Avec Christine Bravo, animatrice.
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
---
———————————————————————
▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75yzts
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
———————————————————————
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##SUD_RADIO_MEDIA-2024-05-24##
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
---
———————————————————————
▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75yzts
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
———————————————————————
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##SUD_RADIO_MEDIA-2024-05-24##
Category
🗞
NewsTranscription
00:00 Le 10h30 Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
00:05 Bonjour à toutes et à tous, bonjour Gilles Gansman.
00:09 Bonjour Valérie.
00:10 Bonjour Christine Bravo.
00:12 Bonjour Valérie.
00:14 Merci d'être avec nous ce matin depuis votre péniche sur la Seine.
00:19 Merci à vous.
00:20 Vous vivez en Corse mais vous avez un pied-à-terre à Paris et vous y êtes revenue quelques jours.
00:27 Vous n'êtes pas très contente d'être revenue à Paris.
00:30 C'est épouvantable.
00:33 Parisienne, je suis venue à Paris, j'aimais Paris.
00:37 Je suis revenue comme tous les réfugiés sanitaires en Corse pour des raisons de santé.
00:42 Vous savez, il y a des avions qui partent, Marseille, Paris, pour aller consulter.
00:47 On est un peu dans un désert médical, il faut bien le dire, en Corse.
00:52 Quand on a des problèmes un peu compliqués, et je n'ai pas compris ce qui m'est arrivé.
00:59 C'est-à-dire que j'ai mis de ma péniche dans le cinquième jusqu'à la clinique,
01:07 dans le neuvième, une heure et demie.
01:11 Allez, une heure et demie, retour.
01:14 Dans les klaxons, dans les incivilités, dans les injures, dans le bruit, dans les embouteillages.
01:22 Je n'ai pas compris ce qui m'est arrivé.
01:24 Est-ce que Paris a changé en moi ou est-ce que vous vivez ça tout le temps, tout le temps, tout le temps ?
01:31 - Comme dit la mairesse de Paris, vous êtes une peine à jouir.
01:36 - Non mais elle est gonflée.
01:39 Franchement, il y a dix ans, je m'étais toute nue, je trouvais ça formidable, une femme espagnole, enfin.
01:47 Mais là, ce qui est en train d'arriver, là...
01:51 Par exemple, je suis en face du pont de Chilly.
01:53 Alors le lit, c'est vrai qu'il y a un bateau à passagers, un gros bateau mousse qui a foncé sur un pilier.
01:59 Là, c'est hérissé de ferraille et les travaux commencent à trois heures du matin.
02:08 Ils s'adaptent.
02:10 Alors, je sais qu'ils ont la pression des Jeux Olympiques, mais comment ils vont faire ?
02:18 C'est dans deux mois.
02:20 - Le pont pose un vrai souci, c'est-à-dire qu'on ne sait pas comment les bateaux vont passer
02:24 parce que le pont est vraiment en réfection, on n'est pas sûr qu'il soit prêt.
02:28 - On va reparler bateau avec Christine, bravo.
02:30 Christine, vous avez un magnifique bateau sur la Seine, frou-frou, bateau de promenade, bateau de plaisance.
02:37 À bord duquel, vous faites des visites historiques.
02:42 On va parler d'histoire avec vous puisque ce matin, on vous a invité pour parler de votre émission
02:47 "Sous les jupons de l'histoire" et ce samedi à 21h, "Madame Royale".
02:51 Il y a le replay de la Duchesse de Berry. On va en reparler dans un instant avec vous.
02:57 - Et puis on pourra dire, chérie 25, il faut en commander plus.
03:00 Parce que deux nouveaux inédits alors qu'il ne faut que de l'indice qui cartonne.
03:03 - Vous avez un peu Christine, c'est peut-être elle qui n'a pas trop envie.
03:07 - Non, non, non, non, franchement, c'est la seule émission de télé que j'ai envie de faire maintenant.
03:13 Ce n'est pas vraiment une émission de télé.
03:15 Il y a l'ambiance qu'on avait entre amis dans "Fous-Fous".
03:19 C'est exceptionnel avec des experts géniaux.
03:23 Donc oui, oui, oui, mais ils ont fait tellement de rediffusions.
03:27 - Mais oui.
03:28 - Et les gens regardent les rediffs, ça marche.
03:31 Pourquoi voulez-vous qu'ils payent encore ?
03:33 - Mais c'est vrai.
03:34 - Mais si, il y a plein de choses à dire.
03:35 Allez, on va passer au Zapping.
03:36 - Valérie, si pour mot passant, dans "Belle Amie", l'apparence peut suffire à séduire,
03:45 eh bien François-Xavier Palamy, hier, il n'a pas cédé aux apparences
03:49 dire que tout va bien dans "Le Meilleur des Mondes".
03:52 En direct, il a critiqué le débat à Bardella-Attal, auquel il venait d'assister,
03:56 mais sans y participer.
03:58 - Qu'est-ce qui permet d'organiser la confrontation entre ces deux personnes,
04:02 l'un est le Premier ministre, même pas la candidate.
04:04 - Ils s'en sont expliqués.
04:06 - Non mais c'est même pas eux qui devraient s'en expliquer.
04:08 Comment est-ce que vous les avez choisis ?
04:09 Comment est-ce que vous avez choisi d'organiser cette confrontation ?
04:12 Qu'est-ce qui vous permet de les avoir invités, eux ?
