Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 29/07/2024.
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00:00:00...
00:00:10Soyez les bienvenus, très heureux de vous accueillir en ce lundi 29 juillet 1924.
00:00:16Vous avez bien entendu, lundi 29 juillet 1924, parce que 8 médailles aujourd'hui
00:00:21pour l'équipe de France dans ces Jeux Olympiques complètement faux.
00:00:23Et bien c'est historique, ce n'était plus arrivé depuis 1924.
00:00:27On va revenir sur toutes les médailles, partager les émotions avec nos chroniqueurs.
00:00:31On sera en direct du Club France avec Anne-Sophie Bernadie,
00:00:34là où les médaillés sont fêtés en ce moment même.
00:00:36Le président ce soir, il a pris du galon.
00:00:39Et normalement, il est président pour le rugby à 7, mais...
00:00:42...
00:00:43Le dictateur !
00:00:44...
00:00:46Hugo Bonneval, ça va Hugo ?
00:00:48Ça va très bien et vous ?
00:00:49Génial, franchement, un jour où on fait 8 médailles au jeu,
00:00:53on peut t'aider bien.
00:00:54Qui vous accompagne ce soir ?
00:00:56Ah oui, on commence par l'équipe de choc.
00:00:59Ah oui, la petite musique pour jouer.
00:01:01La patronne.
00:01:01Mais ça vaut, il faut que je vous remercie, parce que grâce à vous,
00:01:03je suis abstinente depuis 15 minutes.
00:01:0515 minutes que je n'ai pas regardé les Jeux Olympiques.
00:01:08Alors j'ai des mauvais réflexes des fois,
00:01:09j'ai la télécommande qui gueule, mais je me soigne.
00:01:11Et c'est une drogue ces Jeux.
00:01:13Ah ben c'est génial.
00:01:14C'est addictif moi.
00:01:15Et vous avez réussi à faire autre chose que les Jeux aujourd'hui ?
00:01:17Ah non, je n'ai même pas pipi.
00:01:19Je ne te demandais pas autant de pipi.
00:01:21J'y ai retrouvé une, voyons.
00:01:23Je ne dis pas la vérité.
00:01:26Avec nous ce soir,
00:01:28alors vous allez reconnaître le générique.
00:01:30Le mentaliste Thomas Samuth, ça vous va ?
00:01:33C'était facile.
00:01:34Oui, très facile, mais très bon.
00:01:35Thomas, vous êtes coach.
00:01:37Alors votre intitulé, exact, coach mental, préparateur mental.
00:01:42Et c'est la suite qui est importante.
00:01:43Préparateur mental de Léon Marchand,
00:01:45Florent Manodo,
00:01:46le Stade Brestois pour les footballeurs
00:01:48qui vont disputer leur première Ligue des Champions la saison prochaine.
00:01:50Donc si vous voulez gagner,
00:01:51vous faites appel à Thomas Samuth.
00:01:53Heureux de vous accueillir dans la bande, Thomas.
00:01:54Merci infiniment.
00:01:55On reviendra sur la performance inouïe de Léon Marchand
00:01:58et vous nous raconterez comment
00:01:59vous l'avez repêché à un moment où il l'est pensé même
00:02:03mettre un terme à sa carrière.
00:02:05Double médaillé olympique avec nous.
00:02:09Freestyleuse, rideuse, comment on dit ?
00:02:11Ah oui, c'est génial cette fois-ci.
00:02:13Halfpipe !
00:02:14Je l'ai, c'est génial.
00:02:16Marie Martineau, ça va Marie ?
00:02:17Oui, ça va merci, mais c'est impeccable.
00:02:20Grosse journée, mais ravie de la finir en beauté avec vous aussi.
00:02:23Grosse journée parce que vous êtes le Club France toute la journée aussi.
00:02:26Oui, j'anime les célébrations des médailles.
00:02:29J'attends de vous dire ce que je leur dis en été.
00:02:31On va faire ça tout à l'heure sur la chaîne.
00:02:33Allez, super.
00:02:34Il faut la musique que je t'aime et normalement après,
00:02:36le public s'y met et ça se voit.
00:02:37J'ai le petit micro, tout va bien.
00:02:38C'est génial, tu t'as...
00:02:41Au casting également, Thomas Bonavant.
00:02:44Ça va ?
00:02:44Alors je ne te reconnais plus Thomas, c'est quoi ?
00:02:46C'est le gourmet.
00:02:47Oui, j'ai très très bien mangé aujourd'hui.
00:02:50Je suis rassasié.
00:02:51Ce n'était pas trop Top Chef, franchement, c'était Orgie.
00:02:53Orgie, c'était un buffet de Narbonne, c'était extraordinaire.
00:02:57Un banquet de l'Astérix au Deluxe.
00:02:58C'est régal.
00:02:59Bon, magnifique Thomas.
00:03:01Avec nous également, Romain Rang, le petit jeune de l'équipe du soir.
00:03:05Ça va Romain ?
00:03:05Ça va super, quelle journée.
00:03:06Tous les hommages, toutes les infos.
00:03:08Et le sondage avec vous ?
00:03:09Oui, le sondage, c'est savoir quelle est la médaille d'or qui vous a le plus ému.
00:03:13On va dire aujourd'hui, est-ce que c'est Nicolas Gestin ou est-ce que c'est Manon ?
00:03:17Apiti Brunet, l'escrimeuse, donc ça se passe sur l'équipe Connex.
00:03:20Vous en avez l'habitude maintenant, c'est sur l'appli ou le site de l'équipe.
00:03:22Vous vous rendez compte, l'époque qu'on vit quand même,
00:03:24on est en train de se demander laquelle des médailles d'or nous a le plus ému.
00:03:26Bien sûr.
00:03:27On en profite, la deuxième semaine arrive, il y a l'athlète qui arrive, on en profite.
00:03:31On attend une médaille d'or et on se célébrait ça comme des fous.
00:03:34On va aller voir Anne Sophie qui est là, elle a célébré depuis un petit moment.
00:03:37Quel forfait vous avez passé.
00:03:39Dans quel état vous êtes ?
00:03:41Encore exploitable ou pas au niveau de la fatigue ?
00:03:44Tellement ça s'enchaîne au Club France.
00:03:46Mais oui, mais ça oude, mais non, mais on est larges.
00:03:50Nous, on est prêts pour aller chercher le record de médaille,
00:03:52on le sait depuis le début.
00:03:52Non, en vrai, ceux qui ont pris leur ticket aujourd'hui pour le Club France,
00:03:56ils ont vraiment eu le nez creux parce que ça va être une soirée de fous.
00:03:59Là, vous le voyez derrière moi, il n'y a que de killers,
00:04:01tout simplement, qui est en train d'ambiancer tout le monde.
00:04:03Avant que les athlètes arrivent, gros programme de fête à la médaille.
00:04:06Dans quelques instants, ce sont les judokas français,
00:04:08Sarah Leoni-Sizik et Johan Benjamin Gaba qui vont d'abord être fêtés.
00:04:12On aura ensuite le séiste Nicolas Gestin
00:04:15et on terminera avec l'équipe masculine de concours complets.
00:04:18On a déjà commencé à apercevoir tout ce beau monde dans les coursives
00:04:22et je crois que ça va être complètement la folie quand ils vont venir sur scène.
00:04:26Magnifique, on va les accueillir, il suffit.
00:04:27J'en profite, qui est en concert demain ?
00:04:29Parce que...
00:04:30Oui.
00:04:31Il y en a un.
00:04:33Mais ça vous donne du temps libre demain soir.
00:04:35C'est exactement.
00:04:36Il y a quoi manger demain au Club France demain ?
00:04:40Avec ma femme que j'embrasse d'ailleurs.
00:04:42Bonsoir madame.
00:04:43Bonsoir.
00:04:43C'est la minute Messaoui.
00:04:44Tu vas voir Marie déjà.
00:04:45Marie, elle sera là.
00:04:46Je n'ai rien prévu de se rencontrer avec.
00:04:48Et donc demain, si je peux savoir qui sera en concert demain,
00:04:51ça peut m'arranger.
00:04:52Mais vous n'êtes pas pressée ?
00:04:53Elle cherche.
00:04:55C'est pas obligé de me le donner tout de suite, Anne-Sophie.
00:04:56Eh bien demain, Messaoui, j'ai la réponse.
00:04:59Vous trouvez ça sur le site du Club France.
00:05:01À partir de 19h, il y a Adrien Bo, ou Pou, je ne sais pas,
00:05:06B-O-O, pardon, je ne m'y connais pas trop en musique électronique,
00:05:08qui est le DJ set, voilà, qui fera un set, qui sera là.
00:05:13Et à partir de 22h15, c'est Mauvais Oeil en showcase à la Grande Halle,
00:05:17c'est juste derrière.
00:05:18Messaoui, vous allez vous régaler.
00:05:20Eh bien merci, Anne-Sophie.
00:05:22Bien joué.
00:05:25On sera là, on sera là.
00:05:26Tiens, alors pardonnez-nous, on va enlever les images du Club France
00:05:30pour vous montrer une autre image.
00:05:32Et c'est l'image du jour, vous allez comprendre pourquoi.
00:05:34Le tableau des médailles.
00:05:36Oui, vous ne rêvez pas, on l'a particulier.
00:05:38La France est deuxième du tableau des médailles devant la Chine,
00:05:42devant les États-Unis forcément, parce que c'est le Japon qui est en tête.
00:05:46C'est absolument incroyable.
00:05:48Ça vous fait quoi de voir ce tableau-là, Thomas ?
00:05:51J'ai du mal à réaliser quand même.
00:05:53Surtout, non seulement de voir la France deuxième,
00:05:56mais sur le tableau, on ne voit même pas les États-Unis.
00:06:00C'est incroyable.
00:06:01Et je ne sais pas ce qui s'est passé pour l'instant.
00:06:04C'est complètement dingue, voir la France déjà deuxième comme ça.
00:06:06Marie, tellement dur d'aller chercher des médailles olympiques.
00:06:09Je vais vous dire un truc que je ne pensais jamais dire.
00:06:11Il y a 2 ou 3 ans, Claude Onesta, directeur de la performance à la NES,
00:06:15nous sort, oui, on va faire 80 médailles.
00:06:17Et nous, en backstage, on éclate de rire.
00:06:19On dirait, ça y est, il est complètement zinzin, l'ancien.
00:06:21Il a vrillé.
00:06:23Faites la multiplication, 16 en 3 jours sur 15 jours.
00:06:27Je ne sais pas si ça marche comme ça.
00:06:30Là, c'est vous qui êtes zinzin, Marie.
00:06:32Non, malheureusement.
00:06:33Je ne suis pas sûr que ça marche comme ça.
00:06:35Mais quand même, le moment qu'on est en train de vivre.
00:06:37Le truc qui vous a fait vibrer par-dessus tout, aujourd'hui, tiens,
00:06:42Président Hugo.
00:06:43Moi, c'est le canoë.
00:06:44Le canoë ?
00:06:45Oui, parce qu'il part favori, il part en dernier.
00:06:48Tout au long de la journée, il a les meilleurs temps.
00:06:50Donc, une fois qu'il démarre, il ne faut pas faire de fautes.
00:06:54Mais tu sais qu'il a de l'avance, qu'il a du mou, en fait.
00:06:57Et de le voir arriver à quasiment 6 secondes d'avance,
00:07:00en bas, dominer la journée comme il l'a fait, c'est exceptionnel.
00:07:05D'autant plus que tu sais qu'avant lui, il y a eu quand même des énormes champions
00:07:08en canoë, en slalom.
00:07:10Donc, de voir le jeune Nicolas Gestin être champion olympique ce soir,
00:07:14c'est bravo, c'est génial.
00:07:16C'est très fort.
00:07:17Et l'autre médaille d'or du jour, bien sûr, c'est Manon Apiti-Brunet
00:07:20à l'escrime au sabre, finale 100% française.
00:07:23On va y revenir, évidemment.
00:07:24Il y avait beaucoup de choses en même temps à suivre aujourd'hui.
00:07:26C'était particulièrement difficile.
00:07:28J'ai vécu un moment très compliqué quand il y a eu le tennis, Nadal Djoko,
00:07:31Koretsky en VTT et le skateboard en même temps.
00:07:34J'étais en épilepsie totale.
00:07:36Je n'arrivais pas à me métribrer.
00:07:37C'était compliqué.
00:07:38Mais moi, j'étais entre ces trois événements-là l'après-midi.
00:07:40Thomas ?
00:07:41Moi, j'ai la chance d'avoir le travail juste à côté des Invalides.
00:07:44Et donc, il y avait le tir à l'arc.
00:07:46Et donc, on a vu sur les tribunes, etc.
00:07:48Rappelez-moi ce que vous faites dans la vie, Thomas ?
00:07:49Je suis journaliste.
00:07:50Et supporter de l'OM.
00:07:52Juste à côté, avec un cadre pareil.
00:07:54Donc, c'était aux Invalides.
00:07:55Sur les tribunes, il y avait une ambiance de dingue.
00:07:56On a l'impression que c'était un stade de foot.
00:07:58Et puis, cette finale des Français qui, on a frissonné sur la première salve de flèche.
00:08:02Ils ont fait match nul.
00:08:04Ils faisaient un partout.
00:08:05Après, les Coréens, c'est Robin Desbois et Sheridan de Tingham.
00:08:08Il y avait tout le dessin animé, là.
00:08:10Ils en faisaient que des dix.
00:08:11Donc, c'était extraordinaire.
00:08:12C'est gentil.
00:08:13T'es plus gentil.
00:08:14Je ne me pensais pas que j'allais...
00:08:15Je suis frère toc, moi.
00:08:16Mais je ne pensais pas que j'allais vibrer autant devant du tir à l'arc.
00:08:18Et je trouvais ça extraordinaire.
00:08:20C'était une ambiance de dingue aux Invalides, aujourd'hui.
00:08:23Marie ?
00:08:24Le cavalier Stéphane Londois qui tombe dans les bras du papa de Thaïs.
00:08:28La propriétaire, au départ, du cheval qu'il a monté.
00:08:31Et qu'il a essayé de tout faire pour qualifier.
00:08:34Et venir chercher cette médaille incroyable.
00:08:36J'ai trouvé ça très émouvant.
00:08:39Le fait de se motiver à faire des jeux au nom de quelqu'un qui est décédé,
00:08:44ça m'a rappelé à des souvenirs très personnels.
00:08:46Et j'ai trouvé ça hyper touchant.
00:08:49Après, c'est vraiment l'histoire humaine.
00:08:51On n'est plus sur la performance en tant qu'elle.
00:08:53Mais les Jeux, c'est aussi ces histoires-là.
00:08:55Elles sont belles.
00:08:56C'est une médaille d'argent, quand même.
00:08:58Oui, oui.
00:08:59Ça compte.
00:09:00Huit médailles, aujourd'hui.
00:09:01Dans le détail, c'est deux en or, cinq en argent et une en bronze.
00:09:05On peut presque avoir des regrets, en plus.
00:09:06Avec des regrets ?
00:09:07Le rugby, le skateboard...
00:09:09On va en parler tout à l'heure.
00:09:10On va en parler.
00:09:11Mais d'ailleurs, plus qu'on en a deux en or, ça veut dire Marseillaise.
00:09:14On en vit une au Club France.
00:09:16Marseillaise pour l'escrime.
00:09:19Allez !
00:09:31Allez, tout le monde !
00:09:34Plus fort !
00:09:38Attention !
00:09:46Marchons !
00:09:48Marchons !
00:10:00Le Club France, c'est la fête pour les huit médailles du jour.
00:10:03Encore, on est à 16 au total.
00:10:05L'équipe de France est deuxième nation mondiale en ce jour du 29 juillet 2024.
00:10:12Vous avez compris la référence.
00:10:14C'est un jour historique.
00:10:16Depuis 1924, l'équipe de France n'avait recueilli autant de médailles.
00:10:19Et le Club France, voici les images en direct avec Corentin Roland, Anne-Sophie Bernadie,
00:10:23tous nos envoyés sous précieux là-bas.
00:10:25On se prépare à fêter les médailles du jour.
00:10:27On est de retour juste après une courte pause.
00:10:29On reviendra sur le judo.
00:10:30Est-ce que vous êtes heureux ou frustrés pour Cizik et Gaba qui n'ont pas décroché l'or aujourd'hui ?
00:10:35Les deux médailles d'or, laquelle vous a le plus fait vibrer ?
00:10:38Nicolas Gestin ou Manon Apitie-Brunet pour l'escrime ?
00:10:42On est de retour juste après ça.
00:10:43A tout de suite.
00:10:45Ça devient nouvelle.
00:10:53Voici deux des huit médailles du jour.
00:10:56Le judo à l'honneur au Club France à la Villette en direct.
00:10:59Sarah-Léonie Cizik, médaillée de bronze aujourd'hui à moins de 57 kg.
00:11:02Et Johann Benjamin Gaba, moins de 73 kg.
00:11:06Histoire extraordinaire.
00:11:0735e mondiale avant cette folle journée pour lui.
