L'appartenance - À Votre Écoute

  • l’année dernière
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##A_VOTRE_ECOUTE-2023-11-28##
Transcript
00:00 Sud Radio à votre écoute 16h-17h, Alexandre Delovane.
00:06 Bonjour à tous, ravi de vous accompagner jusqu'à 17h.
00:11 C'est votre heure de rendez-vous pour vous confier mais aussi pour avoir des conseils et une guidance sur votre parcours de vie.
00:18 Alors comment se passe votre journée ? Vous êtes soucieux ou alors vous avez un besoin de réponse ou de guidance ?
00:25 Sachez que je suis avec vous pour répondre à toutes vos questions.
00:29 Un seul numéro, c'est le 0826 300 300.
00:33 Alors si vous êtes au travail, il est aussi important de rappeler que les relations que vous unissez avec d'autres personnes sont intégrantes à votre bien-être autant sur le plan du mental que émotionnel.
00:45 On a tous le désir de construire des relations, qu'elles soient professionnelles, amoureuses ou amicales ou familiales, elles sont importantes à l'équilibre de votre vie.
00:56 Alors vous n'allez pas me dire le contraire, même si certaines personnes aiment s'isoler, la solitude est un manque d'appartenance comme le manque d'affection porte à rechercher l'attention des autres.
01:08 Que ce soit dans un groupe, dans une entreprise, dans la famille ou dans sa vie sentimentale, l'appartenance est vitale pour votre équilibre.
01:17 Avez-vous ce besoin d'appartenance ? Venez en parler à l'antenne de Sud Radio au 0826 300 300.
01:25 Nous sommes en direct live sur Youtube, laissez vos commentaires aussi sur les réseaux sociaux comme sur notre page de Facebook de Sud Radio à votre écoute.
01:34 Et aujourd'hui à la réalisation de l'émission c'est Lucille, au standard c'est Aude et Zach.
01:39 Sud Radio à votre écoute, Alexandre Delovane.
01:44 Et avant de donner la parole à Louis, hier à l'antenne Sandra nous a parlé de sa situation sentimentale après une vie bien remplie d'amour.
01:53 Sandra aujourd'hui se retrouve dans une relation où elle n'a pas de vie intime avec l'homme avec qui elle vit.
02:00 Pour elle c'est un véritable dilemme.
02:03 Et à la suite de ce témoignage, nous avons reçu un commentaire sur le groupe A votre écoute de celui de Edith qui nous dit
02:09 "J'ai beaucoup apprécié le témoignage de Sandra, sa voix est fluide, claire, positive, elle rebondit toujours dans les situations et elle souhaite encore plus s'épanouir.
02:19 Dit-elle ça me parle car je souhaite le faire aussi de manière personnelle."
02:24 Alors Edith, de ce que je peux vous répondre, merci de votre gentil message pour Sandra et de votre bienveillance à son égard.
02:31 Si vous, chers auditeurs, vous avez envie de donner vos avis sur les témoignages de nos auditeurs, écrivez-les sur notre page du groupe A votre écoute sur Facebook.
02:41 Et la parole est à Louis. Bonjour Louis.
02:45 Oui bonjour Alexandre.
02:47 Bienvenue sur Soudradio.
02:49 Oui merci.
02:51 Excusez-moi Louis, vous avez 56 ans, vous êtes commerçant à Valence dans la Drôme, c'est bien ça ?
02:59 Oui tout à fait.
03:01 Concernant le sujet du jour, vous nous avez communiqué une information, ce besoin d'appartenance pour vous était lié à votre couple.
03:11 Vos enfants c'est votre priorité à tel point que votre famille passait au second plan.
03:17 Est-ce qu'aujourd'hui vous êtes toujours dans cette même pensée, dans cette même philosophie là ?
03:24 Oui tout à fait, c'est un petit peu ma raison de vivre.
03:27 Femme en temps et en second plan, en famille.
03:31 Alors racontez-nous, que s'est-il passé dans votre couple ?
03:34 Il s'est passé pas mal de déménagements.
03:41 Le dernier avec un nouveau projet de vie qui a débouché sur un nouvel emploi pour ma femme,
03:49 qui a commencé à prendre une joie de vivre de sortir avec copain-copine, mais pas en couple,
03:58 simplement copain-copine c'était un petit peu la règle des sorties.
04:02 Peut-être une nouvelle vie qui a pris forme pour elle, une jeunesse retrouvée,
04:09 un petit peu la crise de la quarantaine.
04:12 Je sais pas, c'est une analyse propre à moi-même, je ne dis pas forcément qu'elle est juste.
04:17 Mais bon, de mon point de vue, je la ressens un peu ça.
04:21 Est-ce qu'elle avait le sentiment de vivre une usure du couple ?
04:28 Oui et non, plutôt une découverte d'autre chose, reprendre sa liberté.
04:34 Parce que vous vous êtes rencontré à quel âge et votre relation dure depuis combien de temps ?
04:40 12 ans.
04:42 Et donc aujourd'hui, vous avez vécu des fragilités, des remises en question dans votre couple,
04:50 et quelle est votre décision ensemble aujourd'hui ?
04:54 La décision ensemble, c'est le divorce.
04:56 C'est le divorce, d'accord. Vous avez des enfants ?
04:59 Une fille, une fille élite.
05:02 Et ce divorce, c'est vous qui l'avez choisi, décidé ?
