Retrouvez Cyril Hanouna désormais le samedi et le dimanche dès 18h50 pour Face à Hanouna !
Au programme : des débats sur l'actualité politique, mais aussi le retour de séquences cultes.
Au programme : des débats sur l'actualité politique, mais aussi le retour de séquences cultes.
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00:00 D'abord, avant de démarrer, je voudrais que vous vous présentiez un par un et je vous poserai une question les yeux dans les yeux.
00:04 - Ah oui. - D'accord ?
00:05 Qui êtes-vous ? Bonsoir.
00:06 - Bonsoir Cyril. Gauthier Lebray, journaliste politique à CNews et donc de temps en temps chez vous.
00:12 - Très bien. J'ai une question à vous poser les yeux dans les yeux.
00:14 - Oui.
00:15 - Est-ce que tu peux me jurer que tu n'achètes pas tes chemises chez Zara Kids ?
00:21 [Rires]
00:23 - Je vous le jure parce qu'elles me coûtent un peu plus cher que chez Zara Kids et maintenant grâce à cette émission, vous allez pouvoir y participer.
00:30 - Merci Gauthier. Applaudissements pour Gauthier Lebray. C'est excellent.
00:33 [Applaudissements]
00:38 Valérie Benhaim, même pas besoin de vous présenter. On sait bien sûr, reine des médias et du brushing.
00:43 [Rires]
00:44 Non, bien sûr, Valérie Benhaim. Les yeux dans les yeux.
00:47 - Oui.
00:48 - Pourquoi tu me suis partout ? Je te dois de l'argent ?
00:50 [Rires]
00:51 Non mais franchement, non mais sérieux.
00:52 - Alors, non mais tu as la gentillesse de m'en donner.
00:54 - Très bien.
00:55 - Ce qui explique. Et puis parce que je t'aime.
00:57 - Merci Valérie Benhaim.
00:58 [Applaudissements]
01:03 Je voudrais qu'on applaudisse Rost. Je suis très content de l'avoir en haut de la table.
01:06 [Applaudissements]
01:11 Rost, que j'ai suivi dans diverses émissions et je te trouve très bon à l'antenne.
01:15 Voilà, tu vois. Franchement, c'est pour ça d'ailleurs que je t'ai appelé.
01:18 Tous les gens que j'ai appelés autour de moi le samedi, c'est que des gens que je trouve très très bons, bien entendu.
01:23 Et d'autres pour qui je rends quelques services, voilà.
01:26 [Rires]
01:28 Raymond entre autres, voilà.
01:30 Vous savez que maintenant, ces samedis soirs, il lui coûte plus cher qu'avant.
01:33 [Rires]
01:34 Rost, est-ce que tu peux te présenter ?
01:36 - Alors, moi je suis Rost, je suis artiste à la base et président d'un collectif qui s'appelle Banlieues Actives.
01:42 - D'accord. - Et réalisateur et engagé auprès des jeunes dans les quartiers populaires.
01:46 - C'est ça. Et tu donnes ton avis et franchement, tu es très bon à chaque fois dans tes prises de position.
01:51 Une question, les yeux dans les yeux. Est-ce que tu es heureux d'être entre Carla et Valérie Benay,
01:57 ou est-ce que tu aurais préféré que je mette Daniel Moreau à côté ?
01:59 [Rires]
02:02 Merci. Ne me réponds pas, j'ai déjà ta réponse. Merci.
02:04 [Rires]
02:06 Elle a un nom de danse de l'été et pourtant, c'est une influenceuse, c'est Carla Baya.
02:10 [Applaudissements]
02:15 Est-ce qu'on peut vous présenter Carla ?
02:17 - Oui, alors c'est Baya Carla. - Excuse-moi, c'est en verlan que je l'ai dit, moi, Carla Baya.
02:21 - C'est ça. - D'accord, donc je ne note Baya Carla.
02:23 - Attends, Baya, c'est quoi ? - C'est quoi ? C'est-à-dire ?
02:25 - C'est ton prénom ? - Baya Carla, c'est mon prénom.
