob Sinclair vient de faire un 7 incroyable.
00:03:10Il a vraiment chauffé tout le public du Club France.
00:03:14Et dans quelques instants, c'est la fête à la médaille.
00:03:16Les deux judos qu'a médaillés aujourd'hui vont être célébrés par les supporters et les rugbymen.
00:03:22Hugo Bonneval le sait peut-être mieux que nous.
00:03:24On n'a pas encore leur horaire d'arrivée parce qu'ils sont encore au stade.
00:03:28On a vu quelques photos passer sur les réseaux sociaux.
00:03:30Et je crois qu'ils s'amusent beaucoup dans les vestiaires pour l'instant.
00:03:32Dès qu'on a l'horaire de leur arrivée ici au Club France, on vous le communique.
00:03:36Mais j'imagine qu'Hugo a sans doute plus d'infos ou en tout cas plus de souvenirs.
00:03:40Il n'a pas l'air.
00:03:42Merci pour la page d'air.
00:03:44C'est peut-être pas le moment de raconter les soirées.
00:03:48Mais ils vont arriver plus tard. On arrive souvent en dernier en soirée.
00:03:50On va suivre les arrivées.
00:03:52Tranquille, tranquille.
00:03:54Tranquille. Les 3e militants, il faut y aller tranquille maintenant.
00:03:56Et merci à Antoine Dupont d'ailleurs qui rend un bon service au rugby avec cette médaille d'or.
00:04:00Et le Rugby A7 qui nous permet de fêter l'équipe de France de rugby.
00:04:04Le judo également à l'honneur. On va accueillir les médaillés du jour.
00:04:08D'ailleurs, un petit coup d'oeil sur le tableau des médailles.
00:04:10Avant de fêter cette médaille d'or d'Antoine Dupont et du Rugby A7.
00:04:14L'équipe de France, vous le voyez, une médaille d'or, le Rugby A7.
00:04:16Deux médailles d'argent.
00:04:18Ça concerne donc Oriane Malobreton à l'épée tout à l'heure.
00:04:22Elle n'est passée pas loin de la médaille d'or malheureusement.
00:04:24Ça s'est joué à très très peu. On le verra tout à l'heure.
00:04:26Luca Mechetze en judo pour la 2e médaille d'argent.
00:04:30Et Shirin Boukli. Autre médaille pour le judo.
00:04:32Médaille de bronze pour Shirin Boukli.
00:04:34Vous êtes dans quel état après cette première journée ? Honnêtement ?
00:04:38On est bien. On est très bien.
00:04:40On est très bien parce qu'on a eu des émotions incroyables.
00:04:43On en a depuis l'ouverture des Jeux.
00:04:45Je dirais même avant l'ouverture parce que le Rugby A7 avait lancé les opérations.
00:04:49On est bien et on vit ces Jeux au rythme de nos athlètes.
00:04:56C'est-à-dire qu'on a des émotions fortes.
00:04:58On a des déceptions.
00:05:00On se rend compte que gagner une médaille de bronze, ça procure des fois plus de joie
00:05:03que gagner une médaille d'argent.
00:05:05On redécouvre toutes ces sensations-là.
00:05:07Et cet or, est-ce qu'il change tout, Dave ?
00:05:10On voit les images en direct du Club France en attendant.
00:05:13Par rapport à l'objectif de médaille, oui.
00:05:15C'est bien de le valider parce qu'il y a eu plusieurs occasions aujourd'hui.
00:05:18Et ça a fini en argent ou en bronze pour les autres.
00:05:22Ce qui est déjà une performance.
00:05:24C'est-à-dire que quand tu arrives au Jeu, pour la plupart,
00:05:26déjà obtenir une médaille, c'est considérable.
00:05:28C'est souvent l'accomplissement d'une vie, en tout cas d'une carrière.
00:05:32Mais c'est bien que dans l'eau, il y ait une médaille d'or.
00:05:36Moi, il y a quelque chose qui me frappe, par ailleurs.
00:05:39Évidemment, nous, on commente un peu ce qu'il y a sur le cours, le terrain, etc.
00:05:43Moi, je trouve que c'est tout ce qu'il y a autour.
00:05:45Il y a une ambiance, c'est incroyable.
00:05:47Comme si c'était le prolongement de tout ce qu'on a vécu hier.
00:05:50Et je trouve qu'il y a une atmosphère incroyable,
00:05:53y compris dans des disciplines, même Premier Tour.
00:05:56Je ne sais plus avec qui je disais ça.
00:05:58Avec moi.
00:05:59On est tombé sur le badminton.
00:06:01C'était incroyable.
00:06:03Le double mixte de badminton, alors que c'était un match du 32ème de finale,
00:06:07qu'ils ont perdu en 2-7.
00:06:09Mais il y avait une atmosphère incroyable, il y avait des points incroyables.
00:06:11Il y avait quelque chose d'assez fou.
00:06:13C'est surtout des disciplines, franchement, si ce n'est pas les JO,
00:06:16je ne suis pas sûr que je regarde.
00:06:18Et en fait, avec la magie des JO, avec la magie de la cérémonie d'hier,
00:06:22on est dans la continuité.
00:06:24Et derrière, tu regardes le spectacle,
00:06:26tu regardes les ambiances dans les salles, dans les différentes salles.
00:06:29C'est assez incroyable.
00:06:31Franchement, c'est magique.
00:06:33Moi, c'est surtout ça qui me marque, je pense, plus que la performance du jour.
00:06:35C'est l'enthousiasme général.
00:06:37Vous nous voyez ici en studio.
00:06:39Je suis venu en métro, par exemple, je l'ai pris plusieurs fois aujourd'hui.
00:06:41On nous annonçait que ça allait être une catastrophe.
00:06:43J'ai vu des métros qui fonctionnaient bien,
00:06:45de toutes les nationalités du monde.
00:06:47J'ai croisé des Mexicains, des Costaricains,
00:06:49des gens qui venaient du Maghreb également.
00:06:51Et ça se passait hyper bien.
00:06:53On sent qu'il y a des sourires partout.
00:06:55Je suis d'accord.
00:06:57L'ambiance au judo, l'arène à Chandmar,
00:06:59on sent que ça les a apportés.
00:07:01Le Grand Palais, où chaque touche en escrime,
00:07:03on avait l'impression que c'était la Bombonera.
00:07:05J'exagère un peu.
00:07:07Il a vécu en Amérique.
00:07:09Il n'a que des références sud-américaines.
00:07:11C'était une folie.
00:07:13On a le coup.
00:07:15Le stade du centenaire, pas la Bombonera.
00:07:17Franchement, c'est difficile de ne pas être pris dans tout ça.
00:07:19Moi, j'avais envie d'aller voir la Vasque olympique.
00:07:21C'est impossible d'y aller.
00:07:23Tout le monde a envie d'y aller.
00:07:25Il y a des listes d'attente incroyables.
00:07:27Même dans tous les arrondissements,
00:07:29toutes les fan zones à Paris.
00:07:31C'est rempli, même s'il pleut.
00:07:33En direct, Corentin Roland,
00:07:35avec Charles-Antoine Norat qui accompagne,
00:07:37Anne-Sophie Bernadie au Club France à la Villette.
00:07:39C'est cet espace incroyable.
00:07:41D'ailleurs, vous pouvez y aller.
00:07:43C'est 5 euros l'entrée.
00:07:45Vous pouvez assister au concert,
00:07:47fêter les athlètes.
00:07:49Ce sont les judokas qui sont attendus.
00:07:51On va parler du judo dans quelques instants.
00:07:53On s'arrête avec Hugo Bonneval et tout le monde
00:07:55qui attend le médaille d'or du rugby A7.
00:07:57Les images tout d'abord, Claire,
00:07:59de cette première médaille d'or
00:08:01pour l'équipe de France dans ces Jeux Olympiques.
00:08:03On est bien sûr sur un magnifique match.
00:08:05Ce que je vous propose,
00:08:07c'est de regarder le début des images.
00:08:09De se taire, de profiter.
00:08:19Ça valait bien un silence.
00:08:21Vous voyez le score.
00:08:23C'est le sous magnifique défilé des Français
00:08:25qui ont mis du temps à marquer des essais.
00:08:27Ils ont encaissé le premier,
00:08:29mais on en a marqué plusieurs,
00:08:31dont deux d'Antoine Dupont
00:08:33qui a même fait une percée magistrale
00:08:35pour pouvoir passer la balle sur le deuxième essai.
00:08:37Sur son premier essai,
00:08:39il a joué très vite une pénalité.
00:08:41Sur le deuxième, il l'a inscrit
00:08:43après un recital des Bleus,
00:08:45mais aussi de cette superstar
00:08:47qu'est maintenant Antoine Dupont.
00:08:49Magique Antoine Dupont.
00:08:51La fête des supporters.
00:08:53C'est ça aussi le rugby A7.
00:08:55C'est cet engouement.
00:08:57C'est une effervescence folle
00:08:59autour de cette équipe.
00:09:01Regardez les supporters au Club France
00:09:03sur chaque essai.
00:09:07Ça c'est le premier essai.
00:09:21C'est le deuxième essai.
00:09:51Extraordinaire.
00:09:53Quatre essais pour l'équipe de France.
00:09:55Hugo, franchement, il faut nous expliquer.
00:09:57C'est le rugby A7
00:09:59et les images qu'on voit là,
00:10:01c'est une finale de Coupe du Monde.
00:10:03Franchement, non ?
00:10:05C'est génial.
00:10:07Mais qu'est-ce qui se passe avec ce sport ?
00:10:09Pourquoi ce sport-là nous met dans des états pareils ?
00:10:11Ce sport-là, depuis plusieurs années maintenant,
00:10:13à travers le monde et les différents tournois,
00:10:15véhicule ses valeurs et propose ce spectacle.
00:10:17C'est vrai qu'en France,
00:10:19on n'avait pas toute cette visibilité.
00:10:21Et c'est là où Antoine Dupont
00:10:23en a ramené énormément et a permis
00:10:25aux gens qui n'étaient pas experts
00:10:27du rugby, et encore moins du rugby A7,
00:10:29de regarder et de prendre du plaisir
00:10:31à ce jeu.
00:10:33C'est exceptionnel.
00:10:35C'est un sport qui est rapide,
00:10:37fait de vitesse, de changement de direction,
00:10:39d'intensité, qui est aussi à la fois
00:10:41rapide, donc ça permet de voir toutes les équipes,
00:10:43les gens qui sont au stade,
00:10:45en une journée, ils peuvent voir les 12 nations
00:10:47des Jeux Olympiques.
00:10:49Le format est dingue, il est fait
00:10:51pour notre époque.
00:10:53Les matchs courts qui s'enchaînent.
00:10:55C'est ça qui est intéressant.
00:10:57Le ballon qui est toujours en vie.
00:10:59Tout au long de l'année,
00:11:01ces tournois sont partout à travers le monde,
00:11:03dans les plus grandes villes mondiales.
00:11:05Hong Kong, Tokyo, Los Angeles.
00:11:09C'est vrai qu'on se rend compte en France
00:11:11qu'on peut aussi avoir ce spectacle
00:11:13et cette ambiance aussi dans le stade.
00:11:15Pourquoi on a apprécié ? Parce qu'on s'est rendu compte
00:11:17qu'il y avait 80 000 personnes au stade
00:11:19qui poussaient pour la même chose.
00:11:21Dès le premier jour.
00:11:23En configuration JO, c'était 70 000 spectateurs,
00:11:25mais tout était plein.
00:11:27Le mercredi 24, j'y étais pour la première journée.
00:11:29Je m'attendais à ce que ce soit
00:11:31un peu crescendo.
00:11:33En plus, les Jeux n'avaient pas officiellement commencé.
00:11:35Il n'y avait pas eu encore la cérémonie d'ouverture.
00:11:37A ce moment-là, dans ma tête,
00:11:39c'était que du rugby à 7.
00:11:41Même le Stade de France,
00:11:43est-ce que c'est une bonne idée ?
00:11:45Je me suis dit que ça allait être surdimensionné
00:11:47pour cette épreuve.
00:11:49En plus, un stade, c'est vite...
00:11:51Si tu n'as que 30 000 dans un stade
00:11:53de 80 000,
00:11:55c'est l'effet inverse.
00:11:57Il était plein, il y avait une ambiance folle.
00:11:59Les joueurs de l'équipe de France,
00:12:01parce qu'à part Dupont, la plupart n'ont pas l'habitude
00:12:03de ce type d'ambiance.
00:12:05La première journée qui était un peu mitigée
00:12:07pour les Bleus, apparemment,
00:12:09elle trouvait aussi sa source dans le fait que
00:12:11les Bleus avaient un peu pris de court.
00:12:13Moi, c'est ça qui m'a frappé.
00:12:15C'est que dès le premier jour,
00:12:17tout le monde était client,
00:12:19était acquis.
00:12:21On insiste sur la force du jeu,
00:12:23sur le côté que ce soit attractif.
00:12:25Ce qui m'a attiré, ce qui a attiré beaucoup de monde,
00:12:27c'est Antoine Dupont, la force du récit.
00:12:29On a tous voulu voir
00:12:31si cette histoire qui s'était mal terminée
00:12:33il y a un an, dans ce même stade,
00:12:35en Coupe du Monde, lui avec le masque,
00:12:37le fait qu'il n'a pas participé
00:12:39au tournant Destination,
00:12:41de voir que tout ça, mis bout à bout,
00:12:43ce garçon qui en plus est le meilleur joueur du monde,
00:12:45joue en toute humilité, en sortie de banc,
00:12:47il rentre en deuxième mi-temps,
00:12:49qu'il participe, qu'il fait une chevauchée impressionnante.
00:12:51C'est ça qu'on avait envie de voir et c'est ça qu'on a eu.
00:12:53C'est ça qui est suffisamment rare.
00:12:55Parfois, on attend une histoire magnifique
00:12:57et elle n'arrive pas forcément.
00:12:59Là, tout ce qu'on rêvait, ça s'est arrivé
00:13:01et encore mieux. C'est pour ça que je pense
00:13:03que c'est noté que chez nous, ça a déclenché.
00:13:05Sur les 80 minutes, tu en avais bien 40 ou 50
00:13:07à chaque fois qu'il est rentré,
00:13:09tu vois l'engouement
00:13:11et le changement
00:13:13d'intensité des spectateurs.
00:13:15L'impact de l'équipe aussi.
00:13:17L'impact sportif.
00:13:19C'est ça qui est incroyable.
00:13:21La différence, c'est que cet impact
00:13:23et ce génie sportif,
00:13:25c'est-à-dire que dans sa façon de penser,
00:13:27le rugby, même si c'est à 7 là,
00:13:29c'est encore une formule différente,
00:13:31mais tu regardes les deux essais qu'il met aujourd'hui,
00:13:33il est tellement malin, il est tellement intelligent
00:13:35dans sa façon de penser
00:13:37qu'il fait la différence aussi là-dessus.
00:13:39Voilà pourquoi il est là aujourd'hui
00:13:41et pourquoi il est le meilleur pour moi aujourd'hui.
00:13:43Je ne savais pas s'il a perdu un ballon.
00:13:45Je le regardais, je l'ai trouvé...
00:13:47Cette accélération peut faire la différence aussi.
00:13:49Je voudrais demander à Hugo,
00:13:51parce qu'évidemment, c'est un sport-co,
00:13:53il ne faut surtout pas minimiser les autres.
00:13:55On a découvert des garçons qu'on ne connaissait pas
00:13:57et qui nous ont enthousiasmés par leur force,
00:13:59par leur vélocité, par leur habileté,
00:14:01mais est-ce que tu crois, toi Hugo,
00:14:03que sans Dupont, la France aurait été championne olympique ?
00:14:05Bon, alors ça, je ne sais pas.
00:14:07Oui, j'ai l'impression que non.
00:14:09Avec, c'est sûr que tu te rajoutes...
00:14:11C'est comme la petite étoile sur Mario.
00:14:13Si je peux...
00:14:15Stéphane...
00:14:17Ce qu'on peut ajouter peut-être,
00:14:19c'est qu'avec Antoine Dupont,
00:14:21le technicien
00:14:23et la mentalité d'Antoine Dupont,
00:14:25c'est ça qui fait peut-être la différence.
00:14:27Avec ce garçon-là,
00:14:29oui, ça fait toute la différence.
00:14:31C'est l'homme plus que le technicien
00:14:33qu'il faut féliciter parce qu'on se rend bien compte
00:14:35que c'est l'aura qu'il a et qu'il dégage
00:14:37auprès de ses partenaires mais aussi des adversaires.
00:14:39L'humilité, effectivement.
00:14:41Il y a tout un prisme autour de lui.
00:14:43Quand il rentre sur le terrain, les mecs se focalisent sur lui.
00:14:45Donc, même si c'est des choses
00:14:47qu'on ne voit pas, il libère des espaces pour ses coéquipiers.
00:14:49Il n'est pas individualiste.
00:14:51Il fait jouer les autres.
