• il y a 4 mois
Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 23/07/2024.

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Sport
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00:00:00C'est l'équipe du soir, bonsoir équipe du soir de l'été, attention on a des horaires
00:00:19un petit peu particuliers mais dès demain on passe en mode équipe du soir olympique,
00:00:23équipe du soir spécial G.O. et là on sera à un horaire un petit peu plus normal, on
00:00:27se retrouvera le soir évidemment pour débriefer les premiers matchs, ça commence demain avec
00:00:29du foot et du rugby, on sera en direct du club France, on aura des athlètes tous les
00:00:33soirs, on va vivre cet événement planétaire du sport évidemment, comme il se doit dans
00:00:37la joie et dans la bonne humeur, on commence à être un petit peu excité de plus en plus
00:00:41d'ailleurs je pensais qu'il serait déjà en train de danser notre président Hervé
00:00:44Penault, je suis un peu déçu de la tenue.
00:00:46Bonsoir à toutes et à tous, alors aujourd'hui je suis hyper heureux parce que France est
00:00:51à l'honneur.
00:00:52Ah très bien, là France est à l'honneur, en revanche je respire un peu plus de paillettes.
00:00:56Non mais ce n'est pas paillettes, le boss, Bruce Springsteen version BZH, tout va bien ?
00:01:02En pleine forme, tellement heureux d'être à vos côtés.
00:01:04Ça va bien se passer, vous inquiétez pas.
00:01:06On a pris ses billets, c'est la crède ?
00:01:07Oui.
00:01:08Pour tout ?
00:01:09Pas pour tout, quelques billets.
00:01:10On en saura.
00:01:11On aura vos préférences, vos petites sensations tout à l'heure dans l'émission, le casting
00:01:13du jour peut-être ça vous intéresse Président ?
00:01:14Je ne sais pas.
00:01:15Comme vous voulez.
00:01:16Allez allez allez.
00:01:17On aura besoin de monde quand même, je vais appeler l'italien de l'équipe du sport,
00:01:20David D'Aiello.
00:01:21Hier il n'était pas content David.
00:01:23Pourquoi déjà ?
00:01:24Parce qu'on avait zappé un thème qui vous tenait à cœur et en finissant l'émission
00:01:27on s'est dit non mais j'avais bossé pour une fois, pourquoi on ne l'a pas fait ?
00:01:30Je ne l'ai pas dit pour une fois par contre.
00:01:31Si si, c'est moi qui l'ai rajouté.
00:01:32Donc on fera le fameux thème sur le top 5.
00:01:35En plus ça va être un duel et je peux déjà vous annoncer le vainqueur.
00:01:38Ah, on peut aussi vous virer du duel à tout moment.
00:01:41Olivier Bossard, le danois de l'équipe du soir.
00:01:44Bonsoir.
00:01:45Salut France.
00:01:46France-Danemark, samedi en ronde, premier match des Bleus aux JO.
00:01:48J'y serai.
00:01:49J'y serai et je vais supporter les Français.
00:01:52Ça n'a pas l'air de vous faire plaisir.
00:01:55Le type heureux.
00:01:56J'ai ma mère qui regarde et je sais que je vais lui faire de la peine.
00:01:59Pardon maman, Bossard.
00:02:00Il faut bien choisir.
00:02:01D'ailleurs il est en bleu aujourd'hui, ça nous fait bien plaisir.
00:02:02Voilà.
00:02:03Petit guignembleau, l'aigle de l'équipe du soir, le Mali étant lui, qui fait des infidélités
00:02:08à l'équipe de choc.
00:02:09Mais pas à toi puisque tu es là.
00:02:10Il se rattrape bien.
00:02:11Toi qui fais les deux, c'est laquelle la meilleure émission ?
00:02:17J'aime bien l'équipe de choc quand même.
00:02:18Mais on est bien dans l'équipe du soir.
00:02:20Il s'en sort bien.
00:02:21Après, il vient de perdre son poil du L.
00:02:24Le meilleur pour la fin, le professeur d'Eva Padoux, Bozou Kemanière.
00:02:27Kemanière, France.
00:02:28Entre Mauritiens, on se connaît.
00:02:30Pas tracas.
00:02:31On l'a naturalisé.
00:02:32J'ai plus bronzé à Oléron qu'à Lille-Maurice quand même.
00:02:35On a cassé le mythe quand même.
00:02:38Et puis Camille Macali, toute jaune, vêtue de petit soleil.
00:02:41Bonjour Camille.
00:02:42Bonjour France.
00:02:43Très bien.
00:02:44Elle est très contente parce qu'elle est en vacances ce soir.
00:02:45Oui, exactement.
00:02:46Des heures et demie.
00:02:49Triste.
00:02:50Comment tu veux.
00:02:51Tu peux partir maintenant.
00:02:52Non, j'ai beaucoup travaillé.
00:02:53J'ai beaucoup travaillé.
00:02:54Je compte sur elle.
00:02:55Bon, un petit peu de programme du soir.
00:02:57On va revenir sur la rétrogradation de Bordeaux en National 1.
00:03:00Faut-il craindre le pire ?
00:03:01L'objectif top 5 des Bleus au JO qui tient tant à cœur à David Aiello.
00:03:05Est-il réalisable ?
00:03:06Et avec qui surtout ?
00:03:07Vous me direz.
00:03:08Quelle star vous attendez ?
00:03:09En trépignant d'impatience.
00:03:10On sera notamment avec une championne olympique en titre.
00:03:13Tiens, la handballeuse Pauletta Foppa, la pivot des Bleus qui sera en direct du Club France.
00:03:17Et puis, on évoquera les chances des Bleus de Thierry Henry qui joue dès demain et qui vise l'or.
00:03:20Les dernières infos mercato et notamment le casse-sange show à Paris.
00:03:23Vous connaissez le programme qu'on va essayer de tenir et de ne pas être trop en retard.
00:03:27Mais Grégory Schneider n'est pas là donc on devrait être dans le temps.
00:03:32Hier, c'est à cause de lui.
00:03:33Et notamment...
00:03:34Non, il avait le vélo aussi.
00:03:35J'exagère.
00:03:36Pardon Greg.
00:03:37Je n'arrive pas à tourner ma page.
00:03:38Oui, merci.
00:03:39L'info foot du jour.
00:03:40On va perdre le sourire parce que le club de Bordeaux a renoncé à faire appel de la
00:03:43décision de la DNCG et donc accepté la rétrogradation en National 1.
00:03:47Les Girondins quittent donc le monde professionnel du foot en attendant un nouveau passage devant
00:03:51la DNCG.
00:03:52Ce sera dans quelques jours qu'ils pourraient l'envoyer encore plus bas, en National 2 notamment.
00:03:56Alors faut-il craindre le pire pour Bordeaux ?
00:03:58A cette question, deux chroniqueurs ne sont pas d'accord.
00:04:01On tient notre premier duel.
00:04:06David Ayello craint le pire et j'en perds déjà ma voix parce que je sens que ses arguments
00:04:09vont faire mouche.
00:04:10Dave Apadou ne le craint pas forcément.
00:04:13Qui va commencer ?
00:04:14Entre vous l'optimiste, le pessimiste ?
00:04:15Haute convenance.
00:04:18Un peu d'optimisme.
00:04:19Allez, un petit peu d'optimisme.
00:04:2030 secondes chacun ?
00:04:21Enfin l'optimisme, non, il n'est pas chez moi l'optimisme.
00:04:23On se met l'habillage à deux et ensuite on peut partir pour le duel.
00:04:26Il craint le pire, David Ayello.
00:04:28Je crains le pire parce que quand tu as un club qui a 42 millions de dettes et apparemment
00:04:32pour le relancer d'après le Président, ils font un plan d'investissement de 200 millions
00:04:36sur 5 ans, déjà ça commence déjà à faire peur et on peut craindre le pire.
00:04:40Et on me parle souvent pour comparer ce qui s'est passé du côté de Strasbourg.
00:04:43Strasbourg je rappelle qu'ils sont passés 6 ans entre la CFA2 et le National donc c'est
00:04:46quand même pas forcément un bel exemple.
00:04:48Et puis en plus derrière il y avait une base populaire qui n'a rien à voir avec celle
00:04:50de Bordeaux.
00:04:51Et par ailleurs il y avait un Président qui arrivait en 2012, Marc Keller, qui connaît
00:04:54parfaitement le football et qui a structuré le projet bordelais, ce qui n'est pas le cas
00:04:57du côté de Strasbourg, ce qui n'est pas du tout le cas du côté de Bordeaux.
00:05:00Non, on craint pas le pire, David.
00:05:04Il peut l'être encore.
00:05:06Et moi il me semble qu'en attendant le fait qu'ils vont aller dans la finale 1, donc
00:05:11en 2 ans, la décision, ils se sont donné une chance de présenter un budget...
00:05:16On me dit que votre micro ne marche pas, je sors mon micro Philippe Rizzoli et on va
00:05:20pouvoir reprendre.
00:05:21Est-ce que vous voulez passer ?
00:05:22Cuitasse les bananes, cuitasse les bananes.
00:05:25Ah pardon, excusez-moi.
00:05:28On reprend.
00:05:29On était à 30 secondes.
00:05:30C'est le micro Philippe Rizzoli, il faut le lancer.
00:05:32On va remettre le chrono.
00:05:35Tout remettre.
00:05:36Non, on peut remettre le chrono à 30 secondes.
00:05:39Non, je ne veux pas savoir.
00:05:40Il y a des impératifs techniques.
00:05:41On va compter aux doigts.
00:05:44On recommence à 30 secondes.
00:05:45C'est bien produit.
00:05:47C'est les vacances.
00:05:48Déjà, on recommence à 5 secondes.
00:05:50Donc non, le pire n'est pas à craindre, tu peux recommencer depuis le début.
00:05:53Donc, la situation est catastrophique, la question est de savoir, est-ce qu'elle peut
00:05:56l'être davantage ?
00:05:57Il me semble qu'en actant la rétrogardation en national 1 sans attendre un possible recours
00:06:04etc., ils se sont donné la possibilité de présenter un budget qui soit conforme à
00:06:08la rétrogardation en national et de conserver leur statut professionnel pendant au moins
00:06:132 ans, parce que c'est ça la règle.
00:06:14Ensuite, on sait que les instances, elles ont tendance plutôt à sauver les fesses de
00:06:17Bordeaux, ça fait 2-3 fois que la DNCG les a recalés et que le CNOSF leur donne un avis
00:06:22favorable.
00:06:23Je pense qu'il y a une volonté quand même de sauver ce qui peut l'être.
00:06:25En national 1, ils ont encore la possibilité de se restructurer.
00:06:28Donc, pourquoi pas ?
00:06:30Vous voterez sur les réseaux sociaux pour le D2 ?
00:06:34Je pose une réserve technique, il a répété 2 fois les mêmes arguments au début.
00:06:41Il n'avait pas le chrono sous les yeux qui s'affichait, donc compliqué pour lui.
00:06:45En attendant, c'est le Président qui trouve.
00:06:47Je me demande même s'il était nécessaire de les répéter 2 fois.
00:06:50Enfin bon.
00:06:51Parce que ce qu'il leur a fallu déjà définir, c'est le pire c'est quoi ? Parce qu'en
00:06:55fait, vous n'étiez pas tout à fait dans le même duel.
00:06:56Parce qu'il dit le pire, ça pourrait être encore pire que ce que c'est aujourd'hui.
00:06:59Mais déjà, tu l'as dit, c'est un désastre.
00:07:02Le pire, oui, tu peux le craindre.
00:07:03De fait.
00:07:04Parce qu'il est déjà là.
00:07:05Alors, peut-être qu'ils remonteront.
00:07:06Parce qu'on peut toujours estimer que finalement, comme c'est Bordeaux, on va trouver de l'argent,
00:07:09on va trouver quelque chose qui, à un moment, permettra de relancer le club.
00:07:12Mais aujourd'hui, on est au bas du bas.
00:07:13Déjà, si ça se trouve, ils vont descendre encore plus bas, sans penser à rien.
00:07:16Il n'y a même pas la certitude qu'ils soient en national 1.
00:07:18Donc ça, c'est la première chose.
00:07:19Mais aujourd'hui, vu les faits avérés qu'on voit, on est obligés de craindre le
00:07:24pire pour ce club-là.
00:07:25Parce qu'ils n'ont jamais réussi.
00:07:26Pourtant, avec le bassin qu'il peut y avoir, à un moment, ils avaient cherché de l'argent
00:07:29dans le vin, des choses comme ça, pour essayer de relancer un petit peu le club, ils n'ont
00:07:32jamais pu.
00:07:33Alors, peut-être que quelqu'un viendra, peut-être qu'il y a un investisseur chinois,
00:07:36américain, anglais.
00:07:37C'est ou jamais.
00:07:38C'est une possibilité.
00:07:39Mais puisqu'il faut se baser sur ce qu'on voit aujourd'hui, oui, le pire est à craindre.
00:07:42Donc, le point est pour David Ayelau.
00:07:44Dans le communiqué du club, on se veut positif, forcément.
00:07:47La période qui s'ouvre doit permettre au FC Girondins de Bordeaux de revenir plus
00:07:50fort et au plus haut niveau.
00:07:51Ça, c'est déjà vu.
00:07:52Tu as cité Strasbourg, il y a aussi Bastia, Reims, Brest qui sont par là.
00:07:55Il y a quand même des motifs d'espoir pour Bordeaux ?
00:07:59Franchement, j'ai eu du mal à me situer sur cette question-là.
00:08:02Moi, j'ai l'impression que pour Bordeaux, le pire, ce serait le National, justement.
00:08:05Parce que qui dit National ne dit pas forcément départ de Gérard Lopez.
00:08:08Et j'ai l'impression que Bordeaux doit absolument tourner cette page-là.
00:08:12Il y a un moment, ça suffit.
00:08:13Ça fait des années qu'il lance des promesses comme ça.
00:08:17On voit comment ça se termine.
00:08:18Donc, j'ai l'impression qu'il faut presque toucher le fond pour mieux rebondir.
00:08:23Parce qu'en plus, se retrouver en National, il faut savoir que le National,
00:08:26c'est la pire des divisions.
00:08:27En termes de droits télé, on ne touche absolument rien.
00:08:30En termes de droits de la fédération, on ne touche rien.
00:08:33Tous les clubs qui sont en National sont en espèce de no-man's land.
00:08:37Et c'est pour ça d'ailleurs que ça fait des années qu'on est en plein débat.
00:08:40Est-ce qu'il ne faut pas faire une Ligue 3 un petit peu plus professionnelle comme l'Angleterre ?
00:08:44J'ai l'impression qu'on rajouterait des problèmes au problème.
00:08:47Alors, je sais qu'évidemment, on parlerait de casse sociale terrible pour Bordeaux.
00:08:52Mais j'ai l'impression qu'il vaudrait mieux descendre et repartir sur un…
00:08:57Mais la casse sociale, elle aura lieu.
00:08:58Elle aura lieu de toute façon.
00:08:59Non, mais c'est pour ça que je dis, est-ce qu'il ne vaut mieux pas repartir…
00:09:01National 1, c'est acté là.
00:09:02Oui, mais National 1 ou pire, dans tous les cas, à partir de la National 1,
00:09:06ils vont devoir tout reformater le club, le restructurer pour le présenter.
00:09:10Mais ça, on va dire que ça, c'est acté.
00:09:11Et la question est peut-être de savoir, est-ce qu'ils peuvent descendre plus bas ?
00:09:14Et c'est à moi, c'est à ça que je réponds.
00:09:16Je pense qu'il y a une possibilité qu'au moins, ils sauvent leurs fesses en National
00:09:19et puis éventuellement, qu'ils puissent remonter.
00:09:20Dave, il faudra rapprocher le micro de la bouche.
00:09:22C'est un métier, le Philippe.
00:09:23Philippe Rizzoli.
00:09:24Ce n'est pas simple.
00:09:25On a cité des clubs qui s'en sont sortis.
00:09:26Il y en a aussi qui ne s'en sont jamais remis.
00:09:28Sedan, Evian, New York aussi, quelque part.
00:09:30Est-ce qu'on peut craindre une disparition du club ?
00:09:32Je vais peut-être un peu loin.
00:09:33Non, mais c'est clair qu'il n'y a pas de vérité absolue.
00:09:36Il y a des parcours…
00:09:37On parle souvent des success stories.
00:09:39Mais il y a effectivement aussi des clubs qui ont eu énormément de mal à se relever,
00:09:42voire qui ne se sont pas relevés du tout.
00:09:44Bordeaux a peut-être l'avantage, se dit-on, d'être une marque un petit peu plus forte,
00:09:48que ce soit sur le football français ou même au-delà.
00:09:51Parce que quand on cherche des investisseurs, aujourd'hui, on recherche à avoir…
00:09:55On va faire l'amalgame entre Bordeaux, qui est une grande marque au niveau du vin,
00:09:59et le football.
00:10:00Non, mais la réalité, c'est que ça a un temps intéressé aussi des investisseurs.
00:10:06Je ne dis pas que c'est ce qui va être la solution miracle pour Bordeaux.
00:10:11Je dis juste que c'est une solution parmi tant d'autres.
00:10:14Mais moi, je suis assez d'accord avec Hervé, quand il demande…
00:10:17Non, avec M. le Président.
00:10:19Je suis assez d'accord avec le Président, Hervé Penaud,
00:10:22lorsqu'il dit qu'il faudrait déjà définir quelle est la pire des solutions.
00:10:26Parce que socialement, c'est clair que la pire des solutions,
00:10:29c'est de perdre ton statut professionnel, de repartir de National 3,
00:10:33et de te dire qu'il y a des gens qui vont être virés, qui vont perdre leur boulot,
00:10:36et qu'avant de retrouver Bordeaux diffusé en prime time dans un grand match,
00:10:40il faudra attendre au mieux 3, 4, 5, 6 ans.
00:10:43Mais il y a une autre réalité qui est que si tu continues à essayer de sauver les apparences
00:10:47en maintenant coûte que coûte en National,
00:10:49mais en gardant toujours cette espèce de structure très bancale,
00:10:52qui finalement ne fera peut-être qu'encore retarder l'échéance,
00:10:54comme tu viens de faire déjà depuis deux années,
00:10:56moi, c'est vrai que je me pose la question.
00:10:58Oui, mais attendez, la National 1, tu gardes ton statut professionnel…
00:11:01Deux ans maximum.
00:11:02Oui, deux ans.
00:11:03Mais ça veut dire que tu gardes aussi un centre de formation
00:11:05qui exploserait en plein vol si tu n'es pas en National 1.
00:11:08Il y a tout ça aussi.
00:11:09Ça veut dire qu'il faut quand même garder ce que tu peux avoir,
00:11:12c'est-à-dire des forces vives, une possibilité de puiser dans tes réserves
00:11:16pour rebâtir une équipe…
00:11:17Mais en plus, tu n'as même pas la main là-dessus, sur ces décisions-là,
00:11:19parce que tu peux te retrouver de fait en National 2.
00:11:21Non, mais là, on parle des hypothèses.
00:11:22D'accord, mais non, c'est ce que je veux dire.
00:11:23En plus, tu vois, tu n'es même pas maître de ton destin.
00:11:25Oui, mais qu'est-ce que tu veux qu'ils fassent, là, maintenant ?
00:11:27Qu'est-ce que tu veux qu'ils fassent, là, maintenant ?
00:11:29De toute façon, ils y sont.
00:11:30Donc, moi, je pense que ce n'était pas la pire idée
00:11:34que d'acter qu'ils allaient en National 1
00:11:37pour pouvoir présenter un budget qui soit conforme
00:11:40à ce qu'est la National 1.
00:11:42Alors qu'en se fightant, effectivement,
00:11:44on sait que quand tu fais appel, la décision peut être plus sévère.
00:11:46Et là, National 2, voire pire, évidemment.
00:11:48Mais là, tu perds tout.
00:11:49Alors, comment Bordeaux compte rester en National 1 ?
00:11:53Parce qu'il y a beaucoup d'enjeux derrière.
00:11:55Oui, vous l'avez évoqué.
00:11:57Côté dirigeant bordelais, on veut jouer un petit peu
00:11:59sur les textes de loi pour rester en N1
00:12:02selon l'article 103 de la LFP.
00:12:05Une telle procédure a pour conséquence
00:12:07une rétrogradation dans la division
00:12:09immédiatement inférieure à celle pour laquelle
00:12:11le club était sportivement qualifié la saison suivante.
00:12:13Donc, Bordeaux, 12e de Ligue 2 en fin de saison,
00:12:15aurait dû repartir au même échelon
00:12:17avant cette rétrogradation administrative en National.
00:12:20Deux options.
00:12:21Les instances du foot français considèrent
00:12:23que le redressement judiciaire est intervenu
00:12:25alors que les Girondins se trouvaient déjà en National.
00:12:28Et donc là, forcément, ils rebasculent en N2
00:12:30et non plus en N1.
00:12:31Ou soit on considère que ce redressement
00:12:33les rétrograde uniquement de la Ligue 2
00:12:35à la National 1.
00:12:37Première conséquence du redressement,
00:12:39vous l'avez un petit peu évoqué,
00:12:40c'est le gel de toutes les dettes sociales et fiscales.
00:12:43Ensuite, il est peu probable que Bordeaux
00:12:45dispute ses matchs au Matmut Atlantique
00:12:47la saison prochaine.
00:12:48Mais surtout, c'est là où ça compte
00:12:50et Dave l'a déjà évoqué.
00:12:51Bordeaux conserverait pour deux ans
00:12:53son statut pro et son centre de formation
00:12:55avec l'obligation d'une très grosse restructuration.
00:12:58Les enjeux, ils sont énormes derrière.
00:13:00C'est pas juste onze footballeurs.
00:13:02Il y a un message aussi derrière tout ce que vient nous dire Camille.
00:13:05C'est que Bordeaux, depuis deux ans,
00:13:07vit très largement au-dessus de ses moyens.
00:13:09Et c'est l'erreur.
00:13:11L'erreur originelle, elle n'est pas là.
00:13:13Pour moi, on oublie aussi un petit peu vite
00:13:15que c'est aussi des échecs sportifs
00:13:17qui ont amené Bordeaux à cette situation.
00:13:19D'abord, échec du maintien en Ligue 1
00:13:21il y a deux ou trois ans.
00:13:23Ensuite, deux échecs consécutifs de montée
00:13:25en Ligue 2 avec des budgets qui avaient pourtant
00:13:27été surboostés par Gérard Lopez
00:13:29parce que, justement, c'est le parti pris
00:13:31qu'il avait eu.
00:13:32C'était de ne pas végéter en Ligue 2
00:13:34mais tout de suite de remonter.
00:13:36Mais là, Bordeaux, aujourd'hui,
00:13:38même s'il restait en N1,
00:13:40on parlait du centre de formation.
