• il y a 9 mois
Avec Sarah Lelouch, Fondatrice de La Diversité du Cinéma Français

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News
Transcription
00:00 - SUD RADIO, oser entreprendre, Thomas Binet.
00:04 - Entreprenez, réentreprenez. Bonjour Thomas Binet.
00:07 - Bonjour Jean-Marie.
00:08 - On vous retrouve tous les dimanches à 7h sur SUD RADIO dans le Grand Matin Week-end.
00:10 On parle de quoi aujourd'hui ?
00:11 - On va raconter déjà la marque CEP, cette saga de la semaine.
00:15 On va recevoir Sarah Lelouch, fondatrice de la société La Diversité du cinéma français.
00:19 On va parler de cinéma, de production, de technologie, mais bien sûr aussi d'entrepreneuriat.
00:24 Et on terminera avec l'intelligence artificielle.
00:26 D'ailleurs, ça donnera un prolongement de cette interview qu'on va voir et recevoir dans un instant.
00:30 - Exactement. Tout de suite, c'est parti.
00:32 On commence en partenariat avec le magazine Entreprendre.
00:35 La saga de la semaine, c'est une marque mythique, connue pour ses mixeurs, pour ses robots.
00:40 Elle a plus de 160 ans, la société d'embouteillage de Bourgogne.
00:43 Ça ne vous dit peut-être rien.
00:45 Si je vous donne l'acronyme, c'est CEP.
00:46 Et là, ça vous dit quelque chose, évidemment.
00:48 - Et ça démarre en 1857, Jean-Marie, le jour où Antoine Lescure, rétameur ambulant.
00:53 Alors, c'est quoi un rétameur ?
00:54 Déjà, c'est un ouvrier qui recouvre des ustensiles d'une couche d'étain fondue,
00:58 de façon à ce qu'il ne s'oxyde pas, décide de s'installer à Selonger, en Bourgogne,
01:03 en créant une société de fabrication de bassines émaillées.
01:06 Alors, elle sera reprise de père en fils et fabriquera casseroles, passoires, moules à gâteau,
01:10 cafetières, articles de laiterie.
01:12 J'arrête là, mais il va contribuer ainsi à équiper les foyers en appareils domestiques neufs.
01:17 Les bases de l'entreprise sont jetées et en 1944, elle se baptisera CEP.
01:21 - Alors, quel est le produit qui fait connaître CEP du grand public ?
01:24 - Vous savez, la fameuse cocotte Minute en 1953,
01:27 qui va purement et simplement révolutionner la cuisine.
01:30 Ce sont des millions de cocottes Minute qui ont été vendues à travers le monde.
01:33 D'ailleurs, cette fameuse cocotte Minute, pour ceux qui ne le savent pas,
01:36 sera inventée par Roland de Végeant en 1948.
01:39 Roland de Végeant, qui n'est autre que le père de l'ancien ministre Patrick de Végeant,
01:43 décédé il y a quatre ans, en mars de la Covid.
01:46 À partir de cet instant, CEP va se développer très fortement
01:49 en proposant une très large gamme de produits.
01:51 Autocuiseur, fer à repasser, machine à café, robot culinaire.
01:55 Elle invente également en 1967 la première friteuse électrique sans odeur.
01:59 Le gris peint tout automatique en 1970.
02:01 À l'aube de l'an 2000, CEP invente le premier cuiseur vapeur électrique.
02:05 - Mais on ne se rend pas compte de la performance que c'est d'avoir une cuiseuse,
02:07 une friteuse électrique sans odeur.
02:09 Mais alors CEP, c'est pas seulement CEP, il y a d'autres marques mythiques.
02:12 - Complètement, parce que CEP, ce sont des rachats successifs.
02:15 Tessal, Tefal pardon, avec ses fameuses poêles en 1968.
02:19 Calor en 1972, Roventa en 1988 et Moulinex,
02:22 bien connu également pour ses cocottes mutes, en 2001.
02:25 Eh bien toutes ces acquisitions vont permettre à CEP
02:27 de devenir le leader mondial du petit électroménager.
02:30 - Pas mal non ? C'est français, comme on dit.