04:14 Est-ce que c'est les sondages ?
04:15 - Les intentions de vote ?
04:16 - C'est les intentions de vote qui permettent de faire ce choix ?
04:19 Mais alors dans ce cas, vous voyez, je ne plaide pas pour moi.
04:21 Je dois dire que si on regardait les sondages, il aurait fallu inviter au moins Raphaël Huluxman.
04:25 Rien ne justifie que ce soit le service public mette en scène ce débat.
04:29 Rien. Ni les sondages et surtout pas la réalité du débat européen.
04:32 - Alors le débat était à 20h15, Valérie.
04:35 3 millions 61 téléspectateurs.
04:38 Vous n'aimez pas quand je fais pas 3 millions 6.
04:40 3 millions 61 téléspectateurs.
04:42 18% de part de marché, 11% sur les ménagères.
04:45 Mais dès 21h36, dès que HPI démarre, alors là c'est une cata.
04:50 Ce n'est plus que 1 million 6 de téléspectateurs.
04:54 La part de marché, elle est passée de 18% à 7%.
04:58 Vous imaginez ?
05:00 - Vous l'avez regardé ou pas, Christine ?
05:02 - Ouais, ouais, j'ai regardé, mais franchement, je n'ai rien compris.
05:05 J'ai eu l'impression qu'il fallait vraiment avoir Bac +13.
05:10 Sur certaines questions, je ne sais pas si les conseils ont pu comprendre
05:17 ce détail aussi technique.
05:20 Moi, vraiment, ça m'a séché.
05:24 J'ai l'impression d'être en maternelle devant des pontifiants.
05:30 Ce n'est pas possible.
05:31 - Vous allez voter aux européennes ?
05:33 - Oh oui !
05:35 - On a eu une petite coupure.
05:37 Alors, notez qu'en faveur de TF1, plus de 1 million 2 des cas
05:42 en faveur de TF1, entre le JT de TF1 et France 2,
05:47 puisqu'ils ont démarré à 20h15, donc 1 million des cas
05:50 pendant la durée du JT.
05:52 Et à noter qu'HPI a fait 7 millions 30.
05:55 Alors, écoutez bien, 49% sur les ménagères, 36% par de marché.
06:01 C'est vraiment l'énorme carton.
06:03 Alors, un zapping pour Christine Bravo.
06:07 C'est un zapping sans filtre, il faut être cash.
06:10 Je ne sais pas si vous avez vu cette séquence hier de Ségolène Royal
06:13 dont je vois mon poste.
06:14 Elle a été sans filtre sur sa candidature à la présidence,
06:18 là où tous les hommes de son parti ne l'ont pas soutenue.
06:21 - Non mais même ça, ce serait plus possible aujourd'hui avec Mithou.
06:24 - Heu, au choix.
06:25 - Il a une campagne d'élever 4 enfants et d'avoir en plus son conjoint
06:28 qui est avec une autre.
06:29 - Ah ouais, c'est ça.
06:30 (Rires)
06:32 - Et qui en plus est le chef du parti, donc il est censé vous soutenir à un double-tout.
06:35 - C'est vrai, et il est en train d'amener des croissants et des trucs.
06:37 - Il nous trahit sur le plan privé, sur le plan politique.
06:39 - C'est fou, c'est fou.
06:41 - Mais c'est la loi du silence qu'on s'impose,
06:43 que les femmes s'imposent et qu'elles subissent de la violence psychologique.
06:47 Si j'avais parlé, si j'avais dit la moindre chose,
06:49 on aurait dit "Voyez, elle est déséquilibrée,
06:52 elle n'est pas structurée, elle est fragile".
06:56 - C'est rigolo.
06:57 - Donc on ferme sa bouche.
06:58 - Non mais c'est fou.
06:59 - Et on continue à avancer. Ah ouais, c'est dur.
07:01 - C'est dur.
07:02 - Ouais, ouais.
07:03 - Elle a été cachée sur François Hollande.
07:05 - Ouais, ouais, elle a raconté pas mal de choses.
07:07 - Elle a raconté des choses.
07:08 La femme abandonnée par le mari, c'était étonnant quand même.
07:11 - Un zapping pour Christine Bravo.
07:14 - Alors on l'a perdue.
07:16 - On a perdu Christine Bravo.
07:17 - À Intramuros, Paris, on n'arrive pas à la retrouver.
07:23 On va essayer de la retrouver.
07:25 - Moi, évidemment, je la refais réagir.
07:28 Alors, évidemment, j'ai fait un zapping pour Christine Bravo, vous avez compris.
07:31 Un zapping où ça ne râle pas, ce n'est pas un zapping pour Christine Bravo.
07:37 Et Quotidien a trouvé un râleur.
07:39 C'est un canoë pur jeu, mais alors qu'on a ras la casquette,
07:42 comme dirait Anne Hidalgo du Festival de Cannes, c'était dans Quotidien.
07:45 - Et on a aussi tombé sur Raymond.
07:47 Alors lui, il en avait gros sur la patate, mais le festival, ça le saoule.
07:51 - Nous, on habite à Cannes et le festival, il nous emmerde.
07:53 Parce qu'on peut plus circuler, on peut plus rien foutre.
07:56 Tout ça pour des cons qui sont là à regarder des stars américaines qu'on ne connaît pas.