00:11:11Et il décroche l'argent.
00:11:12Sa première médaille, son premier podium dans une grande compétition.
00:11:16Championnat du monde ou Jeux Olympiques.
00:11:18Et il l'a fait à Paris devant son public.
00:11:21C'est extraordinaire.
00:11:22Vous nous direz d'ailleurs si vous êtes heureux parce que ce sont des belles histoires.
00:11:26Ou frustrés parce qu'il n'y avait pas de titre au bout pour Sarah-Léonie et Johann Benjamin.
00:11:31Anne-Sophie Bernadie en direct depuis le Club France pour nous à la Villette.
00:11:34Anne-Sophie, l'atmosphère qui est en train de monter très nettement.
00:11:38Quelle fête pour accueillir les médaillées du jour.
00:11:43On a entendu beaucoup de monde hurler, chanter.
00:11:47Dès qu'on a vu Johann Benjamin Gaba et Sarah-Léonie Sizzik.
00:11:51Vous voyez l'incrustation là que vous avez.
00:11:53Ils sont actuellement en coulisses.
00:11:55D'abord on a fait monter doucement la pression.
00:11:57Et dès qu'ils sont apparus sur l'écran géant, tout le monde s'est mis à hurler.
00:12:01Vous savez, ce sont des athlètes qui depuis le début, ces athlètes français,
00:12:05on les appelle par leur prénom.
00:12:07On les soutient tout au long de la journée sur ce Club France.
00:12:11Dès qu'on les voit, vraiment, on en parlait avant même que la compétition débute.
00:12:15Mais ce sont des rockstars.
00:12:17Et c'est vraiment comme des héros qu'ils sont accueillis et acclamés à chaque fois dans ce Club France.
00:12:22Ils font monter la pression.
00:12:23Les rockstars, ils font monter l'attente effectivement.
00:12:25C'est bien organisé tout ça, Marie.
00:12:27C'est une loge LVMH qui est un des partenaires du Club France.
00:12:31Et puis là, ils les filent jusqu'à Backstage, jusqu'à rentrer dans la salle.
00:12:35Mais là, à ce moment-là, comme ils arrivent par derrière,
00:12:38ils ne m'ont encore pas vue parce que nous, on a vu la salle du jeu.
00:12:41Donc, je ne vous dis pas l'impact qu'ils entraînent.
00:12:44Ils ont entendu, mais ils ne m'ont pas vue.
00:12:46Eh bien, vivons-le justement avec ces images qui nous viennent en direct du Club France.
00:13:09Ça y est, ils sont juste devant moi.
00:13:11J'ai la jeune Sarah Leonicizik.
00:13:14Elle est là, elle est belle, avec sa médaille de bronze.
00:13:19Mesdames et messieurs, honneur aux femmes, je vous demande d'accueillir comme il se doit
00:13:24la médaillée de bronze des moins de 50 kilos, Sarah Leonicizik.
00:13:38Je vous demande d'accueillir comme il se doit la médaillée de bronze des moins de 50 kilos, Sarah Leonicizik.
00:13:43Je vous demande d'accueillir comme il se doit la médaillée de bronze des moins de 50 kilos, Sarah Leonicizik.
00:13:48Je vous demande d'accueillir comme il se doit la médaillée de bronze des moins de 50 kilos, Sarah Leonicizik.
00:13:53Je vous demande d'accueillir comme il se doit la médaillée de bronze des moins de 50 kilos, Sarah Leonicizik.
00:13:58Je vous demande d'accueillir comme il se doit la médaillée de bronze des moins de 50 kilos, Sarah Leonicizik.
00:14:03Je vous demande d'accueillir comme il se doit la médaillée de bronze des moins de 50 kilos, Sarah Leonicizik.
00:14:08Je vous demande d'accueillir comme il se doit la médaillée de bronze des moins de 50 kilos, Sarah Leonicizik.
00:14:13Je vous demande d'accueillir comme il se doit la médaillée de bronze des moins de 50 kilos, Sarah Leonicizik.
00:14:18Je vous demande d'accueillir comme il se doit la médaillée de bronze des moins de 50 kilos, Sarah Leonicizik.
00:14:23Je vous demande d'accueillir comme il se doit la médaillée de bronze des moins de 50 kilos, Sarah Leonicizik.
00:14:28Elle profite, elle kiffe et c'est bien normal, elle l'a mérité avec la médaille de bronze autour du cou.
00:14:44Elle profite, elle kiffe et c'est bien normal, elle l'a mérité avec la médaille de bronze autour du cou.
00:14:46C'est ton moment Sarah Leoni. C'est énorme. C'est énorme.
00:14:54Sarah Leonicizik d'abord. Lui ce sera au tour de Johann Benjamin Gabba qui va être fêté de la même manière par le Club France.
00:15:02On va vivre son arrivée également à Johann Benjamin. Est-ce qu'on entend ?
00:15:06Oui on entend. Alors on va écouter Sarah Leonicizik et Johann Benjamin Gabba.
00:15:11C'est Johann Benjamin Gabba !
00:15:24C'est Johann Benjamin Gabba !
00:15:54C'est Johann Benjamin Gabba !
00:15:56C'est Johann Benjamin Gabba !
00:15:58C'est Johann Benjamin Gabba !
00:16:00C'est Johann Benjamin Gabba !
00:16:02C'est Johann Benjamin Gabba !
00:16:04C'est Johann Benjamin Gabba !
00:16:06C'est Johann Benjamin Gabba !
00:16:08C'est Johann Benjamin Gabba !
00:16:10C'est Johann Benjamin Gabba !
00:16:12C'est Johann Benjamin Gabba !
00:16:14C'est Johann Benjamin Gabba !
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00:27:28C'est Johann Benjamin Gabba !
00:27:30C'est Johann Benjamin Gabba !
00:27:32C'est Johann Benjamin Gabba !
00:27:34Merci après cette course.
00:27:36Victor, il y a le mot déçu qui ressort,
00:27:38mais ce n'est tellement pas celui qu'on a envie de garder.
00:27:40Vous êtes vice-champion olympique.
00:27:42Quand on a vu ces images avec votre petit,
00:27:44notamment, vous ne réalisez pas ce que vous avez fait.
00:27:46C'est fou !
00:27:48C'est sûr qu'après la ligne d'arrivée franchie,
00:27:52il y a toujours un peu déception quand on ne gagne pas.
00:27:56Mais depuis, j'ai pris le temps de savourer
00:28:00et d'apprécier le moment.
00:28:02Comme vous l'avez dit,
00:28:04je suis un vice-champion olympique.
00:28:06C'est ça qu'il faut que je garde.
00:28:08Le négatif, on l'oublie
00:28:10et on pense qu'au positif.
00:28:12Racontez-nous, après cette ligne d'arrivée,
00:28:14qu'est-ce qu'on vous a dit ?
00:28:16Qu'est-ce que vos proches vous ont dit ?
00:28:18Il était question de vous consoler.
00:28:20Après,
00:28:22tous mes proches
00:28:26savaient de quoi je rêvais
00:28:30depuis de nombreux mois.
00:28:32Je suis passé pas très loin
00:28:34de décrocher l'Europe olympique.
00:28:36C'est forcément décevant.
00:28:38Mais à la fois, je suis un vice-champion olympique.
00:28:40Je suis sur le podium, en France, devant mon public.
00:28:42C'est juste exceptionnel.
00:28:44Il faut relativiser.
00:28:46Ça reste du sport.
00:28:48Il faut savoir aussi l'accepter.
00:28:50J'accepte et je profite.
00:28:52Devant un public qui a été exceptionnel
00:28:54tout au long de la journée.
00:28:56Hier, à votre place,
00:28:58elle avait pas entendu tout ce bruit.
00:29:00Elle avait réussi à se mettre dans sa bulle.
00:29:02C'est un peu sur les derniers mètres qu'elle avait réalisé.
00:29:04Vous, comment vous l'avez vécu ?
00:29:06Je l'ai entendu un peu au début.
00:29:08Après,
00:29:10j'étais en mode race,
00:29:12en mode course,
00:29:14dans ma bulle.
00:29:16Finalement, vous êtes devant.
00:29:18C'était pas le plan que vous aviez prévu non plus.
00:29:20Là, vous entendez que tout le monde est derrière vous.
00:29:22Oui, mais en fait,
00:29:24j'essaie de faire abstraction.
00:29:26Je suis tellement dans ma course
00:29:28que je ne me laisse pas distraire par ça.
00:29:30Je reste focus
00:29:32sur ma course.
00:29:34Je ne m'emballe pas.
00:29:36Je ne vais pas
00:29:38plus vite
00:29:40que mon propre rythme.
00:29:42C'est ce qui m'a permis d'aller aussi loin
00:29:44dans la course.
00:29:46J'aurais pu très bien m'emballer
00:29:48et perdre de l'énergie bêtement
00:29:50en étant trop poussé par le public.
00:29:52Mais finalement,
00:29:54j'ai fait une bonne gestion malgré tout.
00:29:56Dans le final,
00:29:58c'était encore plus fou
00:30:00avec des dépassements
00:30:02et des faits de course.
00:30:04C'était tendu
00:30:06jusqu'au bout.
00:30:08J'y ai cru jusqu'au bout.
00:30:10C'est la dure loi du sport.
00:30:12C'est pour ça que c'est beau.
00:30:14On espère que ce qui va rester
00:30:16ce sont toutes ces images
00:30:18que vous êtes en train de partager avec tout le monde
00:30:20et pas ce final qui ne vous hantera pas trop.
00:30:22C'est quoi le programme ?
00:30:24On sait que d'ici quelques jours,
00:30:26il y aura encore des ambitions sportives.
00:30:28Mais là, profitez de cette belle médaille
00:30:30que vous pouvez montrer au plateau.
00:30:32Pour le moment,
00:30:34j'ai juste envie de profiter
00:30:36du moment, profiter de mes proches,
00:30:38de ma famille, de la soirée,
00:30:40et des prochains jours.
00:30:42Je vais faire un peu de repos.
00:30:44Je vais essayer de penser à autre chose.
00:30:46Ensuite, il sera temps pour moi
00:30:48de préparer les Chapelles du Monde
00:30:50qui sont en Andorre dans un mois.
00:30:52Ce sera aussi
00:30:54peut-être une belle revanche
00:30:56à avoir.
00:30:58Pour le moment, je n'y pense pas.
00:31:00J'ai juste envie de profiter ce soir.
00:31:02C'est tout ce qu'on vous souhaite.
00:31:04Merci beaucoup Victor.
00:31:06Il y a beaucoup de monde qui vous attend de l'autre côté de la porte.
00:31:08On vous invite à les rejoindre.
00:31:10On vous remercie beaucoup d'avoir été avec nous sur ce studio.
00:31:12Merci Victor, vice-champion olympique.
00:31:14Décidément, il y a du beau monde
00:31:16qui se succède ici.
00:31:18C'était son troisième Jeux olympiques.
00:31:20Il est vice-champion olympique.
00:31:22Derrière le plus fort, Tom Pitcock,
00:31:24qui était déjà champion olympique en titre.
00:31:26La frustration doit être évacuée.
00:31:28On a vu sa célébration au Club France.
00:31:30Pour terminer sur cette notion
00:31:32de bonheur ou de frustration,
00:31:34Marie,
00:31:36pour le ressenti,
00:31:38combien de temps on met pour évacuer
00:31:40une frustration quand on avait
00:31:42vraiment un objectif aussi énorme ?
00:31:44On a vu pour Johan Benjamin et Sarah Léoni
00:31:46tout à l'heure dans la célébration.
00:31:48On parlait de judo.
00:31:50On a l'impression que ça a été évacué.
00:31:52C'est que le bonheur qui est présent.
00:31:54C'est des athlètes intelligents.
00:31:56À un moment donné, ils ont compris
00:31:58que tu peux viser très haut
00:32:00mais que profiter de ce qui t'arrive,
00:32:02tout le monde n'a pas la chance
00:32:04d'être fêté au Club France.
00:32:06En plus, dans le judo,
00:32:08c'était très compliqué pour chacun d'entre eux
00:32:10de se qualifier.
00:32:12Il y avait très peu de place.
00:32:14Je pense qu'ils ont vite switché
00:32:16parce qu'ils ont vite remis les choses
00:32:18à leur place et elles sont ce qu'elles sont.
00:32:20Ils sont médaillés olympiques
00:32:22dans une olympiade à la maison.
00:32:24À un moment donné, il faut être capable
00:32:26de redescendre.
00:32:28Mais ce n'est pas facile et tout le monde
00:32:30n'est pas capable de le faire rapidement
00:32:32parce que tu t'imposes une telle rigueur
00:32:34et tu es sur une ligne droite
00:32:36avec un seul objectif.
00:32:38Le mentaliste va me dire le contraire.
00:32:40On essaie de ne pas trop réfléchir
00:32:42et de rester vraiment focus
00:32:44sur la technique et ce qu'il y a à faire.
00:32:46Le résultat n'étant que le résultat,
00:32:48il n'empêche que
00:32:50forcément tu te projettes un petit peu.
00:32:52Après, je pense que c'est propre
00:32:54à chacun le temps que tu mets
00:32:56à redescendre.
00:32:58Les deux médailles pour le judo
00:33:00mais toujours pas de titre.
00:33:02On va en parler dans quelques instants.
00:33:04Il y en a eu deux aujourd'hui pour l'équipe de France
00:33:06avec Nicolas Gestin
00:33:08en kayak évidemment
00:33:10et puis l'autre médaille d'or
00:33:12pour l'escrime Manon Apiti Brunet.
00:33:14Le résultat du duel, peut-être déjà ?
00:33:16Ouh là là, j'ai peur.
00:33:18Et voilà !
00:33:20Papa !
00:33:22On est sûr qu'on ne s'est pas trompé ?
00:33:24Non, 61. Très frustrant.
00:33:28On avait peur de CJO
00:33:30et puis finalement maintenant
00:33:32on se dit qu'on se fruse
00:33:34d'une médaille d'argent.
00:33:36On veut voir, 5 médailles de judo c'est super
00:33:38C'est terrible.
00:33:40France vous avez gagné, n'assistez pas.
00:33:46Là c'est une défaite frustrante.
00:33:50On va parler des médailles d'or dans un instant
00:33:52mais avant cela, puisqu'on a accueilli
00:33:54l'un de nos vice-champions, on n'a plus qu'à voir ses images
00:33:56et là pour le coup
00:33:58la scène qu'on va voir est très frustrante.
00:34:00Victor Koretsky a livré un duel fabuleux
00:34:02avec Tom Pitcock.
00:34:04Ça s'est joué jusque dans les derniers mètres
00:34:06dans cet épisode, regardez, Pitcock
00:34:08qui essaye de dépasser Koretsky.
00:34:10Il y a un contact entre les deux vététistes
00:34:12et au final ça fait perdre quelques secondes
00:34:14à Victor Koretsky qui luttait encore pour la victoire
00:34:16et à l'arrivée c'est le britannique
00:34:18Tom Pitcock qui finit par s'imposer.
00:34:20Ça fait tout de même une belle médaille d'argent
00:34:22pour Victor Koretsky
00:34:24qui finalement n'a pas pu disputer la victoire
00:34:26jusque dans les derniers mètres.
00:34:28A noter évidemment que l'action a été revue par un jury
00:34:30et que rien n'a été décidé
00:34:32donc l'action était légitime.
00:34:34Moi je l'aurais disqualifié Pitcock.
00:34:36Oh !
00:34:38T'as l'objectivité !
00:34:40Je lui aurais pas enlevé son titre olympique
00:34:42il y a 4 ans,
00:34:44il y a 3 ans,
00:34:46mais quand même.
00:34:48Je crois qu'il sera au Club France demain.
00:34:50Tom Pitcock, j'irai le voir.
00:34:52C'est lui qui mixe.
00:34:56Sur le direct,
00:34:58franchement moi j'avais un doute.
00:35:00Mais bon, puisque ça a été revu.
00:35:02La règle c'est que
00:35:04si son guidon est devant,
00:35:10ça veut dire qu'il a une espèce de priorité
00:35:12et qu'en fait s'il y a contact
00:35:14et qu'il l'a un petit peu provoqué,
00:35:16il a le droit parce que son guidon est devant.
00:35:18Et a priori au moment où il y a le contact,
00:35:20c'est comme ça.
00:35:22Vous m'avez convaincu Marie.
00:35:24On accueille d'autres athlètes au Club France
00:35:26dans quelques instants mais on a donc vécu
00:35:28deux médailles d'or aujourd'hui.
00:35:30La médaille d'or d'Angestin qui perpétue
00:35:32la tradition du kayak français.
00:35:34Et la médaille de Manon Apitie-Brunet
00:35:36qui perpétue elle la tradition de l'escrime.
00:35:38C'était le sabre en finale
00:35:40face à une française, Sarah Balzer.
00:35:42D'ailleurs le Club France,
00:35:44on s'apprête à les accueillir.
00:35:46Ça c'est les images en direct.
00:35:50Ça va être exceptionnel.
00:35:52Très bonne idée ça.