05:06 Non, moi je l'ai subi.
05:09 Je l'ai subi, donc là j'essaie de rester droit en même temps.
05:16 Et depuis quand vous êtes séparés aujourd'hui ?
05:23 Ça fait deux mois.
05:25 Alors que piche pour vous et quelle est votre question Louis ?
05:30 Ma question, c'est mon avenir. Vu que j'ai passé une vie en couple, là ça fait tout drôle.
05:40 De se recentrer sur soi-même, c'est pas mon chemin de vie.
05:45 Moi je suis fait pour avoir des projets à deux, des projets de famille,
05:49 mais que seuls les projets ne sont pas encore en train de naître en ce moment.
05:54 C'est un peu dans le délire.
05:57 Niveau professionnel, je peux travailler de partout, il n'y a pas de soucis.
06:01 Niveau sentimental, j'ai vraiment besoin d'être en couple.
06:07 C'est quelque chose pour moi qui est fraternel.
06:10 Bien sûr. Aujourd'hui, par rapport à votre procédure de divorce,
06:14 elle est enclenchée, elle est terminée ?
06:17 On en a parlé, on a vu un avocat chacun, et on doit mettre les choses en place.
06:24 On a un bien en commun qu'on doit peut-être solder avant le divorce par lui-même,
06:30 pour pas avoir d'autres pénalités.
06:33 Toutes ces formalités, on les découvre en fin de compte.
06:37 Mais voilà, c'est plus que dans les tuyaux, c'est acté.
06:41 De ce que je ressens, vous allez dans cette démarche de séparation,
06:47 et ça va permettre autant pour vous que pour votre futur ex-femme,
06:53 de se reprendre en main et de repositionner les choses.
06:57 Malgré tout, sans portée de jugement,
07:01 vous étiez tombés dans une certaine forme de routine,
07:05 et une certaine forme d'usure du couple,
07:07 qui aurait pu encore durer.
07:10 Mais vous avez chacun vivé une certaine forme de souffrance,
07:14 et manqué d'épanouissement pour pouvoir avancer,
07:18 pour pouvoir se projeter dans l'avenir.
07:21 Ensuite, et pour vous surtout,
07:24 vous êtes dans cette phase de reconstruction,
07:27 de prise de décision aussi, autant sur un plan personnel,
07:31 que sûrement aussi même professionnel.
07:34 Parce que je pense qu'aujourd'hui, même si votre activité professionnelle,
07:38 elle fonctionne, elle est dans un bon déroulement,
07:42 mais vous verrez qu'à partir de ce début d'année prochaine,
07:45 vous allez entreprendre de nouvelles choses,
07:48 très positives, attention, je ne suis pas en train de dire
07:51 qu'il va vous arriver des problèmes, mais ça va être au contraire,
07:54 très positif, et ça va être optimiste pour prendre,
07:58 je dirais, un chemin autrement et différemment,
08:02 et avec de meilleurs auspices.
08:05 Là, sur le plan sentimental,
08:08 je vous sens vous reconstruire très vite.
08:11 Il y a une personne que vous connaissez peut-être,
08:15 ou que vous avez dans votre entourage,
08:18 avec qui il y aura la possibilité de se rapprocher ensemble,
08:22 et vous permettre de pouvoir avancer, de pouvoir discuter,
08:26 de prendre ce temps nécessaire pour échanger,
08:30 et pour voir s'il y a compatibilité ensemble.
08:33 Et là, vous verrez qu'à partir de ce début d'année prochaine,
08:37 vous êtes dans cette nouvelle réalisation sentimentale,
08:41 pour vous installer dans quelque chose de plus confortable
08:44 courant de l'année 2024.
08:46 Alors, même si c'est difficile, forcément,
08:49 de décider de vivre une séparation,
08:53 de devoir tout reconstruire, de devoir repenser les choses
08:56 autrement et différemment, mais vous allez très vite le faire,
09:00 et je vous sens aussi très vite retrouver un très bon équilibre
09:06 et un meilleur épanouissement dans votre vie, Louis.
09:10 - Chic !
09:12 - Pardon ? Je ne vous entends pas ?
09:14 - J'ai dit magnifique, du coup, même pour le coup,
09:17 de vous écouter, c'est que du bonheur.
09:20 Je vois ça comme je le suis, il n'y a pas de soucis.
09:23 - C'est bien d'écouter, mais après vous allez vous-même
09:27 vivre votre existence et votre avenir,
09:30 et vous verrez comment les choses se déroulent.
09:33 En attendant, ce qui est important, c'est de rester optimiste,
09:37 d'avancer, comme vous le faites aujourd'hui,
09:41 et vous verrez que les choses vont évoluer comme elles se doivent.
09:45 D'accord ?
09:46 - Merci Alexandre.
09:48 - Merci à vous, Louis, pour votre témoignage,
09:50 et n'hésitez pas à nous faire un retour.
09:52 - Avec plaisir.
09:54 - Vous pouvez le faire aussi sur le groupe, à votre écoute.
09:56 Merci, prenez soin de vous.
09:58 - Bonne rémission, merci.
10:00 - Et si vous aussi vous souhaitez témoigner,
10:02 ou si vous avez des questionnements sur votre devenir,
10:04 on vous attend, standard, au 0826 300 300.