00:14:53Il a toujours été altruiste et intelligent
00:14:55dans sa manière de jouer. Et où il est très bon,
00:14:57c'est qu'à chaque fois qu'il donne, on ne le voit pas pendant une minute,
00:14:59il fait jouer les autres. Il défend extrêmement bien
00:15:01parce qu'il a ce rôle-là en défense qui est très important
00:15:03à 7 parce que si tu loupes un plaquage,
00:15:05derrière, tu n'auras jamais les coups.
00:15:07Et deux fois, il a besoin
00:15:09de deux actions. Il traverse le terrain
00:15:11mais il ne se trompe pas. Il ne va jamais trop loin.
00:15:13Il ne perd jamais le ballon. Il ne met jamais
00:15:15son équipe en difficulté parce que c'est aussi un jeu de possession.
00:15:17A la différence du rugby à 15 ou
00:15:19même du foot où Didier Deschamps, il défend
00:15:21et il n'a pas de possession. Là, tu as besoin d'avoir le ballon.
00:15:23Si tu cours après les mecs toute l'après-midi, c'est un enfer.
00:15:25Il ne va jamais trop loin.
00:15:27Il fait jouer les autres. Franchement...
00:15:29Tu as tout cet aspect-là mais tu as aussi
00:15:31là où on en a peut-être moins parlé,
00:15:33le coaching de l'entraîneur.
00:15:35C'est-à-dire qu'il le met sur le banc au départ
00:15:37parce qu'il sait très bien
00:15:39qu'il ne faut pas le griller et parce que les mecs vont faire le travail.
00:15:41C'est pour ça que c'est un travail d'équipe. C'est pour ça que c'est
00:15:43vachement intéressant de voir et de se dire
00:15:45Dupont fait la différence, oui,
00:15:47mais pas tout seul. C'est-à-dire que là,
00:15:49ce travail qui a été fait avant que Dupont rentre,
00:15:51peut-être que ça permet à Dupont de faire
00:15:53cette différence aussi plus facilement.
00:15:55On le félicite et on va continuer à parler de Dupont.
00:15:57Tu l'as placé, tu l'as placé !
00:15:59C'est un président hyper sage.
00:16:03Il faut juste regarder la rivière,
00:16:05on va en rajouter 10 après.
00:16:07Dupont, superstar, on va continuer d'en parler évidemment
00:16:09en direct. Le Club France,
00:16:11on est toujours sur ces images, juste derrière nous,
00:16:13où on attend d'abord les judokas
00:16:15avec Luca Mechenze, médaillé d'argent
00:16:17aujourd'hui et Shirin Boukli, médaillée de bronze.
00:16:19Tous les soirs,
00:16:21les athlètes sont fêtés au Club France
00:16:23et les rugbymans seront là également
00:16:25et on sera là jusqu'à l'arrivée des bleus
00:16:27au Club France.
00:16:29Tu t'engage là !
00:16:31Si vous avez prévu quelque chose, il va falloir repousser
00:16:33parce qu'on peut être là jusqu'à 3h du matin.
00:16:35On va accueillir le rugbyman.
00:16:37Champion Olympique, c'est la première médaille d'or, ça le mérite.
00:16:39Avant cela, il y a des supporters.
00:16:41Claire, pourquoi ce bip bip ?
00:16:43C'est pour les supporters ?
00:16:45Oui, c'est pour les supporters, exactement.
00:16:47Vous allez faire le même bip bip en plateau.
00:16:49Au Club France, rencontrés par
00:16:51l'un de nos envahis spéciaux, Corentin Roland,
00:16:53vous allez voir la joie immense
00:16:55des supporters des bleus.
00:16:57Le coq est fou !
00:16:59Il est fou le coq !
00:17:01Racontez-nous comment vous avez vécu cette finale.
00:17:03C'était incroyable !
00:17:05C'était complètement dingue !
00:17:07On y croyait forcément, c'était les bleus
00:17:09mais franchement l'émotion, c'est dingue !
00:17:11Le Club France, c'est impressionnant !
00:17:13Super victoire, super match.
00:17:15On bat les Fidjiens, deux fois champion Olympique.
00:17:17C'était magnifique, super ambiance.
00:17:21...
00:17:23...
00:17:25...
00:17:27...
00:17:29Elle est bourrée en dessous.
00:17:31Ça n'arrive jamais, sachez-le.
00:17:33Je ne sais pas si vous avez entendu
00:17:35d'ailleurs ou pas, mais ça n'arrive jamais.
00:17:37Evidemment, on vous a entendu et je vous réponds
00:17:39moi-même, ça ne lui arrive jamais.
00:17:41Et surtout pas au travail.
00:17:43On ira voir le Club France, on attend les judokas
00:17:45dans quelques instants.
00:17:47Les deux médaillés du jour du côté du judo,
00:17:49qui demain vont arriver.
00:17:51C'est le Club France, c'est là où ça va se passer.
00:17:53Tous les soirs à la Villette.
00:17:55Les médaillés qui sont accueillis par les supporters.
00:17:57On va les fêter ensemble dans l'équipe du soir.
00:17:59Ce sera notre lieu central tous les soirs
00:18:01parce que c'est là que ça se passe une fois que les compétitions
00:18:03sont terminées.
00:18:05Les judokas vont arriver, ça nous laisse l'occasion
00:18:07d'aborder les deux médailles.
00:18:09Vous nous direz si vous êtes content ou pas.
00:18:11Deux médailles, mais ce n'est pas deux médailles d'or.
00:18:13Content ou pas, vous nous dites ça.
00:18:15Claire, avec vous les images.
00:18:17C'est la première médaille française de la journée
00:18:19mais qui a été décrochée.
00:18:21L'argent lui qui avait récupéré le bronze à Tokyo.
00:18:23C'est en moins de 60 bien sûr pour la catégorie.
00:18:25Son adversaire, au final, avait pourtant
00:18:27écopé de deux pénalités pour non-combativité.
00:18:29C'est sur Waza Hari finalement
00:18:31une décision de l'arbitrage
00:18:33qu'il a dû s'incliner.
00:18:35C'était face au Kazakh Yeldos Smeltov.
00:18:37D'ailleurs, pour Smeltov,
00:18:39puisqu'il y a une belle histoire
00:18:41de part et d'autre finalement,
00:18:43c'était la seule médaille d'or,
00:18:45en tout cas qui manquait à Olympique pour lui.
00:18:47En tout cas,
00:18:49on va peut-être l'écouter.
00:18:51Après, on regardera d'autres images du judo.
00:18:53Je ne réalise pas encore
00:18:55tout à fait ce qui m'arrive.
00:18:57Mais en tout cas,
00:18:59je suis très fier, très content.
00:19:01Il y avait les personnes que j'aime
00:19:03à la salle.
00:19:05Il y avait le public.
00:19:07Mes combats, c'était
00:19:09vraiment quelque chose parce que j'entendais
00:19:11les gens chanter la Marseillaise.
00:19:13C'était trop beau.
00:19:15Dans des moments où j'étais dans le dur,
00:19:17ça m'a aidé à me relever, à retourner
00:19:19et à aller chercher mes combats.
00:19:21Elle est là.
00:19:23Elle est magnifique.
00:19:25Je vais la garder
00:19:27pendant un bon mois,
00:19:29je pense, à côté de moi.
00:19:31Je vais l'emmener avec moi partout.
00:19:33C'est une très belle médaille.
00:19:35Franchement, les Jeux, c'est génial pour ça.
00:19:37Il vous émeut, Lucas Mechetzi.
00:19:39Pour être tout à fait honnête,
00:19:41c'est une demi-finale
00:19:43où il mène.
00:19:45Le Turc revient et ça se joue
00:19:47à la Golden Score.
00:19:49C'est l'escrime, la Golden Touche.
00:19:51Je pense que c'est là
00:19:53où on voit tout le stade
00:19:55se mettre à chanter la Marseillaise et à l'encourager.
00:19:57Tu te rends bien compte que lui,
00:19:59même dans son combat, quand c'est difficile,
00:20:01il y a cette dernière minute,
00:20:03ça lui donne des ressources exceptionnelles.
00:20:05Ça m'a vraiment touché.
00:20:07C'était vraiment un bon moment.
00:20:09Merci à Anne-Sophie Mondière,
00:20:11qui est notre consultante judo,
00:20:13qui commente avec Georges Quirino.
00:20:15Anne-Sophie, merci d'être avec nous en direct.
00:20:17D'ailleurs, vous vous échappez
00:20:19d'une réunion ou de quelque chose ?
00:20:21Vous pouvez nous dire où vous êtes ?
00:20:23Je travaille très régulièrement
00:20:25au Club France
00:20:27et surtout à la Maison de la Performance.
00:20:29Beaucoup, beaucoup en ce moment.
00:20:31La Maison de la Performance,
00:20:33c'est un lieu qui a été initié
00:20:35pour la première fois
00:20:37sur ces Jeux Olympiques-là
00:20:39par Claude Onesta et l'ANS.
00:20:41Je suis en support
00:20:43notamment pour la construction
00:20:45et la production du projet.
00:20:47En fait, c'est un lycée
00:20:49qui a été intégralement transformé
00:20:51en neuf jours,
00:20:53en mini INSEP.
00:20:55C'est à 300 m du village olympique.
00:20:57C'est une zone
00:20:59assez confortable
00:21:01pour les athlètes qui sortent
00:21:03juste du village pour aller s'entraîner.
00:21:05C'est vrai qu'il a été remarqué
00:21:07par beaucoup d'athlètes
00:21:09que quand on est à l'étranger,
00:21:11on est obligé de prendre le métro,
00:21:13de marcher, de descendre des marches.
00:21:15C'est assez fatigant d'aller s'entraîner.
00:21:17Là, c'est quand même un confort
00:21:19extraordinaire de pouvoir bénéficier
00:21:21de cette Maison de la Performance
00:21:23et notamment sur ce premier jour de judo
00:21:25où les athlètes sont très souvent
00:21:27en régime.
00:21:29On y viendra dans le détail
00:21:31à cette Maison de la Performance
00:21:33Anne-Sophie, éclairez-nous.
00:21:35Pas de titre pour le judo aujourd'hui
00:21:37alors qu'on attendait pour Chérine,
00:21:39Lucas Meherdze, une médaille d'or.
00:21:41Est-ce que vous êtes satisfaites
00:21:43de cette journée ?
00:21:45On attendait des médailles
00:21:47déjà dans un premier temps.
00:21:49La couleur, ce n'était pas forcément évident
00:21:51en sachant que ce sont
00:21:53évidemment des catégories très concurrentielles.
00:21:55Chérine qui était
00:21:57numéro 5 mondial à la ranking,
00:21:59Lucas qui était numéro 3.
00:22:01On espérait déjà
00:22:03qu'ils amortissent
00:22:05la pression qui est énorme
00:22:07et qu'ils arrivent
00:22:09à ne pas la subir
00:22:11pour la transformer en médaille.
00:22:13Et c'est chose faite et je pense
00:22:15que c'était déjà le point
00:22:17le plus important. C'est le premier jour des Jeux,
00:22:19on attend beaucoup du judo et ils ont
00:22:21marqué tout de suite l'histoire par ces deux médailles.
00:22:23Merci beaucoup Anne-Sophie.
00:22:25Vous êtes extraite.
00:22:27Vous pouvez rester avec nous encore quelques instants
00:22:29parce qu'on va parler de Chérine Boucly
00:22:31et ensuite vous me direz si vous êtes d'accord
00:22:33avec Anne-Sophie. C'est vrai que c'est important
00:22:35cette notion d'évacuer cette pression avec des médailles
00:22:37même si ce n'était pas l'or. Juste les images
00:22:39de Chérine Boucly, Claire.
00:22:41Mais Saoud, on va se replonger sur ce qui s'est
00:22:43passé en novembre. C'était sur la chaîne
00:22:45L'Equipe. Des larmes qui comptaient déjà
00:22:47beaucoup. C'était lors du championnat
00:22:49d'Europe. Là, elle voit sa mère.
00:22:51Elle vient d'être championne d'Europe
00:22:53bien sûr, Chérine Boucly.
00:22:55Là, elle fond en larmes dans les bras de sa mère.
00:22:57C'est une émotion très importante.
00:22:59Ça fait partie de l'histoire aussi, de l'importance
00:23:01que prennent ensuite ces médailles.
00:23:03Là, en plus, on était sur un événement
00:23:05assez récent. On est dans l'année de la préparation
00:23:07olympique en plus.
00:23:09On va filer tout de suite sur ce qui s'est passé
00:23:11dans la journée
00:23:13justement avec cette médaille
00:23:15de bronze. La première médaille française
00:23:17de la journée récupérée. Chérine qui a
00:23:19d'abord été éliminée en quart, passée par
00:23:21le repêchage et qui a dû battre
00:23:23l'Espagnol Laura Martinez Abelanda
00:23:25pour aller chercher cette médaille
00:23:27de bronze au Golden Score.
00:23:29Et sur Ouaza Hari, on rappelle que c'est la catégorie
00:23:31bien sûr des moins de 48.
00:23:33La même émotion pour Chérine Boucly.
00:23:35C'est important. La journée d'aujourd'hui
00:23:37elle est décisive pour le judo, Stéphane ?
00:23:39On en parlait hier sur le plateau avec Marie Martino
00:23:41qui expliquait, on parlait de l'objectif des judokas
00:23:43du président de la FED, c'est 10 médailles.
00:23:45Il y en a 15 en jeu.
00:23:47Il y a 15 compétitions.
00:23:49Il va falloir en transformer
00:23:5110. Ça fait déjà 2 sur 2
00:23:53pour le judo français au Ouaza.
00:23:55Et Marie, qui est 2 fois vie championne
00:23:57de l'Olympique, disait que c'est important d'enclencher
00:23:59une dynamique. Donc on la suit.
00:24:01La pression d'être les premiers
00:24:03à s'élancer, les premiers à entrer
00:24:05dans le dojo, ça devait être quelque chose
00:24:07pour les deux, pour Boucly
00:24:09et pour Mérezé.
00:24:11Moi j'ai plus de regrets pour Mérezé
00:24:13que pour Boucly parce que je pense qu'elle est tombée
00:24:15sur la meilleure.
00:24:17Sur une intouchable
00:24:19qui l'avait battue de la même façon
00:24:21au chapelet du monde.
00:24:23Par contre, Mérezé, il était supérieur au Kazakh.
00:24:25Il a été battu par le vice, la roublardise,
00:24:27l'expérience du Kazakh.
00:24:29C'est sa troisième médaille olympique.
00:24:31C'est un garçon qui a une grande expérience.
00:24:33Il l'a piégé alors que c'est lui qui est à l'offensive.
00:24:35Il suffit qu'il se mette au sol,
00:24:37qu'il se couche quasiment, c'est terminé.
00:24:39Il n'y a plus d'action. Il fait l'erreur,
00:24:41le quart de seconde d'hésitation de vouloir se relever
00:24:43sur ses deux jambes et là il se fait cueillir.
00:24:45Donc là il y a un peu de regrets.
00:24:47Quand on voit son sourire à la fin avec sa médaille,
00:24:49je suis rassuré parce que les médailles d'argent
00:24:51c'est toujours dur à encaisser sur le coup.
00:24:53Alors que les médailles d'or,
00:24:55comme il gagne le combat qui permet de gagner la médaille,
00:24:57il finit sur une victoire.
00:24:59Alors que le médaille d'argent,
00:25:01il finit sur une défaite malheureusement.
00:25:03Les voici en direct au Club France.
00:25:05C'est là qu'ils vont être fêtés, Chirine et Lucas.
00:25:07Deux médailles pour le judo aujourd'hui.
00:25:19Anne-Sophie est en direct avec nous depuis le Club France.
00:25:21Donc je vais dire Anne-Sophie Bernadie,
00:25:23comme Anne-Sophie Mondière est avec nous également.
00:25:25C'est Anne-Sophie Bernadie qui est là-bas et qui va pouvoir
00:25:27nous raconter ce qui va se passer là.
00:25:29Ils vont être fêtés. Comment, Anne-Sophie ?
00:25:35On voit déjà nos deux judos camédaillés
00:25:37sur les écrans du Club France.
00:25:39Le speaker est en train de faire monter doucement
00:25:41la pression. Ils ont l'air d'être dans un sas.
00:25:43Je n'ai pas toutes les coulisses.
00:25:45Eux, ils ont l'air d'y être en coulisses
00:25:47et ils entendent en tout cas
00:25:49ce qui se passe. Chirine Boucli
00:25:51est très festive.
00:25:53Elle s'amuse vraiment beaucoup
00:25:55avec toutes ces festivités. Les médias tout à l'heure
00:25:57en zone mixte, elle sautait
00:25:59un petit peu partout. Elle est très expressive.