00:35:54On va chercher un sponsor,
00:35:56récolter un peu d'argent
00:35:58et on va y aller.
00:36:00Ils arrivent dans quelques instants.
00:36:02Ça nous donne juste le temps
00:36:04de voir les images avant de vous demander
00:36:06laquelle des médailles d'or
00:36:08vous a le plus fait vibrer aujourd'hui.
00:36:10On commence avec Nicolas Gestin
00:36:12qui a survolé la finale de
00:36:14canoë slalom de C1 à Vers-sur-Marne
00:36:16avec quasiment six secondes d'avance
00:36:18sur le deuxième.
00:36:20C'est son premier titre olympique à 24 ans.
00:36:22Comme vous l'avez dit, mais Saoudi,
00:36:24il perpétue la tradition de Tony Estanguet
00:36:26la France a remporté 5 des 7 derniers
00:36:28titres olympiques dans cette compétition
00:36:30de canoë slalom.
00:36:32C'est un magnifique Nicolas Gestin.
00:36:34Ce qui est génial, c'est qu'il était attendu,
00:36:36il était fort,
00:36:38il met 5 secondes à tout le monde.
00:36:40C'est Léon Marchand hier sur sa médaille d'or
00:36:42et s'il touche à chaque fois
00:36:44d'un millimètre,
00:36:46il est pénalisé
00:36:48et il perd sa médaille d'or.
00:36:50On l'écoute, on a sa réaction d'abord ?
00:36:52Oui exactement, il vient de parler
00:36:54d'Anne-Sophie Bernadie et de Tom Trichereau
00:36:56de ces secondes d'écart
00:36:58et de ce gros écart à l'arrivée.
00:37:00Même moi je ne m'y attendais pas,
00:37:02ça ne m'est jamais arrivé sur un championnat d'Europe,
00:37:04sur une coupe du monde.
00:37:06De faire ça à la maison, au jeu,
00:37:08quand tout le monde m'attend,
00:37:10je ne pouvais juste pas l'imaginer.
00:37:12La dernière fois que j'ai gagné une course de 5 secondes d'avance,
00:37:14je pense que c'était une régionale en Bretagne.
00:37:16Trop cool.
00:37:18Je ne l'ai pas vu,
00:37:20j'ai reçu des appels auxquels je n'ai pas répondu
00:37:22et je ne savais pas qu'Emmanuel Lapointe
00:37:24aurait gagné les championnats olympiques.
00:37:26Il ne faut pas oublier qu'on fait du canoë
00:37:28et que je ne suis pas footballeur professionnel,
00:37:30je pense que demain le canoë,
00:37:32il n'y aura plus grand monde qui le regardera malheureusement.
00:37:34Je ne suis pas sûr d'avoir envie
00:37:36que ma vie change non plus,
00:37:38j'aimais bien mon quotidien d'avant
00:37:40et je pense qu'il va,
00:37:42s'il peut rester plus ou moins le même,
00:37:44ça m'ira très bien comme ça.
00:37:46C'est touchant, c'est mignon.
00:37:48Il va vivre un moment exceptionnel,
00:37:50je pense qu'il y en aura un.
00:37:52Allez Kylian !
00:38:20C'est pas une bague,
00:38:32c'est pas une bague
00:38:34que tu prends en personne.
00:38:36Et bien là, il vient de vivre un moment extraordinaire,
00:38:50que certains footballeurs ne vivront jamais
00:38:52parce qu'ils parlaient du football,
00:38:54médaillé d'or olympique,
00:38:56ça restera à vie,
00:38:58on est champion olympique à vie
00:39:00et il est en train de vivre ce moment unique,
00:39:02même si son quotidien demain
00:39:04va être un peu plus ordinaire.
00:39:06Et alors ?
00:39:08Demain, poétiquement,
00:39:10dans quelques jours quoi.
00:39:12Et il en profite encore tiens !
00:39:20Quelle médaille d'or vous a le plus fait librer ?
00:39:22Parce que vous avez compris la question,
00:39:24les deux médailles d'or sont absolument magnifiques
00:39:26et c'est absolument pas méchant,
00:39:28la question qu'on vous pose,
00:39:30Marie elle me regarde
00:39:32avec des yeux furibonds,
00:39:34comment vous pouvez nous demander ça ?
00:39:36Mais les Jeux olympiques,
00:39:38ce sont des émotions.
00:39:40Et quelle médaille d'or vous a le plus fait vibrer ?
00:39:42On ne vous demande pas
00:39:44quelle médaille d'or vous préférez dans l'absolu,
00:39:46mais quelle médaille d'or vous a le plus fait vibrer ?
00:39:48Est-ce que...
00:39:50Non, pas l'habillage à l'américaine,
00:39:52c'est l'habillage au Bob,
00:39:54l'habillage au Bob,
00:39:56à la Jul.
00:39:58Il fait le breakdance après,
00:40:00il va conjonquer.
00:40:02C'est le b-boy.
00:40:08Ah oui, le breakdance,
00:40:10futur adversaire des JO.
00:40:12Discipline.
00:40:14Au JO, effectivement.
00:40:16Allez Nico.
00:40:18Alors,
00:40:20quelle médaille d'or vous a le plus
00:40:22fait vibrer aujourd'hui ?
00:40:24Celle de Nicolas Gestin, vous le voyez donc,
00:40:26médaille d'or en kayak aujourd'hui,
00:40:28de Manon Apiti Brunet,
00:40:30en escrime. D'abord,
00:40:32on va repréciser le contexte de la médaille d'or
00:40:34en escrime, Romain.
00:40:36On a eu la chance incommensurable d'avoir une finale
00:40:38100% française entre Manon Apiti Brunet
00:40:40et Sarah Balzer en sabre féminin.
00:40:42Les deux championnes qui se sont donc affrontées
00:40:44pour une victoire finale de Manon Apiti Brunet
00:40:46qui est à droite de cette photo.
00:40:48Une victoire 15 à 12 face à Sarah Balzer
00:40:50qui est la numéro 1 mondiale pourtant
00:40:52et ça augure aussi de très belles choses
00:40:54pour l'épreuve de sabre par équipe
00:40:56La championne olympique et la vice-championne olympique,
00:40:58qu'est-ce que ça va donner par équipe ?
00:41:00Evidemment, un titre olympique, on l'espère !
00:41:02Thomas, laquelle de ces médailles d'or
00:41:04vous a le plus fait vibrer ?
00:41:06Celle de Manon, l'escrime, le sabre
00:41:08parce que
00:41:10j'ai aimé son entrée
00:41:12dans la salle, elle était toute souriante
00:41:14elle n'était pas favori, on a l'impression
00:41:16qu'elle kiffait vraiment son moment
00:41:18et ça m'a mis un petit peu d'émotion à ce moment-là
00:41:20le seul problème, c'est que moi j'ai du mal
00:41:22sur des épreuves individuelles comme ça
00:41:24et c'est le final franco-français
00:41:26ça vous enlève de l'émotion ?
00:41:28ça m'enlève beaucoup d'émotion
00:41:30l'angoisse en tout cas de la victoire
00:41:32mais je suis désolé, moi sur le kayak
00:41:34ça ne me fait pas vibrer ce sport
00:41:36Pourquoi ça ?
00:41:38Je ne comprends tellement pas le sport
00:41:40je n'arrive pas à distinguer les complexités
00:41:42j'ai l'impression qu'ils font tous la même course
00:41:44et lui il est arrivé 6 secondes avant
00:41:46et il ne m'a pas procuré plus d'émotion
00:41:48que le Canadien
00:41:50Pas d'émotion à droite, pas d'émotion à gauche
00:41:52J'ai préféré la finale du sable
00:41:54parce qu'il y en a une qui ne m'a procuré aucune émotion
00:41:56et l'autre un peu plus
00:41:58Dis-le, tu as préféré le tir à l'arc, en vrai
00:42:00Le tir à l'arc c'est au-dessus
00:42:02Marie, ça vous fait tiquer
00:42:04d'entendre Thomas dire ça ?
00:42:06Non, après chacun vit son truc
00:42:08et moi en ce qui me concerne
00:42:10j'ai préféré l'émotion
00:42:12que j'ai ressentie
00:42:14si on en est là
00:42:16de cette finale des Scream
00:42:18parce que justement
00:42:20à l'inverse je me suis dit
00:42:22quelle dinguerie, elles se retrouvent en finale olympique
00:42:24les deux, alors que c'est des copines
00:42:26c'est des potes d'entraînement
00:42:28elles s'entraînent contre le reste du monde
00:42:30ensemble contre le reste du monde
00:42:32en équipe de France c'est dans la même équipe
00:42:34elles se retrouvent à avoir
00:42:36écrasé le reste du monde
00:42:38et devoir s'entretuer
00:42:40parce qu'à un moment donné
00:42:42elles baissent le masque et il faut y aller
00:42:44et donc je serais bien curieuse de savoir
00:42:46ce qu'elles ont en tête
00:42:48et puis malheureusement
00:42:50pour ce qui est du canoë
00:42:52j'ai un peu de mal
00:42:54avec cette discipline qui pour moi
00:42:56est un truc de rivière
00:42:58d'outdoor et de nature
00:43:00et qu'on a voulu écraser
00:43:02dans un espèce d'écrin
00:43:04en plastique
00:43:06pour faire des fausses vagues
00:43:08moi je dis en parenthèse, il y a l'isère qui coule
00:43:10il faut qu'il y ait du débit pour aller faire du canoë
00:43:12donc j'ai un petit peu de mal
00:43:14à m'émouvoir puisqu'on parle des mots de nature
00:43:16sur ce sport de nature
00:43:18qui a été vraiment ramené à un truc
00:43:20de ville quasiment
00:43:22mais ça n'enlève rien du tout
00:43:24à la performance des jeunes garçons
00:43:26et que j'adore, que j'aime d'amour
00:43:28et qui nous a fait rêver
00:43:30France, laquelle de ces deux médailles d'or
00:43:32vous a fait le plus vibrer ?
00:43:34Pour l'émotion, les scrims, pour la dimension sportive
00:43:36le canoë kayak, en revanche
00:43:38s'il y avait eu une petite part d'émotion en plus
00:43:40sur le canoë kayak, j'aurais absolument...
00:43:42Alors qu'est-ce qui vous manquait d'émotion dans le canoë kayak ?
00:43:44C'est-à-dire qu'il est là en tribune
00:43:46à aucun moment il n'y a une caméra sur lui
00:43:48peut-être qu'il s'était voulu, mais pour voir l'enjeu
00:43:50pour voir son émotion, à aucun moment il descend
00:43:52il le prend dans ses bras, il le caline, il le félicite
00:43:54il se jette dans l'eau, il lui remet une médaille
00:43:56moi j'avais envie de ça, c'est vraiment l'image que j'attendais
00:43:58surtout Tony Estanguet avec son rôle aujourd'hui
00:44:00ça me paraissait tellement évident
00:44:02et j'attendais, j'attendais à quel moment il va descendre
00:44:04il n'est jamais venu, ça m'a coupé toute émotion
00:44:06Il ne voulait pas lui voler la vedette aussi Estanguet
00:44:08C'est son idole, on a même une photo je crois
00:44:10On a une photo, tiens, regardons-la
00:44:12A quel moment ton idole vient féliciter ?
00:44:14C'est la victoire de ce jeune séiste
00:44:16La photo elle est magnifique
00:44:18Peut-être par pudeur
00:44:20Tony...
00:44:22Tu le fais un peu après, peut-être pas tout de suite
00:44:24Il n'a toujours pas vu
00:44:26Je pense que c'est Tony qui a dû la filer
00:44:28ou peut-être les parents du
00:44:30du jeune gestin
00:44:32C'est une photo de...
00:44:34Le consulteur de l'équipe de France
00:44:36Olympique
00:44:38Est-ce que vous avez vu cette photo ?
00:44:42Cette photo-là c'est vrai ?
00:44:44En revanche ça ajoute de l'émotion
00:44:46à la victoire de...
00:44:48C'est trop choupi
00:44:50de Nicolas Gestin
00:44:52Vous aviez pas envie de le voir à la fin avec lui ?
00:44:54Moi je suis d'accord
00:44:56Thomas me semble donner la bonne version
00:44:58Il ne voulait peut-être pas lui voler son...
00:45:00C'est forcément la bonne réponse
00:45:02Il ne voulait pas lui voler son moment
00:45:04Peut-être, je ne sais pas
00:45:06Il a réagi peut-être
00:45:08Je sais que les sportifs à ce moment-là
00:45:10sont encore
00:45:12tu l'as vécu, dans leur bulle
00:45:14et être parasité
00:45:16par d'autres personnes comme ça
00:45:18Parasité pour l'idole ?
00:45:20Pour certains
00:45:22Ça aurait été hyper décrit
00:45:24Pour les premiers sur les médias, on serait tombé dessus
00:45:26Genre Abba Estanguet qui se met là, il vient faire barbeau
00:45:28Quand il le fait avec Donnie Gargaud, personne ne le décrit
00:45:30Peut-être qu'on lui dit
00:45:32à chaque fois qu'il le fait
00:45:34Je ne sais pas, j'essaie de trouver des explications
00:45:36Anne-Sophie, elle est avec
00:45:38des copains, des potes
00:45:40du champion olympique ?
00:45:42C'est tout
00:45:44Ça a été assez facile de les retrouver
00:45:46Je ne sais pas si vous avez vu, mais pendant la fête à la médaille
00:45:48Nicolas Gestin, il avait un bob
00:45:50Alors on s'est dit, mais qui d'autre
00:45:52porte ce bob ? C'est eux, tout le monde a le bob
00:45:54Allez Nico, ils auront
00:45:56un petit champ je crois dans quelques instants
00:45:58et on est avec les meilleurs copains
00:46:00avec Léo notamment, vous le connaissez depuis quand Nicolas ?
00:46:02Ben Nico, moi je le connais depuis la maternelle
00:46:04On a fait tout le parcours scolaire ensemble
00:46:06la maternelle, la primaire, le collège
00:46:08Après lui il est parti au Pôle Espoir
00:46:10pour son canoë, pour partir à très haut niveau
00:46:12Mais en fait on se connait depuis tout petit
00:46:14On avait 3-4 ans, on se connaissait
00:46:16La nounou
00:46:18Mais alors racontez-nous, c'est quel genre de mec Nicolas Gestin ?
00:46:20Ben Nico c'est un mec simple
00:46:22C'est un mec franc, c'est un mec qui ne change pas
00:46:24Il est là pour ses potes
00:46:26Il rentre tout le temps nous voir
00:46:28C'est un mec super simple
00:46:30Parce qu'en fait il n'a jamais pris la grosse tête
00:46:32et il vient nous voir sur Carperlé
00:46:34On boit des coups ensemble, on va bouffer ensemble
00:46:36Il y a les potes là et il y a la famille aussi c'est ça ?
00:46:38Monsieur ?
00:46:40Bonjour
00:46:42Vous êtes son frère ?
00:46:44Je suis son frère
00:46:46Alors vous êtes frère d'un champion olympique, félicitations
00:46:48C'est pas donné à tout le monde mais c'est cool
00:46:50On m'a dit il y a quelques instants
00:46:52on faisait du canoë avec lui mais il a toujours été meilleur
00:46:54Ok mais de là à être champion olympique
00:46:56vous l'avez senti venir ça ?
00:46:58Ouais quand même
00:47:00En tout cas on l'espérait très fort
00:47:02Bon maintenant il faut nous expliquer
00:47:04ce qu'il y a écrit là pardon
00:47:06Do you know c'est quoi ça ?
00:47:08Treméven en fait c'est la ville
00:47:10C'est là
00:47:12C'est la commune
00:47:14Do you know Treméven ?
00:47:16Do you know Treméven ?
00:47:18Do you know Treméven ?
00:47:20Do you know Treméven ?
00:47:22Do you know Treméven ?
00:47:24Do you know Treméven ?
00:47:26Avec le maillot de Saint-Etienne
00:47:28Le drapeau breton
00:47:30Et là également
00:47:32C'est le bled à certains moments où ils habitent à côté de Quimperley
00:47:34Absolument parce qu'il est breton
00:47:36Nicolas Gestin
00:47:38Médaillé d'or
00:47:40C'est incroyable, c'est là où on mesure le choc
00:47:42Parce que c'est vraiment un choc
00:47:44C'est une impression pour Nicolas Gestin
00:47:46Et toute sa famille, son entourage
00:47:48D'avoir cette médaille d'or
00:47:50Et de pouvoir la fêter tous ensemble
00:47:52On attend d'autres fêtes
00:47:54Romain, réaction
00:47:56De Tony Estanguet tout à l'heure
00:47:58On n'a pas eu le temps de l'écouter
00:48:00Le maître a adoubé
00:48:02Son élève Nicolas Gestin
00:48:04Regardez la réaction de Tony Estanguet
00:48:06Monstrueux ce qu'il a fait
00:48:08Il faut qu'il profite
00:48:10Il est champion olympique
00:48:12Avec plus de 5 secondes d'avance
00:48:14C'est monstrueux
00:48:16Vraiment, il était un ton au-dessus
00:48:18Ca vous suffit France ?