00:13:42Est-ce qu'on est vraiment certains
00:13:44qu'ils ont le train de vie aujourd'hui
00:13:46pour entretenir un centre de formation
00:13:48et d'ailleurs, j'ai vu un papier
00:13:50dans l'équipe aujourd'hui.
00:13:52C'est le journal de M. Doucet
00:13:54qui expliquait que même
00:13:56les gens qui s'occupent du centre de formation
00:13:58aujourd'hui, ils n'ont aucune certitude.
00:14:00Ils ne savent pas si...
00:14:02Parce que même si tu as la possibilité
00:14:04de le conserver, mais s'il n'y a plus rien,
00:14:06s'il n'y a plus de moyens,
00:14:08et puis même les parents n'ont pas
00:14:10nécessairement envie de voir leurs enfants
00:14:12rester dans un club qui part à volo comme ça,
00:14:14il y a de vraies incertitudes autour de la vie.
00:14:16Il y a aussi le maire de Bordeaux
00:14:18qui parlait d'une loyer en 5 millions annuels
00:14:20et je suis entièrement d'accord là-dessus
00:14:22sur le fait que le stade a été surdimensionné.
00:14:24C'est un stade de 42 000 à Bordeaux,
00:14:26on a vu trop grand.
00:14:28Et puis on peut se dire aussi
00:14:30que si Fenway ne rachète pas Bordeaux
00:14:32actuellement, c'est peut-être aussi
00:14:34que Fenway espère que Bordeaux va descendre
00:14:36d'une ou deux divisions supplémentaires
00:14:38pour le racheter à moindre frais.
00:14:40Donc on se dit que ça peut peut-être
00:14:42être une bonne nouvelle pour les Bordelais
00:14:44Je me demande ce qu'ils ont découvert
00:14:46parce que Fenway c'est un énorme groupe
00:14:48c'est pas des clubs de village
00:14:50donc pour qu'ils soient à ce point effrayés
00:14:52sur ce qu'ils ont vu,
00:14:54à mon avis c'est pas la question uniquement
00:14:56du loyer ou des droits télés
00:14:58bien sûr, les dettes,
00:15:00mais on parle quand même d'un énorme groupe
00:15:02je me demande ce qu'ils ont découvert
00:15:04en mettant le nez dans les comptes
00:15:06on sait que la gestion de Gérard Lopez
00:15:08n'a pas toujours été évidente
00:15:10on l'a vu à Lille
00:15:12on garde des précautions oratoires
00:15:14dans d'autres clubs où il est passé
00:15:16il y a eu quand même des dégâts
00:15:18et je pense que
00:15:20quand ils ont mis le nez dedans Fenway
00:15:22je pense qu'ils ont vu des choses qui n'étaient pas claires
00:15:24je pense qu'ils ont vu des choses très compliquées
00:15:26et des choses qui peuvent bloquer
00:15:28le développement de ce club
00:15:30en l'état je pense que c'est fichu
00:15:32maintenant, en redescendant à l'échelon inférieur
00:15:34comme c'est acté
00:15:36peut-être que...
00:15:38Et pourtant la mairie était prête à faire un effort
00:15:40et sur le prix du loyer
00:15:42sans s'engager non plus
00:15:44quand t'as un investisseur qui vient
00:15:46et on te dit oui on est prêt à discuter
00:15:48discuter sur quoi ?
00:15:50pour un investisseur il faut des garanties
00:15:52ils auraient eu le loyer
00:15:54c'est facile de dire ça
00:15:56parce que c'est des moyens publics
00:15:58à un moment tu dis t'as 5 millions à rembourser
00:16:00sauf que c'est pas comme un bailleur
00:16:02de commerce ou un bailleur
00:16:04d'un loyer privé
00:16:06où si toi tu peux pas honorer tes créances
00:16:08là ils ont pas quelqu'un d'autre à mettre
00:16:10donc je crois que quand t'arrives
00:16:12et que t'es en position de négocier
00:16:14t'es en position un peu de force quand même
00:16:16donc je crois pas que l'enjeu était vraiment là
00:16:18je pense que si t'avais besoin d'étaler
00:16:20je pense qu'ils auraient été prêts à le faire
00:16:22pour pouvoir mettre quelqu'un dans leur stade
00:16:24s'ils l'ont pas fait c'est qu'il y a autre chose
00:16:26que ces histoires de loyer
00:16:28Est-ce que ça vous a triste ?
00:16:30Est-ce que vous avez de la peine pour Bordeaux ?
00:16:32Est-ce que c'est un drame au foot français ?
00:16:34J'ai repensé
00:16:36dans les années 80-90
00:16:38mais Bordeaux c'était incroyable
00:16:40je me rappelle des Bordeaux
00:16:42quand c'est ma Leipzig
00:16:44quand c'est notre adolescence
00:16:46ou Bordeaux-Milan
00:16:48c'est des matchs incroyables
00:16:50et à ce moment-là Bordeaux c'était le club phare du football français
00:16:52et te dire qu'aujourd'hui ils vont évoluer
00:16:54peut-être en National 2
00:16:56on faisait un parallèle
00:16:58entre les deux
00:17:00on va prendre le Bordeaux-Milan
00:17:02qui est un match mythique de l'histoire des Bordelais
00:17:04et quelques dizaines d'années plus tard
00:17:06ils vont être dans cette situation-là
00:17:08Quand on imagine Bordeaux
00:17:10il faut se rendre compte ce que c'était à l'époque
00:17:12de Claude Baize
00:17:14ce qu'était le grand Bordeaux
00:17:16on parle même de coupe d'Europe
00:17:18il n'y avait pas 5 qualifiés
00:17:20par ligue des champions, ligue européenne
00:17:22c'était vraiment une équipe incroyable
00:17:24c'est les Girès, les Lacos
00:17:26Girès qui parle d'une tristesse infinie ce matin
00:17:28lui il est tellement amoureux de son club
00:17:30c'est parce que ça lui tient vraiment à coeur
00:17:32c'est quelqu'un de très humain
00:17:34ça pour lui c'est une blessure, une déchirure absolument terrible
00:17:36Est-ce qu'ils peuvent s'en remettre ?
00:17:38S'en remettre à un moment
00:17:40vous pouvez peut-être avec le temps vous en remettre
00:17:42vous pouvez peut-être remonter
00:17:44Toulouse, prenons le voisin
00:17:46Toulouse a pu remonter
00:17:48à un moment international
00:17:50il y a eu moins de grandes années à Toulouse
00:17:52c'est vrai, mais il n'empêche qu'on est capable
00:17:54de remonter heureusement
00:17:56comme on l'a dit
00:17:58quand vous touchez le fond à un moment
00:18:00parce que là on parle d'une grande ville
00:18:02d'un grand bassin quand même
00:18:04c'est aussi dans les grandes villes que vous avez les grands clubs en général
00:18:06donc il y a bien un moment, quelqu'un qui arrivera
00:18:08peut-être qui mettra soit l'argent qu'il faut
00:18:10mais surtout restructurer d'abord tout ce qui s'est passé
00:18:12et puis le fanbase
00:18:14je te redonne la main après
00:18:16mais c'est Benoît Tréoulinas qui disait ces jours-ci
00:18:18que le public se désintéressait
00:18:20de plus en plus pour aller au rugby
00:18:22c'est là à mon avis la grande différence que j'évoquais tout à l'heure
00:18:24c'est que Strasbourg ils font leur dernière saison en national
00:18:26avec 16 000 de moyenne
00:18:28en national
00:18:30et ça ça n'existera pas à Bordeaux
00:18:32on t'a coupé Olivier
00:18:34je ne suis pas sûr parce qu'il y a quand même
00:18:36une base de fans importante
00:18:38c'est une fanbase
00:18:40c'est une fanbase
00:18:42une première fois en anglais il a été coupé
00:18:44il s'est dit attend je vais le switcher, la prochaine fois c'est en danois
00:18:50ça c'est quelque chose qui avait compté pour Strasbourg
00:18:52qui enchaînait justement
00:18:54les records d'affluence en CFA
00:18:56en national et on sait à quel point ça avait compté
00:19:00ils étaient suivis partout en France
00:19:02à domicile et ça les avait aidés justement à mieux repartir
00:19:04et moi je suis persuadé que du côté de Bordeaux
00:19:06tout le monde n'ira pas au rugby
00:19:08il y a quand même une fanbase
00:19:12alors qu'au rugby il n'y a pas de fanbase
00:19:16ça reste à ce stade le club principal
00:19:18si ce n'est le seul dans une région
00:19:20qui est on va dire dominée par le rugby
00:19:22culturellement parlant
00:19:24moi je vois les enjeux qu'il y a autour de Bordeaux
00:19:26mais même en termes de maillage
00:19:28par rapport aux ligues amateurs autour
00:19:30et au fait de justement faire remonter les mômes
00:19:32dans un grand club
00:19:34la disparition de Bordeaux n'a pas juste un enjeu
00:19:36par rapport au club en lui-même
00:19:38c'est par rapport au football dans toute une région
00:19:40et moi je trouve qu'il y a un lien
00:19:42peut-être à faire aussi avec la nature
00:19:44d'un éventuel projet de reprise
00:19:46parce que si on continue d'attendre
00:19:48que ce soit des fonds étrangers
00:19:50qui arrivent d'on ne sait où
00:19:52et qu'on reproduit un schéma plus ou moins
00:19:54à l'identique avec ce qui a amené Bordeaux
00:19:56à cette situation, est-ce que finalement
00:19:58l'idée ne serait pas de prendre la tangente
00:20:00et d'aller sur un projet peut-être un peu plus
00:20:02type Strasbourg ou type Bastia où là
00:20:04il y a quand même au niveau local
00:20:06des entrepreneurs qui sont capables
00:20:08de s'investir, de s'impliquer
00:20:10je ne sais pas, peut-être que ça mettra plus de temps
00:20:12depuis il a changé de direction
00:20:14c'est-à-dire qu'il y a un mouvement
00:20:16de toute façon aujourd'hui dans cet univers
00:20:18ils ont remporté une coupe de la ligue
00:20:20dans cet univers aujourd'hui ultra concurrentiel
00:20:22où arrivent les grands investisseurs qui ont plein d'argent
00:20:24c'est difficile d'exister
00:20:26affaire à suivre, résultat du duel
00:20:28Dave Apadou face à David Ayelau
00:20:30grosse grosse victoire
00:20:32c'est pas le micro
00:20:34ouais c'est le micro
00:20:36ça t'a pas aidé
00:20:38c'est vraiment des stabilisants
00:20:40ça compte pour le jeu de train d'émission je le rappelle
00:20:42donc votez
00:20:44le zapping dans un instant de Mathieu Monnier
00:20:46les meilleurs moments de sport de la journée
00:20:48les plus beaux gestes avec un but
00:20:50somptueux hier de l'équipe de France
00:20:52Euro U19 qui joue l'Euro face à l'Espagne
00:20:54je ne vous dis que ça, regardez et appréciez
00:20:56ça commence par ça
00:21:18Boisbray, que l'on aime
00:21:20ce Simon Boisbray
00:21:22un festival, un coup de génie
00:21:24deux coups de génie
00:21:26il sent le foot, il pue le foot
00:21:28Simon Boisbray
00:21:30un exploit individuel et la France met d'un zéro
00:21:32la treizième minute
00:21:34c'est le but de cet Euro
00:21:38je l'ai senti
00:21:40je l'ai senti venir
00:21:42je l'ai senti venir
00:21:50ils ont encore
00:21:52ces couches anti-sexe
00:21:54quand je les ai testé la dernière fois
00:21:56ils ont refusé mon test
00:21:58peut-être que je n'étais pas assez rigoureux
00:22:00non, ils ont passé le test
00:22:02c'est faux, c'est de la fausse nouvelle
00:22:30l'Italie en demi-finale
00:22:32et non plus à France-Ukraine
00:22:44Soumani
00:22:46allez à Tangana
00:22:48allez un bon centre
00:22:50et un peu de chance
00:22:52et beaucoup de chance pour reprendre
00:22:54la première place du groupe
00:22:56l'égalisation française
00:22:58avant le temps additionnel
00:23:00à Tangana
00:23:02et la France
00:23:04repasse devant
00:23:06et la France affrontera pour l'instant l'Ukraine
00:23:08plutôt que l'Italie
00:23:28France-Ukraine
00:23:58Oh, et là, c'est un incroyable but de l'Allemagne qui l'attaque sur 2-1.
00:24:06Poitas Yildirim.
00:24:28Chassé-loy, Chabde Chassé.
00:24:302-1, 6-2, 7-6.
00:24:58C'est un match à l'air.
00:25:13Ça va ? Ça va ? Ça va très bien.
00:25:41Trop belle, Céline.
00:25:43Garde nos morales. On a victoire.
00:25:45Merci pour le documentaire.
00:25:47Merci, Céline.
00:25:49Merci, Céline.
00:25:55Céline Dion qui devrait donc chanter à sa réouverture.
00:25:58Lady Gaga aussi, Yana Kamoura.
00:26:00Tout ça, on a un thiètre.
00:26:02Je ne veux pas en parler tout de suite.
00:26:04Non, ce n'est pas ça.
00:26:06Oui, il y a peut-être thiètre.
00:26:09Entre Lady Gaga et Céline Dion.
00:26:11Je ne vais pas tout dévoiler ce soir.
00:26:13Peut-être avant Lady Gaga.
00:26:15Un petit scoop.
00:26:17On compte les jours avant les JO de Paris 2024.
00:26:19L'entrée fracassante de Hervé Penault
00:26:21concernant une réouverture vendredi.
00:26:23Les premières épreuves débutent demain.
00:26:25Et là, on va commencer à compter les médailles, les copains,
00:26:27parce que l'objectif est élevé, on le sait.
00:26:29On vise le top 5.
00:26:31Et Claude Onesta, le directeur de la performance sur ces Jeux,
00:26:33c'est vraiment lui qui fixe l'objectif comptable.
00:26:35Il l'a répété au micro de Jérémy Hensman.
00:26:37Je pense que la cinquième place
00:26:39serait déjà
00:26:41une performance.
00:26:43Vous savez, il n'y a pas beaucoup
00:26:45de secteurs d'activité
00:26:47où on est capable,
00:26:49à trois ans d'intervalle,
00:26:51je le dis souvent quand je rencontre les entreprises,
00:26:53la mission qui nous a été confiée,
00:26:55c'est de réaliser
00:26:57une performance pratiquement
00:26:59qui doublera
00:27:01le résultat
00:27:03à 33 ans.
00:27:0533 ans d'intervalle,
00:27:07pratiquement avec les mêmes athlètes
00:27:09qui sont capables
00:27:11aujourd'hui de prendre un challenge de ce type-là
00:27:13en disant qu'avec les mêmes,
00:27:15en trois ans, je vais doubler le chiffre d'affaires.
00:27:17Nous, on essaye.
00:27:19Et je pense peut-être qu'on va y arriver.
00:27:21Nous, on va le faire, bien sûr.
00:27:23Petite soirée avec Claude Onesta.
00:27:25Moi, je bois ses paroles.
00:27:27Il peut me bercer toute la nuit.
00:27:29Sa voix est mythique.
00:27:31On va beaucoup dormir.
00:27:33A trois jours de la série venue d'ouverture,
00:27:35est-ce que vous y croyez à ce fameux top 5 ?
00:27:37Alors, à cette question, non pas deux,
00:27:39mais trois chroniqueurs ne sont pas d'accord.
00:27:41C'est un deux contre un.
00:27:43Ça faisait longtemps.
00:27:45Oui, ils y croient.
00:27:47David Aiello et Olivier Beaussart.
00:27:49Pour la team de droite, les optimistes, non.
00:27:51Le défaitiste, Tidjani Embo.
00:27:53C'est scandaleux.
00:27:55Qui commence chez les optimistes ?
00:27:57On va faire un oui, un non, un oui.
00:27:59David découpe pour commencer et on le finit après, Olivier ?
00:28:01David en 1, Tidjani en 2 et Olivier en 3.
00:28:03C'est parti.
00:28:05Vous avez 30 secondes.
00:28:07C'est mathématique, c'est implacable.
00:28:09Si vous prenez les trois derniers JO,
00:28:11la France termine à chaque fois la 7e place
00:28:13avec une dizaine de médailles d'or.
00:28:15Sur ces trois derniers JO,
00:28:17la Russie était à chaque fois dans le top 5.
00:28:19Or, vous le savez, la Russie n'est pas présente
00:28:21cette année sur les JO.
00:28:23Mécaniquement, la France grimpe à la 6e place.
00:28:25Deuxième point, il concerne la prime à l'organisateur.
00:28:27Sur les trois derniers JO,
00:28:29la France fait plus 50 à plus 120%.
00:28:31On va passer de 10 à 15 à 25 médailles d'or.
00:28:33Emballé, c'est plié.
00:28:35On sera sur le top 5.
00:28:37C'est mal.
00:28:39Bon, David a fait des maths.
00:28:41Moi, je vais faire de l'histoire.
00:28:43La France, dans un top 5
00:28:45des JO d'été,
00:28:47ça n'est jamais arrivé au 21e siècle.
00:28:49Et c'est arrivé seulement deux fois
00:28:51depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale.
00:28:53Donc, ça n'est effectivement pas impossible.
00:28:55Mais il va falloir très sérieusement
00:28:57augmenter la cadence,
00:28:59doubler le total de médailles
00:29:01par rapport aux dernières Olympiades.
00:29:03Et puis, je trouve que
00:29:05même si, effectivement,
00:29:07la Russie ne sera pas là,
00:29:09tu as quand même toujours les Etats-Unis,
00:29:11la Chine, le Japon
00:29:13et la Grande-Bretagne qui, pour moi, sont intouchables.
00:29:15Alors après, effectivement, il reste une place.
00:29:17Mais ça veut dire tout optimiser, tout gagner.
00:29:19Est-ce que la France en est capable ?
00:29:21Je ne sais pas.
00:29:23Pour moi, il suffit juste
00:29:25de regarder notre délégation.
00:29:27Est-ce qu'on a déjà été aussi forts
00:29:29en judo ? Non.
00:29:31Est-ce qu'on a déjà été aussi forts en escrime ? Non.
00:29:33Dans les sports courts, on est toujours ultra-dominateurs.
00:29:35En basket, tu peux rajouter
00:29:37même le rugby à 7 cette année.
00:29:39Je lisais ce matin dans l'équipe
00:29:41cette maison de la performance
00:29:43qu'on avait collée au village des athlètes
00:29:45et qui sera uniquement accessible aux Français.
00:29:47C'est quelque chose que les Anglais avaient fait en 2012
00:29:49et qui leur avait permis d'aller chercher
00:29:51beaucoup plus de médailles parce que
00:29:53les Français peuvent y aller, peuvent s'entraîner.
00:29:55C'est ouvert 24h sur 24.
00:29:57Moi, je suis d'accord
00:29:59avec l'exemple britannique
00:30:01sauf que ce qu'a fait la Grande-Bretagne,
00:30:03c'est une politique mise en place au lendemain
00:30:05des Jeux d'Atlanta 96
00:30:07pour des résultats visibles en 2012.
00:30:09Je ne suis pas sûr d'avoir entrevu une politique
00:30:11de la même nature en France.
00:30:13J'ai d'ailleurs plutôt eu l'impression que les athlètes
00:30:15faisaient remonter des choses plutôt
00:30:17négatives sur tout ce qui avait été mis en place
00:30:19en termes notamment d'investissement.
00:30:21C'est terminé. Vous avez eu 60 secondes.
00:30:23C'est déjà largement suffisant. Il était bien ce décontraire
00:30:25des arguments dans tous les sens.
00:30:27Vous votez d'abord avant que le Président ne tranche
00:30:29sur les réseaux sociaux pour la team des optimistes
00:30:31ou pour le défaitiste. Franchement, très bons arguments.
00:30:33C'était bien parce que bonne réponse comme ça sur l'histoire
00:30:35de la politique anglaise. Mais enfin, Tidiani,
00:30:37j'aime beaucoup. Mais !
00:30:39Mais ! Un peu d'optimisme, enfin !
00:30:41Surtout qu'en plus,
00:30:43ce n'était pas de l'optimisme béat.
00:30:45C'était des arguments qui étaient vraiment précis.
00:30:47Effectivement, n'oublions pas qu'on est une délégation.
00:30:49On est une délégation aussi nombreuse. Il y a 571 athlètes.
00:30:51Si je ne m'abuse. Vous avez effectivement
00:30:53le fait que la Russie ne soit pas là, ça change tout.
00:30:55Et dans ce fameux classement des médailles,
00:30:57il ne faut jamais oublier que ça correspond surtout
00:30:59déjà à une chose. Ce sont les médailles d'or qui vous permettent
00:31:01de gagner. Et donc, de fait, vous avez
00:31:03quand même des sports très forts.
00:31:05Notamment, on parlait du judo. Les judos féminins,
00:31:07on a l'impression qu'on peut, je ne dis pas qu'on va gagner partout,
00:31:09mais on peut gagner un maximum de médailles.
00:31:11Ça veut dire que si vous arrivez à avoir un peu plus de médailles d'or,
00:31:13d'un seul coup, vous allez rentrer dans le top 5
00:31:15mathématiquement, même si vous avez moins de médailles.
00:31:17Ce n'est pas un peu plus qu'il en faut. C'est presque deux fois plus.
00:31:19Oh non !
00:31:21Donc, le fait que la Russie ne soit plus là...
00:31:23Même à 15, tu peux...
00:31:25Camille, elle a bossé le sujet. Combien il faut de médailles d'or
00:31:27pour être dans le top 5, à peu près, si on regarde les dernières Olympiades ?
00:31:29Oui. Alors, on va dire que c'est entre
00:31:3115 ou 25 en fonction
00:31:33des éditions. Si on prend
00:31:35l'édition de Tokyo,
00:31:37la Russie qui était 5e,
00:31:39elle avait quand même décroché 20 médailles d'or.
00:31:41Mais il y a eu des places aussi.
00:31:43Donc, si on regarde Londres 2012,
00:31:45c'était un petit peu moins. C'était 13
00:31:47pour la Corée du Sud. Donc, en fait, ça dépend
00:31:49vraiment des éditions. Mais grosso modo, c'est
00:31:51entre 15 et 25 pour
00:31:53médailles d'or.
00:31:55Et pour compléter ça, j'ai regardé justement
00:31:57ce que j'ai appelé... Heureusement que dans les émissions,
00:31:59tu es payé pour ça. A l'habitude, je ne le fais pas. Depuis hier.
00:32:01Je m'y suis.
00:32:03Mais le Japon, entre
00:32:05l'édition précédente et 2021
00:32:07où ils ont organisé, ils sont passés de 12 à 27
00:32:09médailles d'or. 12 à 27, c'est quand même énorme.