00:26:01Elle a pleuré
00:26:03également. On l'a vu il y a quelques instants
00:26:05sur les images de Claire Brécogne
00:26:07aussi récemment. Aujourd'hui, bien sûr,
00:26:09ils sont en train de découvrir les images
00:26:11de leur journée avant de monter
00:26:13sur scène. Ils sont très attendus
00:26:15ici. D'être journaliste,
00:26:17sans doute, ça nous donne une certaine légitimité.
00:26:19En tout cas, tout le monde vient nous voir.
00:26:21Quand c'est que ça commence ? Quand est-ce que les judokas
00:26:23arrivent ? Ils sont très attendus.
00:26:25Je crois qu'ils seront sur scène dans quelques
00:26:27secondes. C'est la première fête
00:26:29au Club France pour des médaillés
00:26:31de l'équipe de France. On l'a vu.
00:26:33Pour partager tous ces bons moments ensemble,
00:26:35vous êtes au Club France en direct
00:26:37avec Chirine Boucli, Luca Meffezzi
00:26:39et on fête les deux premières médailles du judo français.
00:26:45Merci.
00:27:15Le speaker, vous l'avez entendu,
00:27:17comme nous, ils vont traverser
00:27:19la terrasse pour venir être fêtés.
00:27:21On va juste prendre quelques instants.
00:27:23Anne-Sophie, très rapidement, Anne-Sophie Mondière,
00:27:25cette fois-ci. Anne-Sophie,
00:27:27c'est parfait ces images-là pour lancer
00:27:29la suite des Jeux Olympiques
00:27:31pour tout le judo français. Ça va faire du bien à tout le monde.
00:27:35Ça fait du bien à tout le monde.
00:27:37Évidemment, ça va lancer non seulement le judo,
00:27:39mais aussi toute l'équipe de France, comme la belle
00:27:41médaille du rugby.
00:27:43Et puis surtout, on voit cette ferveur populaire
00:27:45qui arrive. On voit
00:27:47les stades qui sont pleins. On voit la Marseillaise
00:27:49qui est scandée.
00:27:51C'est des moments qui sont extraordinaires et qui resteront,
00:27:53j'en suis sûre, dans le cœur des athlètes
00:27:55et également dans le cœur des Français.
00:27:57C'est tellement magnifique d'avoir les Jeux
00:27:59à la maison. C'est un moment qui va
00:28:01rester extraordinaire.
00:28:03Georges, rapidement. Ce qui est super
00:28:05sur ces images, je dois rajouter, c'est qu'on ne s'en
00:28:07rend pas compte de la force des Jeux à la maison.
00:28:09J'ai l'expérience des Jeux Olympiques à Rio
00:28:11et à Londres, et des Clubs France
00:28:13justement, à Rio, quand il y avait
00:28:15les fêtes à la médaille le soir, il n'y avait pas grand monde
00:28:17parce qu'il n'y avait pas autant de Français
00:28:19qui étaient là pour fêter Teddy Raynor.
00:28:21À Londres, c'était quelque chose d'assez impressionnant également,
00:28:23mais jamais dans des proportions comme ça. Donc là,
00:28:25on est sur des fêtes populaires
00:28:27qui font que la fête se poursuit
00:28:29vraiment très très longtemps pour les athlètes.
00:28:31Et on est au cœur de la foule même avec
00:28:33Charles-Antoine Nora à droite de l'écran. Merci infiniment
00:28:35Anne-Sophie. Vous pouvez regarder les images
00:28:37et on vous retrouve
00:28:39un petit peu plus tard évidemment. Chaque jour
00:28:41pour le judo, merci infiniment
00:28:43d'avoir été avec nous.
00:28:45Là, la soirée qu'on est en train de vivre, c'est la première.
00:28:47C'est ce qui va transformer complètement
00:28:49ces Jeux, Dave. Hier, la cérémonie,
00:28:51on était dedans. Et là, ce soir, pour les athlètes,
00:28:53pour les performances, pour chaque jour de fête
00:28:55de médaille, on est dedans encore une fois
00:28:57pour la première fois. Oui, parce que de la même façon que la cérémonie
00:28:59elle était un mélange
00:29:01d'hommage
00:29:03au sport, mais aussi
00:29:05d'une forme de festivité
00:29:07de toutes ces formes. Là, ça va être ça
00:29:09c'est-à-dire que tu as les compétitions
00:29:11et tu as ce qui vient
00:29:13l'enrober, c'est-à-dire cette communion
00:29:15cette atmosphère, cette
00:29:17façon de continuer à faire vivre
00:29:19cette équipe
00:29:21et les supporters
00:29:23et ces images-là, évidemment
00:29:25elles donnent le sentiment que là
00:29:27tu vis quelque chose, tu vis une expérience
00:29:29et pas juste tu regardes des compétitions
00:29:31ça change tout dans le rapport que tu as
00:29:33parce qu'effectivement, on n'est pas sur quelque chose
00:29:35comme le football
00:29:37où de fait, tu as tes 10, 12 millions
00:29:39à peu près à chaque fois
00:29:41là tu es sur des compétitions qui sont évidemment
00:29:43plus confidentielles d'habitude
00:29:45mais qui là, le temps de ces Jeux Olympiques
00:29:47Il faut tout prendre. Voilà, exactement
00:29:49et vont agglomérer
00:29:51tout le pays en fait, donc ces images-là
00:29:53elles participent de ça. Oui, et puis ce qui rajoute
00:29:55c'est la proximité en fait
00:29:57les gens ont vraiment l'impression d'être unis
00:29:59à cette performance sportive
00:30:01et donc je pense que ça
00:30:03renforce encore plus le sentiment
00:30:05de participer et de vivre
00:30:07à fond les JO. Et quand on vous disait
00:30:095€ pour assister à ça, honnêtement
00:30:11ça donne envie, moi je l'aimais
00:30:13et je pense que c'est exceptionnel
00:30:15ce que disait Stéphane tout à l'heure, c'est que le fait que
00:30:17dès le premier jour, les athlètes
00:30:19arrivent au Club France avec des médailles
00:30:21tous les gens qui n'ont payé que 5€
00:30:23pour profiter de cette soirée, de cet événement
00:30:25de cette ferveur et de voir les athlètes
00:30:27ça va aussi drainer du monde pour la suite
00:30:29et surtout ça va encourager les supporters
00:30:31à venir et à se dire
00:30:33c'est exceptionnel ce qu'il se passe au Club France
00:30:35tous les soirs. Et ça va difficile d'avoir une place bientôt
00:30:37C'est vrai, ça l'est déjà
00:30:39Là en plus, ils font bien monter l'ambiance
00:30:41parce que là, ils attendent avant de les faire venir
00:30:43Et là où Dave a raison, c'est que je pense que
00:30:45tous les athlètes qui voient ça
00:30:47et qui n'ont pas encore démarré leur...
00:30:49ils se disent, attendez, nous aussi on veut ramener des médailles
00:30:51parce qu'on veut avoir le droit de faire la fête le soir
00:30:53Et les voici, l'adrénaline, ils vont la prendre maintenant
00:30:55Chérine Boucly, médaillée de bronze
00:30:57et Luca Meffenze, médaillée d'argent
00:30:59Chérine Boucly, médaillée d'argent aujourd'hui
00:31:29Allez, un maximum de bruit !
00:32:00Mesdames et Messieurs, c'est bien encore la réponse
00:32:03Chérine Boucly !
00:32:29Encore un tonnerre d'applaudissements pour Chérine Boucly, Mesdames et Messieurs !
00:32:47Chérine vous a le droit de venir leur prouver
00:32:50continuez, continuez d'applaudir
00:32:52continuez d'applaudir lorsqu'elle passe en ronde, s'il vous plaît
00:32:59Oh Oh Oh Oh Oh Oh
00:33:03Oh Oh Oh Oh Oh Oh
00:33:06Oh Oh Oh Oh Oh Oh
00:33:10Oh Oh Oh Oh Oh Oh
00:33:16C'est bien ce qu'on appelle le Club France l'ambassade
00:33:19On s'en approuvait tous les soirs des jeunes équipes françaises
00:33:23Voilà le premier temps fort, les premiers frissons au Club France pour Shirin Boukli et ce sera maintenant au tour de Luka Mechedze.
00:33:31Vous voyez pourquoi ? Les Jeux vont être absolument magiques. Luka Mechedze maintenant.
00:33:53Luka Mechedze, c'est bien sûr !
00:34:21La première fête au Club France donc ce sera comme ça tous les soirs pour les médaillés Shirin Boukli, Luka Mechedze.
00:34:48Hier, les Jeux avaient démarré avec la cérémonie. Là, est-ce que vous avez la même ressenti que les Jeux démarrent pour les athlètes ce soir également ?
00:34:56Moi, ces images-là me rappellent que pour les athlètes que certains ne connaissaient pas à midi, Shirin Boukli et Luka Mechedze, pour ces athlètes-là, les Jeux Olympiques c'est un saut dans l'immortalité.
00:35:10On va se souvenir d'eux toujours. Ils auront peut-être un futur comme consultants parce qu'ils ont été champions olympiques. Ils auront peut-être des sponsors pour toujours.
00:35:21C'est une vie qui change, une médaille olympique. Encore plus quand on est champion olympique évidemment mais ce qu'ils vivent là est un avant-goût peut-être justement de la nouvelle vie qui s'offre à eux.
00:35:31Et ce bain de foule-là, on en parlait avec Dave, c'est pour ça qu'il faut qu'ils en profitent absolument parce que ça les fait basculer dans autre chose très clairement.
00:35:39On a senti qu'il voulait prendre le temps et ça m'a rappelé ce que je crois que c'est Platini qui vient foutre à Didier Deschamps.
00:35:46Je trouve cette phrase incroyable quand il dit à Didier Deschamps qu'il s'apprête à aller recevoir la coupe du monde 98 et il lui dit dans l'escalier surtout prends tout le temps.
00:35:55Prends ton temps, ça dure 10 secondes mais ne le zappe pas. Effectivement parce que lui avait pris ce temps-là en 84 et là tu as senti d'ailleurs, elle ralentit le pas Chirine Boucli pour vraiment se dire on va le vivre une fois autant le vivre vraiment seconde par seconde.
00:36:12Et encore plus tu ne sais pas si tu vas revenir surtout et tu vas revivre cet instant. Donc je veux dire c'est encore plus intense de prendre le temps et d'apprécier.
00:36:20Et on rappelle quand même que les JO sont la compétition qui est observée le plus mondialement donc ça rajoute encore plus avec je pense que la notoriété qu'ils vont prendre aujourd'hui ça va être assez intense.
00:36:33Et ce n'est pas une médaille d'or.
00:36:35Et ce n'est pas une médaille d'or.
00:36:36Il y a une médaille de bronze et une médaille d'argent qu'on est en train de voir.
00:36:38L'or c'est pour le rugby à sec. Les rugbymen qui sont attendus également au Club France dans les minutes qui viennent. On va le vivre en direct avec Anne-Sophie Bernadie, avec Corentin Roland et Charles-Antoine Doran.
00:36:48Nos envoyés spéciaux qui nous offrent toutes ces images pour célébrer cette première journée officielle de compétition.
00:36:53On est de retour après une courte pause en direct du Club France. On parlera de l'entrée du basket avec Wayne Banyama.
00:36:59Ça s'est plutôt bien passé. Le hand, on a pris une belle gifle par le Danemark pour Nico Karabatic et les autres.
00:37:04Et puis l'esprit Mosley là aussi. La belle histoire malheureusement n'aura pas lieu.
00:37:08Toutes les infos, toutes les images c'est juste après une courte pause. A tout de suite.
00:37:11Les premières médailles, les premiers athlètes de l'équipe de France fêtés.
00:37:27Quatre médailles aujourd'hui pour l'équipe de France dont une en or pour le rugby à sec.
00:37:31L'argent pour Lucas Mechetze et Chérine Boucli qui sont donc les premiers athlètes à être fêtés au Club France.
00:37:37C'est là que la fête va se passer tous les soirs et c'est là qu'on vous emmène en direct tous les soirs dans cette équipe du soir spéciale Jeux Olympiques.
00:37:44Toutes les images importantes du jour avec également l'entrée en matière de l'équipe de France de basket.
00:37:49Aujourd'hui on y vient dans quelques instants. Le président Hugo Bonneval avec Stéphane Guy, Dave Apadou, Georges Quirino, le sud-américain, Eric Ramey, Sandra Tanna.
00:37:59En ce moment, il faut pas dire que vous adorez l'Argentine, que vous y êtes allés.
00:38:09C'est la preuve qu'il faut que ça s'arrête ces bêtises.
00:38:13Le tableau des médailles avec quatre médailles aujourd'hui.
00:38:23La France, tiens, regardez, quatrième nation dans ce classement des médailles.
00:38:27On rappelle le record, c'est 43 médailles. D'ailleurs, vous pouvez aller voter sur l'équipe Connect, le QR code qui peut s'afficher.
00:38:34Vous allez sur le site ou l'application l'équipe. Est-ce qu'on va battre notre record de médailles sur ces Jeux Olympiques ?
00:38:39Oui, on espère que ça va monter haut au niveau du sondage et au niveau des médailles également.
00:38:44Est-ce qu'on va au Club France ou est-ce qu'on accueille notre prochain consultant pour le basket ?
00:38:51On va d'abord écouter Shireen Boukhli parce qu'elle a réagi après sa médaille de bronze.
00:38:55Et ensuite, Vincent Poirier qui aurait dû discuter ces Jeux Olympiques avec l'équipe de France malheureusement blessée sera notre consultant.
00:39:01On est heureux de l'avoir avec nous pour décrypter chaque jour les performances de l'équipe de France de basket.
00:39:05L'entrée en matière, c'était aujourd'hui pour Wenbanyama, notamment Batum qui ont été très bons eux aujourd'hui.
00:39:11On en parle dans quelques instants mais d'abord on écoute Shireen Boukhli.
00:39:14Je suis sortie de ma place de trois. Il y a plein de choses qui se sont passées.
00:39:19Je vais en interview. Apparemment Zidane voulait me voir pour me féliciter et me dire bonjour.
00:39:22Donc déjà, un truc de dingue. On s'est fait un câlin. J'ai une vidéo de 8 secondes où je fais un câlin à Zidane quand même.
00:39:26C'est incroyable. Ensuite, il fallait que j'aille vite parce que le président voulait me voir aussi.
00:39:30Et c'était juste fou parce qu'il m'a vue à Tokyo. Pas comme ça.
00:39:34Et il m'a vue à Paris aujourd'hui et je pense qu'il ne regrette pas. Donc je suis trop contente.
00:39:37On les a vues ces larmes juste après ton bar à Kourou. C'était quoi ces larmes ?
00:39:41C'est plein d'émotions. Ça se mélange aujourd'hui. C'est une médaille olympique. C'est la première.
00:39:46C'est la concrétisation de plein de choses. C'est beaucoup de travail.
00:39:49C'est les pensées à tous ces gens qui m'encouragent, qui m'entourent.
00:39:52C'est tout ce monde-là, ce staff qui est autour de moi.
00:39:55Et puis tout cet acharnement aujourd'hui. Je pensais à Tokyo quand j'ai perdu.
00:39:58Et je me suis dit que j'avais soif de vengeance pour Paris 2024.
00:40:01Ce n'est pas la plus belle des médailles mais elle est super belle aussi.
00:40:04Il y a eu plus fort aujourd'hui mais je suis trop contente parce que ça reste une médaille olympique
00:40:07qui marque l'histoire à Paris aujourd'hui.
00:40:09Franchement, c'est extraordinaire parce que les Jeux, c'est ça. Découvrir des personnages.
00:40:12C'est incroyable. On l'avait vu faire ses combats mais on ne l'avait pas entendu s'exprimer.
00:40:19Elle était magnifique dans la célébration parce que là, comme elle le dit dans son interview,
00:40:23elle a été voir ses entraîneurs. Elle a fêté ses entraîneurs de club, sa famille.
00:40:27François, c'est un succès qu'elle voulait partager avec les autres.
00:40:30En plus, c'est une histoire familiale un peu si j'ai bien compris.
00:40:33Il y a une vraie team qui l'assure.
00:40:35Ce qui est impressionnant quand on la regarde sur le tatami, c'est sa concentration à chaque fois qu'elle va combattre.
00:40:41Tu sens vraiment la détermination derrière d'avoir cette médaille.
00:40:46Je pense que c'est la compétition.
00:40:48Oui, puis c'est l'histoire. Elle est battue au premier tour à Tokyo.
00:40:50Là, dès son entrée dans la compétition, elle a fait un combat.
00:40:54Elle perd. Avoir les ressources pour repartir, pour aller rechercher derrière la médaille.
00:40:59Chapeau bas.
00:41:01Franchement, il faut y aller quand même.
00:41:03Zizou Matandey voulait féliciter le président.
00:41:05En plus, le naturel de ce qu'elle dit, c'est beau.
00:41:09Moi, là où je l'aime beaucoup au Shirin Boukli, c'est qu'elle est toujours la même dans la victoire ou dans la défaite.