10:07 On se retrouve dans quelques minutes,
10:10 avec Pierre, qui est en pleine séparation,
10:13 on en parle dans quelques instants.
10:14 Restez à l'écoute de Sud Radio.
10:16 - Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Deloval.
10:21 - Et de retour sur Sud Radio,
10:23 merci d'être à l'écoute de cette émission.
10:25 Au programme de l'émission, c'est le sujet sur l'appartenance.
10:28 Alors, avez-vous ce besoin permanent d'appartenance,
10:32 autant dans votre vie professionnelle,
10:34 qu'affective ou amicale ?
10:36 Vous souhaitez témoigner sur le sujet,
10:38 poser des questions concernant votre devenir ?
10:40 Je suis à votre écoute au 0826 300 300.
10:44 Et si vous souhaitez réagir au témoignage de nos auditeurs,
10:47 faites-le savoir depuis le groupe, à votre écoute, sur Facebook.
10:50 Allez, passons à la minute du "Saviez-vous le ?"
10:53 Saviez-vous qu'il est important de bien faire la différence
10:56 entre la dépendance et l'appartenance ?
10:59 La dépendance est l'état d'une personne
11:02 qui ne peut pas réaliser certaines activités sans aide extérieure,
11:06 qu'elles soient physiques, psychiques ou sociables.
11:10 En revanche, l'appartenance est le fait de faire partie
11:13 d'un groupe, d'une communauté ou d'une organisation.
11:16 Et la parole maintenant est à Pierre.
11:18 Bonjour Pierre !
11:20 Bonjour Alexandre !
11:22 Bienvenue sur Sud Radio !
11:24 Merci !
11:25 Alors Pierre, est-ce que vous avez,
11:28 pour répondre un petit peu à la question du jour,
11:31 est-ce que vous avez un sentiment et un besoin d'appartenance ?
11:34 Non, pas obligatoirement.
11:36 Je n'ai pas besoin d'appartenance,
11:38 mais il se fait que les choses, des fois,
11:40 s'emballent un peu et on ne maîtrise pas toujours.
11:43 Et puis après, on a besoin de se libérer.
11:45 Et ce n'est pas toujours facile.
11:47 C'est évident, effectivement.
11:49 Mais je crois que le meilleur appartenance,
11:51 c'est de s'appartenir à soi-même.
11:54 Et avant tout, c'est ce qu'il y a de prioritaire,
11:58 pour pouvoir avancer aussi dans la vie.
12:01 Pierre, vous avez 55 ans, c'est ça ?
12:05 C'est ça, 56, au mois de mars.
12:08 C'est bientôt, oui, ça va arriver.
12:10 C'est dans peu de temps.
12:12 Et vous nous appelez de quelle ville, Pierre ?
12:15 Je vous appelle de la Corrèze.
12:17 C'est de la Corrèze.
12:18 Alors, vous êtes marié depuis trois ans
12:21 et vous êtes en situation de divorce actuellement.
12:23 Racontez-nous un petit peu la suite.
12:26 Cinq ans de vie commune, trois ans de divorce,
12:29 un achat de maison, du travail en commun.
12:32 Le travail en commun est réglé.
12:34 Maintenant, j'attends des réponses
12:38 pour savoir quelle va être la suite à mes propositions.
12:43 Et voilà, j'aimerais de nouveau m'accompagner.
12:46 D'accord.
12:47 À quelles propositions,
12:49 quelles sont vos attentes
12:51 et face à de quelles propositions aussi ?
12:54 L'acceptation de divorce.
12:57 En fait, elle vit dans ma maison
12:59 et je souhaite, moi, divorcer
13:02 et qu'elle me donne ma part.
13:04 D'accord.
13:05 Pour quelle raison, aujourd'hui, vous vous séparez tous les deux ?
13:09 Dans un mariage qui n'aurait pas dû avoir lieu.
13:12 Ah, c'est un peu dur, non ?
13:16 Oui, mais c'est la succession des faits qui me font dire ça.
13:20 Voilà, il a eu lieu, mais ça n'aurait pas dû avoir lieu.
13:26 C'était une relation de travail qui s'est transformée un petit peu.
13:30 D'accord.
13:31 Est-ce que vous avez, vous, eu le sentiment
13:33 d'avoir été influencé par le choix
13:35 ou tout simplement c'est de votre propre responsabilité ?
13:38 C'est ma propre responsabilité.
13:41 D'accord, ok.
13:42 Et aujourd'hui, vraiment, vous avez des propositions à faire,
13:48 notamment concernant ce divorce.
13:51 Et vous avez des idées de projections dans l'avenir ?
13:55 Oui, bien sûr, des projections.
13:59 Je vis actuellement avec quelqu'un,
14:02 tout se passe très très bien
14:04 et je veux continuer à vivre de cette façon-là,
14:06 mais retrouver ma liberté et retrouver ce qui est à moi.
14:11 Vous craignez de ne pas pouvoir retrouver cette liberté rapidement ?
14:16 Les gens ont que trois ans de mariage,
14:19 ils ont plus d'un an pour divorcer,
14:20 je trouve que ce serait déjà pas rapide.
14:22 Bien sûr.
14:24 Alors, moi, de ce que je ressens,
14:26 c'est que vous êtes amené à divorcer rapidement.