00:32:11Le Brésil, ils font de 3 à 7.
00:32:13Alors, c'est un petit pays au niveau olympisme. Ils font de 3 à 7.
00:32:15Et le Royaume-Uni, donc, 2012, ils passent
00:32:17de 19 à 29. Donc, il y a vraiment un effet
00:32:19à domicile. Alors, comme tu l'as dit, il y a les moyens
00:32:21qui sont là. Il y a évidemment tout ce qui va
00:32:23porter les athlètes avec
00:32:25l'apport du public. Non, mais moi, à la base,
00:32:27j'ai répondu comme vous. C'est-à-dire qu'effectivement,
00:32:29je pense qu'effectivement, je continue
00:32:31même de le penser
00:32:33pour les raisons qui ont été
00:32:35énoncées. Effectivement, tu
00:32:37retires la Russie de l'équation. Effectivement,
00:32:39ça rebat les cartes. Effectivement, la prime
00:32:41au pays organisateur.
00:32:43Mais là où je trouve que Tidiani,
00:32:45il touche juste quand même, et ça,
00:32:47ça pose la question, c'est qu'effectivement,
00:32:49les Anglais, c'était un vrai plan
00:32:51lancé depuis des années. Et d'ailleurs,
00:32:53un plan qui était un petit peu particulier,
00:32:55c'était un plan où ils avaient ciblé des disciplines.
00:32:57Vélo. Voilà, exactement.
00:32:59Ils avaient ciblé les disciplines
00:33:01qui rapportaient à des médailles. Exactement.
00:33:03Les notations étaient calculées par rapport à...
00:33:05Voilà. Au dépens d'autres disciplines,
00:33:07c'est la mentalité anglaise, etc. Nous, c'est vrai
00:33:09qu'en France, on est beaucoup plus, par nature
00:33:11et par culture, plus égalitariste. Mais,
00:33:13là aussi, oui, tout juste, c'est que
00:33:15tu n'as pas l'impression d'un plan qui date
00:33:17depuis 10 ans. Un plan... On s'y est pris
00:33:19un peu tard. Mais Dave, Dave, vous connaissez
00:33:21quoi ? Ça fait, je ne sais pas... Ça ne fait même pas
00:33:233 ans qu'il est là. Oui, mais d'accord, mais il y a eu d'autres personnes
00:33:25avant lui. L'INSEP a été entièrement renové. Il y a quand même
00:33:27eu des moyens. Je veux dire, on ne s'est pas réveillé il y a 6 mois
00:33:29pour dire, ah oh, on a les géants, on va mettre des moyens.
00:33:31Je pense que de comparer à
00:33:33l'effort qui a été fait par les
00:33:35Anglais, c'est une erreur. Je ne pense pas qu'il y a
00:33:37la même concentration
00:33:39de moyens.
00:33:41Non, mais Dave, la différence,
00:33:43là, toi, tu compares par rapport aux Anglais,
00:33:45ce qui est évidemment un élément de comparaison possible.
00:33:47Mais tu as donné d'autres arguments.
00:33:49Tu as parlé du Japon, tu as parlé d'autres pays
00:33:51qui avaient organisé, qui avaient eu plus de médailles. C'est systématique.
00:33:53Tu as quand même un engouement populaire, une espèce
00:33:55de folie, un souffle qui va venir porter
00:33:57les athlètes français. Et le petit dixième
00:33:59qui va te manquer quelque part, tu vas le gagner.
00:34:01Et si ça se trouve, à la fin de la première semaine,
00:34:03la première semaine pourrait être assez intéressante pour nous,
00:34:05on ne sera déjà pas loin des...
00:34:07Surtout qu'il y a plein d'instituts qui se sont penchés sur la question,
00:34:09ces derniers jours, comme on parlait.
00:34:11Et ils te donnent tous, même parfois, des simulations extrêmement
00:34:13bien au-delà, même des 25.
00:34:15Attention, en athlée, on est quand même
00:34:17par rapport aux...
00:34:19Mais athlée, on va être français.
00:34:21Sauf que c'est quand même un gros morcif, quand même,
00:34:23dans les Jeux.
00:34:25Pas pour les Français.
00:34:27Non.
00:34:29Bien sûr.
00:34:31Ce que je dis, c'est que,
00:34:33par rapport aux nations qui ont l'habitude de finir devant nous,
00:34:35c'est des nations qui brillent
00:34:37en athlétisme.
00:34:39Il n'y a pas de problème. Nous, c'est la cinquième.
00:34:41Très bien. Nous, notre marge de progression, elle est où ?
00:34:43On est déjà au taquet
00:34:45dans les sports courts.
00:34:47Honnêtement, moi, je trouve un peu gênant l'histoire
00:34:49des médailles d'or.
00:34:51Oui, je trouve ça ridicule.
00:34:53Parce que gagner, je ne sais pas, 50, 60 médailles,
00:34:55par exemple, quelqu'un qui a 5 médailles d'or,
00:34:57a les 4 médailles d'or, 50 médailles,
00:34:59a moins réussi ses Jeux que quelqu'un qui a 6 médailles d'or
00:35:01et 4 médailles autres. Non.
00:35:03Il n'y a pas que la victoire.
00:35:05Tu retiens le vainqueur, tu retiens jamais le deuxième ou le troisième.
00:35:07Non, mais on est obligé de tous les retenir.
00:35:09Quand on parle de la force d'un pays sur le plan sportif,
00:35:11on ne se compte pas simplement la personne qui a gagné.
00:35:13C'est aussi le deuxième, le troisième.
00:35:15Et même, j'allais plus loin dans certains sports, c'est les finalistes.
00:35:17Et tu pourras même avoir ça sur les finalistes.
00:35:19Parce qu'en athlétisme, être finaliste de 100 m Olympique,
00:35:21c'est pas rien, c'est un truc énorme.
00:35:23Donc, ça devrait aussi pouvoir compter.
00:35:25On a une arme fatale que les autres pays n'ont pas.
00:35:27Et David a commencé à l'évoquer.
00:35:29En tant que payé organisateur, on a un avantage, Camille,
00:35:31et ça s'appelle la maison de la performance.
00:35:33Un énorme investissement pour les bleus
00:35:35qui a coûté 4,5 millions d'euros.
00:35:37Donc, pour vous expliquer un petit peu mieux
00:35:39ce qu'est cette maison de la performance,
00:35:41c'est 9000 m2 d'installation sportive,
00:35:43salle de combat,
00:35:45terrain de basket 3-3, ring de boxe,
00:35:47piste d'escrime, salle de fitness, cardio,
00:35:49espace de tir à l'arc,
00:35:51il y a aussi des espaces froids, chauds,
00:35:53pour optimiser les phases de récupération.
00:35:55Un resto ou pas ?
00:35:57Non, il est au village.
00:35:59Des salles de débrief pour toutes les fédérations,
00:36:01les staffs techniques, des espaces médicaux,
00:36:03tout est vraiment mis à disposition
00:36:05des athlètes français uniquement,
00:36:07on précise, qui pourront même être
00:36:09en lien direct avec leur coach,
00:36:11parce que tous les coaches n'ont pas pu être
00:36:13accrédités pour les JO.
00:36:15Il faut savoir que ce centre est collé au village olympique,
00:36:17donc à 5 minutes,
00:36:19c'est vraiment un réel avantage pour les bleus
00:36:21qui seront chouchoutés.
00:36:23Claude Onesta, le directeur de la Haute Performance de Lens,
00:36:25l'agence nationale du sport,
00:36:27explique au micro de Jérémy Hensman
00:36:29pourquoi ça peut aider les athlètes français.
00:36:33Je pense que ça peut les aider
00:36:35à se galvaniser un peu plus
00:36:37et aller vers la compétition
00:36:39avec peut-être
00:36:41beaucoup plus d'ambition
00:36:43qu'ils n'en auraient
00:36:45dans un contexte plus neutre.
00:36:47Donc mieux ils seront préparés,
00:36:49plus ils vont passer de la médaille potentielle
00:36:51à la médaille réalisée.
00:36:53C'est un investissement réfléchi,
00:36:55calculé,
00:36:57construit et adapté
00:36:59de manière très individualisée
00:37:01à chaque besoin.
00:37:03Voilà pour Claude Onesta qui nous raconte
00:37:05l'intérêt de cette maison de la performance,
00:37:07mais là où c'est vraiment pas idiot,
00:37:09c'est-à-dire que les autres athlètes,
00:37:11quand on va leur dire que vous allez faire
00:37:13une compétition,
00:37:15c'est parce qu'on va les bloquer
00:37:17sur les trois premiers films du périphérique.
00:37:19C'est accessoire ou c'est vraiment un vrai plus ?
00:37:21C'est un avantage énorme.
00:37:23C'est pas là que tu vas te découvrir
00:37:25à un niveau.
00:37:27Tu n'as pas gagné une médaille d'or,
00:37:29mais c'est ça.
00:37:31Vous êtes tranquillement en train de m'expliquer
00:37:33que les athlètes dont il y a deux minutes
00:37:35vous m'expliquiez qu'on ne les avait pas.
00:37:37Avec la maison de la performance,
00:37:39on va gagner le 100 m et tout.
00:37:41C'est très bien de l'avoir.
00:37:43C'est pas ça qui te transforme.
00:37:45C'est une des idées qu'on avait piquées
00:37:47aux Anglais après les JO de Londres.
00:37:49Les Anglais avaient expliqué
00:37:51tous les bienfaits qu'avait eu
00:37:53cette maison de la performance.
00:37:55Elle est vraiment à deux minutes du village
00:37:57et ouverte 24h sur 24.
00:37:59C'est une qui se présente
00:38:01parmi tant d'autres.
00:38:05Je veux bien qu'on fasse la promotion
00:38:07des outils, qu'on en soit fier.
00:38:09Ce centre est le bienvenu.
00:38:11Il permettra des petits gains
00:38:13à la marge
00:38:15qui te permettront de faire la différence
00:38:17pour un ou deux athlètes.
00:38:19On ne va pas cracher dessus.
00:38:21Je suis désolé.
00:38:23Estimer qu'avec un recul de 3-4 saisons,
00:38:25d'avoir un président qui vient exiger
00:38:27aux sorties de Tokyo des athlètes
00:38:29de faire deux fois plus de médailles
00:38:31alors qu'il leur a donné très peu de moyens
00:38:33au niveau des infrastructures,
00:38:35c'est quand même très léger.
00:38:37Il y a un plan qui a été lancé
00:38:39pour qu'il y ait des bourses qui soient distribuées
00:38:41pour qu'il y ait des équipements de proximité.
00:38:43Il y en a une partie qui est déjà là
00:38:45mais une autre partie qui n'arrivera
00:38:47que plus tard, après les jeux olympiques.
00:38:51J'estime que la haute performance
00:38:53ne se décrète pas.
00:38:55C'est quelque chose qui se planifie sur du long terme.
00:38:57Je n'ai pas l'impression qu'on a mis tout.
00:39:01Victoire de Thiliani sur le 2 contre 1.
00:39:03Non, la France n'y arrivera pas
00:39:05Le peuple est pessimiste.
00:39:07Le peuple est pessimiste.
00:39:09On est français, c'est pour ça qu'on nous aime.
00:39:11On est pessimiste, on vous comprend.
00:39:13En tout cas, dans un instant,
00:39:15on sera avec la handballeuse Pauletta Fauxpas
00:39:17en direct du Club France.
00:39:19On lui demandera si la maison de la performance
00:39:21s'a fait aider ou pas.
00:39:23Sachez, très important, le programme officiel
00:39:25des jeux olympiques qui est disponible
00:39:27dans tous les kiosques.
00:39:29Vous avez tout là-dedans.
00:39:31Vous avez les dates, le calendrier,
00:39:33la moindre petite information,
00:39:35ça se trouve là-dedans.
00:39:37Le guide de l'équipe aussi.
00:39:39Oui, je pense que ça fait partie de la même maison.
00:39:41Merci de me comprendre.
00:39:43La handballeuse Pauletta Fauxpas,
00:39:45la meilleure pivot du monde,
00:39:47qui est avec nous en direct du Club France.
00:39:49Salut Pauletta, bienvenue dans l'équipe du soir.
00:39:51Salut.
00:39:53C'est le jour des médias,
00:39:55c'est ta combientième interview ?
00:39:57Bonne chaîne.
00:39:59Allez, c'est la bonne.
00:40:01Est-ce que tu peux nous raconter ces derniers jours
00:40:03avec l'équipe de France de Vendredi ?
00:40:05Vous êtes arrivés quand ?
00:40:07Est-ce que tu as déjà dormi dans le village ?
00:40:09L'ambiance ?
00:40:11On veut que tu nous donnes toutes les coulisses.
00:40:13Ok, ça marche.
00:40:15On est arrivés samedi matin.
00:40:17On s'est bien installés.
00:40:19On y est déjà depuis un bon petit moment.
00:40:21On s'est entraînés dans une salle
00:40:23qui était directement au village.
00:40:25On s'est entraînés dans notre salle d'entraînement
00:40:27et dans la salle de match.
00:40:29Ça se peaufine plutôt bien.
00:40:31Est-ce que tu as déjà dormi et testé
00:40:33ces fameux lits en carton qu'on va revoir ?
00:40:35J'ai vu que certains athlètes avaient déjà
00:40:37des problèmes de dos ou avaient un peu critiqué
00:40:39en demandant des rendez-vous chez le kiné
00:40:41alors qu'ils ont l'air franchement solides.
00:40:43Il y a ces images d'athlètes
00:40:45qui testent les lits sans problème
00:40:47qui ont l'air plutôt solides.
00:40:49Est-ce que tu as bien dormi ? Est-ce que tu as mal au dos ?
00:40:51Comment ça se passe le lit en carton ?
00:40:53Moi, je savais à quoi m'attendre
00:40:55parce que c'est exactement les mêmes lits
00:40:57qu'on avait à Tokyo.
00:40:59Après, oui, ils sont durs.
00:41:01En tout cas, si on souhaite un lit moelleux,
00:41:03ce n'est pas du tout le cas.
00:41:05Moi, je n'ai pas de problème de dos
00:41:07donc ça va.
00:41:09On peut un peu les moduler pour avoir
00:41:11un lit un peu plus soft
00:41:13mais en tout cas, ce n'est pas un lit moelleux
00:41:15comme on pourrait avoir chez nous.
00:41:17Vous êtes installée comment dans ton immeuble ?
00:41:19Vous êtes rangée par sport, par pays ?
00:41:21Tu as pu croiser d'autres athlètes
00:41:23dans ton étage. Comment ça se passe ?
00:41:27Oui, on a un étage pour la France.
00:41:29J'ai croisé les handballeurs masculins.
00:41:31J'ai croisé
00:41:33les rugbymans,
00:41:35les gymnastes.
00:41:37En fait, tout le monde commence un peu
00:41:39à arriver par-ci, par-là.
00:41:41Il y a pas mal de monde mais à notre étage,
00:41:43il n'y a que les handballeuses.
00:41:45Est-ce que tu rêves de croiser ?
00:41:47Ça peut être à l'international.
00:41:50J'ai croisé Nadal.
00:41:52Je suis très contente pour l'instant.
00:41:54Là déjà, tu nous en mets plein les yeux.
00:41:56On est jaloux.
00:41:58Rêvez aussi de la rencontre.
00:42:00Rapha rêvait de te rencontrer, il nous a dit.
00:42:02Il y a les compétitions que tu vas essayer de suivre ?
00:42:04Pendant tes Jeux, tu auras l'occasion
00:42:06de pouvoir...
00:42:08Le basket.
00:42:10Basket, j'aimerais bien.
00:42:12Judo aussi.
00:42:14L'athlée.
00:42:16En tout cas, quand j'essaie
00:42:19Tu es là depuis quelques jours.
00:42:21Est-ce que tu es fière
00:42:23de ce que propose Paris 2024
00:42:25en termes de prestations pour les athlètes ?
00:42:27Tu n'as pas beaucoup de comparaison
00:42:29parce qu'à Tokyo, ce n'était pas le même contexte.
00:42:31J'ai vu qu'il y avait un tatoueur,
00:42:33une discothèque, un resto complètement dingue.
00:42:35Ça te plaît pour l'instant ce que propose Paris 2024 ?
00:42:39Franchement, oui.
00:42:41Je ne savais pas du tout à quoi m'attendre
00:42:43quand j'arrivais sur le village.
00:42:45C'est vrai que les infrastructures
00:42:47sont à la hauteur de ce que je peux comparer
00:42:49par rapport à Tokyo.
00:42:51Franchement, ça va.
00:42:53C'est plutôt bien.
00:42:55Juste avant toi, et après je lâche la main
00:42:57à mes copains, mais on parlait avec Claude Nesta
00:42:59de la fameuse maison de la performance.
00:43:01On avait des doutes sur le plateau
00:43:03si c'était vraiment un argument
00:43:05pour que les bleus soient encore meilleurs.
00:43:07Est-ce que tu as déjà pu y aller ?
00:43:09Est-ce que tu penses que ça peut faire la diff ?
00:43:11À Tokyo, vous ne l'aviez pas par exemple.
00:43:13Donne-nous ton avis là-dessus.
00:43:15Je ne l'avais pas du tout.
00:43:17Je ne sais pas.
00:43:19Après, la maison de la performance,
00:43:21je pense qu'il faut la partager
00:43:23avec tout le monde.
00:43:25Je ne sais pas trop quoi y penser.
00:43:27Que avec les bleus, c'est ça l'avantage.
00:43:29Paul Etat, je te passe un grand fan,
00:43:31Hervé Penoir.
00:43:33Une petite question.
00:43:35Est-ce qu'on sent vraiment une pression
00:43:37incroyable, maximale
00:43:39dans les derniers jours de l'événement ?
00:43:41Est-ce que même familialement,
00:43:43c'est vraiment un moment unique
00:43:45dans une carrière de sportif de haut niveau ?
00:43:47Et on est derrière vous !
00:43:49C'est gentil.
00:43:51Oui, c'est sûr qu'on a un peu la pression.
00:43:53Mais je dirais que c'est plus les gens
00:43:55de l'extérieur qui nous mettent cette pression-là.
00:43:57Et c'est vrai qu'au centre du collectif,
00:43:59on est plus excités en tout cas
00:44:01de commencer cette compétition.
00:44:03La préparation a été très très longue
00:44:05et on aime jouer des matchs.
00:44:07Nous, on a juste hâte de jouer, clairement.
00:44:09Plus excité de commencer le premier match,
00:44:11jeudi, face à la Hongrie ?
00:44:13Ou alors la cérémonie d'ouverture de vendredi ?
00:44:17Je suis plus excitée par le match
00:44:19que la cérémonie d'ouverture.
00:44:21Mais on fera les deux.
00:44:25Réponse de sportive, c'est bien normal.
00:44:27Olivier Bossard.
00:44:29Je voulais vous poser une question
00:44:31par rapport à cette cérémonie d'ouverture
00:44:33qu'on annonce plutôt grandiose.
00:44:35A quoi est-ce que vous vous attendez
00:44:37et à quel point vous avez hâte
00:44:39d'être au lieu des 300 000 spectateurs ?
00:44:45Bonsoir.
00:44:47Je pense que ça va être ouf
00:44:49parce qu'à Tokyo,
00:44:51moi personnellement,
00:44:53je n'avais pas trop apprécié.
00:44:55On était enfermés dans un hangar
00:44:57en attendant notre passage
00:44:59pendant plus de trois heures
00:45:01et on avait super chaud.
00:45:03Donc là, je me dis d'être sur des bateaux
00:45:05et regarder un peu tout le monde.
00:45:07Je ne sais pas trop comment ça va se passer
00:45:09mais en tout cas,
00:45:11de ce qu'ils promettent, ça a l'air pas mal.
00:45:13Une nouvelle question.
00:45:15Il y a trois ans,
00:45:17c'était des JO un peu particuliers.
00:45:19Il n'y avait pas du tout autour de vous
00:45:21personne, pas de supporters,
00:45:23pas de spectateurs.
00:45:25On a vécu d'autres JO.
00:45:27Est-ce que vous avez l'impression
00:45:29de vivre vraiment des JO ?
00:45:31Ce qui n'était peut-être pas le cas
00:45:33la dernière fois.
00:45:35Qu'est-ce que vous pouvez découvrir aujourd'hui ?
00:45:39Oui, ça sera totalement différent.
00:45:41Je pense qu'à Tokyo,
00:45:43tout le monde avait un peu peur
00:45:45d'attraper le Covid.
00:45:47Tout le monde faisait attention
00:45:49à ne pas trop se fréquenter.
00:45:51Là, c'est vrai qu'il y a beaucoup plus d'échanges.
00:45:53Les gens osent venir nous voir
00:45:55pour demander des photos ou vice-versa.
00:45:57Je trouve que c'est différent
00:45:59par rapport aux athlètes.
00:46:01C'est vrai qu'on n'a plus cet effet aussi bulle
00:46:03par rapport à Tokyo.
00:46:05C'est totalement différent.
00:46:07Là aussi, il n'y a pas le décalage horaire
00:46:09avec nos familles ou avec les supporters.
00:46:11Là, c'est vrai qu'on sera vraiment
00:46:13dans le vif des sujets.
00:46:15Pour moi, ce sera vraiment des JO
00:46:17totalement différentes de ce que j'ai pu rencontrer.
00:46:19Vous parliez des photos
00:46:21que vous pouviez faire.
00:46:23Vous avez un autre statut, l'équipe de France ?
00:46:25Oui.
00:46:27C'est vraiment l'équipe qu'on regarde,
00:46:29tout le monde vient vous voir ?
00:46:31Oui, totalement.
00:46:33Je pense que c'est aussi par rapport
00:46:35aux dernières compétitions qu'on a faites.
00:46:37Les gens attendent plus de nous.
00:46:39Les gens regardent plus de Handball.
00:46:41C'est vrai que Handball a un peu changé
00:46:43sa manière de diffuser les matchs.
00:46:45On passe aussi sur des chaînes gratuites.
00:46:47Je pense que ça fait la différence.
00:46:49On arrive à aller chercher
00:46:51un public un peu plus large.
00:46:53Ça, grâce à votre réussite
00:46:55et à vos titres. Bravo et merci !
00:46:57Elle n'a encore rien fait, mais bon courage
00:46:59et bravo pour la médaille qui va venir !
00:47:01Mais oui ! Il faut bisser !
00:47:03Salut Paul Etafoppa, en direct du Club France.
00:47:05Très sympa ces petites coulisses.
00:47:07On essaiera tous les jours dans l'émission
00:47:09d'être en direct avec les Olympiens.
00:47:11C'était Tom Trichereau, derrière la caméra
00:47:13que l'on remercie.
00:47:15Petite visite du village olympique,
00:47:17ça vous branche ou pas ?
