Le JT Bilingue de Midi du 23 Janvier 2025
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00:30de Sophie Nkei. Bonjour. Bonjour, Prince Wilm Kwele. Mesdames, Messieurs, bonjour. Bienvenue
00:38au Mythe des News. En vitrine, dans l'actualité, Festival Sao Kotoko, c'est parti. Ouverture,
00:45ce jeudi, à Yaoundé, au Musée National. Véritable espace de voyage dans la civilisation
00:51ancienne. Trois jours pour apprécier les richesses culturelles de ce peuple installé
00:56au Cameroun, au Nigéria et au Tchad. L'hôpital du Cameroun l'accueille un virus. Certaines
01:03formations sanitaires souffrent de ce mal encore plus profond au service des urgences,
01:08mauvaise humeur, indifférence, procédures lourdes, tout y passe. Eh bien, aujourd'hui,
01:15on va préconiser le vaccin de l'humanisation. Bienvenue une fois encore aux Douze Heures.
01:22Nous commençons par le nord, Rosalie. Visiter la ville de Garoua, vous pouvez le faire seulement
01:28avec l'aide de stratégies adoptées par les habitants de la capitale de la région du nord.
01:33Tout cela en face de l'extrême chaleur envisagée au mois de février, mars et avril.
01:39Notre correspondante de CRTV Nord, Messia Chouinabéu, sur les techniques pour retenir l'hydratation
01:45au milieu d'un chauffage. Son rapport.
01:50Il est presque impossible d'ignorer la demande du corps pour les liquides dans une ville très chaude comme Garoua,
01:56en particulier au mois de janvier, qui s'effondre et donne lieu à des températures extrêmement chaudes
02:01au mois de février, mars et avril.
02:04Ce que je fais, c'est que je sors souvent avec mon eau, constamment. Si je n'ai pas d'eau,
02:08je peux utiliser des boissons chaudes, comme le chai, en tant qu'alternative. J'y vais pour la nourriture.
02:15C'est quand je me sens bien, je me sens hydraté et j'ai des vitamines.
02:19Quand il fait chaud là, moi je préfère boire du thé, parce qu'il me permet d'être hydraté et de me sentir bien.
02:25Les boutiques et les magasins stockent aussi des boissons gâchées pour éclater la vie.
02:30Cette saison, je vends de l'eau et du jus. Ceux qui ne peuvent pas acheter en bouteilles peuvent aussi acheter en sachets.
02:37J'ai acheté un sachet d'eau, un sachet d'eau, un sachet d'eau, un sachet d'eau, un sachet d'eau.
02:44Ceux qui ne peuvent pas acheter en bouteilles peuvent aussi acheter en sachets.
02:47Je m'appelle Barawa Pascal, je vends des boissons énergétiques.
02:51Je marche de l'entrée du marché principal à Petit Marché pour vendre mes boissons.
02:56La tradition demande que chaque nordienne ait un canard stocké avec de l'eau froide à l'entrée de sa maison,
03:03pour éclater le test des visiteurs en arrivée.
03:07En Goundhary, il y a de la poussière.
03:10La vie quotidienne en Goundhary est éclatée par la poussière.
03:13L'extrême douleur que l'on a vécu dans le maire d'Adamawa
03:17augmente l'environnement et la santé,
03:20car la poussière s'envole partout, dans les maisons et les affaires.
03:24Voici la situation avec Sadu Yaouba de CRTV Adamawa.
03:30La poussière, c'est ce que Goundhary ressemble à pendant la saison froide.
03:34La ville devient brune à l'arrivée des vents de Hamilton,
03:37qui emportent la poussière qui s'éclate presque partout.
03:43Les routes sont couvertes d'une couche de poudre brun.
03:47Les toits brillent avec la poussière,
03:49et l'air a un sentiment doux qui souffle le soleil brillant.
03:54Pour les nouveaux arrivés,
03:56cela peut être un choc,
03:58mais pour les habitants, c'est juste une partie de la vie.
04:01Quand je rentre à la maison,
04:03je dois me couvrir, car même dans la poussière,
04:06la poussière sent mon os.
