• il y a 10 mois
Retrouvez Cyril Hanouna désormais le samedi et le dimanche dès 18h50 pour Face à Hanouna !


Au programme : des débats sur l'actualité politique, mais aussi le retour de séquences cultes.

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Transcription
00:00 Maintenant, on va faire le quart d'heure sans filtre, 7 février prochain, un hommage aura lieu pour les familles des victimes françaises des attaques du 7 octobre en Israël.
00:06 Et certaines familles ont écrit à Emmanuel Macron pour lui demander l'interdiction de la présence de la France insoumise à la Cour des Invalides.
00:12 La raison, ils ne veulent pas que la LFI salisse l'image des victimes.
00:16 Regardez, alors dites nous, on ne va même pas regarder la vidéo puisqu'on va réagir tout de suite.
00:23 Et la LFI apparemment, elle dit, Martine Panot, elle va annoncer sa venue.
00:28 Ils veulent venir, ils veulent venir avec Mathilde Panot, qui est chef des députés LFI à l'Assemblée nationale.
00:33 Elle veut venir avec une délégation.
00:35 Il faut dire qu'Emmanuel Macron ne peut pas interdire la présence de députés à un hommage national.
00:39 Ce n'est pas possible.
00:40 Donc, on peut simplement compter sur la décence des députés LFI s'ils en trouvent un petit peu.
00:44 Comptez sur la décence des députés LFI.
00:46 Oui, s'ils en trouvent encore un petit peu.
00:47 Parce que, est-ce qu'on peut faire la liste qui rend impossible la venue des députés LFI à cet hommage, Cyril ?
00:52 Évidemment, le refus lors de cette conférence de presse d'ailleurs de qualifier le Hamas de groupe terroriste.
00:57 On peut aussi citer Daniel Obono pour qui le Hamas est un mouvement de résistance.
01:01 On peut citer David Guiraud qui relativisait les horreurs du 7 octobre dernier.
01:05 On peut citer Ercilia Soudé, députée LFI qui invitait des membres du FPLP, organisation classée terroriste par l'Union européenne, à l'Assemblée nationale tout comme le Hamas.
01:14 Ercilia Soudé qui s'est opposée en plus à l'expulsion de cette femme qu'elle a invitée à l'Assemblée nationale, voulue par Gérald Darmanin.
01:20 Donc, la liste est très longue.
01:21 Je peux citer aussi les tweets de Jean-Luc Mélenchon contre Rutel Krief, contre Patrick Drahi, contre Yael Brown-Pivet.
01:28 Il choisit bien ses cibles.
01:29 Et Jean-Luc Mélenchon, qu'est-ce qu'il a fait il y a moins d'une semaine, le week-end dernier ?
01:32 Il a dit que ce qui s'est passé le 7 octobre n'était pas un pogrom parce que selon lui, les terroristes du Hamas ne sont pas venus tuer des juifs mais des Israéliens.
01:40 Voilà, donc je pense qu'on a fait le portrait global de tous les dérapages multiples de la France insoumise, ce qui rend totalement impossible leur venue,
01:47 ne serait-ce que parce que les familles le demandent et sinon évidemment ils viendront gâcher cet hommage et déclencher une polémique
01:52 et tourner les projecteurs sur la polémique plutôt que sur l'hommage indispensable.
01:55 Maintenant, si Gilles Verdes veut les défendre, libre à lui.
01:57 Alors, regardez la vidéo de la lettre écrite pour qu'ils interdisent la présence de la LFI lors de cet hommage du 7 octobre.
02:06 Dites-nous ce que vous en pensez.
02:07 Est-ce que vous êtes d'accord avec les familles des victimes qui demandent l'interdiction de la présence LFI lors de cette manifestation ?
02:12 Oui, non, les chéris, allez-y.
02:13 Nous souhaitons que cet hommage ait lieu dans le plus grand respect et dans une réelle solennité.
02:18 C'est un courrier que cinq familles de victimes adressent au président de la République pour qu'il interdise la présence d'élus de la France insoumise
02:25 lors de l'hommage dans la cour des Invalides dans une semaine.