14:30 Rapidement parce que j'ai l'impression
14:32 qu'il y a des conclusions qui vont se faire
14:35 et notamment courant des six mois à venir,
14:38 vous rentrez dans une phase où il y a des prises de décisions
14:41 avec ce qui a été donné en termes de proposition,
14:45 de ce qui va être aussi apporté et rajouté à la partie adverse,
14:50 en tous les cas, à votre future ex-femme.
14:53 Donc, je sens que, si vous voulez, on va trouver un accord,
14:57 il y a des prises de décisions qui vont se faire.
14:59 Est-ce qu'il y a deux endroits ou deux lieux qui pourraient être concernés ?
15:03 Oui, tout à fait.
15:05 Il y a deux maisons.
15:08 Il y a deux maisons, d'accord.
15:10 Dans une que je souhaite garder.
15:12 Dans une, voilà.
15:14 Et je crois qu'elle ne s'y oppose pas totalement.
15:17 Elle s'y oppose peut-être aujourd'hui
15:19 parce qu'elle veut une contrepartie sur quelque chose.
15:22 Mais j'ai l'impression que vous allez pouvoir obtenir.
15:26 Quel est son état d'esprit à elle ?
15:29 On n'a pas de dialogue,
15:31 alors je pense que l'état d'esprit,
15:34 c'était d'essayer de récupérer le plus possible.
15:37 D'accord.
15:38 Mais vous sentez qu'elle peut s'opposer réellement à cette maison ?
15:42 Non, non, non, non, non, non, non.
15:45 Je ne crois pas.
15:46 D'accord.
15:47 Parce que pour moi, je sens que ça va pouvoir se faire,
15:49 que vous allez arriver à trouver des accords.
15:51 Et la maison que vous souhaitez avoir,
15:54 peut-être qu'effectivement, est-ce que matériellement,
15:57 il y a peut-être une contrepartie,
15:59 quelque chose vis-à-vis de l'autre maison ?
16:01 C'est ça.
16:02 C'est ça, d'accord.
16:04 Elle a une contrepartie à mon avis.
16:07 D'accord.
16:08 Alors voilà, c'est juste ça sur lequel vous devez négocier.
16:11 Et je sens que vous risquez de céder un petit peu,
16:13 même si ce n'est pas forcément à votre avantage,
16:16 mais vous risquez de céder un petit peu
16:18 pour justement arriver à une conclusion finale
16:21 et à vous débarrasser,
16:23 enfin c'est peut-être péjoratif,
16:25 mais à pouvoir finir avec cette situation
16:29 qui vous pèse aujourd'hui et avancer sur votre futur.
16:32 Et aujourd'hui, vous me parliez de cette compagne
16:36 avec qui vous êtes aujourd'hui,
16:38 et c'est très étrange,
16:39 parce qu'on dirait qu'avec cette personne,
16:41 vous auriez dû vous construire ensemble bien avant,
16:45 ou peut-être vous connaître avant,
16:46 ou il y a eu quelque chose de particulier qui me vient.
16:49 Exactement, c'est quelqu'un que j'ai connu bien avant,
16:52 c'est quelqu'un qui m'a promulgué des soins
16:54 après un accident,
16:56 et on s'est rencontrés à ce moment-là,
16:58 mais ce n'était que du médical.
17:00 D'accord.
17:01 Bon, dans tous les cas, vous êtes amené à poursuivre
17:05 votre existence ensemble,
17:07 à avancer, à évoluer.
17:08 Je sens que les choses vont être très positives sur l'avenir,
17:13 elles vont être constructives.
17:15 Vous allez peut-être aussi investir ensemble,
17:18 mais évitez de commettre certaines erreurs.
17:21 Mais je ne crois pas que vous allez faire des erreurs,
17:23 parce qu'avec chaque individu,
17:25 on se positionne autrement et différemment,
17:28 et parfois on prend des décisions avec telle personne,
17:31 et puis avec d'autres personnes,
17:33 on agit autrement et différemment.
17:35 Et c'est ce qui va se passer avec votre compagne.
17:39 Merci.
17:40 Merci Alexandre.
17:41 Merci beaucoup, et vous avez très bien résumé
17:44 ce qui va se passer et la personne avec qui je vis.
17:47 Merci de votre clairvoyance.
17:49 Merci à vous, n'hésitez pas à nous tenir au courant,
17:51 et si vous souhaitez poster un commentaire sur le groupe à votre écoute,
17:54 n'hésitez pas à le faire aussi.
17:56 Merci à vous.
17:57 Au revoir.
17:58 Si vous aussi vous posez des questions sur votre devenir,
18:02 et si vous souhaitez témoigner à l'antenne,
18:04 c'est le 0826 300 300.
18:07 Ne bougez pas, on revient dans un instant
18:09 avec notre prochaine auditrice, Mélanie.
18:12 Mélanie est en plein divorce,
18:14 à la suite d'un amour ou d'une séparation.
18:17 On se retrouve dans un instant, et restez à l'écoute de Sud Radio.
18:21 Et de retour sur Sud Radio, il est pratiquement 16h30,
18:36 alors vous pouvez aussi nous suivre en direct live sur Youtube.
18:39 Soyez nombreux à réagir et à poster vos commentaires
18:41 sur le groupe de Facebook à votre écoute,
18:43 et si à présent vous voulez témoigner ou réagir
18:45 dans l'émission de demain,
18:47 le sujet sera sur tout ce qui est en lien...