00:41:15On a suivi quelques-unes de ses compétitions sur la chaîne L'Equipe.
00:41:18Quand elle a été championne d'Europe, notamment à Montpellier.
00:41:21On l'avait vu, elle avait déjà cette fraîcheur.
00:41:23Elle s'exprime beaucoup sur les réseaux sociaux.
00:41:25C'est une athlète très actuelle.
00:41:27J'ai envie de dire un peu comme Romane Dicot, pour ceux qui ne connaissent pas Romane Dicot.
00:41:30On la verra vendredi dans la catégorie des lourds, le même jour que Teddy Riner.
00:41:34C'est des personnages qui étaient programmés pour être des stars des Jeux finalement.
00:41:39Parce qu'ils ont tout prévu dans l'image qu'ils vendent.
00:41:43Je me rappelle, elle est allée sur le plateau de quotidien face à Yann Barthez.
00:41:45Elle était encore inconnue.
00:41:46Elle avait été parfaite.
00:41:47Elle s'était parfaitement vendue.
00:41:49Donc, c'est une fille que je pense qu'on va revoir assez souvent.
00:41:53Shirin Boukli, médaillée de bronze.
00:41:55Aujourd'hui, Lucas Méhenze, médaillée d'argent.
00:41:57La médaille d'or, c'est pour le rugby A7.
00:41:59On les attend au Club France dans quelques minutes.
00:42:01C'est le lendemain, mais Saoud, de cette cérémonie très inclusive qui nous a été proposée à Paris.
00:42:05Voir Shirin Boukli et Lucas Méhenze.
00:42:07L'histoire de ces deux champions.
00:42:09Notamment Méhenze, qui arrive en 2008 en France de Géorgie comme réfugié.
00:42:13C'est une histoire de vie complètement extraordinaire.
00:42:17C'est ça aussi les Jeux.
00:42:18Qu'est-ce que ces athlètes-là nous racontent à travers leur parcours ?
00:42:21On a la chance de vivre ces histoires-là régulièrement aux Jeux olympiques.
00:42:24Cette fois-ci, c'est Lucas Méhenze également.
00:42:26La belle histoire qu'on espère vivre, c'est pour le basket français.
00:42:29On a suivi toute la préparation.
00:42:31Vous avez vu Wemba Nyama et tous les basketteurs français sur la chaîne.
00:42:34Malheureusement, quatre défaites lors des matchs de préparation.
00:42:37Et aujourd'hui, l'entrée en lice face au Brésil.
00:42:41Claire, on s'est fait un petit peu peur, mais c'est quand même une victoire.
00:42:4478 à 66 en effet les bleus qui se sont imposés.
00:42:48Vous allez voir un joli dunk signé Wembi, évidemment Wemba Nyama.
00:42:53Et un 3 points de Batoum également.
00:42:55C'était vraiment deux joueurs incontournables ce soir pour cette entrée des bleus.
00:42:58Il y avait 39 partout à la mi-temps mais saoud.
00:43:01On peut aussi dire évidemment qu'on est surtout remonté grâce au deuxième carton du côté des bleus.
00:43:06Donc ça a été un petit peu poussif au début.
00:43:08Et le prochain rendez-vous des bleus, ce sera mardi face au Japon.
00:43:12Ça c'est pour un petit peu ce qu'on peut vous donner sur le match.
00:43:14Mais il y en a une autre, il y a une table très intéressante aussi.
00:43:16C'est ce 19 points qui est en train d'être affiché.
00:43:18Marqué à la fois par Wemba Nyama et par Batoum également.
00:43:22Et surtout pour Batoum, c'est son meilleur score en match depuis 2014.
00:43:28Depuis la Coupe du Monde, c'était face à la Lituanie.
00:43:30Il avait marqué 27 points à ce moment-là.
00:43:32Donc voilà, ça marque aussi un vrai tournant pour ce joueur.
00:43:36Et on accueille avec un immense plaisir Vincent Poirier.
00:43:40C'est vrai qu'immense c'est le cas.
00:43:42Je le dis pour tout le monde Vincent.
00:43:45Immense plaisir de vous avoir avec nous pour vivre ces Jeux Olympiques pour vous à distance malheureusement.
00:43:52Ça vous a fait quoi d'abord Vincent de ce premier match de voir les bleus aujourd'hui ?
00:43:58Ça m'a fait plaisir d'aller voir les Jeux.
00:44:01Je sais ce que ça fait.
00:44:02Le premier match d'ouverture, c'est toujours un match important.
00:44:06J'ai regardé ça depuis mes vacances.
00:44:09Je suis content du résultat.
00:44:13Content du résultat, éclairez-nous.
00:44:16On s'est fait peur en regardant le match honnêtement.
00:44:19Et puis c'est allé mieux.
00:44:20Est-ce que vous êtes rassuré par le niveau de l'équipe de France après les 4 défaites lors des matchs de préparation ?
00:44:28Déjà, il y a la victoire.
00:44:30C'est le plus important de bien commencer la compétition.
00:44:34Après, c'est vrai qu'en première maintenance, il y a eu beaucoup de déchets.
00:44:40Beaucoup de choses pas bonnes.
00:44:44C'est vrai que le début du troisième quartant a été beaucoup mieux.
00:44:49Là, on a retrouvé une équipe de France qui était agressive, qui se passait la balle, qui faisait la différence.
00:44:55C'est là qu'on est repassé devant et qu'on a rattrapé le retard.
00:44:59C'est surtout le troisième quartant qui a été de bonne augure, on va dire.
00:45:06Wemba Nyama et Batoum, comme l'a dit Claire, meilleurs marqueurs de la rencontre.
00:45:09Ça aussi, c'est de bonne augure.
00:45:10Si Batoum et Wemba Nyama sont régulièrement les deux meilleurs joueurs, on peut aller au bout ?
00:45:16Je pense que c'est à toute l'équipe de faire des matchs.
00:45:20Aujourd'hui, c'était Nico et Wembi.
00:45:23Demain, ce sera d'autres joueurs.
00:45:25Je pense qu'on a vu que quand on jouait à l'intérieur, l'équipe de France dominait.
00:45:29Parce qu'avec Mathias, avec Rudi, avec Wembi, avec Gershon, on voit qu'à l'intérieur, c'est difficile de nous arrêter.
00:45:38Quand j'ai regardé le match, il y avait soit Faude, soit Stéphanie et N1.
00:45:44C'est des bases sur lesquelles il faut se reposer encore pour le prochain match.
00:45:50On sait que c'est la qualité première de l'équipe.
00:45:52Notamment avec Victor, qui a été très bon et qui a beaucoup apporté sur ses post-ups.
00:45:59Ce sont des choses à continuer à faire.
00:46:04On a vu Dupont emmener l'équipe de France de rugby à Sète vers la médaille d'or.
00:46:08Avec un talent incroyable sur le terrain et des qualités humaines dans le groupe.
00:46:12Sensationnel aussi.
00:46:13Est-ce que Vincent, pour vous, Victor Wemba Nyama, vous qui avez vécu avec lui dans le groupe,
00:46:18il a exactement les mêmes caractéristiques pour faire pareil avec le basket ?
00:46:24Je pense qu'il a cette aura, cette qualité que tout le monde a envie de le suivre.
00:46:29Tout le monde le respecte pour ce qu'il est.
00:46:32C'est quelqu'un d'humble, c'est quelqu'un qui veut gagner.
00:46:34C'est quelqu'un qui le montre au quotidien à l'équipe.
00:46:39Je pense qu'il emmène un peu tout le monde avec lui.
00:46:42C'est vrai qu'en plus de ça, il le prouve sur le terrain.
00:46:45Depuis les matchs de prépa et aujourd'hui encore, il fait énormément de bien.
00:46:50Je pense que tout le monde, je voyais notamment après les quarts de temps,
00:46:54tout le monde essaie de communiquer avec lui.
00:46:56Parce qu'on sait que ça va passer notamment par lui de gagner les matchs.
00:47:00Il a cette responsabilité-là sur les épaules.
00:47:05Merci beaucoup Vincent.
00:47:06Vous voyez, tout le monde est poli.
00:47:08Personne ne vous a demandé si vous étiez en vacances.
00:47:11On donne un indice ou pas ?
00:47:15Je suis en Crète.
00:47:17Ah, sympa.
00:47:19Bonne vacances en regardant les Jeux.
00:47:22Et on se retrouve autour de France-Japon et France-Allemagne, Vincent ?
00:47:26Yes.
00:47:27Je serai là.
00:47:29Merci d'avoir profité des vacances et des Jeux.
00:47:32Merci.
00:47:33Merci beaucoup.
00:47:34On se retrouve pour le prochain match.
00:47:36J'ai l'envie d'être en excellents termes.
00:47:38J'ai l'envie d'être en excellents termes.
00:47:40J'ai vraiment envie d'être en excellents termes.
00:47:45On attendait cette entrée en matière de Wemba Nyama.
00:47:47Le basket, Dave, c'est votre rayon aujourd'hui.
00:47:50Vous ressortez comment de ce match très rapidement ?
00:47:53Très rapidement.
00:47:54Il y a eu ce départ poussière, vous l'avez dit.
00:47:56Après, ils ont augmenté, ça a été un petit peu amorcé là,
00:47:59le niveau d'intensité défensive.
00:48:01Parce qu'en fait, cette équipe-là, malgré tout,
00:48:03hormis Wemba Nyama de manière à peu près fiable,
00:48:05pour le reste, ce n'est pas une équipe
00:48:07avec beaucoup de talent, de création, de marqueur.
00:48:10C'est une équipe qui va valoir surtout par sa défense.
00:48:13C'est ce qu'ils ont réussi à augmenter.
00:48:15Il y a encore des pertes de balles idiotes
00:48:16qui seront beaucoup plus sanctionnées
00:48:18contre une équipe plus forte que celle du Brésil.
00:48:20Mais c'était bien de valider,
00:48:21compte tenu de la préparation qui avait été,
00:48:23on peut le dire, catastrophique.
00:48:24Donc ça, c'est très bien.
00:48:25Et un dernier point, et ça, ça me frappe par contre,
00:48:27c'est que c'est quand même une équipe
00:48:28avec des vieux routiers, des gens qui ont du métier.
00:48:31Wemba Nyama, c'est juste un « rookie »,
00:48:33c'est sa première saison en NBA.
00:48:35Et aujourd'hui, on a vu que c'était déjà un peu
00:48:37le référent, le patron, le taulier.
00:48:39C'est-à-dire que quand Gobert
00:48:40se fait dunker sur la tête,
00:48:41c'est lui qui va un peu venger
00:48:43en mettant deux dunks surréalistes derrière.
00:48:45C'est-à-dire qu'il a déjà pris le lead.
00:48:47Et ça, c'est impressionnant à son âge.
00:48:48Pour aller chercher au moins la médaille d'argent
00:48:50pour l'équipe de France
00:48:51qui est vice-championne olympique en titre.
00:48:52La fête qui bat son plan au Club France,
00:48:54à la Villette.
00:48:55Vous voyez ça ?
00:48:56On a envie d'y aller, nous aussi.
00:48:58Pour vous ennuyer avec nous.
00:48:59Non, ce n'est pas ça.
00:49:00Non, vous emmenez aussi.
00:49:06Pour y aller tous et rejoindre Anne-Sophie
00:49:08qui attend les rugbymen.
00:49:12Oui, tout à fait, on est en zone mixte.
00:49:13Mais Saoud, c'est particulièrement bien insonorisé
00:49:15la grande halle de la Villette
00:49:16parce que vraiment, ça fait la fête
00:49:17à quelques mètres de nous.
00:49:19Mais là, on est en zone mixte.
00:49:20Et regardez, Charles-Antoine va vous montrer.
00:49:21Tous les médias ont été prévenus
00:49:23il y a 9 minutes, très exactement.
00:49:25On leur a dit, dans 20 minutes, zone mixte.
00:49:27C'est comme ça qu'on l'appelle ce passage
00:49:29où les athlètes viennent répondre aux médias.
00:49:30Dans 20 minutes, zone mixte
00:49:32avec les rugbymen
00:49:34qui rentrent du Stade de France.
00:49:36On est donc en place.
00:49:37Le temps d'une pub, je crois.
00:49:38Mais Saoud, on sera en direct
00:49:39avec les rugbymen.
00:49:41Le temps d'une courte pause, Anne-Sophie.
00:49:43Vous reconnaissez.
00:49:44Et là, c'est une vraie courte pause.
00:49:46Parce qu'on est là dans 3 minutes.
00:49:47D'habitude, je mens sur les courtes pauses.
00:49:51Là, c'est une vraie courte pause.
00:49:52Alors, dans moins de 30 minutes, on est là.
00:49:54Merci.
00:50:03Quel bonheur de partager ces Jeux Olympiques
00:50:05à Paris avec vous.
00:50:06C'est la fête au Club France, à la Villette.
00:50:08C'est là que tous les athlètes médaillés
00:50:10chaque jour se rendent pour partager
00:50:12ces émotions de médaille avec le public français.
00:50:154 médailles aujourd'hui.
00:50:16La France qui est quatrième au classement
00:50:18de ces médailles dans ce tableau
00:50:20qu'on va apercevoir avec une médaille d'or
00:50:22de Rugby A7.
00:50:23Antoine Dupont et ses coéquipiers
00:50:25qui sont attendus dans les minutes
00:50:26qui viennent au Club France.
00:50:27Deux médailles d'argent avec l'escrime
00:50:29pour l'épéiste.
00:50:30Oriane Malon-Breton, on va voir ça
00:50:32dans quelques instants.
00:50:33Et puis, Luca Mechelzeck, qu'on a vu fêter
00:50:35au Club France, en argent également.
00:50:37Et Chérine Boucli, en bronze.
00:50:39On est toujours avec le président
00:50:40Hugo Bonneval, Stéphane Guy,
00:50:41Dave Apadou, Georges Quirino,
00:50:43Éric Ravé-Sandratana,
00:50:44Claire Bricogne.
00:50:45On est content de vous voir encore parmi nous
00:50:46parce qu'on a...
00:50:47On sent que vous êtes avec nous.
00:50:48C'est la France.
00:50:50Vous voulez que je vous dise,
00:50:51ça peut arriver d'ici la fin
00:50:52des Jeux Olympiques.
00:50:53C'est bien possible.
00:50:54Il y a assez de monde
00:50:55pour tenir la boutique ici.
00:51:01L'idée, ce sera de partir
00:51:02au début de l'émission
00:51:03et d'arriver en France.
00:51:04L'idée, on peut le faire.
00:51:05On est même des fous.
00:51:06On part pendant une pub
00:51:08et on arrive pour la reprise
00:51:10en direct là-bas.
00:51:12Moto-caméra, comme les présidents
00:51:14quand ils sont allés.
00:51:15On s'adaptera.
00:51:16Il est en train de créer un concept.
00:51:18Il n'est plus avec nous déjà.
00:51:20Ça fait un moment que j'ai ça en tête.
00:51:24Il faut chercher les QR codes par contre.
00:51:25Préparez-vous.
00:51:26Il faut un paquet de QR codes.
00:51:27On va s'arranger.
00:51:28Ne vous inquiétez pas.
00:51:30Quatre médailles.
00:51:31On attendait l'entrée en liste
00:51:32de l'équipe de France de basket.
00:51:33On l'a vu, c'est passé
00:51:34avec une victoire face au Brésil.
00:51:35On attendait l'entrée en liste
00:51:36de nos champions olympiques,
00:51:38les handballeurs.
00:51:39Et malheureusement,
00:51:40là, ça n'est pas passé.
00:51:41On a pris une dérouillée
00:51:42face au Danemark.
00:51:43Oui, face au Danemark,
00:51:44c'était forcément un choc
00:51:45parce que le Danemark est aussi
00:51:46l'un des favoris du tournoi
00:51:48à la base.
00:51:49Défaite 37-29,
00:51:51les Bleus qui étaient pourtant
00:51:52bien partis jusqu'à l'égalisation
00:51:53du Danemark à 13 partout.
00:51:55À la mi-temps, il y avait
00:51:56juste un point d'écart,
00:51:5718-17.
00:51:58Et puis les Bleus se sont
00:51:59écroulés ensuite.
00:52:00Je vous redonne quand même
00:52:01ce score, 37-29.
00:52:03Ça veut dire 8 buts d'écart,
00:52:0513 exactement.
00:52:06Prochain match des Bleus,
00:52:07ce sera contre la Norvège.
00:52:08Ce sera lundi.
00:52:09On peut enchaîner peut-être
00:52:10avec une déclaration justement
00:52:11de Luka Karabatic,
00:52:13relayée par le site L'Equipe.
00:52:15Il n'y a rien d'alarmant
00:52:17sur une défaite comme cela.
00:52:19Il aurait fallu qu'on soit
00:52:20à 100%.
00:52:21Il en a manqué un peu
00:52:23dans pas mal de secteurs.
00:52:24Et au final, cela fait une défaite.