02:32 Allez tout de suite, on accueille votre invité mon cher Thomas.
02:34 On accueille Sarah Lelouch, grand témoin de la semaine.
02:36 C'est la fondatrice et présidente de la société
02:38 de la diversité du cinéma français, mais aussi du TECCAN.
02:42 C'est un événement qui est lié aux nouvelles technologies
02:45 et à l'intelligence artificielle appliquée au cinéma.
02:48 Ça aura lieu pendant le Festival de Cannes,
02:50 qui a lieu cette année, je le rappelle, du 17 au 20 mai prochain.
02:53 Bienvenue à vous Sarah Lelouch.
02:54 Vous êtes l'invité de Thomas Binet sur Sud Radio.
02:56 - Merci pour l'invitation. Bonjour à tous.
02:58 - Sarah Lelouch, on va parler dans un instant de l'événement
03:01 dont vient de parler Jean-Marie, justement,
03:03 que vous allez organiser à Cannes.
03:04 Mais vous êtes avant tout la présidente de la DCF,
03:07 la société de production qui vise, grâce à la technologie Web3,
03:10 vous nous expliquerez ce que c'est que le Web3 dans un instant,
03:12 à offrir à l'industrie du cinéma une nouvelle source de financement
03:16 et à proposer au public de participer à la création des films de demain.
03:19 Alors concrètement, ça consiste en quoi ?
03:21 - Eh bien, écoutez, ça consiste, juste comme vous venez de le dire,
03:25 donc à produire des films,
03:27 mais d'une nouvelle façon, en utilisant les nouvelles tech.
03:30 L'idée, c'était que j'avais vraiment envie d'apporter le cinéma
03:33 à la portée de monsieur et madame Tout-le-Monde.
03:35 Ce n'est pas facile d'avoir accès au cinéma
03:38 quand on ne connaît pas cet univers-là,
03:40 surtout quand on n'habite pas à Paris.
03:42 Donc j'avais envie aussi d'aller chercher des nouvelles idées,
03:47 parce qu'en fait, les idées, elles sont partout,
03:49 et je me suis dit, comment est-ce que je peux faire ça ?
03:53 Et donc voilà, l'idée de la diversité du cinéma français,
03:57 c'est avant tout ça, c'est démocratiser le cinéma
04:00 et permettre à Tout-le-Monde à la fois de nous proposer des idées
04:05 et à la fois de participer à la création des films
04:07 du début à la fin du process,
04:09 et de les impliquer dans ce processus de création.
04:12 - Alors on va rentrer dans le détail dans un instant,
04:13 mais d'abord je crois qu'on s'intéresse un peu à vous,
04:15 si vous le permettez, vous êtes notre grand témoin de la semaine.
04:17 Vous avez été productrice, animatrice,
04:19 journaliste, chroniqueuse en radio et télévision.
04:22 Alors, Sarah Lelouch, quand on est la fille de Claude Lelouch,
04:24 l'homme aux 50 films,
04:26 on ne peut pas s'envisager d'autres destins professionnels
04:29 en dehors du cinéma ou de la télé,
04:30 tout en sachant que la télé, vous l'avez arrêtée,
04:32 sauf erreur de ma part, en 2011.
04:34 - En fait, si j'ai fait de la télé,
04:35 c'est certainement par esprit de contradiction,
04:37 parce que ma mère m'a toujours dit quelque chose,
04:40 elle m'a dit "écoute, tu fais ce que tu veux dans la vie,
04:42 mais tu fais surtout pas de cinéma".
04:44 Et donc j'ai choisi la télé.
04:46 Mais le virus m'a rattrapée.
04:48 J'ai adoré faire de la télévision,
04:50 j'ai adoré produire des émissions de télé.
04:53 Après, j'ai basculé sur le documentaire.
04:55 Le documentaire, c'est un travail qui est beaucoup plus long
04:57 que de faire des émissions de flux
05:00 et de fournir rapidement, enfin de livrer rapidement.
05:03 Et j'ai pris énormément de plaisir à travailler sur des projets
05:06 pendant un an, deux ans.
05:07 Et c'est ça qui m'a donné aussi envie
05:09 de commencer à m'intéresser à la fiction.
