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00:00 [Musique]
00:05 Bonjour à tous, il est midi 30 dans la commune de Yopougon et partout en Côte d'Ivoire.
00:10 Merci de suivre le temps d'information sur RTI 2.
00:13 La dégradation des voiries dans les communes de Yopougon à Djamé et à Tsekoubé laisse indifférents les municipalités.
00:20 Une indifférence qui sera donc sanctionnée par l'attribution d'un carton rouge par l'agglomération de RTI 2.
00:27 Et puis, en de nos frontières en Guineau, Konakry, cela fait maintenant deux semaines que le principal dépôt d'hydrocarbures du pays a explosé
00:35 provoquant la mort de 24 personnes et plus de 450 blessés.
00:39 Il y a urgence car la peneurie a déjà des impacts sur l'économie guénéenne et sur le pouvoir d'achat.
00:46 Encore merci d'être des nôtres pour le temps d'information sur RTI 2.
00:51 Cela fait plus de trois semaines que les habitants des 220 logements dans la commune d'Adjamé ont le sommeil troublé à cause d'un gros trou.
01:01 Malgré les actions entreprises par les riverains, aucun geste n'a été fait par la mairie.
01:07 À l'instar donc de cette commune, dans la commune de Yopougon et à Tsekoubé, celui-là sur Kouet-Sabobo-Doume,
01:13 les automobilistes circulent sur un tronçon rempli de nids de poules et d'eau usée.
01:18 Il est donc difficile pour eux de passer une journée sans visiter les garages automobiles.
01:23 La sécurité municipale de ces communes reste silencieuse.
01:26 À cet effet donc, un carton rouge leur est attribué par la rédaction de RTI 2 à travers Asit Ndiarra, Pagasoro Kone Demadongui et Issa Djambele.
01:37 Voici le trou de tous les dangers.
01:41 Tous les dangers, avons-nous dit.
01:43 Ce gros nid de poules en plein milieu de la route, constaté suite aux travaux de construction de la voirie d'une entreprise de la place,
01:52 est situé dans la commune d'Ajame, précisément dans le chic et beau quartier de Deux-Cent-Vingt-Logements.
01:59 Depuis lors, les riverains ont perdu la joie de vivre et donc vivent dans l'anxiété.
02:07 Même à temps, on voit un gros trou, très très très dangereux.
02:10 Je reste ici, je crie, quand je vais quitter l'école, je crie.
02:13 Ne courez pas, vous pouvez tomber, c'est un risque, ne courez pas.
02:15 On est en danger parce que ma maison est à côté là.
02:18 On sollicite l'aide des autorités, depuis nous avons fait signe.
02:21 Ils sont même venus constater et depuis lors, il n'y a rien.
02:24 C'est régrettable d'être dans cette situation là parce qu'aujourd'hui, tout le monde utilise cette voie.
02:28 Il y a des maisons à côté, il y a l'école.
02:30 L'angoisse due à ces dangers, c'est le quotidien du responsable de ce maquis qui a vu sa clientèle chuter.
02:36 L'un de ses clients a même terminé sa course dans ce trou, le week-end dernier.
02:42 Il y a un client qui était ici, sa camarade, la fille n'a pas fait attention.
02:46 Le moment où elle est arrivée, il est tombé dedans.
02:48 On a oublié de préparer le pompier, il est perdu de sa vie.
02:51 Comme on peut venir de sa vie, on a fait à soi, on a fait monter, on a fait à soi, puis on a envoyé à l'hôpital.
02:56 On s'entend dans le temps, il y a des gens qui viennent des deux rues, ils viennent parler comme ça.
03:00 Nous on peut gagner nos pains.
03:02 Ça, tout le monde ne s'en va pas.
03:04 À plusieurs kilomètres d'Ajamé, dans la commune de Yopougouaïda-Tekoubé, sur l'axe Kouet-Abouboudoumi,
03:12 le décor est triste, assez triste.
03:15 Et oui, le tableau, il est sombre.
03:18 Regardez vous-même comment ce tronçon est délabré, dégradé, moche et rempli de nids d'épaule.