04:11Lorsque les habitants de Goundhary se sont habitués à la poussière,
04:15les experts de la santé ont affirmé
04:17qu'ignorer les mesures de sécurité
04:19pourrait causer des problèmes de respiration,
04:22si les précautions ne sont pas prises correctement.
04:25Pendant cette saison, nous pouvons obtenir les particules à travers le nez.
04:29Cela peut causer de l'infection dans les tracts respiratoires supérieurs.
04:34Même si l'air est rempli de poussière,
04:36il n'effacera jamais l'esprit des habitants.
04:39Au lieu de cela, il les rappelle de leur capacité et de leur puissance
04:43à s'adapter en continuant à traverser les résultats du changement climatique.
04:49Au lieu de la poudre brunne de Goundhary,
04:52nous revenons à Yaoundé,
04:54où la commémoration du jour international de l'éducation du 24 janvier
04:58nous aura conçu l'impact de l'intelligence artificielle sur l'éducation.
05:02La commission nationale de l'UNESCO pour le Cameroun,
05:05avec ses partenaires,
05:07a reçu une 5e réunion d'évaluation
05:09à l'avance de la commémoration de demain.
05:11Emma Tawai.
05:19L'intelligence artificielle, l'AI,
05:21a pris la scène centrale en tant que partenaires des secteurs divers,
05:25tels que l'éducation, la santé, l'agriculture et l'économie,
05:29pour évaluer la préparation du Cameroun
05:32pour adopter et implémenter des objectifs dirigés par l'AI.
05:35La réunion a souligné le potentiel de l'AI pour transformer ces secteurs.
05:40Cela va de la santé à l'éducation, l'agriculture et ainsi de suite.
05:45Alors, comment pratiquer l'AI dans le contexte du Cameroun,
05:50sans toucher l'un à l'autre,
05:52sans violer les lois et les réglementations de notre pays ?
05:56Les partenaires restent optimistes
05:58sur les bénéfices de l'initiative à long terme,
06:01malgré les difficultés qui se présentent
06:04en termes de l'implémentation de la politique
06:06et de la construction de capacité.
06:08L'impact d'une telle technologie est si fort
06:12que cela change la façon dont nous pratiquons notre vie quotidienne
06:16et nos activités quotidiennes.
06:18Comment nous assurer que tous ces professionnels
06:21vont exercer l'application de l'éthique ?
06:24La réunion d'évaluation a aussi été un prétexte
06:27pour la Journée mondiale de l'éducation,
06:29qui va développer plus profondément
06:31l'impact transformateur de l'intelligence artificielle
06:35sur l'éducation pendant les célébrations
06:37à l'hôpital Yaoundé de l'UNESCO
06:40le 24 janvier 2025.
07:11On nous signale également sur place
07:14la présence des lamidots du logo Nechari et du Tchad.
07:19Retrouvons sur place Karine Barbara Padjama
07:22pour les échos à chaud.
07:24Bonjour.
07:32Nous reviendrons sur Karine Barbara Padjama
07:35qui est déjà un repérage tout de même.
07:38Allons dans la région du Nord
07:40où s'y gratter avec la chaleur et la canicule
07:43est devenu le casse-tête des populations
07:46de cette région en ce moment.
07:48Et si vous êtes à Garoua,
07:50aujourd'hui, rassurez-vous, il fera beau.
07:52Selon la météo, les températures seront comprises
07:55entre 20 et 38 degrés Celsius.
07:58Le pic de chaleur sera atteint dans l'après-midi
08:01avec 43 degrés ressentis sous l'influence du soleil.
08:06Seulement, la grande chaleur vient avec la déshygratation,
08:10les maux de tête, la fatigue et bien d'autres.
08:13Comment y remédier?
08:15Dédy Kamanda de la station régionale Sierra TV Nord
08:19a interrogé les populations.
08:21Reportage.
08:23La sensation de chaleur provoque une soif intense.
08:27Pour se protéger de la chaleur,
08:29selon les spécialistes de la santé,
08:31la température doit être maintenue à 37 degrés.