02:27 - Attends, tu t'appelles vraiment Baya Carla ? - Oui.
02:29 - Mais tu es née sur une plage de Copacabana ? [Rires]
02:32 - Non mais franchement, j'adore. Et c'est fou. Tu t'appelles Baya Carla, j'adore.
02:36 - Quoi ? - Non, c'est vraiment ton vrai prénom.
02:38 - On peut appeler ma mère, mais oui, c'est mon vrai prénom, je suis sûre de ça.
02:41 - Genre sur ta carte identité, il y a marqué Baya Carla. - Oui.
02:43 - C'est joli, hein ? - Ah, elles sont rigolées. Franchement, fort.
02:46 - C'est joli. - Toi, tu bois que du jus de papa, avec un prénom comme ça.
02:48 [Rires]
02:49 - C'est une école, tu dois être un peu élue. C'est vrai, c'est un truc de fou.
02:52 - Merci d'être là, Baya Carla. Est-ce que tu peux te présenter ?
02:54 - Alors, donc, Baya Carla, j'ai 24 ans, je suis journaliste-reporter sur un programme
02:58 qui s'appelle "Ceux qui font la France", sur une plateforme VOD.
03:01 Et je suis très heureuse d'être là. Merci beaucoup, Cyril. - Merci.
03:03 - Merci infiniment. - J'ai une question à te poser, les yeux dans les yeux.
03:05 Les yeux dans les yeux, est-ce que tu peux nous jurer que tu n'as jamais reçu un DM de Raymond Abou ?
03:11 [Rires]
03:14 - Je ne jure jamais. - Très bien. Merci. Merci.
03:18 Gilles Verdez, bon, bah, Gilles Verdez. Gilles Verdez, on peut l'applaudir quand même.
03:21 [Applaudissements]
03:27 - Ça va, Gilles ? - Très bien.
03:29 - C'est vrai que j'ai jamais su ce que tu fais, toi. [Rires]
03:32 - Non, mais c'est quoi ton cursus, en fait ?
03:34 - Des études d'histoire de journalisme, et puis la fierté de vous avoir croisé dans une rue de Paris
03:39 il y a 11 ans maintenant. - C'est vrai.
03:41 - Et puis vous m'avez dit "échangez-moi pas". - Oui, oui.
03:44 - Je suis très heureux d'être là avec vous. - Il a pris 50 ans en 11 ans.
03:47 [Rires]
03:49 - C'est un truc de fou. - C'est un truc de fou.
03:51 C'est comme les allers-chiens, c'est une poupée par 7. C'est un truc de cinglé.
03:55 - Gilles, les yeux dans les yeux, ou bien les yeux dans ton nez,
04:01 est-ce que tu as conscience que malgré tout ce que je dis sur toi
04:05 et toutes les tannées que je te mets pendant l'émission,
04:09 est-ce que tu as conscience que tu es un de mes chroniqueurs préférés,
04:12 si ce n'est le chroniqueur préféré ?
04:13 - C'est très gentil. J'en ai modestement conscience
04:16 parce que quand vous m'engueulez, vous engueulez ma tête, mais jamais mon cœur.
04:20 [Rires et applaudissements]
04:28 - Je me suis déplacé le dimanche et le samedi pour entendre des conneries pareilles.
04:31 [Rires]
04:35 - Juliette Briand, c'est avec nous. Salut, Juliette.
04:37 [Applaudissements]
04:41 - Merci d'être là, Juliette. J'ai vu que tu avais fait une apparition dans TPMP
04:46 face à Moundir, où tu l'avais engueulée comme quand je rentre à 5h du matin
04:50 et que ma meuf n'était pas au courant.
04:52 - C'est vrai.
04:53 - Et depuis, tu as même été appelée par BFM, tu as été appelée par tout le monde.
04:57 BFM t'as appelée derrière.
04:58 - Ça m'a ouvert beaucoup de portes.
04:59 - Oui, c'est vrai.
05:00 - C'est le passage télé qui m'a ouvert le plus de portes.