00:47:19Avec les athlètes.
00:47:21C'est eux qui vont nous aider
00:47:23à découvrir ce lieu magique.
00:47:25N'hésitez pas à repérer les petites choses
00:47:27et à vous abonner !
00:47:57C'est une petite maison
00:47:59avec un lit et un topper de matraque.
00:48:01Et on a notre propre Paris 24.
00:48:03Et comme vous pouvez le voir,
00:48:05ils sont assez solides.
00:48:15L'endroit est quelque part là-bas.
00:48:17Oh, c'est dans le bâtiment de la Serbie.
00:48:21Tout blanc.
00:48:23Deux couleurs et deux...
00:48:25Il y a douze laveries en plus.
00:48:27Des petites questions ?
00:48:29Des petites choses sur ce qu'on a vu ?
00:48:31Le McLaren a l'air mou, non ?
00:48:33A quelle heure ferme le club ?
00:48:35La discothèque ou le Club France ?
00:48:37Non, la discothèque.
00:48:39Je n'ai pas l'information.
00:48:41En revanche, le Club France,
00:48:43je pense qu'il ne va pas fermer
00:48:45pendant trois semaines
00:48:47parce qu'il va se passer
00:48:49beaucoup de choses là-bas.
00:48:51On fait une petite visite, Camille ?
00:48:53Tout les préparatifs ne sont pas encore finis.
00:48:57Notre envoyée spéciale,
00:48:59on visite un petit peu les coulisses
00:49:01de ce fameux Club France
00:49:03qui est installé à La Villette.
00:49:05On le rappelle, la scène, le podium
00:49:07où seront accueillis tous les athlètes.
00:49:09Les médaillés passeront pour animer
00:49:11les journées, les soirées.
00:49:13Et on vous rappelle notre dispositif spécial
00:49:15tous les soirs, l'équipe du soir spéciale
00:49:17à partir de 22h55
00:49:19pour ne rien rater de l'actu des Jeux
00:49:21avec notre baroudeuse qui sera au Club France
00:49:23Anne-Sophie Bernardi
00:49:25pour recueillir toutes les émotions
00:49:27et on espère plein de joie
00:49:29et de médaillés français.
00:49:31C'est vraiment la spécificité des Jeux France
00:49:33par rapport à d'autres compétitions sportives
00:49:35comme la coupe du monde de foot
00:49:37ou le prestige est le même,
00:49:39le même rayonnement
00:49:41ou plus, peu importe.
00:49:43C'est que tous ces lieux de vie
00:49:45c'est quasiment
00:49:47une deuxième motivation
00:49:49pour beaucoup d'athlètes.
00:49:51Il n'y a pas un athlète par exemple
00:49:53dont le sport n'est pas forcément un sport très olympique
00:49:55je pense aux joueurs de tennis ou peut-être même des joueurs de foot
00:49:57mais par exemple un Antoine Griezmann
00:49:59il expliquait souvent ça quand en fait lui il voulait participer au jeu
00:50:01je pense qu'évidemment qu'il y a l'idée peut-être
00:50:03de gagner une médaille ou quelque chose
00:50:05mais je pense de vivre quelque chose
00:50:07partager un truc avec les autres athlètes
00:50:09qui soient français ou éventuellement...
00:50:11L'histoire de Paul Etat qui explique
00:50:13j'ai vu Nadal.
00:50:15Et je trouve que c'est ça aussi le truc
00:50:17on est un peu toujours dans les trucs
00:50:19de médailles, de performances, etc.
00:50:21Mais qu'en fait il y a toute cette expérience olympique
00:50:23qui en fait est au moins aussi puissante
00:50:25sinon plus même pour ça.
00:50:27Et d'ailleurs certains athlètes disent que la première fois qu'ils font deux JO
00:50:29ils se font un peu avoir par ça justement.
00:50:31Parce qu'ils sont pris.
00:50:33Ils sont pris par l'ambiance, par la volonté de rencontrer les gens.
00:50:35Il ne faut pas être spectateur de ses propres exploits.
00:50:37On passe au Mercato Express
00:50:39après on reviendra au jeu un petit peu plus tard.
00:50:41Camille les derniers dossiers du jour
00:50:43on va à Marseille je crois pour commencer.
00:50:45Heuchberg qui rejoint officiellement Marseille
00:50:47l'international danois de 28 ans
00:50:49a officiellement
00:50:51signé à l'OM ce lundi.
00:50:53C'est un prêt avec option d'achat obligatoire
00:50:55de 4 ans. L'arrivée du milieu
00:50:57de terrain de Tottenham est un beau coup
00:50:59pour l'entrejeu
00:51:01marseillais. Je vais y arriver.
00:51:03Pour l'enjeu aussi.
00:51:05Mais surtout l'entrejeu marseillais.
00:51:07On a un Danois en plateau qu'on va aller voir. C'est un bon coup pour l'OM ça ?
00:51:09C'est un excellent coup.
00:51:11Enfin des bonnes nouvelles dans notre Ligue 1.
00:51:13On n'a pas d'argent pour les droits télé
00:51:15mais on arrive quand même à attirer ce genre de joueur.
00:51:17Franchement c'est fabuleux.
00:51:19On parle d'un joueur qui a été indéboulonnable
00:51:21en première Ligue pendant au moins 7-8 ans.
00:51:23Jusqu'à la saison dernière.
00:51:25Mais bon ça reste quand même une référence.
00:51:27Un international danois.
00:51:29Franchement le voir au milieu de terrain
00:51:31à Marseille.
00:51:33Attaché à l'OM en plus.
00:51:35Oui puisqu'il a quand même des origines françaises.
00:51:37Mais réussir
00:51:39à attirer un joueur de ce calibre là
00:51:41dans la Coupe d'Europe c'est franchement chapeau.
00:51:43Je pense que tu as un peu l'effet De Zerbi aussi.
00:51:45Parce que ce sont des joueurs de première Ligue.
00:51:47On parle aussi d'Enquetia etc.
00:51:49Ce sont des joueurs qui savent ce que De Zerbi
00:51:51a fait à Brighton.
00:51:53Et comme des joueurs, je ne dirais pas anonymes,
00:51:55mais certains sont devenus même internationaux.
00:51:57Enfin en tout cas ont joué un football incroyable.
00:51:59Je pense qu'il y a aussi cet effet là qu'on ne mesure peut-être pas très bien.
00:52:01Passe décisif pour Camille.
00:52:03Puisque après cette 4ème recrue, une 5ème pourrait très vite arriver.
00:52:05Oui une info, l'équipe c'est Eddy Enquetia
00:52:07à 25 ans qui serait proche d'un accord
00:52:09avec l'OM. On parle là aussi d'un prêt
00:52:11avec option d'achat dans un an
00:52:13pour l'attaquant d'Arsenal. Il faut maintenant trouver
00:52:15un terrain d'entente avec les Gunners
00:52:17puisque l'international anglais est encore
00:52:19sous contrat avec Arsenal jusqu'en 2027.
00:52:21Je crois que ce qui interpelle quand même
00:52:23dans cette possible 5ème recrue, c'est que l'OM va très vite.
00:52:25C'est une bonne chose, mais on se demande s'ils ne vont pas changer.
00:52:27Je le disais dans l'équipe, on parlait de renouveler 80%
00:52:29de l'effectif.
00:52:31On a l'impression qu'ils font ça systématiquement.
00:52:33On sait que la stabilité quand même c'est important.
00:52:35Un coach a besoin d'avoir ses joueurs.
00:52:37Il faut aussi composer avec l'effectif en place
00:52:39et s'adapter un minimum.
00:52:41Ne pas avoir de stabilité, moi ça m'interpelle.
00:52:43J'espère qu'en fait cette instabilité,
00:52:45en tout cas ce changement drastique qu'on a vu
00:52:47les saisons précédentes, mais que cette fois ça s'inscrit dans un cycle.
00:52:49Ce n'est pas la même chose.
00:52:51Si Deserbi arrive et dit voilà, moi j'ai besoin de tel profil
00:52:53et que tu le lui donnes parce que tu ne les as pas,
00:52:55ça va. Si c'est encore le même jeu
00:52:57de mécano et que la saison prochaine
00:52:59tu te retrouves de nouveau à démanteler le tout,
00:53:01on sait où ça mène.
00:53:03Moi j'ai envie de croire qu'ils sont dans un truc un peu plus vertueux.
00:53:05Il y a des arrivées et il y a des départs aussi du côté de l'OM
00:53:07avec De La Fuente.
00:53:09Et oui, David en parlait justement de ce gros turnover.
00:53:11Toujours une information, l'équipe Konrad De La Fuente
00:53:13qui va quitter Marseille.
00:53:15L'américain de 23 ans va signer en Suisse
00:53:17à Lausanne, alors le montant du transfert
00:53:19lui n'est pas encore connu.
00:53:21Tandis que l'OM se renforce, Paris pourrait bien
00:53:23se faire doubler dans un de ses gros dossiers mercataux.
00:53:25Nouvelle offre XXL du Bayern
00:53:27pour Désiré Doué.
00:53:2955 millions d'euros
00:53:31bonus compris proposés à Rennes
00:53:33selon les confrères d'RMC Sport.
00:53:35Le PSG qui était sur le coup,
00:53:37après avoir fait une offre de 45 millions,
00:53:39va devoir contre-attaquer
00:53:41pour convaincre Rennes de lui céder l'international
00:53:43Espoir de 19 ans.
00:53:45C'est un énorme contrat qui est proposé.
00:53:47Si Diagny, rapidement, Paris doit tout faire pour le recruter ou pas ?
00:53:49Tout, je ne sais pas.
00:53:51Le PSG a annoncé
00:53:53qu'il était un petit peu plus rationnel
00:53:55sur ses dépenses d'après ce que disait
00:53:57Nasser Al-Khelaifi.
00:53:59Donc oui, Doué doit faire partie des cibles privilégiées
00:54:01mais moi je persiste à dire
00:54:03qu'il y a un juste prix pour tous les joueurs
00:54:05et qu'à un moment, il ne faut pas non plus être dans l'assurancière.
00:54:07Et il est actuellement avec l'équipe de France Olympique de Thierry Henry
00:54:09dont on reparlera dans un instant.
00:54:11On achète un potentiel et pas des états de service.
00:54:13Donc il y a toujours aussi une part de risque à ce niveau-là.
00:54:15Youssouf Fofana se rapproche encore de l'assimilant.
00:54:17Oui, Fofana qui a trouvé un accord contractuel
00:54:19pour 4 ans avec l'assimilant
00:54:21selon nos confrères d'RMC Sport.
00:54:23Le club lombard doit maintenant se mettre
00:54:25d'accord avec Monaco pour assurer
00:54:27l'arrivée de l'international français
00:54:29aussi on le rappelle à Manchester United.
00:54:31Et puis un autre international français
00:54:33qui va changer de club durant ce mercato estival.
00:54:35Oui, c'est Moussa Diaby qui va signer à Al-Atyad.
00:54:37C'est quasiment fait
00:54:39alors que l'équipe annonçait hier
00:54:41un accord total entre Aston Villa
00:54:43et le club saoudien.
00:54:45L'international français de 25 ans
00:54:47va signer un contrat de 5 ans pour
00:54:4959 millions d'euros
00:54:51selon nos confrères d'RMC.
00:54:53Ce serait la 4e recrue
00:54:55la plus chère du championnat saoudien
00:54:57derrière Neymar, Malcom et Octavio.
00:54:59C'est juste énorme.
00:55:01Ça vous déçoit ou on commence à s'y faire ?
00:55:03Non, ça ne me déçoit pas du tout.
00:55:05Chacun fait ce qu'il veut.
00:55:07Moi, je ne vis pas la vie des autres.
00:55:09Non, mais...
00:55:11Et il ne va pas dans un championnat.
00:55:13Il va voir MLS.
00:55:15Il va dans un championnat où le niveau est supérieur.
00:55:17On parle de quelqu'un
00:55:19qui était qualifié en Ligue des champions
00:55:21avec Aston Villa. On parle de ça.
00:55:23Et qui, là, va partir...
00:55:25Vous n'allez pas me dire qu'il vivait sous les ponts avec le salaire...
00:55:27C'est un très bon joueur, mais
00:55:29on est obligé de voir qu'à Leverkusen,
00:55:31il n'est pas totalement rentré dans le train
00:55:33et que là, Aston Villa, alors que le train
00:55:35est parti, il en sort aussi à ce moment-là.
00:55:37Moi, ça m'interroge deux fois
00:55:39qu'un joueur avec autant de talent
00:55:41n'arrive pas à s'inscrire dans la durée.
00:55:43Ça vient aussi peut-être un petit peu...
00:55:45T'as l'impression qu'il fait des trucs à contre-temps ?
00:55:47Parce qu'en fait, l'année dernière,
00:55:49il avait la même proposition.
00:55:51C'était pas le même club, mais
00:55:53c'était le même principe.
00:55:55Il avait refusé pour privilégier le truc sportif.
00:55:57Il se qualifie dans le top 4
00:55:59en Ligue des champions.
00:56:01Ça a validé son choix
00:56:03et c'est à ce moment-là qu'il se tire.
00:56:05Moi, j'ai le droit d'être déçu. Mais après, effectivement,
00:56:07il fait ce qu'il veut de sa vie.
00:56:09Mais ça me plaît pas !
00:56:11C'est pour ça qu'il est professeur.
00:56:13Après la pub, vous allez retrouver le sourire
00:56:15parce qu'on va revenir au jeu et vous allez me dire
00:56:17quelle est la star française que vous attendez.
00:56:19Je vous attends au tournoi. Vous avez 5 minutes
00:56:21et c'est parti !
00:56:31On est de retour dans l'équipe du soir.
00:56:33On parle des Jeux, bien sûr,
00:56:35à la veille des premières compétitions
00:56:37à 3 jours de la sérénité d'ouverture.
00:56:39D'ailleurs, on s'intéressera au bleu de Thierry Henry.
00:56:41Tout à l'heure, les bleus du foot,
00:56:43peuvent-ils être sacrés champions olympiques ?
00:56:45Grosse mission ! Mais pour l'instant,
00:56:47je vous l'avais dit avant la pub,
00:56:49qui est-ce que vous attendez dans toute la délégation française
00:56:51composée de combien d'athlètes ?
00:56:53571 !
00:56:55Et 11 !
00:56:57Vous êtes très très bons !
00:56:59571 athlètes !
00:57:01Et on connaît tous les noms !
00:57:03Je ne vous demande pas tous les noms,
00:57:05je vous en demande un par chroniqueur.
00:57:07Quelle star française attendez-vous le plus ?
00:57:09Habillage à la marseillaise ?
00:57:11Bien sûr !
00:57:13Daïdaïello !
00:57:15Olivier Beaussard !
00:57:17Bruno Décathlon !
00:57:19Kevin Maillard !
00:57:21President ?
00:57:23Tidien Yimbaud !
00:57:25Romane Dicot !
00:57:27Judo 4 !
00:57:29Des lapins d'où ?
00:57:31Teddy Riner et Marine Joannès !
00:57:33Marine Joannès !
00:57:35Basket !
00:57:37Parce que j'adore le basket et j'adore son jeu !
00:57:39C'est un phénomène qu'on ne mesure pas en France.
00:57:41On en parlera après !
00:57:43Je suis le président, j'ai le droit à plusieurs choix.
00:57:45J'ai hésité entre Teddy Riner et Marchand.
00:57:47Côté homme, parce que c'est dur.
00:57:49Il y a quand même le côté Riner,
00:57:51c'est Riner.
00:57:53Et le Marchand,
00:57:55l'avantage de Marchand,
00:57:57c'est qu'il va être plus long.
00:57:59On va le voir plusieurs fois.
00:58:01On choisit qui ?
00:58:03Teddy Riner, parce qu'il est plus costaud.
00:58:05Mais personne n'a pris Marchand !
00:58:07Je prends Marchand !
00:58:09Sur les femmes,
00:58:11j'étais aussi un peu Romane Dicot.
00:58:13J'ai vu un reportage sur elle.
00:58:15La couturière.
00:58:17J'ai adoré.
00:58:19J'adore le judo.
00:58:21Je suis obligé de sortir du cadre franco-français.
00:58:23Je suis désolé France.
00:58:25Mais on fera la fin des étrangers si tu veux.
00:58:27Lebron James, t'allais me dire ?
00:58:29Non, pas du tout.
00:58:31Simon Bice, la gymnaste.
00:58:33On commence par les Français.
00:58:35Vous m'avez dit Teddy Riner.
00:58:37Pour quelle raison ?
00:58:39Le triple champion olympique.
00:58:41Parce que ça fait plus de 15 ans
00:58:43qu'on l'accompagne, qu'on l'a vu grandir.
00:58:45On l'a vu débuter à Pékin.
00:58:47On l'a vu finalement
00:58:49être sacré
00:58:51au judo suivant.
00:58:53On a suivi son parcours.
00:58:55Je pense qu'il a fait grandir le judo également.
00:58:57Il nous a fourni beaucoup d'émotions
00:58:59au cours de ses combats.
00:59:01Je trouve aussi que c'est une personnalité
00:59:03très forte aujourd'hui dans le sport français.
00:59:05Il porte beaucoup de valeur.
00:59:07Il est très investi.
00:59:09Il coche toutes les cases.
00:59:11Il y a le rebond post-Tokyo
00:59:13qu'on a envie de voir.
00:59:15Il n'avait pas réussi à décrocher l'or
00:59:17en individuel sur ces JO.
00:59:19Pour moi, c'est la star française
00:59:21de ces JO.
00:59:23Vous l'attendez ?
00:59:25Est-ce qu'il sera au niveau de vos attentes ?
00:59:27Il peut aller décrocher l'or ?
00:59:29Il a l'air de bien revenir.
00:59:31Pour lui, c'est l'ultime challenge
00:59:33de sa carrière.
00:59:35Il a fait beaucoup de sacrifices.
00:59:37Il a fait beaucoup de sacrifices pour s'assurer
00:59:39d'une préparation olympique optimale.
00:59:41Je crois à 100% en lui.
00:59:43La fameuse prime à l'organisateur
00:59:45de jouer à domicile,
00:59:47j'y crois à 100%.
00:59:49Il va évoluer avec un public en feu derrière lui.
00:59:51Je n'imagine pas Teddy
00:59:53ne pas être champion olympique.
00:59:55Deux compétitions pour lui en plus.
00:59:57En équipe, ce sera le 2 et le 3 août
00:59:59pour les plus de 100 kg.
01:00:01D'autres qu'il avait rejoints sur Teddy Riner.
01:00:03J'étais aussi sur Riner.
01:00:05Il y a le côté presque synonyme
01:00:07de Jeux olympiques.
01:00:09Teddy Riner, c'est ça.
01:00:11C'est les Jeux olympiques depuis 15 ans.
01:00:13C'est son cinquième jeu.
01:00:15Au-delà de ça,
01:00:17par sa personnalité,
01:00:19son physique aussi,
01:00:21c'est un personnage fantasmagorique.
01:00:23C'est quelqu'un qui, dans une discipline
01:00:25où c'est compliqué d'être une vraie star,
01:00:27je parle d'une star au niveau
01:00:29des footballeurs,
01:00:31lui, où qu'il soit,
01:00:33sur les Champs-Elysées,
01:00:35il y a une émeute.
01:00:37Pour moi, ce côté phénoménal
01:00:39mais constance dans l'excellence,
01:00:41parce que c'est le palmarès qui l'a,
01:00:43s'il gagne là, je pense que c'est pas loin
01:00:45d'être le plus grand sportif français.
01:00:47En tout cas,
01:00:49à quatre titres olympiques,
01:00:51il n'y a que deux escrimeurs qui l'ont fait.
01:00:53C'était dans les années 30 et dans les années 50.
01:00:55Ça te le placerait dans une espèce
01:00:57de panthéon comme ça,
01:00:59presque ultra restreint, un club ultra sélect.
01:01:01Je trouve que pour toutes ces raisons-là,
01:01:03qu'elle soit sportive ou extra-sportive
01:01:05par rapport à ce qu'il génère,
01:01:07le côté star, c'est lui.
01:01:09Il a ce côté star.
01:01:11On l'a ou on ne l'a pas, c'est comme ça.
01:01:13Le charisme, évidemment.
01:01:15Quand je prenais l'avion
01:01:17à côté de lui, il n'était pas loin.
01:01:19L'avion a penché.
01:01:21Il a des brosses, c'est mes deux cuisses.
01:01:23Il a battu au Marseille.
01:01:25Il a aussi dit que tu l'avais
01:01:27un peu intimidé.
01:01:29Je lui ai parlé, il ne l'a pas ramené.
01:01:31C'est vrai qu'il a tout pour lui.
01:01:33Il a quelque chose
01:01:35de démentiel hors norme.
01:01:37Teddy Riner, c'est votre choix
01:01:39tous les trois.
01:01:41Olivier Beaussart a choisi Kevin Mayer.
01:01:43Surprenant, parce qu'il n'est pas dans la plus grande forme
01:01:45de sa vie.
01:01:47Je l'attends déjà physiquement.
01:01:49C'est un athlète que j'ai envie de voir au JO.
01:01:51Les dernières images de lui sont absolument terribles.
01:01:53Il est en larmes.
01:01:55Il crie sur la piste de Charletti.
01:01:57C'est terrible.
01:01:59C'est quelqu'un qui ne vit depuis 4 ans
01:02:01que pour ses JO parisiens.
01:02:03Il mange JO, il dort JO,
01:02:05il boit JO depuis autant de temps.
01:02:09Il est près de la ligne.
01:02:11Malheureusement, ce serait presque un miracle
01:02:13qu'il y soit.
01:02:15Ce qui est terrible, c'est que son histoire
01:02:17avec les JO, on avait l'impression qu'elle n'était pas terminée.
01:02:19Il fait deuxième à Rio.
01:02:21Il fait deuxième à Tokyo.
01:02:23Pourtant, c'est un athlète qui a été
01:02:25champion du monde plusieurs fois.
01:02:27C'est un athlète qui a le record du monde.
01:02:29Il lui manquait juste
01:02:31ce titre olympique.
01:02:33Je n'ai vraiment pas envie
01:02:35pour lui que l'histoire se termine comme ça.
01:02:37J'ai envie de le voir dans ces JO
01:02:39pour lesquels
01:02:41il bosse depuis trop de temps
01:02:43pour que ça foire
01:02:45aussi proche du but.
01:02:47Je pense qu'il va pouvoir faire au moins quelques épreuves.
01:02:49C'est des ischios, sa blessure.
01:02:51C'est des ischios.
01:02:53Les footeux qui sont régulièrement autour de la table
01:02:55nous disent que les ischios, c'est très compliqué.
01:02:57Qu'il faut du temps pour s'en remettre.