08:34Il est donc important de s'hydrater régulièrement.
08:37Dans la ville de Garoua,
08:39certains optent pour la consommation de l'eau plate et des fruits.
08:56Pour d'autres, les boissons chaudes comme du thé
08:58et autres boissons locales sont très sollicitées.
09:05Parce que ça me permet de m'hydrater.
09:09Ça me fait beaucoup de bien.
09:11Une période qui conforte,
09:13les vendeurs d'eau et autres boissons font de bonnes affaires.
09:16Les magasins et autres points de vente
09:18sont bien achalandés pour gérer la chaleur à Garoua.
09:21Je peux vendre jusqu'à 40 bouteilles par jour.
09:24Je m'assure que les gens boivent beaucoup le jus
09:27parce qu'il y a la chaleur à Garoua.
09:30Les professionnels de la santé tirent la sonnette d'alarme
09:32sur les risques encourus en cette période de fortes canicules.
09:35Pour se prémunir,
09:37je recommande la consommation de 2 à 2,5 litres d'eau en moyenne par jour.
09:44Nous restons dans le septentrion.
09:46La région de la Damaoua vit en ce moment
09:48une saison typique des zones désertiques.
09:51Les matinées sont marquées par une fraîcheur intense,
09:54chaleur abondante en après-midi avec une avalanche de poussière,
09:59souvent à l'origine de plusieurs maladies de saison.
10:02D'autres détails avec notre correspondant, Yvon Carlos.
10:12Bon après-midi à vous sur le plateau,
10:14bon après-midi chers téléspectateurs.
10:16Merci de nous rejoindre à Ngaoundé
10:18pour parler de la situation climatique qui prévoit en ce moment.
10:21Ici, nous sommes bel et bien en plein cœur de la saison sèche,
10:24mais il faut le dire,
10:25cette saison semble totalement différente des précédentes.
10:28Les matinées sont marquées par une fraîcheur hivernale,
10:31tandis que les journées, elles, sont caractérisées par un soleil caniculaire,
10:35le tout accompagné d'énormes vagues de poussière.
10:38Ce climat de type désertique qui traverse la région de la Damaoua en ce moment
10:42laisse traîner derrière lui une cohorte de maladies de saison
10:46qui s'apparentent désormais à une épidémie.
10:49Ces poussières, même si au départ ne sont pas infectées,
10:52créent donc une fragilité au niveau de ces voies respiratoires
10:56qui peuvent être labiles et être envahies par des micros
11:00et entraîner finalement une infection des voies respiratoires supérieures et inférieures,
11:05notamment les rhinites, les pharyngites,
11:09puis même les bronchopulmonies, les bronchites et même les pulmonies,
11:14qui sont donc les maladies les plus récurrentes
11:17liées à l'inhalation des poussières,
11:20notamment pendant cette saison sèche que nous traversons.
11:23Pour donc se protéger des affaires de ce climat,
11:26les populations de la ville de Ngaoundé redoublent d'initiatives
11:29et adoptent chacune son astuce.
11:32Notre maire est de Kachné et nous voilà comment nous allons se protéger pour l'instant.
11:36Je vis principalement à Madoc et là-bas il y a beaucoup de poussières.
11:40On a développé beaucoup de bombes, que ce soit le menthol,
11:43que ce soit la bombe à lèvres, la vaseline en fait.
11:45Chacun utilise ce qui est mis à son port d'honneur.
11:48Comme vous avez donc pu le constater par vous-même,
11:51la région château d'eau en cette saison s'est transformée
11:54en un véritable château de poussières et de fraîcheur
11:57où la recrudescence des maladies respiratoires se fait gravement ressentir.
12:00Depuis Ngaoundé Red, nous sommes Omarou Baba et Yvan-Carlos Minkoube pour la C.A.R.T.V.
12:05Merci à l'équipe de la Damawa.
12:08Il faut protéger sa santé contre le climat ambiant.