05:02 Ça m'a ouvert BFM et ensuite les portes des RMC, où je suis chroniqueuse aujourd'hui.
05:07 - Bravo. BFM, tu t'es continuée ?
05:09 - Et ça m'arrive quand ils m'appellent.
05:11 Après, je trouve que l'ambiance télé, chroniqueur, RMC, chez vous, c'est plus sympa.
05:17 - Pareil. RMC, ça renvoie plus.
05:19 Je ne suis pas sûr que BFM… J'ai regardé l'émission.
05:22 - Ça ne vous plaît pas ?
05:23 - Non, ça va.
05:24 - Vous voulez me faire dire des choses ?
05:25 - Non, pas du tout. Ce n'est pas la grande d'arc-à.
05:27 - Ce n'est pas la d'arc-à.
05:28 - Tu ne te dis pas, moi, je vais aller sur BFM.
05:30 - On est bien sur CNews.
05:31 - Exactement. Bravo.
05:32 - C'est bien de dire.
05:33 - Côtier Le Bret, bravo.
05:34 Juliette, en tout cas, merci d'être là. Est-ce que tu peux te présenter un peu ?
05:37 - Je m'appelle Juliette. Je suis journaliste à l'Incorrect, qui est un mensuel.
05:41 Je suis également chroniqueuse sur RMC et sur Radio Courtoisie.
05:44 Et je suis ravie, moi, de mes voisins, personnellement.
05:47 - Tu es sur Radio Courtoisie ?
05:48 - Tout à fait.
05:49 - Je n'ai jamais écouté.
05:50 - C'est très courtois.
05:51 - C'est hyper sympa.
05:52 - On est tous très courtois.
05:55 - Tout de suite, Eddy Mitchell, coulant en montagne, il est génial.
05:58 [Rires]
06:00 - Non, mais tu ne vois pas.
06:01 C'est quoi le bail, en fait ? C'est Courtoisie.
06:02 Tout le monde est hyper sympa.
06:04 - Ah oui, c'est vraiment. C'est Courtoisie à tous les étages.
06:06 - Moi, c'est six.
06:07 [Rires]
06:09 - Ils sont tous courtois.
06:10 C'est un truc de fou.
06:12 "Non, regarde-toi là, t'es fou, non. Vas-y, t'emmerdes pas, je te laisse ma place."
06:16 "Les gars, c'est un truc de fou. Il y a des croissants.
06:18 Non, t'inquiète pas, c'est pas les miens problème. T'emmerdes pas."
06:20 Et donc, c'est quoi le thème de Courtoisie ?
06:23 - Radio Courtoisie, c'est une radio de droite,
06:26 qui est entièrement indépendante, qui ne dit que sur les dons.
06:30 - On fait deux chroniques par semaine.
06:32 - De droite, mais pour toi, quand même.
06:34 [Rires]
06:36 - "Ouais, mais bon, non, quand même, les gars."
06:40 - Pour toi, de droite, ouais.
06:41 - "Qu'est-ce que c'est que ce bâtacaisse ?"
06:43 C'est ça, en fait. Je vois un peu.
06:45 J'écouterai pour voir. Merci. Tu dis qui est quand ?
06:48 - Je suis le lundi à jeudi à 9h25.
06:51 - 9h25.
06:52 - Pour une chronique de 10 minutes.
06:53 - Je mettrai mon réveil juste pour toi.
06:55 - Non, mais ce n'est pas la peine.
06:56 - Je me fais plaisir. J'ai sisi.
06:57 Juliette, les yeux dans les yeux.
06:59 - Tu as eu une crise d'angoisse quand tu as appris
07:00 que tu serais à côté de Gilles Verdes pendant 2h30 ?
07:02 - Absolument pas. J'ai trouvé que c'était une idée de génie.
07:05 Et j'ai dit à Gilles Verdes que je trouvais, malgré tout,
07:07 qu'il était essentiel à cette émission.
07:09 - C'est vrai. Il est essentiel même à la France.
07:11 [Rires]
07:12 Je vais te dire, s'il n'y a plus de pigeons en France, comment on fait ?