03:26 Et c'est avec beaucoup d'inquiétude, de crainte, d'appréhension et de douleur que les automobilistes circulent sur cette vilaine et mauvaise voie.
03:36 À ce problème s'ajoutent l'incivisme et la mauvaise foi des rivérés.
03:42 Oui, c'est les habitants du quartier qui laissent leurs eaux de WC, de toilettes et de ménage couler sur le bitume.
03:50 Les automobilistes, contrés de lutter le goudron avec ces eaux usées.
03:55 Que c'est dommage.
03:57 L'eau, les eaux usées, ça quitte dans les quartiers pointés jusqu'au goudron.
04:01 C'est pas normal, les enfants jouent.
04:03 Et tout ça, c'est tout ça qui provoque des maladies.
04:05 Nous-mêmes, qui sommes déjà passants, quand on voit cet état-là, l'état de la route, ça nous fatigue.
04:11 Avec ces eaux usées qui traversent, c'est bon. On ne sait plus comment on doit passer.
04:16 Donc c'est à cause de tout ça que les chauffeurs augmentent le prix du transport.
04:19 Nous, on souhaite que ça change.
04:21 Et c'est en pointant ce chemin que de difficultés, un véritable calvaire, une véritable souffrance, une tourmente indescriptible pour les usagers.
04:33 Invitable par coup du combattant. Quel dommage.
04:37 Vous venez ici, vous avez ces problèmes.
04:39 Ça fait maintenant que vous êtes dans la voie de dégrader la personne.
04:42 Nous-mêmes, les chauffeurs, souvent, nous cotisons de nos gens.
04:46 Vous voyez les gars qui sont là. Voilà. C'est grâce à nous aujourd'hui que vous voyez qu'il a vécu ce qu'il a vécu.
04:51 La route ici, sérieusement, c'est gâté. C'est gâté.
04:55 Moi, la semaine passée, ça a gâté ma voiture.
04:58 On cotise sur les carnivores. On met tout ça sur les marins. On cotise sur les carnivores.
05:02 Il n'y a pas de passage. Le chemin, c'est plein.
05:05 Chaque jour, on fait par là-bas. Nous, on fait le tour.
05:08 Ça fait au moins deux ans qu'on parle de ce coin-là.
05:13 On ne trouve pas de solution. On est là à la mairie. Il n'y a pas de solution.
05:17 On ne sait pas qui doit faire cette voie-là.
05:19 On ne sait pas si c'est à Teikoube ou bien c'est à Yopougon.
05:22 Vraiment, on ne vous demande pas d'ondes. Venez nous aider.
05:25 Ce chauffeur du taxi communal, lui, n'a malheureusement pas pu terminer sa journée.
05:30 En cause, le mauvais état de la route.
05:33 C'est ça qui a gâté la voiture.
05:35 Ça m'a laissé... Même tous les reculs, tout ça, là, ça a gâté encore la voie.
05:40 Donc, on paye le courant de la mairie à Teikoube.
05:44 Chaque mois, on s'en va au garage.
05:46 Les chauffeurs les plus courageux qui décident d'emprunter ce tronçon le font au prix d'un sacrifice.
05:52 On va augmenter le tronçon parce que la voie n'est pas pratiquable.
05:55 Dans ce décor insalubre, dans ces odeurs nauséabondes et fétides,
06:00 un kiosque à café.
06:03 Ici, les clients prennent leur repas avec appétit, avec quiétude et sérénité.
06:09 Ils ne se soucient même pas des dangers qui les guettent.
06:12 En fait, ils ont fini par s'y habituer avant de nous comprendre.
06:17 Le kiosque est là avant ça.
06:19 On habite au coin, on vit avec.
06:21 Normalement, je viens de prendre un petit café dessus.
06:23 Moi, ça m'a fait cette année-là.
06:24 Mais comme nous, on habite au coin, donc on oublie de prendre le café avec.
06:27 Vu l'indiscipline et l'incivisme des rivierés
06:30 qui laissent l'eau usée de leurs toilettes dégrader et abîmer le bitume,
06:35 un gros carton rouge leur est attribué.