08:01 Tout ça, c'est de la chier.
08:04 - Ah, Raymond, il tire sur tout le monde.
08:06 C'est une sulfateuse, carrément.
08:08 - Et vous êtes là pour qui ?
08:10 - Pour TMC, Quotidien.
08:12 - Oui, oui, je vois.
08:14 - Ça vous plaît ?
08:15 - Oui, oui, bon, oui.
08:16 Il raconte des conneries aussi, beaucoup.
08:18 - Quotidien, après, c'est assez sympa.
08:21 - Oui, le quotidien, mais enfin, c'est comme le reste.
08:24 C'est nul.
08:26 - C'est nul.
08:29 Alors, j'aimerais bien qu'on retrouve Christine Bravo.
08:33 - Oui, mais on va la retrouver dans un instant.
08:36 - Pourquoi ? Vous savez ce qu'elle fait, Christine Bravo ?
08:39 C'était hier dans "C'est à vous".
08:41 Elle loue sa péniche.
08:43 Sa péniche va défiler.
08:45 - C'est pas sa péniche, c'est son bateau.
08:47 - Son bateau frou-frou.
08:49 - C'est pas une péniche.
08:51 - C'est un bateau, on l'a retrouvé.
08:53 - C'est pas une péniche, elle habite sur une péniche.
08:55 - Oui, elle a un autre bateau qui s'appelle frou-frou.
08:58 - Elle a un autre bateau qui s'appelle frou-frou.
09:00 - Et vous allez défiler, votre bateau va défiler sur la scène.
09:02 - Personne ne comprend rien.
09:04 - Le bateau va défiler.
09:06 - Attendez, attendez, un sonore, on en parle après.
09:09 - Écoutez.
09:10 - Écoutez le sonore, vous étiez dans "C'est à vous" hier.
09:13 La question qui se pose, c'est quel pays va être dessus ?
09:16 - Christine Bravo, qui est très fière de son navire.
09:19 Elle ne sait pas quel pays va être sur son bateau
09:22 le jour de la cérémonie d'ouverture.
09:24 Ça peut être n'importe quel pays, sauf qu'il y a une jauge limite.
09:27 C'est ce qui fait qu'elle pense avoir une idée du pays qui pourra aller dessus.
09:31 Elle voudrait, elle, que ce soit un pays en particulier.
09:34 - 12 passagers maximum.
09:37 C'est forcément une délégation de 12 ou moins.
09:42 J'ai passé 30 ans au Mexique.
09:44 Alors si quelqu'un m'entend dans le comité,
09:46 si le Mexique a 12 ou moins,
09:50 donnez-moi le Mexique, le Mexique.
09:53 - Évidemment le Mexique.
09:55 Racontez-nous, Christine, vous habitez pour Gilles,
09:58 qui n'a pas bien enquêté.
09:59 - Elle habite sur une péniche,
10:02 mais elle a aussi un bateau,
10:05 un magnifique bateau hollandais en bois.
10:08 - Voilà, un super VanCraft.
10:10 Un super VanCraft, c'est un bateau hollandais
10:13 avec une coque en tulipe.
10:15 Franchement, on semble la jouer.
10:18 C'est le plus beau bateau de la Seine à 12 passagers.
10:21 Il y a des bateaux magnifiques sur la Seine,
10:23 mais à 12 passagers, c'est le plus ancien.
10:26 Il est art déco, les athlètes vont pouvoir
10:29 être sur le pont, debout.
10:32 C'est une merveille ce bateau-là.
10:35 Mais c'est forcément un pays qui a une petite délégation.
10:40 - Et le Mexique, ils en ont combien ?
10:42 - Impossible de savoir.
10:45 Parce que les pays n'ont pas encore donné
10:49 leur nombre d'athlètes.
10:52 Mais ça se trouve, ça va être un pays avec 3 athlètes.
10:55 Je m'en fiche, je veux une médaille d'or.
10:57 - Et vous êtes payé pour louer votre bateau pour la cérémonie ?
11:02 - C'est-à-dire qu'on perd la semaine quasiment
11:06 la plus rentable de l'été,
11:09 où on aurait pu gagner le double.
11:12 Alors on a une clause de confidentialité,
11:15 mais le Parisien qui a enquêté
11:18 a prétendu que les petits bateaux
11:21 touchaient 20 000 euros
11:23 et que les gros touchaient 100 000, voire plus.
11:26 - Ah, incroyable !
11:28 - Alors, si vous voulez, c'est quand même un peu un manque à gagner.
11:32 Il faut savoir qu'il y a des jours de répétition.
11:35 On a le GIGN à bord,
11:37 des péniches, des vrais péniches, là, pour le coup,
11:41 et des bateaux du défilé.
11:44 Il y a déjà eu 3 répétitions, il y en a encore 3.
11:47 Ça mobilise à chaque fois le capitaine, le matelot.
11:51 Franchement, à part les bateaux mouches, peut-être,
11:57 personne ne va gagner d'argent.
12:00 De toute façon, on n'était pas réquisitionnés.
12:03 Ça se fait sur la base du volontariat.
12:06 - Et vous, vous serez sur votre péniche, ou pas, pour voir passer le défilé ?
12:10 - Eh bien, oui !
12:12 - Même invité hier soir, je dois le dire.
12:15 - Vous avez dit, moi, je ne serai pas à Paris.
12:18 - Gna gna gna !