12:11Notre vivre-ensemble est mis en mal,
12:14alimenté par des replis identitaires eux-mêmes,
12:17accentués par des préjugés ethniques.
12:20Promouvoir et valoriser les brassages culturels devient alors un impératif.
12:25Et c'est justement la mission que s'est donnée l'association camerounaise
12:30dénommée Filiation Multi Ethnic Together 237.
12:35Elle a pour cheval de bataille la promotion du mariage inter-ethnique.
12:40Explication donnée lors d'une conférence de presse à Ngaoundé,
12:44compte rendu Chantal Yao.
12:48Elle croit en la force de l'amour pour ramener la paix dans les coeurs.
12:52Elle, c'est l'association camerounaise Filiation Multi Ethnique Together 237.
12:58Son credo, promouvoir les mariages inter-ethniques,
13:01réduire à leur simple expression les replis identitaires.
13:05Les mariages inter-ethniques qui auront été, si vous voulez,
13:09à l'origine de la motivation qui aura été la nôtre,
13:13qui aujourd'hui sont menacés par un discours de haine.
13:21Symbole même de ce vouloir vivre ensemble des Camerounais,
13:24le monument de la réunification sert de rampe, de lancement.
13:27Les fruits de ce lègue des pères fondateurs se positionnent alors
13:30comme des antidotes face aux préjugés ethniques.
13:33Le discours de la haine, le discours de la stigmatisation,
13:37le discours du rejet des autres, il est porté par une minorité
13:42et la grande majorité des Camerounais se supportent, s'aiment.
13:47Selon l'Institut National de la Statistique, 15% des mariages sont inter-ethniques
13:52et 70% des Camerounais sont favorables aux mariages inter-ethniques.
13:56L'association entend augmenter ces chiffres afin de consolider l'unité nationale.
14:12Nous avons reçu un total de 25 tentes d'exhibition à Yaoundé.
14:15Ceux qui ont été séparés de la division Lugon-Anshari du Nord
14:19pourront, pendant trois jours, communiquer avec les hommes de leurs tribus,
14:22de Tchart, en Nigerie, en Ouganda et en Ghana.
14:25Ils sont prêts à montrer l'ancienne tradition de l'époque moderne.
14:29En attendant, à l'ex-planète du Musée National,
14:32est notre rapporteur, Larisse Nane-Potter.
14:35Bonjour, Larisse.
14:38Bonjour. Bienvenue à l'ex-planète du Musée National, à Yaoundé.
14:44Comme vous pouvez le voir derrière moi,
14:46c'est un grand tournant des habitants et de la population du Grand Nord
14:53qui sont là pour voir ce que les Sao Kotoko,
14:58tout au long de la division Lugon-Anshari du Nord,
15:02ont accompli à Yaoundé.
15:05Comme vous pouvez le voir, il y a beaucoup de beauté ici
15:09parce que nous allons visiter la tradition de Sao Kotoko en sa plus pure forme
15:14parce qu'il y a environ 250 expositionnaires
15:18qui sont là pour exposer les différents objets quotidiens
15:22utilisés par les Sao Kotoko.
15:24C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:27C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:31C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:34C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:36C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:38C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:40C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:42C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:44C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:46C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:48C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:50C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:52C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:54C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:56C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
15:58C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
16:00C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
16:02C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
16:04C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
16:06C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
16:08C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
16:10C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
16:12C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
16:14C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
16:16C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
16:18C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
16:20C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
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16:58C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
17:00C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
17:30C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
17:32C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
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17:46C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
17:48C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
17:50C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
17:52J'ai rencontré des centres d'assurances,
17:54J'ai rencontré des centres d'assurances,
17:56et j'ai découvert que tout allait bien.
17:58et j'ai découvert que tout allait bien.
18:00et j'ai découvert que tout allait bien.
18:02et j'ai découvert que tout allait bien.
18:04et j'ai découvert que tout allait bien.
18:06et j'ai découvert que tout allait bien.
18:08et j'ai découvert que tout allait bien.
18:10et j'ai découvert que tout allait bien.
18:12et j'ai découvert que tout allait bien.
