Cnews, l'Arcom et le Conseil d'Etat / Grève SNCF / Robert Badinter

  • il y a 7 mois
Mettez vous d'accord avec Jacques Myard, maire de Maisons Laffitte et auteur de "Bye Bye démocratie" (Lafont Presse), Frédéric Fougerat, président de Tenkan Paris (agence de communication), cofondateur de l'agence Cogiteurs et auteur de "La com est un métier" (éditions Bréal/Studyrama), Geneviève Goëtzinger, présidente de l’agence imaGGe et Thomas Elexhauser, secrétaire Général Les Centristes et conseiller départemental de l’Eure

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00:00 Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Exper.
00:06 Et nous sommes ensemble pour commenter l'actualité avec Frédéric Fougera, président de Tencan Paris, agence de communication.
00:12 Et vous êtes également le co-fondateur de l'agence Cogiteur.
00:15 Vous avez publié la com' est un métier aux éditions Bréal, Studi Rama.
00:19 Geneviève Göttinger, président de l'agence Image.
00:22 Vous êtes également spécialiste en communication politique.
00:24 Thomas Alexhauser, secrétaire général des centristes et conseiller départemental de l'heure.
00:29 Bonjour à vous.
00:30 Bonjour.
00:30 Et Jacques Myard, maire de Maison-Lafille.
00:33 Ave, ave.
00:34 Ave, ave.
00:35 Et l'auteur de ce brûlot au Bye Bye Démocratie, paru aux éditions Lafon-Presse.
00:42 Voilà, le brûlot de l'année.
00:44 Je pense que vous pourrez en faire un deuxième tome assez vite.
00:49 Hommage national à Robert Badinter.
00:52 La France Insoumise décide d'être présente avec deux députés malgré l'avis de la famille Badinter
00:59 qui ne souhaitait ni l'ERN ni la France Insoumise.
01:02 On va en reparler.
01:03 C News et l'ensemble des chaînes d'information et des radios dans le viseur de l'Arcom et du Conseil d'Etat.
01:10 La grève à la CNCF.
01:11 Bref, beaucoup de sujets avec vous, avec vos coups de cœur et vos coups de gueule.
01:17 Commençons avec vous, avec Geneviève, avec une bonne nouvelle.
01:21 - Absolument. Les boucliistes vont rester en place pendant les Jeux Olympiques.
01:25 Ça a été un long combat qu'ils ont mené.
01:29 Emmanuel Macron a tranché hier.
01:31 Je trouve que c'est une très bonne nouvelle.
01:33 On fait des JO à Paris. Ils font partie de l'âme de Paris.
01:36 - Bien sûr.
01:37 - Voilà, donc ils n'avaient aucune raison d'être "débranchés" pendant cette période.
01:42 Ça va éviter un certain nombre de recours devant les tribunaux administratifs de leur part.
01:46 C'est une histoire qui finit bien.
01:48 Peut-être la patte de Rachida Dati dans la décision du président de la République.
01:53 Elle était très hostile au démontage de ces boîtes à livres vertes,
01:58 qui vraiment sont Paris.
02:00 - On a envie de dire un peu tout ça pour ça aussi.
02:03 Et puis la décision du président de la République.
02:05 - Ça a été long.
02:06 - Ça a été long, oui.
02:07 - Est-ce que ça préfigure que la cérémonie n'aura plus lieu sur la Seine ?
02:11 Je me pose la question.
02:12 - Ce n'est pas faux.
02:14 - Je me pose la question, il y a l'intérêt de savoir s'il pleut, qu'est-ce qui va se passer.
02:17 - Alors on se posait la question des balcons aussi.
02:19 - La sécurité des balcons.
02:21 - Il serait temps de se les poser.
02:24 - Vous posez de Jacques Miard.
02:25 - Je dois dire que, tout en me félicitant que les bouquinistes demeurent,
02:30 ils n'en demeurent pas moins, je me demande s'ils ne saient pas.
02:33 On a poussé l'interdiction et puis ensuite on joue les dess-ex-maquina.
02:38 - Je crois qu'elle était déterminée, Madame Hidalgo.
02:40 Ils ont quand même fait des tentatives de démontage, ils sont allés assez loin.
02:44 - Oui, ça c'est vrai.
02:45 - Mais jusqu'à nouvel ordre, la sécurité publique appartient à la préfecture de police.
02:51 Et donc c'est une bonne nouvelle, on a fait.
02:54 Mais ce n'est pas sans risque, effectivement les balcons,
02:57 il faut demander à Santini, qui est, comme vous le savez, la terreur des balcons.
03:02 - Non, je ne savais pas.
03:04 - Pourquoi ?
03:06 - Tout simplement parce qu'un jour, dans la résidence, dans l'immeuble où il habite,
03:12 où il habite Aïfi Lémoniaud, tous les balcons sont tombés les uns derrière les autres.
03:17 Et heureusement, il n'était pas sur son balcon, parce qu'il ne serait plus de ce monde.
03:21 Et donc c'est pour ça que je l'appelle toujours la terreur des balcons.
03:24 - Mais c'est vrai que...
03:26 - C'est gentil.
03:27 Ce qui est certain, c'est que, effectivement, je dirais,
03:32 la cérémonie d'ouverture sur la Seine, ce n'est pas sans risque.
03:36 Et je crains fort qu'on ait quelques petits problèmes.
03:40 Je ne le souhaite pas, mais ce n'est pas sans risque.
03:43 Et bravo à Geneviève pour le coup de gueule.
03:45 - De coup de coeur, oui, oui, mais que je partage et j'aurais fait si vous ne l'aviez pas fait.
03:49 Frédéric, vous êtes content aussi ?
03:51 - Oui, je suis content, parce que, comme vous le disiez, c'est là, c'est l'image de Paris,
03:54 mais ce qui me paraît, c'est un cumul d'absurdité dans cette affaire,
03:58 parce qu'une question comme ça remonte à une décision du président de la République.
04:01 Moi, j'espère qu'il a des décisions plus importantes à prendre.
04:04 - Je crois.
04:06 - Oui, on espère.
04:08 - Après des Jeux Olympiques, qui sont d'avant tout un événement sportif,
04:13 on a mis tellement d'autres choses, à la limite en oubliant le sport derrière ces Jeux,
04:17 en voulant leur faire porter tellement de messages, tellement de valeurs,
04:20 qu'on en a fait quelque chose qui devient un peu absurde.
04:23 On avait prévu une cérémonie d'ouverture où il y aurait un million de participants.
04:27 Je pense qu'on est à moins de la moitié maintenant.
04:29 Je sais que cette bonne décision fait qu'il y aura encore moins de participants,
04:33 de publics possibles pour cette cérémonie d'ouverture.
04:35 À vouloir faire trop original et à vouloir sortir de l'esprit d'origine,
04:39 on va finir par avoir des Jeux qui ne sont pas du tout ceux qu'on nous a vendus.
04:42 - Non, c'est sûr.
04:44 - Tout ça pose des vraies questions sur la sécurité et les aménagements parisiens,
04:48 puisque le préfet de police de Paris est en guerre avec Anne Hidalgo
04:52 sur les aménagements qu'elle veut porter autour du Trocadéro, autour de la Tour Eiffel,
04:56 et où la préfecture s'insurge contre les volontés que Paris veut prendre,
05:00 les décisions que Paris veut prendre,
05:02 sur les aménagements de voiries et de sécurité publique.
05:04 Et c'est quand même hallucinant d'entendre le préfet de police de Paris,
05:08 en Conseil de Paris, venir en totale contradiction avec la maire de Paris,
05:11 et n'arriver à ne rien pouvoir faire entendre à cette maire de Paris
05:14 qui n'écoute plus personne si ce n'est son aile gauche et écologiste.
05:18 - Oui, bon, Jacques Meyard, un avion, c'est bon, on va passer à...
05:21 - Oui, mais c'est tout à fait...
05:23 Vous savez, je cite toujours la phrase de Chateaubriand,
05:27 "Je n'inscris pas à l'aune de mes espérances les malheurs de mon pays."
05:31 Mais aujourd'hui, c'est les malheurs d'Hidalgo, c'est aussi simple que ça.