00:48:20Non, c'est nul
00:48:22Je veux un câlin, je veux de l'image, de l'émotion
00:48:24Un comiquet de presse aussi
00:48:26On va organiser ça
00:48:28Une réaction d'un autre champion olympique
00:48:30Romain ?
00:48:32D'un double champion olympique
00:48:34Il s'appelle Fabrice Jeannet
00:48:36Un ancien épéiste
00:48:38Et c'est à propos des finales franco-françaises
00:48:40Le match entre Manon Apiti Brunet et Sarah Balzer
00:48:461996 à Atlanta
00:48:48Avec Valérie Barlois et Laura Plessel
00:48:50C'est ce qu'on pouvait rêver de mieux
00:48:52Sur cette compétition
00:48:54On avait regardé le tableau
00:48:56On a vu qu'elles n'étaient pas dans le même tableau
00:48:58Donc potentiellement ça pouvait se faire
00:49:00C'est génial
00:49:02Ce qui m'impressionne le plus
00:49:04C'est que les deux étaient ultra-favorites
00:49:06Au départ, elles sont numéro 2 et 3 mondiales
00:49:08Et de confirmer le jour J
00:49:10C'est assez hallucinant
00:49:14C'est vrai que c'est assez hallucinant
00:49:16Je ne sais pas qui donnait raison ou tort
00:49:18Sur la médaille qui vous a le plus fait vibrer
00:49:20Mais c'est absolument sensationnel
00:49:22Ce qu'on peut vivre et poser comme question
00:49:24D'ailleurs par la même occasion
00:49:26Est-ce que vous avez vibré plus à une médaille d'or
00:49:28Qu'à une autre
00:49:30Et le compteur qui s'affiche en bas à gauche
00:49:32Les chiffres, ce n'est pas juste pour décorer
00:49:34Ce n'est pas juste pour décorer
00:49:36C'est 5 médailles d'or
00:49:388 médailles d'argent
00:49:40Et 3 médailles de bronze pour l'équipe de France
00:49:4216 médailles déjà
00:49:448 aujourd'hui, c'est du jamais vu depuis 1924
00:49:46Dans un instant, c'est l'équitation
00:49:48Qui va être célébrée du côté du Club France
00:49:50Avant cela, c'est vrai qu'il y en a tellement partout
00:49:52Tellement d'émotions
00:49:54D'images, de performances
00:49:56Et de débats également autour de ces Jeux Olympiques
00:49:58Vous le voyez
00:50:00Nadal, adios Nadal dans la rivière
00:50:02Adios Nadal, point d'interrogation
00:50:04Nadal, qui a donc
00:50:06Disputé son dernier match
00:50:08Ou pas aujourd'hui, Romain face à Djokovic
00:50:10Eh bien, on ne sait pas, mais en tout cas, il a laissé la porte ouverte
00:50:12Donc Raphaël Nadal éliminé au deuxième tour
00:50:14Face à Novak Djokovic en 2-7-6-1-6-4
00:50:16Et donc, il a été interrogé
00:50:18Evidemment, par rapport à son avenir
00:50:20Et voici ce qu'il a répondu
00:50:22Tous les jours, tous les jours, vous voulez que je prenne
00:50:24Ma retraite, j'essaie
00:50:26De regarder vers l'avenir
00:50:28Et quand les JO seront terminées, je prendrai les décisions
00:50:30Qui s'imposent en me basant avant tout
00:50:32Sur l'envie et les sentiments
00:50:34Que j'éprouve
00:50:36Je vais me tourner vers Thomas
00:50:38On sent bien qu'il galère à revenir au plus haut niveau
00:50:40En tout cas, à son niveau, Raphaël Nadal
00:50:42On est à Paris, c'est les JO
00:50:44Face à Djokovic
00:50:46Est-ce que c'est l'épilogue idéal pour dire
00:50:48Stop, merci pour tout
00:50:50Et je me retire là-dessus
00:50:52Ça pourrait, après
00:50:54Je ne suis évidemment pas dans la peau de Raphaël Nadal
00:50:56Ça sent
00:50:58J'ai l'impression, au travers de ce que je lis
00:51:00Qu'il a encore envie de continuer
00:51:02Vous, vous le lisez comme ça ?
00:51:04Vous l'interprétez comme ça, plutôt ?
00:51:06Ouais, ouais, moi je l'interprète comme ça
00:51:08En tout cas, après, un champion comme lui
00:51:10S'il commence à perdre au premier
00:51:12Second tour
00:51:14Je pense que ça précipite un peu
00:51:16Sa retraite
00:51:18Votre manière de fonctionner, Thomas
00:51:20Peut-être rapidement, c'est de chercher
00:51:22Non pas uniquement une approche performance
00:51:24À 100%
00:51:26Mais le bonheur des athlètes
00:51:28Ensuite, va pouvoir enchaîner
00:51:30Et entraîner des performances
00:51:32Je résume bien ?
00:51:34C'est un très bon résumé
00:51:36Donc, Nadal, c'est ce qu'il dit
00:51:38Il verra bien après les Jeux
00:51:40S'il trouve encore des sentiments
00:51:42À son sport
00:51:44S'il a encore cette once de bonheur
00:51:46Qui pourrait le permettre
00:51:48De continuer
00:51:50Mais à quel prix, j'ai envie de dire
00:51:52Parce qu'il faut aussi que le physique suive
00:51:54Même s'il a envie, le mental est là
00:51:56Il a envie de l'accompagner
00:51:58Marie, est-ce que c'est l'épilogue idéal
00:52:00Pour Nadal ?
00:52:02Le moment de s'en aller en beauté
00:52:04Dans un cadre aussi magnifique
00:52:06À Paris, avec les Jeux Olympiques
00:52:08En y réfléchissant avant d'arriver
00:52:10Je n'étais pas sûre de la question
00:52:12Parce que si c'est ce simple contre Djoko
00:52:14Évidemment que non
00:52:16Je trouve que ce n'est pas du tout à sa hauteur
00:52:18Et à la hauteur du palmarès qu'il a eu
00:52:20Même si on se dit que c'était la terre battue
00:52:22De Roland-Garros
00:52:24Maintenant, si c'est pour sortir
00:52:26Sur un titre de champion olympique
00:52:28En double avec Alcaraz
00:52:30Avec une passation
00:52:32Ça change complètement la donne
00:52:34Mais pas aujourd'hui
00:52:36Elle est là la différence
00:52:38Il lui reste encore quelque chose d'énorme à jouer
00:52:40Parce que ce duo avec Alcaraz
00:52:42Les photos qui tournent
00:52:44Je trouve ça hyper puissant
00:52:46En symbolique les deux
00:52:48Et surtout que sur le premier match
00:52:50C'est Nadal qui tient la baraque
00:52:52Nadal a été énorme sur le match de double
00:52:54Donc si les deux commencent à
00:52:56Si Alcaraz comprend le sport
00:52:58Qu'il est en train de faire
00:53:00C'est-à-dire jouer au double
00:53:02Ça peut donner quelque chose
00:53:04Et du coup si les deux
00:53:06La machine se met en marche
00:53:08Et franchement
00:53:10Terminé, s'il arrive avec une médaille
00:53:12Peu importe la couleur, je ne l'en voudrais pas
00:53:14Mais avec une médaille, les deux sur le podium
00:53:16Nadal, Alcaraz, c'est extraordinaire
00:53:18Je trouve même que je préfère
00:53:20Que Nadal gagne le double
00:53:22Avec le successeur annoncé
00:53:24L'élu
00:53:26Ce serait extraordinaire d'avoir les deux ensemble
00:53:28C'est pour ça que dans sa citation
00:53:30Il dit après les jeux
00:53:32C'est pas fini Paris
00:53:34Rapha, consomme-toi
00:53:36T'as un truc énorme à aller chercher
00:53:38Apprends à jouer Alcaraz au tennis
00:53:40Apprends-lui deux ou trois trucs en double
00:53:42Et après tu y vas
00:53:44Romain, et ensuite Hugo
00:53:46Oui, simplement pour préciser
00:53:48Alcaraz, ils seront en huitième de finale
00:53:50Dès demain d'ailleurs face à la paire néerlandaise
00:53:52Grieg Sport et Kouloff
00:53:54On va suivre ça et je crois qu'on a quand même
00:53:56Tous envie qu'ils aillent au bout
00:53:58C'est un final contre les français
00:54:00On n'a plus rien à ce côté
00:54:02Il y a encore mon fils et Roger Vasselin qui sont en course
00:54:04En double homme, donc pourquoi pas
00:54:06Une finale entre les deux doubles
00:54:08Y'a Djokovic
00:54:10Il a réagi ou pas Romain ?
00:54:12Absolument, Novak Djokovic s'est exprimé par rapport
00:54:14A une éventuelle retraite de Rafael Nadal
00:54:16Et le serbe lui, il a envie que l'un de ses plus grands adversaires
00:54:18Continue évidemment
00:54:20J'espère qu'on se rejouera une ou plusieurs fois
00:54:22Parce que j'ai le sentiment que ça ne peut que profiter
00:54:24A notre sport
00:54:26Comment dire le contraire
00:54:28Il a eu des combats plus difficiles contre lui
00:54:30On n'a pas vu la finale
00:54:32L'Open Australia 2012
00:54:34C'est pour ça qu'on pose la question
00:54:36Pour Nadal
00:54:38Tiens Marie, montre une image
00:54:40C'est vous qui évoquiez ça tout à l'heure
00:54:42Mais honnêtement
00:54:44Il peut se retirer là dessus
00:54:46Cérémonie d'ouverture
00:54:48C'était extraordinaire
00:54:50Il n'arrêtera pas là
00:54:52Non je t'en prie
00:54:54Je ne crois pas
00:54:56Je ne veux pas qu'il arrête là
00:54:58C'est égoïste
00:55:00La manière qu'il a d'en parler
00:55:02Malgré l'âge, malgré tout ce qu'il a gagné
00:55:04C'est un amoureux au tennis
00:55:06C'est un mec qui aime aller sur le court
00:55:08Qui aime vulgairement chier sur le terrain
00:55:10Mais qui souffre
00:55:12C'est aussi un moteur pour lui
00:55:14Tu te rends bien compte
00:55:16Il joue son premier match
00:55:18Avec Alcaraz en double
00:55:20Il rejoue le lendemain en simple
00:55:22Si vraiment il a envie d'abandonner
00:55:24Le premier match en simple, il ne le fait pas
00:55:26Le deuxième tour contre Djokovic
00:55:28Il n'y va pas pour être ridicule
00:55:30Je pense qu'il sait qu'il a encore très loin
00:55:32De ce qu'il était capable de produire
00:55:34On le voit tous malheureusement
00:55:36Mais je pense que dans sa tête
00:55:38Le ressort n'est pas encore brisé
00:55:40Je pense qu'il a encore envie
00:55:42A Stade, il fait finale
00:55:44Il se fait ouvrir en finale
00:55:46Mais il gagne 5 matchs d'affilée
00:55:48Je pense qu'il va tirer encore un an
00:55:50Ou qu'il ira jusqu'à Roland l'année prochaine
00:55:52Au moins pour finir tout seul sur le court
00:55:54Que Roland Garros le célèbre lui
00:55:56Et pas les Jeux Olympiques
00:55:58Mais que ce soit lui qui décide de la fin
00:56:00Rendez-vous dans un an pour reposer la question
00:56:02Est-ce le bon moment
00:56:04Pour Raphaël Nadal après Roland Garros
00:56:06Pour tirer sa révérence
00:56:08Qui attend ?
00:56:10Eh bien nos cavaliers
00:56:12C'est comme ça qu'on dit ?
00:56:14Nos chevaliers
00:56:16Quand on vit champion olympique
00:56:18Comme c'est le cas de l'équipe de France
00:56:20Le concours complet
00:56:22Eh bien une nouvelle médaille d'argent
00:56:24Et on les célèbre ensemble juste après ça
00:56:26Au Club France, on parle de Léon Marchand
00:56:28Est-ce qu'il est prêt à tout rafler dans ses Jeux Olympiques
00:56:30Et puis on reviendra sur cette journée
00:56:32Record historique, 8 médailles aujourd'hui
00:56:34Est-ce qu'on va pulvériser le record de médailles
00:56:36Ou pas, à tout de suite
00:56:46Très heureux de vous accueillir
00:56:48Pour l'équipe du soir spécial Jeux Olympiques
00:56:50C'est le cas tous les soirs pendant ces Jeux
00:56:5222h, 55h, 23h
00:56:54Quand les compétitions sont terminées
00:56:56Vous venez nous retrouver avec plaisir
00:56:58Merci d'ailleurs de venir nous voir
00:57:00Si vous venez pendant les Jeux Olympiques
00:57:02Nous voir nous, c'est que vous êtes vraiment des fidèles de la chaîne d'équipe
00:57:04Pourquoi, il y a quoi d'autre à faire ?
00:57:06On peut faire d'autres choses
00:57:10Ceux qui vont au Club France, c'est sûr
00:57:12On sert au Club France
00:57:14En tout cas, merci d'être fidèles à la chaîne
00:57:16On espère que vous passez de bons moments avec nous
00:57:18Pour débriefer les émotions du jour
00:57:20Vous avez aperçu le Président, Hugo Bonneval
00:57:22Qui passe une bonne soirée
00:57:24Bonjour Président
00:57:26Dictateur, bienvenue à Dictateur
00:57:28Maintenant que je suis là à cette place
00:57:30Je peux dire que je vais m'accrocher pour ne pas y partir
00:57:32Préparez-vous
00:57:34J'essaie bien, c'est pour ça
00:57:36Par contre, le rugby, c'est fini
00:57:38Le rugby, on va le voir dans un instant
00:57:40En jeu express, effectivement
00:57:42Marie Martineau, double médaillée olympique
00:57:44La station, l'équipe, toutes les épreuves
00:57:46Divers que vous suivez sur la chaîne
00:57:48Avec ses commentaires
00:57:50Avec vous, mais ça aide à la presse
00:57:52Depuis qu'elle nous a quitté
00:57:54L'équipe de choc
00:57:56Thomas Bonnevant
00:57:58Je me régale
00:58:00De positionnement
00:58:02Que pour le double
00:58:04Fais gaffe à ton couloir
00:58:06France-Pierron
00:58:08Demain, vous serez à cette place
00:58:10Pour accompagner nos téléspectateurs
00:58:12Historique
00:58:14Les médailles
00:58:16On est à 16 au total
00:58:18Thomas Samuth, préparateur mental de Léon Marchand
00:58:20Notamment Florent Manoudou
00:58:22Je présente votre livre
00:58:24Les 25 règles d'or
00:58:26De la préparation mentale aux éditions
00:58:28Vous nous en parlerez dans quelques instants
00:58:30Dont aurait bien besoin Thomas
00:58:32Quand il joue au paddle
00:58:34Il a des gros problèmes
00:58:36Si c'est au paddle, c'est pas très grave
00:58:38Anne-Sophie Bernadu au Club France
00:58:40Vous nous direz si on va pulvériser
00:58:42Le record de médailles
00:58:44Est-ce que Léon Marchand va tout rafler
00:58:46Dans quelques minutes
00:58:48Mais Anne-Sophie, qu'est-ce qui se passe
00:58:50Dans les minutes qui viennent au Club France
00:58:52Ça s'est un petit peu calmé
00:58:54Déjà Nicolas Gestin continue
00:58:56Son concours de sollicitations médiatiques
00:58:58Ses fidèles supporters bretons
00:59:00Se sont un petit peu écartés
00:59:02De la scène également
00:59:04Mais ça va à nouveau chauffer
00:59:06En tout cas, Tom Trichereau
00:59:08Va pouvoir vous montrer juste derrière
00:59:10On est collés aux barrières
00:59:12On attend les rockstars
00:59:14On attend les athlètes français
00:59:16Les prochains à venir s'aventurer
00:59:18Sur cette scène, ce sont
00:59:20Les Cavaliers, c'est l'équipe masculine
00:59:22De concours complet
00:59:24Eux aussi ont presque terminé
00:59:26Les sollicitations médiatiques
00:59:28On les a croisés déjà, leurs médailles sont autour
00:59:30Ils vont être appelés dans quelques instants
00:59:32Sur cette scène
00:59:34On les accueille avec grand plaisir
00:59:36Pour continuer de fêter cette journée
00:59:38Record historique, jamais depuis 100 ans
00:59:40Et le jeu de 1924, l'équipe de France
00:59:42N'avait décroché 8 médailles
00:59:44La même journée, on est à 16 au total
00:59:46On va faire 3, 2, 1
00:59:48On se tourne tous dans les murs
00:59:50On est deuxième
00:59:52Au tableau des médailles
00:59:54Juste derrière le Japon
00:59:56Si la règle était un peu différente
00:59:58Les Américains ont 20 médailles
01:00:00Ils ont moins d'or
01:00:02Ils ont 3 titres
01:00:04C'est quand même extraordinaire, on est devant les Etats-Unis
01:00:06Devant la Chine
01:00:08Où sont les Etats-Unis et la Chine ?