00:52:26Il n'y a pas tout à jeter,
00:52:27loin de là.
00:52:28Alors, première défaite
00:52:30pour un match d'ouverture
00:52:31depuis 1992, quand même,
00:52:33pour l'équipe de France de Hand.
00:52:34On écoute...
00:52:35Il jouait le Danemark.
00:52:36Il jouait le Danemark.
00:52:37Mais est-ce que c'est l'ampleur
00:52:38de la défaite, cette défaite ?
00:52:40Mais est-ce que c'est l'ampleur
00:52:41de la défaite qui pose
00:52:42un petit souci ?
00:52:43J'ai quand même le sentiment
00:52:44en regardant le match
00:52:45qu'ils ont un peu laissé filer
00:52:46la fin.
00:52:47Il y a un autre élément
00:52:48très important, me semble-t-il.
00:52:49C'est que les deux des stars
00:52:50de l'équipe,
00:52:51Di Kamen et Rémi Léa,
00:52:52étaient blessés.
00:52:53Ils ont fait leur retour
00:52:54quasiment ce soir.
00:52:55On ne les a pas vus
00:52:56dans la préparation.
00:52:57Donc, c'est des joueurs
00:52:58qui vont quand même...
00:52:59Des gros, gros joueurs
00:53:00pour l'équipe de France
00:53:01qui vont monter en puissance.
00:53:02Moi, ce que j'ai observé,
00:53:03surtout, c'est que
00:53:04je les ai trouvés fatigués,
00:53:05en fait.
00:53:06Donc, je me demande
00:53:07s'ils ont bien digéré
00:53:08la préparation
00:53:09ou si ça va monter
00:53:11au fur et à mesure,
00:53:12ce que je pense.
00:53:13Et que, de toute façon,
00:53:14ils ont cinq matchs à jouer.
00:53:15Là, ils ont perdu le premier.
00:53:16On peut quand même considérer,
00:53:17vu le palmarès de l'équipe
00:53:18et son expérience,
00:53:19que la préparation,
00:53:20elle a été gérée
00:53:21pour que ça...
00:53:22Non, non, oui, bien sûr.
00:53:23Mais je les ai trouvés fatigués
00:53:24ce soir.
00:53:25Et je pense que
00:53:26l'adversaire fait aussi
00:53:27que...
00:53:28Un gardien qui fait
00:53:29quasiment 50 % d'arrêt,
00:53:30ça n'existe pas.
00:53:31Je veux dire,
00:53:32c'est surtout trouver
00:53:33très nerveux.
00:53:34Alors, est-ce que c'est
00:53:35justement le fait
00:53:36de jouer le match d'ouverture ?
00:53:37Je sais qu'ils sont attendus.
00:53:38Ils sont à la maison.
00:53:39Ça fait des années
00:53:40qu'on en parle.
00:53:41Et le garçon qu'on voit
00:53:42à l'image...
00:53:43Le garçon qu'on voit
00:53:44à l'image ?
00:53:45Non, alors, le garçon
00:53:46qu'on voit à l'image,
00:53:47c'est Jean Dujardin.
00:53:48Dodo.
00:53:49C'est Jean Dujardin.
00:53:50Non, mais c'est vrai,
00:53:51c'est lui, Dodo.
00:53:52Il est au Club France.
00:53:53Ah, vous, vous savez
00:53:54reconnaître
00:53:55Jean Dujardin, Dodo ?
00:53:56C'est Corentin Roland-Pillier
00:53:57qui me l'a souhaité.
00:53:58Parce que je vous ai
00:53:59trouvé vif, là.
00:54:00Il faut le coup d'oeil,
00:54:01quand même.
00:54:03Je vais même vous dire
00:54:04que c'est la maman
00:54:05de Shirin Boukli.
00:54:06Ah, d'accord.
00:54:07C'est Denis Charvet.
00:54:08Et Denis Charvet, là.
00:54:09Denis Charvet.
00:54:10Lui, on le reconnaît aussi.
00:54:11Là, on continue
00:54:12sur le orange.
00:54:13Non, mais juste,
00:54:14la personne que je montrais,
00:54:15c'était plutôt
00:54:16Nicolas Karabatic,
00:54:17effectivement,
00:54:18que j'avais montré
00:54:19à l'image.
00:54:20On avait peut-être
00:54:21des doutes
00:54:22sur, justement,
00:54:23ses capacités physiques
00:54:24à l'approche
00:54:25de la compétition.
00:54:26Moi, j'étais plutôt rassuré.
00:54:27Franchement, sur la première
00:54:28mi-temps, notamment,
00:54:29je trouve que dans l'intensité
00:54:30et tout ça,
00:54:31Nicolas Karabatic,
00:54:32Nicolas était quand même
00:54:33au rendez-vous.
00:54:34Donc, ce premier match,
00:54:35voilà, on ne va pas
00:54:36en tenir rigueur.
00:54:37Ça ne va pas avoir
00:54:38un impact très important.
00:54:39Donc, c'est surtout
00:54:40la forme des uns et des autres
00:54:41qu'il faut observer, je pense.
00:54:42C'est vrai que c'est
00:54:43un peu la différence.
00:54:44Hop, hop, hop, hop.
00:54:45Première reverse générale
00:54:46de ces Jeux Olympiques.
00:54:47Ce ne serait pas l'arrivée
00:54:48d'Antoine Dupont ?
00:54:49Eh bien, oui, il est là.
00:54:50Antoine Dupont,
00:54:51superstar aujourd'hui.
00:54:52Mélaïe Edor
00:54:53avec le rugby A7.
00:54:54Et c'est toute l'équipe
00:54:55de France
00:54:56qui arrive au Club France.
00:54:57Voilà.
00:54:58Et là, ça va être quelque chose
00:54:59dans les minutes qui viennent.
00:55:00Charles-Antoine Nora
00:55:01qui a capté
00:55:02l'image qu'il fallait.
00:55:03Il vient d'arriver
00:55:04il y a quelques instants
00:55:05donc, Antoine Dupont
00:55:06et ses coéquipiers
00:55:07du rugby A7.
00:55:08Je l'ai reconnu de dos.
00:55:09Antoine Dupont,
00:55:10avec une médaille d'or,
00:55:11ça y est.
00:55:12Ça passe.
00:55:13Ça passe.
00:55:14Le Hand,
00:55:15on verra le deuxième match
00:55:16effectivement,
00:55:17mais pas d'inquiétude
00:55:18pour l'instant.
00:55:19Mélaïe Edor,
00:55:20c'est là,
00:55:21c'est là,
00:55:22c'est là,
00:55:23c'est là,
00:55:24c'est là,
00:55:25c'est là,
00:55:26c'est là,
00:55:28même si le score
00:55:29fait mal face au Danemark.
00:55:30Antoine Dupont,
00:55:31qu'on a vu arriver
00:55:32au Club France
00:55:33superstar.
00:55:34Franchement,
00:55:35avec cette médaille d'or,
00:55:36il courait un titre
00:55:37avec l'équipe de France
00:55:38du rugby A15
00:55:39c'est pas fait.
00:55:40C'est fait avec
00:55:41le rugby A7
00:55:42pour Antoine Dupont.
00:55:43Est-ce que ce titre olympique
00:55:44va le faire changer
00:55:45de dimension Antoine Dupont
00:55:46avec ce qu'il a vécu,
00:55:47avec ce qu'il est en train
00:55:48de faire vivre
00:55:49à la France ?
00:55:50Et bien,
00:55:51c'est un duel
00:55:52parce que vous n'êtes pas d'accord
00:55:53du premier duel
00:55:54de ces Jeux Olympiques.
00:55:57Alors, voyons voir, c'est Stéphane qui nous dit que oui, ça va lui faire changer de dimension, Antoine Dupont, et vous êtes face au professeur, Dave Apadou, qui nous dit non.
00:56:07Professeur, vous êtes là depuis un petit moment, vous laissez la main à Stéphane, vous lui donnez l'occasion de choisir en tout cas.
00:56:13Vous prenez la main ou vous la laissez ?
00:56:15Oui, ce sera un duel très amical.
00:56:17Très amical, mais corsé.
00:56:19Je m'étonne qu'il puisse défendre une autre idée que la mienne, mais ce sera un duel très amical.
00:56:23Allez, vous lancez ce duel amical Stéphane.
00:56:25Évidemment, nous qui suivons le sport passionnément et de près, on connaît Antoine Dupont et on connaît sa valeur.
00:56:33On peut avoir énormément de regrets quand on le voit à ce niveau-là sur la dernière Coupe du Monde de rugby,
00:56:37où évidemment, s'il avait été à la mallette des Bleus, le sort du tournoi n'aurait pas été changé.
00:56:42Mais je pense par contre qu'au niveau populaire, oui, il va rentrer encore.
00:56:46C'était la superstar du rugby, mais là, c'est maintenant une superstar du sport français.
00:56:51Ça va être ça, le changement de dimension.
00:56:54Il a vécu au Stade de France ce que Zizou a vécu le 12 juillet 1998.
00:56:58À l'échelle du rugby, évidemment, mais ça va le faire changer de dimension.
00:57:01Top Stéphane, je vous ai accordé 5 secondes de plus.
00:57:03Non, c'est l'inverse en fait.
00:57:05C'est Dupont qui a donné une autre dimension à cette compétition.
00:57:09On l'a dit dès le départ, le stade était plein et il y en avait les trois quarts qui étaient venus.
00:57:13Déjà pour lui, c'est comme si Stéphane Curie allait faire du basket 3-3 et qu'on disait qu'après ce qu'il gagne un titre olympique en basket 3-3, il change de dimension.
00:57:21Non, il redimensionne le basket 3-3.
00:57:23Moi, je ne crois pas, c'est une superstar déjà de sa discipline.
00:57:26Ce qui le ferait changer de dimension, c'est d'être champion du monde de rugby à 15.
00:57:29C'est que partie remise.
00:57:30Pour l'instant, ce n'est pas ça qui va le faire changer de dimension.
00:57:32Je vous ai accordé 2 secondes.
00:57:34Cadeau.
00:57:35Cadeau.
00:57:36C'est mieux.
00:57:37C'était amical en direct.
00:57:39Et après, le président va trancher.
00:57:42Tiens, ils font déjà la fête les rugbymans.
00:57:43C'est magnifique.
00:57:44En direct du Club France donc à la Villette.
00:57:51On profite de la présence d'Hugo Bonneval parce qu'Antoine Dupont, superstar évidemment.
00:58:05Mais les autres qui sont champions olympiques.
00:58:07Un petit mot sur chacun qu'on voit là.
00:58:09Là, on voit Stéphane Parez avec les cheveux longs qui lui est un centurion du rugby à 7.
00:58:14Un plus de 100 essais qui est là depuis tout le début de l'aventure.
00:58:17Donc, c'est aussi pour des joueurs comme ça qu'il faut rendre hommage à cette équipe.
00:58:20Il était à Rio en 2016.
00:58:21Exactement.
00:58:22Et celui qui est porté là, les lunettes.
00:58:24C'est Nelson Epée.
00:58:25C'est un jeune du Stade Toulousain qui était suppléant en début de compétition.
00:58:29Et malheureusement, avec la blessure de Théo Faucher, il est rentré dans l'équipe.
00:58:35Il n'est plus blessé.
00:58:36Champion.
00:58:37Champion olympique.
00:58:38Champion olympique.
00:58:39Il va être fêté.
00:58:40Juste derrière.
00:58:41On le voit.
00:58:42Auteur d'un essai.
00:58:43Hop.
00:58:44Juste derrière.
00:58:45Il est en train de le porter.
00:58:47C'est toute cette équipe de 7 qu'il faut féliciter.
00:58:49Moi, je veux rendre un grand hommage à la FED.
00:58:51En fait, depuis 15 ans, on ne se rend pas compte du travail qu'ils ont effectué pour
00:58:54cette équipe de France à 7 qui, aujourd'hui, en récolte les fruits.
00:58:57Mais ils ont réussi à sortir des joueurs du 15, à leur proposer des contrats fédéraux
00:59:01pour pouvoir leur permettre de...
00:59:03On voit les belles oreilles.
00:59:04Après, on va dire qu'au rugby, on fait des soirées.
00:59:07Doucement, les mecs.
00:59:08Non, non.
00:59:09C'est très surfait comme réputation.
00:59:12Franchement, tout le monde du rugby peut leur dire merci.
00:59:15Ça nous réconcilie avec tout ça.
00:59:17Mais, je le disais, il faut féliciter la FED parce qu'ils ont fait un travail exceptionnel.
00:59:21Ça fait plus de 15 ans que le rugby à 7 essaye de monter progressivement au plus haut
00:59:26niveau mondial.
00:59:27On a pris des belles roustes.
00:59:29On a fait un travail exceptionnel.
00:59:31On a fait un travail exceptionnel.
00:59:33On a fait un travail exceptionnel.
00:59:35On a fait un travail exceptionnel.
00:59:38On a pris des belles roustes.
00:59:41À Rio, on n'est pas sortis des poules.
00:59:43On n'a pas fait Tokyo.
00:59:45On n'avait gagné qu'un tournoi avant cette année de rugby à 7 et l'arrivée d'Antoine
00:59:50Dupont avec cette équipe.
00:59:51Et je crois que c'est un travail de longue haleine.
00:59:53Ils ont réussi, comme je le disais, à sortir des joueurs pour leur permettre d'évoluer
00:59:56exclusivement au rugby à 7 tout au long de l'année, ce qui n'était pas le cas avant.
00:59:59On se rend bien compte que c'est un sport qui est tellement différent du 15 et on a besoin
01:00:02de spécialistes.
01:00:04Il faut féliciter vraiment le staff de l'équipe de France à 7.
01:00:07D'ailleurs, le sélectionneur a annoncé qu'il quittait son poste après ce titre olympique.
01:00:11Il part sur son titre.
01:00:13C'est Aimé Jacquet.
01:00:14Il s'arrête sur la plus belle marche du podium.
01:00:17Franchement, c'est fantastique parce qu'ils en ont bavé.
01:00:20Ils ont pris des belles roustes.
01:00:21Ça a été compliqué.
01:00:22On les a aussi souvent moqués parce qu'on disait que personne ne voulait à 7, que c'était
01:00:25les joueurs de 15 qui n'étaient pas bons qui iraient à 7.
01:00:28Ils se sont accrochés.
01:00:29Ils ont réussi à créer un groupe, une histoire, une aventure exceptionnelle.
01:00:33Aujourd'hui, il faut leur tirer un grand coup de chapeau.
01:00:36Il faut les féliciter.
01:00:37C'est la première médaille d'or aussi.
01:00:39Ce n'est pas rien.
01:00:41Il y a des joueurs, Jean-Pascal Barrac aussi qui est là, que je connais depuis 15 ans,
01:00:45avec qui on avait fait les équipes de France jeunes à 15.
01:00:48Ce sont des joueurs qui n'ont jamais rien lâché, qui n'ont peut-être pas eu la carrière
01:00:52qu'ils auraient méritée, mais qui, ce soir, peuvent profiter pleinement.
01:00:58C'est fantastique.
01:01:00Première médaille d'or de ces Jeux.
01:01:02Je pense aussi aux jeunes Ryan Rebach, qui était un espoir du club toulonnais quand
01:01:09moi j'y étais, qui essayait de jouer un peu à 15.
01:01:11C'était compliqué.
01:01:12Il a fait quelques feuilles de match, mais il n'était pas pleinement dans le projet
01:01:15du 15.
01:01:16En passant par le 7, ça développe aussi d'autres qualités.
01:01:20Il faut valoriser ça.
01:01:21Il faut dire aux jeunes qui, aujourd'hui, n'ont peut-être pas le temps de jeu qu'ils
01:01:24méritent en 15, en club, d'aller à 7.
01:01:27Ça forge un physique, ça développe plein de choses.
01:01:31Le circuit est exceptionnel tout au long de l'année.
01:01:33Et t'en reviens que plus aguerri.
01:01:36Grand bravo et félicitations à tous.
01:01:40La fête pour le rugby français avec le rugby à 7 couronné.
01:01:44Champion olympique avec Antoine Dupont et tous ses coéquipiers.
01:01:51Magnifique.
01:01:52On les attend au micro d'Anne-Sophie dans quelques instants pour continuer de partager
01:01:56leurs émotions.
01:01:57C'est la première médaille d'or de la médiation française.
01:01:59Et en plus, pour les supporters, regardez, à 7, t'es un peu moins gros, donc c'est plus
01:02:03facile à porter.
01:02:04T'as pas de première ligne, t'as pas de deuxième ligne.
01:02:07Normalement, c'est quand même plus sympa.
01:02:10C'est plus léger.
01:02:12Claire, vous avez une photo à nous montrer ?
01:02:15Oui, parce que Shirin Boukli, tout à l'heure, nous a parlé de quelqu'un qu'elle avait
01:02:20qui elle a adoré faire un câlin.
