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00:00Musique
00:24Bonjour et bienvenue à House Connect,
00:26le programme qui vous donne des nouvelles sur ce qui se passe au Parlement.
00:30Il y a deux semaines depuis le début de la seconde session ordinaire de l'année 2024,
00:37et jusqu'à présent, presque un millier de billes gouvernementales ont été considérées admissibles
00:43par la conférence du président des deux Chambres, examinées par les comités généraux et adoptées en plénarie.
00:51Les billes concernent un accord de transport d'air entre le Canada et le Cameroun,
00:56des droits des auteurs, mais aussi de l'archivation au Cameroun.
01:00Pendant que nous zoomons sur les débats, notre focus aujourd'hui sur House Connect sera Question Time.
01:05N'y allez pas, on reviendra tout de suite.
01:08Musique
01:12Les chefs des deux institutions de loi, le Parlement et l'Assemblée nationale,
01:17ont été à la tête du travail législatif.
01:20Ils ont été présidents des conférences du président, des plénaries,
01:24et ce à quoi les parlementaires sont en train de s'occuper, vient d'arriver.
01:27« Barely Days to Desire Solidaire 24 Programme,
01:30un geste philanthropique qui aide les vulnérables dans les régions nordiques.
01:35L'initiative Rache Yaounda Mejuwene appelle à l'Assemblée nationale de parlementaires
01:40pour demander le soutien de l'Assemblée nationale.
01:43Connaissant l'index de pauvreté des régions arides,
01:46fondée sur les défis climatiques et sur l'emploi,
01:50l'honorable Kavayeghe Jibri,
01:53sympathise avec l'objectif de promouvoir l'empowerment des communautés locales.
02:00Il nous a assuré qu'il serait là le 28 juin.
02:04La région du Nord est la région la plus pauvre au Cameroun, avec 69,2 %.
02:11Nous avons aussi le projet d'éducation, le changement climatique qui est très important
02:15et il y a une grande famine qui se déroule là-bas.
02:17Nous devons laisser le gouvernement nous accompagner
02:20pour que nous puissions tous nous unir et contribuer,
02:23pour que notre pays soit encore meilleur.
02:25En bénéficiant du patronat de la première dame de Cameroun, Chantal Bia,
02:29l'initiative de Barely Days to Desire Solidaire 24
02:32crée de la solidarité et une réponse collective aux défis de la vie
02:36qui menacent les gens à travers le territoire national.
02:42L'initiative de Barely Days to Desire Solidaire
02:45Parmi les billes examinées et adoptées au Parlement,
02:49ce sont celles qui correspondent à un accord de transport d'air
02:52entre le Cameroun et le Canada,
02:54des traités d'autonomie internationaux,
02:56des accords sur les subventions fiscales
02:59et la loi qui régule les archives au Cameroun.
03:02La perception des législateurs et la position de l'exécutif
03:06sont présentées dans ces rapports.
03:10Pour renforcer le framework légal
03:12pour la protection des droits d'autonomie au Cameroun,
03:15les représentants de la population ont examiné trois billes
03:19sur l'accession du Cameroun
03:22au Traité sur les droits d'autonomie de l'organisation de propriétés intellectuelles du monde
03:26et deux autres sur la Convention internationale
03:29pour la protection des acteurs et les producteurs de phonogrammes.
03:33Pour le ministre de l'Art et de la Culture, Bidun Kwat,
03:36les instruments apporteront à la question complexe
03:39de la renumération des œuvres d'art.
03:42Les artistes camerounais n'ont pas pu bénéficier directement
03:46de leurs droits
03:49pour être présents sur les plateformes électroniques.
03:54Et c'est parce que notre nation n'était pas partie de ces traités.
03:59Pour que les artistes camerounais reçoivent des dons,
04:04ils ont dû passer par une agence dans un pays qui a ratifié ces droits.
04:10En même temps, le bilan de 58 sessions qui régulera les archives au Cameroun
04:14a été scrutinisé et adopté en plénarie,
04:17ce qui a laissé les législateurs inquiets.