02:28 La chef du groupe LFI à l'Assemblée, Mathilde Panot, a annoncé qu'elle s'y rendrait, mais sa présence constituerait une injure à la mémoire des victimes,
02:35 selon les signataires.
02:36 "Cela reviendrait à salir nos morts", explique l'un d'entre eux, qui redoute "une instrumentalisation politique de l'hommage des proches de victimes
02:44 qui estiment que la France insoumise porte une lourde responsabilité dans l'explosion de la judéophobie dans notre pays
02:50 et est définitivement marquée du saut de l'infamie".
02:53 Gilles Verdez n'est plus seul.
02:55 Rof.
02:57 Rof.
02:58 Rof ?
02:59 Excuse-moi, en plus.
03:01 Heureusement que vous êtes là.
03:03 C'est bien qu'il y ait deux noms.
03:06 Gilles, en plus, vous n'êtes plus seul.
03:08 Juste, je voudrais voir votre nom.
03:10 Pourquoi ?
03:11 LFI a commis d'immenses erreurs sur cette affaire, je l'ai dit dès le début.
03:15 Vos amis.
03:16 Non, ce n'est pas mes amis.
03:17 Mais interdire une partie de la représentation nationale à un hommage national, c'est indécent, M. Lebret.
03:23 C'est juste la demande des familles de victimes.
03:26 Vous me parlez d'indécent, c'est juste la demande des familles de victimes.
03:29 Vous allez dire aux familles de victimes qu'elles sont indécentes ?
03:31 Mais surtout, interdire les antisémites, en fait, c'est juste normal.
03:34 Bahia, répondez-lui, s'il vous plaît, avant qu'il continue.
03:37 Non, mais ils n'ont tenu que des propos antisémites.
03:40 Ils ne condamnent pas les actes du Hamas.
03:41 Donc, pour moi, c'est totalement normal qu'ils ne se rendent pas à cet événement
03:45 qui, forcément, leur présence va poser problème pour les familles des victimes.
03:50 C'est une cérémonie où il faut que ce soit solennel.
03:52 C'est complètement indécent et ils veulent récupérer, ils veulent se racheter une image à travers ça.
03:55 Et moi, je trouve ça complètement scandaleux et indécent.
03:57 Alors, Gilles Lebret.
03:58 Vous ne pouvez pas exclure une partie de la représentation nationale du Manifestement.
04:01 Ils l'ont dit, ils l'ont dit, c'est ça.
04:03 Et je vais répondre à l'hypocrisie de M. O'Doul.
04:06 Non, non, il n'y a qu'un seul hypocrite ici, c'est vous.
04:08 Non.
04:09 Il n'y a qu'un seul hypocrite ici, c'est vous.
04:10 Parce que tant que vous ne direz pas que ce sont vos amis, vous êtes hypocrite depuis des semaines et des semaines.
04:13 Mais ce ne sont pas mes amis.
04:14 Ce sont vos amis.
04:15 Nous, vous ne les défendiez pas.
04:16 Ce sont vos amis.
04:17 Je les ai condamnés sur ce plateau depuis le début, c'est ce qu'ils ont dit.
04:18 Vous les défendez depuis des mois et des mois sur tout et n'importe quoi.
04:20 En refusant de parler d'actes de terrorisme.
04:23 Alors pourquoi il y a une hypocrisie ?
04:24 Qu'est-ce que vous racontez comme bêtise encore ?
04:25 M. O'Doul et le Rassemblement National, ils étaient à la manifestation contre l'antisémitisme.
04:31 Personne n'a crié au scandale.
04:32 Et pourquoi ?
04:33 Et pourquoi ?
04:34 Pourquoi ?
04:35 Pourquoi El-Effi n'aurait pas le droit d'aller à la manifestation ?
04:37 Ça n'a rien à voir.
04:38 Ils n'ont pas du tout eu le même discours pendant la même séance.
04:41 J'aimerais que Gautier Lebret vous répondez.
04:42 Arrêtez un peu de parler sur les autres, c'est insupportable.
04:44 Déjà, le Rassemblement National n'a pas eu du tout le même discours pendant cette période.
04:48 J'ai envie de citer Serge Klarsfeld.