01:02:59Ce qui est terrible pour la délégation française,
01:03:01c'est que si on revient un an en arrière,
01:03:03quasiment la seule
01:03:05médaille possible
01:03:07qu'on pouvait avoir en athlétisme,
01:03:09c'était lui.
01:03:11C'est un petit peu évolué depuis,
01:03:13mais ce serait vraiment un sale coup.
01:03:15Attention à son successeur,
01:03:17Mackensen-Gletty, qui a cartonné au dernier
01:03:19championnat du monde ou d'Europe ?
01:03:21D'Europe.
01:03:23L'autre Français, vous vous souvenez, qui a couru son centimètre
01:03:25et tout seul, qui a arrêté de battre les records
01:03:27et qui pourrait bien prendre la relève.
01:03:29Président, vous finissez, comme d'habitude.
01:03:31Romane Dicot pour Thierry Niembo.
01:03:33Plus que Teddy Riner, par exemple, ou c'était vraiment pour faire
01:03:35le pendant féminin ?
01:03:37Non, parce que jusqu'à présent,
01:03:39les athlètes qu'on a cités sont
01:03:41associés à des succès qu'on a eus.
01:03:43Autant je pense que Romane Dicot, elle peut être l'athlète
01:03:45de ces Jeux, des Jeux de Paris.
01:03:47Parce qu'elle domine, voire archi-domine
01:03:49sa catégorie dans un sport
01:03:51qui nous est très cher aussi à nous Français.
01:03:53Ce qui va lui donner aussi une exposition
01:03:55supplémentaire. Elle peut gagner une médaille d'or
01:03:57en individuel et aussi
01:03:59une médaille sur la compétition mixte
01:04:01par équipe. Donc elle peut être
01:04:03une très grande pourvoyeuse de médailles.
01:04:05Il y a aussi la personnalité qui est la sienne.
01:04:07Elle est très solaire,
01:04:09très souriante, très disponible.
01:04:11Elle a aussi des engagements sur
01:04:13des valeurs très importantes,
01:04:15comme la parité, comme le body positif.
01:04:17D'ailleurs, elle a été là dernièrement
01:04:19encore reprise un petit peu là-dessus.
01:04:21Parce qu'on lui a reproché un petit peu
01:04:23encore des choses sur son physique.
01:04:25Autant j'entends qu'on puisse
01:04:27voir mon Riner.
01:04:29C'est déjà une star établie.
01:04:31Moi, personnellement,
01:04:33je vais même dire que je n'ai pas une
01:04:35énorme attente sportive autour
01:04:37de Riner. Parce que je sais qu'aujourd'hui, il peut perdre.
01:04:39Dicot, j'attends qu'elle gagne.
01:04:41Par rapport à mon attente,
01:04:43il y a aussi la performance qui rentre en compte.
01:04:45En termes de performance, Dicot peut être l'une
01:04:47des grandes figures de ces Jeux.
01:04:49Surtout qu'elle n'est pas championne olympique individuelle.
01:04:51Elle l'est par équipe.
01:04:53Elle est championne du monde individuelle,
01:04:55mais pas aux JO.
01:04:57C'est très intéressant.
01:04:59Le fait qu'elle porte un message aussi.
01:05:01Tu parlais sur le body positif, etc.
01:05:03Elle a reçu des messages d'insultes
01:05:05invraisemblables, de racisme
01:05:07décomplexé,
01:05:09qu'on entend un peu trop ces derniers temps.
01:05:11C'est vrai qu'elle
01:05:13porte aussi cet étendard-là.
01:05:15C'est-à-dire qu'elle est un peu plus qu'une sportive
01:05:17d'une certaine manière.
01:05:19Quand j'ai vu ce reportage sur elle,
01:05:21c'était vraiment top.
01:05:23Elle représente quand même
01:05:25le judo féminin français qui est incroyable.
01:05:27Parce qu'on a parlé d'elle,
01:05:29on pourrait parler d'Akbeninou,
01:05:31Malonga incroyable, Bouchard incroyable.
01:05:33Il y a des filles
01:05:35qui sont...
01:05:37On va toutes les attendre avec impatience.
01:05:39Elles nous ont souvent fait rêver.
01:05:41Plus que les garçons récemment.
01:05:43Pourtant de la choisir inner,
01:05:45mais inner parce que c'est peut-être autre chose.
01:05:47Mais on est obligé de parler de marchands.
01:05:49Le sport féminin avec
01:05:51Dev, Marine Joannès.
01:05:53C'est fou ça, pourquoi ?
01:05:55J'adore.
01:05:57Fais-moi une star peut-être
01:05:59du sport français en France.
01:06:01Aux Etats-Unis, c'est quelqu'un
01:06:03qui fait sensation.
01:06:05Je l'ai dit tout à l'heure
01:06:07en introduction, c'est quelqu'un qui a...
01:06:09Tu as tout dit, je t'ai dit à temps.
01:06:11Qui a déclenché
01:06:13les félicitations et l'admiration
01:06:15de quelqu'un comme Lebron James
01:06:17sur une discipline.
01:06:19Le championnat féminin est très exposé
01:06:21aux Etats-Unis, ce n'est pas tout à fait
01:06:23la même chose qu'ici.
01:06:25Je trouve que son jeu ultra spectaculaire
01:06:27dans une discipline que j'aime particulièrement
01:06:29c'est-à-dire le basket,
01:06:31c'est l'occasion pour le public français
01:06:33au sens large.
01:06:35Les téléspectateurs de la chaîne L'Equipe l'ont vu
01:06:37dans les matchs de préparation.
01:06:39Je parle pour le très grand public de découvrir
01:06:41une joueuse qui a un style hyper flashy,
01:06:43hyper spectaculaire,
01:06:45qui prend des tirs invraisemblables
01:06:47niveau Steph Curry.
01:06:49J'ai envie de la voir.
01:06:51C'est un vrai sujet d'attraction.
01:06:53Ce sont ses 3e jeux, elle a fait bronze et 4e.
01:06:55Le premier match c'est lundi contre le Canada.
01:06:57Est-ce que tu penses qu'elle l'a
01:06:59et elles ont plus de chance que les mecs d'aller décrocher une médaille
01:07:01derrière les intouchables américains et américaines ?
01:07:03Chez les garçons, il y a un peu les Avengers.
01:07:05Chez les filles aussi.
01:07:07Dans la préparation, on a vu qu'il n'y a même pas besoin
01:07:09des Etats-Unis pour nous mettre en difficulté.
01:07:11Chez les garçons, j'entends.
01:07:13Alors que les filles sont sur 5 victoires d'affilée.
01:07:15J'ai l'impression qu'elles ont dominé par exemple la Chine
01:07:17avec la manière, pourtant c'est des équipes référencées.
01:07:19Je pense qu'elles ont au moins
01:07:21une chance de médaille.
01:07:23Chez les garçons, on a l'impression qu'on part d'un peu plus loin.
01:07:25Léon Marchand.
01:07:27Pour terminer, il a fallu insister.
01:07:29Il ne sait pas qu'il a fallu insister.
01:07:31On aurait pu en citer plein d'autres.
01:07:33Il y en avait deux à égalité.
01:07:35Mais Marchand, c'est l'avenir.
01:07:37C'est un peu le passé.
01:07:39Marchand, il peut nous faire vivre des jeux absolument incroyables.
01:07:41Là, on parle de
01:07:43le deuxième sport olympique.
01:07:45On va dire les deux premiers athlétisme-natation.
01:07:47Ça dépend comment on peut se situer.
01:07:49Mais là, on va l'attendre.
01:07:51Et puis l'avantage, c'est que vous le voyez sur plusieurs jours.
01:07:53Il a un jour, notamment,
01:07:55s'il fait les deux finales, il y a 40 minutes d'écart
01:07:57entre les deux.
01:07:59Ça va être hyper dur à gérer.
01:08:01Donc, il y a une attente incroyable
01:08:03sur un type qui s'entraîne déjà aux Etats-Unis,
01:08:05qu'on connaît moins finalement que d'autres sportifs français.
01:08:07Mais on sent qu'il va avoir
01:08:09une pression maximale
01:08:11et que là, on va peut-être voir
01:08:13le plus grand sportif français de ces JO.
01:08:15Parce que s'il réussit vraiment son pari...
01:08:17Il a attendu sur cinq disciplines.
01:08:19Ça semble énorme.
01:08:21S'il arrive déjà à récupérer quelques médailles sur 3-4,
01:08:23s'il sort avec 3-4 médailles de très haut niveau,
01:08:25si ce n'est toujours l'or, mais au moins or-argent,
01:08:27on sera obligé de se dire que c'est peut-être lui
01:08:29qui aura marqué à sa manière les JO.
01:08:31Même si Irineur remporte un nouveau trophée.
01:08:33Parce que lui, on est d'une certaine manière
01:08:35plus habitué à ça.
01:08:37Là, aujourd'hui, c'est un peu la nouveauté marchand.
01:08:39Oui, Irineur, c'est plus patrimonial.
01:08:41C'est deux points de vue différents
01:08:43qui se placent sur deux angles différents.
01:08:45Premier bain pour Léon Marchand, ce sera dimanche
01:08:47avec justement sa spécialité, le 400 mètres catenage.
01:08:49Vous en avez-vous oublié quelques-uns, Camille ?
01:08:51Oui, on a honte.
01:08:53Moi aussi, j'ai fait un petit peu ma liste.
01:08:55Notamment Antoine Dupont.
01:08:57J'ai choisi Antoine Dupont par hasard.
01:08:59Il a vraiment tout fait pour faire ses jeux
01:09:01avec le rugby à 7.
01:09:03Il s'est préparé depuis son échec
01:09:05à la Coupe du Monde avec le 15 de France.
01:09:07On attend beaucoup de lui.
01:09:09On a choisi des sports individuels.
01:09:11J'attends beaucoup de Wemba Nyama
01:09:13qui sort d'une prépa très compliquée.
01:09:15Dave en a parlé, 4 défaites d'affilée en 6 matchs.
01:09:17Mais l'équipe de France qui tourne
01:09:19autour de ce génie français.
01:09:21Florent Manaudou, le revenant et porte-drapeau
01:09:23de la délégation tricolore
01:09:25qui a fait des choses intéressantes
01:09:27lors des derniers championnats de France.
01:09:29A voir s'il peut décrocher encore une médaille.
01:09:31Et puis la légende du hand français
01:09:33qui tire sa révérence après ses 6e JO
01:09:35à 40 ans, Nicolas Karabatic
01:09:37qui vise une 4e médaille d'or.
01:09:39Ce serait tout simplement immense.
01:09:41Et puis on aurait même pu mettre
01:09:43Félix Lebrun autour de lui.
01:09:45Il y a un énorme mouvement.
01:09:47Je sais que le présentateur dans cette émission
01:09:49ne donne rarement son avis.
01:09:51Moi dans l'équipe de choc, je le fais.
01:09:53Karabatic, les amis.
01:09:55Déjà le fait qu'il ne soit pas porte-drapeau.
01:09:57On a fait quelques débats dans l'émission
01:09:59mais je trouvais ça scandaleux.
01:10:01Mais c'est l'homme qui incarne le mieux
01:10:03les Jeux Olympiques, Teddy Riner.
01:10:05Pour moi c'est Nicolas Karabatic.
01:10:07C'est la gagne. Il va faire ses 4e jeu.
01:10:09C'est un peu moins que Teddy, c'est vrai.
01:10:11Non mais sur les Jeux Olympiques,
01:10:13il y a de l'efficacité, la régularité,
01:10:15le charisme.
01:10:17Il y a match avec Riner.
01:10:19La différence s'est faite sur...
01:10:21C'est peut-être à la marge
01:10:23mais c'est la tâche qu'il y a eu dans sa carrière
01:10:25sur les paris.
01:10:27Ça te reste en tête toi ?
01:10:29Au moment de faire la comparaison
01:10:31sur celui qui, pour moi,
01:10:33incarne le plus
01:10:35au moment des Jeux Olympiques,
01:10:37je ne dis pas que Karabatic ne l'incarne pas.
01:10:39Mais si je dois faire un choix...
01:10:41Il y a le côté individuel aussi.
01:10:43Sport collectif et individuel.
01:10:45On va attendre Teddy Riner.
01:10:47Lui, il peut être bon ou moins bon.
01:10:49Mais il y a dans sa collectif
01:10:51la petite différence.
01:10:53Ça vous embête que je dise ça ?
01:10:55Non, je suis bien patient.
01:10:57Petite star étrangère rapidement ?
01:10:59Lebron James.
01:11:01Lebron James.
01:11:03Lebron James.
01:11:05Vous restez bien avec nous.
01:11:07On continue de parler des Jeux.
01:11:09De quoi d'autre ? Un petit peu de foot je crois.
01:11:11Un petit peu de PSG.
01:11:13On a plein de choses à vous dire.
01:11:15Et peut-être que je donnerai des cartons un jour.
01:11:17Voilà.
01:11:21De retour dans l'équipe du soir.
01:11:23Dans un instant, on va parler des Bleus
01:11:25de Thierry Henry qui visent la médaille d'or
01:11:27et rien d'autre dans ces Jeux Olympiques.
01:11:29Ça arrive vite pour les foot.
01:11:31Premier match demain face aux Etats-Unis.
01:11:33On fera le débrief dans l'équipe du soir.
01:11:35Mais d'abord, on commence à se mettre
01:11:37dans la joie et la bonne humeur.
01:11:39Avec quelqu'un qui nous manque beaucoup.
01:11:41Antoine Pinault. Il est parti en vacances.
01:11:43On ne peut plus s'amuser.
01:11:45C'est Thibaut.
01:11:47Mais le nom de famille, ça va.
01:11:49Antoine Pinault, il fait tout les blagues.
01:11:51Et ça peut marcher aussi.
01:11:53Petite biquette.
01:11:55Un petit best-of du jour.
01:11:57Et on peut rigoler si ça vous amuse.
01:11:59Avec plaisir.
01:12:15Vous êtes fort en descente.
01:12:17Exactement.
01:12:21Il y a eu la sortie de la bande-annonce
01:12:23de GTA cette nuit.
01:12:25Nous, on a Greg Théa.
01:12:27C'est parti. Jingle.
01:12:29C'est incroyable.
01:12:31Tout est possible dans Greg Théa.
01:12:33Notamment les vannes.
01:12:35Comme vous hier, vous avez parlé d'Amel Bent.
01:12:37C'est furtif, mais je crois que Vikash
01:12:39n'a pas eu la ref.
01:12:41Votre philosophie, c'est viser la lune
01:12:43et mettre les joueurs.
01:12:45C'est ce que fait Lance.
01:12:47C'est d'avoir un système de jeu
01:12:49avec des principes.
01:12:51Quand ça va bien, quand ça va mal.
01:12:53Je ne suis pas de vin,
01:12:55mais ça l'a travaillé, mon Vikash.
01:12:59On laisse Vikash tranquille.
01:13:01Dans Greg Théa,
01:13:03avec le retour de Bertrand Latour,
01:13:05Thomas Bonavant a osé ouvrir la bouche.
01:13:07Le deuxième jeu consiste à lire le journal.
01:13:09Je pense que tu devrais déjà
01:13:11faire le rédacteur.
01:13:15Tu m'as tellement manqué, Bertrand.
01:13:17C'est pas la personne depuis 10 jours.
01:13:21Réaction de Thomas juste après l'émission.
01:13:25On enchaîne un petit point rapide.
01:13:27On ne sait jamais, Vikash.
01:13:29Ah, j'ai compris.
01:13:31Non, je n'ai pas compris.
01:13:33Il veut aller sur la lune.
01:13:35Ça doit coûter cher en essence.
01:13:37Je n'ai pas compris.
01:13:39Benoît Cossé avec Lorenzo Lamas de la chaîne.
01:13:41Sébastien Tarrago, vendredi.
01:13:43On va passer au jeu.
01:13:45C'est parti.
01:13:47C'est bien sérieux.
01:13:49Décidément, il n'y a pas de jingle.
01:13:51On me signale pas de jingle.
01:13:53On appelle les services techniques.
01:13:55Il va falloir débloquer la machine à jingle.
01:13:57Il n'y a pas qu'en plateau que c'est l'équipe B.
01:13:59Qu'est-ce que vous avez dit ?
01:14:01C'est terrible.
01:14:03Il est venu du ciel comme un pélican.
01:14:05Greg, vous avez voulu parler de Nonaruma.
01:14:07Vous n'avez pas voulu lui dire du mal.
01:14:09Mais enfin, vous avez.
01:14:11Il doit réfléchir.
01:14:13Dès qu'il n'a trop de temps pour réfléchir.
01:14:15C'est un peu insultant.
01:14:17Dès qu'il n'a trop de temps pour réfléchir.
01:14:19Il n'y arrive pas, Anthony.
01:14:21Il n'y arrive pas à réfléchir.
01:14:23Pierre-Louis de La Petite Pécarne
01:14:25est venu jouer hier dans l'équipe de choc.
01:14:27Principe, trouver la question et la réponse.
01:14:29Il s'est bien débrouillé.
01:14:31Il ne faut pas trop tarder.
01:14:33Il n'y a pas du tout la question qui va avec.
01:14:35Il n'y en a qu'une.
01:14:37Il n'a pas compris la règle.
01:14:39Il prend le 179.
01:14:41C'est très bien.
01:14:43Il vous mettra un dessert.
01:14:45Tu nous as fait hante, Beric.
01:14:47C'est dur en même temps.
01:14:49On l'élève.
01:14:51On les lâche.
01:14:53Trop tôt.
01:14:55On reste dans la comédie.
01:14:57Le Greg Comedy Club Jingle.
01:14:59C'est parti.
01:15:01Il y a les vannes sur Greg.
01:15:03Hors antenne.
01:15:05Mais également avec les régisseurs.
01:15:07Avec Seb Tarrago.
01:15:09Vendredi.
01:15:11Juste avant de prendre l'antenne.
01:15:13C'est pas possible.
01:15:15Jean-Marc, le réalisateur de l'émission.
01:15:17A demandé à Sébastien Tarrago.
01:15:19De s'en rasseoir.
01:15:21Il était déjà assis.
01:15:23Ce qui explique ton sourire.
01:15:25C'est pas possible.
01:15:27C'est pas possible.
01:15:29Ce qui explique ton sourire.
01:15:31Rappelle l'événement de dimanche soir.
01:15:33Vous l'avez vu s'afficher.
01:15:35Greg Comedy Club.
01:15:37Un spectacle de mimes.
01:15:39Jibril Sissé.
01:15:41C'est pas la cookie que je mange.
01:15:43Je vais terminer dernier du championnat.
01:15:45Avec un coach.
01:15:47Et à un moment donné.
01:15:49Il faut prendre ses ordres.
01:15:51Et dire à un moment donné...
01:15:53Responsabilité.
01:15:55Il en faut toujours.
01:15:57La régie, on passe à Yohan Riyou, alors je dis pas qu'il est bavard, mais bon voilà quoi,
01:16:01faut avoir son petit quart d'heure devant soi, quoi.
01:16:03Mais franchement cette équipe elle est merveilleuse, tu te rends compte d'où vient cette équipe de lance ?
01:16:15Je veux tellement qu'il fasse quelque chose ce soir.
01:16:17Maintenant on joue ?
01:16:18Non, on joue pas ce soir.
01:16:21Parce que, du coup, j'ai regardé le truc.
01:16:23C'est l'heure de jouer, là.
01:16:26C'est vrai que c'était un peu long, alors moi, perso, ça m'a impacté.
01:16:333 heures.
01:16:34Greg, je sais, vous n'êtes pas l'ennemi des jeux de mots.
01:16:36Hier, dans l'équipe de choc festival, on débute avec Chloé, 13 poches.
01:16:39Elle est souvent en 2ème, 3ème, elle gagne rarement.
01:16:40Ça se joue à très poche en général.
01:16:42Ça se joue à très poche.
01:16:43On a le droit d'être nos rendoteurs.
01:16:45Charlotte Banks, qui est sa principale rivale, elle n'est pas sortie des qualifs, donc au niveau des points,
01:16:49elle est la leader de vrai.
01:16:51Assez ! Assez !
01:16:53Énorme performance pour Joséphine Pagnon-Szoalski, la jeune française de 21 ans.
01:16:59Elle avait la main ?
01:17:00Pas la main, elle l'avait gardée.
01:17:01Assez ! Assez !
01:17:03Merci, Jean-Claude.
01:17:04Et puis, Anthony Clément a osé s'attaquer aux gouttes de la répartie SEPTARAGO.
01:17:07S'il y a un adversaire prestigieux qui est relevé, c'est le mieux pour tout le monde.
01:17:11Il n'est pas d'accord.
01:17:12Je le vois, il fait des grimaces.
01:17:13Ça, c'est le manque de panache.
01:17:14C'est tout ce qui sort de sa vie.
01:17:18Et Danemark, Pays-Bas ?
01:17:20Moi, je n'aurais pas osé.
01:17:22Une pensée pour Anthony.
01:17:25Petit ange par petit poteau.
01:17:26Allez, on termine par le Saju.
01:17:28Ça se tchac-tchac-tchac, comme on dit entre chroniqueurs.
01:17:30Et on fait un petit bilan.
01:17:31C'est parti.
01:17:32Personne ne dit ça, effectivement.
01:17:33Dans l'équipe de choc, chroniqueurs ou invités, pas de différence pour France Piron
01:17:36avec le basketteur Nadir Ify.
01:17:38Juste une question.
01:17:39On parle de l'équipe de France, on parle de ton ascension un petit peu.
01:17:43Qu'est-ce qui te manque pour toi ?
01:17:44Où est ton axe de progression, justement, pour franchir encore un palier supplémentaire ?
01:17:47La coupe de cheveux.
01:17:48J'adore.
01:17:49C'est génial.
01:17:51Nadir, quand il a croisé son amour propre après l'émission.
01:17:54Salut Mop !
01:17:55Quand Anthony Clément, suiveur de l'OM pour l'équipe, perd dans un jeu sur l'OM.
01:17:59Greg, vous êtes très sympa.
01:18:01Bravo, très beau joueur.
01:18:02Tous étaient très bons, sauf Anthony Clément, qui suit, évidemment, l'Olympique de Marseille.
01:18:08Le passé, c'est pas mon truc.
01:18:11Salut Mop !
01:18:12On passe à Giovanni Castaldi.
01:18:16C'est Benjamin Castaldi.
01:18:18Vous êtes relou, la régie.
01:18:19Il était en direct de Hambourg pour le tirage de l'Euro.
01:18:20Il a eu froid.
01:18:21On l'a réconforté en plateau.
01:18:23J'ai pas prévu.
01:18:24Je sais pas faire mes valises.
01:18:26Il n'y a plus de Majordomo.
01:18:29On lui avait pas dit que c'était Hambourg, en fait.