04:20Nous voulons savoir si les experts dans votre ministère
04:25sont vraiment impliqués dans la construction de ce curriculum dans nos écoles.
04:30Sinon, il est important de nous rappeler que
04:34la construction d'un bon curriculum
04:37permettra d'avoir une compréhension de notre histoire.
04:41Il faut avoir cette approche intersectorale.
04:44Néanmoins, le bilan modélise le système d'archives
04:49et met en place un mécanisme
04:52pour monitorer la gestion des archives dans les ministères sectoriels,
04:56pour développer des opportunités de traite entre le Cameroun et le Canada.
05:00Un accord de transport a été voté pour la ratification par le président de la République.
05:06Tout d'abord, ce document légal
05:09va renforcer la coopération entre le Cameroun et le Canada
05:15et améliorer la relation commerciale,
05:19l'avion et les touristes entre le Cameroun et le Canada.
05:25L'accord augmentera les flux économiques,
05:28développer l'aviation civile et les secteurs de tourisme,
05:31ainsi que réduire les coûts de transport entre les deux endroits.
05:41Près de milliers de membres du gouvernement
05:43ont été invités à la course des départements ministériels
05:47dans des salles plénaires séparées,
05:49dirigées par le président du Sénat, Marcel Ndiyefendi,
05:52et par le député de la Chambre, le honorable Kava Yegidjibrio.
05:56Ils se sont engagés dans l'implémentation des projets structuraux,
06:00la subvention des états aux institutions privées
06:03et la lutte contre la maladie dans le territoire national.
06:07Question Time est notre focus sur House Connect aujourd'hui.
06:11Un rôle clé des parlementaires est de contrôler l'action du gouvernement,
06:15et Question Time donne aux représentants du peuple
06:19le droit de s'intégrer à la course des états.
06:24Dans les procédés dirigés par le honorable Kava Yegidjibrio,
06:28le seul état du réseau de route de Cameroun est sous scrutinage.
06:50Conscient du défi d'assurer la construction des routes
06:54dans les régions en crise, le gouvernement réagit.
07:20Le système de soutien de sécurité
07:22pour accompagner tous les projets de route
07:26est implémenté au sud-ouest, au nord-ouest et dans les régions du Nord.
07:32Ce système de soutien de sécurité
07:34est implémenté sur la route Babadjou-Bamenda
07:37et sur la route de route sous construction.
07:40Cette section, Kumbundu-Kambe-Misajé,
07:44sur laquelle les travaux se déroulent très lentement.
07:48On peut réaliser qu'on a déjà complété
07:51une section de la route Babadjou-Bamenda.
07:54La gestion des dons et soutiens financiers aux institutions privées
07:58et la nécessité d'une audite systématique demandée sont clarifiées.
08:03Les ressources financières d'une école privée
08:06ou d'un collège d'entraînement d'enseignants
08:08viennent, parmi d'autres choses,
08:10de n'importe quel soutien fourni par l'état,
08:13avec l'objectif d'assurer que tous les jeunes,
08:17que ce soit dans les écoles publiques ou privées,
08:21puissent profiter des mêmes conditions d'éducation et d'entraînement.
08:26Malgré un background économique difficile,
08:30l'état du Cameroun a toujours accompli cette mission.
08:35L'allocation a été stabilisée
08:39à 2,5 milliards d'euros au cours des cinq dernières années.
08:44Les sanctions sont régulièrement mises en place
08:48à toutes les institutions privées
08:50qui ont été trouvées à avoir mis en place
08:53ces ressources financières.
08:56Au Sénat, dans une salle plénière
08:59présidée par le Président Maxime Ndiangifengi,
09:03l'accueil des programmes de PhD
09:05dans les institutions de l'enseignement de la langue est inquiétant.
09:08C'est un fait établi maintenant
09:12que les programmes de PhD ont été suspendus
09:16dans toutes les universités étatiques du pays.
09:19Est-ce que cette suspension suggère
09:24que la qualité du PhD que nos universités produisent maintenant
09:28s'est diminuée et a été insinuée dans de nombreux quartiers ?