12:20 - Et pourtant, Valérie, s'il y a quelqu'un qui devrait regarder "Froufrou" le 26 juillet, c'est bien vous !
12:29 - Ah oui, oui ! "Froufrou", c'est votre bateau, c'est le nom du bateau.
12:32 - Oui, et donc, c'est aussi en référence à nous,
12:37 puisque c'est Valérie et moi qui avons créé le concept de "Froufrou" en vacances.
12:42 - C'est gentil.
12:43 - Alors donc, non, moi, je suis dans un petit bras de la scène.
12:48 Donc les athlètes, je vais les voir, allez, je suis en train de regarder, là, mais à 3 mètres.
12:55 Donc je vais devenir dingue de voir mon bateau avec des athlètes olympiques depuis ma péniche !
13:03 Il a compris, monsieur ?
13:04 - Oui, j'ai compris !
13:05 - Excusez-moi, moi, je ne suis pas invité à venir prendre le champagne chez vous,
13:09 et je ne vous ai pas tous les jours au téléphone.
13:12 - Moi non plus !
13:13 - Non, mais alors, désolée !
13:14 - Non, non, moi non plus, on ne s'est peut-être pas parlé depuis très longtemps,
13:18 mais on a préparé cette émission ensemble.
13:21 Hier, on a même évoqué l'idée de se voir, mais l'idée d'aller de Boulogne au 5e arrondissement,
13:27 malgré mon envie de voir Christine, m'a découragée, pour tout vous dire.
13:32 Parce que je pense que je vais mettre 2h30 pour arriver, pour traverser Paris.
13:36 - Mais bien sûr !
13:37 - Mais enfin, c'est une autre histoire.
13:38 - Tu m'es arrivé hier !
13:39 - Mais votre amitié vaut plus que 2h !
13:41 - Oui.
13:42 - Et pour finir, on finit toujours en musique.
13:44 C'était également sur le plateau de C'est à Vous, il y avait le groupe Bon Entendeur,
13:48 je ne sais pas si vous avez entendu, ça cartonne pas mal.
13:51 Ils ont repris le tube de Nicoletta, vous savez, Fio Maravilla.
13:55 Donc ça, ça va vous plaire.
13:56 Fio Maravilla !
13:57 - Je ne comprends pas, ils reprennent quoi ?
14:10 Ils reprennent la voix ou ils rechantent dessus ?
14:12 - Ils l'ont réadapté, c'est ça les trucs modernes.
14:15 - C'est une arnaque ?
14:16 - Mais je savais !
14:17 - C'est une arnaque ?
14:18 - Même ce son-là, vous n'aimez pas ?
14:19 - Mais si, j'aime bien !
14:20 - C'est le qu'on a gagné de The Voice, ça veut dire.
14:22 - Mais c'est la voix de Nicoletta ?
14:24 - Ah oui, mais c'est ça un remix.
14:26 - Ah, d'accord.
14:27 Bon, je suis vieille définitivement.
14:28 - Ah, c'est bien quand même !
14:29 - Oui, c'est bien.
14:30 - Non, c'est vachement bien.
14:31 - Vous regardez The Voice, tout ça ?
14:33 Non.
14:34 - Moi ?
14:36 - Ça va pas la tête ?
14:37 J'ai un moulin qui donne sur la mer et qui maquille.
14:41 Moi, je vais regarder la télé, mais jamais de la vie.
14:45 - Allez, on va quand même nous la regarder avec vous,
14:48 sous les jupons de l'histoire.
14:49 Reviens ce samedi avec un inédit.
14:52 Je vais y arriver, Madame Royale.
14:53 A tout de suite.
14:55 Le 10h30, Sud Radio Média.
14:58 Valérie Expert, Gilles Anzmann.
15:01 Sud Radio Média, l'invité du jour.
15:05 - L'invité du jour, c'est Christine, bravo.
15:08 - C'est moi.
15:09 - Oui, elle est là.
15:10 Elle nous a fait un petit tour, si vous nous suivez sur Facebook,
15:12 un petit tour d'un panorama de la scène.
15:16 - Ah, on m'a vu !
15:17 - Oui, on vous a vu sur le pont de la péniche.
15:21 - On m'a vu des tomtes dans ma péniche et tout !
15:23 - Oui, enfin nous, on vous a vu.
15:25 C'était peut-être pas à l'antenne.
15:27 - Sur le Facebook Live, pas encore, non.
15:29 - Pas encore.
15:30 Sous les jupons de l'histoire, ce sera samedi soir à 21h05,
15:32 Madame Royale.
15:34 On disait que c'était un peu au compte-gouttes
15:37 que la chaîne vous les commandait.
15:40 C'est sur Chéri 25, évidemment, il y a beaucoup de replays.
15:44 Racontez-nous ce qu'on va voir.
15:45 C'est qui, Madame Royale ?
15:48 - Madame Royale, elle est bouleversante.
15:51 C'est la pauvre gamine de Louis XVI et Marie-Antoinette.
15:58 C'est la rescapée du temple.
16:03 Elle a une vie épouvantable parce qu'elle est à Versailles,
16:10 sous les ors, où elle a une enfance royale,
16:15 avec son petit frère, sa mère, son père.
16:18 Du jour au lendemain, elle se retrouve au temple
16:22 avec ses parents et son petit frère.
16:25 On va les séparer tous.