01:18:31Il croyait que c'était le sud de l'Espagne.
01:18:33On va faire un petit tour de table.
01:18:35Est-ce qu'il neige, quand même, Benoît ?
01:18:37Oui, c'est vrai.
01:18:38Au mois de décembre, à Hambourg, c'est très rare la neige.
01:18:44Dans l'équipe de choc, Greg, vous avez fait une vanne.
01:18:47Il faut avoir la rêve, petit Grégory, tout ça.
01:18:49Il y a un autre Greg.
01:18:50Un Grégory Hachère, cette fois.
01:18:51Parce qu'il y a une équipe de Greg à tiser.
01:18:53Il y a jamais eu autant de Greg.
01:18:54Avant, il disparaissait.
01:18:55Là, ils sont en plateau.
01:18:57Il y a une blouse libre.
01:18:58Je pensais que tu allais te mettre à la place de Martin.
01:19:00Il a picoté un petit peu.
01:19:01Et puis, Bertrand Latour était absent une semaine.
01:19:02Il a honoré ceux qui l'ont remplacé pendant cinq jours.
01:19:05Tu peux nous rejoindre du côté de la team Latour.
01:19:07Lui, t'as remplacé quelques fois.
01:19:09J'ai vu.
01:19:10Avec un certain brio.
01:19:12C'est la preuve qu'il y a des gens qui peuvent parfois remplacer Mbappé.
01:19:14Mais ce n'est jamais très durable.
01:19:19C'est une montgolfière.
01:19:20Je crois qu'il peut déconner.
01:19:24Merci Antoine pour ce replay.
01:19:25Bravo.
01:19:34Antoine Pineau qu'on retrouvera dès la rentrée le 26 août.
01:19:37La reprise de toutes les émissions.
01:19:38L'équipe de Greg notamment.
01:19:40L'équipe de Choc avec Tidiani qui sera accueillie.
01:19:42Comme d'habitude, avec une petite pique.
01:19:43Comme on sait bien le faire.
01:19:45Tant que ça, on ne reste qu'à l'accueil.
01:19:49Pour ça, c'est bon.
01:19:50Dans quelques minutes, on prendra le temps de parler du mercato du PSG.
01:19:53Avec la piste Jadon Sancho qui nous passionne.
01:19:55Mais avance là.
01:19:57Retour au jeu qui commence déjà demain.
01:19:59La cérémonie, on le sait, c'est vendredi soir.
01:20:01Mais il y en a qui auront déjà transpiré d'ici là.
01:20:03Ils ouvrent le bal tricolore Antoine Dupont et ses camarades du 7
01:20:07qui affrontent les Etats-Unis.
01:20:08Toujours au Salle de France vers 20h.
01:20:10Les Bleus joueront leur deuxième match de poule face à l'Uruguay.
01:20:13Et puis le soir au Vélodrome, les hommes de Thierry Henry
01:20:16qui débutent également face aux Etats-Unis.
01:20:18Deux France-Etats-Unis demain dans la journée.
01:20:20Qu'est-ce qu'on va leur mettre aux Américains ?
01:20:22On va se concentrer sur les Bleus de Thierry Henry
01:20:24parce que l'un d'entre eux s'est exprimé aujourd'hui
01:20:26en conférence de presse, c'est Adrien Truffert.
01:20:28L'arrière-gauche des Bleus qui nous dit
01:20:30le public français n'a peut-être pas les noms qu'il attendait
01:20:33mais il y a énormément de qualité dans le groupe
01:20:35et un très bon niveau footballistique.
01:20:37L'objectif, c'est l'or.
01:20:39Bien sûr, on connaît les difficultés qu'on a eues
01:20:41pour construire ce groupe
01:20:43mais il y a de quoi faire de belles choses.
01:20:45Si on vous dit qu'on a des objectifs élevés
01:20:47c'est qu'on sait de quoi on est capable.
01:20:49La question est toute simple.
01:20:51Est-ce que vous voyez les Bleus champions olympiques ?
01:20:53Les Bleus du foot ?
01:20:55A cette question, deux chroniqueurs ne sont pas d'accord.
01:20:57On a encore un duel.
01:20:59Dave Apadou y croit.
01:21:01Oui, les Bleus du foot seront champions olympiques.
01:21:03Non, nous dit à ses côtés Tidiani, le pessimiste.
01:21:05L'homme en noir toujours.
01:21:07On a dit qu'il y avait la maison de la performance.
01:21:11Qui commence, l'optimiste ou le défaitiste ?
01:21:13L'optimiste.
01:21:15Dave Apadou, 30 secondes.
01:21:17Je n'ai pas besoin de micro cette fois.
01:21:19Oui, j'y crois très fort à cette équipe.
01:21:21On les a vus en préparation sur la chaîne.
01:21:23C'est une équipe qui a beaucoup de qualité
01:21:25qui développe beaucoup de jeux
01:21:27ce qui nous change par rapport à certaines équipes
01:21:29de François Moriart.
01:21:31C'est une équipe qui est rassemblée depuis plusieurs semaines
01:21:33ce qui a donné un avantage terrible
01:21:35par rapport aux adversaires
01:21:37parce qu'on s'est réunis dans les derniers jours
01:21:39et on sait la difficulté de réussir un collectif
01:21:41ensuite j'ai regardé les adversaires
01:21:43je n'ai pas vu d'équipe de super team
01:21:45je n'ai pas vu du Brésil niveau 2016 à domicile
01:21:47donc à mon avis, les Bleus ont toutes leurs chances.
01:21:49Tidiani, pourquoi ils n'ont pas leurs chances ?
01:21:51Parce que je pense qu'à un certain niveau
01:21:53l'improvisation et les choix qui sont effectués par Dépi
01:21:57pendant toute cette préparation
01:21:59ne peuvent pas être sans conséquence sur ton ambition
01:22:01la façon dont cette équipe s'est constituée
01:22:03au gré des désistements
01:22:05le fait qu'elle manque de repères
01:22:07même si c'est vrai qu'elle s'est réunie avant la compétition
01:22:10le fait qu'en termes d'individualité aussi
01:22:12on n'ait pas ce qu'avait l'Argentine en 2008 avec Messi
01:22:16ou alors le Brésil avec Neymar un petit peu plus tard
01:22:19tous ces paramètres selon moi conditionnent tes chances au rabais.
01:22:22Pour l'or, pas pour la médaille.
01:22:24On a parlé d'or.
01:22:26Vous votez sur les réseaux sociaux, vous scannez le QR code
01:22:28je ne sais pas quoi vous débrouillez
01:22:30en tout cas pour donner notre avis sur celui qui vous a le plus convaincu
01:22:32Président, il y a une petite tendance ?
01:22:34Oui, j'ai une tendance
01:22:36mais Didiane c'est un pessimiste
01:22:38à la maison c'est terrible
01:22:40il s'habille toujours en noir
01:22:42c'est incroyable
01:22:44le soleil il prend un parcours quand même
01:22:46il a toujours un parcours
01:22:48mais je sens le mème venir
01:22:50non, non, parce que j'ai trouvé ses arguments
01:22:52ses arguments étaient intéressants
01:22:54je peux tout à fait les entendre
01:22:56mais dans ces cas-là j'aurais bien aimé que tu me donnes un favori
01:22:58par rapport à l'équipe de France
01:23:00et c'est pour ça que je vais quand même pencher du côté d'Eve
01:23:02je peux te donner 4 équipes qui ont pour moi au moins autant de chances
01:23:04je donnerai à Dave
01:23:06l'Argentine, le Japon, l'Espagne
01:23:08et je rajoute le Mali
01:23:10le Japon qu'on a trimballé pendant les 3 quarts du match
01:23:12là tu les vois au-dessus des bleus
01:23:14l'Espagne on peut en discuter
01:23:16parce que c'est vrai que l'Espagne
01:23:18déjà les clubs ont libéré leurs joueurs
01:23:20c'est une équipe qui est un peu plus solidaire
01:23:22c'est pour ça que l'Espagne
01:23:24on pouvait peut-être l'imaginer
01:23:26pour le reste il y a pas mal d'équipes
01:23:28qui se sont retrouvées aussi à poil
01:23:30tu vois les Etats-Unis qui avaient quand même pas mal de bons joueurs
01:23:32qui jouent en Europe
01:23:34on est d'accord, par contre la MLS
01:23:36ils laissent partir, c'est complètement différent
01:23:38après tu parlais du Mali
01:23:40comment ils se sont préparés
01:23:42tu connais les conditions d'entraînement
01:23:44et de préparation de ces équipes-là
01:23:46à qui on n'a peut-être pas donné tous les moyens
01:23:48surtout dans un contexte de fédération
01:23:50très compliqué au Mali
01:23:52on sait ce qu'il se passe en ce moment
01:23:54c'est absolument n'importe quoi
01:23:56un président en prison
01:23:58des joueurs, le capitaine de l'équipe A suspendu
01:24:00et les coéquipiers décidant de faire union autour de lui
01:24:02on va pas remettre les pieds dans l'équipe nationale
01:24:04dans les catégories de jeunes
01:24:06c'est vrai tout le temps
01:24:08c'est pour ça que je vais donner mon point
01:24:10par manque d'adversité
01:24:12il y a l'Espagne
01:24:14c'est vrai que si on avait sorti l'Espagne
01:24:16vraiment au-dessus aujourd'hui
01:24:18c'est une possibilité
01:24:20et puis on a vu que les Espagnols gagnent dans tout
01:24:22alors je ne vois pas pourquoi ils laisseraient tomber les Jeux Olympiques comme ça
01:24:24Camille qui sont les favoris de cette compétition
01:24:26on a regardé du côté des bookmakers
01:24:28les 5 plus grosses cotes
01:24:30alors justement la France est favori
01:24:32juste devant l'Espagne avec la pépite
01:24:34qu'on a envie de revoir
01:24:36et troisième favori
01:24:38l'Argentine d'Alvarez qui vient de remporter
01:24:40la Copa America
01:24:42il ne faut pas oublier le Maroc d'Ashraf Hakimi
01:24:44qui est quand même moins bien coté que le trio de tête
01:24:46et puis pour compléter
01:24:48il y a le Paraguay
01:24:50alors la cote est bien plus élevée à 20
01:24:52vous voyez l'énorme différence
01:24:54on va vous inviter un petit peu au débat
01:24:56du côté droit de la table
01:24:58on y croit pour être champion Olympique
01:25:00on vise l'heure pour les Bleus et Thierry Henry
01:25:02c'est pas mal à entendre l'argument
01:25:04c'est pas les noms qu'on voulait
01:25:06on a une équipe pour AB
01:25:08moi je ne suis pas d'accord avec ça
01:25:10quand on regarde les individualités de cette équipe
01:25:12moi ça me plait
01:25:14on parle de Lou Keba
01:25:16qui est quand même indiscutable du côté de Leipzig
01:25:18on parle d'Enzo Mio
01:25:20qui a été énorme du côté de l'Allemagne
01:25:22on parle d'Olysée
01:25:24qui est quand même aux portes de l'équipe de France
01:25:26on parle d'une équipe qui est emmenée par la KZ
01:25:28dont on connait largement les qualités
01:25:30et en plus à la tête de cette équipe
01:25:32c'est Thierry Henry qui arrive à amener un vrai truc
01:25:34et même auprès du public
01:25:36il y a souvent ce débat
01:25:38est-ce que le foot est un sport olympique ou pas
01:25:40et j'ai l'impression que les gens vont avoir envie
01:25:42de se mettre et de regarder cette équipe
01:25:44aussi à cause de Thierry Henry
01:25:46il y a un vrai engouement
01:25:48et on sait à quel point jouer à la maison
01:25:50avec un gros public derrière soi
01:25:52au foot est important
01:25:54on va vous afficher la composition de l'équipe type
01:25:56qui peut se dessiner
01:25:58avec les derniers éléments de Thierry Henry
01:25:59Vous y croyez avec cette équipe ?
01:26:01Est-ce qu'il y a des grands noms
01:26:03ou est-ce que vous êtes un peu déçu
01:26:05parce qu'on nous vendait à l'époque du Mbappé
01:26:07C'est Hervé qui a prononcé un moment le mot certitude
01:26:09c'est un tournoi
01:26:11donc tu n'es pas sur un championnat
01:26:13où à la fin c'est le meilleur qui va s'imposer
01:26:15donc on n'a pas de certitude
01:26:17et on le voit bien avec les cotes
01:26:19où c'est assez serré
01:26:21j'insiste aussi sur la carte Thierry Henry
01:26:23je trouve que c'est extrêmement cohérent
01:26:25ce qu'il a mis en place
01:26:27depuis son arrivée l'été dernier
01:26:29je pense qu'il a ce statut-là
01:26:31qui fait aussi qu'on sait comment ça se passe
01:26:33dans les vestiaires
01:26:35tu es un Zidane, tu es un Henry
01:26:37je pense qu'il a aussi appris de son expérience à Monaco
01:26:39par rapport à ça
01:26:41sur le fait qu'il n'avait peut-être pas le bon discours
01:26:43ça s'entend beaucoup
01:26:45ça s'entend avec les joueurs
01:26:47ça s'entend également dans ses conférences de presse
01:26:49où il est beaucoup plus pédagogique, didactique
01:26:51et il se met beaucoup plus au niveau
01:26:53donc je pense qu'il va être capable
01:26:55de fédérer et de porter cette équipe-là
01:26:57et un monstre qui tient largement la route
01:26:59comment ça s'est passé la campagne de préparation olympique
01:27:01pour les Bleus Thierry Henry
01:27:03c'était sur la chaîne équipe
01:27:05oui bien sûr
01:27:07déjà on avait joué les Etats-Unis
01:27:09qu'on va retrouver en premier adversaire fin mars
01:27:11qui s'étaient soldés par un nul de partout
01:27:13alors les Bleus qui s'étaient montrés bien supérieurs
01:27:15dans beaucoup de domaines
01:27:17face à leurs futurs adversaires du tournoi olympique
01:27:19mais qui avaient craqué un petit peu en fin de match
01:27:21Thierry Henry qui avait quand même
01:27:23été très confiant à l'issue du match
01:27:25depuis beaucoup de turnover aussi
01:27:27dans la sélection française on l'a dit
01:27:29et sur cette campagne de préparation
01:27:31la casette et ses coéquipiers qui comptent
01:27:33deux victoires, 4-1 face au Paraguay
01:27:35et un carton 7-0 face à la république dominicaine
01:27:37avant de terminer par ce dernier match nul
01:27:39face au Japon
01:27:43donc une préparation globalement positive
01:27:45quand même pour les joueurs de Thierry Henry
01:27:47deux victoires un nul
01:27:49ça n'a rien à voir avec 2021 quand même
01:27:51non mais voilà exactement
01:27:53on n'est pas du tout dans la même situation
01:27:55c'est juste qu'effectivement tu as eu des allées et des venues
01:27:57et qu'il n'a pas eu l'équipe qu'il aurait voulu faire
01:27:59mais quand tu compares le matériau
01:28:01de toute façon c'est ça
01:28:03et qu'on voit les autres à part l'Espagne
01:28:05on peut en discuter de l'Espagne
01:28:07mais pour le reste ils sont tous dans la même situation
01:28:09et en plus depuis le début il a quand même
01:28:11dès sa prise de fonction installé une idée de jeu
01:28:13un système de jeu etc
01:28:15il y a de la continuité
01:28:17ce qui fait d'ailleurs qu'au gré des allées et des venues
01:28:19et des désistements tu n'as pas vraiment de baisse de niveau
01:28:21puisqu'il y a une espèce de continuité
01:28:23encore une victoire de Thierry Henry
01:28:25on ne voit plus l'invité
01:28:27c'est incroyable
01:28:29je suis parti au Mali avec lui en vacances
01:28:31il pleuvait
01:28:33et il faisait moins 8
01:28:35l'équipe du soir ça va continuer juste après la pub
01:28:37on a encore plein de dossiers abordés
01:28:39et notamment du sound show à Paris
01:28:41à tout de suite
01:28:50la suite de l'équipe du soir
01:28:52dans un instant accrochez-vous bien
01:28:54on va parler du mercato du PSG
01:28:56avec la piste Jadon Sanchot
01:28:58l'élier gauche pistée par le club parisien
01:29:00mais d'abord JT Express
01:29:02on se rapproche du 20h
01:29:04tremble Anne-Claire Coudray
01:29:06elle arrive
01:29:08c'est toujours rêvé de faire ça
01:29:10on commence avec Melvine Jaminet
01:29:12qui entame une période cruciale pour son avenir
01:29:14renvoyée de l'équipe de France de la tournée en Argentine
01:29:16à la suite de ses propos à caractère raciste
01:29:18Melvine Jaminet est entendue ce mardi après-midi
01:29:20par ses dirigeants du RCT
01:29:22un entretien préalable
01:29:24une première étape dans une semaine décisive
01:29:26puisque vendredi
01:29:28il sera également entendu par le conseil de discipline
01:29:30de la fédération française de rugby
01:29:32sur un avenir sportif
01:29:34et en jeu cette semaine
01:29:36et puis autre info de la journée
01:29:38on a démarré l'émission par ça d'ailleurs
01:29:40Bordeaux qui accepte la relégation nationale
01:29:42après avoir espéré un possible rachat du club
01:29:44par Fenway Sports Group
01:29:46avant que le deal ne capote de nouveau
01:29:48les Girondins de Bordeaux ont communiqué ce mardi matin
01:29:50au travers d'un communiqué
01:29:52publié sur le site du club
01:29:54le FC Girondins de Bordeaux s'est désisté
01:29:56de l'appel interjeté à l'encontre
01:29:58de la décision de la DNCG
01:30:00en date du 9 juillet 2024
01:30:02en conséquence le FC Girondins de Bordeaux
01:30:04accepte la sanction de rétrogradation administrative
01:30:06au sein du championnat de National 1
01:30:08pour la saison 2024-2025
01:30:10et sera à nouveau convoqué
01:30:12pour présenter un budget devant la DNCG
01:30:14un communiqué qui s'achève avec
01:30:16un certain optimisme
01:30:18on en a parlé en évoquant une période
01:30:20qui doit permettre aux Girondins
01:30:22de revenir plus fort à l'avenir
01:30:24on s'était mitigé
01:30:26est-ce que c'est pas un mal pour un bien
01:30:28c'est un bien grand mot
01:30:30mais faire table rase du passé
01:30:32pour rebondir ?
01:30:34si tu es sous l'angle des salariés
01:30:36évidemment que non
01:30:38parce que ça veut dire
01:30:40perdre de ton travail
01:30:42des situations de détresse sociale
01:30:44que l'on ne souhaite à personne
01:30:46mais d'un point de vue purement sportif
01:30:48comme je l'ai dit tout à l'heure
01:30:50entre continuer un agencement bancal
01:30:52où tu repousses le pire du pire
01:30:54avec de nouvelles idées
01:30:56des nouveaux investisseurs
01:30:58peut-être aussi une structure différente
01:31:00moi je pense que ça se réfléchit
01:31:02Emmanuel Macron qui va appuyer
01:31:04la candidature de la France
01:31:06pour l'organisation des Jeux d'hiver en 2030
01:31:08Journée très importante demain
01:31:10en juin dernier
01:31:12le CIO avait suspendu
01:31:14la désignation des Alpes françaises
01:31:16jugeant un climat politique
01:31:18beaucoup trop complexe
01:31:20Emmanuel Macron va donc tenter
01:31:22de rassurer les décideurs
01:31:24du CIO qui était initialement prévu ce mercredi
01:31:26ou alors l'attribution définitive
01:31:28des JO 2030 à la France
01:31:30mais sous condition évidemment
01:31:32on se montre assez confiant
01:31:34dans l'entourage du ministère des sports
01:31:36on espère que ce sera de bonne hauteur
01:31:38et aussi sur ce plateau
01:31:40on se montre confiant
01:31:42il n'y a pas vraiment de concurrence
01:31:44quand il n'y a pas de concurrence
01:31:46on est souvent confiant
01:31:48il ne faut pas oublier
01:31:50que le CIO a accepté des JO
01:31:52il n'y a pas si longtemps
01:31:54qu'il n'y a pas eu de changement
01:31:56politique à ce moment-là
01:31:58On reste dans les JO d'été
01:32:00de Paris 2024 qui arrive
01:32:02on connaît certains noms
01:32:04des derniers relayeurs de vendredi
01:32:06il faut s'attendre à un casting XXL
01:32:08pour la dernière journée
01:32:10le célèbre perchiste Sergueï Boubka
01:32:12sera de la partie
01:32:14comme Laetitia Casta
01:32:16un des visages français les plus emblématiques
01:32:18et puis il y aura aussi
01:32:20des big stars américaines
01:32:22j'ai nommé Snoop Dogg
01:32:24il ne faudra pas qu'il fume la flamme
01:32:26franchement on adore
01:32:28il va essayer de se retenir
01:32:30il s'y croit
01:32:32ça vous plaît ça
01:32:34ou c'est plutôt du folklore
01:32:36et on aurait préféré des sportifs
01:32:38c'est fun
01:32:40les JO olympiques ça doit parler à tout le monde
01:32:42Snoop Dogg c'est fun
01:32:44quand il va mettre la flamme dans la bouche
01:32:46on va rigoler
01:32:48il a fait ça au Superbowl
01:32:51petite image de tennis Camille
01:32:53pour ceux qui ne participent pas aux JO
01:32:55il y a les tournois de tennis qui continuent
01:32:57c'est le cas pour Hugo Gaston
01:32:59qui jouait à Kitzbühel
01:33:01le français s'est défait en 3 manches
01:33:03de l'allemand Daniel Attmeyer
01:33:05victoire 6-4, 6-7, 6-4
01:33:07après plus de 2h32 de combat
01:33:09une victoire qui fait quand même du bien
01:33:11pour la confiance
01:33:13et puis on a vu des jolis points
01:33:15c'est une bonne nouvelle ça
01:33:17on s'y attendait en parlant de tennis
01:33:19c'est désormais officiel
01:33:20Rio en 2016
01:33:22Andy Murray annonce que Paris 2024
01:33:24sera son dernier tournoi
01:33:26le Britannique de 37 ans poste un message
01:33:28sur ses réseaux sociaux
01:33:30arrivé à Paris pour mon dernier tournoi du tennis
01:33:32concourir pour l'Angleterre a été de loin
01:33:34les semaines les plus mémorables de ma carrière
01:33:36et je suis extrêmement fière d'y participer
01:33:38une dernière fois
01:33:40petite devinette pour vous
01:33:42devinez qui sont les rois du selfie au village olympique
01:33:44Raphaël Caroz
01:33:46exactement, bonne réponse Olivier
01:33:48pas la groupie
01:33:50regardez tout juste arrivé hier soir
01:33:52Raphaël Nadal et Carlos Alcaraz
01:33:54sont déjà devenus les stars du village
01:33:56tout le monde pose avec les deux espagnols
01:33:58et Pauletta Foppa nous en parlait tout à l'heure
01:34:00on a été très content d'avoir pu croiser Raphaël Nadal
01:34:02on rappelle qu'ils seront tous les deux associés
01:34:04en double pour ce tournoi olympique
01:34:06et que ça fera partie des attractions
01:34:08de ce tournoi de tennis
01:34:10tu croises les deux stars dans le village
01:34:12tu t'arrêtes forcément pour leur baiser les pieds
01:34:14pour eux ça ne doit pas être super marrant non plus
01:34:16de faire un mètre à chaque fois
01:34:18c'est génial
01:34:20c'est incroyable
01:34:22ils se rendent compte à quel point ils peuvent être populaires
01:34:24parce que c'est vrai que le tennis
01:34:26on ne s'imagine peut-être pas qu'aux Jeux Olympiques
01:34:28c'est le sport numéro un
01:34:30mais il n'empêche que pour les gens qui vont les croiser
01:34:32c'est des idoles
01:34:34c'est un peu différent par rapport à un public
01:34:36qui est dans une relation peut-être un peu d'idolatrie
01:34:38qui s'entend
01:34:40là c'est d'autres sportifs
01:34:42certains qui sont peut-être au même niveau
01:34:44peut-être pas médiatique mais d'accomplissement
01:34:46mais surtout que c'est un sport
01:34:48il n'y a pas de vie collective
01:34:50il n'y a pas de vie de groupe
01:34:52c'est leur staff
01:34:54c'est le vestiaire
01:34:56c'est tes adversaires
01:34:58tu ne partages pas grand-chose avec eux
01:35:00donc ces moments-là pour eux
01:35:02d'ailleurs ça a été un petit peu ce qui a motivé
01:35:04parce qu'au départ les joueurs de tennis
01:35:06les semprasses etc
01:35:08ils n'y allaient pas
01:35:10et en fait c'est de voir que des Agassi
01:35:12des mecs comme ça, Nadal, Federer
01:35:14ont commencé à vivre ces choses-là
01:35:16que maintenant tout le monde est motivé
01:35:18dans leur vie sportive par ailleurs
01:35:20et ce qui est fou c'est que c'est peut-être la première fois
01:35:22que le tournoi de double était presque plus attendu
01:35:24qu'un tournoi simple
01:35:26on a tous envie de les voir jouer tous les deux
01:35:28donc c'est assez dingue
01:35:30ça dit tout de ce que représentent ces deux champions
01:35:32Est-ce qu'on attend beaucoup d'Andy Murray
01:35:34au niveau des selfies ?