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18:18et j'ai découvert que tout allait bien.
18:20C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotokoko.
18:22C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
18:24C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
18:26C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
18:28C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
18:30C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
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18:34C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
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18:50C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
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18:56C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
18:58C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
19:00C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
19:02C'est un grand tournant de l'histoire de Sao Kotoko.
19:04Les patients et le public ont compris l'importance de la réception et de l'orientation de qualité.
19:08Les patients et le public ont compris l'importance de la réception et de l'orientation de qualité.
19:10Ils ont fait cela l'un de leurs priorités, lesquelles les patients apprécient.
19:12Ils ont fait cela l'un de leurs priorités, lesquelles les patients apprécient.
19:14La première préoccupation d'un patient quand il arrive à l'hôpital, c'est la réception.
19:16La première préoccupation d'un patient quand il arrive à l'hôpital, c'est la réception.
19:18La première préoccupation d'un patient quand il arrive à l'hôpital, c'est la réception.
19:20Comme vous êtes fait pour vous sentir bien, vous avez l'impression que vous allez trouver une solution à votre maladie.
19:22Comme vous êtes fait pour vous sentir bien, vous avez l'impression que vous allez trouver une solution à votre maladie.
19:24Comme vous êtes fait pour vous sentir bien, vous avez l'impression que vous allez trouver une solution à votre maladie.
19:26Comme vous êtes fait pour vous sentir bien, vous avez l'impression que vous allez trouver une solution à votre maladie.
19:28Comme vous êtes fait pour vous sentir bien, vous avez l'impression que vous allez trouver une solution à votre maladie.
19:30Même si certains compliment la manque d'empathie et l'attitude accueillante,
19:32Même si certains compliment la manque d'empathie et l'attitude accueillante,
19:34la réception et les services aux patients varient d'un hôpital à l'autre
19:36la réception et les services aux patients varient d'un hôpital à l'autre
19:38et chaque personne a sa propre expérience.
19:40et chaque personne a sa propre expérience.
19:42L'expérience que j'ai eue n'était pas très bonne.
19:44L'expérience que j'ai eue n'était pas très bonne.
19:46Ce n'est pas comme si on allait à l'hôpital.
19:48Ce n'est pas comme si on allait à l'hôpital.
19:50Ce n'est pas comme si on allait à l'hôpital.
19:52Pour certains, ils payent même un prix supplémentaire
19:54Pour certains, ils payent même un prix supplémentaire
19:56pour recevoir des services de qualité.
19:58Pour certains, ils payent même un prix supplémentaire
20:00pour recevoir des services de qualité.
20:02Pour certains, ils payent même un prix supplémentaire
20:04pour recevoir des services de qualité.
20:06Pour certains, ils payent même un prix supplémentaire
20:08pour recevoir des services de qualité.
20:10Mais pour d'autres, le service de qualité
20:12Mais pour d'autres, le service de qualité
20:14était excellent pour eux.
20:16était excellent pour eux.
20:18En tout, la sécurité en santé commence
20:20en tout, la sécurité en santé commence
20:22avec une une réception, suivie de la
20:24orientation et les services humains.
20:26orientation et les services humains.
20:28Restons en santé!
20:30Le virus du mauvais accueil
20:32rends nos hôpitaux malades.
20:34Le problème est d'avantage criard
20:36procédures lentes, tout s'y passe. Le vaccin contre ce virus peut être l'humanisation des soins
20:42ou encore la couverture santé universelle à toutes les régions. Martine Noël Ndengue.
20:49C'est une plaie qui gangrène notre système de santé, la qualité de l'accueil dans les
20:57institutions hospitalières. Pourtant, c'est le point de départ du parcours du patient.
21:03Les patients arrivent essentiellement par deux portes. Vous avez la consultation externe et vous
21:12avez les urgences. Et une fois qu'ils ont été accueillis, soit ils retournent chez eux après
21:18ce passage, soit ils sont admis en hospitalisation pour que les soins puissent être prodigués.