01:00:10Les Etats-Unis et l'Amérique sont au tableau des médailles
01:00:12Ils sont 6ème les Américains
01:00:1420 médailles, 3 titres
01:00:16Et les Chinois, je les vois pas
01:00:18Ils sont 3ème
01:00:20C'est ça le problème
01:00:22En attendant, on en profite
01:00:24C'est vrai, il y a le handball aussi
01:00:26Il a raison Thomas
01:00:28C'est pas une bonne carrière pour les hommes français
01:00:30Pour les garçons
01:00:32C'est mauvais
01:00:34On le verra dans le jeu express
01:00:36Le journal, l'équipe avait fait des pronostics
01:00:38Au jour le jour
01:00:40Et le journal arrivait à 75 médailles au total
01:00:42On pensait que c'était beaucoup
01:00:44Comme Claude Nesta vous disait
01:00:4680, on le prenait pour un fou
01:00:48On est déjà à 16
01:00:50Après ce début de compétition
01:00:52Le record, c'est combien Romain ?
01:00:54C'est 43
01:00:56Oui, absolument
01:00:5843 médailles et notamment le record de médaille d'or
01:01:00C'est 15 titres à Atlanta
01:01:02C'est ce qu'il va me demander
01:01:04C'est votre spécial
01:01:0815 titres à Atlanta aussi c'est le record
01:01:10Aux Etats-Unis en 96
01:01:12Je pense qu'il y a quand même de très bonnes chances
01:01:14Pour que ce soit dépassé à Paris cette année
01:01:16Est-ce que vous pensez qu'on va pulvériser
01:01:18Ce record de médailles
01:01:20Tel que c'est parti là ?
01:01:22C'est bien parti
01:01:24Thomas dit oui
01:01:26Je pense qu'on va le battre
01:01:28Après les 75 médailles affichées
01:01:30En deuxième semaine, il va falloir aller gratter
01:01:32C'était au jour le jour
01:01:34Et même on est à plus de médailles
01:01:36Par rapport aux pronostics de l'équipe
01:01:38Je suis tout à fait d'accord
01:01:40Il n'y a aucun problème avec ça
01:01:42Il nous reste beaucoup d'épreuves de judo
01:01:44Il reste l'escrime
01:01:46Mais après, une fois arrivé
01:01:48La gymnastique et l'athlétisme
01:01:50Il ne va pas falloir chômer
01:01:52Mais on a d'autres choses
01:01:54On a l'escalier 3, on a l'albénix
01:01:56Du taekwondo, du breaking
01:01:58Vous pensez qu'on va le pulvériser ce record ?
01:02:00En nombre de médailles, j'en suis sûre
01:02:02Il y a un effet à son domicile
01:02:04Je ne sais plus qui était venu avec des chiffres l'autre jour
01:02:06Mais quand tu accueilles une compétition
01:02:08On avait un peu peur de ça sur la première journée
01:02:10Notamment avec le handball
01:02:12On avait l'impression
01:02:14De lancer un peu l'égio
01:02:16Et là, on a l'impression que ça tourne
01:02:18Quand tu accueilles la compétition à domicile
01:02:20Tu fais des médailles en plus
01:02:22En revanche, les nombres de médailles d'or
01:02:24Le record, c'est le nombre de médailles au global
01:02:26C'est pour l'or que je suis un peu plus sceptique
01:02:28On l'a vu en judo, ça coince un peu
01:02:30Pour l'instant, il n'y a pas assez d'or
01:02:32Vendredi soir quand même
01:02:34J'espère !
01:02:36J'espère !
01:02:38Il y a du monde
01:02:40Je disais pareil lundi
01:02:42Chirin, Nefeze
01:02:44Mais les japonais sont plus forts chez les légers que chez les loups
01:02:46Ça va le faire
01:02:48Il a suivi des championnats du monde de judo
01:02:50A de nombreuses...
01:02:52Ceinture à trou
01:02:54Boucle en métal
01:02:56Du karaté jaune et rouge
01:02:58A 8 ans
01:03:00On a tous fait du judo
01:03:02C'est plus une garderie qu'autre chose
01:03:04J'ai fait du judo jaune
01:03:06J'en ai fait 6 mois
01:03:08Est-ce que j'ai déjà fait du judo ?
01:03:10Non, jamais
01:03:12Je fais un peu de gym
01:03:14Du reste, les seuls billets que j'ai pris pour aller voir une épreuve
01:03:16C'est la gym
01:03:18C'est fantastique
01:03:20Si tu as l'occasion de voir Simon Biles
01:03:22Si vous ne voulez plus de vos billets pour la gym
01:03:24Je vous les achète
01:03:26Non, non, non
01:03:28Mais Saoud il a ses petits moments
01:03:30Qui est le DJ demain ?
01:03:32Il a ses petits moments
01:03:34Si vous n'avez pas le temps d'y aller
01:03:36Je vous les achète
01:03:38Pour Simon, j'aimerais bien y aller
01:03:40Simon Biles
01:03:42On est en France
01:03:44On les a interviewés
01:03:46Les uns après les autres au Club France
01:03:48Ils le disent tous
01:03:50Un espèce de truc qui te porte
01:03:52Qui te fait transcender
01:03:54Qu'ils n'arrivent pas à expliquer
01:03:56Mais qui donne des ailes
01:03:58C'est génial
01:04:00Je pense que le fait que sur les premières compétitions
01:04:02On ait réussi à gagner des médailles
01:04:04Et certaines médailles d'or
01:04:06Le fait que les gens et les autres athlètes
01:04:08Voient comment ça se passe
01:04:10La ferveur et comment les athlètes sont accueillis
01:04:12Je pense que pour les autres qui ne sont pas encore entrés en compétition
01:04:14Qui sont en train de se battre pour une médaille
01:04:16Ils se disent
01:04:18Nous aussi on veut goûter à la part du gâteau à la fin
01:04:20Qui a l'air en tout cas exceptionnel
01:04:22Regardez les cavaliers
01:04:24Ils vont vivre un moment exceptionnel
01:04:26Ils sont en direct, ils sont accueillis au Club France
01:04:28J'imagine que ce que dit Hugo
01:04:30Ca résonne
01:04:32Ca résonne parce que je l'ai entendu
01:04:34De la bouche ce matin
01:04:36De Léon
01:04:38On ne s'était pas vu hier soir
01:04:40Léon Marchand
01:04:42On s'est vu tranquillement ce matin
01:04:44Il m'a dit qu'il y avait une telle ferveur
01:04:46C'est un petit tout doux
01:04:48Mais ça étouffe aussi les autres nations
01:04:50Il a senti
01:04:52Lui ça l'a boosté
01:04:54Les autres ils se sentaient écrasés par rapport à ça
01:04:56J'étais à la piscine
01:04:58Hier pour me rendre compte
01:05:00De l'ambiance
01:05:02Derrière la télé on sent qu'il se passe quelque chose
01:05:04Mais le vivre de l'intérieur
01:05:06J'étais estomaqué
01:05:08Ca a été un truc dans ma vie
01:05:10J'avais jamais vu ça dans un bassin
01:05:12Et une ferveur populaire
01:05:14Avec la France qui soutient
01:05:16Nos sportifs français
01:05:18J'ai trouvé ça hyper émouvant
01:05:20J'étais beaucoup plus touché
01:05:22Emotionnellement en entrant dans le bassin
01:05:24Ils ont commencé à scanner le prénom de Léon
01:05:26Un quart d'heure avant son épreuve
01:05:28Plutôt qu'à la fin
01:05:30Parce que je ne m'attendais pas à ça
01:05:32Parce que tu savais que c'était plié ?
01:05:34Non non
01:05:36Il n'y a rien de plié
01:05:40On ira plus loin dans votre échange
01:05:42Avec Léon Marchand aujourd'hui
01:05:44Le moment où vous avez permis à Léon Marchand
01:05:46De se reconnecter avec son sport
01:05:48Au moment où il était en dépression
01:05:50Il s'interrogeait sur la suite de sa carrière
01:05:52On était en 2020 à ce moment-là
01:05:54C'est le moment des cavaliers maintenant
01:05:56Vice-champion olympique
01:05:58Karim Lagouague
01:06:00Stéphane Landois
01:06:02Et Nicolas Toussaint
01:06:04Ça y est je le vois
01:06:06Ils sont juste devant moi
01:06:08Vous savez quoi que la France
01:06:10On va faire tous ensemble
01:06:12Un compte à rembours
01:06:14Tous avec moi que la France
01:06:1610, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1
01:06:2010, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1
01:06:26Et c'est parti
01:06:28Une ovation pour ces 3 cavaliers
01:06:32Nicolas, Karim et Stéphane
01:06:5010, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 3, 2, 1
01:06:54Et c'est parti
01:06:56Une ovation pour ces 3 cavaliers
01:06:58Nicolas, Karim et Stéphane
01:07:0010, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 2, 1
01:07:02Et c'est parti
01:07:04Une ovation pour ces 3 cavaliers
01:07:06Nicolas, Karim et Stéphane
01:07:0810, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 2, 1
01:07:10Et c'est parti
01:07:12Une ovation pour ces 3 cavaliers
01:07:14Nicolas, Karim et Stéphane
01:07:1610, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 2, 1
01:07:18Et c'est parti
01:07:20Une ovation pour ces 3 cavaliers
01:07:22Nicolas, Karim et Stéphane
01:07:2410, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 2, 1
01:07:26Et c'est parti
01:07:28Une ovation pour ces 3 cavaliers
01:07:30Nicolas, Karim et Stéphane
01:07:3210, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 2, 1
01:07:34Et c'est parti
01:07:36Une ovation pour ces 3 cavaliers
01:07:38Nicolas, Karim et Stéphane
01:07:4010, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 2, 1
01:07:42Et c'est parti
01:07:44Une ovation pour ces 3 cavaliers
01:07:46Une ovation pour ces 3 cavaliers
01:07:48Les gars sont là
01:07:52En arrière, Nicolas
01:07:54Et en bas
01:07:56Le gars sont là
01:07:58Les gars sont là
01:08:00Et le gars sont là
01:08:02Le gars sont là
01:08:0410, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 2, 1
01:08:06Et c'est parti
01:08:08Une ovation pour ces 3 cavaliers
01:08:10Nicolas, Karim et Stéphane
01:08:1211, 9, 8, 7, 6, 5, 4, 2, 1
01:08:14Les garçons, venez me rejoindre.
01:08:27Vice-champions Olympique d'Ontario, Karim Lagouague, Stéphane Landoy et Nicolas Touzin.
01:08:32Le concours complet, c'était ce matin, pour l'une des huit médailles du jour pour l'équipe de France.
01:08:38D'ailleurs, ils se sont présentés au micro.
01:08:40Dan-Sophie, il y a quelques instants.
01:08:43Écoutons-le, puisqu'on entend bien.
01:08:45Écoutons nos cavaliers.
01:08:47Voilà, ça, c'est une belle équipe.
01:08:53Un tonnerre d'applaudissements, mesdames et messieurs, pour le coach et le DTM de cette équipe de France.
01:08:59Oui, là, on va faire le staff.
01:09:02Dernier écheveau, je te le dis, moi.
01:09:04Alors, un petit mot pour l'écheveau.
01:09:06Jeter le cheval dans la foule.
01:09:08Parce que la monture est très importante.
01:09:11Non, mais c'est vrai que les moments qu'on vit là, ça mesure à quel point votre vie est transformée
01:09:19quand vous décrochez une médaille olympique, évidemment.
01:09:22Ce sont des instants magiques pour nos cavaliers vice-champions olympiques.
01:09:26Et on va les écouter dans quelques instants.
01:09:28Ah ouais, ça part en Marseillaise.
01:09:30Ah, Marseillaise.
01:09:31Alors, écoute-toi la Marseillaise, et ensuite, on découvrira les autres faits du jour.
01:09:38Et quand j'ai oublié c'est l'autre combat, le combat de l'écheveau.
01:09:42Aux armes, citoyens !
01:09:45On est en matériau, marchons, marchons.
01:09:53Rien ne sera plus après l'évolution.
01:10:00Applaudissements.
01:10:06Les garçons, on va se retourner.
01:10:08On va se retourner tous dans ce sens-là.
01:10:11On va retourner au Club France dans quelques instants.
01:10:13On parle de Léo Marchand.
01:10:14Est-ce qu'il est prêt pour tout rappeler dans ses Jeux olympiques ?
01:10:16Thomas Samut, son préparateur mental, nous racontera comment il a sauvé Thomas.
01:10:22Oui, quand même, Léo Marchand.
01:10:25C'est un bien grand mot, quand même.
01:10:26Oui, mais c'est quand même, c'était un peu ça l'histoire.
01:10:28Léo Marchand qui était à deux doigts d'arrêter sa carrière.
01:10:31Et comment vous l'avez reconnecté à son sport.
01:10:33Comment vous l'avez redonné en vie de se consacrer à cette quête de médailles
01:10:39et à cette vie de champion en natation pour Léo Marchand.
01:10:42Avant cela, Romain, vous êtes prêt pour le jeu express ?
01:10:45On est prêt, on est prêt.
01:10:46L'effet marquant du jour.
01:10:47On commence par le hand et malheureusement, pas bien le hand.
01:10:52Malheureusement, effectivement, ça se passe très mal pour l'équipe de France masculine de handball.
01:10:56Deuxième défaite en deux matchs pour les champions d'Europe 2024 en titre.
01:11:00Ça faisait 28 ans que ce n'était pas arrivé aux Jeux olympiques pour une équipe masculine de handball.
01:11:04Deux défaites de suite.
01:11:05Un revers donc 27 à 22 face à la Norvège.
01:11:08Seul Dika même a surnagé.
01:11:10La première mi-temps notamment a été catastrophique.
01:11:13Le point positif, c'est que la qualification n'est pas compromise.
01:11:15Il reste trois matchs de poule face à l'Égypte, l'Argentine et l'Hongrie.
01:11:19Mais grosso modo, il va falloir gagner les trois.
01:11:21Surtout que le classement est déterminant par rapport au quart de finale.
01:11:23Et pour ne pas avoir donc un quart de finale trop compliqué face aux équipes de l'autre groupe.
01:11:28Comment a-t-on réagi du côté de l'équipe de France avant de vous demander si vous êtes inquiets quand même ?
01:11:31On a assez mal réagi mais on a aussi essayé de positiver, de ne pas tout noircir.
01:11:36Notamment du côté d'Eloïm Prandi.
01:11:38Regardez ce qu'a déclaré l'arrière gauche de l'équipe de France.
01:11:40Il y a l'envie, le caractère.
01:11:42Mais je ne ressens pas le plaisir dans notre jeu.
01:11:44Je ne ressens pas qu'on joue les Jeux chez nous à Paris devant notre public dans la plus grande compétition du monde.
01:11:49Mais j'ai confiance en tous ces mecs.
01:11:51Je sais qu'on va rectifier le tir.
01:11:53Elle est forte cette déclaration.
01:11:55C'est-à-dire qu'ils tirent la sonnette d'alarme au minimum.
01:11:57C'est au minimum parce qu'on ne reconnaît absolument pas cette équipe de France.
01:12:00Rien ne va.
01:12:02Attaque, défense, rien ne va.
01:12:04Rémi Lys est totalement absent des débats alors que c'est l'un des joueurs les plus importants.
01:12:07Parce que pour moi Carabatici est moins important aujourd'hui que Nadim Rémi Lys.
01:12:11C'est un sur six aujourd'hui Rémi Lys.
01:12:12Il est transparent.
01:12:13Heureusement Vincent Gérard a fait un match plutôt potable aujourd'hui.
01:12:16Contrairement à ce qu'il s'était passé au premier match.
01:12:18Mais ils se sont mis connaissables.
01:12:19Moi je trouve ça très inquiétant parce que là c'est le Royal Rumble notre poule.
01:12:24Ce n'est pas Michel Platini qui donne une interview pour arranger la Coupe du Monde 98.
01:12:27Il y a l'Egypte, l'Argentine.
01:12:28L'Egypte c'est le prochain match.
01:12:30Ça reste quand même une nation importante au Rumble.
01:12:32Et vu notre niveau, je n'ai confiance sur aucun des adversaires.
01:12:36Donc ça va être très compliqué.
01:12:37Les deux premières places vont être très compliquées dans cette phase de poule.
01:12:40Donc on pourrait avoir la Suède ou l'Allemagne en quart de finale si on gagne tous nos prochains matchs.
01:12:45C'est très très compliqué.
01:12:46Et là la déclaration de Prandit, je viens de la prendre à l'instant.
01:12:49Elle est assez forte de sens.
01:12:51C'est un problème mental.
01:12:52Et c'est étonnant pour une équipe qui a tout gagné, qui survole les débats comme ça.
01:12:55Ils sont lents, ils sont lourds.
01:12:57Et si lui dit on n'est pas dedans.
01:12:58Alors que le public est là.
01:12:59À un moment donné j'ai mis le son à fond pour voir si le public les portait.