09:35Certaines indications semblent s'agir
09:38qu'il y a de plus en plus de standards qui tombent dans les programmes de PhD.
09:43Le rationnel de la suspension et du programme d'enseignement de l'État,
09:47plus la perception de la qualité et de l'innovation,
09:51sont évoqués.
09:52Sur la suspension des programmes de PhD et d'enseignement de la langue,
09:57la raison est simple.
10:01Il a été nécessaire pour nous
10:03d'avoir une claire compréhension de la situation.
10:07Ce n'est pas une indication
10:10que nos programmes d'enseignement de la langue sont médiocres.
10:18Personne ne peut vérifier la qualité de nos programmes d'enseignement
10:26à l'intérieur et à l'extérieur du pays.
10:33J'ai écrit à l'hierarchie pour que la suspension soit élevée.
10:41Expectée pour évaluer l'implémentation des projets structurels
10:45en ligne avec la stratégie de développement nationale,
10:49l'approche est évoquée.
10:51L'implémentation de Vision 2035
10:55a permis à notre pays d'embarquer sur un programme d'investissement vaste,
11:00qui nécessite une mobilisation de ressources significatives
11:04pour l'implémentation de grands projets de première génération
11:08qui sont actuellement commissés,
11:11et des projets de deuxième génération,
11:13certains desquels sont en phase d'initiative.
11:16La Banque des Développements africains
11:18régulièrement mesure l'index de développement infrastructurel africain.
11:24C'est un index composé qui mesure l'état d'infrastructure
11:29dans les domaines suivants,
11:31électricité, transport,
11:34information et technologies de communication,
11:36eau et sanitation.
11:39Le Cameroun s'améliore sur ses foyers de transport,
11:42accélère le commissionnement des plans de production d'énergie
11:46et s'est engagé à alloquer des ressources supplémentaires
11:49pour la réhabilitation et les travaux de maintenance.
11:55La Banque des Développements africains
11:58Bienvenue de retour.
11:59Comme nous l'avons annoncé au début de House Connect aujourd'hui,
12:02notre invité est l'honorable Peter Njume Amban,
12:05coordonnateur du caucus parlementaire pour la promotion de la santé.
12:09Il est aussi membre du CPDA de l'Assemblée nationale pour la Constitution indienne.
12:14Bonjour, honorable, bienvenue à House Connect.
12:16Merci beaucoup Esther, c'est un plaisir.
12:18Le caucus parlementaire pour la promotion de la santé,
12:22ses missions, nous pouvons le voir clairement par son nom,
12:26mais qu'est-ce qui vous a promis de venir sur ce réseau,
12:29étant donné qu'il est l'un des plus jeunes
12:31parmi les plus de 23 réseaux parlementaires
12:34qui existent à l'Assemblée nationale ?
12:36La recherche a prouvé que
12:39la cause principale de la mort
12:43et de la mobilité aujourd'hui au Cameroun est la malaria.
12:48En 2020, nous avons enregistré plus de 6 millions de cas
12:54de malaria au Cameroun,
12:56et parmi ces 6 millions de cas,
12:58il y a eu plus de 14 000 morts.
13:01C'est assez alarmant.
13:03Et parmi ceux qui ont été affectés,
13:07ce sont les femmes et les enfants enceintes depuis 0 à 5 ans.
13:12Donc vous pouvez imaginer ce qui se passe au Cameroun.
13:17Les femmes sont les plus vulnérables,
13:19et la plupart des gens qui sont affectés par cette maladie
13:23sont ceux dans les zones rurales.
13:25Le Cameroun était 10e, maintenant 11e,
13:28en ce qui concerne les pays les plus touchés par la malaria.
13:33Depuis la création de votre réseau, il y a un an,
13:36avez-vous travaillé sur le terrain
13:38pour s'assurer que ces figures sont retournées ?
13:42Nous travaillons avec le ministère de la Santé.
13:47Nous voulons voir comment ce ministère
13:51peut augmenter son allocation budgétaire,
13:55en particulier dans le domaine de la malaria.