01:02:21Alors, les rugbymen n'ont pas fait de câlin à Zinedine Zidane, mais ils ont eu le droit
01:02:24à leur petit FaceTime.
01:02:26Voilà, appel en direct.
01:02:27Vidéo sympa avec Zidane.
01:02:29Grand sourire, Zinedine Zidane, de partager ça avec les Bleus.
01:02:32C'est aussi très sympa à voir.
01:02:34C'est le boulot, Zizou.
01:02:36Je veux dire, il a vraiment été super pendant la cérémonie.
01:02:39Et là, d'être au contact des sportifs, direct.
01:02:42Il a fait le tour.
01:02:43En plus, les salles aujourd'hui, le judo...
01:02:45En plus, je ne sais pas si c'est une pub où ils ont fait quelque chose ensemble.
01:02:49Ils ont partagé un sponsor.
01:02:51Ils ont un sponsor en commun.
01:02:54Et après, Antoine a repris l'ancienne tube d'un autre sponsor.
01:02:59C'est l'une aux minérales.
01:03:00Je l'avais trouvée.
01:03:01On reprenait le même texte.
01:03:04Chaussette gauche, chaussette droite.
01:03:08La fête pour Antoine Dupont et le rugby à 7.
01:03:10On était sur Antoine Dupont.
01:03:11Est-ce que tout ça va lui faire changer de dimension ?
01:03:14Vous votez sur l'équipe Connect.
01:03:15Président, vous vous tranchez en faveur de qui d'ailleurs ?
01:03:18Entre Stéphane et Dave.
01:03:20Stéphane disait oui, il va changer de dimension avec une médaille d'or olympique.
01:03:23Et Dave disait non.
01:03:24C'est déjà une superstar.
01:03:25Il faudrait encore autre chose.
01:03:27Pour moi, c'est déjà une superstar.
01:03:28Mais il va changer de dimension.
01:03:29Et je donne le point à Stéphane.
01:03:31Pour la simple et bonne raison que c'est le premier quinziste à réaliser cet exploit à 7.
01:03:36Il n'y a pas de grande superstar à 15 qui a basculé à 7 et qui a été champion olympique.
01:03:42Des Fidjiens lui ont fait, mais ils n'ont jamais été les meilleurs joueurs du monde à 15 en préambule.
01:03:46La Marseillaise au Club France, on la vit encore et on revient.
01:04:12Hier, on était tous aux anges.
01:04:22Mais là, l'impact direct sur les acteurs, sur les champions qui vont tous vouloir vivre ce moment-là.
01:04:26Ce n'est pas ça qui va les faire gagner.
01:04:28Mais ça va rajouter un peu plus de motivation.
01:04:31Ça va leur donner des informations supplémentaires.
01:04:33Il va y avoir une force d'entraînement dans ce qu'on vit là.
01:04:36Pour les sports courts, pour les sports individuels, avec ce qu'on vit.
01:04:38Les judokas, l'énergie, c'est magique.
01:04:41Et puis dans le public aussi, parce que tous les grincheux, on ne les entend plus.
01:04:45Mais ça, ça a été écrit.
01:04:47La France va vivre à l'une de son.
01:04:50On va revivre l'été 98, qui a été peut-être l'un de nos plus beaux étés.
01:04:56Et qui avait commencé aussi par des grincheux, des ronchons.
01:04:59Il n'y a pas d'ambiance, il n'y a rien.
01:05:02On n'ira nulle part.
01:05:04La réunion a changé les choses aussi.
01:05:06C'est-à-dire que tu as pris un coup dans la figure.
01:05:10Il faut dire les choses, vous savez où vous regardez.
01:05:14On dit tout sur cette annonce.
01:05:17Tu as pris un saut d'adrénaline terrible.
01:05:19Exactement.
01:05:20Franchement, je ne savais pas à quoi m'attendre.
01:05:22Et quand tu regardes la cérémonie, elle te met un truc dans la tête.
01:05:25Et puis derrière, tu enchaînes cette première journée de compétition.
01:05:29Et tu as tout ça.
01:05:30Franchement, je pense qu'on va amener des JO incroyables.
01:05:33Les athlètes, quand c'est dur, tu cherches ta motivation un peu où tu peux.
01:05:37Les mecs qui regardent la télé là, ou les filles d'ailleurs, les athlètes,
01:05:40ils vont se dire, si nous, on est en galère, on va y aller au bout.
01:05:44Parce qu'on veut aussi vivre ces moments-là qui sont exceptionnels.
01:05:46Et on va avoir cette communion la plus vive.
01:05:48En plus, le parcours des fêtes qu'on fête ce soir, ce n'est pas des parcours linéaires.
01:05:51Les rugbymen, on en débattait mercredi soir.
01:05:53Ce n'était pas écrit d'avance.
01:05:55Les matchs unis contre les Etats-Unis, victoire à l'arrache contre l'Uruguay.
01:05:58La défaite après contre les Fidji.
01:06:00D'imaginer que ça allait se terminer par une success story comme ça,
01:06:03ce n'était pas évident.
01:06:05Ce n'est pas par Hugo, personne ne l'avait imaginé aussi facilement.
01:06:08Moi, j'étais honnête.
01:06:10Ça allait être dur.
01:06:11Ils font un tournoi exceptionnel.
01:06:13Ils battent les Nimbora Mondiaux, les Argentins en quarts de finale.
01:06:15Ils sortent l'Afrique du Sud quand même.
01:06:17Le sélectionneur en direct.
01:06:19Le sélectionneur en direct avec Charles-Antoine Morin.
01:06:27C'est tout un chemin qui se dessine.
01:06:29C'est une histoire qui se fabrique.
01:06:31Et qu'on construit.
01:06:33Je suis ravi de tout ça.
01:06:35Et du résultat final.
01:06:39Je suis fier.
01:06:41Je suis heureux.
01:06:43J'espère qu'on aura un effet contagion.
01:06:45Hyper puissant sur toutes les disciplines.
01:06:47Et sur tous les collègues qui vont entrer dans la partie.
01:06:49Tous les athlètes qui vont entrer dans la partie pour la France.
01:06:53On était en mission pour ça aussi.
01:06:55Je suis fier de ça.
01:06:57C'est génial.
01:07:03Ça a l'air d'être un personnage à part.
01:07:05Son premier mot.
01:07:07C'est de penser aux autres équipes de France.
01:07:09Et de voir ce que ça va leur donner.
01:07:11On suit Hugo.
01:07:17Antoine Dupont.
01:07:19Dans les coursives du club France.
01:07:23Il nous en manque deux.
01:07:25Pour les gérer maintenant.
01:07:27Bonne chance.
01:07:29Ils sont champions.
01:07:31Ils sont tous enroulés.
01:07:39Il a été Antoine Dupont.
01:07:41Exceptionnel.
01:07:43C'est un plaisir de pouvoir jouer avec ce genre de joueur.
01:07:45Je pense qu'aujourd'hui,
01:07:47c'est le meilleur joueur du monde.
01:07:49Il l'a montré.
01:07:51Merci à lui.
01:07:53Merci à l'équipe.
01:07:55Que ça continue.
01:07:57La première médaille d'or.
01:07:59Pour les rugbymen.
01:08:01Antoine Dupont.
01:08:03C'est mieux pour eux.
01:08:05Pour le sélectionneur.
01:08:07Pour le reste de l'équipe.
01:08:09Ce qui m'émeut au jeu.
01:08:11C'est la consécration d'un parcours.
01:08:13D'un histoire de vie.
01:08:15Il y en a sous toutes les formes.
01:08:17Mais souvent,
01:08:19c'est quelque chose qui vient de très loin.
01:08:21Antoine Dupont.
01:08:23C'est quelque chose de récent.
01:08:25Il s'y est mis cette année.
01:08:27Son histoire est ailleurs.
01:08:29Pourquoi ailleurs ?
01:08:31Ça réussit.
01:08:33Déjà.
01:08:35Je suis d'accord.
01:08:37Pourquoi ailleurs ?
01:08:39Son histoire est en 15.
01:08:41Il a pris une bretelle.
01:08:43En se disant.
01:08:45J'ai envie de vivre cette expérience.
01:08:47Chez lui,
01:08:49c'est une expérience qu'il transforme en or.
01:08:51Il est le joueur qu'il est.
01:08:53Pour les autres,
01:08:55c'est quelque chose qui vient de plus loin.
01:08:57Pour les autres,
01:08:59ça rejoint tout ce qu'on constate
01:09:01sur Chirine Boucli et d'autres.
01:09:03C'est un parcours de vie.
01:09:05C'est l'objectif d'une vie.
01:09:07Antoine prend le chemin en route.
01:09:09Quand tu prends cette décision,
01:09:11c'est parce que tu crois
01:09:13que tu vas arriver au bout.
01:09:15Quand tu arrives au bout,
01:09:17c'est extraordinaire.
01:09:19Antoine est champion d'Europe la même année.
01:09:21Il gagne tout.
01:09:23Il va prendre cette bretelle
01:09:25pour tenter quelque chose d'autre.
01:09:27Bien évidemment qu'il imagine l'or.
01:09:29Il n'y va pas.
01:09:31J'y vais juste pour voir le village
01:09:33et m'amuser.
01:09:35Il a autre chose autour de lui
01:09:37qui gravite.
01:09:39Ses autres joueurs n'ont pas grand-chose
01:09:41à part cet objectif de vie
01:09:43qui est de se dire qu'on est à Paris en 2024.
01:09:45C'est l'or ou rien.
01:09:47On ne sait pas si on aura une autre chance
01:09:49de vivre ce moment.
01:09:51Combien de joueurs dans cette équipe
01:09:53ont déjà joué au Stade de France
01:09:55avant mercredi soir ?
01:09:57Il n'y en a pas 5.
01:09:59Combien ont déjà serré la main
01:10:01du président de la République ?
01:10:03Toi, champion de France,
01:10:05tu serres la main du président de la République
01:10:07tous les ans à la montée.
01:10:09C'est exceptionnel.
01:10:11Ces autres joueurs ont eu des moments difficiles.
01:10:13Il ne faut pas les oublier.
01:10:15Il ne faut pas les oublier.
01:10:17Dupont a vécu un moment dramatique.
01:10:19Sa coupe du monde à 15,
01:10:21à son échelle,
01:10:23elle est dramatique.
01:10:25C'est extraordinaire pour lui
01:10:27d'avoir eu cette possibilité de se refaire.
01:10:29Ce n'est pas juste un gadget
01:10:31qu'il a cherché.
01:10:33Il a sacrifié un tournoi.
01:10:35Il n'a pas eu de repos de l'année.
01:10:37Quand il n'était pas à 7, il était à 5.
01:10:39Il s'est donné les moyens d'eux.
01:10:41La fédération et le club ont réussi
01:10:43à créer quelque chose d'exceptionnel
01:10:45en acceptant qu'il ne joue pas tout le temps
01:10:47en club parce qu'il partait avec le 7.
01:10:49Ils ont fait un travail exceptionnel
01:10:51d'un commun d'accord où tout a été très bien organisé.
01:10:53La force de Dupont
01:10:55ce soir et de son succès,
01:10:57c'est qu'après ce succès,
01:10:59il n'y a plus de débat.
01:11:01Il incarne le rugby en France.
01:11:03Il est au sommet du monument.
01:11:05Est-ce que Blanco
01:11:07n'est pas encore la figure
01:11:09qui est au-dessus de tout ?
01:11:11Antoine Dupont
01:11:13Il incarne tout le rugby.
01:11:15Le rugby à 7, le rugby à 15.
01:11:17Demain, tous les gamins voudront faire du rugby
01:11:19comme Dupont.
01:11:21C'est le personnage qui est identifié
01:11:23par les gens qui ne connaissent pas le sport.
01:11:25Demain, dans les journaux,
01:11:27il n'y en aura que pour Dupont.
01:11:29C'est un joueur qu'on a envisagé dans le monde.
01:11:31C'est le rugby mondial.
01:11:33Avec l'année qu'il vient de faire,
01:11:35il va glaner son deuxième titre
01:11:37de meilleur joueur du monde.
01:11:39Il n'y en a pas beaucoup.
01:11:41Il est double champion de France,
01:11:43double champion d'Europe.
01:11:45Il a un palmarès monstrueux.
01:11:47C'est un style qui lui manque.
01:11:49Tu ne sens pas un égo.
01:11:51Il doit être énorme, l'égo d'Antoine Dupont.
01:11:53Tu ne sens pas qu'il est au service de ça.
01:11:55Il s'est fondu dans un groupe.
01:11:57Il s'est mis au service.
01:11:59Il y a une relation très saine
01:12:01et très profonde entre eux.
01:12:03Il a 27 ans.
01:12:05Il a tout gagné.
01:12:07Il lui manque une case à cocher.
01:12:09De tous les stars du rugby mondial à 15 ans
01:12:11qui ont gagné des championnats du monde,
01:12:13il n'y en a aucun qui a réussi à faire la bascule à 7 ans
01:12:15et qui a fait ce qu'il a fait.
01:12:17Un Brian Abana avec l'Afrique du Sud n'a pas réussi.
01:12:19Sonny Bill Williams n'a pas réussi.
01:12:21C'est que des noms exceptionnels.
01:12:23Ils ont joué à 7 ans tous ces tournois.
01:12:25C'est ça qu'a dit Antoine Dupont.
01:12:27Les Jeux Olympiques à Rio,
01:12:29ils n'ont pas gagné.
01:12:31Des Fidjiens l'ont gagné en jouant à 15 ans
01:12:33mais ils n'ont pas cette aura du rugby à 15 ans qu'ils ont à 7 ans.
01:12:35La valeur de la perte,
01:12:37c'est fantastique.
01:12:39Ils ont battu les Fidji.
01:12:41C'est ça qui renforce.
01:12:43Ils les ont laminés.
01:12:45C'est fantastique.
01:12:47Pour qui tu fais ça, c'est aussi important.
01:12:49C'est la note exceptionnelle.
01:12:51On rêvait de cette finale
01:12:53parce que c'est ce qui équivaut à une finale France-Nouvelle-Zélande
01:12:55au rugby à 15 ans.
01:12:57C'était la meilleure équipe du monde face aux Français.
01:12:59C'est leur France-Brésil en foule.
01:13:01Le scénario est fou aussi.
01:13:03Tu perds, tu prends le premier essai.
01:13:05C'est dur.
01:13:07C'est fantastique comme la fête qui leur a été réservée.
01:13:09Arrivé au Club France,
01:13:11c'est les images en direct que vous voyez.
01:13:13La fête qui bat son plein à la Villette.
01:13:15Ce sera le cas tous les soirs pour chaque médaillé.
01:13:17Il manque l'épéiste.
01:13:19On l'attend aussi.
01:13:21Est-ce qu'elle sera là l'épéiste ?
01:13:23On va demander à Anne-Sophie.
01:13:25Elle va nous raconter cette fête pour les premiers médaillés d'or.
01:13:27Les rugbymen à 7 ans.
01:13:29C'était absolument lunaire.
01:13:31Saoud, la scène qu'on vient de vivre
01:13:33dans les coursives de la grande halle de la Villette.
01:13:35L'organisme de presse,
01:13:37la COM du CNESF,
01:13:39nous dit d'abord
01:13:41Zone Mixte à venir dans 20 minutes.
01:13:43C'est le moment où on s'est vu en duplex.
01:13:45Ensuite,
01:13:47les rugbymen à 7 auraient été incontrôlables.
01:13:49Zone Mixte annulée.
01:13:51Nous voici avec Charles-Antoine Norand
01:13:53en train de courir à la poursuite d'Antoine Dupleix.
01:13:55C'est le moment où on voit
01:13:57Charles-Antoine Norand en train de courir à la poursuite d'Antoine Dupleix.
01:13:59Il était où ? Il était aux toilettes.
01:14:01Tout le monde était en train de faire la queue
01:14:03pour voir Antoine Dupleix sortir des toilettes
01:14:05pour avoir son selfie.
01:14:07Nous attendions patiemment
01:14:09quand toutes les caméras
01:14:11ont été informées qu'en fait
01:14:13la Zone Mixte avait bien eu lieu.
01:14:15Retour à la case départ.
01:14:17On est venu faire quelques interviews.
01:14:19On a vu Antoine Dupleix et Consor
01:14:21revenir et s'échapper par une petite porte.
01:14:23Mais vraiment, ce qu'on vient de vivre il y a quelques instants,
01:14:25c'est la ligne de Rockstar.
01:14:27Merci Anne-Sophie.
01:14:29On a le résultat du duel.
01:14:31C'est Stéphane qui va gagner son duel.
01:14:33Quand on vous suit, même aux toilettes,
01:14:35c'est que vous êtes une immense dimension.
01:14:37Ça peut être simple.
01:14:39Même moi je suis convaincu.
01:14:41Oh non !
01:14:43Ça c'est historique.
01:14:45C'est un vrai résultat ça ?
01:14:47Ça n'existe pas à 100%.
01:14:49C'est moi qui ai voté.