01:13:01Et ils sont transcendés.
01:13:02Le public fait tout son job.
01:13:04Et eux ils sont inexistants.
01:13:05Et mentalement il y a un vrai...
01:13:06Justement Thomas.
01:13:07Qu'est-ce qu'on fait ?
01:13:08Mentalement et collectivement.
01:13:09Comment est-ce qu'on fait ?
01:13:10On rappelle que vous travaillez avec le Stade Brestois également au football.
01:13:13Comment est-ce qu'on se reconnecte quand on a l'impression d'avoir perdu le fil comme ça ?
01:13:17Wifi.
01:13:22En termes de collectif évidemment.
01:13:24Pas spécialement pour cette équipe blonde.
01:13:26Peut-être qu'avec des déclarations comme celle-ci.
01:13:29Il va peut-être y avoir un électrochoc.
01:13:31Mais à part un électrochoc, je ne vois pas trop.
01:13:34Des prises de conscience des uns et des autres.
01:13:36Mais je pense qu'ils n'ont pas besoin de préparation mentale spécifique.
01:13:39Ils ont de l'expérience.
01:13:41Ils sont quand même champions d'Europe en titre.
01:13:44Ils ont fait des choses.
01:13:45On les pensait éliminés je crois.
01:13:48À la toute dernière seconde, ils ont essayé de se qualifier.
01:13:51Ils ont de la ressource.
01:13:53Il suffit d'une victoire pour relancer le groupe.
01:13:56Il ne faut pas trop les enterrer.
01:13:59Ça reste une énorme équipe.
01:14:01C'est pour ça que je leur laisse le bénéfice du doute.
01:14:03Le nombre de balles perdues sur les deux premiers matchs.
01:14:06Ils ont eu un effectif.
01:14:08Il y a des mecs qui revenaient de blessures, qui n'ont pas fait les matchs amicaux.
01:14:10Des mecs qui reviennent, qui tournent.
01:14:12Je n'ai pas ce seul piège, ça qu'on se dise.
01:14:15Il y a des mecs qui ont tout gagné.
01:14:17Au bout d'un moment, il y en a qui bossent aussi.
01:14:19Je ne te parle pas des adversaires.
01:14:21Je te parle de ce qu'ils sont capables de proposer et de ce qu'ils proposent actuellement.
01:14:24Je pense que je leur laisse le bénéfice du doute pour cette simple raison.
01:14:28Ils ont tout connu.
01:14:30Ils savent que ça ne va pas.
01:14:32Ils n'ont pas connu des jeux à la maison.
01:14:34Là, c'est le petit jeune qui balance.
01:14:35Ce n'est pas l'ancien.
01:14:36Là, ça va secouer dans les vaisseaux.
01:14:38Le petit jeune qui a sauvé l'équipe de France il y a un an sur le monde.
01:14:41C'est pour ça que ça va secouer à l'intérieur.
01:14:44Je pense qu'un mec comme Nicolas Karabatic,
01:14:46il ne peut plus porter l'équipe de France devant de balle sur ses épaules
01:14:49comme il l'a fait pendant 20 ans.
01:14:51C'est aussi aux autres autour de lui de se dire à un moment,
01:14:53maintenant, si ça ne marche pas avec les vieux…
01:14:56C'est qui le patron de cette équipe ?
01:14:58Je ne suis pas coach.
01:15:00Zika même fait partie des cas.
01:15:02Parce qu'il était bon aujourd'hui.
01:15:03Le patron, le vrai patron.
01:15:05Le patron, c'est lui et c'est Karabatic.
01:15:07Tu vois ce que je veux dire ?
01:15:08Si le patron, c'est lui,
01:15:11ça sera lui le chef.
01:15:12Il a tout gagné, il a tout perdu.
01:15:14Son prochain match ?
01:15:15Lui, tu ne peux rien lui enlever.
01:15:17Prochain match pour l'équipe de France.
01:15:19C'est l'Egypte.
01:15:21À suivre.
01:15:22En tout cas, on s'attache à cette équipe de France sur ce parcours.
01:15:25Il y a une passation de pouvoir entre les anciens et les jeunes.
01:15:30Ça, ça se fait aussi dans un vestiaire.
01:15:32C'est dans des moments aussi un peu dans l'adversité
01:15:34que tu vois aussi les mecs autour de toi qui sont capables de relever la tête
01:15:36et de dire les anciens, ils nous ont portés pendant 10 ans.
01:15:38Maintenant, à nous aussi de les tirer avec nous,
01:15:40de leur redonner un peu d'énergie, des ondes positives.
01:15:43Pour les jeunes aussi, c'est facile.
01:15:45Les anciens, ils ont plus de mal avec les réseaux sociaux,
01:15:49avec le public, avec tout ça.
01:15:50Les jeunes aujourd'hui, tu vis dedans.
01:15:52Tu es là H24 avec ton téléphone branché.
01:15:54Donc, c'est plus facile de te servir de ce qu'il y a autour de toi
01:15:57et aussi peut-être un peu amener les anciens en disant
01:15:59on prend tout ce qu'il y a à prendre.
01:16:01Par contre, on est chez nous, on ne lâche plus rien jusqu'à la fin.
01:16:03L'équipe de France de Hantes face à l'Egypte pour le troisième match.
01:16:06J'espère qu'il y aura une réaction pour ce sport qui nous a offert
01:16:09tant de bonheur aux Jeux Olympiques.
01:16:11Ils vivent leur bonheur à eux à domicile.
01:16:13On reprend le sourire avec le tir à l'arc, Romain ?
01:16:16Le tir à l'arc avec une superbe médaille d'argent
01:16:19aujourd'hui pour les archers français.
01:16:21Thomas Chirot, Jean-Charles Valadon et Baptiste Hadid
01:16:24que vous voyez ici célébrés au Club France.
01:16:26Ils ont vécu une belle journée avec de beaux matchs
01:16:28en quart de finale face à l'Italie.
01:16:30En demi-finale face à la Turquie, il y a eu un peu de suspense.
01:16:32Ils s'en sont sortis à chaque fois.
01:16:33Malheureusement, la marche était trop haute
01:16:35en finale face à l'ogre sud-coréen.
01:16:37La Corée du Sud en tir à l'arc.
01:16:39C'est tout simplement le pays phare au niveau mondial.
01:16:42Il n'y avait rien à faire.
01:16:43Mais en tout cas, ça reste une superbe médaille.
01:16:45On va notamment écouter la réaction de Jean-Charles Valadon,
01:16:47le plus âgé de cette équipe.
01:16:49Le taulier, lui, qui était notamment médaillé d'argent à Rio.
01:16:52Aujourd'hui, on réalise bien sûr, on est monté sur un podium olympique.
01:16:55C'était notre objectif de la journée.
01:16:57On s'est donné les moyens pour le faire, pour réussir
01:16:59avec des moments très compliqués, très intenses
01:17:01comme le barrage en demi.
01:17:03Mais aujourd'hui, on a réalisé
01:17:05qu'effectivement, c'était la première médaille
01:17:07par équipe homme du tir à l'arc.
01:17:10Aujourd'hui, les compteurs sont ouverts là-dessus.
01:17:12C'est la seule qui manquait à la France
01:17:14sur ce côté de sport et du tir à l'arc moderne.
01:17:18Avec les générations, vous parliez des vieux et des anciens.
01:17:21Là, ça marche bien au niveau du tir à l'arc.
01:17:23L'avenir et non pas le passé.
01:17:25Parce que Valadon, on ne va pas l'envoyer à la retraite tout de suite.
01:17:27Non, l'expérience.
01:17:29L'expérience.
01:17:31Si je peux en placer une, le coach, c'est Romain Giroud
01:17:34qui était aux derniers Jeux Olympiques
01:17:36et qui était de l'autre côté, qui était athlète.
01:17:38C'est lui qui est devenu le coach de cette équipe de France.
01:17:41Je pense que ces trois gars-là,
01:17:43lui, on doit une fière parce qu'il a su
01:17:45les amener jusqu'ici.
01:17:47C'est bien de ne pas oublier les autres.
01:17:50C'était très bien de le placer comme ça, Marie.
01:17:53On enchaîne avec le basket, l'entrée en lice
01:17:56de l'équipe de France féminine.
01:17:58Une entrée en lice réussie pour les Françaises
01:18:00de Métoupane face au Canada avec une large victoire
01:18:02grâce notamment à une défense de fer.
01:18:04Comme leurs homologues masculins, victoire et un succès.
01:18:07Même 75 à 54 avec notamment un 23 à 2
01:18:11dans le deuxième quartan.
01:18:13Les filles avaient vraiment mis les barbelés.
01:18:15Elles prennent les commandes de leur groupe.
01:18:17Prochaine adversaire jeudi, le Nigeria.
01:18:19Ce sera un adversaire extrêmement sérieux.
01:18:21Il y a eu un autre France-Canada ce soir
01:18:23mais celui-ci s'est mal passé.
01:18:25C'est en rugby à 7 pour l'équipe de France féminine.
01:18:28Elle aussi espérait le titre comme chez les masculins
01:18:31d'Antoine Dupont entre autres.
01:18:33Malheureusement, à la surprise générale,
01:18:35les Français se sont inclinés en quarts de finale
01:18:37face au Canada 19 à 14.
01:18:39Les vice-championnes olympiques en titre
01:18:41qui ont été trop bouillonnes ce soir.
01:18:43Alors que pourtant, elles avaient gagné
01:18:45leurs trois matchs de poules.
01:18:46Elles avaient effectué plusieurs démonstrations
01:18:48avec un écart moyen de 31 points.
01:18:50Hugo, comment est-ce qu'on peut expliquer
01:18:52cette défaite en quarts de finale ?
01:18:55Je ne sais pas.
01:18:57Je ne suis pas à l'intérieur.
01:18:59Je ne sais pas comment elles ont vécu ça.
01:19:01Ce que je sais, c'est que c'était une fête exceptionnelle
01:19:03pour le rugby féminin.
01:19:04C'était la première fois, que ce soit à 15, à 7, à 13,
01:19:06qu'il y avait 70 000 personnes pour du rugby féminin.
01:19:09C'était quelque chose d'assez exceptionnel pour elles.
01:19:12Après, à la différence des garçons,
01:19:15je pense qu'elles étaient dans les favoris.
01:19:17Elles étaient favoris.
01:19:18Une vice-championne olympique en titre, on le rappelle.
01:19:20Une vice-championne olympique.
01:19:22Elles sortent de poules avec trois victoires,
01:19:24comme c'est écrit là.
01:19:26De la marge, quoi.
01:19:28Tu te rends compte que sur ce quart de finale,
01:19:30il y a des approximations, beaucoup de ballons tombés.
01:19:32Je trouve qu'il y a beaucoup de fautes de mains.
01:19:34C'est une vraie victoire tactique du Canada.
01:19:36Elles ont été très fortes.
01:19:38Elles n'ont pas concentré de filles sur les rucks.
01:19:41Elles nous ont totalement pris sur l'heure.
01:19:43C'est ce qui a fait notre grosse force
01:19:45sur les matchs de poules.
01:19:47J'ai peur de décorcher son nom,
01:19:49mais Okemba, c'est comme ça qu'elle s'appelle,
01:19:51elle s'est intéressée dans un match.
01:19:53Elle a été monstrueuse sur toute la phase de poules.
01:19:55On s'est fait piéger sur le premier ballon
01:19:57où elles arrivent à le rechercher à la ligne.
01:19:59Après, on retourne le score.
01:20:01Ce sont des exploits individuels,
01:20:03mais collectivement, sur ce quart de finale,
01:20:05il y a trop de fautes de mains.
01:20:07Il faut je ne sais pas combien d'en avant.
01:20:09Défensivement, elles prennent des essais bêtes
01:20:11autour des rucks.
01:20:13Ce sont des fautes d'inattention, de stress.
01:20:15Est-ce qu'étant programmées comme ça
01:20:17pour déjà demain, en l'occurrence,
01:20:19les demi, est-ce qu'elles pensaient
01:20:21déjà à demain ?
01:20:23Je ne sais pas.
01:20:25C'est triste parce que le rugby français
01:20:27avait bien besoin d'une succession
01:20:29de quelque chose de positif.
01:20:31Malheureusement, ce qui se passe,
01:20:33ça fait quelques mois.
01:20:35Des grosses désillusions de ce début
01:20:37de Jeux olympiques, malheureusement,
01:20:39pour le rugby à 7 féminins.
01:20:41Elles joueront un match de classement
01:20:43face à l'Irlande demain à 15h pour le public.
01:20:45Ça sera l'occasion de les revoir.
01:20:47Le volet, malheureusement.
01:20:49La marche était trop haute pour l'équipe
01:20:51de France féminine.
01:20:53C'est la première participation
01:20:55de l'histoire de l'équipe de France féminine
01:20:57en volet.
01:20:59Elles affrontaient la Serbie ce soir.
01:21:01Double championne du monde en titre.
01:21:03Une défaite sèche en 3-7, 25-17,
01:21:0525-17, 25-22.
01:21:07Malheureusement,
01:21:09la victoire était quasiment impossible
01:21:11aujourd'hui pour l'équipe de France féminine.
01:21:13C'est l'occasion d'expliquer
01:21:15d'où viennent les équipes.
01:21:17L'exploit pour les Français, c'est d'être présente
01:21:19au jeu. Le volet féminin,
01:21:21l'équipe de France féminine qui se construit
01:21:23depuis quelques années, qui monte
01:21:25au classement mondial et qui commence
01:21:27à faire partie des nations importantes,
01:21:29d'où la présence aux Jeux olympiques.
01:21:31On ne doute pas que d'ici le prochain jeu,
01:21:33ce sera encore mieux avec peut-être
01:21:35la possibilité de jouer une médaille.
01:21:37La voile, Romain.
01:21:39Oui, un petit peu de voile avec notamment
01:21:41le duo, le tandem entre
01:21:43Charline Picon et Sarah Steyart
01:21:45pour qui ça se passe extrêmement bien du côté
01:21:47de Marseille après deux jours
01:21:49en 49ers. Elles sont en tête
01:21:51du classement après deux jours de série.
01:21:53Elles ont survolé la compétition
01:21:55pendant ces deux premiers jours. Il y aura encore
01:21:57deux jours de série, puis
01:21:59les courses pour la médaille. On voit
01:22:01ici la réaction de Charline Picon.
01:22:03On a fait la moitié du championnat, on a coché
01:22:05notre casse d'être en vie ce soir pour jouer
01:22:07ce qu'on veut jouer. Il peut se passer beaucoup de choses,
01:22:09vraiment beaucoup de choses. On y croit
01:22:11pour le tandem français.
01:22:13Elles sont plus qu'être en vie, elles sont en tête.
01:22:15Je pense que c'était inespéré parce qu'elles ont
01:22:17même eu un petit peu de mal à se qualifier d'ailleurs,
01:22:19même par rapport à l'autre tandem français lors des phases
01:22:21de qualification. Rapidement, Romain, la suite.
01:22:23Oui, on avait notamment aussi
01:22:25du tennis de table pour montrer les frères Lebrun.
01:22:27Très important. Ils se sont qualifiés tous les deux
01:22:29ce soir pour les huitièmes de finale.
01:22:31Alors Félix Lebrun a dû un petit peu s'employer
01:22:33face au Suédois Anton Kalberg.
01:22:35Il a gagné son match 4-7-2
01:22:37face à ce Suédois accrocheur.
01:22:39En revanche pour Alexis Lebrun, facile
01:22:41victoire 4-7-0 face à un Croate.
01:22:43Donc tout va bien. Félix Lebrun qui pourrait
01:22:45retrouver demain une légende de
01:22:47la discipline, Otch Varov, l'Allemand.
01:22:49Natation pour terminer ? Oui, un petit peu de
01:22:51natation avec Johan Ndoye-Brouard qui disputait
01:22:53ce soir la finale du 100 mètres d'eau.
01:22:55Malheureusement, il a terminé septième alors
01:22:57qu'il avait réalisé un excellent temps en demi-finale.
01:22:59On espérait même qu'il puisse accrocher
01:23:01un podium. On va voir sa réaction
01:23:03au micro de France Télévisions. C'était une finale olympique
01:23:05donc j'ai essayé de partir plus vite que d'habitude.
01:23:07Je n'ai pas tenu. Je n'arrivais plus
01:23:09à tourner les bras. J'ai craqué mais j'ai tenté.
01:23:11Donc je ne peux pas être déçu. Je ne regrette
01:23:13rien. Pour recontextualiser un petit peu,
01:23:15Johan Ndoye-Brouard est un nageur qui a l'habitude
01:23:17de faire la différence sur le deuxième 50 m.
01:23:19Il savait que ça n'aurait pas été possible s'il partait
01:23:21avec le même rythme que d'habitude. Donc comme il explique,
01:23:23il a tenté. Ça n'a pas fonctionné. Dernière petite
01:23:25séquence pour nous ? On peut avoir une dernière
01:23:27petite séquence avec notamment une autre nageuse.
