Capucine Anav évoque ses rapports avec la famille Delon !

  • il y a 6 mois
Retrouvez Cyril Hanouna désormais le samedi et le dimanche dès 18h50 pour Face à Hanouna !


Au programme : des débats sur l'actualité politique, mais aussi le retour de séquences cultes.

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Transcript
00:00 - Quand on était ensemble, vous étiez avec Alain Fabien ?
00:03 - Oui.
00:04 - Quand on était enfin...
00:05 - J'ai fait mine Sarkozy, mine Delon à Notre-Dame.
00:08 - Non, c'est vrai ?
00:09 - C'est vrai, je me suis séparée de Louis en décembre.
00:12 - Il était sympa, Louis.
00:13 - Ah oui, il adorait.
00:14 - C'est un amour.
00:15 Alain Fabien, je le connais pas, mais il paraît qu'il est sympa aussi.
00:16 - Oui, il est très gentil.
00:17 Un peu plus torturé, mais très gentil.
00:18 - Mais Louis, je le connais, c'est un amour de mec.
00:20 C'est une bombe de mec.
00:21 - Ah oui.
00:22 - Toute la famille...
00:23 - Tout le monde l'adore.
00:24 - C'est incroyable.
00:30 - Vous êtes restées ensemble combien de temps ?
00:31 - 3 ans.
00:32 - Non, quand même !
00:33 - Oui, quand même.
00:34 - Quand vous faisiez vraiment partie de la famille Delon ?
00:35 - Enfin, de la famille, si on peut appeler ça entre guillemets une famille.
00:37 Mais oui, je faisais partie de la vie.
00:39 Une famille, ça se compose de frères, de sœurs, de parents.
00:43 C'est vrai que c'est un secret.
00:44 - T'as vraiment pris pour un débile.
00:45 - Ça a toujours été compliqué.
00:46 C'est pour ça que je dis...
00:47 - Elle me fait une séquence royale.
00:48 Qu'est-ce que c'est qu'une famille ?
00:49 - Je te jure.
00:50 - C'est incroyable.
00:51 - C'est incroyable.
00:52 - C'est pour ça que je te jure.
00:53 - C'est pour ça que je te jure.
00:54 - C'est pour ça que si on peut appeler ça entre guillemets une famille, parce que les
00:57 rapports, c'est pas un secret.
00:58 Ils ont toujours été très compliqués.
01:00 - Quand vous étiez là, entre qui et qui c'était compliqué ?
01:02 - Entre la sœur, le père.
01:04 - Et Anoushka ?
01:05 - Voilà.
01:06 - Et genre c'était quoi ?
01:07 Anoushka, elle est très proche de son père.
01:08 - Elle est très proche de son père et je pense que, vu qu'elle est très proche de son
01:13 père, elle aurait sûrement pu avoir ce pouvoir d'essayer de rassembler la fratrie.
01:19 Et j'avais ce sentiment, en ce qui me concerne, comme si ça l'arrangeait pas spécialement.
01:25 Moi, je lui ai envoyé plusieurs messages, Anoushka, d'alerte, de SOS pour aider son
01:28 petit frère, qui est en demande d'amour, qui est en demande d'une famille.
01:31 Moi qui suis très famille, ça m'a un peu choquée, toutes ces histoires.
01:34 Donc je lui ai envoyé plusieurs messages et jusqu'à aujourd'hui, c'est resté sans
01:37 réponse.
01:38 J'ai dit à Anoushka, ton frère, il aimerait vraiment déjeuner avec toi, ça serait bien
01:42 que vous vous voyez, parce qu'il était en demande.
01:44 - Vous lui avez envoyé encore des messages ?
01:45 - Non, je l'ai envoyé à l'époque.
01:46 - Parce que jusqu'à aujourd'hui, c'est resté sans réponse.
01:48 Elle ne va pas vous répondre quatre fois en retrait.
01:49 - Non, mais c'est pour vous montrer que c'est un message qui est resté sans réponse.
01:54 - C'était genre, ça vous plaignait à l'époque ?
01:56 - Ça me brisait le cœur.
01:57 Moi, je suis très famille.
01:58 Ça veut dire que moi, je suis prête à tout pour mes soeurs.
02:00 Je suis prête à tout pour...
02:01 Et de voir...
02:02 Enfin, c'est malheureux.