13:59L'année dernière, j'étais à Abuja,
14:03les deux dernières années,
14:05lorsque nous avons eu la déclaration d'Abuja.
14:08C'était agréable.
14:10Bien sûr, le Cameroun s'est partagé.
14:13Nous allons augmenter l'allocation budgétaire jusqu'à 15 %.
14:18Mais malheureusement, nous n'avons pas encore atteint le 5 %.
14:21Que voulez-vous faire ?
14:23Nous ne pouvons pas aller directement jusqu'à 15 %,
14:25mais nous pouvons aller jusqu'à 8.
14:27Et avec cela, l'année prochaine,
14:29nous pourrons continuer jusqu'à ce que nous atteignons cela.
14:31C'est pourquoi nous avons créé
14:34une allocation budgétaire annuelle
14:39de 2024 à 2028.
14:42Et si le gouvernement peut suivre ce programme
14:46que nous essayons de leur offrir,
14:48bien sûr, en 2030,
14:50nous pourrons atteindre ce que nous voulons faire
14:55concernant la malaria.
14:57Pouvez-vous nous donner les détails
14:59de ce programme de votre caucus ?
15:01L'allocation mondiale que nous essayons d'estimer pour Cameroun
15:05en 2022 à 2028
15:07est d'environ 160 millions de francs CFA.
15:11Ce monde n'arrivera pas tout de même
15:13du budget de l'État.
15:15Nous avons l'allocation mondiale qui est prête à soutenir,
15:18la WHO est prête à soutenir,
15:20l'UNICEF et d'autres donateurs.
15:22Mais nous voulons voir comment le quartier de Cameroun
15:26sera capable d'atteindre cela.
15:28Nous estimons que le budget de 2025
15:32peut atteindre environ 5 millions de francs CFA.
15:37En 2026, nous allons atteindre environ 8 millions de francs CFA.
15:42Et graduellement, à l'arrivée de 2028,
15:45nous allons atteindre un certain point
15:47où, en 2030,
15:49la malaria sera une histoire à Cameroun.
15:52Nous essayons de lobbyer avec les ministres.
15:56Parce que la malaria concerne tout le monde.
15:59Mais je ne vais pas lobbyer avec les ministres.
16:01Surtout les ministres clés,
16:03comme l'éducation, l'éducation fondamentale,
16:06l'éducation secondaire, l'éducation des femmes, etc.
16:09Ils devraient essayer d'allocer
16:12jusqu'à 1% de leur budget annuel pour la malaria.
16:16En particulier, plus de 16 millions de personnes
16:19sont affectées par la malaria annuellement.
16:22C'est une figure alarmante.
16:24Ce sont des figures qui ne viennent pas seulement d'eux-mêmes,
16:29mais aussi des zones urbaines.
16:31Vous pouvez voir que même les services publics sont affectés.
16:34Le secteur économique est affecté.
16:36Les zones rurales sont affectées.
16:38Tout le monde est affecté.
16:40Nous parlons d'actions à prendre
16:42pour pouvoir impacter les 30 millions de Camerooniens
16:45qui sont vulnérables.
16:47Et ces actions sont enregistrées dans la publication de 7 pages
16:51que votre réseau a fabriquées.
16:54Je suis sûre que vous avez identifié
16:56quelques des raisons pour lesquelles
16:59les infections de malaria sont de plus en plus alarmantes dans nos communautés.
17:03Quelles sont-elles ?
17:04Beaucoup de Camerooniens n'ont pas accès à des mousquetons traités.
17:08La deuxième raison, c'est quoi ?
17:10Même si ces gens peuvent faire
17:13tout ce qu'ils peuvent, peut-être en utilisant des mousquetons,
17:17nous avons réalisé que la hygiène et la sanitation
17:20sont pauvres dans la plupart de ces zones.
17:23L'autre raison, c'est que la plupart de ces gens
17:26n'ont pas accès aux soins de santé.
17:28C'est ce que j'allais demander.
17:30Ils n'ont pas accès aux soins de santé.