01:23:29C'est Marie Wattel. Regardez,
01:23:31en fait, elle est revenue au village olympique
01:23:33après ses courses et
01:23:35elle n'avait pas l'air enchantée par la nourriture
01:23:37de la cantine.
01:23:49On a pas mal
01:23:51parlé du restaurant et notamment de
01:23:53certains problèmes d'approvisionnement. Il faut quand même
01:23:55préciser que Paris 2024 est en train de
01:23:57tout faire pour faire en sorte que ça aille
01:23:59beaucoup mieux, notamment par rapport aux oeufs
01:24:01qui manquaient, selon les athlètes.
01:24:03On a un peu de place à la cantine.
01:24:05Là, c'est parce qu'il a gaspillé trop.
01:24:07Là, quand tu vois son assiette, la pauvre...
01:24:09On ne sait pas peut-être si c'est bon.
01:24:11On parle de natation. Léon Marchand
01:24:13qui va de nouveau concourir demain pour aller
01:24:15incroyable
01:24:17patrire classé.
01:24:19Léon Marchand qui va s'attaquer aux 200 m
01:24:21demain pour la suite
01:24:23de son parcours.
01:24:25On va accueillir... Tiens, Ganesh, il est déjà là.
01:24:27Ganesh Péduron. On va accueillir...
01:24:29Il était avec nous hier soir. Ancien
01:24:31nageur, champion de France à 2000 reprises.
01:24:33Le sosie de Romain Aran.
01:24:37On peut faire une double fenêtre ?
01:24:41L'expression du visage.
01:24:43On m'a dit ça tout à l'heure.
01:24:45Je n'étais pas totalement convaincu.
01:24:47Il y a un peu de ça.
01:24:49Vous devriez être contents quand même.
01:24:51Je trouve que c'est plutôt un compliment.
01:24:55Peut-être moins pour lui, je reconnais.
01:24:57Il faut être honnête.
01:24:59Merci d'être là, Ganesh.
01:25:01On va parler de Léon Marchand au lendemain
01:25:03de sa première médaille d'or sur le 400 m
01:25:054 nages. Demain, ce seront les séries
01:25:07du 200 m papillon et du 200 m
01:25:09brasse. Avant de vous demander
01:25:11si vous pensez qu'il est prêt à
01:25:13rafler la totalité des médailles.
01:25:15Prêt à tout rafler. Lui qui vise
01:25:174 médailles d'or individuelles et 1 médaille d'or
01:25:19par équipe. On a la chance
01:25:21d'avoir Thomas Samuth qui est le préparateur
01:25:23mental de Léon Marchand.
01:25:25Florent Manoudou également. Je vous
01:25:27repropose son livre aux éditions
01:25:29Solar, les 25 règles
01:25:31d'or de la préparation mentale.
01:25:33Passionnant pour découvrir
01:25:35l'envers du décor de cette préparation
01:25:37mentale. Thomas, on profite de votre présence
01:25:39pour nous raconter la genèse de votre
01:25:41histoire avec Léon Marchand. On est en 2020.
01:25:43Période Covid. Il est
01:25:45perdu. Il est à deux doigts même
01:25:47d'arrêter la natation et d'arrêter sa carrière
01:25:49au bord du burn-out.
01:25:51Et il vous contacte pour sortir
01:25:53de cet impasse. Racontez-nous
01:25:55comment ça s'est passé et comment
01:25:57vous avez commencé à collaborer avec Léon Marchand.
01:25:59Déjà c'est un bon résumé.
01:26:01Merci.
01:26:03Il en avait
01:26:05un peu assez...
01:26:07Alors pas de nager mais c'est plutôt
01:26:09la manière dont il s'y prenait
01:26:11pour
01:26:13obtenir de la performance parce qu'il sortait
01:26:15en fait du super championnat du monde junior
01:26:17où il glane sa première médaille.
01:26:19Et suite à ça, il perd un peu
01:26:21le goût du plaisir. Il est plutôt
01:26:23dans la regaine, dans la rengaine
01:26:25de l'obsession
01:26:27en fait de la
01:26:29médaille, de prouver.
01:26:31Donc il se mettait une grosse
01:26:33pression et puis ça se traduisait
01:26:35au quotidien
01:26:37à la piscine. Donc toujours
01:26:39avec cette boule au ventre.
01:26:41Il était au courant
01:26:43qu'à l'époque je travaillais avec
01:26:45Camille Lacour, avec pas mal d'autres
01:26:47sportifs comme Fred Bousquet.
01:26:49Et donc
01:26:51on a réussi à se contacter. Moi je ne le connaissais pas.
01:26:53Et puis en fait c'est Camille
01:26:55et Fred Bousquet qui m'ont dit
01:26:57que c'était un super mec.
01:26:59Donc on s'est
01:27:01appelés.
01:27:03Et la première chose c'est que
01:27:05moi je me suis rendu compte que
01:27:07Léon Marchand
01:27:09souffrait. Il souffrait parce que
01:27:11il se mettait
01:27:13les mauvaises modalités ou même
01:27:15inconsciemment
01:27:17aussi son entourage
01:27:19sans porter de jugement.
01:27:21Mais c'est ça en fait. Le haut niveau,
01:27:23on ne se rend pas compte qu'on se met une pression
01:27:25même sans le vouloir. Et donc il était
01:27:27tombé dedans.
01:27:29Et je ne supporte plus
01:27:31de voir autant de sportifs souffrir.
01:27:33Il avait 18 ans.
01:27:35Donc il n'y avait aucune
01:27:37notion de performance
01:27:39quand on a
01:27:41commencé à échanger.
01:27:43C'était lui redonner
01:27:45le sourire déjà en tant qu'individu
01:27:47et éventuellement après
01:27:49retrouver le goût
01:27:51de la natation. Mais c'était avant tout
01:27:53savoir davantage
01:27:55qui il était parce qu'il subissait les choses
01:27:57aux entraînements. Mais je l'ai tellement connu
01:27:59ça fait quasiment 18 ans que je fais ce métier
01:28:01et c'est un parcours classique
01:28:03j'ai envie de dire. Surtout après une bonne
01:28:05performance où il faut
01:28:07prouver que ce n'était pas un coup de bol
01:28:09qui arrivera peut-être
01:28:11à Nicolas, Justin
01:28:13Petit aparté, moi j'habite à 15 minutes
01:28:15de chez lui donc
01:28:17je suis hyper content pour la Bretagne.
01:28:19Et puis si à l'occasion
01:28:21il veut venir à la maison voir un coup, il serait toujours le bienvenu.
01:28:23Il recrute là.
01:28:25Il refuse
01:28:27des candidatures. Une bolle de cidre
01:28:29et puis une crête et ça repart.
01:28:31François veut venir aussi par contre.
01:28:33Préparation mentale.
01:28:35C'est comme ça on va terminer.
01:28:37Ça veut dire qu'à ce moment-là il est dans un tunnel
01:28:39et qu'il voit tout
01:28:41sombre, qu'il n'arrive pas à trouver
01:28:43de raison d'être heureux au quotidien ?
01:28:45Oui parce que
01:28:47le haut niveau tel qu'il est pratiqué notamment
01:28:49en France est
01:28:51vachement axé sur le résultat.
01:28:53Et souvent on se dit
01:28:55je vais obtenir une médaille, ça va me conférer
01:28:57le droit de m'estimer ou pas.
01:28:59C'est pour ça que ça met une pression
01:29:01incroyable et que
01:29:03quand on a commencé
01:29:05à échanger
01:29:07il me dit mais c'est ça le haut niveau ?
01:29:09Parce que si c'est ça le haut niveau
01:29:11tous les jours avoir cette boule au ventre, moi je préfère
01:29:13arrêter, profiter
01:29:15de mon frère ou de sa famille comme il était
01:29:17tranquille pendant le confinement et là en fait
01:29:19il se régalait. Donc il avait
01:29:21pensé à arrêter.
01:29:23Et je pense qu'il aurait arrêté
01:29:25si par exemple tout le monde lui avait dit
01:29:27le haut niveau c'est ça, il faut apprendre à vivre
01:29:29avec cette boule au ventre. Et moi je lui dis
01:29:31quand il me pose la question
01:29:33et c'est ça le haut niveau ?
01:29:35Non c'est ce qu'on nous apprend.
01:29:37Et je lui dis mais toi
01:29:39au fond de toi t'aimerais être comment ?
01:29:41Il me dit davantage profiter de moi
01:29:43me découvrir davantage.
01:29:45Qu'est-ce qui t'empêche ? Ah oui mais c'est pas dans
01:29:47les codes. Les codes sont faits
01:29:49pour être décodés.
01:29:51Donc on est parti sur cette stratégie
01:29:53là mais qui me caractérise parce que
01:29:55moi je vois en face de moi
01:29:57avant tout des individus
01:29:59épanouis, émancipés
01:30:01plutôt que des champions olympiques
01:30:03mal dans leur peau parce que
01:30:05en se disant mais si je raccroche mes crampons
01:30:07je suis qui ?
01:30:09Ça m'insupporte au possible
01:30:11de pouvoir en 2024 toujours
01:30:13considérer
01:30:15le sportif comme une masse musculaire
01:30:17et pas un individu.
01:30:19Et voilà aujourd'hui une des raisons pour lesquelles
01:30:21Léon cartonne
01:30:23c'est parce qu'il s'est pris en main
01:30:25il est
01:30:27sorti du carcan dans lequel on l'avait mis
01:30:29dans le conditionnement pour tracer
01:30:31son propre chemin. Il a eu
01:30:33le courage de le faire
01:30:35ce qui est dans notre société surtout en France
01:30:37très très très dur.
01:30:39C'est ça où il a été très fort
01:30:41c'est d'oser le faire
01:30:43et il l'a fait et je ne l'encouragerai jamais
01:30:45assez pour continuer ce qu'il est en train de faire.
01:30:47Et vous allez nous raconter pourquoi est-ce que vous êtes
01:30:49confiant sur sa manière de gérer ses Jeux olympiques
01:30:51à domicile et d'aller chercher
01:30:53ces quatre médailles d'or individuelles.
01:30:55Ganesh, est-ce que Léon Marchand
01:30:57tel que vous le connaissez bien Léon également
01:30:59prêt à tout rafler ?
01:31:01L'attente aujourd'hui c'est ça qui est extraordinaire.
01:31:03Peut-être que certains ont découvert
01:31:05vraiment Léon Marchand hier soir
01:31:07après sa médaille d'or et l'étape d'après
01:31:09très rapidement c'est qu'on veut qu'il rafle
01:31:11toutes les médailles.
01:31:13C'est d'ailleurs le tweet du Président Macron hier
01:31:15il parlait de sa médaille d'hier et aussi
01:31:17de celle à venir
01:31:19et déjà il faut profiter de ce titre
01:31:21qui est absolument merveilleux avec une performance exceptionnelle.
01:31:23Il y a beaucoup d'espoir
01:31:25en lui pour ce 200 pâpes et ce 200 brasses
01:31:27demain ça va être la journée peut-être
01:31:29la journée la plus importante de ses Jeux Olympiques
01:31:31où il va devoir gérer 4 courses
01:31:33le 200 pâpes et le 200 brasses
01:31:35le matin et le soir
01:31:37alors que le lendemain il n'aura que 2 courses.
01:31:39Je pense qu'il peut le faire, je pense qu'il peut aller
01:31:41très très vite, il l'a montré avec ce 400 mètres
01:31:434 nages où il a été absolument
01:31:45phénoménal.
01:31:47Maintenant ça va lui demander d'être
01:31:49très fort dans sa récupération
01:31:51dans sa sérénité on l'évoquait
01:31:53et voilà s'il arrive
01:31:55à garder un maximum
01:31:57d'énergie le matin
01:31:59et à se qualifier sans trop de difficulté le soir
01:32:01on peut voir un Léon Marchand
01:32:03double médaillé dans 2 jours.
01:32:05Il y a combien d'écarts entre les 2 courses ?
01:32:07Je crois qu'il y a environ 1h.
01:32:09En finale il y a 1h pour les finales du 200 mètres brasses
01:32:11et du 200 pâpes.
01:32:13A priori les horaires pour les
01:32:15différentes séries
01:32:17200 mètres papillons demain et 200 mètres brasses
01:32:19demain pour Léon Marchand.
01:32:21On poursuit la discussion
01:32:23dans quelques instants.
01:32:25On va rajouter plus que ça
01:32:2710 minutes juste après.
01:32:29On profite de la présence de Thomas Samuel
01:32:31préparateur mental de Léon Marchand
01:32:33pour vous dire à quel point
01:32:35il est prêt à aller tout rafler
01:32:37Léon Marchand pendant ses Jeux olympiques.
01:32:39A tout de suite.
01:32:51Est-ce que c'est ce qu'on chante au Club France
01:32:53où l'on fête les 8 médailles du jour ?
01:32:55L'équipe de France qui compte 16 médailles
01:32:57du jamais vu depuis 1924
01:32:59aujourd'hui avec 8 médailles
01:33:01où on les compte
01:33:03les Jeux absolument historiques
01:33:05qu'on est en train de vivre ensemble.
01:33:07On est heureux de partager toutes ces émotions
01:33:09avec vous dans l'équipe du soir spécial
01:33:11J.O. tous les soirs 22h50-55
01:33:13dès la fin des compétitions.
01:33:15Vous venez nous retrouver pour débriefer
01:33:17avec la bonne humeur et l'expertise
01:33:19de nos chroniqueurs, de notre président
01:33:21avec Franck Spierron, Thomas Samuel
01:33:23préparateur mental de Léon Marchand et de Florent Maloudou
01:33:25Ganesh Pedurand
01:33:27nous a rejoint ancien nageur
01:33:29confrère désormais après sa reconversion
01:33:31et qui connait très très bien Léon Marchand
01:33:33évidemment. On continue de parler
01:33:35de Léon Marchand. Est-ce qu'il va rafler ?
01:33:37Tout rafler dans ses Jeux olympiques
01:33:39il reprend du service demain
01:33:41avec le 200 m papillon et le 200 m
01:33:43brasse avant cela.
01:33:451 841. Est-ce qu'on a la une du journal demain ?
01:33:47Alors 8 médailles
01:33:492 en or. Comment nos confrères
01:33:51de journal s'en sont sortis
01:33:53pour faire une une pour demain ?
01:33:55C'est presque plus difficile, il y a trop de choses à mettre
01:33:57évidemment, trop de médailles, trop de médailles d'or
01:33:59alors regardez, l'équipe a fait assez
01:34:01simple la France
01:34:03les deux médailles d'or de Gestin
01:34:05et à Petit Brunet. Et puis tout en haut
01:34:07pluie d'argent évidemment. Magnifique !
01:34:09La photo elle est super
01:34:11de l'escrime. C'est très cool
01:34:13Laquelle ?
01:34:15Oui, la porture. Oui, avec
01:34:17un nom à Petit Brunet porté par son
01:34:19compagnon effectivement et puis donc
01:34:21Nicolas Gestin, champion olympique
01:34:23en kayak. Il sera avec nous dans
01:34:25quelques instants d'ailleurs
01:34:27normalement au Club France en direct
01:34:29Nicolas ?
01:34:31Gestin ? Ton copain de
01:34:33Bretagne ?
01:34:35On verra peut-être qu'on peut vous connecter
01:34:37d'ailleurs. Pour Léon Marchand, qu'est-ce
01:34:39qu'on fera ? Wow ! Combien de fois
01:34:41pour Léon Marchand d'ici la fin de ses Jeux olympiques ?
01:34:43On se demandait s'il était prêt
01:34:45à tout rafler. On profite
01:34:47de votre présence Ganesh également.
01:34:49Pourquoi demain c'est une journée
01:34:51très importante pour la suite de ses Jeux
01:34:53olympiques pour Léon ? En fait ça va être
01:34:55une journée assez difficile pour lui dans la mesure
01:34:57où il est très fort sur le 404 nage, très fort
01:34:59sur le 204 nage et c'est sur le 200 papillons
01:35:01et le 200 bras ce qui va être le plus challengé.
01:35:03Il a été champion du monde l'année dernière sur le 200 papillons
01:35:05mais il y a quand même le champion olympique en titre
01:35:07Christophe Milak le Hongrois qui va nager
01:35:09probablement très vite, qui a fait une dépression
01:35:11je crois, qui est revenue cette année donc on ne sait pas
01:35:13à quel niveau il sera et puis sur le 200 bras
01:35:15c'est tout simplement une nage qu'il n'a quasiment
01:35:17jamais fait dans de grandes compétitions.
01:35:19Il va nager très vite c'est certain, il a battu
01:35:21le record de France, il est dans le top
01:35:232, 3 mondial depuis
01:35:251 ou 2 ans donc il peut le faire
01:35:27mais on ne sait pas à quel niveau.
01:35:29Donc là il va falloir qu'il nage très vite sur 2 courses
01:35:31où il n'est pas le leader donc ça va être tendu
01:35:33mais il a beaucoup de talent.
01:35:35Il le savait donc il a certainement dû
01:35:37l'anticiper et le travailler et il a dû se mettre
01:35:39des séries avec
01:35:41c'est tout le même écart de temps entre les deux.