04:50 Serge Klarsfeld, il a chassé les nazis et il a dit que le RN, autorité morale absolue,
04:54 il a dit que le RN devait être présent à cette marche contre l'antisémitisme.
04:57 Et vous savez ce qu'a dit Jean-Luc Mélenchon, votre ami, sur cette marche contre l'antisémitisme ?
05:02 Il a dit que c'était une marche de soutien au massacre à Gaza et une marche d'extrême droite.
05:06 Et vous voudriez, après avoir dit ça, autre exemple encore, qu'il aille aux Invalides pour faire semblant.
05:11 Déjà, il ne lui ira pas, vous avez raison.
05:13 Plutôt que ça, députés, ces députés aillent aux Invalides pour faire semblant de rendre marge aux victimes qu'ils ont insultées.
05:19 Et vous parlez d'indécence, mais c'est la demande des familles de victimes.
05:22 C'est les familles de victimes qui vous demandent l'absence des députés LFI.
05:25 Je vais vous dire, l'indécence de LFI sur Twitter et dans leurs déclarations, je vais vous dire,
05:31 s'ils y vont, ils n'ont vraiment pas de face.
05:33 C'est vraiment, c'est vraiment encore une fois des gugus.
05:36 Ils vont le prouver encore une fois.
05:38 Après tout ce qu'ils ont dit, après tout ce qu'ils ont fait, ils vont venir la gueule enfarinée à la marche.
05:43 Pour le 7 octobre ? Non mais franchement, Gilles Verdez, arrêtez un peu de décense.
05:48 Vous avez, franchement, arrêtez un peu de défendre vos amis, coûte que coûte, c'est inadmissible.
05:52 Au-delà, il faut peut-être le répondre.
05:55 Je vais répondre à Gilles Verdez, parce qu'il fait une obsession, une fixette sur le RN.
05:59 Mais le RN a toujours été clair dès le 7 octobre, et même bien avant, dans la défense et la protection de nos compatriotes juifs.
06:07 La France Insoumise les a totalement lâchés, les a livrés aux antisémites.
06:11 Et dans une collusion, une collaboration avec les frères musulmans, avec les islamistes, aujourd'hui.
06:17 Il faut l'assumer.
06:18 Et aujourd'hui, vous avez des familles qui ne veulent pas participer à un hommage,
06:22 cet hommage qui a été bien tardif, il faut bien le dire.
06:24 On a quand même 41 victimes françaises.
06:27 On a attendu 4 mois pour avoir un hommage national.
06:30 Et ils n'ont pas envie de commémorer, d'honorer leur mort aux côtés d'antisémites notoires.
06:35 Et moi, je les comprends. Je les comprends parce que la France Insoumise, qui est devenue la France islamiste,
06:40 s'est totalement déshonorée, discréditée, et est sortie de cet arc républicain que vous adorez, Gilles Verdez.
06:47 Ils sont sortis des valeurs de la République, justement, avec ces messages de haine, avec ces collusions,
06:52 avec ces collaborations, et avec le refus de dénoncer les crimes du Hamas.
06:57 Jamais on n'a un député de la France Insoumise qui a dénoncé les islamistes du Hamas.
07:01 C'est indécent, Gilles Verdez, et c'est indéfendable.
07:04 Au-delà de la dignité, parce qu'ils n'en auront pas, la France Insoumise, ça fait longtemps qu'ils nous l'ont démontré,
07:08 moi je me demande s'ils iront jusqu'à la cruauté. Parce que là, on va se placer sur le sentiment.
07:13 Alors, monsieur Verdez, si vous perdez quelqu'un de votre famille, et que s'imposent à ses obsèques,
07:19 des gens qu'ils l'ont insulté, maltraité, et là, ça va bien au-delà, parce que l'antisémitisme, c'est encore pire que ça,
07:25 vous trouvez ça normal ? Vous allez l'accueillir les bras ouverts, même parce qu'il est député ou je ne sais quoi.
07:30 Enfin, vous réalisez la cruauté pour ces personnes qui vont être à l'hommage, qui ont perdu des proches,
07:35 de voir des gens qui se sont comportés comme ça. Imaginez ce que vous leur faites vivre une deuxième fois, en fait.