16:29 On ne va pas lui dire à elle, la pauvre gamine,
16:33 elle est toute jeune, qu'on a décapité son père, puis sa mère,
16:37 et que son petit frère, on l'a laissé mourir de tuberculose à 8 ans.
16:44 - Combien d'ans ?
16:46 - Pour éteindre les capets, pour qu'il n'y ait plus de descendants.
16:52 Tout le monde est mort et elle, elle est survivante.
16:57 Dans cette prison, on va lui donner une copine,
17:03 parce qu'elle est complètement déprimée, évidemment,
17:08 qui va lui annoncer, parce que les gardes,
17:11 elles demandent où est papa, où est maman, mais pas en des années.
17:15 Et on lui dit, on vous dira plus tard.
17:19 Et là, quand la copine lui dit, ils sont tous passés à la guillotine,
17:24 à part le petit frère qui est mort d'une agonie épouvantable,
17:30 il y a de quoi devenir dingue.
17:34 Or, c'est une femme, parce que l'Autriche, elle est autrichienne, bien sûr,
17:39 enfin elle est française, mais elle vient, Marie-Antoinette était autrichienne,
17:44 et l'Autriche n'a pas fait un geste pour sauver Marie-Antoinette,
17:48 alors qu'il pouvait absolument le faire.
17:51 Mais le gars, il n'en avait rien à foutre.
17:54 C'est un peu le ton des jupons, c'est-à-dire,
18:00 on parle d'humanité, on parle de sexe, de...
18:04 - De la vie quotidienne, d'humain.
18:07 - Voilà, d'humain, on est uniquement dans l'humain.
18:11 Et cette jeune fille, finalement on va la renvoyer en Autriche,
18:16 et toute sa vie, elle va se battre pour la France,
18:22 elle n'aura aucun esprit revanchard pour les révolutionnaires,
18:27 elle va revenir en France, elle va, aux côtés de Charles X,
18:32 elle va réessayer d'incarner ce qui reste de sa lignée,
18:39 parce qu'après c'est la branche des Orléans,
18:42 les survivants, c'est-à-dire la branche cadette,
18:46 mais elle a une vie épouvantable,
18:51 et j'ai beaucoup de tendresse pour elle, elle est très résiliente.
18:55 - Ce que je vous propose, Valérie, Christine, c'est d'écouter la bande-annonce.
18:58 Depuis le château de Versailles, Christine Bravo et ses experts
19:01 révèlent les secrets de Marie-Thérèse Charlotte de France, surnommée Madame Royale,
19:06 qui est née de Louis XVI et Marie-Antoinette,
19:09 elle est la seule des enfants royaux à survivre à la Révolution française.
19:13 - C'est vraiment la grande star de la monarchie, mais...
19:15 - Elle a une personnalité très complexe, à la fois angélique et sanguinaire.
19:19 - Napoléon a cette phrase sur elle, c'est le seul homme de la famille des Bourbons.
19:23 - Alors elle va épouser le duc d'Angoulême, alors il est un peu...
19:27 - Ah ouais, non, c'est le nid-go de la famille...
19:29 Inédit, sous les jupons de l'histoire de Madame Royale,
19:32 présentée par Christine Bravo, samedi à 21h05, sur Chérie 25.
19:38 - Alors moi je voulais savoir, dans les rubriques, parce que c'est comme un journal,
19:42 un magazine people de l'époque, mode, beauté, amour, santé, cuisine, loisir,
19:48 à quel moment vous avez encore plus de plaisir à animer ?
19:52 Quelle rubrique vous séduit dans le monde ?
19:55 - Alors le sexe !
19:57 - J'allais le dire !
19:59 - Ouais mais le sexe, souvent, moi je regarde pas mal, souvent il pue, il sent pas bon à cette époque.
20:04 - Le sexe, la santé, attendez, excusez-moi, il y a une grosse péniche qui passe là,
20:10 et donc ça fait du bruit, les bâteliers on se salue toujours,
20:15 c'est comme ça, c'est la tradition, mais lui il fait beaucoup du bruit là, le pauvre Marlida.
20:20 - C'est pas grave, on l'entend pas.
20:23 - Donc c'est le sexe à l'époque qui vous plaît ?
20:28 - Le sexe, pourquoi ? Parce que c'est Stéphane Clerget.
20:32 Si c'était le sexe pour le sexe, ça n'a aucun intérêt, mais il est tellement drôle !
20:38 Et puis c'est un petit, un pédopsychiatre historien,
20:46 donc il fait aussi la psychologie d'une manière incroyable,
20:51 et l'amour, mais Marc Fourni qui nous fait du people, j'adore aussi ce présent, écoutez.
21:01 - Moi j'aime bien la cuisine, on découvre des mets incroyables !
21:06 - Mais c'est dingue ! Et en plus c'est le chef, Serge Alzerra,
21:14 qui vous m'avez dit ? - Serge Alzerra qui fait la cuisine.
21:21 - Serge Alzerra qui a l'auberge Le Portain à Paris,
21:27 qui fait des recherches et qui cuisine les plats.
21:31 Alors quand on est au Moyen-Âge, je vais vous dire, il en bave pour trouver les potions,
21:38 et puis il y a des trucs absolument invouffables, dégueulasses,
21:44 mais on apprend par la cuisine pourquoi on appelle la margarita,
21:51 bon ça tout le monde le sait. - Non, allez-y !