02:03 Sa dernière apparition publique à l'un de nos, c'était à Cannes, au Festival de
02:07 Cannes, où il n'a été qu'avec sa fille.
02:09 Vous vous rendez compte ? C'est triste.
02:10 Ça aurait été magique et une très belle image qu'il y ait avec ses trois enfants.
02:14 - Vous avez déjà fait un dîner ou un déjeuner avec tout le monde ?
02:16 - Oui.
02:17 Avec tout le monde, non.
02:18 - Quoi ? Jamais ? Pour trois ans ?
02:19 - Avec tout le monde, non.
02:20 Jamais.
02:21 Ça n'est jamais arrivé.
02:22 - Quoi ? Non ?
02:23 - Non, je vous promets.
02:24 - Jamais ?
02:25 - Et Noël et tout ça, il n'y avait pas...
02:26 - Il n'y avait pas de Noël.
02:27 - Non.
02:28 - Non, non, non.
02:29 C'était très compliqué.
02:30 - Il n'y avait pas de Noël ?
02:31 - C'était compliqué.
02:32 - Il n'y avait pas de Noël ?
02:33 - Non, il n'y avait pas de Noël.
02:34 Rien à le reprocher.
02:35 C'est un super grand frère.
02:36 - Bien sûr.
02:37 - Mais c'est une famille, oui, compliquée.
02:38 - Et Anoushka, vous la voyez ?
02:39 - Je l'ai vue deux fois, je crois.
02:40 - Deux fois.
02:41 Et alors ?
02:42 - Deux fois.
02:43 - Quoi ?
02:44 - Quoi ?
02:45 - Ça veut tout dire.
02:46 - Je ne sais pas.
02:47 - Elle a l'air sympa, moi.
02:48 Je m'en suis tombé avec elle.
02:49 - Ah oui ?
02:50 - Ah bon ?
02:51 - Ah oui.
02:52 - Après, je ne dis pas qu'elle est méchante.
02:53 Elle ne m'a rien fait.
02:54 Si vous voulez, moi, elle ne m'a rien fait personnellement.
02:55 Mais en fait, je trouve ça malheureux.
02:59 C'est quand même la grande sœur d'Alain Fabien,
03:01 qui était mon compagnon à l'époque.
03:02 Je trouve ça malheureux qu'elle n'aidait pas un petit peu plus son petit frère,
03:07 qui était en demande de ça.
03:09 Il était vraiment en demande.
03:10 De l'amour de son père, de l'amour de sa sœur.
03:13 - Et vous avez mangé avec Alain Delon, alors ?
03:15 - Oui.
03:16 - C'était cool, quoi.
03:17 - C'est impressionnant, quand même.
03:19 - Quoi ?
03:20 Il ne mange pas ?
03:21 Il mange...
03:22 - Il m'a dit une très belle phrase que je n'oublierai jamais.
03:29 Je lui avais posé la question,
03:31 c'est quoi la différence entre un comédien et un acteur ?
03:34 Il m'a dit, le comédien joue, l'acteur vit.
03:36 Et j'ai trouvé ça magnifique.
03:37 - Mais tu as mangé 4 fois avec lui ?
03:39 - Tu es sûre que tu as mangé chez Alain Delon ?
03:41 - Non, plusieurs fois.
03:42 - Tu es sûre que tu as mangé chez Alain Delon ?
03:43 Parce que pour dire ça, je peux te le dire, moi aussi.
03:45 - Non, mais le nom d'Alain Delon, c'est quand même...
03:47 - Moi, j'adore Alain Delon.
03:49 J'adore tout Alain Delon.
03:51 - J'adore Alain Delon.
03:53 Et alors, sympa, il t'a dit quoi ?
03:54 - Oui, il est sympa.
03:55 - Tu as posé des questions ?
03:56 - Après, moi, quand je l'ai vu, il sortait aussi de son AVC.
03:58 - Ah, d'accord.
03:59 - C'était compliqué.
04:00 - Tu ne l'as pas vu avant ?
04:01 - Avant, non.
04:02 - Non ?
04:03 - Non.
04:04 Non, non.
04:05 Parce que ça arrivait quelques mois après.
04:06 - Après, tu l'as revu après ?
04:07 - Après son AVC, oui, oui.
04:08 - Vous avez mangé souvent avec lui ?
04:09 - On allait à l'hôpital, on allait à Douchy le voir.
04:11 - Ah, t'as été à Douchy.
04:12 - J'ai connu Iromi aussi.