18:52 Moi j'ai un petit oubli de sujet,
18:54 mais je vais revenir vers vous pour vous le dire.
18:57 Allez, n'hésitez pas à appeler le 0826 300 300,
19:01 Aude au standard vous attend.
19:03 Et à présent je vais vous donner les bienfaits
19:05 du sentiment d'appartenance.
19:07 L'appartenance génère de la confiance et de l'estime en soi,
19:11 en vous aidant à vous définir en tant qu'individu.
19:14 Être reconnu et accepté dans un groupe,
19:17 c'est très important pour chacun de vous.
19:19 Sans les autres, vos émotions ne pourraient pas s'exprimer.
19:23 Plus qu'un sentiment, l'appartenance est un besoin pour l'être humain,
19:27 car il contribue grandement à votre bien-être.
19:30 Et l'amitié peut vous donner un sentiment d'appartenance,
19:33 de connexion et de soutien,
19:35 afin d'apporter à une personne la dimension sociale dont elle a besoin.
19:39 Et je reviens sur le sujet de demain,
19:41 où on parlera de tout ce qui est de l'équilibre et de l'équitabilité.
19:45 Allez, à présent j'accueille Mélanie. Bonjour Mélanie.
19:49 Bonjour Alexandre et merci de me prendre.
19:53 Merci à vous et bienvenue sur Sud Radio.
19:55 Alors Mélanie, vous avez 54 ans,
19:59 vous étiez auparavant dans le secteur de la santé,
20:02 actuellement vous êtes sans activité professionnelle,
20:05 et vous habitez dans l'héros, c'est bien ça ?
20:08 Oui, c'est ça.
20:09 D'accord. Vous êtes en recherche d'activité ou non ?
20:14 Ou vous êtes sur un projet ?
20:16 Alors je suis sur un projet de reconversion professionnelle,
20:19 mais j'ai perdu tellement confiance en moi suite à une rupture conventionnelle,
20:23 qui en fait était plutôt un licenciement caché,
20:26 que là pour l'instant je suis très passive.
20:32 Et là justement je me dis qu'il faut que je me mette dans une dynamique
20:38 et que je reprenne conscience en moi et dans les autres.
20:42 Et oui, effectivement.
20:43 Alors en ce qui concerne justement le sujet du jour sur l'appartenance,
20:47 vous dites à la fois que c'est un besoin, une carence, surtout dans la famille.
20:52 Alors racontez-nous un petit peu pourquoi cette carence familiale
20:56 et pourquoi vous en êtes là aujourd'hui ?
21:00 Écoutez, c'est surtout fin 2019,
21:05 quand j'ai été malheureusement obligée d'arrêter mon travail
21:09 parce que j'ai eu deux fractures de fatigue du genou,
21:11 que je me suis retrouvée vraiment immobilisée.
21:14 Puis le Covid est arrivé.
21:17 Et ensuite il y a deux ans, j'ai perdu mon travail.
21:23 Et là, c'est dès 2019 que j'ai ressenti vraiment l'absence de mon père et de mon frère.
21:30 Et surtout mon frère.
21:31 Et je me suis aperçue il y a à peu près un an, pas plus,
21:35 qu'en fait j'étais tellement en demande d'affection
21:40 que j'étais dérangeante pour eux, ce que je comprends maintenant.
21:46 C'est-à-dire ? Pardonnez-moi.
21:48 Non, je vous en prie.
21:49 Quand vous dites que vous étiez en demande d'affection,
21:51 vous vous êtes manifestée comment et quelle était votre attente vis-à-vis d'eux ?
21:56 Par exemple, dire à mon père que j'aimerais bien venir le voir.
22:01 Par exemple, quand j'ai perdu mon travail, une fois que j'avais réglé tous les papiers,
22:05 lui dire "tiens, je viendrais bien un peu chez toi" puisqu'il habite à la campagne
22:10 et ça me ferait du bien, ça me changerait les idées,
22:12 qu'il me dise "oh non, je crois pas, et puis j'ai pas le temps".
22:17 Et mon frère un petit peu pareil.
22:19 Quant à mon frère, lui c'est différent parce qu'en fait on était très liés avant
22:25 et puis ça fait 20 ans qu'il est avec une personne qui a des qualités
22:29 mais qui en fait on ne s'entend pas bien, on ne se comprend pas.
22:32 Disons que c'est quelqu'un qui est vraiment différent.
22:36 Moi je suis plutôt très cool et puis elle, moi, elle est plutôt très carrée
22:41 et moi c'est pas mon cas.
22:43 Donc en fait il y a des torts des deux côtés.
22:46 Et puis surtout c'est ça, toujours j'ai pas le temps, je suis occupée.
22:51 Mais je comprends certaines choses aussi maintenant, je comprends mieux.
22:55 - Oui, mais justement par rapport à ce que vous évoquez,
22:58 est-ce que ça ne serait pas lié plus à un problème de dépendance affective ?
23:03 - Ah mais si, je me suis aperçue de ça et je fais de mon mieux pour travailler sur moi,
23:10 sur ça avec une psychiatre en thérapie de groupe, avec une sophrologue
23:15 mais disons que c'est pas pour les accabler mais en fait c'est vrai que tous les deux sont très pris
23:22 effectivement dans leur vie même si tous les deux sont à la retraite.
23:25 Mon papa a 88 ans, il est très actif, des randonnées, enfin plein de choses.