21:55 - Comment ? - Pourquoi on s'appelle la margarita ?
21:58 - C'est une marguerite qui était reine d'Italie,
22:05 je ne sais plus laquelle c'était d'ailleurs,
22:08 mais elle s'appelait forcément margarita,
22:12 et les couleurs sont les couleurs du drapeau italien.
22:16 - Ah vous parlez de la pizza ? Ah pas de la boisson ?
22:21 Moi je pensais à la margarita, la boisson.
22:23 - Ah la pizza margarita ! - Oui, moi aussi.
22:26 - Ah il y a les couleurs du drapeau italien, je me suis pigé.
22:31 - Oui, blanc avec la mozzarella, évidemment.
22:35 Moi aussi j'ai pensé à la margarita qu'on boit en été reparti au Mexique.
22:42 - Mais vous êtes alcoolique, attendez, la margarita,
22:45 si vous parlez de margarita tout le monde pense à la pizza.
22:48 - On a pensé au cocktail, vous voyez, on est déjà à l'apéro, on est déjà comme ça.
22:55 Il y a un auditeur qui demande si Energy 12 c'est pas petit,
22:59 Sherry 25 pardon, c'est pas petit par rapport à la carrière que vous avez eue,
23:04 à toutes les émissions que vous avez animées,
23:06 pourquoi vous n'êtes pas sur une grande chaîne,
23:08 avec tout le respect qu'on doit à cette chaîne qui vous a donné cette possibilité,
23:16 mais c'est vrai que c'est une émission qui pourrait et qui devrait être sur le service public.
23:20 - Bon alors je vais être franche, elle a été refusée par tout le monde.
23:26 De la même façon que Canfroufrou on l'a présenté,
23:31 on nous a dit ça ne marchera pas,
23:33 et on nous avait dit déjà qu'il y avait un programme de remplacement pour 15 jours après.
23:38 Tellement le directeur de programme n'y croyait pas,
23:43 il détestait évidemment une émission avec des filles,
23:47 c'est vraiment Hervé Bourges qui a dit "on essaye, on essaye, on essaye".
23:52 Union Libre, idem, personne n'en voulait.
23:56 Et on a dit "bon allez on va faire un petit essai".
23:59 Mais alors là, sous les Lupons, personne de ces personnes,
24:04 on n'y croit pas, on n'a pas besoin,
24:07 on a déjà Stéphane Berne,
24:10 et Franck Ferrand, c'est comme si vous disiez
24:13 on a Colombo, alors on ne va pas faire Hercule Poirot,
24:17 on ne va pas faire les experts,
24:19 on ne va pas faire... non mais c'est dingue !
24:22 - Parce que ça n'a rien à voir dans le ton, dans ce que vous racontez,
24:26 - Et dans le format surtout, le format il est tellement original !
24:30 - Et attendez !
24:32 On m'a communiqué les chiffres récents d'une diffusion d'un des derniers numéros,
24:39 c'est hallucinant !
24:41 C'est une cible qui est deux fois plus importante sur la tranche,
24:47 moi maintenant je ne connais plus rien,
24:49 mais des 20 ans à 35-40,
24:53 alors il paraît que c'est une cible très recherchée,
24:56 - Oui, samedi dernier vous avez bien marché !
24:58 - Elle a fait une audience phénoménale, vous regarderez,
25:01 parce que moi, je n'ai pas réussi à comprendre les chiffres qu'ils me donnaient,
25:07 1,6 alors que la case est à 0,6,
25:11 et c'est surtout que c'est extraordinaire, en Corse, dans les supermarchés,
25:17 maintenant les gens m'interpellent pour les jupons,
25:21 en disant "mon gamin qui détestait l'histoire, il a 16 ans,
25:28 il se met devant les jupons, il est mort de rire !"
25:30 Et c'est exactement ça,
25:33 mais vous savez Valérie, j'étais un steep,
25:36 donc j'ai une pédagogie particulière pour attraper...
25:40 pour attraper les jeunes, être rapide, les faire rire,
25:46 mais ils retiennent des informations peu importe !
25:50 - Oui, c'est la manière de...
25:52 - Il y a un gars qui m'a couru après, en Corse autrefois,
25:56 en me disant "wesh, le frère de Louis XIV,
26:03 c'est vrai qu'il se mettait des chapelets autour de la Verge,
26:09 à chaque fois qu'il devait faire l'amour avec la palatine,
26:14 parce qu'il aimait que les mecs,
26:16 il était parfumé, il avait des talons de 12,
26:19 et bien ce môme-là, il n'y avait aucune homophobie dans son propos,
26:25 il était plutôt... il disait "mais c'était toléré l'homosexualité ?"
26:29 Ben évidemment ! Louis XIV adorait son frangin,
26:32 il s'appelait Philippe, c'était un vrai mec,
26:34 il allait à la guerre, c'était un homosexuel,
26:37 et so what ?
26:40 Et donc, ce môme, et bien même s'ils ne retiennent que ça,
26:44 parce qu'évidemment l'anecdote des chapelets,
26:47 en plus on l'a marié avec la palatine,
26:49 c'est genre un tas de gras qui parlait français,
26:56 c'était horrible !
26:58 Mais s'ils ne retiennent que ça,
27:01 mais moi ça me va, parce que du coup,
27:04 ils vont Louis XIV !