01:35:36Est-ce que c'est le roi des selfies Andy Murray
01:35:38au village ?
01:35:40J'en suis moins sûr
01:35:42Il doit avoir encore une petite cote quand même
01:35:44ça a été un sacré joueur
01:35:46Vous vous y attendiez ?
01:35:48Je suis sur Andy Murray quand même
01:35:50Non mais c'est triste ou pas l'arrêt de la carrière ?
01:35:52C'est inéluctable
01:35:54ça fait des années qu'il joue avec une hanche en titane
01:35:56évidemment il n'est plus du tout le joueur
01:35:58qu'il a été, c'est-à-dire quand même numéro 1 mondial
01:36:00quelqu'un capable de regarder dans les yeux
01:36:02ce qui c'était impossible de regarder
01:36:04dans les yeux Federer, Nadal, Djokovic
01:36:06lui a réussi ça
01:36:08et puis c'est quelqu'un qui a un parcours incroyable
01:36:10parce qu'il a eu une entraîneur femme
01:36:12c'est novateur, c'est quelque chose qui n'existe pas
01:36:14dans le tennis exactement
01:36:16et sachant qu'il avait une histoire personnelle
01:36:18il avait échappé gamin à une tuerie en Ecosse
01:36:20il était dans la classe où il y avait une tuerie
01:36:22et par miracle il s'en était sorti
01:36:24il a toute une histoire particulière
01:36:26Andy Murray c'est un vrai personnage
01:36:28Que tu ne connais pas bien l'histoire Andy Murray
01:36:30Honnêtement je ne le connaissais pas très bien
01:36:32en revanche pour Alcaraz vous pouvez me demander
01:36:34Je sais tout
01:36:36Alcaraz ?
01:36:38Lieu de naissance ?
01:36:40Les fans, les fans
01:36:42C'est le film de la fin
01:36:45Attention c'est le premier carton de cette soirée
01:36:47Il fallait pas se la raconter
01:36:49On continue le JT Express
01:36:51avec le ballon d'or
01:36:53le choix fort de Karim Benzema
01:36:55Dans un entretien accordé à Marca
01:36:57Karim Benzema estime que Vinicius
01:36:59mérite le prix pour ses performances
01:37:01et son impact sur le club du Real Madrid
01:37:03tout au long de cette dernière saison
01:37:05Je vais dire Vini parce qu'il le mérite
01:37:07pour sa saison et pas seulement
01:37:09pour ce qu'il a fait cette année
01:37:11mais aussi pour ce qu'il a fait l'année dernière
01:37:13il a été au-dessus du lot avec son football
01:37:15et ce qu'il fait avec le ballon
01:37:17il se montre toujours à la hauteur
01:37:19pour tout cela mon préféré est Vini
01:37:21C'est surprenant
01:37:23Faut mesurer parce que ça vient de Benzema
01:37:25il faut se rappeler de la séquence
01:37:27qui était complètement folle
01:37:29il y a 2-3 ans je crois
01:37:31où à la mi-temps d'un match qui était un peu mal embarqué
01:37:33pour le Real
01:37:35il dit à d'autres coéquipiers
01:37:37on va arrêter de lui passer la balle
01:37:39il comprend rien
01:37:41il joue contre nous
01:37:43il sanctionnait le manque de qualité supposée
01:37:45de Vinicius
01:37:47même Benzema qui reconnait
01:37:49c'est là que tu mesures les progrès de ce garçon
01:37:51qui aujourd'hui est postulant au ballon d'or
01:37:53Au-delà du fait que je suis plutôt d'accord
01:37:55avec lui sur le fond
01:37:57que ce soit la Copa America ou à l'Euro
01:37:59je n'ai pas vu un joueur crever l'écran
01:38:01de façon à effacer ce qui s'est passé
01:38:03sur toute la saison de club
01:38:05et sur la saison de club dont la compétition
01:38:07la plus clinquante
01:38:09c'est quand même Vinicius
01:38:11sur des images qui ressort
01:38:13mais je vois quand même aussi là
01:38:15le début de la mise en place
01:38:17la maison réale qui se met en place
01:38:19on va gentiment mettre en avant
01:38:21le jour où Ancelotti a dit
01:38:23je voyerai bien Vinicius Junior
01:38:25parce qu'il y a quand même Bellingham
01:38:27il ne faut pas l'oublier
01:38:29il y a quand même Bellingham
01:38:31il y a quand même un côté un peu
01:38:33on respecte chacun son tour
01:38:35il y a eu une époque Cristiano
01:38:37ensuite Modric
01:38:39le moment où tu as pu l'avoir
01:38:41on t'a appuyé c'était ton tour
01:38:43ensuite est venu le tour de Benzema
01:38:45on a appuyé Benzema
01:38:47si la place de Bellingham
01:38:49sur un podium de ballon d'or doit arriver
01:38:51elle arrivera en temps et en heure
01:38:53ils font ce qu'on n'avait pas su faire en 2018
01:38:55quand on avait divisé les voies
01:38:57on a deux éminents journalistes
01:38:59sur ce plateau
01:39:01on a déjà des petites tendances
01:39:03j'ai l'impression que c'est une année
01:39:05c'est hyper ouvert
01:39:07c'est hyper ouvert
01:39:09parce qu'on n'est pas dans une année
01:39:11où il y a eu une espèce de surdomination
01:39:13individuelle
01:39:15on parlait de Benzema
01:39:17il est tellement au-dessus du lot
01:39:19sur la ligue des champions
01:39:21à chaque tour c'est miracle sur miracle
01:39:23et surperformance sur performance
01:39:25je ne parle même pas des années Messi
01:39:27Cristiano
01:39:29on est dans une année où
01:39:31tu as des arguments pour 3 ou 4 joueurs
01:39:33peut-être plus
01:39:35Vinicius, sa copa américaine
01:39:37elle est handicap
01:39:39il faudra voir le retentissement de ça
01:39:41Rodri qui est sorti
01:39:43comme l'homme fort de l'euro
01:39:45dans l'équipe la plus sympa de l'année
01:39:47il peut marquer aussi les esprits
01:39:49Bellingham qui a été assez présent
01:39:51dans les gros moments
01:39:53même si c'était que des coups
01:39:55Bellingham a été très présent
01:39:57en début de saison
01:39:59il était un peu plus en difficulté
01:40:01sur la régularité
01:40:03sur la régularité
01:40:05mais à l'euro
01:40:07sur des gens ils peuvent aussi retenir
01:40:09le fait qu'il a fait un ciseau
01:40:11sur des moments il est hyper important
01:40:13de la même façon
01:40:15le classico
01:40:17celui à l'aller où il m'est doublé
01:40:19avec notamment un but
01:40:21au buzzer beater
01:40:23il a marqué un peu
01:40:25parce que les votes
01:40:27ça va être octobre
01:40:29septembre
01:40:31cette période là
01:40:33peut être aussi cruciale
01:40:35pour déterminer
01:40:37c'est sur la saison sportive
01:40:39la saison sportive qui a pris fin
01:40:41avec l'euro
01:40:43un défenseur du Real Madrid
01:40:45espagnol
01:40:47personne ne le cite
01:40:49évidemment qu'il sera également
01:40:51en palmarès
01:40:53rien qu'en termes de palmarès
01:40:55c'est qu'en palmarès
01:40:57il a été décidé
01:40:59je me suis mal fait comprendre
01:41:01la prime elle va toujours
01:41:03aux joueurs offensifs
01:41:05et si ça change cette année
01:41:07j'ai du mal à y croire
01:41:09quelque chose d'éclatant
01:41:11sur le plan défensif
01:41:13Cannavaro, Sammer
01:41:15c'est déjà une autre époque
01:41:17même visuellement parfois choquante
01:41:19dans ce qui pouvait être dégagé
01:41:21comme force, comme charisme
01:41:23il n'avait fini que troisième
01:41:25rendez-vous le 28 octobre
01:41:27pour le verdict
01:41:29tu dis une bêtise ?
01:41:312ème
01:41:33on termine avec l'heureux U19
01:41:35que vous pouvez suivre
01:41:37les garçons hier
01:41:39face à l'Espagne
01:41:41match nul de partout
01:41:43ils étaient déjà qualifiés
01:41:45les petits bleués
01:41:47on voit ce bijou du monégasque
01:41:49Simon Boivré
01:41:51qui nous enchante
01:41:53le deuxième but tricolore
01:41:55est signé Valentin Atangana-Edouard
01:41:57et les protégés
01:41:59les protégés
01:42:01j'ai bientôt fini
01:42:03je m'arrête
01:42:05seront opposés aux Ukrainiens
01:42:07en demi
01:42:09ce sera jeudi
01:42:11les demi-finales de l'Euro U19
01:42:13féminin à partir de 16h55
01:42:15France-Pays-Bas
01:42:17comme d'habitude
01:42:19c'est la fin de l'alpe d'Huez
01:42:21les derniers
01:42:23du calme
01:42:25elle est en danseuse
01:42:27vacances dans 15 minutes
01:42:3120h25
01:42:33Camille est passionnée
01:42:35par le sujet Sancho
01:42:37à Paris
01:42:39nouvelle piste du PSG
01:42:41c'est l'équipe qui nous apprend
01:42:43que le club parisien
01:42:45aurait ciblé l'anglais
01:42:47Paris doit-il foncer
01:42:49sur Jadon Sancho
01:42:51à biais à la parisienne
01:42:53à biais à la parisienne
01:42:55ça dépend du prix
01:42:57Olivier ?
01:42:59non
01:43:01pas à tout prix
01:43:03pas du tout
01:43:05pas du tout
01:43:07personne ne le dit
01:43:09le PSG doit foncer
01:43:11c'est un joueur
01:43:13qui a eu un début de carrière
01:43:15intéressant
01:43:17à certains égards
01:43:19qui depuis 4 ans déçoit
01:43:21et ce n'est pas ces matchs
01:43:23avec Dortmund
01:43:25qui relancent la donne
01:43:27si c'est un joueur
01:43:29que tu peux toucher
01:43:31à un maximum de 30 millions
01:43:33ça peut se discuter
01:43:35maintenant c'est Paris
01:43:37le prix augmente
01:43:39ça négocie dans l'autre sens
01:43:41je pense que le prix
01:43:43va être plus élevé
01:43:45si ça dépasse 30 millions
01:43:47surtout que les performances
01:43:49c'est des matchs en trompe l'oeil
01:43:51il a été très bon contre Paris
01:43:53mais le reste de sa saison
01:43:55il voulait se faire embaucher
01:43:57peut-être que le PSG
01:43:59contre l'Atletico
01:44:01il participe
01:44:03c'est comme moi en maths
01:44:05j'étais nul
01:44:07mais le prof disait
01:44:09il est présent
01:44:11c'est un état de dépression
01:44:13c'est pas une association le PSG
01:44:15il était en déprime
01:44:17c'est pour te dire
01:44:19dans des matchs de Ligue des Champs
01:44:21on a commencé à remonter la pente
01:44:23je suis d'accord avec toi
01:44:25je comprends que la piste
01:44:27on puisse la trouver sexy
01:44:29c'est un joueur frisson
01:44:31mais si on est dans la nostalgie
01:44:33il y a 3 ans
01:44:35l'échantillon c'est un échantillon de 6 mois
01:44:37sur lequel on ne peut pas être formel
01:44:39surtout avec l'incompatibilité
01:44:41avec un club de très haut niveau
01:44:43qu'on peut déceler
01:44:45par rapport à son raté à Manchester United
01:44:47on n'a pas les garanties
01:44:49qu'en arrivant à Paris
01:44:51dans un univers très concurrentiel
01:44:53avec beaucoup d'exigences
01:44:55d'exposition médiatique
01:44:57il sera capable de réussir ce qu'il n'a pas réussi
01:44:59c'est pas un hasard
01:45:01s'il n'a pas réussi à s'imposer
01:45:03en équipe d'Angleterre
01:45:05je ne crois pas qu'à chaque fois
01:45:07les échecs à répétition
01:45:09ce soit la faute du coach
01:45:11il faut regarder le joueur
01:45:13c'est un copier-coller de Barcolat
01:45:15de Dembélé
01:45:17cette année c'est Stattak
01:45:19c'est 3 passes dès 3 buts
01:45:21des joueurs déséquilibrants
01:45:23mais pas assez efficaces
01:45:25si son but c'est concurrencer Dembélé
01:45:27ça pourrait être sympa à l'entraînement
01:45:29mais il n'y a pas de nécessité
01:45:31il n'y a pas de profondeur de banc
01:45:33si Barcolat se blesse
01:45:35c'est une question d'argent
01:45:37même si l'argument de l'argent
01:45:39ça me gêne un peu
01:45:41je ne suis pas le financier de PSG
01:45:43ils font ce qu'ils veulent
01:45:45il y a une cohérence à avoir
01:45:47en termes de statistiques
01:45:49on parle de 3 passes, 2 buts
01:45:51en Bundesliga
01:45:53c'est quand même un endroit
01:45:55où les joueurs offensifs
01:45:57peuvent beaucoup marquer
01:45:59je suis complètement d'accord avec toi
01:46:01on a été ébloui par son match
01:46:03à les retours contre le PSG
01:46:05il a été très bon
01:46:07mais le reste du temps
01:46:09ça n'a pas été fou
01:46:11et ce n'est pas un hasard
01:46:13il n'est pas non plus
01:46:15parmi les meilleurs joueurs
01:46:17il a fait des choses étonnantes aussi
01:46:19je préfère voir un Barcolat éclore
01:46:21que d'aller lui mettre
01:46:23un Jadon Sancho dans les pattes
01:46:25alors que lui est là
01:46:27ce n'est pas un vieux truc parisien
01:46:29d'acheter ses bourreaux
01:46:31c'est un soir de grâce
01:46:33on a surtout l'impression
01:46:35qu'ils ont un peu de difficulté
01:46:37pour l'instant c'est le début du mercato
01:46:39il ne faut pas non plus tout avancer
01:46:41mais ils ont du mal
01:46:43il pourrait leur correspondre
01:46:45parce qu'à un moment
01:46:47ils étaient sur Oshimen
01:46:49ça ne vient pas forcément d'eux
01:46:51le blocage
01:46:53c'est tout à fait le profil de joueur
01:46:55qu'il apprécie
01:46:57c'est pas tout à fait ça
01:46:59pourtant ils sont revenus dessus
01:47:01parce qu'ils ont besoin d'un attaquant
01:47:03apparemment du côté de Naples
01:47:05ils ne veulent pas le vendre
01:47:07comme ça l'affaire est réglée
01:47:09pour le coup ils voulaient un côté gauche
01:47:11c'est mieux que ces deux-là
01:47:13c'est mieux que Léao et Guevara
01:47:15je n'arrive pas à le dire
01:47:17ça va la miquette
01:47:19Léao c'est logiquement au-dessus
01:47:21mais le problème de Léao
01:47:23c'est qu'il va falloir qu'il comprenne
01:47:25parfois un peu plus le sens du jeu
01:47:27mais tu peux espérer qu'un Louis-Henriqué
01:47:29le fasse comprendre
01:47:31et qu'il soit en mode on et concerné tout le temps
01:47:33parce que lui son problème
01:47:35quand il fait sa tête des mauvais jours
01:47:37franchement lui il n'a pas de niveau plancher
01:47:39il plonge
01:47:41et puis il y a encore un joueur
01:47:43c'est quelqu'un qui s'est imposé au Milan
01:47:45alors que ça n'a pas été le cas de Sancho à Manchester
01:47:47c'est quand même important
01:47:49un Sancho dans un grand club
01:47:51on l'a déjà vu quand il arrive à Manchester
01:47:53il arrive avec un gros potentiel
01:47:55ça n'a pas été un petit flop
01:47:57ça a été un flop énorme
01:47:59c'est un peu le même fils de paille
01:48:01quand il arrive là-bas
01:48:03on se rend compte que la marche est un peu trop haute
01:48:05c'est un joueur d'un club peut-être inférieur
01:48:07un dernier élément là-dessus
01:48:09c'est qu'il n'y a aucun gros club qui s'est mis sur lui
01:48:10est-ce qu'on valorise dans la recherche
01:48:13le potentiel ou la dynamique
01:48:15parce que j'entends les joueurs que vous citez
01:48:17qui sont dans une bien meilleure dynamique
01:48:19que Jadon Sancho
01:48:21pour moi c'est incontestable
01:48:23que ce soit sur les profits d'Elié, Léao, Kvaradskélia
01:48:25ou même sur Ozymen au poste d'attaquant
01:48:27par contre là où je vais quand même faire un petit pas de côté
01:48:29c'est sur vraiment la notion de talent pur
01:48:31là par contre je suis désolé
01:48:33mais Jadon Sancho
01:48:35est meilleur que Léao
01:48:37dans la relation qu'il a avec le ballon
01:48:39Léao c'est un joueur qui percute
01:48:41qui est dans le changement de rythme
01:48:43par contre dans vraiment la conduite
01:48:45le côté un peu charnel avec le ballon
01:48:47Jadon Sancho
01:48:49J'ai vraiment vu un joueur plus doué
01:48:51que Atem Ben Arfa
01:48:53et tu vois la carrière qu'il a fait
01:48:55Le talon ça ne veut rien dire
01:48:57c'est pas matérialisable
01:48:59Laissez Atem tranquille là déjà
01:49:01Il n'a rien demandé
01:49:03C'est pas méchant vis-à-vis de lui
01:49:05Vu le potentiel, le talon que tu as de départ
01:49:07évidemment tu n'as pas la carrière
01:49:09Tu n'es pas obligé de mettre des balles fermées comme ça
01:49:11Je dis ça pour ne pas se laisser berner
01:49:13par l'aspect talent de Jadon Sancho
01:49:15qui me semble être très élevé
01:49:17par rapport aux cibles potentielles
01:49:19par contre le talent est conditionné
01:49:21par la dimension mentale
01:49:23et on a vu qu'il est effrayable
01:49:25et aussi par la dimension athlétique
01:49:27qui est elle-même liée à la dimension mentale
01:49:29Il arrive peut-être aussi à se relancer
01:49:31parce qu'il revient à la maison
01:49:33c'est un cadre, un endroit
01:49:35Dortmund qui connaissait pour y être déjà passé
01:49:37donc forcément ça aide un petit peu
01:49:39repartir dans un nouveau club
01:49:41Paris ce n'est pas l'idéal
01:49:43ça arrive t'es plein badin
01:49:45Ce n'est pas un club où tu te relances
01:49:47David tout à l'heure évoquait Barcola
01:49:49le petit Sancho
01:49:51Monsieur Sancho s'il arrive un jour
01:49:53ce n'est pas dans la peau d'un remplaçant a priori
01:49:55C'est ça aussi
01:49:57On parle aussi de Luis Henrique
01:49:59on l'a vu cette saison
01:50:01il y a eu énormément de changements de turnover
01:50:03Surprenant
01:50:05Avec la nouvelle ligue des champions
01:50:07ils ont des matchs et des matchs
01:50:09C'est difficile de dire
01:50:11de tituleur indiscutable
01:50:13L'interrogation n'est pas sur les choix de Luis Henrique
01:50:15Luis Henrique l'a à peu près démontré
01:50:17s'il faut faire des choix
01:50:19il ne va pas se prendre la tête
01:50:21mais Jadon Sancho c'est quelqu'un
01:50:23qui vit très très mal
01:50:25le fait d'être déclassé
01:50:27à Manchester United
01:50:29quand il n'a pas réussi à s'adapter tout de suite
01:50:31et qu'on l'a perdu humainement
01:50:33il a mis des tirs à son entraîneur
01:50:35publiquement
01:50:37dans une équipe de division ultra inférieure
01:50:39pour pouvoir retrouver le goût du truc
01:50:41on part de loin
01:50:43tout à l'heure on parlait d'Assos
01:50:45Mais il y a quand même l'idée au PSG
01:50:47de te dire qu'à un moment
01:50:49dans la politique sportive il y a du foot
01:50:51c'est ce qu'on attend
01:50:53qu'il y en ait de plus en plus année après année
01:50:55mais il y a aussi la partie marketing
01:50:57Sancho c'est un nom
01:50:59et là tu viens de perdre Kylian Mbappé
01:51:01Je ne compare pas les deux joueurs
01:51:05Je compare le principe
01:51:07Officiellement normalement c'est fini cette aire là
01:51:10Officiellement
01:51:12Ce qui est susceptible de motiver ce choix
01:51:15est-ce que c'est vraiment sportif
01:51:17est-ce qu'il y a une part de market
01:51:19ou quelle est la proportion des deux
01:51:21Parce que tu as la sensation que Sancho
01:51:23c'est un grand nom du foot
01:51:25Je pense que c'est un nom qui résonne
01:51:27pour les supporters
01:51:29et que ça peut les exciter
01:51:31et que ça compte aussi
01:51:33Camille et moi on n'achètera pas
01:51:35le maillot de Sancho
01:51:37Sancho on pourrait dire
01:51:39alors Rashford
01:51:41Rashford c'est un nom
01:51:43On me dit que je veux rendre des maillots
01:51:45Sancho j'ai l'impression
01:51:47que c'est quelqu'un qui est repassé
01:51:49Je suis étonné qu'ils aillent pas sur Rashford
01:51:51Il est en disgrâce à Manchester
01:51:53franchement c'est un peu compliqué
01:51:55mais pour moi lui ça reste une menace
01:51:57c'est-à-dire que quand tu l'as sur un terrain
01:51:59je pense que l'équipe adverse
01:52:01elle n'est jamais tranquille face à un mec pareil
01:52:03je trouve qu'il dégage quelque chose
01:52:05il a une vraie personnalité
01:52:07il a des qualités de foot d'attaquant moderne
01:52:09je ne comprends pas qu'ils ne mettent pas le paquet
01:52:11parce que Jadon Sancho
01:52:13c'est plus un joueur de trop bien ficelé
01:52:15alors à quoi ça sert d'être adossé au Qatar ?