04:38 - Franchement, oui.
04:39 - Je sens que vous avez kiffé Iromi.
04:40 - Oui, parce que nous, elle nous ouvrait la porte.
04:43 - Ah oui, c'est sympa.
04:44 Je peux te le faire.
04:45 - Non, mais parce que le peu de contact...
04:47 - Toutes les portes.
04:48 Dès qu'elle est arrivée, même à la salle de bain, j'ai un...
04:51 Même la porte, tu sais, tu peux prendre ta moisse à dents à l'arrivée.
04:54 Même la porte des placards, tu vois pas.
04:57 - Je ne vais pas rentrer dans les détails, mais franchement,
04:59 elle nous a ouvert la porte et il y a des personnes qui ne l'ont jamais ouverte.
05:02 - La porte de quoi ?
05:03 - Quoi ? Mais c'était quoi ?
05:04 Elle était à Fort Boyard ou quoi ?
05:05 - La porte de Douchy, je veux dire.
05:07 - Ah, la maison de Douchy.
05:09 - Douchy, Blacksey.
05:10 - Blacksey, voilà.
05:11 - Douchy, ouais.
05:12 - Et le peu de "contact" que Alain Fabien pouvait avoir avec son père,
05:18 quelque part, c'était un peu aussi grâce à lui.
05:20 - J'ai l'impression que t'as eu un coup de cœur pour Hiromi.
05:22 - Un coup de cœur, c'est un grand mot parce que pareil, je l'ai pas vu...
05:25 Mais en tout cas, moi, j'ai rien vu de tout ce qui est lui et, pardon, reproché.
05:30 Donc je peux pas m'exprimer sur Hiromi.
05:33 En tout cas, le peu de fois où je l'ai vue, elle a été accueillante.
05:35 On n'a pas mangé des choses périmées.
05:36 Elle s'occupait très bien des chiens.
05:38 Elle était gentille.
05:39 Elle s'occupait bien d'Alain.
05:40 - Comme vous avez dit, il y a des gens qui veuillent manger des choses périmées.
05:42 - Non, mais parce que c'est le débat.
05:44 C'est le débat.
05:45 Les enfants disent qu'elle mourrait Alain Delon avec des choses périmées.
05:48 C'est pour ça que je vous dis ça.
05:50 - Bien sûr. Je sais, ma chérie.
05:51 Alors, vous avez dit sur Insta que vous souteniez Alain Fabien et Anthony Delon.
05:54 - Oui.
05:55 - Pourquoi ?
05:56 - Parce que comme je vous ai dit, je pense que c'est des garçons, déjà,
06:00 quand on est des garçons avec Alain Delon, c'est un peu plus compliqué.
06:02 Anoushka est très, très, très, très proche de son père
06:05 et je pense qu'elle pourrait peut-être rallier les liens un petit peu familiaux, en tout cas.
06:11 - Vous a dit quoi d'autre à Alain Delon quand vous avez mangé avec lui ?
06:15 - C'est bien.
06:16 - Qu'il vous aimait bien, puisque du coup, il avait regardé mon Prime à l'époque.
06:20 - J'adore Alain Delon.
06:21 - Il me regardait le soir, de temps en temps.
06:23 - J'ai vu un jour. Je l'ai rencontré un jour.
06:24 - Oui. Non, mais il est très gentil.
06:26 - Il est sympa.
06:27 - Oui, très gentil. Impressionnant.
06:28 - Je regarde sur lui.
06:29 - Très gentil. Mais voilà.
06:30 - Il est beau gosse, toujours.
06:31 - Oui.
06:32 - Oui, c'est vrai.
06:33 - De toute votre relation, vous n'avez mangé qu'une seule fois avec lui ?
06:35 - Non, plusieurs fois. En tout cas, je l'ai vu plusieurs fois.
06:38 Mais moi, je me rappelle vraiment ce déjeuner qu'on avait passé à Dauphine.
06:41 - C'était cool.
06:42 - Oui. Enfin, j'ai fait des déjeuners plus cools quand même.
06:45 - Ah ouais ?
06:46 - Bah, c'est...
06:47 - C'est Alain Delon quand même.
06:48 - Justement, c'est impressionnant.
06:50 - C'est cool. C'est un souvenir, quoi.
06:52 - Oui, c'est un très beau souvenir, bien sûr.
06:54 - Alors Fabien, il vous a dit ça comment ?