07:15 [Rires et applaudissements]
07:23 - Alors, Rémo Abbou, Nightcluber.
07:26 [Rires]
07:28 - Le nouveau Jean-Roc.
07:31 Il est plus à l'entrouée des boîtes de nuit que sur un plateau télé.
07:34 Le gars, c'est bon, tu rentres.
07:36 T'es venu tout seul ?
07:37 C'est bon, vas-y.
07:39 Le gars n'entend plus tellement il entend de la musique de boîte de nuit.
07:41 Il est obligé de hurler pour lui parler.
07:43 C'est un truc de fou.
07:44 - Les gens vont te croire.
07:45 - Bonsoir.
07:46 - Je suis très content d'être là.
07:47 - Alors, dis-moi, c'est pas parce que tu es avec des gens importants
07:49 que tu dois prendre une voix de bouffon.
07:51 [Rires]
07:53 - C'est vrai, mais attends.
07:54 - Je vais changer ça.
07:55 - Bouge pas, bouge pas.
07:56 On dirait qu'il arrive chez ses beaux-pères.
07:58 [Rires]
07:59 - T'es en train de déconner.
08:00 Détends-toi, ça va.
08:01 - Bonsoir.
08:02 - Bonsoir.
08:03 - Alors, bonsoir, tu es chauffeur.
08:05 - Oui, chauffeur-livreur.
08:06 Et tu m'as fait faire de la télé.
08:08 Donc, je suis là et je suis venu aujourd'hui.
08:10 - Très content.
08:11 - C'est le seul qui m'a laissé la chance.
08:12 - Vraiment les yeux dans les yeux.
08:13 Est-ce que tu as déjà fricoté avec une invitée ou une intervenante de TPMP
08:17 de Balance ton poste ?
08:18 [Rires]
08:20 - De toutes les émissions.
08:21 - De Facebook, de Face à ma barrage.
08:23 - Le journal de 20h, la météo.
08:25 - Non, déjà, les yeux dans les yeux.
08:27 Sans mentir.
08:28 - Oui.
08:29 - Du tout.
08:30 - Oui.
08:31 - C'est l'émission de la vérité.
08:32 - Déjà, on sait que...
08:33 Déjà, tu vas dire...
08:34 [Rires]
08:35 - Quand tu dis sans mentir, c'est pas mal.
08:37 - Déjà, on est morts.
08:38 - Il y a trop de mots.
08:39 - C'est le week-end.
08:40 C'est le week-end.
08:41 Les gens sont bien.
08:42 Les yeux dans les yeux, ça nous nard jamais.
08:44 - Mais qu'est-ce que tu mens ?
08:46 - Foutre-moi bien.
08:47 Tu veux que je te dise ?
08:48 - Déjà, tu veux que je te dise ?
08:49 - Je vais te dire que c'est un peu Hamilton.
08:51 [Rires]
08:52 [Applaudissements]
08:53 - C'est vrai.
08:54 Voilà.
08:55 Il faut bien comprendre chez vous, les chéris,
08:57 qui vont nous rejoindre le samedi,
08:59 que Raymond Abou va mentir dans cette émission.
09:01 [Rires]
09:02 Laurent Sayet, le retour.
09:03 J'adore.
09:04 Oh, quel bonheur.
09:05 [Applaudissements]
09:06 - Bravo.
09:07 [Applaudissements]
09:08 - Quel bonheur.
09:09 Les députés européens, hein.
09:10 Vous êtes fous, quoi.
09:11 Vous pourriez lui parler, maintenant.
09:13 Tu vas lui parler nerlandais.
09:14 Tu sais, c'est pas...
09:15 - C'est pas ça.
09:16 - C'est pas ça.
09:17 - C'est pas ça.
09:18 - C'est pas ça.
09:19 - Tu vas lui parler nerlandais.
09:20 Je te jure.
09:21 [Rires]
09:22 - Ça y est, là.
09:23 Alors, ça veut dire quoi,
09:24 députés européens, en fait ?
09:25 - Ça veut dire qu'on vote, voilà,
09:26 pour les Européens.