17:32C'est pourquoi nous poussons le gouvernement
17:35à implémenter le programme de soins de santé universel.
17:38Parce que ce programme va couvrir les plus vulnérables.
17:42Plus de 70 % de l'expédition
17:45sur la maladie vient des poches privées.
17:49En effet, le pouvoir d'achat est un énorme obstacle.
17:53Les gens n'ont pas accès au programme de soins de santé universel.
17:56Vous l'avez juste mentionné, il a été implémenté.
17:59Il targete les femmes et les enfants en première phase
18:02de 0 à 5 ans.
18:04En tant que législateur, vous attendez
18:07que ce programme soit exténdu dans toutes les régions
18:10et même au-delà ?
18:11Bien sûr.
18:13Tout d'abord, nous voulons qu'il devienne légal.
18:17Quand vous retournez dans le domaine,
18:19même dans les régions où il a été lancé,
18:23le mot « libre » est relative.
18:28Parce que quand les gens vont pour une consultation
18:31et qu'ils payent, ce n'est pas gratuit.
18:34Quand les gens vont aux hôpitaux ou aux centres de soins de santé
18:38et qu'ils demandent de faire des tests,
18:41à peu près 5 tests, ça peut coûter 9 000, 10 000, 11 000 francs,
18:45ce n'est pas gratuit.
18:47Un loi devrait venir qui donnera beaucoup de clarté.
18:50Comment, en tant que législateur engagé dans la lutte contre cette pandémie,
18:55assessez-vous cette distribution des soins de santé pour les mousquettes ?
19:00On n'est pas allé très loin.
19:02Juste ici, à Yifoulan, mon équipe est allée là-bas.
19:06Et là, on a vu un bébé de 4 mois mourir d'une maladie acute.
19:15Et quand on lui a demandé pourquoi,
19:18il nous a dit qu'il n'avait pas de mousquettes.
19:21Maintenant, si ça peut se produire dans une ville comme Yaoundé,
19:26vous pouvez imaginer ce qui peut se produire dans les régions.
19:29Ce que je dois dire, c'est que je ne suis pas satisfait
19:32de la distribution de ces soins de santé pour les mousquettes.
19:36Cet argent a été donné au budget de l'État plus de trois ans auparavant,
19:41mais le contrat n'a pas encore été apporté.
19:43Que voulez-vous faire en tant que réseau sur le terrain dans les prochains jours ?
19:47Nous voulons aller sur le terrain pour obtenir des faits.
19:51Et grâce à ces faits, nous pourrons revenir
19:53et voir comment nous allons dire aux parlementaires
19:57de retourner dans leur région,
19:59de retourner dans leur communauté
20:01et de voir comment vous pouvez impacter
20:03ces résolutions que nous avons prises.
20:06Il y a aussi ce sujet pendant du vaccin pour les malariés.
20:10Quelle est votre perception de cela
20:12et comment pensez-vous qu'il peut être accéléré
20:15pour résoudre l'issue des malariés ?
20:17Le 10 avril cet an,
20:21j'étais à Washington
20:24et j'étais là pour la réunion mondiale de l'IMF du Banque mondiale.
20:31Et l'un des événements de côté était sur la santé.
20:34C'était mon contribution.
20:36J'ai dit à lui que si les gens en Afrique
20:41sont peut-être résistants à ce vaccin,
20:45c'est à cause de ce qui s'est passé avec la COVID-19.
20:52La COVID-19 a provoqué beaucoup de controverses.
20:55Il y a donc besoin de combattre la peur du vaccin.
20:59C'est ce que j'ai conclu.
21:01Ce qui est important, c'est que nous avons besoin
21:04de la vérité sur ce vaccin,
21:07les effets side et autres.
21:09Laissez-nous avoir la vérité.
21:11Mais une chose est très claire,
21:13le vaccin est là,
21:15il aide à un certain niveau,
21:18mais pas comme les gens l'auraient voulu.
21:22Toutes ces choses sont très importantes.
21:25Elles jouent un rôle.