06:56 Il vous a dit "on va manger avec mon père ce midi".
06:58 - Non, en fait, il avait une envie terrible de voir son père.
07:00 - Ah ouais ?
07:01 - Et il lui répondait pas au téléphone.
07:03 Et je lui ai dit "tu sais quoi, ton père, il veut pas venir à toi,
07:05 bah nous, on va aller à lui".
07:06 - Non !
07:07 - On a pris la voiture et je l'ai amenée à Douchy.
07:08 - Bravo !
07:09 - Putain, ouf !
07:10 - Donc, bah oui.
07:11 - Je fais genre Dan Deluxe, là.
07:12 - Ah ouais ?
07:13 - L'étonnement.
07:14 - Ah ouais ?
07:15 - Mais ça nous faisait tellement bien.
07:17 J'avais l'impression de voir un nouveau Alain Fabien
07:20 dès qu'il était avec son père.
07:21 - C'est beau ce que vous dites d'Alain Fabien.
07:23 - Bah oui, parce qu'il en demande de ça.
07:25 - Ça fait plaisir d'entendre ça.
07:26 - C'est comme s'il y avait des petites barrières
07:28 et une personne qui essayait de mettre des petites barrières.
07:30 - Ah ouais ?
07:31 C'est fou, hein ?
07:32 En tout cas, c'est intéressant ce qu'a dit quoi Gilles Verdez.
07:35 - C'est très intéressant, mais c'est une version d'histoire, quoi.
07:38 C'est-à-dire que...
07:39 - Je ne vous...
07:40 - Je ne vous ai fait que 3 ans avec.
07:41 - Oui, non mais...
07:42 - Je ne veux pas me relouer, vous raconter mon histoire.
07:43 - Non, mais la manière dont vous critiquez Anoushka...
07:46 - En quoi j'ai critiqué Anoushka ?
07:48 - Ah bah vous venez de la tailler, en pire.
07:50 - Je dis...
07:51 - Non mais...
07:52 - Je suis en train de dire moi ce que j'ai ressenti.
07:54 - Non mais non.
07:55 - Mais je crois que vous ne vous rendez pas compte.
07:57 - Laissez parler Capucine.
07:58 - Non, non, mais je crois que vous ne vous rendez pas compte, Gilles.
07:59 Il y a vraiment une différence entre Anoushka qui a une vie de rêve
08:02 et les garçons qui sont en manque d'amour.
08:04 Vous savez ce que c'est que d'être en manque d'amour d'un père ?
08:06 - Donc vous venez de la fracasser encore, là ?
08:08 - Je suis en train de dire qu'elle, elle a une chance énorme d'avoir son père,
08:11 d'avoir tout ce qu'elle veut.
08:12 Et que les garçons à côté, ils sont en recherche de ça.
08:15 Et que vu qu'elle s'entend très bien avec son père,
08:18 elle pourrait éventuellement peut-être rassembler la fratrie.
08:21 Je ne suis pas en train de la démonter.
08:22 Je ne la connais pas tant que ça.
08:23 - J'entends.
08:24 - Moi, j'ai été trois ans et j'ai vu ce qui s'est passé.
08:26 - J'entends ma chère Capucine, mais en disant ça,
08:28 vous relayez la thèse des frères qui est que Anoushka a capté son père.
08:33 C'est pour ça qu'elle aurait la moitié de l'héritage à être seule, etc.
08:36 - Je n'ai jamais parlé d'héritage.
08:38 - Non, c'est moi qui en parle.
08:39 - Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit.
08:40 - C'est moi qui en parle.
08:41 - À aucun moment, je n'ai parlé d'argent.
08:42 Là, je suis en train de parler de relation familiale qui est bien plus importante que de l'argent.
08:46 - Oui, oui, oui.
08:47 - Je dirais que…
08:48 - Bravo, bravo, bravo.
08:49 - Bravo, Capucine.
08:50 - C'est quoi, Bernadette ?
08:55 - Parce que je pense qu'Alan Fabien…
08:56 - Ce n'est pas vrai ce qu'elle vient de dire, mais on applaudit quand même.
08:58 - Je pense que…
08:59 - On est fair-play, on applaudit quand même.
09:00 - Je pense qu'Alan Fabien et Anthony, aujourd'hui,
09:02 ils sont plus à la recherche de l'amour d'un père que de l'argent.
09:05 Enfin, il faut arrêter avec cet argent, l'héritage, l'héritage, l'héritage.