21:26Il y a un gros travail à faire pour rendre ce parcours moins pénible et par là aboutir
21:32à un concept qui va mettre du baume au cœur des patients, l'humanisation des soins. C'est une
21:37priorité. La sensibilisation sur ce sujet va s'accentuer pour que les personnels de soins
21:46sachent que tout ce qui peut être fait et qui n'est pas conforme soit sanctionné. L'autre
21:54défi majeur à relever dès cette année, c'est l'extension effective de la couverture santé
21:59universelle à d'autres localités du pays. Les malades de cette région savourent déjà les
22:05bienfaits de la CSU, du moins en sa première phase. L'ouest, le centre et le littoral seront
22:12bientôt perfusés. Pour 2025, nous verrons avec le service financier si on pourrait rentrer sur
22:20d'autres régions aussi parce que nous savons que la région du centre et la région du littoral
22:24sont légaux. Notre souci ici, c'est qu'il ne faut pas commencer quelque chose et s'arrêter
22:29en coup de route. L'amélioration du parcours du patient, l'humanisation des soins et l'extension
22:35de la couverture santé universelle sont des gages du développement d'un Cameroun en pleine santé.
22:42Toujours dans l'actualité, nous allons tenter de repartir au musée national où se déroule dès
22:50aujourd'hui le festival Sao Kotoko, un événement grandeur nature que nous vous recommandons de
22:57suivre en direct cet après-midi de CRTV News ou même en direct du musée national où nous
23:03retrouvons une fois de plus, nous allons le tenter, Karine Barbara Padjama. Bonjour,
23:10quelle est l'ambiance sur place? Bonjour le studio, ça y est, nous sommes à la sixième édition du
23:20festival des arts et traditions Sao Kotoko, ici sur la place du musée national de Yaoundé. Tous
23:28les festivaliers, vous pouvez le voir derrière moi, sont déjà positionnés pour trois jours de festivité.
23:34Ils vont raconter sous la quinzaine de stands la vie sociale, spirituelle, artistique et culinaire
23:41de ce peuple millénaire. La cérémonie officielle qui va commencer d'ici 13 heures sera présidée
23:48par le ministre des arts et de la culture, Pierre-Ismaël Bidon-Patte, en présence de plusieurs membres du
23:54gouvernement annoncés ici. La file des guerriers, on a vu tout à l'heure, initiée des sept clans du
24:00Logo Nechari, a déjà fait le pourtour du site pour sécuriser et inviter, appeler les ancêtres Sao
24:08Kotoko, très à l'honneur, durant le festival, à l'exemple du général saourus Abraham Hannibal. Il y a
24:15à voir côté cosmétique, danse, poterie, vannerie et autres arts, le détour en vaut la peine.
24:25Merci, Karine Barbara Pajama, c'est un musée national bondé de monde. Vous ne partez pas, vous avez à vos côtés
24:34un invité, Ali Aladji Abba, c'est le président du comité directeur de l'association culturelle Sao Kotoko.
24:44Vous l'avez avec vous pour l'entretien, c'est l'invité du 12 heures.
24:48Bonjour et merci de nous retrouver ici sur le site du musée national où se déroule en ce moment même
24:58la première journée du Festat. Nous sommes en compagnie du président du comité directeur de l'association
25:04Sao, monsieur Ali Aladji Abba. Bonjour monsieur. Bonjour Barbara Pajama. Merci de répondre aux questions
25:11de la CRTV. Alors, c'est le grand jour ici à Yaoundé. En combien de temps s'est préparé le festival, que ce soit ici
25:19et même à Goulfé, à Makary, à Fadé, à Kousséry ? Alors globalement, on va dire que c'est depuis le mois de mars 2024
25:28qu'il a été acté de la délocalisation du Festat ici à Yaoundé et donc nous sommes pratiquement à dix mois de préparatif
25:36et c'est pour cela que vous voyez tout cet événement grandiose qui est devant nous. Et ce jour-ci, comme vous l'avez dit,
25:44c'est un jour de fierté pour nous, pour toute la communauté kotoko et nous y sommes.