09:27 On en parle beaucoup, du Parlement,
09:28 en ce moment, européen.
09:29 - Exactement.
09:30 - Pas mal.
09:31 Et il y a des bonnes choses, aussi.
09:32 - Et t'as d'autres députés,
09:33 mais genre, d'Europe.
09:34 - Voilà.
09:35 C'est-à-dire qu'il y a bientôt des élections.
09:36 - Genre, quoi ?
09:37 Genre, "en route, sur le monde".
09:38 [Rires]
09:39 Genre, ça va, là ?
09:40 - Oui, oui, oui.
09:41 Alors, on s'en est.
09:42 Non, mais c'est quoi ?
09:43 Genre, tu vois des Italiens et tout.
09:44 "Oh, ciao, ciao, tu vas bien ?
09:45 Ça va ?"
09:46 - C'est très sympa.
09:47 - Et il y a qui,
09:48 comme autres députés français qu'on connaît ?
09:49 - Nadine Morano.
09:50 - J'adore.
09:51 - Que j'aime beaucoup.
09:52 - Vous êtes nos joindres.
09:53 - Et Geoffroy Didier.
09:54 - Et Jordan Bardella.
09:55 - Jordan Bardella.
09:56 - Bien sûr, oui.
09:57 Il y a qui d'autre ?
09:58 - On a plein.
09:59 Geoffroy Didier,
10:00 François Bélier-Bellamy.
10:01 - Oui, on en sait pas.
10:02 - Non, mais on serait vous partez tous ensemble en bus, genre.
10:05 "Chauffeur, suis tes champions, appuie !"
10:09 Non, mais ça, tu vois, on est...
10:11 - Alors, il faut savoir qu'au Parlement européen,
10:13 les gens sont un peu plus zen qu'à l'Assemblée.
10:15 - Ah oui ?
10:16 - C'est-à-dire qu'il y a un peu plus de corps nombreux.
10:17 - Il y a la France insoumise.
10:18 - Il y en a là-bas.
10:19 - Oui, oui, il y en a.
10:20 - Ah, merde.
10:21 - Ah, ouais.
10:22 - Manon, Henri, elle s'appelle.
10:23 - Alors, j'ai essayé d'avoir des chroniqueurs de la France insoumise.
10:25 Pour l'instant, malheureusement,
10:27 la sécurité ne les a pas laissés rentrer.
10:30 Je vais voir ce que je peux faire au cours de l'émission.
10:32 Merci.
10:33 Laurence, ça y est, merci en tout cas d'être là.
10:35 Je suis très heureux de te voir, parce que c'est une amie, Laurence.
10:37 On est devenus copains comme cochon.
10:38 On s'appelle tous les jours.
10:39 - Ah, ouais ?
10:40 - Mais je l'adore, Laurence.
10:41 C'est comme ma tante.
10:42 Non, c'est vrai.
10:44 - Merci.
10:45 - Laurence, les yeux dans les yeux.
10:47 - Oh là.
10:48 - Tu as fait beaucoup de plateaux télé,
10:49 tu as rencontré pas mal de chroniqueurs, etc.
10:51 Est-ce qu'il y en a un pour qui tu as déjà eu un petit pote ?
10:54 - Hum.
10:55 - En chroniqueur ?
10:56 - Non, mais...
10:57 - Ah.
10:58 - Oui.
10:59 - Aucun.
11:00 - Aucun.
11:01 - Et en animateur ?
11:02 - Ça veut dire qu'en animateur,
11:03 tu as déjà eu un crush pour quelqu'un ?
11:04 - Ah.
11:05 - Ah.
11:06 - Ah.
11:07 - Vous avez posé la mauvaise question.
11:08 - Allez, il y a un bail.
11:10 - Ouais.
11:11 - Tu as travaillé avec qui comme animateur ?
11:13 - Cyril Hanouna.
11:14 - Non, mais...
11:15 [Rires et applaudissements]
11:18 - Attention.
11:19 - J'apprécie.
11:20 - Attention, les chéries.
11:21 Il y avait Éric Nolot qui faisait mes remplacements.