06:39 Carton rouge également aux autorités municipales de la commune d'Ajamé
06:43 pour leur silence face à ces gros ravins au quartier 220 logements
06:48 qui menacent la vie des riviérés.
06:51 Enfin, carton rouge aux autorités municipales de la commune de Yopougon et de Tékoubé
06:57 qui ont décidé de regarder l'axe Kouet-Abobodoume se dégrader sans dire mot.
07:03 Face à ces dangers qui perturbent considérablement l'acquietude des automobilistes
07:09 des communes d'Ajamé, d'Atekoubé et de Yopougon,
07:13 il me manque une solution à trouver pour le bonheur.
07:16 Nous espérons qu'il y ait une solution pour le bonheur des populations de ces zones.
07:21 Fini la fête du Nouvel An, place au travail.
07:24 Les Ivoiriens ont repris le travail de plusieurs.
07:27 C'est dans le secteur du commerce, les activités ont repris timidement.
07:30 Dans l'administration, c'est tout le contraire.
07:33 Les agents sont à leur poste.
07:35 Une reprise du travail marqué par le traditionnel vœu du Nouvel An.
07:38 Nous on s'engarer, Kader Bachila.
07:41 Mardi 2 janvier 2023.
07:44 Nous sommes au lendemain de la fête du Nouvel An.
07:47 Au marché au Forum dans la commune d'Ajamé, l'ambiance est timide.
07:51 La plupart des commerces sont fermés.
07:53 Fatim, propriétaire d'un magasin de vente d'articles divers,
07:57 est l'une des rares commerçantes à avoir ouvert ce jour.
08:00 Il n'y a pas trop d'effervescence actuellement,
08:03 parce que comme vous avez pu constater, tout le monde n'est pas sorti,
08:06 les étals sont fermés, il y a la fatigue en fait.
08:08 On a travaillé jusqu'au 31, 21 heures, on est super hyper fatigué.
08:11 Donc c'est normal que pour certains, ils restent à la maison,
08:14 se reposent, c'est important.
08:16 Mais comme je vous l'ai dit, c'est mon dynamisme qui me permet de rester aujourd'hui.
08:20 Je ne peux pas me permettre de ne pas passer.
08:22 Parce qu'il y a les grossisses qui m'attendent et tout.
08:24 Un marché qui d'ordinaire ne désemplie pas, s'est vidé de son monde habituel.
08:28 Conséquence, Masiata vendeuse de legumes, peine à avoir des clients.
08:33 Après la fête, ça ne marche pas comme ça, les gens ne viennent pas comme ça.
08:37 Les gens sont fatigués, donc les clients viennent un peu.
08:42 Les personnes qui passent là, elles vont payer.
08:45 Sinon, elles restent à la maison, elles vont faire comment ?
08:48 Si les activités reprennent timidement chez les commerçants,
08:51 dans l'administration, c'est tout le contraire.
08:53 Au ministère des Finances et du Budget,
08:55 depuis 7h30, ce matin, les agents sont à leur poste.
08:59 C'est la nouvelle année.
09:01 Le directeur de ressources humaines visite les agents dans les bureaux pour présenter ses voeux.
09:05 En raison des défis, comme le ministre l'a indiqué, de la Nation,
09:09 il appelle et exhorte tous ses collaborateurs à faire preuve d'engagement,
09:14 preuve de civisme, d'éthique et d'idéontologie dans toutes les activités pour l'intérêt de la Nation.
09:21 Vous savez, le ministère des Finances et du Budget est au cœur de toutes les activités de l'administration.
09:27 On n'est pas d'une des toutes les activités de la Nation.
09:30 Le 29 décembre, vendredi 29 décembre, jusqu'à minuit,
09:35 en raison des exigences de la marche de l'année,
09:39 les agents étaient encore au bureau pour boucler les derniers dossiers.
09:44 Après les fêtes de la Saint-Sylvers,
09:49 vous pouvez constater que tous les agents sont à leur poste.
09:53 Même ambiance à l'Institut national des statistiques,
09:56 où les agents sont à la tâche pour finaliser les différents rapports.