23:30 Mon frère à la retraite en fait, il achète des logements, il les retape et tout.
23:36 Donc c'est vrai qu'ils sont occupés, ça c'est vrai.
23:40 Et comment dire, je ne sais pas comment vous expliquer.
23:46 - Oui, oui, vous inquiétez pas, vous vous expliquez très bien.
23:48 - Je suis impressionnée en fait.
23:49 - Non, il ne faut surtout pas.
23:50 Mais ce que je veux dire c'est que dans votre famille, vous vous sentez reconnue en tant que telle ?
23:55 - Non.
23:56 - Non ? Ah, pourquoi ?
23:58 - Non, j'ai ma maman mais après c'est vrai que j'ai toujours été hyper sensible
24:05 et avec ce que vous avez dit là sur l'appartenance qui donne confiance en soi, l'estime de soi,
24:10 je l'ai pas, je l'ai eu à une époque dans le travail.
24:16 Et puis, pardon je suis émue, et puis depuis que j'ai plus mon travail...
24:21 - Bien sûr.
24:23 Ça vous préoccupe beaucoup ce souci d'emploi aujourd'hui ?
24:28 - Oui, par contre j'arrive à me dire que petit à petit ça va aller mieux
24:34 et puis je pense à une reconversion professionnelle, ne plus être dans le secrétariat,
24:39 être plutôt dans l'aide à la personne.
24:43 J'ai quelque chose qui me plaît beaucoup mais là c'est pareil, j'ai pas assez confiance en moi
24:46 mais je me dis tant pis, tu vas essayer.
24:48 Le seul risque que je prends c'est de ne pas y arriver mais je peux avoir aussi la chance d'y arriver.
24:54 C'est la médiation animale qui me plaît beaucoup et par les chiens surtout.
25:01 C'est pour ça que je travaille sur moi.
25:05 Mais bon, il y a du mieux, ce que tu dis c'est dur.
25:09 - Mais justement Mélanie, le fait que vous souffrez un petit peu de ce problème de dépendance affective
25:17 et aussi d'appartenance, et d'aller vers une reconversion professionnelle
25:23 pour vous occuper des personnes, d'être en accompagnante des personnes ou en aide à la personne,
25:31 je pense que ça va vous aider, je pense aussi que ça va vous permettre de vous découvrir
25:38 et puis de connaître aussi vos capacités et de pouvoir donner, de recevoir
25:43 et aussi de distribuer ou en tous les cas de partager de cette manière là.
25:48 Donc ça c'est très bien, j'ai l'impression que ça va peut-être combler un vide et un manque en vous
25:53 et justement ce problème de carence.
25:55 Après, vis-à-vis de votre famille, vos parents et votre frère, il est là,
26:02 il n'y a pas eu de fracture familiale ou de rupture totale avec eux ?
26:08 - Pas totale, ça a failli arriver de ma part et puis j'ai été dure dans mes propos,
26:14 j'ai été très maladroite et même violente, il y a à peu près un an et demi, deux ans,
26:20 et par exemple, vous voyez, on n'a pas été invité chez eux depuis très longtemps,
26:27 depuis 2015, mes parents sont divorcés, et là il y a une invitation pour aller chez mon frère à Noël,
26:34 il habite au-dessus de Clermont-Ferrand, vous voyez, moi je suis dans les Roses,
26:38 et j'ai un peu peur, après je me dis, j'ai une crainte, et petit à petit je commence à me dire non,
26:46 ça va être sympa et tout, mais j'ai vraiment peur franchement, parce qu'on est tellement différents
26:53 et mon frère a favorisé son couple, et ça a favorisé je m'esprime pas,
26:58 il est très bien maintenant dans son couple, au début c'était pas le cas,
27:02 et je me suis sentie rejetée, mais en fait je sais que c'est pas ce qu'il veut.
27:09 - Oui, et ils ont peut-être peur aussi de votre réaction, c'est-à-dire que,
27:13 quand vous êtes dans une attente et que vous êtes très attentive à la moindre réflexion,
27:18 ou en tous les cas à la moindre parole, et au moindre geste,
27:22 eux sont peut-être remplis de, pardonnez-moi, je porte pas de jugement, mais de maladresse vis-à-vis de vous,
27:29 donc ils sont peut-être dans cette notion de crainte et de peur face à vos réactions émotionnelles,
27:36 et face à quelque chose sur lesquelles ils ne peuvent pas gérer,
27:40 et c'est peut-être aussi pour cette raison-là qu'ils vous mettent en recul,
27:44 ou en tous les cas ils vous donnent pas la place que vous souhaiteriez.
27:47 Vous aviez songé à ça ?
27:49 - Oui, ça fait plusieurs mois que j'ai réalisé aussi que j'étais pas facile pour eux,
27:55 après voilà, maintenant j'ai plus de boulot, je suis célibataire, j'ai pas d'enfant,
28:00 vous voyez, c'est sûr, je me sens aussi, je sais qu'on est plusieurs dans ce cas,
28:06 mais je me sens aussi pas comme les autres, mais vous voyez,
28:08 ce qui a été très dur pour moi, c'est de pas avoir d'aide quand mes employeurs ont voulu se séparer de moi.