05:12 - Vous dites que votre paman vous disait de ne pas faire de cinéma.
05:15 Il n'en retire pas moins quand même que vous avez joué
05:17 l'âge de 10 ans dans "Un homme et une femme".
05:20 On est d'accord ?
05:21 - Oui, alors écoutez, ça, c'est mon père
05:23 qui adore mettre tous ses enfants dans tous ses films.
05:26 C'est sa petite touche.
05:27 Hitchcock, on le voit dans tous ses films.
05:29 Et lui, il met au moins un de ses enfants dans tous ses films
05:32 quand il n'arrive pas à mettre les sept en même temps.
05:36 - Je voudrais citer votre père, si vous le permettez.
05:38 Dans une interview récente, il a dit
05:39 "Quand je tourne "Un homme et une femme",
05:41 j'en suis à mon septième film.
05:42 Aucun n'a marché.
05:43 Et je me dis que peut-être je ne suis pas fait pour ce métier.
05:46 Je décide d'en réaliser un dernier et de prendre tous les risques.
05:49 C'était une sorte de suicide.
05:50 Je me perçois que si celui-là ne marche pas,
05:53 je ferai autre chose.
05:55 Et ça a marché au-delà de tout ce que je pouvais imaginer.
05:59 Est-ce que la grande leçon de cette histoire,
06:01 ce n'est pas la persévérance, la résilience ?
06:03 Du coup, avez-vous le même rapport à cette situation que le sien ?
06:07 - Oui, complètement.
06:09 C'est ça, c'est un combat.
06:11 À un moment donné, la question c'est quand est-ce qu'on s'arrête ?
06:14 Quand les choses ne marchent pas
06:16 et à quel point il faut persévérer ?
06:19 Moi, j'adore la philosophie de mon père
06:22 qui est avant tout celle de prendre un maximum de risques.
06:26 - Donc vous êtes dans le risque comme lui,
06:28 vous étiez entrepreneur.
06:29 - Aujourd'hui encore plus que jamais.
06:30 J'ai toujours pris énormément de risques.
06:32 J'ai souvent produit sur fonds propres.
06:37 C'est difficile.
06:38 - C'est un vrai risque.
06:39 - C'est un vrai risque.
06:41 Et c'est vrai que ça m'a toujours porté chance.
06:44 Jusqu'à présent, je touche ma dette.
06:46 - Donc pas d'échecs ?
06:47 - Bah si, il y a forcément des échecs, évidemment.
06:52 - Parce que ça c'est important pour les entrepreneurs
06:53 qui nous écoutent aussi ce matin.
06:54 On raconte toujours les sagas de ceux qui réussissent.
06:57 Mais malgré tout, pour réussir,
06:59 il y a souvent un chemin jalonné d'échecs avant.
07:01 - Je ne pense pas qu'il y ait une personne aujourd'hui
07:03 qui réussisse sans connaître d'échecs.
07:05 C'est les échecs qui nous font apprendre.
07:07 C'est les échecs qui nous font rebondir.
07:09 C'est quand on est au pied du mur
07:10 qu'on doit trouver des solutions.
07:12 Donc ils sont indispensables ces échecs.
07:14 - Et ils vous ont plus appris que vous réussite ?
07:16 - Ah bah oui, évidemment.
07:18 - Parce qu'on se remet plus en cause.
07:20 - Quand on a de la réussite, on profite de la réussite.
07:23 On surf sur la réussite.
07:25 Le projet qui suit une réussite est beaucoup plus facile à monter.
07:30 Et quand on est dans l'échec, il faut faire preuve d'imagination.
07:35 Et la contrainte sollicite l'imagination.
07:37 Ça aussi c'est une phrase de mon père, mais c'est tellement vrai.
07:40 - Vous allez mettre en place au mois de mai,
07:42 Jean-Marie le disait dans le lancement, le Tech Can.
07:46 En quoi ça consiste en quelques mots ?
07:47 - Je voulais juste rectifier,
07:51 parce que Tech Can c'est avant tout un écosystème.
07:53 C'est un club qui va vivre à l'année.
07:55 - C'est ce que je voulais vous dire après, mais je vous en prie.
07:57 - Non mais c'est important de le préciser parce que c'est un club.