01:35:43Même pendant les championnats de France cette année
01:35:45il a tenu à faire les deux courses
01:35:47où il n'était pas forcément à son meilleur niveau
01:35:49et pourtant il a fait les deux courses et là
01:35:51il n'y avait pas une heure, il y avait 30 minutes
01:35:53je crois, même pas, 25 minutes
01:35:55donc il s'est déjà mis effectivement dans ces conditions là.
01:35:57Après il y a quand même
01:35:59tous les autres meilleurs nageurs du monde
01:36:01qui seront là et qui auront envie d'aller le battre
01:36:03et de profiter du fait que...
01:36:05C'est historique ce qu'il sente quand même, c'est historique
01:36:07parce que même Michael Phelps ne l'a pas tenté ça.
01:36:09Il n'a pas comblé 200 brasses, 200 papillons
01:36:11Alors il n'était pas fort en brasses, Michael Phelps
01:36:13Non mais même lorsqu'il gagne ses 8 médailles d'or
01:36:15Alors Michael Phelps il faisait beaucoup de choses quand même
01:36:17Oui mais même lorsqu'il gagne ses 8 médailles d'or
01:36:19il n'a pas le combo 200 papillons, 200 brasses
01:36:21Ah non, ils n'étaient pas exactement sur les mêmes courses
01:36:23parce qu'il faisait du 100 pap, du 200 pap, etc
01:36:25C'est vrai que la difficulté en plus de Léon
01:36:27c'est qu'il ne fait que des courses absolument
01:36:29horribles, enfin très énergivores
01:36:31très douloureuses, etc
01:36:33200 pap, 404, 204 nages
01:36:35c'est vraiment les nages les plus douloureuses.
01:36:37Vous écoutez, on mesure à chaque fois le côté extraordinaire
01:36:39de ce qu'il est en train de tenter comme défi
01:36:41Non, ça semble facile quand il le fait mais en vrai
01:36:43c'est très difficile
01:36:45Thomas, vous l'avez eu ce matin
01:36:47vous avez pu échanger avec lui
01:36:49D'abord, comment est-ce qu'il se sent au lendemain
01:36:51de cette soirée absolument dingue qu'il a vécu
01:36:53avec ce public ?
01:36:55C'était la première fois qu'il vivait ça avec le public français
01:36:57dans cette proportion là
01:37:01Oui, il s'est nourri
01:37:03franchement de
01:37:05toutes les émotions qui manettent
01:37:09cette piscine
01:37:11l'incandescence, c'était absolument génial
01:37:13franchement, j'ai eu
01:37:15les larmes aux yeux, les frissons
01:37:17c'était incroyable
01:37:21Ce matin, on s'est vu
01:37:23en fin de matinée
01:37:27il s'était déjà rebranché sur la suite
01:37:29de toute façon, il n'y a pas le choix
01:37:31il ne faut surtout pas tomber dans l'euphorie
01:37:33Lui, l'objectif
01:37:35ce n'était pas de battre un record
01:37:37c'était du monde
01:37:39c'était avant tout faire la semaine
01:37:41et c'est une semaine qui a
01:37:43jamais été réalisée auparavant
01:37:45doublée de nage
01:37:47dans la même journée, même son entraîneur
01:37:49Bob Bowman
01:37:51ne le faisait pas avec Phelps
01:37:53parce qu'il disait non, c'est du grand n'importe quoi
01:37:55donc là, on part absolument
01:37:57dans l'aventure
01:37:59dans l'inconnu, et c'est ce qui nous plaît
01:38:01C'est quoi justement
01:38:03son quotidien, sa manière de gérer
01:38:05tout ça ? Qu'est-ce que vous pouvez nous raconter
01:38:07pour Léon ?
01:38:09Léon, eh bien
01:38:13il aime le défi
01:38:15et
01:38:17il s'en
01:38:19nourrit évidemment pour se surpasser
01:38:21c'est pour ça qu'il peut être vraiment
01:38:23hyper bon qu'une fois par an
01:38:25au moment de la compétition
01:38:27estivale
01:38:29et
01:38:31là, je pense qu'il est
01:38:33prêt
01:38:35à relever le défi, je ne sais pas
01:38:37et je ne veux pas savoir si ça va marcher ou pas
01:38:39je me laisse le plaisir de découvrir ça
01:38:41demain et après-demain, et je pense que
01:38:43lui, il est dans le même état d'esprit, c'est plutôt
01:38:45la curiosité, en tout cas c'est ce qu'on met en place
01:38:47la curiosité de voir jusqu'où
01:38:49son potentiel peut l'amener
01:38:51parce qu'on sait pertinemment qu'il n'est pas
01:38:53encore au bout de lui-même
01:38:55il va continuer
01:38:57à se surprendre
01:38:59et ça passe par des échéances
01:39:01comme ça, par des défis
01:39:03et forcément, c'est
01:39:05des défis plus
01:39:07importants que chaque
01:39:09année qui passe. L'an dernier, c'était
01:39:11trois épreuves, ce qui était quand même
01:39:13une sacrée
01:39:15épreuve pour lui
01:39:17aujourd'hui, pour les Jeux, c'est
01:39:19quatre
01:39:21on verra, c'est ça qui est génial
01:39:23Moi j'ai une question
01:39:25parce qu'il a fini hier
01:39:27est-ce qu'aujourd'hui... Ah, vous avez failli poser votre question
01:39:29il ne faut jamais poser la question, je vais mettre le buzzer tout seul
01:39:31je vous le dis. Franchement, il y a un champion
01:39:33olympique, et donc priorité au champion olympique
01:39:35et à Sophie, on sera d'accord
01:39:41Et le champion olympique, il s'appelle Nicolas Chestin
01:39:43il n'en peut plus de sa tournée médiatique
01:39:45Nicolas, vous disiez il y a quelques instants
01:39:47je ne sais pas trop si ça va changer ma vie
01:39:49d'être champion olympique. Là, la soirée
01:39:51vous en aviez jamais vécu des comme ça quand même, non ?
01:39:53Non, non, je n'en ai pas vécu des
01:39:55comme ça souvent, c'est sûr, mais
01:39:57je ne sais pas
01:39:59je pense que c'est aussi
01:40:01l'histoire d'un instant, parce que je ne pense pas
01:40:03que ça va durer dans le temps, mais c'est sûr
01:40:05que les prochains jours vont être assez chargés
01:40:07On a vu vos potes tout à l'heure
01:40:09vos potes bretons qui faisaient des chants un peu douteux
01:40:11que vous n'avez pas voulu nous raconter
01:40:13vous avez pu profiter
01:40:15avec eux aussi, c'est l'objectif
01:40:17Ouais, carrément, j'ai pu profiter un peu, j'aimerais bien les voir plus
01:40:19c'est vraiment la tournée des médias
01:40:21mais j'ai pu les voir après ma course
01:40:23et ça c'était vraiment particulier
01:40:25et trop chouette à vivre, donc c'est déjà cool
01:40:27et je ne m'en fais pas, je vais les voir les prochains jours
01:40:29Il nous disait il y a quelques instants
01:40:31on a toujours su que c'était le meilleur
01:40:33vraiment, ils ne se sont pas allés à l'intox
01:40:35vous aussi vous avez toujours dit
01:40:37mon objectif c'est d'être champion olympique
01:40:39Ouais, moi je ne me suis jamais trop caché
01:40:41sur l'Olympiade, je voulais vraiment
01:40:43jouer la gagne, après eux
01:40:45ce qui est bien c'est qu'ils y croient dur comme fer
01:40:47mais peut-être qu'ils y croient trop
01:40:49parfois, ils ont un petit décalage
01:40:51mais au moins
01:40:53je sais que j'ai des piliers solides
01:40:55et des gens qui croient en moi
01:40:57et après je sais aussi que si je rate
01:40:59ils seront là, si je réussis ils seront là
01:41:01donc c'est qu'un plaisir de partager ça avec eux
01:41:03Vous avez plutôt raison là, parce que vous êtes
01:41:05champion olympique avec plus de 5 secondes d'avance
01:41:07quand même, on le précise, merci beaucoup profitez bien
01:41:09Merci Anne-Sophie
01:41:11Bravo
01:41:15Nicolas Gestin
01:41:17qui ressemble à tout autre
01:41:21On parle toujours de Léon Marchand
01:41:23Il est au programme, évidemment, demain
01:41:25Ce ne serait pas votre choix
01:41:27pour demain Paris, qu'est-ce qu'on regarde demain
01:41:29nos chroniqueurs, les épreuves à suivre absolument
01:41:31et on vous donne les horaires, justement
01:41:33votre choix c'est ? Léon Marchand
01:41:35Je voulais parler des filles au rugby, mais malheureusement
01:41:37elles sont allées, donc je bascule
01:41:39sur la natation, j'aurai probablement
01:41:41plus de chance avec Léon Marchand
01:41:43Moi ce qui m'impressionne
01:41:45c'est ce côté, jamais tenté
01:41:47le 2x200 dans la même journée
01:41:49demain et mercredi
01:41:51pour les finales, et moi j'avais une question
01:41:53c'était, est-ce qu'aujourd'hui, vu qu'il a fini hier soir
01:41:55champion olympique, je ne dis pas de bêtise
01:41:57est-ce qu'aujourd'hui il est dans l'eau
01:41:59ou il n'est que en salle et en récup, massage et tout ça
01:42:01ou est-ce qu'aujourd'hui il nage quand même, avant demain
01:42:03Ce matin il a nagé pour récupérer
01:42:07Comme nous
01:42:0923 bornes
01:42:13A quoi man ?
01:42:152 kilomètres
01:42:21T'as pas l'autonomie sur la trottinette
01:42:23Il fallait qu'il nage de toute façon
01:42:25Donc il nage le jour off, en plus de la récup
01:42:27La seule problématique
01:42:29en fait pour demain
01:42:31que moi je note
01:42:33c'est au-delà des 4 épreuves
01:42:35qui sont ardues
01:42:37c'est en fait qu'il va terminer très tard
01:42:39Et le mercredi rebelote
01:42:41Et le mercredi rebelote
01:42:43Et voilà, il va falloir
01:42:45Mais le mercredi, il n'y aurait que 2 courses
01:42:47on est d'accord, si tout se passe bien
01:42:49Les 2 finales, on est d'accord
01:42:51Mais c'est que 2 courses au lieu de 4
01:42:53Mais là il ne faut pas gagner
01:42:55Non mais oui, non mais c'est
01:42:57Il faut aller rentrer quand même
01:42:59après le contrôle d'opage
01:43:01Il y a la récup
01:43:03Il fait pas trop de médias
01:43:05C'est pour ça que je demandais
01:43:07comment aujourd'hui sa journée
01:43:09Mais en natation, il n'y a quasiment pas de jour off
01:43:11Honnêtement, on nage tout le temps
01:43:13Même le jour où on ne nage pas la compétition
01:43:15On s'entraîne
01:43:17La récup c'est de nager
01:43:19Et je ne sais pas si je dois le dire
01:43:21Il avait des contrôles d'opage
01:43:23de prévu à 5h30 ce matin
01:43:25Alors qu'il a fait pipi hier soir
01:43:27Hier soir
01:43:29Et c'est le système français
01:43:31C'est l'FLD
01:43:33Ils sont trompés d'adresse
01:43:35Heureusement pour lui
01:43:37C'est hallucinant, il n'y a qu'en France qu'on peut voir ça
01:43:39Vous imaginez, il se couche à 2h
01:43:413h30 plus tard, tac tac, test
01:43:43Il faut expliquer pourquoi
01:43:45C'est le suivi longitudinal
01:43:47Tu es obligé de laisser 1h par jour
01:43:49Moi je l'ai eu au rugby
01:43:51C'est pareil, tu es obligé de laisser 1h par jour
01:43:53Tous les jours, une tranche d'une heure
01:43:55Ou quelqu'un peut venir
01:43:57Même si tu pars en vacances
01:43:59Tu donnes ton horaire en amont
01:44:01Tu mets à chaque fois une horaire soit très tôt
01:44:03Soit très tard
01:44:05C'est le seul moment où tu es chez toi
01:44:07Je rebondis, parce qu'ils se sont trompés d'adresse
01:44:09Ils sont allés frapper à la porte
01:44:11Du Vidal
01:44:13Ils étaient bien accueillis
01:44:17Et c'est Yoann N'Doye
01:44:19Qui avait sa finale aujourd'hui
01:44:21Qui a essayé de se lever à 5h30
01:44:23C'est sympa
01:44:25Même entre Français, on arrive à se mettre des bâtons dans les roues
01:44:27C'est franchement un effort
01:44:29La difficulté supplémentaire pour les athlètes
01:44:31Même si les contrôles, à un moment, il faut les faire
01:44:33Mais dans ces conditions-là, ça paraît surprenant
01:44:35On enchaîne très rapidement
01:44:37France, votre rendez-vous, en un mot, demain
01:44:39Jean-Jean
01:44:41Anthony Jean-Jean, BMX Freestyle
01:44:43Numéro 1 mondial
01:44:45Il a raflé toutes les compétitions internationales
01:44:47Cette année, triple champion d'Europe
01:44:49On a été très déçus sur le skateboard avec Marie
01:44:51On veut notre vengeance sur le BMX
01:44:5315h10 demain
01:44:55Marie, votre choix rapidement
01:44:57Ce soir, ça sera 11h20
01:44:59C'est la doublette Andro Diaz-Boucheron
01:45:01C'est du deux-deux-couples
01:45:03Discipline qui demande une espèce de rigueur absolue
01:45:05Et donc là, elle demande en plus de le faire à deux
01:45:07D'être dans une espèce d'osmose
01:45:09Juste magnifique
01:45:11Et j'ai eu la chance de rencontrer ces deux-là
01:45:13Pour tourner une émission
01:45:15Et ils ont fait un travail remarquable
01:45:17Donc ils sont champions en titre
01:45:19Et ils continuent à travailler
01:45:21Pour se connaître dans les moindres détails
01:45:23Je pourrais vous en parler des heures
01:45:25C'est sublime
01:45:27Ils sont chouettes, c'est des bons gars
01:45:29Ils font plaisir
01:45:31Donc demain, c'est leur demi-finale
01:45:33Thomas, c'est à vous
01:45:35Moi, c'est le Volet
01:45:37Parce qu'il y a une gapette
01:45:39Parce que Patry, parce que Clevno
01:45:41Parce que c'est un sport hyper spectaculaire
01:45:43Que ce soit à la télé ou en salle
01:45:45J'aurai la chance d'y être en plus
01:45:47J'adore cette équipe de Volet
01:45:49Ils dégagent quelque chose d'hyper sympa
01:45:51C'est du spectacle, du premier au dernier ballon
01:45:53Tu fais mon stop-block ?
01:45:5521h demain pour le Volet
01:45:57Et on les adore parce qu'on les diffuse sur la chaîne
01:45:59Hors Jeux Olympiques, on est heureux
01:46:01Et c'est pour ça que j'ai choisi le Volet
01:46:03Bravo !
01:46:05Vraiment en 10 secondes
01:46:07Vous avez choisi une nageuse
01:46:09Qui s'est qualifiée pour une finale demain
01:46:11Oui, je l'encadre
01:46:13C'est ma Berry
01:46:15On se connait depuis 10 ans
01:46:17Elle a eu beaucoup d'épreuves dans sa vie
01:46:19Elle a perdu son papa
01:46:21Il y a une quinzaine d'années
01:46:23Sa maman, il y a l'an dernier
01:46:25Et aujourd'hui, elle se qualifie
01:46:27Pour sa première finale olympique
01:46:29De toute sa carrière
01:46:31C'est le côté émotion de ce soir
01:46:33Mais c'est vraiment une fille attachante
01:46:35Qui fait partie de ma famille
01:46:39On verra demain
01:46:411h56 pour elle
01:46:43Elle a le 7ème temps
01:46:45Mais c'est symbolique
01:46:47C'était l'objectif d'entrer en finale
01:46:49C'est génial, je suis tellement heureux pour elle
01:46:5120h56 pour suivre sa grande finale
01:46:53Et demain, il y a Clarisse Agbelinou
01:46:55Il y a un programme absolument incroyable
01:46:57Il y a la finale du sondage libre aussi
01:46:59Les séries du sondage libre
01:47:01Il y a tellement d'événements
01:47:03On espère que ça va monter au niveau du compteur des médailles
01:47:05Vous le voyez, on est à 16
01:47:07Dont 5 en or
01:47:09Ce sont des débuts de jeu historiques pour l'équipe de France
01:47:11Très bonne nuit à vous
01:47:13Merci d'être fidèle à l'équipe du soir
01:47:1522h55, dès que c'est fini
01:47:17La compétition, vous venez pour débriefer
01:47:19Cette journée toujours riche en émotions
01:47:21Avec nous, merci, très bonne nuit
01:47:23Merci encore vraiment d'être fidèle à la chaîne d'équipe
01:47:25Pendant ces jeux là
01:47:27Ça marche pas !