28:16 Ça, ça m'a énormément blessée, puis aussi de jamais avoir été invitée à l'anniversaire de ma nièce,
28:22 et notamment les 18 ans, les 20 ans, vous voyez, ça me fait mal, ça me fait énormément mal.
28:29 - Oui, et de ne pas se sentir reconnue et aussi appréciée de certaines valeurs, de certains moments,
28:37 vous avez une hypersensibilité, vous.
28:40 - Ah oui, oui, oui, et c'est pour ça que je réalise bien aussi que j'ai ma part de responsabilité,
28:46 je m'en apercevais pas il y a encore deux ans, mais là je m'en aperçois,
28:52 donc je m'en veux un petit peu aussi, j'essaie de plus m'en vouloir parce que j'avance pas, sinon,
28:58 mais bon, c'est vrai que ça a toujours été comme ça, par exemple, mon père n'a jamais eu le temps,
29:03 c'est pas par hasard que mes parents se sont divorcés, et quand je suis invitée, franchement,
29:09 mais bon, j'ai été beaucoup rabaissée aussi, c'est ça, je m'en aperçois, je m'en apercevais pas avant, vous voyez.
29:14 - Mais vous savez, vous avez vos parents, ne leur en voulez pas, ne leur en voulez pas,
29:18 sauf si effectivement vous avez vécu une maltraitance, là je veux bien,
29:22 mais là, votre témoignage ne parle pas d'une notion de maltraitance,
29:26 on parle plus que vous avez pas eu votre place comme vous auriez été à avoir,
29:30 et qu'ils ont pas donné cette importance à l'éducation attentive vis-à-vis de vous et de la cellule familiale.
29:38 Ne leur en voulez pas, et surtout, ce qui est important, Mélanie,
29:42 aujourd'hui, c'est de vous concentrer sur votre épanouissement, sur votre équilibre,
29:47 et sur ce que vous allez pouvoir donner dans la vie, et vous réaliser pour vous,
29:51 non pas pour les autres, mais pour vous-même.
29:53 Et aujourd'hui, cette reconversion, alors vous avez deux aspects,
29:57 vous avez sur le monde animal, et aussi de la médiation animale, et aussi sur l'aide à la personne,
30:03 allez-y, allez-y, parce que je sens que c'est en phase,
30:07 et c'est en résonance avec ce que vous êtes, et ce que vous pouvez apporter,
30:12 et ce que vous pouvez faire de bien pour les autres, ou pour le monde de l'entreprise,
30:16 donc faites-le dans ce sens-là.
30:18 Et puis, sentimentalement, je crois que, même si aujourd'hui vous êtes seul,
30:22 prenez ce temps nécessaire pour justement faire la bonne rencontre,
30:27 et la bonne rencontre, elle se fait pas en se précipitant, en se sentant exclu de toute société,
30:35 elle se fait à un moment donné, où justement vous êtes en phase avec vous-même,
30:40 vous aimez, vous êtes en acceptation, en amour avec soi-même,
30:44 pour justement être disponible à donner à l'autre.
30:48 Et je crois que vous allez progressivement vers ce chemin,
30:51 alors ça demande encore un petit peu de temps,
30:54 mais vous verrez que sous une période de deux ans, vous allez énormément évoluer,
30:57 vous allez changer, et je dirais même, peut-être qu'on aura l'occasion à nouveau de se parler,
31:03 vous n'allez plus vous reconnaître tellement que votre personnalité aura changé,
31:07 et vous allez trouver un très bon équilibre,
31:09 et ce sera fort possible que vous soyez, dans une période de deux ans,
31:13 en couple, et dans une belle réalisation sentimentale.
31:16 Mélanie, prenez soin de vous, et n'ayez pas peur de vous.
31:21 D'accord.
31:23 D'accord ?
31:24 D'accord, merci beaucoup.
31:25 Merci à vous.
31:32 Et la parole est à Caroline. Bonjour Caroline.
31:35 Bonjour Alexandre.
31:36 Bienvenue sur Sud Radio.
31:38 Merci.
31:39 Alors Caroline, vous avez 56 ans, vous vous appelez des Alpes-Maritimes.
31:44 J'en ai un petit peu plus, j'en ai 66.
31:47 Ah, vous en avez ?
31:49 C'est très gentil, mais voilà, 66, j'ai 66 ans.
31:52 Bon, c'est pas très grave, je vous ai un peu rajouté.
31:54 Non, c'est pas très grave, mais je me donne du mal pour justement que ça ne se voie pas.
31:57 Ah, alors peut-être que vous donnez l'apparence d'une femme de 56, peut-être que c'est ça.
32:03 J'ai un écran, mais je ne vous ai pas en photo.
32:06 C'est normal.
32:08 Comment ça va dans votre couple ?
32:11 Pas top, pas top top.
32:13 Non ? Pas top top ?
32:15 Non, pas du tout.
32:16 Racontez-nous.
32:17 Nous sommes ensemble non mariés, car il n'a pas pu divorcer pour des raisons financières.
32:23 Nous sommes ensemble depuis 13 ans.
32:26 Ça a été très bien jusqu'à il y a à peu près un an.
32:30 Puis là, ça ne va pas.
32:33 Là, ça ne va pas.
32:34 Il se grève là-dessus des problèmes d'argent, des problèmes de relation qu'il a que je n'approuve pas,
32:43 donc que je critique, et il n'apprécie pas qu'on le critique comme beaucoup de gens, comme tout le monde.