07:41 Franchement, vous ne pouvez pas défendre ça. Je ne peux pas le comprendre.
07:45 – Après, je voudrais avoir le deuxième nom, je voudrais avoir Ross dans un instant, mais juste Gilles Verdez,
07:49 parce que Gilles Verdez, vous voyez bien que tout le monde… – Il n'y a pas beaucoup d'arguments.
07:53 – Mais non, mais c'est ça, il y a très peu d'arguments dans Gilles Verdez.
07:55 – Je n'ai pas parlé encore. – À part que ce sont ses amis qui les défendent.
07:58 – Ce ne sont pas mes amis, Cyril. – Si, ce sont vos amis.
08:00 – Hommage national. – J'aimerais vraiment qu'il avoue.
08:04 – Mais ce ne sont pas mes amis. – C'est une hypocrisie.
08:09 – Mais ce ne sont pas mes amis, Cyril. – Vous êtes proche d'eux politiquement.
08:12 – Ça n'a rien à voir. – Il faut l'assumer.
08:15 – Vous êtes proche de politique. – Vous avez voté Jean-Luc Mélenchon.
08:18 – Alors, attendez, c'est quoi la question, là ?
08:21 – J'adore parce que Julien Aoudou l'a peut-être réussi à mettre 10 mots, parce que moi, je suis un petit peu trop…
08:26 – Parle-lui. – Vous êtes proche de la France insoumise politiquement.
08:29 – Absolument. – Biologiquement.
08:31 – Ce sont vos amis. – Non, ce ne sont pas mes amis.
08:33 [Rires]
08:35 – Arrêtez, je ne les connais pas. – Ce sont vos amis.
08:38 – Je ne les connais pas, je ne les fréquente pas.
08:40 – Arrêtez un peu, ce sont vos amis. – Pas du tout.
08:42 Non mais derrière "hommage national", il y a l'ensemble de leur représentation nationale.
08:46 On n'est pas sous la dictature de l'émotion, on est sur un terrain politique.
08:49 – Non, bien sûr. – Elle est fuite.
08:51 Non mais vous ne pouvez pas interdire un parti politique.
08:53 La demande des élus de politique, c'est la dictature de l'émotion.
08:56 Une demande des familles de victimes, c'est la dictature de l'émotion.
08:58 Mais vous vous rendez compte de ce que vous dites ?
08:59 – Non, je parlais de Laurence Sayet. – Moi, je parle de la demande des familles.
09:02 – Je vais le faire à la Nicolas, vous vous rendez compte de ce qu'il dit ?
09:06 Répondez à Laurence.
09:07 – En fait, vous êtes aussi indignes qu'eux, c'est votre famille, ce n'est même pas vos amis.
09:10 [Applaudissements]
09:16 – Laurence Sayet, il y a eu un avant et un après l'Europe.
09:20 Elle était déjà très bonne, là c'est… Franchement, Laurence Sayet, moi je suis vraiment…
09:23 – Et si le président de la République les convie ?
09:25 – Non, non, mais personne ne les conviera.
09:27 – Si le président de la République ne les a pas interdits ?
09:28 – Personne ne les convie jamais, parce qu'il ne peut pas le président de la République.
09:30 – Ah ben voilà, on ne peut pas.
09:31 – Ils ne sont jamais invités nulle part.
09:33 – Mais de eux-mêmes.
09:34 – C'est pour ça qu'il faut espérer qu'ils aient encore un peu de décence, juste un petit peu.
09:36 – Non, mais non, c'est fini ça. Ross.
09:38 – Alors, moi j'ai mis un nom parce que je pense qu'on est en France,
09:43 on est ce qu'on appelle le pays des droits de l'homme.
09:46 On passe notre temps à donner des leçons au monde entier sur ces questions-là.
09:50 Qu'il y ait des gens qui aient eu des comportements qui soient inadaptés, répréhensibles,
09:57 ça moi je l'entends.
09:59 Par contre, on ne peut pas demander à tout un pays de penser de façon aussi brutale,
10:07 c'est-à-dire neutre, et que chacun soit exactement dans la même lignée à chaque fois.