27:06 - Oui c'est ça, vous rentrez sur un fil qui les amènera à s'intéresser à plus qu'autre chose !
27:14 - Attends mais il est dingue lui !
27:16 - On va marquer une pause, et on se retrouve dans un instant avec Christine Brabeau.
27:21 Le 10h30, Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
27:28 Le 10h30, Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Gansman.
27:34 - Et l'invité du jour, c'est Christine Brabeau !
27:37 - Je trouve très sympa Gilles !
27:39 - Ah bah oui c'est gentil !
27:41 - Ça me fait plaisir !
27:42 - Il est mignon comme tout !
27:44 - Ah bah oui !
27:45 - Je viendrai voir une coupe !
27:47 - On s'entend bien, on se connait depuis longtemps !
27:49 - Oui mais je ne le connaissais pas !
27:51 - Si on s'était vu une fois au moment où Valérie m'avait emmené sur le plateau...
27:56 Non on s'était rencontré, moi j'avais été sur le plateau de Froufrou pour Ligne de Mire à l'époque.
28:00 - Ça date !
28:01 - J'avais filmé Jérôme Revoy en coulisses.
28:03 - Ça date !
28:04 - Mais oui mais ça a tellement marqué !
28:06 Et il y avait...
28:08 Alors je peux le témoigner, il y avait Nikos qui était pompette !
28:13 - Non mais pas sur Froufrou, il n'était pas là Nikos !
28:16 - Non non non !
28:17 - Ça c'est du gil !
28:19 - Voilà, l'imprécision !
28:22 - Non mais ce n'était pas Froufrou, c'était en effet...
28:26 - Union Libre !
28:28 - Oui absolument !
28:29 - Union Libre !
28:30 Je vous pose la question classique, ça vous manque la télé Christine ?
28:33 En dehors des jeux pour l'histoire ?
28:35 - Non mais ça n'a pas la tête non !
28:37 Vous ne pouvez pas imaginer la qualité de vie que j'ai en Corse !
28:42 Le civisme des Corses qui s'arrête...
28:45 S'il y a un piéton devant un passage clouté, ou pas un passage clouté,
28:51 le Corse s'arrête, le Corse ne klaxonne jamais !
28:55 Le Corse est poli, bien élevé !
28:59 Je ne sais pas d'où ils tiennent la réputation !
29:01 - Oui, ce n'est pas la réputation qu'ils ont !
29:03 - Mais c'est incroyable !
29:05 Mais c'est incro... mais j'en reviens pas !
29:08 C'est une terre d'accueil, enfin c'est...
29:12 Et puis, non mais, aller m'enfermer dans un studio de la pleine Sainte-Denis
29:18 pour tourner une émission, mais c'est cauchemardesque !
29:23 A mon âge, il me faut 8 ans de maquillage et de coiffure !
29:27 - Est-ce que vous...
29:30 - Non, moi non plus !
29:31 - On est en 2024, "Froufrou" c'était en 92,
29:36 il n'y a pas eu d'hommage pour les 30 ans de l'émission ?
29:40 - Ils s'en foutent !
29:42 - Hein ? Vous vous en foutez ?
29:44 - Ils s'en foutent !
29:46 - Oui mais regardez, juste, il y a Ardisson qui a fait sa chaîne,
29:52 il y a De Chavanne qui a eu des émissions entières
29:55 sur les meilleures années de "Coucou c'est nous",
29:58 il n'y a pas d'archives de "Froufrou" qui ont été rediffusées,
30:01 il n'y a pas eu ce travail de mémoire qui a été fait sur cette émission
30:05 qui a quand même marqué les gens ?
30:07 - Vous savez pourquoi ?
30:09 Parce qu'on était des femmes,
30:12 et que c'était les hommes qui avaient le pouvoir,
30:15 qui se distribuaient la part du gâteau entre eux,
30:19 c'était eux les animateurs-producteurs,
30:22 c'est eux qui gagnaient de l'argent,
30:24 c'était les rois du monde,
30:26 et nous on était une sous-catégorie,
30:29 un peu comme un ovni.
30:33 Quand je tombe sur des extraits,
30:36 c'est surtout les corses qui m'en parlent,
30:38 on dit "on a vu un extrait de "Coucou" dans un métier ou d'Union Libre,
30:42 ils sont morts de rire, et moi aussi,
30:45 parce que, je vous jure Valérie,
30:48 mais c'est incroyable Valérie,
30:50 j'ai revu la séquence avec Pierre Arditti et vous,
30:54 où on pleure de rire.
30:56 - Oui mais il n'y a pas que ça,
30:58 toutes les séquences sont cultes,
31:00 et elles ne sont pas tellement exploitées justement,
31:03 parce que vous parlez d'une autre époque,
31:05 mais aujourd'hui ça a un peu changé,
31:07 il y a des femmes normalement à la tête des proé...
31:10 Bon, ça vous fait marrer.
31:12 - Non mais attendez,
31:15 les femmes journalistes, oui,
31:17 c'est indiscutable.
31:19 Femmes animatrices, grands créneaux,
31:22 grands horaires, et seules,
31:25 je ne vous parle pas des potiches.
31:27 Allez, Yaki,
31:30 il y a une fille géniale au maternel,
31:33 mais l'horaire,
31:35 voilà, moi je ne suis pas devant,
31:37 Alélie, The Voice,
31:40 Rechman, Drucker,
31:42 Nikos,
31:44 - Il y a eu Sophie Davant qui a eu des émissions tout seul.