05:35 Mais il est évident que l'on prend des risques,
05:38 et il est absurde que la maire de Paris aille à l'encontre de l'autorité
05:44 qui a la charge de la sécurité, à savoir le préfet de police de Paris.
05:49 - Et puis, Florence Berthoud, qui vient ici régulièrement,
05:52 qui salue cette décision,
05:54 "Depuis des mois, je me bats aux côtés des bouquinistes
05:57 pour remplacer leurs déplacements pendant les Jeux."
06:00 Cette décision était injuste et sans doute pas très efficace en termes de sécurité.
06:05 Jacques Meir, vous, vous aviez un coup de cœur ce matin ?
06:08 - Oui, ça n'est pas tous les jours.
06:10 - Bon, ben écoutez, comme c'est pas tous les jours,
06:12 vous savez quoi, on va marquer une petite pause,
06:14 et puis vous aurez tout le loisir de développer ce coup de cœur en ce jour de Saint-Valentin.
06:20 C'est peut-être pour ça qu'il n'y a que des coups de cœur, presque, ce matin.
06:23 - On vous aime, Valérie !
06:24 - Voilà, mais moi aussi, cher Jacques.
06:26 On se retrouve dans un instant, ça va être l'heure des infos,
06:29 et on va revenir sur les sujets d'actualité du jour,
06:32 et l'hommage rendu à Robert Badinter, entre autres.
06:35 À tout de suite !
06:36 - Et on est ensemble pour commenter l'actualité
06:50 avec Jacques Meir, maire de Maison Lafitte.
06:53 Je rappelle votre dernier livre, "Bye bye démocratie",
06:56 qui est paru chez Lafond Presse.
06:57 Frédéric Fougera, président de Tencan, c'est une agence,
07:00 Tencan Paris, agence de communication,
07:02 cofondateur de l'agence Cogiteur,
07:04 et vous avez publié "La com' est un métier" aux éditions Bréal,
07:07 Studi Rama, Geneviève Göttinger, communicante politique,
07:11 présidente de l'agence Image, avec 2G,
07:13 Thomas Alex Hauser, secrétaire général l'Essentriste,
07:16 et conseiller départemental de l'Eure.
07:18 On va revenir sur l'hommage national à Robert Badinter,
07:20 vous l'avez entendu dans le flash à l'instant,
07:24 à la volonté du président de la République de le faire entrer au Panthéon,
07:28 et la France Insoumise, qui a décidé, malgré la volonté,
07:33 contre la vie et contre la volonté de la famille,
07:35 d'être présente, alors que le RN, qui n'était pas souhaité,
07:38 n'y sera pas, et respecte cette volonté.
07:41 CNews dans le viseur de l'Arc-com et du Conseil d'Etat,
07:43 mais pas que CNews, toutes les émissions,
07:45 il y a des débatteurs, les temps de parole
07:48 pourraient être comptabilisés,
07:50 donc il va falloir que nous sachions,
07:52 si vous êtes de droite ou de gauche,
07:54 ce n'est pas possible, on va voir si cette mesure est applicable,
07:57 et ce que ça signifie, et puis la grève à la SNCF,
07:59 encore et toujours.
08:01 On continue, alors Jacques Millard,
08:03 vous nous avez promis un coup de cœur.
08:05 Oui, c'est un coup de cœur sur la prise de conscience
08:08 de nos armées, des entreprises, des menaces cyber,
08:12 parce qu'on a été un peu en retard,
08:15 malheureusement des collectivités, des hôpitaux,
08:19 ont été attaqués avec des cyber-attaques,
08:22 et visiblement aujourd'hui,
08:24 lorsque vous lisez les exercices préparés par les forces armées,
08:29 lorsque vous voyez que toutes les entreprises
08:32 se posent la question des cyber-attaques,
08:35 je trouve qu'il y a une prise de conscience
08:37 qui doit être saluée,
08:39 qui ne signifie pas que c'est imparable,
08:42 parce que ma crainte est qu'avec l'intelligence artificielle,
08:47 les pare-feux mis en place par les villes,
08:50 par les administrations, par les hôpitaux,
08:54 par les entreprises, puissent être cassés,
08:56 et malheureusement, on vit dans un monde
08:59 où la sécurité informatique n'est pas garantie d'avance.
09:03 Mais cette prise de conscience doit être saluée,
09:06 et je peux me féliciter notamment
09:09 que les armées françaises mettent en place
09:12 des séminaires, des exercices,
09:15 pour faire face à cette menace
09:18 qui n'est pas une menace en l'air.
09:21 - Oui, j'ai envie de vous dire, il est temps, non ?
09:23 - Oui, il est temps.
09:25 Je peux même vous dire
09:27 qu'un hôpital bien connu
09:29 qui a été attaqué,
09:33 il n'y avait aucun pare-feu !
09:36 Ils étaient en complète délire !
09:39 - Là, vous avez vu que la sécurité sociale aussi
09:41 a été "hackée", comme on dit,
09:43 par toutes ses prestataires.
09:45 - Pas totalement, heureusement.
09:47 - Pas totalement, mais quand même, pas mal.
09:49 Plusieurs millions, quand même.
09:51 C'est vrai que c'est un vrai sujet.
09:53 Je ne sais pas qui veut réagir à ce que dit Jacques Lerre.
09:55 - Non, mais ça fait partie de l'ambition
09:57 qu'a fixée le nouveau ministre des Armées,
09:59 Sébastien Lecornu,
10:01 qui vise à être beaucoup plus présent et puissant
10:04 sur tout ce qui touche au sujet du Web,
10:07 d'Arc, numérique, etc.
10:09 Et aussi l'ambition spatiale
10:11 que veut se fixer la France.
10:13 Certains vont jusqu'à dire qu'il manque,
10:15 sur l'armement et les équipements,
10:17 certains crédits.
10:19 Mais en tout cas, ça fait partie du grand plan
10:21 qu'a engagé Sébastien Lecornu.
10:23 - Sur la cybercriminalité,
10:25 et par rapport à la Défense Nationale,
10:27 je pense qu'il y a ce que l'on dit et ce que l'on fait.
10:29 Et en matière de cybercriminalité,
10:31 je pense qu'on en fait beaucoup plus
10:33 que ce que l'on dit,
10:35 notamment du côté du ministère des Armées.
10:37 - Oui, certainement.
10:39 - Parce que cette criminalité,
10:41 elle vient notamment d'États,
10:43 pas forcément de personnes privées,
10:45 et d'États qui cherchent à déstabiliser
10:47 des pays, des organisations par ce biais.
10:49 Donc le ministère des Armées
10:51 fait beaucoup en la matière,
10:53 mais en dit peut-être moins
10:55 que ce qu'il fait réellement.
10:57 Mais c'est bien aussi que le sujet soit mis sur la place publique.
10:59 - Il a raison d'observer une confidentialité,
11:01 un égard aux États qui sont derrière.
11:05 - Bien sûr.
11:07 - Jacques Myard ?
11:09 - Oui, je vais vous dire une chose.
11:11 Lorsqu'il y a eu une attaque
11:13 sur le site de l'Elysée,
11:15 ce n'était pas la Chine,
11:17 ce n'était pas la Russie,
11:19 c'était nos chers amis américains.
11:21 - Donc c'est un État.
11:23 - Non mais c'est formel.
11:25 Donc de ce côté-là,
11:27 effectivement, il faut que la France
11:29 ait les moyens de contre-attaquer
11:31 au besoin, et ait les moyens
11:33 de se défendre.
11:35 Donc tant mieux si les armées
11:37 en font plus qu'ils ne le disent,
11:39 parce que la menace
11:41 est toute insimute.
11:43 - Il faut effectivement,
11:45 un auditeur qui s'y connaît bien me dit,
11:47 ce n'est pas juste des firewalls,
11:49 c'est-à-dire des murs, des parcs-feux,
11:51 il faut toute une infrastructure réseau
11:53 qui n'a jamais été mise en place
11:55 par ce que gérait
11:57 le gouvernement.
11:59 ...
12:01 ...
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12:31 ...
12:33 En Olivier, on peut déflouer avec les mots "cheffe vamos"
12:40 En hasard, on peut changer les mots.
12:55 Voici une nouvelle définition pas "vamos"
12:59 mais "vamos"!