09:08 - Non, mais c'est vrai, tu as raison, l'héritage, l'héritage, l'héritage.
09:10 - Je n'ai pas dit l'inverse.
09:11 - Alors oui, ça fait rêver un peu, mais il y a autre chose, il y a l'amour derrière.
09:14 Vous imaginez, depuis gamins, ils sont délaissés.
09:16 - C'est fort ce qu'elle dit.
09:18 - Tu as vraiment…
09:19 - Tu as vraiment manqué.
09:20 - Quoi, vraiment ?
09:21 - Oui, mais moi, j'ai vécu 3 ans, franchement, je suis tellement famille.
09:24 Ça m'a attristée, cette histoire, ça m'a… Honnêtement, voilà, ça m'a beaucoup touchée.
09:28 Donc, c'est pour ça qu'aujourd'hui, je suis de tout cœur avec les garçons,
09:31 parce qu'il va, je pense, bientôt nous quitter.
09:34 - Non, non, non.
09:35 - Enfin, bientôt, je n'espère pas, en tout cas, mais tout le monde quitte ce monde un jour.
09:39 Et vraiment, je leur souhaite…
09:41 - Et puis Emmanuel Macron, il a déjà fait beaucoup…
09:43 Ça y est, Johnny, Bebel, Aznavour, les gars, oh, c'est bon, c'est bon, mollo.
09:48 - Et là, je suis ravie parce que…
09:49 - Dinter, mollo, on y va, là. Il ne va pas nous faire aussi de l'eau.
09:52 - Deux présidents.
09:53 - Laisse-le à un autre président. C'est bon.
09:55 - Chirac et Giscard.
09:56 - Quoi ?
09:57 - Deux présidents. Chirac et Giscard.
09:58 - Non, mais Emmanuel Macron, c'est celui qui a enterré le plus de personnes, le plus de légendes.
10:03 - Ah non, mais je te jure que c'est vrai. Je vous le jure.
10:06 - C'est fou.
10:07 - Je vais vous dire, non, mais je vous le dis, j'ai peur pour toutes les légendes qui restent.
10:10 - Je vais faire une zérapie.
10:11 - Ah non, mais je vous le dis, je le dis, toutes les légendes qui restent.
10:13 Michel Sardou, Alain Delon, Chirac…
10:16 - Il reste trois ans à tenir. Tenez bon, il reste trois ans.
10:17 - Exactement, il reste trois ans à tenir, les gars.
10:18 - Tenez bon.
10:19 - Une fois que vous passez ces trois ans, vous êtes repartis pour 10 piges.
10:22 C'est 10 piges qui repartent, OK ?
10:24 On y va, on se barre. On se barre, c'est trois ans.
10:27 - Emmanuel Macron fait des belles cérémonies et ça vaut le coup à la vie de mourir pendant trois ans.
10:31 - De mourir pendant trois ans ?
10:33 - Il fait des bons discours, il fait des belles cérémonies. Moi, ça ne me déplaît pas.
10:38 - Alors je crois qu'il va se reconvertir dans ça.
10:40 - C'est mieux que François Hollande, quoi.
10:41 - Pour aller dans le sens de Juliette…
10:42 - Chirac, c'est mieux que François Hollande. Emmanuel Macron, c'est toujours mieux que François Hollande.
10:44 - Il a plus de gueule.
10:45 - Dans tout, Emmanuel Macron, c'est plus de gueule que François Hollande.
10:48 - Pour aller dans le sens de Juliette, si vous attendez trois ans, vous prenez le risque que ce soit Marine Le Pen.
10:51 - Voilà.
10:52 - Alors, là…
10:53 - Les artistes…
10:54 - Après, ils sont repartis pour 10 ans, j'ai dit.
10:56 - Ah oui ?
10:57 - J'ai dit, ils sont repartis pour 10 ans. Ils passent là et après, ils sont repartis pour 10 ans.
10:59 - Ils attendent les 10 ans de Le Pen, après…
11:00 - Oui, ne t'inquiète pas. T'imagines ou pas. Par contre, si c'est Mélenchon, frère, tu vas voir.
11:04 - Ah oui ?
11:05 - Ton enterrement, il va avoir deux cacahuètes, trois pistes.
11:08 - Tu vois, en brancaille, d'une fait.
11:10 - Il ne va même pas avoir une grosse pelle. Ils vont le faire avec une cuillère, comme dans le creuset.