08:00 C'est un nouvel écosystème qui vise à réunir les géants de la tech
08:03 avec les géants du cinéma et plus généralement avec les géants de l'audiovisuel.
08:08 Et c'est vrai que le lancement de ce club aura lieu à Cannes,
08:12 sur la plage Villebrequin, sur la croisette du 17 au 19.
08:17 Et là aussi, c'est un vrai pari,
08:21 mais en même temps, c'est un pari qui me semble très cohérent.
08:25 Vous parliez tout à l'heure de la diversité du cinéma français,
08:27 qui est ma deuxième société de production,
08:29 qui a donc cette particularité d'utiliser la tech
08:32 pour produire des films d'une nouvelle façon.
08:34 Je suis partie en levée de fonds
08:37 et j'ai été amenée à rencontrer beaucoup d'investisseurs
08:40 avec deux typologies,
08:41 celle des investisseurs tech et celle des investisseurs cinéma
08:45 ou en tout cas dans l'univers de l'audiovisuel.
08:47 Et c'était vachement intéressant parce que les investisseurs tech
08:49 me disaient "Ton projet il est super",
08:51 ils étaient peut-être polis, mais bon, j'ai réussi à m'enlever.
08:53 Ils me disaient "Ton projet il est super",
08:54 mais en fait c'est compliqué d'investir
08:56 parce qu'on ne connaît pas l'écosystème du cinéma,
08:58 on ne connaît pas l'économie.
08:59 Pour nous c'est vraiment à risque d'investir sur le cinéma,
09:03 c'est sûr que ce n'est pas de l'immobilier.
09:04 Mais donc ils étaient très refroidis.
09:07 Et à l'inverse, quand je parlais avec les gens de l'audiovisuel,
09:10 ils me disaient "Ouais, ton projet il est super,
09:11 mais là tu nous parles de Web3,
09:12 tu nous parles de blockchain, tu nous parles d'IA".
09:15 Et ça, ce sont des mots qui font très peur, en tout cas en France.
09:18 Et je me suis dit "Mais c'est dingue que ces deux industries
09:21 finalement ne peuvent pas avancer l'une sans l'autre".
09:23 Depuis toujours, elles avancent l'une avec l'autre.
09:25 Je veux dire, l'arrivée de la couleur, c'est une technologie,
09:28 le 4K c'est une technologie.
09:30 Ces deux industries ne savent pas se parler.
09:32 Ils ont peur les uns des autres, ils ont peur des mots.
09:35 Donc tout à l'heure je parlais de démocratiser le cinéma,
09:37 j'ai aussi envie de démocratiser la tech
09:40 et faire en sorte que ces deux univers, en se parlant,
09:42 créent de nouvelles synergies, que ce soit tech ou artistique.
09:46 Vous viendrez nous en reparler, justement,
09:48 quand vous aurez fait cet événement
09:49 et que vous aurez mis en place la vie de ce club.
09:52 On va vous retrouver dans un instant, Sarah Lelouch,
09:54 parce qu'on a fait un petit test avec vous sur l'intelligence artificielle,
09:56 vous venez d'en parler.
09:57 Justement, ça sera la chronique dans un instant et on vous retrouve.
10:00 Exactement, je rappelle que vous êtes quand même
10:01 la fondatrice de la Société La Diversité du Cinéma Français.
10:04 Entre autres, tout de suite, on continue.
10:06 Bruno, le spécialiste des fournitures
10:08 et de l'équipement pour les professionnels présente.
10:12 Sud Radio, oser entreprendre,
10:15 les essentiels de l'entrepreneuriat.
10:17 Thomas, cette semaine, vous vous posez la question
10:18 de savoir s'il faut se former à l'intelligence artificielle.
10:22 Je pense que pour Sarah, c'est très clair, ça va être oui.
10:24 Moi, je pose la question, mais en fait, la réponse,
10:26 ça vient surtout à un des salariés qui, à 76%,
10:29 indique qu'il souhaite être préparé et formé à la bonne utilisation de l'IA,
10:33 selon une étude menée par Opinion Way.
10:35 Mais rappelons d'abord ce qu'est l'intelligence artificielle.