13:01 En fait, on peut changer les mots "chef" et "vamos"
13:04 mais on peut changer les mots "chef" et "vamos"
13:07 mais on peut changer les mots "chef" et "vamos"
13:09 mais on peut changer les mots "chef" et "vamos"
13:11 mais on peut changer les mots "chef" et "vamos"
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19:33 Sous-titrage Société Radio-Canada
19:35 Et on va essayer de se mettre d'accord.
19:37 Parlons de cet hommage à Robert Badinter.
19:39 Ce matin, Place Vendôme,
19:41 la famille de Robert Badinter
19:43 ne souhaite pas la présence
19:45 du Rassemblement National
19:47 et de la France Insoumise.
19:49 Le Rassemblement National a pris acte
19:51 et donc n'ira pas.
19:53 En revanche, la France Insoumise
19:55 estime que c'est une cérémonie
19:57 d'hommage public
19:59 et qu'il y a toute sa place.
20:01 Marine Le Pen a dit
20:03 "On ne sera pas présent,
20:05 la famille ne l'a pas souhaité,
20:07 je ne vais pas polémiquer".
20:09 Et donc, je ne sais pas,
20:11 que pensez-vous de cette polémique ?
20:13 Est-ce que vous comprenez le souhait
20:15 de la famille Badinter ?
20:17 Je trouve que c'est regrettable
20:19 vraiment une nouvelle polémique
20:21 après la polémique vis-à-vis
20:23 de la cérémonie aux Invalides
20:25 pour les victimes des atrocités
20:27 du 7 octobre. J'ai l'impression
20:29 que la France Insoumise cherche
20:31 à faire en permanence le buzz.
20:33 C'est de pouvoir parler, reparler.
20:35 Ce matin, Bonpar était en réaction
20:37 sur France Info, de leur triste sort.
20:39 Ils cherchent encore,
20:41 je dirais, à fracturer.
20:43 Il y a eu une prise de position très forte
20:45 de la famille qui a dit pourquoi
20:47 ils ne voulaient pas la présence
20:49 des représentants de l'LFI à cette cérémonie
20:51 notamment accusant la LFI
20:53 d'islamo-gauchisme.
20:55 Ce sont les mots de Mme Badinter.
20:57 Et à nouveau, Marine Le Pen
20:59 prend le beau rôle. Elle dit que c'est un souhait
21:01 de la famille, nous ne viendrons pas.
21:03 Et eux, ils sont jusqu'au boutiste,
21:05 dans le buzz et dans la fracture.
21:07 Je regrette vraiment qu'ils aient maintenu
21:09 ce souhait de participer à cet hommage
21:11 alors que la famille avait strictement
21:13 dit non. Tout comme je regrette
21:15 que pour l'hommage aux victimes d'Israël
21:17 ils y soient allés
21:19 faisant des coups
21:21 d'éclat. Les gens à l'extérieur des Invalides
21:23 ont sifflé, ont hurlé
21:25 contre la venue des parlementaires LFI
21:27 etc.
21:29 Tout ça n'est pas bon.
21:31 - Oui, je l'ai.
21:33 - C'est un hommage national, donc tout le monde peut y aller.
21:35 On peut tous y aller.
21:37 Et on peut se sentir concerné,
21:39 donc avoir envie de rendre hommage à Robert Badinter.
21:41 Après, ça c'est le droit.
21:43 Et après il y a la dignité. A partir du moment où vous n'êtes pas
21:45 désirés, vous n'allez pas quelque part.
21:47 Ils ne sont pas désirés, ils n'ont pas y aller.
21:49 Effectivement, Marine Le Pen
21:51 s'est bien comportée
21:53 en l'occurrence. Elle a eu les mots qu'il fallait.
21:55 On ne veut pas de nous, on n'y va pas.
21:57 Et puis, ce n'est pas au moment où le
21:59 corps de Robert Badinter est toujours
22:01 ou n'est pas encore enterré qu'on va susciter
22:03 une polémique. Donc oui,
22:05 entre le droit pur et simple et la dignité,
22:07 on choisit la dignité.
22:09 - Je suis complètement dans la lignée de Geneviève.
22:11 On peut légitimement se poser la question.
22:13 Est-ce qu'un hommage national, c'est une cérémonie
22:15 publique donc elle est ouverte ? Ou est-ce que c'est
22:17 une cérémonie privée donc elle est fermée ?
22:19 Mais on peut aussi se poser la question, est-ce que le respect
22:21 d'un mort et de sa famille
22:23 valent moins que de faire de la politique ?
22:25 Notre pays souffre de l'idée qu'on puisse
22:27 tout politiser. Mais c'est aussi
22:29 une nouvelle culture que certains radicaux
22:31 voire extrêmes tentent de nous imposer.
22:33 Toujours tout politiser,
22:35 comme on le disait à l'instant, pour faire de l'audience,
22:37 pour faire de l'audimat,
22:39 pour faire le buzz.
22:41 C'est cette culture, c'est une culture
22:43 qu'on veut nous imposer
22:45 et on est en train de nous l'imposer. Dans la compétition
22:47 de l'audimat et de l'audience,
22:49 l'outrance favorise
22:51 l'audience. Personnellement, quand je ne suis pas invité,
22:53 je ne me rends pas à une invitation.
22:55 Donc le moins des choses serait de respecter
22:57 la famille et le défunt.
22:59 Mais il y en a qui préfèrent faire de la politique
23:01 même sur un mort. - Jacques Millard ?
23:03 - Oui, ce n'est pas aussi simple
23:05 que ça. Je suis tout à fait désolé
23:07 parce que c'est une cérémonie
23:09 avec un protocole. Et le
23:11 protocole de la République, c'est que
23:13 vous n'excluez pas a priori
23:15 des députés.
23:17 C'est aussi simple que ça.
23:19 Et donc, je comprends parfaitement.
23:21 Je ne suis pas un soutien de la NUPES, vous pouvez compter sur moi.
23:23 Mais,
23:25 je comprends parfaitement qu'il ne faut pas
23:27 polémiquer. Mais quand
23:29 c'est une cérémonie officielle,
23:31 ce n'est pas une cérémonie
23:33 ad-hondine.
23:35 C'est une cérémonie organisée...
23:37 - Mais ce n'est pas l'Elysée qui a interdit leur présence.
23:39 - Pardon ? - Ce n'est pas l'Elysée
23:41 qui a interdit leur présence. Ce n'est pas les organisateurs.
23:43 - Mais attendez, justement.
23:45 Et donc, le problème,
23:47 c'est que l'invitant, c'est le président
23:49 de la République.
23:51 C'est-à-dire que c'est l'État français, c'est le gouvernement.
23:53 Et donc, je comprends parfaitement
23:55 vos réactions en disant "Ce n'est pas la peine de la rajouter."
23:57 Je ne vais pas
23:59 polémiquer de ce côté-là.
24:01 Mais, quand même,
24:03 parce qu'il peut y avoir, à un moment
24:05 ou à un autre,
24:07 lorsque, si vous
24:09 acceptez qu'effectivement
24:11 une personne privée peut excluer
24:13 des députés de la nation,
24:15 moi, j'ai quand même une interrogation.
24:17 - Hum.
24:19 - Je voudrais atténuer les propos
24:21 de Jacques. Ce n'est pas
24:23 une volonté de leur interdire l'accès.
24:25 C'est un souhait des familles
24:27 de dire qu'ils ne souhaitaient pas
24:29 la présence d'eux.
24:31 Personne n'a voulu interdire leur accès.
24:33 Aucun organisateur, ni élusier, etc.
24:35 - Thomas, tu as raison.
24:37 Il n'en demeure pas moins
24:39 que c'est une manifestation
24:41 de la République. Voilà.
24:43 - Oui. C'est l'argument.
24:45 - Je voudrais reprendre un tweet que notre amie
24:47 Judith Vintraub vient de faire.
24:49 Elle reprend des propos
24:51 de feu Robert Badinter.
24:53 Elle évoque
24:55 des propos, je cite, où
24:57 les principes essentiels,
24:59 ceux de Jaurès, ont été abandonnés par Mélenchon.
25:01 - C'est vrai.
25:03 - Ce sont des propos que Judith vient de
25:05 tweeter.
25:07 - Judith a raison.
25:09 Mais le problème reste entier.
25:11 - Absolument.