01:14:51Je ne sais pas, hier on m'a expliqué
01:14:53C'est un bug.
01:14:55Le vrai résultat c'est 72.
01:14:57Mais c'est quand même Stéphane qui remporte.
01:14:59Je refuse un score à 100%.
01:15:01Je ne suis pas quatarien.
01:15:0399 ça va.
01:15:05Le général a gagné avec 72%.
01:15:07Donc ce duel.
01:15:09Je vous ai compris Stéphane.
01:15:1172%.
01:15:13La fête pour le rugby
01:15:15à cette première médaille d'or.
01:15:17Autre médaille, c'est Jeux Express comme tous les soirs.
01:15:19Toutes les infos, toutes les médailles.
01:15:21On commence par l'escrime.
01:15:23C'est l'autre médaille d'argent du jour.
01:15:25Avec une énorme ambiance au Grand Palais.
01:15:27Ambiance de folie même autour d'Oriane Malot.
01:15:29Breton qui s'est hissée en finale.
01:15:31Et s'est inclinée à la mort subite.
01:15:33C'est terrible. 13 à 12.
01:15:35C'était bien cruel.
01:15:37Face à Man Wei et Viviane Kong.
01:15:39La concurrente de Hong Kong.
01:15:41Surtout numéro 1 mondial.
01:15:43Elle avait mal démarré sa journée.
01:15:45En plus, Oriane.
01:15:47Elle avait même été gênée au premier tour
01:15:49par les lumières du Grand Palais.
01:15:51Elle avait un scotch qu'on a aperçu sur certaines photos.
01:15:53Pour la lumière, Eric l'avait vue tout de suite.
01:15:55Toute la journée.
01:15:57Et ça lui a apporté chance pour se hisser jusqu'en finale.
01:15:59Aller chercher une médaille d'argent,
01:16:01c'est loin d'être ridicule.
01:16:03C'est la première épéiste française
01:16:05à décrocher une médaille d'argent depuis Laura Flessel.
01:16:07La guerre.
01:16:09Triple médaille olympique.
01:16:11Qui a commenté de l'escrime
01:16:13aux Jeux olympiques ici ?
01:16:15Stéphane Guy.
01:16:19A Pékin.
01:16:21C'était extraordinaire de vous écouter
01:16:23sur Canal commenter ça.
01:16:25C'est un souvenir extraordinaire.
01:16:27Parce que c'est un monde
01:16:29très attachant.
01:16:31C'est exactement l'histoire qu'a vécue
01:16:33des sabreurs à l'époque.
01:16:35Qui étaient arrivés là
01:16:37sans chance de médaille.
01:16:39Je me souviens de Nicolas Lopez
01:16:41qui avait terminé vice-champion olympique.
01:16:43C'est l'histoire de cette dame
01:16:45qui n'était pas annoncée.
01:16:47J'étais en train de regarder
01:16:49les pronostics de nos amis de l'équipe
01:16:51sur les médailles.
01:16:53Elle n'était pas dans les 75 médailles
01:16:55prévues.
01:16:57Oriane Malot-Breton.
01:16:59Une lyonnaise.
01:17:01C'est ça qui est magique.
01:17:03Notamment avec l'escrime française.
01:17:05Il y a quand même une continuité.
01:17:07On en est à 125 ce soir
01:17:09avec sa médaille.
01:17:11C'est la 4ème médaille olympique
01:17:13dans l'histoire de l'escrime française.
01:17:15C'est le sport le plus pourvoyeur
01:17:17de notre histoire.
01:17:19A chaque jeu, il y a un inattendu
01:17:21qui sort.
01:17:23Canon, il y a 4 ans, était totalement
01:17:25inconnu du grand public.
01:17:27Elle a 30 ans.
01:17:29Elle fait sa meilleure année.
01:17:31La meilleure des années.
01:17:33Elle est devenue championne de France,
01:17:35vice-championne d'Europe.
01:17:37Elle a gagné sa première coupe du monde.
01:17:39C'est un sport extraordinaire.
01:17:41Elle a mené de 6 puces en finale.
01:17:43C'est terrible pour elle.
01:17:45On la voyait championne olympique.
01:17:47Elle est tombée sur une craque
01:17:49de sa discipline.
01:17:51Demain, ça va repartir très fort.
01:17:53On attend Enzolo Force.
01:17:55Exactement.
01:17:57On va en parler.
01:17:59On fera le programme demain.
01:18:01Pardon.
01:18:03Vous avez le droit d'être pressé.
01:18:05Pour le fleuret individuel,
01:18:07ce sera dès demain midi
01:18:09avec Enzo Le Flore,
01:18:11médaillé d'or au fleuret par équipe.
01:18:13C'était à Tokyo.
01:18:15On va l'écouter au micro
01:18:17de Corentin Roland.
01:18:19Je ne viens pas ici en tant que championne olympique.
01:18:21Certes, on a été championne olympique.
01:18:23On a été vice-championne olympique.
01:18:25Mais là, c'est une toute autre
01:18:27olympiade qui s'ouvre.
01:18:29Une toute autre page blanche.
01:18:31Une toute autre histoire qui va s'écrire.
01:18:33Je viens avec un esprit conquérant
01:18:35pour essayer de décrocher
01:18:37un ou deux titres olympiques.
01:18:39C'est comme ça que je le vois.
01:18:41Vous disiez quoi ?
01:18:43Très charismatique, Enzo Le Flore.
01:18:45J'ai eu l'occasion de l'interviewer à plusieurs reprises.
01:18:47C'est un personnage un peu solaire.
01:18:49En plus, un peu artiste.
01:18:51En dehors des pistes.
01:18:53C'est un garçon qu'on a envie de suivre.
01:18:55Il aurait pu être porte-drapeau.
01:18:57Il s'était porté candidat.
01:18:59Une personnalité qu'on va suivre.
01:19:01Ce sera lundi pour Enzo Le Flore.
01:19:03C'est le programme de demain.
01:19:05On verra les chroniqueurs.
01:19:07Comme médaillé.
01:19:09Demain, ce sera à Cannone.
01:19:11Ils avaient annoncé la médaille d'or
01:19:13du rugby A7.
01:19:15C'était dans les prévisions de l'équipe.
01:19:17On en rigolait parce que c'était loin
01:19:19d'être gagné mercredi soir.
01:19:21C'était conquis.
01:19:254 médailles pour l'équipe de France.
01:19:27On espère que ça va continuer aussi fort.
01:19:29Malheureusement, on aurait aimé
01:19:31voir la belle histoire autour d'Estelle Mossely.
01:19:33Mais c'est déjà terminé.
01:19:35C'est la triste du jour.
01:19:37Elle avait été championne
01:19:39olympique en 2016.
01:19:41Défaite au point 4-0
01:19:43face à l'américaine Jagera Gonzalez.
01:19:45C'est les poids légers
01:19:47en moins de 60.
01:19:49Elle a connu une préparation perturbée
01:19:51notamment par une fracture du nez.
01:19:53C'est fini pour Estelle Mossely.
01:19:55Ça continue pour l'équipe de France
01:19:57de Thierry Henry ?
01:19:59Je ne l'ai pas dit,
01:20:01mais Thierry Henry est passé.
01:20:03En revanche, en boxe, c'était mon frère.
01:20:05Il a regagné en boxe
01:20:07depuis sa défaite.
01:20:09On est un peu fatigués.
01:20:11On voulait la belle histoire du couple
01:20:13comme il y a huit ans.
01:20:15De l'ancien couple.
01:20:17À l'époque, c'était un couple en or.
01:20:19C'est une bonne nouvelle.
01:20:21On aurait pu faire en jeu
01:20:23contre un belge.
01:20:25Je crois.
01:20:27On va parler de Romain Canonne
01:20:29dans quelques instants.
01:20:31Le France de Thierry Henry
01:20:33avec ce but à la 76ème
01:20:35de Kylian Sildiya sur une tête
01:20:37dans la surface.
01:20:391-0 face à la Guinée.
01:20:41Ça fait six points dans la besace
01:20:43puisque les Bleus
01:20:45avaient battu les USA.
01:20:47Ça veut dire qu'il faut un grand pas
01:20:49vers l'écart.
01:20:51On va franciser son prénom.
01:20:53Il a été recruté par le Bayern.
01:20:55C'est un super joueur qu'on va découvrir.
01:20:57Le vélo, Claire.
01:20:59Ils ne sont pas qualifiés pour l'écart.
01:21:01Ils ont fait un bon pas vers l'écart.
01:21:03Le cyclisme, Claire.
01:21:05Je ne suis censée pas faire d'erreur.
01:21:07Evan Poole, champion olympique
01:21:09de contre la montre.
01:21:11Il aurait tout gagné cette année.
01:21:13Remco Evan Poole, bien sûr.
01:21:15Le belge qui avait terminé
01:21:17maillot blanc du dernier Tour de France.
01:21:19Troisième également.
01:21:21Trois titres incroyables pour lui
01:21:23Très rapidement, Stéphane.
01:21:25La Française qui termine
01:21:27quatrième du contre la montre.
01:21:29C'est Juliette Labousse.
01:21:31Vous anticipez décidément
01:21:33que vous allez dire Claire.
01:21:35On est formaté dans les JO.
01:21:37On pense médaille, médaille, médaille.
01:21:39Mais cette jeune fille,
01:21:41si je ne me trompe pas,
01:21:43a fait la meilleure perte de sa carrière au JO.
01:21:45Elle est quatrième.
01:21:47Elle n'est pas fêtée.
01:21:49Elle a vécu son moment.
01:21:51Elle a été au bout de sa vie aujourd'hui.
01:21:53Top 5 d'un Tour de France également.
01:21:55C'est une des grandes féminines
01:21:57qu'on suit au pied du podium.
01:21:59Neuf secondes de Chloé Diegert
01:22:01qui est le troisième.
01:22:03C'est l'Australienne Grace Brown
01:22:05qui s'impose championne olympique.
01:22:07Il y a eu beaucoup de chutes sur ces chronos
01:22:09puisque c'était sous la pluie.
01:22:11On peut donner la place de Kevin Vauclanche.
01:22:13Les garçons aussi, quinzième.
01:22:15La belle image du jour, Claire.
01:22:17Avec Michele Blight,
01:22:19une joueuse de rugby à 7 ans.
01:22:21On en a beaucoup parlé.
01:22:23Une Néo-Zélandaise qui a rencontré
01:22:25celle qu'elle rêvait de rencontrer
01:22:27chez Liane Preuser.
01:22:29On va regarder ces vidéos
01:22:31puisque c'est les belles images
01:22:33où on a beaucoup de joie de vivre.
01:22:35Ça ne se passe pas qu'au Club France.
01:22:37Ça se passe aussi dans ces cas-là.
01:22:49Oh mon Dieu !
01:22:51Regarde !
01:22:53Oh mon Dieu !
01:22:55On est libre !
01:22:57Oh mon Dieu !
01:22:59Oh mon Dieu !
01:23:01Oh mon Dieu !
01:23:03Oh mon Dieu !
01:23:05C'est la fête !
01:23:07Ouais !
01:23:09La vitesse gagne la vitesse !
01:23:11La vitesse gagne la vitesse !
01:23:13Extraordinaire !
01:23:15La fête au Club France.
01:23:17La journée officielle des Jeux Olympiques.
01:23:19Parfaite pour l'équipe de France.
01:23:214 médailles déjà.
01:23:23Est-ce que c'est l'effet Paris ?
01:23:25On en parle juste après une courte pause.
01:23:27On vous donne tous les rendez-vous
01:23:29incontournables choisis par nos chroniqueurs.
01:23:31Pour demain, à tout de suite.
01:23:37Pour les rares qui n'auraient pas la référence
01:23:39qui nous prendraient pour des fous,
01:23:41c'est le chant, l'hymne de l'équipe de France
01:23:43de rugby à 7 qui est championne olympique.
01:23:45Offerte par nos rugbymen.
01:23:474 médailles aujourd'hui pour l'équipe de France.
01:23:49Une en or, deux en argent et une en bronze.
01:23:51La France qui est quatrième nation.
01:23:53Est-ce que c'est l'effet Paris ?
01:23:55Pas domicile.
01:23:57On savait que ce serait des jeux extraordinaires.
01:23:59C'est très bien parti.
01:24:01Y compris au niveau du nombre des médailles.
01:24:03Vous me dites si c'est l'effet Paris.
01:24:05De manière très sérieuse d'ailleurs.
01:24:07Parce qu'on va lancer le débat
01:24:09avec Hugo, Stéphane, Dave, Georges et Eric.
01:24:11Mais avant cela, Claire,
01:24:13vous avez la une du journal ou pas encore ?
01:24:15Alors on l'a.
01:24:17Et elle va vous surprendre évidemment.
01:24:19Mais Saoud, les 4 médailles sont bien
01:24:21à l'affiche de la une de l'équipe.
01:24:23Evidemment je blague en disant
01:24:25qu'elle va vous surprendre
01:24:27puisque la France l'adore.
01:24:29On va la voir dans un instant.
01:24:31Donc j'attends un petit peu avant de la décrire.
01:24:33Parce que j'aime bien découvrir la surprise.
01:24:35Très bien.
01:24:37On va pouvoir la ficher dans quelques instants.
01:24:39On va la découvrir ensemble
01:24:41avec l'équipe du journal.
01:24:43On pose la question.
01:24:45Est-ce que c'est l'effet Paris pour cette première journée ?
01:24:47C'est une première journée record depuis au minimum 1984.
01:24:49Est-ce qu'on peut déjà parler
01:24:51de l'effet Paris ?
01:24:53Vous n'êtes pas d'accord au niveau des chroniqueurs.
01:24:55C'est un 2 contre.
01:24:57C'est un 3.
01:24:59Eric et Dave disent oui.
01:25:03Et Georges dit non.
01:25:05Vous voulez commencer Georges ?
01:25:07Comme vous voulez.
01:25:09Comme je veux.
01:25:11Alors c'est Eric qui va démarrer.
01:25:13Eric associé à Dave.
01:25:15J'ai combien de temps ?
01:25:17C'est un adversaire sur le terrain.
01:25:19Il y a un temps ou il n'y a pas de temps ?
01:25:2145 secondes à partager avec votre coéquipier.
01:25:23Je peux t'en donner un peu plus.
01:25:25Il peut vous en donner un peu plus.
01:25:27On va afficher le temps.
01:25:29Eric, c'est vous qui lancez ce 2 contre.
01:25:31C'est bon ? Je peux partir ?
01:25:33Oui, évidemment que c'est l'effet Paris.
01:25:35Parce que quand vous êtes à domicile,
01:25:37que vous avez cette ferveur dans les salles,
01:25:39que vous avez une cérémonie d'ouverture
01:25:41qui vous transporte
01:25:43et qui vous transcende certainement.
01:25:45Tout l'environnement fait que
01:25:47derrière il y a forcément
01:25:49quelque chose qui vous pousse
01:25:51encore plus dans les performances
01:25:53et dans ce que vous allez faire.
01:25:55Et je pense qu'on va avoir
01:25:57beaucoup plus de médailles cette année.
01:25:59Je ne suis pas convaincu.
01:26:01Je suis pris par l'émotion,
01:26:03l'ambiance dans les salles.
01:26:05On les voit motivés.
01:26:07Mais après je regarde les données factuelles
01:26:09et je n'ai pas l'impression
01:26:11qu'il y ait des athlètes qui aient surperformé
01:26:13aujourd'hui pour aller chercher une médaille.
01:26:15Le rugby A7, ils avaient gagné
01:26:17avant les Jeux Olympiques
01:26:19un tournoi en Espagne.
01:26:21Donc on savait qu'ils étaient parmi les favoris.
01:26:23En judo, on n'a pas su performer.
01:26:25Parce que s'il y avait eu une médaille d'or,
01:26:27je dirais qu'effectivement,
01:26:29Luka Mechetse et Shirin Boukli
01:26:31auraient profité d'un effet Paris.
01:26:33Je ne suis pas convaincu.
01:26:35Pour l'instant, pour moi,
01:26:37il est certainement un peu trop tôt.
01:26:39Proposez-moi la question demain,
01:26:41mais aujourd'hui, ce n'est pas bon.
01:26:43Je croyais que c'était une émission sérieuse,
01:26:45mais évidemment non, c'est un Comédie Club.
01:26:47Évidemment qu'il y a un effet Paris.
01:26:49Tout le monde a été porté par la cérémonie d'ouverture.
01:26:51Tous les athlètes l'ont dit.
01:26:53Tu dis que les setistes,
01:26:55puisqu'il faut les appeler comme ça,
01:26:57n'ont pas surperformé.
01:26:59Ils ont battu juste l'équipe qui a vaincu
01:27:01parce que la jeune femme du sabre
01:27:03n'était pas annoncée comme une médaillable
01:27:05possible, probable.
01:27:07Elle finit en argent et moins une,
01:27:09elle est en or.
01:27:11Si avec ça, tu ne surperformes pas,
01:27:13tu ne surperformes jamais.