31:48 - Faustine Bollard, pardon.
31:50 - Sophie Davant a eu des frappes tout seul, la lettre.
31:54 - Oui mais pas régulière, pas récurrente.
31:57 - Non c'est vrai.
31:59 - C'est une femme qui peut très bien tenir un prime,
32:02 jamais on ne l'a mis aux manettes,
32:04 mais on la met régulièrement.
32:06 Faustine, elle fait les après-midi,
32:09 c'est-à-dire qu'elle est excellente,
32:11 mais on ne la met pas en access,
32:15 de manière régulière.
32:17 - Vous avez Anne-Elisabeth Lemoyne,
32:20 vous avez quand même sur France 5, Aurélie Casse.
32:23 - Oui, vous avez raison,
32:28 c'est une erreur de ma part de ne pas avoir changé Anne-Elisabeth.
32:32 Parce que c'est la seule.
32:34 - Oui, c'est une des rares.
32:37 - C'est vachement bien,
32:41 non seulement elle cartonne,
32:43 moi je la trouve super,
32:45 mais au fond elle est sur France 5.
32:48 - Oui, je voulais dire sur les grands jeux.
32:51 - Sa marque, elle est plus forte que tout maintenant,
32:54 c'est à vous, c'est une référence.
32:56 Mais c'est la seule.
32:58 - Mais pourquoi ?
33:00 - Elle est plus...
33:02 - Autre question, Christine,
33:04 pourquoi vous n'avez jamais fait de la radio ?
33:06 Pourquoi on ne vous a pas confié des émissions en radio ?
33:08 Parce que vous seriez très bien.
33:10 J'ai cherché si vous aviez fait de la radio,
33:12 et il n'y a pas eu d'émission.
33:14 - Non, pas moi.
33:16 J'étais tellement confortable avec Laurent Ruquier,
33:20 qui est quand même mon meilleur pote.
33:22 - Sur les Grosses Têtes.
33:24 - Oui, mais avant les Grosses Têtes,
33:26 on a fait "On va se gêner".
33:28 C'était tellement plus confortable pour moi
33:30 de ne pas porter le poids des audiences,
33:34 du travail.
33:36 Parce que...
33:38 En fait, je n'ai plus envie de travailler.
33:40 Vous savez, j'ai 68 ans,
33:42 même si ça ne se voit pas.
33:44 - On a eu Gérard Rolch, il a 78.
33:46 - C'est pas vrai.
33:48 - C'est dingue.
33:50 78, Gérard, il était avec nous avant-hier.
33:53 Incroyable.
33:55 Et vous, vous n'avez plus envie de bosser.
33:57 - Et justement, quand vous voyez De Chavannes,
33:59 le comeback de De Chavannes le samedi soir,
34:01 vous en pensez quoi ?
34:03 - Il a de la chance.
34:06 Ce n'est pas une émission à lui.
34:08 Il est devenu chroniqueur.
34:10 Mais qu'est-ce qu'on lui a proposé d'autre ?
34:14 - Oui.
34:15 - Vous aussi, on vous le proposait.
34:17 - Vous savez très bien que j'ai eu avec lui des mots,
34:21 mais c'était quand même l'un des meilleurs animateurs
34:25 de toutes générations confondues.
34:27 Moi, je n'ai jamais vu un gars comme ça.
34:32 Après, on m'a proposé de rentrer dans des bandes,
34:35 Cyril Hanouna, que j'apprécie, je vous précise tout de suite.
34:40 Et oui, je le regarde parce qu'il est près
34:44 des préoccupations des Français.
34:46 Je regarde la deuxième partie,
34:48 quand il y a des témoignages,
34:50 je suis cotisé devant,
34:52 je vous le dis.
34:53 "Quotidien", j'en ai marre parce que c'est toujours...
34:59 C'est un système...
35:02 C'est vachement bien, c'est sympa,
35:04 mais bon, voilà, on sourit,
35:08 ce n'est pas ma cam'.
35:10 Donc, et "Anne-Elisabeth Lemoyne",
35:13 j'adore la première partie de son émission.
35:15 Donc, je regarde, c'est à vous la première partie.
35:18 Je zappe entre Cyril et Anne-Elisabeth,
35:22 parce que, à ce moment-là,
35:24 attendez, ce n'est pas tous les jours,
35:26 parce que...
35:28 - Il y a du boulot au jardin.
35:30 - Bah, oh la vache !
35:33 Une fois que je me suis fait une hernie discale...
35:38 - Une hernie discale qui vous a immobilisé.
35:41 Merci, Christine, d'avoir été avec nous ce matin.
35:44 - Merci à vous !
35:46 - "Sous les jupons de l'histoire",
35:48 c'est samedi soir à 21h05.
35:50 Madame Royal, c'est un inédit,
35:52 et on est ravis de retrouver
35:56 cette émission culte,
35:58 et de vous retrouver, Christine,
36:00 évidemment, sur "Chéri".
36:02 Ce sera samedi à 21h05.
36:06 - En face de la finale du "The Voice",
36:08 mais il y a le replay.
36:10 - Moi, je préfère Christine.
36:12 Merci ! On se retrouve...
36:14 Retrouve-nous dans un instant pour parler de l'audiovisuel public avec Françoise Laborde.