25:13 Je vous ai coupé votre
25:15 coup de cœur. - Ah, nous n'oublions pas.
25:17 - Il ne faut pas vous oublier. Vous aviez un coup de cœur important en plus,
25:19 Thomas Helexhauser. - Oui.
25:21 Un coup de cœur, chers amis, parce que nous sommes
25:23 à J-10 du Salon
25:25 International de l'Agriculture.
25:27 Et que je souhaite vraiment du fond du cœur
25:29 que ce soit un événement
25:31 positif, festif, heureux.
25:33 Je formule le souhait... - Sans exclusion.
25:35 - Sans exclusion.
25:37 Je formule le souhait qu'on puisse avoir
25:39 une explosion de la fréquentation
25:41 pour témoigner
25:43 de l'attachement des Français à la filière
25:45 d'excellence de l'agriculture
25:47 de notre pays. Et qu'à travers
25:49 cet événement, on se pose des questions
25:51 qui ont fait l'actualité il y a deux, trois semaines
25:53 mais qui restent encore présentes.
25:55 Est-ce que l'on veut davantage produire
25:57 que l'on importe dans ce pays ?
25:59 Est-ce que l'on peut comprendre les contraintes
26:01 de nos agriculteurs et se dire
26:03 que dans un monde où on se dirige vers 10 milliards
26:05 d'habitants, on a une richesse
26:07 formidable qui est l'agriculture française
26:09 et qu'il faut qu'on trouve les moyens
26:11 de l'aider à se développer
26:13 en tenant compte bien sûr de quelques
26:15 contraintes environnementales et sociétales
26:17 mais qu'on arrive à garder
26:19 ce noyau d'excellence et encourager
26:21 encore demain des agriculteurs
26:23 à venir, à s'installer, à reprendre
26:25 des fermes. Donc voilà, c'était
26:27 un coup de cœur pour se donner rendez-vous.
26:29 Moi, je serai au salon d'agriculture.
26:31 Et un dernier coup de cœur,
26:33 on est la Saint-Valentin, j'embrasse mon épouse
26:35 si elle m'écoute et tous
26:37 les amoureux aujourd'hui sur Sud Radio.
26:39 Faites américaine,
26:41 Jacques Meyard, je vous imagine...
26:43 Non, non, non,
26:45 l'amour français,
26:47 on connaît ça.
26:49 Voilà,
26:51 on a quand même quelques
26:53 littérateurs et
26:55 auteurs qui ont
26:57 valorisé, je dirais,
26:59 l'amour de son prochain et l'amour de nos femmes
27:01 et des maris.
27:03 Si vous me permettrez de citer Sandrine Rousseau
27:05 à l'instant, "Aimer qui vous voulez
27:07 dès lors
27:09 qu'il y a
27:11 pleinement consentant.te"
27:13 Voilà,
27:15 c'était "y'a pleinement consentant.te"
27:17 Bah écoutez,
27:19 - Mais pour
27:21 continuer avec Thomas,
27:23 "Ini mino veritas"
27:25 N'oubliez jamais ça.
27:27 - C'est-à-dire ? - "Ini mino veritas"
27:29 - Mais pourquoi ? Par rapport au salon de l'agriculture ?
27:31 - Bah l'agriculture, il faut soutenir la filière
27:33 agricole et la filière
27:35 vinicole. - Ah, aussi.
27:37 Mais le salon de l'agriculture, c'est pas encore
27:39 gagné, que ça se passe dans
27:41 le plus grand calme, hein ? - Non,
27:43 y'a des échanges, le président et le Premier
27:45 ministre ont reçu
27:47 les agriculteurs.
27:49 Y'a beaucoup de contre-vérité dans tout cela.
27:51 Y'a la posture du gouvernement aujourd'hui
27:53 qui défend les agriculteurs et les votes
27:55 de la délégation Renaissance
27:57 En Marche au Parlement européen
27:59 qui ont durci encore plus
28:01 les textes et les législations et qui ont essayé
28:03 d'encourager une baisse de la productivité
28:05 par une baisse des surfaces cultivables.
28:07 Donc y'a bien évidemment beaucoup de
28:09 contresens et de contre-vérité dans tout cela.
28:11 J'espère quand même
28:13 que nous pourrons honorer
28:15 et valoriser et comprendre
28:17 ce métier qui doit devenir un métier d'excellence
28:19 parce qu'on sera heureux
28:21 je pense, dans les années qui viennent, de
28:23 vendre et d'exporter
28:25 énormément de produits de notre
28:27 chère agriculture.
28:29 C'est déjà un métier d'excellence.
28:31 Qui est un métier d'excellence ?
28:33 On se retrouve dans un tout petit instant
28:35 pour parler
28:37 de ce coup
28:39 de semence pour la chaîne
28:41 CNews qui va être davantage contrôlée
28:43 mais qui concerne en fait
28:45 toutes les chaînes d'information
28:47 avec ce recours
28:49 qu'a intenté opposer
28:51 le reporter sans frontières
28:53 pour qu'il y ait plus de
28:55 diversité et que finalement
28:57 on soit comptabilisé les temps de parole
28:59 des chroniqueurs invités sur les différents
29:01 plateaux. A tout de suite.
29:03 Sud Radio, le 10h midi
29:05 mettez-vous d'accord
29:07 Valérie Exper
29:09 Sud Radio,
29:11 le 10h midi, mettez-vous d'accord
29:13 Valérie Exper
29:15 Alors, nous allons essayer d'être clairs dans cette affaire
29:17 Reporter sans frontières
29:19 a décidé d'un recours
29:21 contre une décision de l'ARCOM
29:23 l'ARCOM, vous le savez, c'est le gendarme de l'audiovisuel
29:25 l'ARCOM qui avait
29:27 décrété, enfin jugé
29:29 que la chaîne CNews
29:31 accomplissait bien
29:33 et réagissait
29:35 je trouve pas le mot
29:37 et répondait aux obligations
29:39 voilà, aux obligations de pluralisme
29:41 or le Conseil d'Etat
29:43 re veut que l'ARCOM
29:45 réexamine dans les 6 mois qui viennent
29:47 cette décision
29:49 et l'étend d'une manière générale
29:51 à d'autres
29:53 chaînes
29:55 c'est à dire que
29:57 l'ARCOM a publié
29:59 un communiqué ce matin, j'ai un petit peu de mal
30:01 "désormais, outre le décompte du temps de parole
30:03 des personnalités politiques, le régulateur
30:05 pourra, pour apprécier le respect
30:07 par un éditeur
30:09 du pluralisme des courants de pensée et d'opinion
30:11 prendre en compte les interventions de l'ensemble
30:13 des participants au programme diffusé
30:15 y compris chroniqueurs,
30:17 animateurs et invités
30:19 de même pour s'assurer
30:21 de l'indépendance de l'information, l'ARCOM pourra
30:23 tout compte tenir compte de l'ensemble
30:25 des conditions de fonctionnement et de caractéristiques
30:27 de la programmation des chaînes"
30:29 donc ça veut dire qu'à terme
30:31 il va falloir que nous, par exemple sur Sud Radio
30:33 nous comptabilisions, hors
30:35 hommes politiques ou femmes politiques
30:37 que vous êtes, Jacquemia ou Thomas
30:39 Alexazer, mais que nous déterminions si Geneviève
30:41 Göttinger ou Frédéric Cougerat
30:43 sont de droite ou de gauche
30:45 et
30:47 ça pose quand même la question
30:49 de la liberté d'expression
30:51 ce matin, je ne sais pas si
30:53 Pascal Praud qui recevait Christophe Deloir
30:55 le patron de Reporters sans Frontières
30:57 qui était très très très mauvais
30:59 j'ai envie de dire hélas, parce que j'aurais aimé comprendre
31:01 quelle était sa motivation
31:03 il était incapable de répondre
31:05 à aucune des questions de Pascal Praud
31:07 sur ce qu'il reprochait
31:09 à la chaîne
31:11 puisqu'il dit d'ailleurs, Reporters sans Frontières
31:13 "Ces news met la démocratie en danger"
31:15 donc il lui a posé la question
31:17 de quelle manière, et il a été incapable d'argumenter
31:19 Thomas ?