01:27:15Je vous donne une seconde, Georges,
01:27:17pour essayer de répondre.
01:27:19Je ne suis pas du tout d'accord.
01:27:21Le président va trancher,
01:27:23mais vous pouvez aller sur l'équipe Connect
01:27:25pour voter et nous dire
01:27:27si c'est le duo d'Eve et Eric qui a gagné
01:27:29ou Georges qui n'est pas d'accord.
01:27:31C'est un bon argument.
01:27:35Hugo.
01:27:37Je pense qu'il y a un effet Paris.
01:27:39Je crois que lorsqu'on voit
01:27:41l'adversité par laquelle
01:27:43l'équipe de France de rugby à 7
01:27:45est passée ou les judokas
01:27:47aujourd'hui, on se rend bien compte
01:27:49que les gens autour qui poussent
01:27:51ont un rôle très important,
01:27:53voire primordial.
01:27:55Il ne faut surtout pas baisser de pied.
01:27:57Ce n'est que le premier jour des JO,
01:27:59mais il faut dire à tout le public
01:28:01et à tous les gens qui sont là
01:28:03que c'est exceptionnel quand tu es un athlète
01:28:05d'avoir cette ferveur derrière toi qui te pousse.
01:28:07C'est facile de le dire quand tu gagnes,
01:28:09mais c'est quand c'est dur
01:28:11et quand c'est compliqué
01:28:13que les gens ne se rendent pas compte
01:28:15à quel point tu peux te relever
01:28:17et à quel point la douleur n'est plus rien.
01:28:19Bien évidemment, je pense qu'ils ont un rôle
01:28:21très important.
01:28:23Je considère que l'effet de Paris
01:28:25jouera un rôle primordial.
01:28:27On va aller chercher plus de médailles.
01:28:29Le record, c'est 43.
01:28:31Vous pouvez toujours voter pour le sondage du jour
01:28:33sur l'équipe Connect.
01:28:35Claire, les premières journées en général
01:28:37pour l'équipe de France, ça se passe comment ?
01:28:39Est-ce qu'on est très loin par rapport
01:28:41aux standards des précédentes Olympiades ?
01:28:43Est-ce que je vais me faire frapper
01:28:45ou pas par mon camarade ?
01:28:47Certainement pas.
01:28:49Peut-être qu'il dira qu'il n'est pas d'accord,
01:28:51mais c'est le maximum.
01:28:53Je ne suis pas d'accord.
01:28:55On est sur un record
01:28:57depuis le XXIe siècle,
01:28:59tout simplement,
01:29:01après l'autre soir de la première journée.
01:29:03On est d'accord qu'on s'arrête là pour le moment.
01:29:05Le record précédent
01:29:07datait bien sûr de Sydney, 2000,
01:29:09avec trois médailles.
01:29:11C'est quand même une de moins que Paris.
01:29:13Les chiffres ne mentent pas.
01:29:15Ce qui est un très bon signe,
01:29:17mais ça outre, c'est que l'année
01:29:19où on bat le record de médailles,
01:29:21les Olympiens n'ont pas battu le record.
01:29:23Première journée, zéro médaille.
01:29:25C'est plutôt poursoir.
01:29:27On me dit même
01:29:29que c'est un record tout court,
01:29:31visiblement.
01:29:33De l'ère moderne, en tout cas.
01:29:35On s'était arrêté
01:29:37à 84 tout à l'heure,
01:29:39et là, on est sur un record tout court.
01:29:41472 avant Jésus-Christ, si je me souviens bien.
01:29:43On avait gratté cinq médailles.
01:29:45C'était limite.
01:29:47C'est rare quand tout s'assemble.
01:29:49Et là, c'est à peu près
01:29:51ce qu'on est en train de vivre depuis le début.
01:29:53Est-ce que vous êtes d'accord avec ça ?
01:29:55On n'a pas vécu de grosses désillusions aujourd'hui.
01:29:57Il n'y a pas une athlète
01:29:59ou un athlète
01:30:01qu'on attendait vraiment.
01:30:03À ma connaissance, à moi.
01:30:05Peut-être que vous allez me contredire.
01:30:07Parmi les très attendus,
01:30:09personne n'est passé à travers aujourd'hui.
01:30:11On pouvait espérer à l'épée.
01:30:13Il n'y avait clairement pas d'attente particulière.
01:30:15C'est une vraie belle surprise.
01:30:17Les deux athlètes étaient attendus.
01:30:19Ils ont répondu présents.
01:30:21Mossely est arrivé avec des conditions
01:30:23plus difficiles pour elle.
01:30:25Pour élargir un peu le débat,
01:30:27puisqu'on a évoqué
01:30:29le fait que les athlètes
01:30:31pensent profondément
01:30:33qu'ils ont tiré une force.
01:30:35Comme le disait Hugo,
01:30:37il encourageait les gens à y aller
01:30:39parce que ça donne de la force aux athlètes.
01:30:41Je pense que les gens ont besoin de ça aussi.
01:30:43Je pense qu'ils ont besoin en ce moment.
01:30:45Je l'ai ressenti à travers cette cérémonie d'ouverture.
01:30:47Je pense que ce qu'on voit
01:30:49des images de ce soir
01:30:51et les atmosphères qu'on a entendues dans les stades,
01:30:53je trouve que ça participe.
01:30:55Tu as l'impression qu'en ce moment,
01:30:57compte tenu de tout ce qu'on a vécu
01:30:59ces dernières semaines, ces derniers mois
01:31:01et peut-être même un peu plus,
01:31:03je pense que ça participe d'un besoin
01:31:05de se reconnecter
01:31:07et de se ressentir d'un sentiment commun
01:31:09qui n'est plus si fréquent
01:31:11et qui est tellement rare maintenant.
01:31:13Des émotions positives.
01:31:15C'est comme ça qu'offre le sport.
01:31:17Ce n'est pas si fréquent
01:31:19que tu es ça,
01:31:21vu ce qu'on a traversé.
01:31:23J'ai l'impression que les athlètes en ont besoin
01:31:25pour leur performance et pour ce que ça leur procure.
01:31:27J'ai l'impression que les gens
01:31:29ont besoin et vont volontiers aussi
01:31:31parce que c'est bon.
01:31:33Franchement, on l'a tous vécu à notre niveau.
01:31:35Tu n'as pas de billets.
01:31:37Tu as vécu le Covid, tu étais enfermé chez toi.
01:31:39Les JO de Tokyo étaient sous Covid.
01:31:41Rappelle-toi, dans le football,
01:31:43peut-être l'agressivité
01:31:45qu'il y avait en surplus
01:31:47dans les tribunes
01:31:49ou dans les choses comme ça,
01:31:51certainement à cause du Covid,
01:31:53parce que tu étais resté longtemps chez toi
01:31:55et que les gens avaient tellement envie d'exulter
01:31:57que peut-être ils débordaient
01:31:59ou ils étaient un peu fracassés.
01:32:01Aujourd'hui, tu as vraiment...
01:32:03Le micro est tombé.
01:32:06Dans les yeux d'Emilie...
01:32:08Il a toujours rêvé !
01:32:10Eric, on fait un duo, tous les deux ?
01:32:12Je ne vous laisse pas au micro.
01:32:14Merci.
01:32:16Je garde le micro comme ça ?
01:32:18Oui, ça vous va bien.
01:32:20Moi, je ne m'entends pas.
01:32:22J'ai l'impression que je vais devoir chanter une chanson.
01:32:24C'est bizarre.
01:32:26Oui, on a besoin d'émotions positives
01:32:28et surtout de victoires.
01:32:30Beaucoup de victoires et beaucoup de médailles.
01:32:32C'est tout ce qu'on vit depuis 2048.
01:32:35Ça ne sort pas de nulle part.
01:32:37Contrairement à tout ce qu'on nous a seriné,
01:32:39c'était attendu, les gens s'étaient préparés.
01:32:41On n'arrive pas à Paris comme ça.
01:32:43J'ai vu des tas de voyageurs
01:32:45de tous les pays, de toutes les régions françaises.
01:32:47La France, dans sa profondeur,
01:32:49on l'avait ressenti
01:32:51à travers l'arrivée de la flamme à Marseille
01:32:53et le parcours de la flamme.
01:32:55Ça avait été arrêté net par les événements politiques
01:32:57malheureux du mois de juin en France,
01:32:59mais on avait senti que ça prenait profond.
01:33:01Lui attendait ses jeux.
01:33:04Ce n'est pas les Parisiens grâcheux
01:33:06qui devraient avoir le dernier mot.
01:33:08Les médailles vont aider à donner un élan
01:33:10encore plus fort à ces Jeux olympiques.
01:33:12D'ailleurs, le résultat du sondage, Claire,
01:33:14est-ce qu'on va battre le record
01:33:16avec ces quatre médailles déjà,
01:33:18ça va donner bon signe ou pas ?
01:33:20Oui, parce qu'on est déjà sur un record.
01:33:22On nous a suivi sur ce décompte-là
01:33:24puisque vous êtes 67% à penser
01:33:26que oui, en effet, le record
01:33:28va être battu finalement,
01:33:30donc 33% non,
01:33:3367% à être sûr qu'on va battre le record,
01:33:35le record qui date de Pékin,
01:33:37donc 43%, on le rappelle.
01:33:39Le résultat du deux contre un,
01:33:41avant de découvrir le choix de nos chroniqueurs,
01:33:43demain, qu'est-ce qu'il ne faut absolument pas rater ?
01:33:45Eh bien, c'est bien,
01:33:47ça bug toujours,
01:33:49mais c'est Eric et Dave qui gagnent.
01:33:51Vous avez gagné votre deux contre un,
01:33:53bravo à vous,
01:33:55face à Georges qui n'a pas démérité,
01:33:57honnêtement.
01:33:59Cette fois-ci, Claire, on peut découvrir
01:34:01que c'est Antoine Dupont qui fait face
01:34:03et tous les joueurs qui l'entourent.
01:34:05Ça veut dire aussi beaucoup de la façon
01:34:07dont on voit Antoine Dupont.
01:34:09On rappelle que c'est toute l'équipe de France
01:34:11bien sûr de rugby à 7
01:34:13qui a été sacrée championne olympique aujourd'hui.
01:34:15Et tu n'as pas besoin de le nommer.
01:34:17C'est vrai.
01:34:19C'est comme toute proportion gardée,
01:34:21mais je me souviens de Zidane
01:34:23quand il revient en équipe de France,
01:34:25il prend la décision,
01:34:27il est de retour ou il revient,
01:34:29je ne sais plus.
01:34:31Est-ce que ça ne nous dit pas qu'il a pris
01:34:33une autre dimension ?
01:34:35Je l'ai constaté.
01:34:37La une avec Antoine Dupont
01:34:39et le rugby à 7,
01:34:41médaillé d'or, c'est la première pour l'équipe de France.
01:34:43Demain, Claire, combien de médailles distribuées ?
01:34:4513.
01:34:47A distribuer demain
01:34:49en effet avec quelques bleus
01:34:51à suivre aussi qu'on peut vous nommer.
01:34:53Il y aura du VTT avec Pauline Ferrand-Prévot.
01:34:55On rappelle que c'est le seul titre
01:34:57qui manque à son palmarès.
01:34:5915 fois sacrée championne du monde,
01:35:01toutes disciplines confondues.
01:35:03Les tirs à l'arc avec les compétitions par équipe,
01:35:05avec les bleus également.
01:35:07On aura...
01:35:09Bravo !
01:35:11Ce premier médaillé d'or, c'était à Tokyo,
01:35:13on s'en souvient.
01:35:15Le judo avec Amandine Luchard,
01:35:17c'est du moins 52 kg.
01:35:19Navation avec Léon Marchand
01:35:21qu'on ne présente plus,
01:35:23triple champion du monde en 2023.
01:35:25Une chance de médaille également.
01:35:27Il nous reste 3 minutes pour découvrir,
01:35:29ça j'adore, chaque soir, nos chroniqueurs
01:35:31qui vont vous dire quel événement ils ne vont rater
01:35:33sous aucun prétexte demain.
01:35:35Il y a tellement d'événements à suivre.
01:35:37Eric, on commence avec vous.
01:35:39Je ne sais pas si je vais garder le micro ou pas,
01:35:41ça me fait bizarre.
01:35:43France-Canada demain, les féminines.
01:35:45En général, au JO, c'est un peu moins suivi.
01:35:47Oui, mais là,
01:35:49c'est un match important,
01:35:51les Canadiennes sont les tenants du titre.
01:35:53Ça va donner un match assez important
01:35:55par rapport à l'équipe de France.
01:35:57D'autant plus avec toute l'histoire
01:35:59qu'il y a eu autour de ces Canadiennes,
01:36:01avec l'espionnage.
01:36:03Ça va être intéressant.
01:36:0521 heures demain,
01:36:07France-Canada chez les filles.
01:36:09Tiens, Hugo.
01:36:11Moi, c'est Léon Marchand.
01:36:13Il a annoncé qu'il allait
01:36:15s'intégrer à l'équipe de France.
01:36:17C'est ça, c'est ça.
01:36:19C'est ça, c'est ça.
01:36:21Léon Marchand.
01:36:23Il a annoncé haut et fort
01:36:25qu'il venait pour des médailles d'or.
01:36:27Moi, j'aime beaucoup sa communication.
01:36:29Il est serein dans ce qu'il dit.
01:36:31On est toujours fan des Américains
01:36:33quand ils disent qu'on est les meilleurs,
01:36:35qu'on vient pour gagner, que ce soit
01:36:37Michael Phelps ou Team USA, etc.
01:36:39Lui, il a ce même langage.
01:36:41J'ai envie de le voir arriver sur le plot.
01:36:43J'espère qu'il va dominer autant qu'il le mérite.
01:36:45Ça va être extraordinaire.
01:36:47S'il arrive à faire ça,
01:36:49il est engagé sur 4 épreuves.
01:36:51Avec le relais.
01:36:53Pour Léon Marchand,
01:36:55ça sera extraordinaire.
01:36:57Le 400 mètres catenache, c'est cette discipline
01:36:59où il a battu le record de Michael Phelps.
01:37:01Stéphane, votre choix pour demain ?
01:37:03Moi, Hugo m'a piqué mon choix,
01:37:05mais j'en ai plusieurs, évidemment.
01:37:07Il y a tellement de centres d'intérêt possibles.
01:37:09Je vais suivre le retour de Romain Canonne.
01:37:11C'est tellement difficile, tellement rare
01:37:13de conserver un titre olympique,
01:37:15y compris en escrime.
01:37:17Je suis un Jean-François Lamourre
01:37:19qui l'a fait en 88-92.
01:37:21C'est où les Barcelones ?
01:37:23Je vais suivre de très près
01:37:25les paysistes Romain Canonne.
01:37:27Midi 25 demain, si vous voulez l'horaire précis
01:37:29pour suivre Romain Canonne.
01:37:31Dev ?
01:37:33Le choc en basket entre les Etats-Unis
01:37:35et la Serbie.
01:37:37Lebron James.
01:37:39En face, il n'y aura pas n'importe qui.
01:37:41En l'occurrence, le meilleur joueur du monde,
01:37:43Nicolas Jokic.
01:37:45Je vais avoir l'occasion d'aller les voir.
01:37:47Génial.
01:37:4917h15, si vous voulez voir Dev.
01:37:51Tu peux le mettre en direct ?
01:37:53Évidemment, je le filmerai.
01:37:55C'est la première fois que tu vas voir les Etats-Unis.
01:37:57Je pense que cette équipe-là
01:37:59est la plus belle assemblée depuis très longtemps.
01:38:01Georges, très rapidement,
01:38:03parce qu'il faut qu'on se quitte dans un instant.
01:38:05Amandine Bouchard.
01:38:07Elle est vice-championne olympique.
01:38:09C'est le titre qui lui manque.
01:38:11C'est une fille qui a souvent décroché le bronze.
01:38:13C'est une fille, au-delà de ses performances,
01:38:15qui me touche énormément,
01:38:17avec une grosse fragilité émotionnelle,
01:38:19mais qui ose parler des problèmes de dépression,
01:38:21notamment,
01:38:23qui avait fait son coming-out,
01:38:25qui parle beaucoup de sujets de société.
01:38:27Je serai vraiment très touché qu'elle soit championne olympique demain.
01:38:2911h12 pour Amandine Bouchard.
01:38:31On se retrouve demain, 22h50-55,
01:38:33dès la fin des épreuves.
01:38:35Vous venez débriefer toutes ces émotions avec nous
01:38:37et fêter ça au Club France,
01:38:39où Anne-Sophie nous a fait vivre
01:38:41un moment exceptionnel avec Charles-Antoine Norat,
01:38:43Corentin Roland.
01:38:45Merci infiniment. Profitez un peu de la fête.
01:38:47Demain, on y retourne, tous ensemble,
01:38:49pour cette édition spéciale de l'équipe du soir.
01:38:51À demain. Très bonne nuit à vous.