01:52:19si c'est pour faire les fonds de tiroir des autres
01:52:21c'est pas la peine
01:52:23Et sur le poste, on parle de Sancho-Elié Gauche
01:52:25est-ce que ça doit être la priorité au PSG ?
01:52:27Il peut jouer à droite
01:52:29Après encore une fois le PSG
01:52:30Il va sur des postes où ce n'est pas la priorité
01:52:32il va falloir aller chercher au milieu de terrain
01:52:34plus dans l'axe
01:52:36Des Elié ils en ont déjà
01:52:38Il y a Dembélé, Colomwany, Barcola
01:52:40Ils ont le droit de travailler sur plusieurs dossiers en même temps
01:52:42Oui mais on a l'impression qu'en ce moment
01:52:44c'est Kvarajvila, c'est Léa O
01:52:46c'est surtout ce profil-là
01:52:48Mettez-moi un gros central aussi
01:52:50pour moi c'est quand même ça la clé
01:52:52Oui mais comme ils ont pris Verraldo
01:52:54et visiblement il a une grande confiance en lui
01:52:56Oui oui bien sûr
01:52:58Ça c'est méchant
01:53:00Ça c'est méchant
01:53:02Bon 20h35, 34
01:53:04On a un petit peu d'avance
01:53:06On joue un petit peu ça vous plaît ?
01:53:08Et là on a un peu d'avance
01:53:10donc on va peut-être pouvoir aller au fond
01:53:124 indices je vous rappelle
01:53:14pour me retrouver un ou une athlète
01:53:16Le premier indice donne 4 points
01:53:18Le deuxième indice donne 3 points
01:53:20Qui a un joker ?
01:53:22J'allais dire Tidiani
01:53:24Moi aussi j'aurais peut-être dit ça
01:53:26C'est le côté défaitiste
01:53:28ça n'a pas plus d'avance
01:53:30Le président a truqué
01:53:32Il y a des points d'avance
01:53:34Je vais jouer au jeu mais je sais que je vais perdre
01:53:36Il est sur le côté négatif
01:53:38Président vous avez un joker
01:53:40qui vous permet d'éliminer quelqu'un
01:53:42ou de revenir en jeu si jamais vous êtes éliminé
01:53:44si jamais vous donnez une mauvaise réponse
01:53:46mais ce qui n'arrive jamais
01:53:48Le quiz du soir concerne les Français
01:53:50qui ont remporté au moins
01:53:52deux médailles d'or
01:53:54aux Jeux Olympiques d'été
01:53:56Les Français ou Française
01:53:58qui sont double médaille d'or aux Jeux Olympiques d'été
01:54:00On ne parle pas forcément de Paris 2024
01:54:02ça peut être quelqu'un qui n'est plus en activité
01:54:04On est prêt ? On a tout compris ?
01:54:06Première question, premier indice
01:54:08Je serai à Paris pour les Jeux Olympiques
01:54:10C'est une mauvaise réponse
01:54:12C'est une mauvaise réponse
01:54:14C'est une mauvaise réponse
01:54:17Il ne reste plus que Tidiani et Olivier
01:54:20je crois
01:54:22qui ont été un peu plus patients
01:54:25Je serai à Paris pour les Jeux Olympiques
01:54:27mais je n'y participerai pas
01:54:35Il a envie d'y aller
01:54:37Je suis le président du comité d'organisation de Paris 2024
01:54:40Tony Estanguet, merci Olivier Bossard
01:54:42Je suis triple champion olympique de canoë et kayak
01:54:44Mais il y avait de l'idée avec Marie-Josée
01:54:46J'avais pensé à ça aussi
01:54:48Ça fait deux petits points pour Olivier
01:54:50Deuxième athlète féminin ou masculin à trouver
01:54:52Comme Tony Estanguet, je suis triple championne olympique
01:54:54Marie-Josée Perrec
01:54:57En athlétisme, figure des JO
01:54:59et j'ai un prénom composé
01:55:01Le timing, tu n'as jamais eu le timing
01:55:03J'ai remarqué
01:55:054 points pour Dave Apedu
01:55:07Troisième athlète à trouver
01:55:09J'ai été porte-drapeau
01:55:11Deux mauvaises réponses
01:55:14À un moment donné, ils vont quand même sortir j'espère
01:55:18Lors des Jeux Olympiques de Londres
01:55:19Je suis une légende de l'escrime
01:55:22C'est Laura Flessel
01:55:24Ça ne tient pas
01:55:26C'est Laura Flessel-Kolovich
01:55:28Mon surnom, la guêpe
01:55:30Ça fait deux petits points en plus
01:55:324 et 2, 6
01:55:34Prochaine athlète
01:55:36Je suis quadruple champion du monde
01:55:38Karabatic
01:55:40C'est une mauvaise réponse
01:55:42Je reviens
01:55:44Il revient dans le game
01:55:46On réallume la lumière
01:55:48Quadruple champion du monde
01:55:50Après ma retraite sportive, j'ai eu une carrière politique
01:55:53David Douillet
01:55:55J'ai marqué l'histoire du judo, mes initiales DT
01:55:58Ça va très très vite
01:56:00Ça va commencer Tidiani
01:56:02C'est pour comprendre les règles
01:56:05Maintenant par exemple, ce serait bien
01:56:07Premier indice pour 4 points
01:56:09Je décroche une médaille d'or à Pékin
01:56:11et une autre à Londres
01:56:13Mauvaise réponse
01:56:15Non, pas à Pékin
01:56:17C'est lui, Londres, Pékin
01:56:19C'est pas lui
01:56:21Non, personne
01:56:23Je suis le premier français à m'imposer sur la distance reine de mon sport
01:56:28Mauvaise réponse
01:56:32Oui, c'est ici
01:56:34Bernard
01:56:36C'est du 100m libre
01:56:38J'ai deux prénoms dans mon nom évidemment
01:56:40Il fallait le trouver celui-ci
01:56:42Je termine ma carrière au PSG
01:56:44Qui suis-je ?
01:56:46Mauvaise réponse
01:56:50Vous n'avez pas remarqué que depuis le début
01:56:52on vous piège avec tes délinéres et karaté ?
01:56:54Un jour il tombera peut-être
01:56:56Évidemment
01:56:58Je compte plus de 50 titres en carrière
01:57:06Mon sport, c'est le handball
01:57:09Je n'ai pas le droit d'en dire
01:57:11Thierry Omeyer, Olivier
01:57:13L'air de rien comme ça
01:57:15Mes parades ont terrorisé les attaques adverses
01:57:17évidemment, le gardien des bleus
01:57:24Je suis champion olympique en 2004 et 2008
01:57:29Lormann Odu
01:57:31C'est une mauvaise réponse
01:57:35C'était en VTT
01:57:37Lormann Odu
01:57:39Julien Absalon
01:57:41Il se réveille par contre
01:57:42Je vous regarde pour l'instant
01:57:44Tu élimines quelqu'un ou pas Hervé ?
01:57:46Oui, je vais éliminer...
01:57:48C'est Der Rapadou ?
01:57:50Non, c'est Dali
01:57:52Il est en tête
01:57:54Elimination
01:57:56Première liste pour 4 points
01:57:58Je me suis illustré en sabre
01:58:00Comment il s'appelle ?
01:58:02Il était ministre
01:58:04Jean-François Lamour
01:58:06La balle décédit
01:58:08C'était en 1992
01:58:10C'était naïf
01:58:12Il ne l'avait pas sinon ?
01:58:14Je ne pense pas
01:58:16On continue
01:58:18Je le voyais
01:58:20J'ai remporté au moins 2 médailles d'or aux Jeux Olympiques d'été
01:58:22Et on a parlé de moi dans l'émission aujourd'hui
01:58:24Oui !
01:58:32J'aime bien vous regarder
01:58:34Ça serait bien que tu joues un petit peu
01:58:36Prochaine athlète féminin ou masculin
01:58:38Je suis une légende
01:58:40Je suis une légende du tennis
01:58:43Madame !
01:58:45Muray !
01:58:47C'est les français
01:58:49C'est les français
01:58:52Raphaël, Nadal, très français
01:58:54Et Andy bien sûr
01:58:56Je suis une légende du tennis française
01:58:58On me cite chaque année à Roland-Garros
01:59:00Noa ?
01:59:02Suzanne Langlène
01:59:04Un court porte mon nom
01:59:06On me surnomme la divine
01:59:08Elle a été double championne olympique
01:59:10Est-ce qu'on pourrait repartir de zéro ?
01:59:12Non, mais par contre tu peux jouer à tout moment
01:59:14David Ayello est très bon là
01:59:16Il n'est pas mal
01:59:18Je suis attendue sur ces Jeux Olympiques
01:59:20Mauvaise réponse
01:59:24C'est un fiasco
01:59:26Attention, ça peut aller très vite
01:59:28Je pratique le même sport que Teddy Riner
01:59:30Agbeninou
01:59:32Clarisse Agbeninou
01:59:34Je suis championne olympique en titre dans ma catégorie
01:59:36Je compte 8 titres de championne olympique
01:59:38Il en reste un
01:59:40Alors là je vais vous le dire
01:59:42J'ai peur
01:59:44Les français qui ont remporté au moins deux médailles d'or au JODT
01:59:47C'est...
01:59:49Oui !
01:59:52Vous gagnez !
01:59:54Je vais dire que c'est celui que j'attends le plus
01:59:56Lequel ?
01:59:58Nicolas !
02:00:00On est sur une victoire de David Ayello
02:00:02Bravo, félicitations
02:00:04Il est prêt pour les Jeux Olympiques
02:00:06On se fait une petite lucarne maintenant ?
02:00:08Parce que vous savez qu'on ne le verra plus à la rentrée
02:00:10Pierre-Antoine Dampour va nous quitter
02:00:12C'est pas vrai
02:00:14On le maltraitait beaucoup
02:00:16On le faisait porter des masques horribles
02:00:18Faire des sketchs tous les jours difficiles
02:00:20Il en avait marre
02:00:22Avec son compère Béric Pierre-Louis
02:00:24Avant de ne plus le voir sur notre antenne
02:00:26On va se régaler avec les meilleurs moments
02:00:28Un petit best-of des exploits de la petite lucarne
02:00:30C'est parti !
02:00:36Nous allons récompenser les soigneurs
02:00:38Et oui, les soigneurs sans qui
02:00:40Nos footballeurs ne se relèveraient pas après une faute
02:00:42C'est donc la civière d'or
02:00:44Les nommer
02:00:52Et Pedro
02:00:54Qui visiblement n'aurait pas dû tester la marche arrière
02:00:57Surtout Pedro
02:00:59Non, non, je t'ai dit, la marche arrière ça va pas
02:01:01Eh ouais, non
02:01:03Que paso, que paso
02:01:05Que paso
02:01:07C'est un beau geste
02:01:09Le gars n'a pas l'air d'être trop malentendu
02:01:11C'est un beau geste
02:01:13Deuxième, nommé
02:01:15C'est un duo qui a été formé au métier de brancardier
02:01:17Pendant genre 10 minutes je pense la formation
02:01:19Parce qu'ils en ont rien à foutre
02:01:21Il commence à me faire chier celui-là
02:01:25Simulation sur simulation
02:01:28C'est génial
02:01:30Et puis il va retomber
02:01:32Merci
02:01:33Le troisième nommé
02:01:35C'est un duo uruguayen
02:01:37Avec le soigneur qui a oublié de s'échauffer visiblement
02:01:39Claque, claquage
02:01:41Oh la vache
02:01:43Continue sans moi
02:01:45Je ne peux pas, il va se mettre là-bas
02:01:47Je ne peux pas, changement, changement, changement
02:01:49Evidemment
02:01:51T'as rajouté le bruit
02:01:53Pas du tout, tout est original dans la petite lucarne
02:01:55Et le gagnant de
02:01:57Eh oui mais on n'a pas tout le temps, il y a le ballon d'or
02:01:59Eh bien c'est l'uruguayen
02:02:01Evidemment pour ce claquage
02:02:03Magnifique, regardez
02:02:05Claque
02:02:07C'est extraordinaire
02:02:09Magnifique
02:02:11Moi j'ai surtout vu ce qu'il y avait dans l'enveloppe
02:02:13C'est un petit dessin de Béric Pierre-Louis
02:02:15Béric qu'on embrasse, c'est ton anniversaire aujourd'hui
02:02:17Oh non, Happy Birthday Béric
02:02:2147 ans, 47 ans Béric
02:02:23Non je rigole évidemment
02:02:2547 ans, on est tapé comme moi
02:02:27Ronaldinho, on continue notre cérémonie
02:02:29Et puis on va passer au boucher d'or
02:02:31Vous en avez connu des bouchers dans votre carrière
02:02:33Ça fait mal ?
02:02:35Non mais j'en ai connu beaucoup
02:02:37Pierre Boubi par exemple
02:02:39Ça ne m'étonne pas
02:02:41On part sur les bouchers d'or, c'est parti les nommer
02:02:48Allez
02:02:50Et dans la catégorie du boucher d'or sont nommés le défenseur anglais
02:02:53Qui visiblement s'est fait piquer sa copine par son adversaire
02:02:55Je vous le dis c'est du boucher les gars
02:02:58Oh la vache
02:03:00Il n'y a plus de tournoi Rotting
02:03:02Ça joue
02:03:04Merci Karim, deuxième nommé dans cette catégorie
02:03:06C'est un jeune joueur, un espoir de la boucherie
02:03:08C'est n'importe quoi, il y a un chien sur le terrain
02:03:10Mais en tout cas ce ciseau acrobatique
02:03:14Oui mon petit, ça c'est l'avenir du boucher
02:03:16C'est le jeu dans le ballon d'or
02:03:21Et le troisième nommé c'est le gars qui a regardé Kung Fu Panda
02:03:24Avant de rentrer sur la pelouse
02:03:26C'est pas lui
02:03:30Il joue la balle, après ça tombe mal
02:03:34Alors à votre avis, qui gagne le boucher d'or ?
02:03:38Et bien figurez-vous qu'après des votes avec tous les journalistes de la petite carte
02:03:41C'est-à-dire Béric et moi qui ne sommes pas journalistes
02:03:43Et non, c'est le jeune espoir, le ciseau, le deuxième, bravo à lui
02:03:48C'est parce que c'était mignon
02:03:50L'autre c'est trop violent
02:03:52On ne promeut pas la violence
02:03:54Il y a un geste technique
02:03:56Merci Raph, il y a un petit geste technique
02:04:03Maintenant on va passer au gros dossier
02:04:05L'année dernière on avait eu Kylian Mbappé, Karim Benzema en duplex pour la petite lucarne
02:04:09Et cette année on a voulu passer un gap
02:04:11Béric Pierre-Louis est avec Ronaldinho
02:04:14Il y était cet après-midi devant le théâtre du Châtelet
02:04:17Ça a bien commencé
02:04:19Et c'est parti en sucette
02:04:21On a quelques heures de la cérémonie du ballon d'or
02:04:24Dans quelques instants les plus grandes stars du foot fouleront le tapis rouge
02:04:27Et en parlant de stars du foot, l'une d'entre elles nous fait l'immense plaisir d'être avec nous
02:04:30Dans la petite lucarne, mesdames et messieurs
02:04:32Le ballon d'or 2005, Ronaldinho en personne
02:04:34Oui bonjour
02:04:36C'est un grand honneur d'être là ce soir parmi vous à Paris
02:04:39Mais il parle bien français, il parle mieux français que moi
02:04:42T'es pas le vrai Ronaldinho, tu es fou de moi
02:04:44Non je suis un sosie, je m'appelle Geoffrey
02:04:46Vous l'avez compris je me suis fait berner
02:04:48Je suis avec un sosie de Ronaldinho
02:04:50Le joueur du ballon d'or dans les rues de Paris
02:04:52Ce qu'on va faire, c'est qu'on va aller se jouer des passants en leur faisant croire qu'il s'agit du vrai Ronny
02:04:55T'es prêt ?
02:04:57Allez c'est parti
02:04:59Alors là on va s'offrir une petite balade sur la plus belle avenue du monde
02:05:01Avec notre faux Ronaldinho
02:05:03Et pour jouer les gardes du coeur j'ai fait appel à Djamel, le bodybuilder
02:05:06Allez les gars c'est parti on y va
02:05:07C'est le vrai ?
02:05:09Vous le connaissez c'est qui ?
02:05:11C'est Ronaldinho bien sûr
02:05:13Il est unique, il n'y a pas d'autre Ronaldinho
02:05:15Ça te fait quoi de rencontrer Ronaldinho en vrai ?
02:05:17C'est de la folie, attends, Ronny c'est Paris, c'est le meilleur joueur brésilien de Paris avec Ray
02:05:21C'est de la folie, le but à hausser
02:05:23Le but à hausser, le chef d'oeuvre
02:05:25Je t'aime Ronny
02:05:27Je t'aime
02:05:29Je t'aime
02:05:31Je t'aime
02:05:33Je t'aime
02:05:35Je t'aime
02:05:37Je t'aime
02:05:39Ça me fait beaucoup de choses parce que je l'ai suivi en Italie
02:05:44Le voir en vrai, le toucher, ça vous fait quoi ?
02:05:46Comme j'ai l'habitude de le dire, l'histoire retiendra
02:05:49Mais ce soir, l'histoire a déjà retenu
02:05:52Marche
02:06:07Là, c'est quasiment impossible de circuler sur les Champs-Elysées
02:06:11C'est même pas s'équipe
02:06:14Ronaldinho, tout va bien ?
02:06:16Sympa
02:06:18Vous aurez tous et toutes votre photo
02:06:21On ne pousse pas
02:06:23C'est pénible
02:06:30Bon du coup, on a été exfiltrés dans un magasin
02:06:33On se trouve dans le sous-sol du magasin en question
02:06:36Ça a été très sportif. Ronaldinho, comment tu te sens ?
02:06:38C'était cool, une bonne expérience
02:06:40Les gens ont vu que l'il fait
02:06:42Là, on va essayer de se faufiler rapidement dans un taxi
02:06:45Et rentrer le plus vite possible à la baraque
02:06:49On y va, on y va
02:06:52Ça te fait quoi d'avoir Ronaldinho dans ta voiture ?
02:06:54C'est un rêve
02:06:56Franchement
02:06:59C'est pas le vrai, c'est un sosie
02:07:01Non, il a beaucoup de sosies
02:07:03Mais là, je pense que c'est le vrai
02:07:05Non, pour moi, c'est lui
02:07:13Tous les gens
02:07:22Magnifique séquence qui nous a fait beaucoup rire
02:07:25Là, c'est le vrai Hervé Penaud ?
02:07:27Il ne faut pas qu'il parle, je crois
02:07:29Est-ce que vous pouvez danser, monsieur ?
02:07:31C'est pas vrai, il danse beaucoup mieux le vrai
02:07:34La suite du programme
02:07:36Monsieur Penaud, avant la boîte de nuit
02:07:38Ce soir, juste après nous, vous avez rendez-vous avec un beau documentaire
02:07:41Les joueuses, pas là pour danser
02:07:43Vous savez qui a suivi le parcours des lyonnaises, hyper intéressant sur le foot féminin
02:07:46Demain, autre foot féminin, mais pas un documentaire
02:07:48Cette fois, un vrai match
02:07:5017h, l'Euro U19 demi-finale
02:07:53Les françaises qui affrontent les Pays-Bas
02:07:55On a des belles petites joueuses du côté de l'Euro U19
02:07:58Et puis demain, 22h55, attention, on passe en mode équipe du soir spéciale
02:08:03Jeux olympiques avec Messaoud Ben-Karki et la baguette
02:08:06Avec nos envoyées spéciales du côté du Club France
02:08:08Qu'est-ce que c'était ?
02:08:10Je crois que c'était un truc des Jeux olympiques
02:08:12Bref, ça va être le feu, on aura toutes les infos
02:08:14On va débriefer les premiers matchs, parce qu'il y a déjà du foot et du rugby demain
02:08:16Le rugby demain, tu y seras, je crois, Camille
02:08:19En vacances, mais un peu au boulot quand même
02:08:21Oui, j'enverrai une petite vidéo, mais ça vous fait raconter cette première journée de rugby à 7
02:08:24Parfait
02:08:26On est en vacances, madame Maccavie ?
02:08:28Oui, on est ravies
02:08:30On va te manquer cette vidéo
02:08:31Du coup, je profite pour dire la grille de la rentrée
02:08:34On reprend le 26, les émissions normales, équipe du choc, équipe de Greg, équipe du soir
02:08:37Et moi, je reviendrai vers là
02:08:39C'est gentil de penser à nous, elle nous honorait de sa présence
02:08:41J'ai une bonne nouvelle pour finir
02:08:43Emmanuel Macron a confirmé aujourd'hui au journal de France 2
02:08:46Que la cérémonie d'ouverture aurait bien lieu sur la Seine
02:08:48Ça va être beau ou pas ?
02:08:50C'est bien de le confirmer à trois jours quand même
02:08:52Passez une belle soirée
02:08:54Et allez les bleus
02:09:01Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org

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