25:49Alors, les festivaliers sont tous présents, les stands sont achalandés. Qu'est-ce qu'on y retrouve ?
25:55Alors, pour les festivaliers, nous sommes ravis de dire ici que toutes nos attentes ont été comblées.
26:01Ceux venant du Lugonéchari au Cameroun, du Tchad, du Nigeria et même du Ghana, ils sont tous là.
26:08Tous nos chefs supérieurs sont là et ils auront à vivre tous les différents stands, du culinaire jusqu'à l'appuyement,
26:16de la sculpture jusqu'à tout ce qui concerne également la case Sao Kotoko que nous avons construite ici.
26:23Les gens auront beaucoup à découvrir. C'est pour cela que nous invitons tous les Yaoundéens qui sont ici de venir nous rejoindre.
26:31En réalité, vous savez, la culture kotoko est basée autour de leur chefferie traditionnelle.
26:36C'est eux qui représentent, on va dire, l'âme de la culture kotoko.
26:42Le festival se clôture quand ?
26:44Pour les rétablateurs, en réalité, le festival va se passer sur trois jours.
26:50Aujourd'hui, avec la partie protocolaire et la coupure du ruban pour l'ouverture des stands.
26:55Demain, vendredi, avec une journée d'intronisation.
27:00Cela veut dire qu'en fait, nos sept chefs supérieurs auront l'occasion d'introniser quelques notables qu'ils auront choisis.
27:07Et donc, venez découvrir comment les kotoko intronisent les notables.
27:12Et l'apothéo, ce sera samedi avec la matinée des jeunes.
27:17Vous savez que l'objectif visé aussi, c'était que la jeune génération kotoko qui n'est pas dans le Logon Echari puisse découvrir leur culture.
27:27Et ils auront à découvrir.
27:29Et donc, ça fait trois jours, jeudi, vendredi et samedi après-midi, ce sera la clôture.
27:36Alors, la septième édition, on va où dans le Logon Echari ?
27:40En réalité, nous allons y réfléchir parce qu'on voulait déjà lancer l'association après ce break que nous avons eu de presque 12 ans.
27:49Forcément, en fin 2025 et début 2026, nous aurons une assemblée générale qui va décider de la suite.
27:58Et je vous ai dit la suite, c'est les autres assemblées générales au niveau de l'association culturelle au niveau du Cameroun.
28:06Les perspectives, c'est également de voir comment fédérer tous les kotoko du monde entier autour d'une fédération d'associations culturelles Sao.
28:16Alors, M. Aladji Abba, président du comité directeur de l'association culturelle Sao, merci d'avoir répondu à nos questions.
28:24C'est moi qui vous remercie pour l'opportunité que vous me donnez pour plus de visibilité pour ce festival.
28:36C'est un musée national, un château de la worship, toutefois un château d'attraction touristique.
28:42Le Duvanga Saint-Michel-Parish de la diocèse de Maroua Mokolo est un miracle de l'arbre.
28:49Le Nestle artistique, un bâtiment de churche coordonné dans les années 50 par le prêtre français Yves Tabar.
28:57Amos Enonia Ketagbo est notre guide pour le site. Regardez.
29:02Construite sur les couloirs d'un long arrêt d'arbres beaucoup nettoyés.
29:09Cette pièce d'architecture unique du Saint-Michel-Parish du Duvanga doit avoir été construite avec référence à la Bible.
29:19Dans le livre de Matthieu, chapitre 16, verset 18, où le Seigneur de l'humanité, Jésus-Christ, a parlé à l'apostole Peter
29:27à propos de construire sa churche sur un arbre et les portes de l'enfer ne pourraient pas se développer.
29:33L'ensemble de l'édifice est construit avec des arbres du sanctuaire à la poubelle.
29:37Les arbres sont bien alignés avec le même espace calculé pour chaque parishionnaire,
29:44inspiré par la philosophie du moyen de vie des gens moufous qui privilégient le moyen de vivre de la communauté.
29:52Le sanctuaire de la Blessée Végétale de la Vierge Marie est bien engrouillé par des arbres sur une position élevée d'intersession.