11:15 - Si c'est Mélenchon, vous pouvez avoir aussi un discours de Gilles Verdez. Ça sera au cœur.
11:18 - C'est pas mal, ouais.
11:19 - Tu vas te dire, tu vois, Gilles Verdez, en croque-morts.
11:21 - Je vais là, c'est mon frère.
11:24 - Où est le défunt ?
11:27 - Merci.
11:28 - Et juste pour terminer, Cyril, si je peux finir. En trois ans de relation, j'ai toujours, toujours entendu dire à Alain Delon,
11:33 je veux finir mes jours à Douchy.
11:36 - Non, je suis sûr.
11:37 - Ah ouais ? Il n'a pas dit, je veux mourir sur scène ?
11:38 - Non, il n'a pas dit qu'il voulait mourir en Suisse. Il n'a pas dit qu'il voulait aller en Suisse.
11:41 Il veut rester dans sa maison à Douchy.
11:43 - Ah, vraiment ? Alors ça, c'est important.
11:44 - Voilà.
11:45 - T'as entendu ça ? Là, les gars, là...
11:47 - Toujours.
11:48 - On rigole, mais là...
11:49 - Même quand il était hospitalisé en Suisse après son AVC, nous, on a été à l'hôpital. On a dormi avec lui.
11:53 - Bien sûr.
11:54 - Il disait à Alain Fabien, je veux que tu me ramènes à Douchy.
11:57 - À Douchy.
11:58 - Il voulait absolument être chez lui à Douchy.
12:00 - À Douchy.
12:01 - Voilà.
12:02 - Ça, je crois.
12:03 - Tout le monde veut.
12:04 - On a tourné très bien.
12:05 - On a bien compris.
12:06 - Tu les as déjà vus s'embrasser, Alain Fabien et Alain Delon ?
12:10 - Alain Fabien et Alain Delon ? Ah !
12:12 - Un câlin.
12:13 - Non, mais genre un câlin.
12:14 - Un câlin.
12:15 - Non.
12:16 - Et Iromi ?
12:17 - Non plus.
12:18 - T'es sûre ?
12:19 - Non. Je crois qu'il est pas trop tactile, Alain Delon.
12:21 - Ah ouais.
12:22 - Mais non, j'ai jamais vu de tendresse. C'est ça qui...
12:25 - Avec sa fille, oui.
12:26 - Avec sa fille, oui.
12:27 - On le voyait souvent en photo, justement, dans les bras dessous.
12:30 - Après, c'est normal. C'est sa fille. Peut-être qu'entre garçons, ils sont plus...
12:34 - Peut-être un peu plus de pudeur.
12:36 - Plus de pudeur.
12:37 - Non, mais elle a dit quelque chose qui est fondamental là-dedans.
12:39 Bon, Gilles, il a un peu tourné à sa manière, mais l'amour d'un père...
12:44 - Ça vaut tout l'or du monde.
12:46 - Mais oui. Quand on grandit... Moi, j'ai grandi, malheureusement, sans mon père
12:50 de mes 4 ans jusqu'à mes 11 ans. C'est quelque chose qui m'a marqué profondément.
12:54 La séparation, déjà, a été violente, mais ça m'a marqué et ça m'a suivi
12:58 et ça me suit jusqu'aujourd'hui. Donc, même la relation que j'ai avec mes enfants,
13:01 aujourd'hui, c'est très fusionnel parce que j'ai besoin de ça, quoi.
13:07 - Mais alors, Fabien est à Douchy, je crois, actuellement. Il vient un peu là-bas.
13:10 Donc, je suis trop contente pour lui parce qu'au moins, il a ce qu'il voulait depuis tant d'années.
13:14 - Mais c'est fou ce que vous avez dit. Donc, à l'Indolon, il veut rester à Douchy.
13:16 - Ah oui. Ah oui, coûte que coûte. Il veut pas du tout partir de Douchy.
13:19 - Ah ouais. - Pas du tout.
13:20 - Et Iromy, vous pensez pas qu'il a envie de la retrouver, aussi ?
13:23 - Ça fait peur.
13:24 - Elle s'occupait très bien de lui. Enfin, le peu de fois où moi, j'ai été, elle s'occupait de lui, quoi.
13:29 Elle avait quelqu'un en J24 pour… Enfin, il avait, pardon, quelqu'un en J24.