11:23 - Ah.
11:24 - Avoir un crush, ça peut être que dans un sens.
11:26 Tout le monde a un crush pour vous.
11:28 - Oh.
11:29 - Oh là là.
11:30 - Bravo.
11:31 [Applaudissements]
11:33 - Bonsoir.
11:34 Je suis en train de me présenter pour députée européenne.
11:38 - Mais dis un peu, non ?
11:39 - C'est pas bien, c'est pas bien.
11:40 Attends, hé ho, c'est quelqu'un, hé ho, hé.
11:41 - Oui, oui, oui.
11:42 - T'imagines ou pas ?
11:43 T'arrives, j'ai tes parents,
11:44 je serai avec une députée européenne,
11:45 hé ho, là.
11:46 Mon frère, il arrive, il fait la Marseille.
11:47 Allons-en, on se porte, là.
11:48 Pas de risque.
11:49 C'est bon.
11:50 - Ah, il va être comme ça.
11:51 Je voudrais qu'on applaudisse Julien Audoul,
11:53 qui est avec nous.
11:54 Merci, Julien.
11:55 [Applaudissements]
11:56 - Merci à vous.
11:57 [Applaudissements]
11:58 - Julien Audoul, tu peux se présenter.
12:01 Je suis content.
12:02 Alors nous, nous, tu te rappelles,
12:03 on ne pouvait pas se blérer.
12:04 - Oui.
12:05 Au début, c'est parti mal.
12:06 - Arrêtez pas de se fracasser.
12:07 Alors je me rappelle, il m'a traité de pitre.
12:08 C'était extraordinaire.
12:09 Je me rappelle, sur les réseaux, il m'a dit,
12:11 "Ce pitre d'Anouna."
12:12 Non, mais c'était extraordinaire.
12:13 Tu sais que c'est un mot que j'adore, maintenant.
12:14 Arrêtez de faire les pitres, là.
12:15 Oh !
12:16 Non, mais elle te rappelle ou pas ?
12:17 - Je me rappelle, oui.
12:18 - On va se voyer, parce qu'on est obligés.
12:19 Et maintenant, vous êtes avec moi.
12:21 Je suis heureux.
12:22 Alors, ils sont invités, Laurence et Julien.
12:25 Ils viendront nous voir quelques fois,
12:26 comme ça, pour donner leur avis.
12:28 Bon, Julien, on ne le présente plus,
12:29 mais vas-y quand même.
12:30 - Bon, alors, Julien Audoul, député de Lyon.
12:32 - Oui.
12:33 - Très beau département.
12:34 - Hum, hum.
12:35 - Et également porte-parole du Rassemblement national.
12:37 - Ah, quand même.
12:38 - Et effectivement, au début...
12:39 [Rires]
12:42 - Ah, bon, quand même.
12:43 Ah oui, quand même, ça fait beaucoup.
12:45 - Ça fait beaucoup, hein.
12:46 - Et sportif, lui.
12:47 - Et sportif à mes heures perdues.
12:49 - Apparemment, il le connaît mieux que vous.
12:50 - Ah, oui ?
12:51 - Carla, vous connaissez bien Julien ?
12:53 - J'ai une petite anecdote par rapport à ça,
12:54 mais je ne sais pas si j'ai le droit de la raconter.
12:56 - Non, bah, allez-y.
12:57 - C'est pas très long.
12:58 On avait rendez-vous à l'Assemblée
12:59 pour une interview,
13:00 et Julien était en retard,
13:01 parce qu'il était à la salle.
13:02 - Non, ah, oui, oui, je sais.
13:03 Il va se fondre un peu.
13:04 - C'est ce que ta collab m'a dit.
13:05 - C'est ça, je sais.
13:06 - C'est ça, je sais.
13:07 - C'est ça, je sais.
13:08 - C'est ça, je sais.
13:09 - C'est ça, je sais.
13:10 - C'est ça, je sais.
13:11 - C'est ça, je sais.
13:12 - C'est ça, je sais.
13:13 - C'est ça, je sais.
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