30:02Pour les faits moufous, nous devons passer par une route rocheuse vers le sanctuaire pour la périmètre ou les moments de prières et d'intersessions.
30:12Au-delà de ce sanctuaire être une churche, c'est une destination pour les touristes,
30:18laissant beaucoup de gens qui se déplacent pour marveler aux merveilles de Dieu.
30:42Un tour en Algérie. Là-bas, les autorités ordonnent la fermeture de la maison d'édition France Fanon pour six mois.
31:00La décision intervient à la suite de la publication d'un livre sur l'histoire du judaïsme dans le pays pour lequel la maison d'édition est accusée de colporter un discours de haine
31:09et de porter attente à la sécurité et à l'ordre public ainsi qu'à l'identité nationale.
31:14Immédiatement attaquée sur les réseaux sociaux, la maison d'édition devient aussi la cible de plusieurs personnalités politiques islamistes qui saisissent le gouvernement.
31:24Aux États-Unis d'Amérique, Donald Trump accélère la fermeture des programmes de diversité, équité, inclusion et accessibilité.
31:32Les employés seront mis en congé administratif, payés avec effet immédiat.
31:36Il justifie cette action comme une mesure pour réduire les coûts et réorienter les priorités fédérales, un choix qui suscite de vives réactions dans les milieux concernés.
31:45Plus loin, le ministre français de l'Intérieur Bruno Retailleau a annoncé une nouvelle interpellation d'un influenceur algérien,
31:52présenté comme Rafik Meziane, qui d'après lui commet des actes violents sur le territoire français à travers le réseau social TikTok.
32:00Depuis début janvier, plusieurs influenceurs algériens et une franco-algérienne sont visés par des procédures en France pour des propos haineux.
32:10Sport badminton, le Cameroun est le pays hôte du championnat d'Afrique des Nations 2025.
32:17La compétition va se disputer à Douala au mois de février.
32:21Pour assurer une bonne retransmission de l'événement, les hommes de médias ont pris part à un atelier de renforcement des capacités.
32:28Jean Enama nous en dit plus.
32:33La 46e édition des championnats d'Afrique de badminton approche à grands pas.
32:37Et pour garantir la réussite de la toute première édition en Afrique centrale, prévue du 6 au 9 février aux gymnases de Japon, dans la ville de Douala au Cameroun,
32:44la fédération camerounaise de badminton a réuni les journalistes pour un atelier de formation unique à son genre.
32:49L'initiative vise à renforcer les capacités des hommes et femmes de médias en matière de couverture sportive.
32:54Nous sommes en plein préparatif, les délégations sont déjà annoncées.
32:58Nous attendons une vingtaine déjà et à peu près plus d'une centaine d'athlètes.
33:03Et nous avons l'accompagnement du ministère des sports pour que les championnats soient une réussite.
33:09L'atelier, tenu à l'Institut des hautes études pour la gouvernance territoriale et la décentralisation,
33:13porte également sur la façon dont la communication peut contribuer à renforcer les partenariats internationaux
33:18et attirer davantage de sponsors afin de rendre cet événement encore plus grandiose.
33:22Nous nous sommes engagés à commencer un accompagnement dans le sens de mieux imprégner nos jeunes à cette discipline.
33:31Alors que les préparatifs s'intensifient, le dit atelier marque une étape importante pour garantir une couverture médiatique réussie
33:38et pour que le championnat d'Afrique du badminton soit un véritable tremplin pour la discipline au Cameroun et en Afrique.
33:45Et le jour midi s'est terminé aujourd'hui.
33:48À ce moment-là, l'équipe du week-end reprend demain, dimanche.
33:52Merci d'avoir regardé.
33:55Au revoir, au revoir, Prince Will, mesdames, messieurs, l'ensemble de la rédaction et l'équipe en régie,
34:01vous remercie de toujours nous suivre.
34:03Restez sur nos antennes, ne manquez pas le direct du Festival Sao Co Toco sur CRTV News à partir de 14h.
34:11Bonne suite des programmes et à très vite.