31:21 On est dans une situation un peu délirante
31:23 puisque l'ArkHomme pointe du doigt
31:25 ces news, malgré tout
31:27 dans tout cela, ces news
31:29 moi j'ai été parfois invité
31:31 on ne peut pas dire qu'il n'y a pas de pluralité
31:33 chez ces news, ce n'est pas vrai, mais je voudrais
31:35 dénoncer quelque chose tout de suite, l'ArkHomme
31:37 que fait-il
31:39 quand il y a ou pas le respect des temps d'antenne
31:41 je vous donne un exemple, l'excellent Jonas Haddad
31:43 que vous invitez souvent
31:45 a fait un tweet avec un extrait
31:47 de l'ArkHomme sur le temps d'antenne
31:49 réparti du 2 au 13 mai
31:51 2022 pendant la campagne législative
31:53 la totalité du PS
31:55 de LFI du PC
31:57 est à 2500 minutes sur la période
31:59 les LR 338
32:01 qu'est-ce que fait l'ArkHomme dans ce genre de situation ?
32:03 absolument rien
32:05 donc moi avant qu'on donne des leçons
32:07 à tel ou tel, rien n'est fait
32:09 pour respecter, donc avant qu'on
32:11 pointe du doigt telle ou telle chaîne
32:13 que l'on puisse quand même faire respecter la pluralité
32:15 sur l'ensemble des médias français
32:17 oui mais c'est vrai
32:19 qu'on peut s'interroger, Jacques Miard
32:21 oui, moi je suis tout à fait
32:23 d'accord avec ce que vient de dire Thomas
32:25 je crois qu'on a franchi
32:27 une limite
32:29 la liberté d'expression
32:31 ça existe et je
32:33 peux vous dire que
32:35 je suis souvent à l'écoute de France Info
32:37 pour parler, et j'entends très
32:39 souvent
32:41 notamment les débats
32:43 des informés
32:45 permettez-moi de vous dire
32:47 que les débats des informés
32:49 ça ne va pas dans un sens
32:51 ça va dans un autre sens très clair
32:53 pour la plupart du temps
32:55 et donc, c'est pas inintéressant
32:57 mais à ce moment-là
32:59 je peux vous dire que cette décision du
33:01 conseil d'état, elle va
33:03 faire des dégâts collatéraux
33:05 parce que non seulement ça va être extrêmement
33:07 compliqué, mais
33:09 ça va, je dirais, concerner
33:11 pas simplement CNews
33:13 mais toutes les chaînes, c'est ce que je dis
33:15 toutes les radios d'état
33:17 et je crains fort que
33:19 ce gouvernement des juges a dépassé
33:21 les limites
33:23 comme disait Malraux, vous savez la liberté d'expression
33:25 il faut y regarder
33:27 deux fois avant de la passer par la fenêtre
33:29 oui
33:31 et donc en l'occurrence, je crains fort
33:33 que la décision du conseil d'état
33:35 va susciter
33:37 une question préalable
33:39 de constitutionnalité
33:41 car je pense qu'elle est allée trop loin
33:43 c'est aussi simple que ça
33:45 oui et
33:47 vous parlez des informés
33:49 c'est pas très confraternel de le faire
33:51 mais Sophie de Menton qui était invitée régulièrement
33:53 se retrouve littéralement
33:55 clouée au pilori à chaque fois qu'elle y est
33:57 c'est-à-dire qu'elle est la seule personnalité
33:59 on va dire identifiée un peu à droite
34:01 et encore que, on en parlait juste avant le journal
34:03 avant l'émission
34:05 Sophie, elle a des
34:07 caractéristiques, on peut dire
34:09 elle est de droite mais elle a des
34:11 parfois des positions qui sont de gauche
34:13 mais elle est en général
34:15 effectivement la seule personnalité de droite
34:17 et Pascal Prost faisait aussi remarquer
34:19 que Gilles-William Gollnadel qui était en tête des
34:21 vente de... c'est pas vrai ?
34:23 Non, je trouve qu'il y a souvent Jean-Sébastien Ferjou
34:25 par exemple que moi je catalogue pas à gauche
34:27 moi j'en vois d'autres
34:29 il y en a encore Jean-Sébastien ?
34:31 J'en entends d'autres que Sophie franchement
34:33 Mais Pascal expliquait que des gens
34:35 comme effectivement Gilles-William
34:37 ne sont jamais invités sur... ou Gilles-William Gollnadel
34:39 qui venait ici à un moment, ne sont jamais
34:41 invités sur les services publics
34:43 il y a aussi à regarder
34:45 sur ce qui se passe sur les services publics
34:47 on est complètement d'accord
34:49 l'émission c'est ce soir sur France 5
34:51 c'est aussi...
34:53 donc voilà si on se met tous
34:55 à se regarder les uns les autres
34:57 c'est une ambiance et un climat détestable
34:59 Frédéric Fougera
35:01 Valérie moi je pense qu'il y a trois sujets derrière
35:03 ce sujet, il y a le sujet qu'on a évoqué
35:05 celui de la liberté éditoriale des médias
35:07 oui la liberté elle doit
35:09 être totale
35:11 et une chaîne d'opinion
35:13 doit pouvoir exister comme il y a
35:15 des journaux papiers
35:17 que l'on sait parfaitement attribuer
35:19 à un camp politique ou à un autre
35:21 ça c'est une chose
35:23 la deuxième chose et c'est ce qui vise C News en particulier
35:25 c'est le respect de la convention de la chaîne d'information
35:27 c'est que
35:29 elle n'a pas été autorisée à émettre pour être une chaîne d'opinion
35:31 mais une chaîne d'information
35:33 mais c'est interdit en plus en France
35:35 c'est ce qui pourrait être éventuellement revu
35:37 mais il y a quand même un besoin de transparence
35:39 et de cohérence, on a eu une
35:41 autorisation qui a été attribuée pour faire un travail
35:43 et puis on l'a transformé, on fait autre chose
35:45 moi j'ai aucun problème avec le fait qu'on puisse
35:47 avoir des chaînes d'information en France
35:49 à partir du moment où on vous donne
35:51 une antenne
35:53 pour émettre pour être
35:55 une chaîne d'opinion
35:57 et puis comme ça a été sous-entendu
35:59 si c'est C News
36:01 qui illustre le sujet, ça va
36:03 évidemment concerner tout le monde
36:05 on voit beaucoup d'alertes à Arcom
36:07 qui n'ont aucune suite, qui ne servent
36:09 à rien et qui dénoncent
36:11 du militantisme déguisé dans beaucoup de médias
36:13 vous avez évoqué le service public
36:15 il y a un site qui est assez intéressant
36:17 à suivre qui s'appelle "Médias citoyens"
36:19 et qui comptabilise de façon permanente
36:21 ces questions de militantisme déguisé
36:23 et qui note que sur certaines émissions du service public
36:25 il y a 90%, parfois
36:27 100% des invités
36:29 qui sont du même bord politique et toujours du même
36:31 donc parfois effectivement il y a
36:33 le mec de droite
36:35 de service dans les émissions de gauche
36:37 ou le mec de gauche de service
36:39 dans les émissions de droite, ça ça ne veut pas forcément dire
36:41 qu'il y a du pluralisme, en tout cas
36:43 il devrait y avoir de la transparence et je ne suis pas
36:45 je ne trouve pas choquant la décision du Conseil d'Etat
36:47 de demander à l'Arcom de mettre de l'ordre
36:49 et surtout à l'Arcom de faire son boulot quelque part
36:51 parce que à quoi sert l'Arcom aujourd'hui ?
36:53 - Oui, mais l'Arcom a rendu une décision
36:55 donc ça veut dire que le Conseil d'Etat c'est un camouflet
36:57 énorme pour l'Arcom
36:59 de dire "en gros
37:01 vous n'avez pas fait votre boulot"
37:03 - Ah bah moi je fais partie de ceux qui considèrent que l'Arcom ne sert pas
37:05 grand chose en France et laisse
37:07 trop passer
37:09 je trouve qu'il ne sert à rien
37:11 et qu'il ne prenne pas position, il n'y a pas de courage
37:13 - On a vite... - C'est quand même très...