13:33 Après, je sais pas. Honnêtement, sur Iromy, j'étais pas…
13:37 - Bien sûr. - Je peux pas trop dire parce que je l'ai vue très peu de fois, Iromy.
13:40 - Iromy. - Voilà.
13:42 - Iromy.
13:43 - C'est important. Non, mais c'est important. C'est important de le dire. Non, mais vraiment.
13:48 - Elle a envoyé plein d'infos, elle, même dans Rien.
13:50 - En 3 ans, moi, j'aurais jamais pu penser qu'en 3 ans, ils se soient jamais tous réunis ensemble pour fêter un dîner.
13:55 - Et je sais que j'ai essayé, hein. - Ah, j'ai essayé.
13:58 - Enfin, c'était pas mon rôle, mais moi, ça aurait été tellement beau de voir la fratrie réunie.
14:03 - Jamais, jamais, jamais.
14:04 - Bah, il y a eu Alain Delon, Anthony, moi, Alain Fabien, mais tous ensemble.
14:09 - En 3 ans, il y a des occasions, il y a des anniversaires, il y a plein de trucs à faire.
14:11 - Non, mais Noël, ça, rien du tout.
14:12 - C'est bon, on connaît, hein. - Ouais, ça va.
14:15 - Pas besoin de nous, hein. - Après, avant et après ma relation, c'est ça.
14:18 - C'est bon, on connaît un peu les fêtes, les occasions de fêter des choses.
14:20 On n'a pas besoin d'exprès, hein.
14:22 - La galette. - Non, mais c'est vrai, on n'a pas besoin...
14:24 - On n'a pas besoin des rois de la fête, là, c'est bon.
14:26 - La galette. - C'est bon.
14:28 - Ah, mais c'est... Il y a la galette des rois, on connaît. Non, mais c'est bon.
14:31 - Le plus triste, le seul moment où on a tous été réunis, tous...
14:36 - C'est pas un pont, moi, de merde.
14:37 - C'est terrible. Rigolez pas, parce que c'est pas drôle, c'est très triste.
14:39 - Attendez, attendez, s'il vous plaît.
14:40 - Le seul moment où on a tous été réunis, c'est le jour où il s'est fait opérer pour son AVC, à l'hôpital.
14:46 On était dans les couloirs de l'hôpital. - Ah, merde.
14:48 - Donc c'est malheureux. Ça aurait été tellement beau d'être réunis.
14:51 - Il y avait tout le monde. C'était quoi, l'ambiance ?
14:53 - Bah, personne ne se parlait. - Non.
14:55 - Ah ouais ? Quoi, vous, vous parliez pas à Nouchka ? Nouchka ne parlait pas à L'Infabien ? L'Infabien ne parlait pas à...
14:59 - Bah, si, on parlait un peu avec Anthony.
15:01 - Ouais. - Mais c'était un peu froid.
15:03 Et puis je pense surtout, au-delà de ça, c'est qu'ils s'inquiétaient tous pour l'état de leur père, aussi.
15:07 Donc c'était très... Voilà. Ils avaient peur.
15:09 - C'est incroyable, ce qu'elle dit, ouais. Vous avez eu des nouvelles ou pas ?
15:12 - Non. - Zéro nouvelle ?
15:14 - Bah, il m'a dit merci quand j'ai... - Bien sûr, il est sympa.
15:17 - Mais voilà. - Pourquoi ça s'est fini entre vous, à l'époque ?
15:20 - C'était une relation très toxique. - Toxique, c'est-à-dire avec Britney Spears ?
15:24 - Britney Spears, on dirait. - Non, c'était une relation un peu contre.
15:29 - Mais bon, vous l'aimiez. Vous l'aimez bien, quand même. C'est quelqu'un qui...
15:32 - Ah, mais moi, je respecterais toujours les personnes avec qui j'ai été, mais nos modes de vie étaient un peu différents.
15:40 Donc voilà. - Ouais, ouais.
15:42 - Bon, bah écoutez, en tout cas, c'est intéressant. - Ouais, c'est pas mal.
15:44 - C'est bon, on a appris vraiment des choses. - Oui, plein de trucs.
15:46 - Ah ouais ? - Franchement, vraiment.
15:48 - Bravo, Capucine, parce que franchement... - Bah, avec plaisir.
15:50 - Non, non, mais c'est important de dire les choses. - Si je peux aider.
15:53 - Non, mais...
15:55 (rires)
15:56 [Musique]

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