10:13 – Pardon, je vais vous lancer vite.
10:16 – Attendez, j'aimerais juste que Valérie vous réponde sur ça.
10:18 – Pardonne-moi, mais il est inaudible de dire, non mais un attentat,
10:22 on peut ne pas penser que c'est un attentat.
10:24 Un attentat, c'est un attentat.
10:25 – Je n'ai pas dit ça.
10:26 – Oui, mais on entend ça.
10:27 – Non, non, non, non, moi j'ai bien dit,
10:30 les personnes qui n'ont pas eu le comportement qu'il fallait, j'entends que les familles.
10:35 Que les familles ne veulent pas de ces personnes-là, c'est normal, c'est légitime.
10:39 C'est légitime, c'est ce qu'il disait tout à l'heure.
10:41 Moi, quelqu'un qui tue un membre de ma famille,
10:43 et entendre des gens qui ont ri ou qui ont dit des choses que je n'ai pas envie d'entendre,
10:51 je ne veux pas les voir, c'est normal.
10:53 Mais par contre, on est en France, encore une fois, je parle de la République,
10:56 la République elle est celle…
10:57 On a eu le débat, ne serait-ce que pour le Front National par exemple,
11:00 le Front National, il y a eu plein de fois où…
11:03 Ce qui est drôle, c'est que vous avez cette position aujourd'hui,
11:05 alors que vous-même, vous avez été confronté à ça, vous disiez…
11:08 – Ça n'a rien à voir.
11:09 – Il y avait des gens qui disaient qu'ils ne voulaient pas vous voir dans certaines manifestations.
11:12 – Là, c'est les familles qui ne veulent pas être aux côtés des députés de la France Insoumise.
11:16 – Et vous avez voulu y aller parce que vous avez dit que vous étiez de la représentation nationale.
11:18 – Pour respecter le souhait des barrières, il ne sera pas censé être là.
11:20 – Vous avez eu des propos d'une violence rare à l'égard de ces personnes
11:24 qui ne voulaient pas vous voir dans ces manifestations.
11:26 Donc, à un moment donné, il faut être logique, il faut être cohérent,
11:29 et je pense que ce n'est pas parce que parfois, effectivement,
11:33 certains peuvent être maladroits dans leur manière d'emmener les choses.
11:36 – Ce n'est pas de la maladresse.
11:37 – Non, mais attendez, je ne parle pas…
11:40 – C'est pensé, c'est politique.
11:41 – Attendez, attendez, je vais lâcher Juliette Briens.
11:44 Je vais lâcher Juliette, dans une minute, je vous le dis.
11:47 Oui, allez-y.
11:48 – Non, mais je pense qu'à un moment donné, il faut être cohérent.
11:51 On est en France, il y a une représentation nationale qui est là.
11:55 De toute façon, légalement, il ne peut pas les interdire, ni eux, ni les familles.
12:00 Après, comme je vous dis, effectivement, s'il y a des gens qui pensent ce que vous dites,
12:03 eux-mêmes ne devraient pas y aller.
12:06 Ça, c'est une chose.
12:07 Mais la France Insoumise, au sein de la France Insoumise,
12:09 vous avez des gens aussi qui pensent différemment.
12:11 – Non, on n'en a pas besoin.
12:12 – Si c'est exprimé alors, parce que nous n'en avons pas.
12:14 – En tant que caricaturiste, ce n'est pas un bloc homogène.
12:16 Chez vous, vous avez plein de fachos, et alors ?
12:18 – Mais qu'est-ce que vous dites ?
12:19 – Au Front National, il y a plein de fachos.
12:21 – On va se retrouver dans un instant, je vais lâcher Juliette.
12:24 Et on aura un gros dossier de crise et scandale en milieu hospitalier.
12:27 Vous allez voir le témoignage bouleversant d'Amiens,
12:30 témoin de la mort du jeune Lucas, qui est resté…
12:33 Vous l'avez vu, c'est une histoire d'urgence.
12:35 C'est une histoire incroyable et vraiment…
12:36 [Musique]

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