37:15 - Vous avez été patronne de l'ORFI
37:17 - C'était déjà très compliqué
37:19 pour nous de respecter
37:21 la diversité
37:23 la place des femmes
37:25 le pourcentage de femmes dans les experts
37:27 la comptabilisation
37:29 tout ça était vraiment
37:31 un casse-tête quotidien
37:33 pour les différentes équipes à la fois de RFI
37:35 et ensuite de France 24
37:37 donc ça c'est certain
37:39 maintenant, moi il me semble logique
37:41 les choses ont changé par rapport au XXe siècle
37:43 quand vous aviez des médias classiques
37:45 c'était assez facile, vous comptabilisiez
37:47 les invités, majorité
37:49 opposition, exécutif
37:51 hors période électorale
37:53 donc trois tiers facile. Aujourd'hui on est sur
37:55 des chaînes d'info en continu
37:57 qui brassent un nombre d'invités
37:59 d'experts, au quotidien de chroniqueurs
38:01 d'éditorialistes
38:03 qui en fait
38:05 donnent une coloration politique
38:07 alors que les conditions
38:09 d'attribution et les critères d'attribution
38:11 c'est ce que disait Frédéric
38:13 d'une fréquence sur la TNT
38:15 obéit quand même
38:17 à un certain cahier des charges et à des contraintes
38:19 que ces chaînes ne respectent pas
38:21 forcément, dont cette obligation
38:23 de pluralisme et d'indépendance
38:25 vis-à-vis de l'actionnaire aussi qui se pose
38:27 en ce qui concerne CNews, Europe 1
38:29 et d'une manière générale le groupe
38:31 Bolloré quand même, je ne suis pas certaine que
38:33 l'indépendance de la rédaction
38:35 vis-à-vis de l'actionnaire soit
38:37 totale et soit si facile à
38:39 respecter pour les rédactions
38:41 d'ailleurs les sociétés de journalistes
38:43 viennent de s'autodissoutre
38:45 quand même, de Paris Match
38:47 - Oui, Paris Match en l'occurrence
38:49 mais comment vous allez vérifier cette
38:51 indépendance ? Je trouve qu'on met le doigt
38:53 dans un engrenage très compliqué
38:55 - Une usine à gaz
38:57 - Une usine à gaz, c'est-à-dire qu'on va nous demander
38:59 effectivement de comptabiliser
39:01 - C'est une usine à gaz et c'est quand même très difficile
39:03 parce que les plateaux dont vous parlez
39:05 des invités de Pascal Pro
39:07 ou je ne sais quel ou les informés
39:09 comment savoir si quelqu'un
39:11 est plutôt tendance socialiste
39:13 tendance Europe Ecologie Les Verts
39:15 tendance Communi
39:17 - Thomas, ils ont leur fiche à jour
39:19 - Comment ?
39:21 - Ils ont leur fiche à jour
39:23 il ne faut pas pleurer
39:25 - Après il y a plusieurs choses
39:27 comme Philippe Devilliers
39:29 qui est chroniqueur hebdomadaire
39:31 je crois, chez CNews
39:33 il a quand même un parcours
39:35 politique au-delà du fait d'être chroniqueur
39:37 donc lui on peut quand même considérer
39:39 qu'il est quand même d'une droite
39:41 assez conservatrice
39:43 - Vous voyez aussi dans les propos
39:45 des chroniqueurs
39:47 vous arrivez souvent à déterminer
39:49 quelle est la...
39:51 - Oui mais est-ce qu'ils sont tendance Desmour
39:53 ou est-ce qu'ils sont tendance Le Pen ?
39:55 - C'est droite, on fait une grosse case droite
39:57 - On le lance extrême droite
39:59 - Extrême droite, gauche
40:01 - C'est Gwen Royale
40:03 qui fait le show sur CNews
40:05 sur C8 avec Hanouna
40:07 est-ce qu'elle est tendance socialiste
40:09 ou est-ce qu'elle est tendance LFI Mélenchon ?
40:11 - Elle a été candidate socialiste
40:13 - Elle a espéré être tête de liste aux européennes
40:15 avec le soutien de Mélenchon
40:17 - Non mais attendez, pour l'instant vous avez 3/3
40:19 majorité, opposition, exécutive
40:21 donc elle est opposition, voilà c'est tout
40:23 faut pas non plus...
40:25 - Et Roselyne Bachelot qui commente
40:27 les remaniements sur BFM TV
40:29 qui critique le gouvernement alors qu'elle aurait voulu
40:31 rester en 2022 quand Macron a été réélu
40:33 elle est où Roselyne ?
40:35 - Je ne sais jamais où elle est Roselyne
40:37 - Demain on pourra se poser la question de
40:39 Web Ayrou qui crevait rentrer dans le gouvernement
40:41 et qui m'annonce qu'on a des accords total
40:43 - Thomas, ne dis pas du mal de Roselyne
40:45 parce que Roselyne a d'abord ses propres convictions
40:47 point barre
40:49 - Oui, oui
40:51 alors comment vous la classez ?
40:53 - Elle est un objet volant politique non identifié
40:59 - Il va falloir faire une case
41:01 mais on a l'impression qu'ils ont peur de dire les choses
41:03 et de dire les mots, enfin moi c'est ce que j'ai ressenti
41:05 en regardant Christophe Deloire ce matin
41:07 c'est à dire qu'il n'a pas été au bout de sa logique
41:09 en disant à CNews "oui vous êtes
41:11 vous avez une ligne éditoriale
41:13 qui aujourd'hui est une ligne
41:15 qui penche très très à droite
41:17 et qui peut se rapprocher d'une chaîne d'opinion"
41:19 bon il ne l'a pas dit
41:21 c'est bien ce qu'il leur reproche
41:23 - Mais CNews le revendique d'être une chaîne d'opinion
41:25 en fait il n'y a même pas de débat là-dessus
41:27 le débat c'était "est-ce que c'est une chaîne d'info
41:29 ou est-ce que c'est une chaîne d'opinion"
41:31 et ils le revendiquent, est-ce qu'on peut être une chaîne d'info ou une chaîne d'opinion
41:33 mais eux ils le revendiquent donc il n'y a même pas de débat sur ce sujet
41:35 mais je voulais rebondir sur ce que disait Geneviève
41:37 sur la difficulté, Valérie vous l'évoquiez aussi
41:39 la difficulté à un moment ou un autre
41:41 d'être totalement transparent
41:43 et d'être parfaitement respectueux d'équilibre
41:45 qu'il est très difficile et vante parfois
41:47 de mesurer quand on veut faire honnêtement son travail
41:49 ça c'est une réalité
41:51 on peut toujours progresser
41:53 on ne sera peut-être jamais parfait
41:55 mais après il y a aussi la volonté de certains
41:57 de ne pas respecter cet équilibre et cette transparence
41:59 quant à la direction de l'information
42:01 du service public, on vous dit qu'on veut faire du service public
42:03 une chaîne qui ressemble
42:05 à l'image de la France telle qu'on voudrait
42:07 qu'elle soit et non pas telle qu'elle est
42:09 on a pris une position là, on prend un parti
42:11 - Oui c'est ce qu'a dit la présidente de France Télévision
42:13 - Oui là on prend un parti, donc je pense que là l'ARCOM a son boulot à faire
42:15 et à redresser finalement
42:17 l'État, le service public
42:19 il doit s'adresser à tous les français, il doit être représentatif
42:21 et il ne doit pas être la volonté
42:23 de quelques personnes qui voudraient que la France
42:25 fonctionne, pense de telle ou de telle façon
42:27 que ça me convienne ou que ça ne me convienne pas d'ailleurs
42:29 - Jacques Mérat ? - Oui je voudrais dire
42:31 la décision du Conseil d'État va être assez
42:33 difficile à mettre en oeuvre
42:35 mais il y a un point important
42:37 à mes yeux, c'est que
42:39 l'ARCOM s'est pris un coup de tric derrière la tête
42:41 - Complètement - Et je m'en félicite
42:43 parce que dans une affaire
42:45 où avec notamment Hubert Védrine
42:47 nous avions pris des positions
42:49 et nous avions demandé à l'ARCOM d'obtenir
42:51 un droit de réponse
42:53 sur un certain nombre de chaînes
42:55 et l'ARCOM
42:57 ça a été Ponce Pilate
42:59 ça a été Ponce Pilate
43:01 une lâcheté totale
43:03 et donc je pense
43:05 que ça va remettre un peu
43:07 d'équilibre
43:09 parce que nous avons, nous les politiques
43:11 nous avons beaucoup de difficultés
43:13 à obtenir parfois
43:15 des droits de réponse sur un certain nombre de chaînes
43:17 quels qu'elles soient
43:19 lorsqu'on est mis en cause
43:21 - Mais est-ce que c'est l'ARCOM en droit ?