10:38 Elle fait référence à des systèmes ou machines capables
10:40 d'imiter l'intelligence humaine pour accomplir diverses tâches
10:43 et peuvent s'améliorer elles-mêmes en se basant sur des informations collectées.
10:47 Mais alors, les entreprises, j'imagine qu'elles s'y préparent,
10:48 mais elles font comment ?
10:49 Eh bien, certaines forment leurs salariés depuis plusieurs années,
10:52 depuis deux, trois ans en moyenne, confiant ainsi à l'IA
10:54 des tâches sans valeur ajoutée, leur permettant, grâce à elles, de gagner du temps.
10:58 Selon la même étude, 55% des salariés jugent que l'intelligence artificielle
11:02 se chargera d'au moins une partie de leur travail d'ici la fin de l'année 2024.
11:06 Autrement dit, demain.
11:08 Du coup, il y a un peu péril en demeure pour ceux qui ne s'y intéressent pas vraiment.
11:11 On a tous peur de finir au chômage.
11:12 Alors, en guise d'exemple, vous avez fait un test avec notre invité Sarah Lelouch.
11:15 Absolument, Jean-Marie.
11:16 Alors, je suis allé sur ChapGPT, j'ai tapé qui est Sarah Lelouch
11:20 et j'ai voulu vérifier la véracité des informations.
11:22 Et pour aller jusqu'au bout, j'ai soumis le résultat à Sarah
11:25 pour qu'elle le corrige en live avant qu'on soit ensemble ce matin dans l'émission.
11:30 Alors, c'est à peu près juste, Sarah pour en témoigner.
11:32 Oui, sur les grandes lignes.
11:33 Dans les grandes lignes.
11:34 Bon, il y a une erreur sur la date de naissance, il y a une erreur sur sa maman,
11:36 mais à part ça, tout va bien.
11:37 Et puis sur le contenu, c'est un peu sommaire.
11:39 C'est pour ça que vous dire qu'il y a des erreurs sur les choses les plus faciles, en fait.
11:41 En fait, oui.
11:42 Mais voilà.
11:42 Donc, c'est intéressant.
11:43 Et puis, Sarah Lelouch a quand même une notoriété,
11:45 donc on imagine ceux qui en ont un petit peu moins.
11:46 Mais ce qui est intéressant, c'est que la date de naissance, le 9 octobre,
11:50 est la date de naissance d'une autre de mes sœurs.
11:52 Ah, c'est pour ça.
11:53 Il y a un plusieurs trophées.
11:54 Donc, difficile.
11:55 Bon, j'espère qu'on ne se trompe pas d'anniversaire dans la famille.
11:57 En tout cas, c'est le plus important.
11:58 Pour conclure, est-ce qu'il faut en avoir peur de l'intelligence artificielle, Thomas ?
12:01 Eh bien, Jean-Marie, il y a toujours un risque, bien évidemment, face aux révolutions technologiques.
12:05 Alors, on sait toujours où elle commence, sans savoir vraiment où ça se terminera.
12:08 Elle frappe surtout ceux qui ne veulent pas s'y intéresser
12:10 et qui pensent que cela durera le temps d'un printemps, même si on vient d'y arriver.
12:14 L'IA, bien comprise et bien utilisée, va nous permettre de gagner du temps
12:17 et nous faciliter au quotidien.
12:19 Eh bien, en fait, il ne faut pas s'inquiéter pour ceux qui vont l'utiliser,
12:21 mais plutôt ceux qui ne l'utiliseraient pas.
12:23 Attention, peut-être que demain, l'IA remplacera les animateurs, Thomas Binet, enfin.
12:27 Eh bien, Jean-Marie, à qui le dites-vous ?
12:28 Mais exactement. Merci beaucoup, Sarah Lelouch.
12:30 Vous êtes venue sur le studio de Sud Radio ce dimanche pour Oser entreprendre.
12:34 Merci à vous, Thomas Binet.
12:35 Restez dans les parages. On vous retrouve dans un instant pour investir.
12:37 On parle de quoi ?
12:38 Eh bien, on va parler immobilier et crédit.
12:40 Sud Radio, oser entreprendre, Tom Abinay.

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