21:26Il y a un réseau parlementaire
21:28pour la promotion de la médecine traditionnelle,
21:31pour encourager le mélange de la médecine conventionnelle et traditionnelle.
21:34Est-ce que votre réseau regarde ce mélange
21:37pour empêcher la maladie de nos communautés?
21:40Et comment allez-vous sur ce sujet?
21:42Ces vaccins indigènes sont très efficaces.
21:47Ils sont très efficaces.
21:48Ce qui manque, c'est de faire des recherches sur la dose.
21:52Ils sont très efficaces.
21:53C'est pour cela que nous voulons qu'ils travaillent
21:55avec ces centres de recherche.
21:58Parce que quand nous avions ce cloroprene
22:01et toutes ces choses avant,
22:04comment les Africains se traitaient-ils de la maladie?
22:07Ils les traitaient.
22:09Les Chinois ont développé leurs vaccins indigènes,
22:12les Indiens l'ont fait, et d'autres le font.
22:15Quand j'étais directeur du WHO,
22:19c'est ce qu'il m'a dit.
22:21Il y avait quelqu'un, un groupe de personnes à Douala,
22:24qui produisait un vaccin
22:28qui était bien meilleur que le paracétamol
22:32ou n'importe quel meurtre
22:36que vous trouverez dans les pharmacies.
22:40Et ce vaccin particulier,
22:44qui est indigène, est si cheap,
22:47cinq fois moins cher que ce que vous achetez dans les pharmacies.
22:50J'étais comme, est-ce qu'il est sérieux?
22:52Et il m'a dit, venez, s'il vous plaît,
22:54s'il vous plaît, mettez vos mains ensemble,
22:56rencontrez le ministre pour voir comment vous pouvez vous améliorer.
22:59Je suis un Africain et je vous le dis,
23:01ces gars sont formidables.
23:03Vous avez mentionné quelques recommandations sur votre document.
23:06Quelles sont les recommandations fortes
23:08que vous utiliseriez pour conclure cette interview?
23:11Tout d'abord, nous devons identifier
23:14les joueurs qui peuvent nous soutenir.
23:17Et qui sont ces joueurs?
23:19Nous avons des leaders politiques,
23:21nous, les parlementaires,
23:23nous avons les autorités régionales et locales,
23:27et bien sûr, nous avons le secteur privé.
23:30Ok?
23:31Nous devons tous nous mobiliser.
23:34Si nous nous mobilisons et que nous sommes conscients
23:36des effets de la malaria,
23:38et que nous sommes conscients des actions que nous prenons,
23:41sachant que nous protégeons les vies
23:44de 30 millions de Camerooniens,
23:46et que nous améliorons l'économie,
23:49nous améliorons leur viabilité,
23:51nous améliorons la vie sociale de ces Camerooniens,
23:54nous allons aller très loin.
23:56Et comme dernier message,
23:58c'est ce que nous avons peint.
24:00Ce jeune garçon ici,
24:02nous l'avons rencontré dans le terrain.
24:04Il était presque un copain.
24:07Mais nous avons entré dans sa vie,
24:10et c'est pour cela que nous lui avons dit
24:12« Mets tes mains en l'air et dis « Hurra! » »
24:14J'ai survécu grâce au caucus parlementaire.
24:18Ce message vient de ce jeune garçon,
24:20et c'est aussi le message que je veux transmettre à tout le monde.
24:24Merci, honorable, d'avoir été notre guest.
24:26Merci beaucoup, Esther.
24:27C'était un plaisir.
24:36Et c'est sur ce point que nous finissons cette édition de House Connect,
24:40qui a zoomé sur certaines des billes
24:43qui ont été examinées et adoptées au Parlement.
24:45Notre focus était le moment de la question,
24:47où les législateurs se sont impliqués
24:49dans la fonctionnement des départements ministériels.
24:51L'honorable Peter Jomet-Ambang était notre guest.
24:54Jusqu'à la quatrième nuit,
24:56ce qui aurait eu lieu au Parlement,
24:58c'est au revoir de l'ensemble du team de production de House Connect.
25:06Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
25:36Lors de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annonce de l'annon