43:23 - Sauf que l'ARCOM n'est pas responsable
43:25 des droits de réponse, c'est la loi
43:27 - Non, non, non, elle doit vérifier
43:29 elle doit vérifier
43:31 que par exemple
43:33 effectivement il y a une suite
43:35 donnée à un droit de réponse
43:37 et si elle ne le fait pas, et bien
43:39 effectivement elle est en faute
43:41 et c'est ce qui s'est passé dans une affaire où nous avons qualifié
43:43 et que j'ai qualifié l'ARCOM de Ponce Pilate
43:45 - Bah écoutez, on leur donnera la parole
43:47 bien évidemment
43:49 s'ils veulent venir s'exprimer
43:51 dans un instant, la grève à la SNCF
43:53 une fois de plus pendant les vacances
43:55 à tout de suite
43:57 - Sud Radio, le 10h midi
43:59 mettez-vous d'accord, Valérie Exper
44:01 Sud Radio, le 10h midi
44:03 mettez-vous d'accord, Valérie Exper
44:05 - Et on parle de la grève
44:07 prévue à la SNCF
44:09 le week-end prochain
44:11 en plein week-end
44:13 de vacances scolaires
44:15 la SNCF espère pouvoir faire
44:17 circuler quelques TGV
44:19 1 sur 2 vendredi, samedi
44:21 et dimanche, mais les contrôleurs sont
44:23 en grève et évidemment
44:25 ça revient
44:27 pendant les vacances scolaires, on rappelle
44:29 qu'ils ont été augmentés de 17%
44:31 il n'y a pas très longtemps, qu'il y a des primes
44:33 enfin, c'est quand même
44:35 on comprend, oui il y a le droit de grève
44:37 oui on le respecte, mais
44:39 est-ce qu'à un moment on ne devrait pas interdire quand même les grèves
44:41 en période de vacances scolaires ? Ce sont des gens
44:43 simples
44:45 de tout
44:47 niveau social, qui ont payé
44:49 leur billet de train pour partir
44:51 leur location pour partir au ski
44:53 et qui se retrouvent
44:55 aujourd'hui en péché
44:57 - C'est affreux, c'est affreux
44:59 parce que moi je ne suis pas
45:01 un grand fan de ski pour être honnête
45:03 mais il y a des gens
45:05 qui adorent le ski
45:07 et qui économisent pendant une année
45:09 entière parce que c'est un budget
45:11 ce sont des familles pour lesquelles
45:13 c'est une passion, un loisir
45:15 c'est un moyen de se divertir
45:17 et se défouler sur les pistes
45:19 et je trouve que
45:21 on prive des Français
45:23 qui ont économisé
45:25 pendant des mois pour pouvoir payer le train
45:27 les remonter et la location
45:29 à leurs enfants et je trouve ça minable
45:31 il y a un moment où c'est toujours la prise d'otages
45:33 permanente et qu'est-ce qui va se passer
45:35 au mois de mai ? On va avoir les grèves
45:37 en perspective des JO pour essayer de
45:39 demander quelque chose encore supplémentaire
45:41 - Jacques Myard ?
45:43 - Oui, écoutez
45:45 je vais vous dire une chose, c'est que
45:47 les syndicats, et ceux d'en particulier
45:49 ils donnent des préavis de grève
45:51 à trois jours
45:53 et donc ils respectent la loi
45:55 parce que c'était parti
45:57 maintenant, avoir une loi
45:59 qui interdit aux agents
46:01 de services publics
46:03 de pouvoir faire grève, c'est ce qui se passe
46:05 d'ailleurs en Allemagne, je vous
46:07 signale, nous nous avons
46:09 une tradition qui est différente
46:11 est-ce que la loi sera respectée ?
46:13 Je n'en sais rien si c'était une
46:15 interdiction. Ce qui est certain
46:17 ce qui est certain, c'est que
46:19 la SNCF, depuis
46:21 toujours, les échos que j'ai
46:23 c'est une entreprise d'ingénieurs
46:25 des ingénieurs qui
46:27 font rouler les trains en toute sécurité
46:29 et que malheureusement
46:31 ce qui me remonte
46:33 je ne dis pas
46:35 la vérité, c'est que
46:37 la SNCF a
46:39 un défaut
46:41 de dialogue social interne
46:43 c'est difficile
46:45 on m'a cité par exemple
46:47 dans des lignes que je connais
46:49 à côté de Maison Lafitte
46:51 que pour pouvoir obtenir
46:53 un entretien avec
46:55 le directeur local
46:57 etc., il faut presque
46:59 déposer un préavis de grève
47:01 et donc je pense
47:03 qu'ils ont fait des progrès, parce que là je suis
47:05 je dirais, ce sont des informations
47:07 qui datent un peu, mais il n'en demeure pas moins
47:09 que je crois qu'il doit
47:11 prévenir par un meilleur
47:13 collaboration
47:15 sociale
47:17 ce genre de choses. Maintenant,
47:19 sur le fond, je suis comme vous,
47:21 scandalisé par cette prise d'otage
47:23 prise d'otage des Français
47:25 qui vont partir
47:27 en vacances et qui se retrouvent
47:29 gros gens comme devant, donc j'espère
47:31 que la raison va prévaloir
47:33 quant à Sud, je ne suis pas
47:35 certain qu'ils soient capables de comprendre.
47:37 - Oui, Gabriel Attal
47:39 ce matin a déclaré "la grève est un droit
47:41 mais travailler est un devoir"
47:43 Vous serez d'accord avec Fougérant ?
47:45 - Oui, belle formule !
47:47 - C'est un bon communicant !
47:49 - Il n'aurait pas dit ça quand il bossait pour Marisol Touraine.
47:51 - Il y a deux questions,
47:53 il y a la question
47:55 du droit de grève et il y a la question
47:57 de la continuité de service public,
47:59 tout à l'heure, comme sur l'hommage national, il y a aussi une question
48:01 de dignité, est-ce que c'est correct
48:03 de priver des Français
48:05 de leurs vacances et de justement les cibler
48:07 là où ça leur fait le plus mal ?
48:09 Et est-ce que c'est une bonne tactique
48:11 de négociation avec une direction que finalement
48:13 de pénaliser le client au lieu
48:15 de tenter de faire pression
48:17 directement sur
48:19 sa direction ? D'ailleurs les Français n'en veulent jamais
48:21 à la SNCF quand il y a une grève, ils en veulent toujours aux syndicats
48:23 et les syndicats ont
48:25 une image de plus en plus
48:27 mauvaise et leur score
48:29 ne s'améliore pas au fur et à mesure
48:31 qu'ils font des grèves.
48:33 Moi, faire grève, c'est un droit
48:35 et je n'aime pas l'idée
48:37 de notre société d'ailleurs qui aime
48:39 de plus en plus cette idée de l'interdiction,
48:41 de défendre un droit par une interdiction.
48:43 En revanche, on aurait le droit
48:45 et comme le disait Jacques d'ailleurs, de toute façon
48:47 au niveau de la créativité, on est toujours très fort
48:49 donc on trouverait de toute façon un moyen
48:51 de contourner cette interdiction.
48:53 Mais en revanche, est-ce qu'on ne peut pas
48:55 un moment ou un autre repenser
48:57 le droit de grève, repenser le syndicalisme ?
48:59 Je représente 10%
49:01 des salariés, je ne peux faire
49:03 grève que 10% du temps.
49:05 Et si je veux avoir plus de poids,
49:07 je dois me faire
49:09 davantage reconnaître et être plus
49:11 représentatif de la part des salariés.
49:13 Parce qu'aujourd'hui, finalement, on ne peut pas représenter
49:15 grand-chose mais bloquer totalement une entreprise
49:17 et l'intégralité des salariés d'une boîte aussi.
49:19 - C'est une guerre asymétrique !
