Regardez la colère froide du patron du JDD, après une sanction de l'ARCOM pour avoir déclaré : "La hausse de l'antisémitisme en France est une des conséquences de l'immigration arabo-musulmane"
- il y a 12 jours
C'est une colère froide que celle de Geoffroy Lejeune, après une sanction de l'Arcom. L'organisme de régulation a en effet infligé à la chaîne CNews une amende de 50.000 euros pour des propos du journaliste Geoffroy Lejeune, selon lesquels l'antisémitisme et la surpopulation carcérale étaient des conséquences de "l'immigration arabo-musulmane".
"Ces propos véhiculent plusieurs stéréotypes négatifs" et "imputent des faits et comportements graves à un groupe de population dans son ensemble", juge l'Arcom, le régulateur de l'audiovisuel, dans sa décision publiée au Journal officiel. Cela peut donc "encourager à des comportements discriminatoires" à l'égard de ce groupe de population, "en raison de son origine et de sa religion", argumente l'instance.
En commentant un sondage sur l'antisémitisme dans les universités françaises, il avait déclaré:
"C'est une des conséquences, ce sondage, une des conséquences de l'immigration arabo-musulmane. C'est une des conséquences, comme une partie du trafic de drogue, comme la surpopulation carcérale, comme l'abaya, comme tout ça". "En fait, l'antisémitisme dont sont victimes les juifs aujourd'hui, c'est juste qu'on n'a pas eu une politique d'immigration qui avait juste le début du commencement d'une cohérence".
Dans sa décision, l'Arcom déplore que ces propos n'aient "fait l'objet d'aucune réaction de la part des autres personnes présentes en plateau". Mais de son côté, dans une vidéo postée sur les réseaux, le patron du JDD, maintient ses propos en précisant "qu'ils sont partagés par toutes les personnes de bonne foi, mais également étayés par des chiffres et de nombreuses enquêtes".
Le journaliste, comme beaucoup de ses confrères, se dit choqué par cette sanction concernant une position qui est partagée par de nombreuses personnes qui ont travaillé sur le sujet.
"Ces propos véhiculent plusieurs stéréotypes négatifs" et "imputent des faits et comportements graves à un groupe de population dans son ensemble", juge l'Arcom, le régulateur de l'audiovisuel, dans sa décision publiée au Journal officiel. Cela peut donc "encourager à des comportements discriminatoires" à l'égard de ce groupe de population, "en raison de son origine et de sa religion", argumente l'instance.
En commentant un sondage sur l'antisémitisme dans les universités françaises, il avait déclaré:
"C'est une des conséquences, ce sondage, une des conséquences de l'immigration arabo-musulmane. C'est une des conséquences, comme une partie du trafic de drogue, comme la surpopulation carcérale, comme l'abaya, comme tout ça". "En fait, l'antisémitisme dont sont victimes les juifs aujourd'hui, c'est juste qu'on n'a pas eu une politique d'immigration qui avait juste le début du commencement d'une cohérence".
Dans sa décision, l'Arcom déplore que ces propos n'aient "fait l'objet d'aucune réaction de la part des autres personnes présentes en plateau". Mais de son côté, dans une vidéo postée sur les réseaux, le patron du JDD, maintient ses propos en précisant "qu'ils sont partagés par toutes les personnes de bonne foi, mais également étayés par des chiffres et de nombreuses enquêtes".
Le journaliste, comme beaucoup de ses confrères, se dit choqué par cette sanction concernant une position qui est partagée par de nombreuses personnes qui ont travaillé sur le sujet.