10:00 Le directeur général de l'institution, quant à lui, reçoit le premier paraffait de l'année.
10:05 C'est le premier paraffait de l'année 2024,
10:09 qui concerne un peu toutes les dépenses que nous avions engagées durant l'année 2023,
10:16 sur lesquelles j'étais en train de faire signer et donner mon avis sur tous ces dossiers.
10:22 En cette nouvelle année 2024, tout souhaite plein succès à la Côte d'Ivoire,
10:27 qui accueille la plus grande compétition sportive du continent,
10:30 la Cannes, Coupe d'Afrique des Nations.
10:33 À Kokodil, les rues sont presque vides, les tassis communaux, les bus.
10:38 À Bijanay, ils attendent désespérément les clients.
10:42 C'est le même décor à Yopougon, où les mini-cars à la cypouresse sont vides.
10:46 Le nombre de ces véhicules est aussi réduit du fait de la fête.
10:50 Le constat de cette atmosphère morose dans cette deux communes, avec Théodore Zouzou et Gilles Thonia.
10:56 Il est 17h moins le quart, au boulevard Latry, dans la commune de Kokodil.
11:02 Une circulation très fluide.
11:04 Du côté de la cité Bade, c'est un alignement de bus qui attend patiemment d'éventuels clients.
11:10 Une clientèle très rare en ce deuxième jour de l'an.
11:14 Habituellement, il y a la fluence.
11:16 Souvent, on attend des heures et des heures avant d'avoir le bus pour rentrer chez nous.
11:21 Aujourd'hui, ce n'est pas le cas. C'est le bus qui nous attend aujourd'hui.
11:24 Un peu plus loin de là, sur la même voie, au carrefour Lavi, une gare de taxis communaux.
11:30 À côté, des personnes attendent.
11:33 On attend le bus pour aller à Hongrie. Nous, vous le suivez.
11:38 On attend plus de 30 minutes, ça a quand même duré aujourd'hui.
11:41 On ne peut pas lancer tout le bus ensemble. C'est l'homme qui travaille.
11:44 Il doit aussi se reposer.
11:46 Du côté de la gare, les véhicules font la queue depuis des heures.
11:50 Les conducteurs, eux, sont obligés de changer de technique pour avoir des clients.
11:56 Les gens ne sont pas sortis aujourd'hui.
11:58 Ils ont pris aujourd'hui comme férié.
12:01 Normalement, c'est le lundi qui était le férié.
12:03 Aujourd'hui, les gars sont sortis. Les gens ne sont pas sortis aujourd'hui.
12:06 Naturellement, ça ne va pas. On attend bien sûr les clients, mais les clients ne viennent pas.
12:09 Habituellement, à cette heure-là, on peut avoir les roues aussi.
12:11 Mais aujourd'hui, les roues sont garées même.
12:13 Nous, on sort pour aller chez les clients et puis, il est venu.
12:15 Les rues sont presque vides.
12:17 Direction l'autoroute du Nord, pour accéder à la commune de Youpougon.
12:23 Même décor sur cette route, toujours engorgée avant les fêtes de fin d'année.
12:28 Les véhicules roulent à vive allure.
12:31 Au deuxième pont, c'est un décor supprenant.
12:34 Pas d'embouteillage.
12:36 Le ralentissement est engendré par les feux tricolores au rond-point de Siporex.
12:41 Les mini-cars de transport en commun sur le trottoir connaissent le même sort
12:46 que celui des chauffeurs de taxi à Kokodi.
12:49 Ces mini-cars sont vides.
12:51 Aujourd'hui, c'est moins un transport.
12:53 On a là, c'est que si on devrait un peu plus mal, il n'y a pas de clients.
12:56 Nous, on n'est pas encore sortis.
12:57 Mais tels que si on est à fêter, bon, ça va.
12:59 Pour les chauffeurs, il faut patienter longtemps pour charger.
13:03 Ça fait presque 30 minutes sous le garé.
13:05 Comme ça fait partie du travail.
13:07 Quand moi, les gars, comme ça, ils descendent à l'apprentissage,
13:09 puis ils chargent avec lui.