49:21 - Eh oui, je pense qu'on a
49:23 le droit d'innover, on a le droit de changer et les syndicats
49:25 devraient eux-mêmes se réveiller un peu
49:27 pour être un peu plus innovants et être
49:29 peut-être plus utiles. Parce que ce qui est quand même
49:31 assez aberrant, c'est que nous devrions tous
49:33 adorer les syndicats, puisqu'ils sont supposés
49:35 nous défendre. Et pourquoi
49:37 autant de gens dans la population détestent les syndicats ?
49:39 C'est que quelque part, ils ne font pas bien leur boulot,
49:41 eux aussi. Donc qu'ils fassent leur boulot,
49:43 qu'ils se réinventent et qu'ils nous donnent envie
49:45 de les aimer parce qu'ils nous défendent correctement
49:47 et non pas qu'ils créent des empêchements, à commencer
49:49 par le fait d'empêcher les gens de partir en vacances.
49:51 - Mais c'est systématique, c'est surtout ça.
49:53 - Oui, c'est Noël, c'est les vacances, c'est à chaque fois...
49:55 - Parce que c'est facile.
49:57 - Mais je vais répondre à un auditeur qui rigole
49:59 en disant "oui, c'est ça, c'est les gens qui se saignent
50:01 au 4/20 pour aller au ski". Ouais, ouais, j'en connais.
50:03 Moi je connais un
50:05 ami qui,
50:07 la femme ne travaille pas, qui ne gagne pas énormément
50:09 sa vie, qui vit dans un HLM. Il se
50:11 fait un devoir d'emmener ses enfants au ski
50:13 chaque année. Il s'organise,
50:15 il y va en voiture.
50:17 Donc il n'est pas concerné, vous allez me dire.
50:19 Mais ceux qui y vont en train,
50:21 ben oui, alors ils ont...
50:23 C'est pas que les... Regardez les stations
50:25 de ski, vous avez des studios où on loge
50:27 à 4, enfin c'est pas que Courchevel
50:29 et les gens qui vont
50:31 en jet au ski. - C'est très cher
50:33 pendant les vacances scolaires. Le train est très cher
50:35 aussi pendant les vacances scolaires. - Absolument.
50:37 - Tout ça est très cher. Non mais, je suis d'accord avec Frédéric,
50:39 c'est vraiment le débat entre le droit de grève
50:41 et le droit de grève, il ne faut pas y toucher.
50:43 Enfin moi je suis d'accord avec vous
50:45 et la continuité du service public. - Mais il y a une fatigue quand même.
50:47 - Imaginez, oui, il y a une fatigue.
50:49 - La fatigue de ces grèves pendant les vacances...
50:51 - Il y a effectivement un problème de dialogue social
50:53 à SNCF, moi aussi on m'a...
50:55 Moi aussi on me l'a dit, ils savent pas faire.
50:57 Bon mais même s'ils savaient faire,
50:59 enfin... - Tiens, Pascal Pro
51:01 - Pascal Pro, par les CNews,
51:03 pointé du droit un contrôle 1
51:05 - Du doigt. - Du doigt. - Pas du droit.
51:07 - Du doigt.
51:09 L'exemple de ce salarié
51:11 de la SNCF qui a 23 ans,
51:13 bac +2, qui gagne
51:15 39 000 euros net par an.
51:17 - Bon.
51:19 - C'est ce que dit aussi
51:21 le président de la SNCF,
51:23 ils disent "c'est une grève
51:25 incompréhensible".
51:27 Il y a eu un accord négocié
51:29 en 2022,
51:31 les engagements de l'entreprise
51:33 ont été pris, ils sont tenus,
51:35 on a promis des postes supplémentaires,
51:37 ils ont été tenus, il y a eu des promesses
51:39 en février avec une prime supplémentaire
51:41 de 400 euros, enfin...
51:43 On peut pas...
51:45 Voilà, il y a des salaires
51:47 qui... Ils ne comprennent pas
51:49 pourquoi il y a cette grève.
51:51 - Tout ça est hallucinant,
51:53 et je pense que les âges de départ
51:55 à la retraite, bien évidemment que c'est un métier stressant,
51:57 fatigant, mais les âges de départ à la retraite,
51:59 la gratuité des transports pour tous
52:01 les membres d'une famille, d'une fratrie, etc.
52:03 S'il vous plaît.
52:05 Et je pense que
52:07 on donne encore trop de crédit à tout cela.
52:09 À propos de crédit, Valérie, je n'ai jamais fait ça,
52:11 mais si vous permettez, je voudrais faire
52:13 une note critique, c'est que tout à l'heure nous avons parlé
52:15 de Badinter, et nous n'avons parlé que de la polémique LFI,
52:17 sans parler de
52:19 Badinter lui-même. Je voudrais juste dire
52:21 quelques mots au moment où le président
52:23 va s'exprimer. C'est qu'on a quand même
52:25 là un monstre sacré pour moi
52:27 de la vie politique française.
52:29 - C'est un grand bonhomme.
52:31 - Qui a été de
52:33 beaucoup de combats, qui a une histoire
52:35 personnelle et familiale absolument
52:37 dramatique, et qui
52:39 à 95 ans laisse une trace
52:41 indélébile dans l'histoire de la
52:43 Vème République et dans la démocratie française.
52:45 Et loin de la polémique LFI,
52:47 je voudrais quand même qu'on salue
52:49 cet homme de combat, d'engagement,
52:51 parce que les combats qu'il a menés dans les années 60,
52:53 70, 80,
52:55 n'étaient pas des combats évidents,
52:57 des combats pour lesquels sa famille et lui ont été
52:59 extrêmement menacés, parfois même
53:01 physiquement.
53:03 Et c'est un homme qui a
53:05 quand même profondément marqué l'histoire,
53:07 et dont beaucoup aujourd'hui
53:09 et plusieurs centaines de Français
53:11 depuis quelques jours se rendent
53:13 sur la place Vendôme, et
53:15 de nombreux Français seront là aujourd'hui dans cet hommage.
53:17 Et donc je tenais quand même à ce qu'on
53:19 rappelle cette personnalité
53:21 incroyable
53:23 qui nous a quittés.
53:25 - Oui, mais on lui a rendu hommage
53:27 un certain nombre de fois ici.
53:29 - Thomas fait un vibrant éloge que l'on ne peut se partager.
53:31 - Vous l'avez connu, Jacques Myard ? Vous l'avez côtoyé ?
53:33 - Oui, je l'ai connu, et je l'ai même eu parfois
53:35 notamment sur le procureur
53:37 européen, quelques
53:39 divergences, parce qu'il était en faveur d'un procureur
53:41 européen, ce à quoi je lui dis
53:43 "vous êtes bien gentil, mais il n'y a pas d'unité
53:45 politique sur, je dirais,
53:47 du côté des Etats européens, donc
53:49 je ne sais pas comment ça va fonctionner".
53:51 On a eu des échanges, et c'est un homme
53:53 qui a apporté, qui a
53:55 été déterminé.
53:57 Le combat politique, c'est la cohérence.
53:59 Et là, même si je n'ai pas toujours été d'accord
54:01 avec lui, sa cohérence
54:03 est fondamentale. Maintenant,
54:05 pour revenir à Sud Radio,
54:07 Valérie, il y a une chose qu'il ne faut pas oublier,
54:09 c'est que c'est un syndicat
54:11 - Sud Ra, et pas Sud Radio, attention, oh là là !
54:13 - C'est un syndicat politique. - Bien sûr !
54:15 - Voilà. - Mais tous les syndicats sont politiques,
54:17 Jacques. - Le jour où
54:19 vous interdirez aux Français de faire de la politique,
54:21 aux syndicats de faire de la politique,
54:23 alors ce jour-là, je peux vous dire, je vous paye le champagne.
54:25 - Ah bah, j'espère que vous le payerez avant.
54:27 Merci à tous les quatre,
54:29 dans un instant, André Bercoff. Très bonne journée.
54:31 - Sud Radio, votre attention
54:33 est notre plus belle récompense.
54:35 - Ça fait longtemps que vous écoutez Sud Radio, Sylvain ?
54:37 - Moi, j'écoute Sud Radio depuis des années
54:39 et je l'écoute en permanence toute la journée.
54:41 Ça accompagne mes journées de travail.
54:43 - Sud Radio, parlons vrai.

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