13:11 Moi, ils descendent sur les dresseurs, puis ils commencent à aider l'apprentissage.
13:14 On charge le baca, puis on s'en va.
13:16 Nous sommes dans ce baca, il y a pratiquement 30 minutes.
13:19 C'est lent, c'est lent.
13:22 Et on est impatient.
13:24 Avec tous ces mouvements-là, bon, quand c'est pas précis,
13:27 vous voyez que chacun a son programme.
13:30 Ça n'arrange personne.
13:31 C'est un peu dur.
13:33 Et puis, d'autres préfèrent marcher que d'emprunter.
13:36 Donc, c'est lent.
13:37 - Connaissant un peu les réalités du Tiré,
13:39 les jours suivants la fête du Nouvel An,
13:42 d'autres transporteurs n'ont pas daigné sortir.
13:45 Même les responsables du syndicat des transporteurs
13:49 à Yopougon-Siporex n'ont pas repris le travail.
13:53 - Il a été commenté par Clément Beaucoup.
13:56 Les habitants de la commune de Yopougon
13:58 ont apprécié de fort belles manières la venue du Nouvel An.
14:01 Comme de coutume, les endroits les plus chauds de la commune
14:04 étaient pris d'assaut par les amoureux de la fête
14:07 et ils étaient en compagnie d'Asit Ndiara.
14:10 (musique)
14:15 - Il est 21 heures passées dans ce quartier
14:17 de la commune de Yopougon ce lundi.
14:20 Ce maquis bruit encore de monde
14:22 et les amoureux de la fête célèbrent le Nouvel An
14:25 au son de la musique.
14:27 (musique)
14:32 - Avec mes frères du quartier, ma famille, l'année 2024
14:36 nous a permis de nous réunir,
14:38 que Dieu même elle l'a fait dans notre pays.
14:41 Voilà qui nous épargne des mauvaises choses.
14:44 (musique)
14:46 - Un peu plus loin toujours dans la même commune,
14:48 les jeunes du nouveau quartier
14:50 accueillent l'année 2024 par un bal poussière.
14:53 (musique)
15:07 Ici, l'objectif est d'entamer la nouvelle année
15:10 en famille ou encore entre amis.
15:13 - Aujourd'hui, 1er janvier, nous nous retrouvons
15:15 sur le terrain au Lieu City
15:17 afin de célébrer le bal poussière
15:19 dans la joie avec tous les parents,
15:21 les enfants de Yopougon, nouveau quartier.
15:23 L'objectif de cette activité
15:27 est de réunir véritablement tous les enfants,
15:30 les parents, les jeunes du nouveau quartier,
15:33 anciens comme nouveaux,
15:35 afin de célébrer le Nouvel An
15:38 dans la joie, dans la gueule
15:40 et surtout se souhaiter des vœux de meilleurs
15:42 comme on a l'habitude de faire de façon traditionnelle.
15:44 - La commune de Yopougon est réputée
15:46 pour ses ambiances festives
15:48 et cette ambiance confirme sa réputation.
15:51 Au régal des festivités, c'est à croire
15:53 que les jours suivants, elles aussi ferier.
15:57 - Et pour terminer ce temps d'information,
15:59 nous vous le disons en titre hors de nos frontières,
16:01 en Guinée, Konakry.
16:03 Cela fait maintenant deux semaines
16:05 dans la nuit du 18 au 19 décembre 2023
16:08 que le principal dépôt d'hydrocarbures du pays
16:10 a explosé, provoquant la mort de 24 personnes
16:13 et plus de 450 blessés.
16:15 En plus des conséquences humanitaires,
16:18 l'État guinéen s'active pour combler
16:20 ces besoins encalburants.
16:22 Il y a urgence car la peune riche
16:24 a déjà des impacts sur l'économie guinéenne
16:27 et sur le pouvoir d'achat.
16:30 Encore merci à vous de nous avoir suivis.
16:32 Bonne et heureuse année 2024.
16:34 Que du bonheur et bonnes suites au programme sur RTI 2.
16:37 de.