32:48 Enfin bon, ça ne va pas du tout.
32:50 On vient de se séparer, pas du tout de se séparer, mais enfin bon, il devait aller à l'étranger.
32:55 Il est parti pour deux semaines et on s'est quitté un peu fraîchement.
33:01 Moi, je lui ai dit que je ne voulais pas qu'on se sépare et il ne s'est pas.
33:07 Il ne s'est pas et au téléphone, il est quand même froid.
33:11 D'accord.
33:12 Et moi, je ne veux pas, je ne veux pas qu'on se sépare.
33:14 Voilà, c'est ça.
33:15 D'accord, d'accord.
33:16 Et vous, vous le sentez un peu détaché ?
33:18 Oui.
33:19 Oui.
33:20 Alors bon, de ce que je ressens, Caroline, c'est qu'il faut du temps.
33:25 C'est-à-dire qu'effectivement, votre compagnon actuel semble vouloir pas regarder ou avoir un regard porté sur une autre personne,
33:34 mais je le sens vouloir prendre du temps pour lui, vouloir vivre autrement et se détacher un petit peu de sa relation familiale, affective, sentimentale.
33:45 Mais il y a des possibilités. Il y a des possibilités à ce que les choses puissent avancer et évoluer.
33:51 Donc, peut-être qu'avec un petit peu de patience, peut-être avec un petit peu de compréhension, peut-être aussi avec un petit peu de recul, vous allez arriver à un résultat.
34:01 Moi, de ce que je ressens, Caroline, c'est que je ne sens pas votre histoire complètement terminée.
34:06 J'irais presque partager ou en tous les cas, être un peu dans votre sentiment de se dire qu'il y a moyen, il y a possibilité à ce que la relation puisse évoluer.
34:16 Alors, il y a des moments comme ça qui sont des moments, des caps difficiles et c'est ce que vous êtes en train de vivre.
34:23 Mais vous verrez que les choses vont évoluer progressivement et avec cette possibilité à ce que vous puissiez ensemble repositionner les choses,
34:33 redéfinir votre couple et votre mode de vie et votre fonctionnement ensemble et repartir sur de nouveaux objectifs.
34:40 Voilà de ce que je ressens pour vous, Caroline.
34:43 Ça va, je continue de faire comme je fais depuis un mois, c'est-à-dire de marcher sur des oeufs et de faire très attention à tout ce que je peux dire.
34:51 Oui, enfin, il y a quand même des risques avec les oeufs. Donc, essayez de marcher sur autre chose.
34:57 Merci Caroline, vous nous tenez au courant et puis surtout n'hésitez pas à poster un témoignage sur le groupe à votre écoute.
35:04 Je vous en remercie, au revoir.
35:06 Merci, prenez soin de vous.
35:07 Et si vous aussi vous avez besoin de mon ressenti et d'être accompagné dans votre évolution de vie, n'hésitez pas à appeler le 0 826 300 300.
35:16 On se retrouve dans quelques minutes avec Adrien et restez à l'antenne de Sud Radio.
35:21 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
35:27 Sud Radio à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
35:32 Et de retour sur Sud Radio pour cette dernière partie avant de retrouver les vrais voix, présentées par Philippe David et Cécile Minibus.
35:39 Alors, il vous reste quelques minutes pour passer à l'antenne de Sud Radio.
35:42 Et je reviens sur le groupe à votre écoute pour vous donner le dernier message qui nous vient de Karine.
35:48 Karine nous dit "Une personne peut être dépendante d'une autre sans le sentiment d'appartenance".
35:54 Alors, je vous réponds Karine, et oui, il ne faut pas confondre la dépendance et appartenance.
35:59 Ce sont deux aspects différents.
36:01 L'un est sous forme d'addiction et l'autre a besoin de s'intégrer ou d'exister au sein d'un groupe social ou autre.
36:07 C'est l'exemple, par exemple, d'une équipe de joueurs de foot, vont porter tous un même maillot pour représenter aussi leur appartenance.
36:18 Et la parole est à Adrien. Bonjour Adrien.
36:22 Oui, bonjour Delovane.
36:24 Bienvenue sur Sud Radio.
36:27 Merci, c'est gentil de me recevoir chez vous.
36:32 Avec plaisir et merci de votre fidélité à Sud Radio.
36:35 Adrien, avez-vous ce besoin d'appartenance ?
36:41 Pas du tout.
36:42 Pas du tout. Bon, très bien, ça c'est une bonne chose.
36:46 Vous avez 72 ans, vous êtes retraité. Vous êtes retraité de quel secteur d'activité Adrien ?
36:54 J'étais dans le domaine de la transformation des matières plastiques.
36:57 D'accord, et actuellement vous habitez Cyprien les plages. C'est un joli endroit.
37:01 C'est un Cyprien, oui.
37:05 Racontez-nous un petit peu votre histoire Adrien.
37:10 Mon histoire, j'ai eu deux mariages, deux échecs, deux divorces.
37:15 Voilà, déjà pour commencer. Ensuite, j'étais malade à 54 ans.
37:24 Je n'ai jamais pu retravailler, j'étais mis en invalidité. J'ai eu du mal à remonter la pente.
37:31 Et puis maintenant tout va bien, depuis ce temps-là.
37:35 Je suis parti en Espagne pendant dix ans.
37:38 Oui.
37:39 Donc au soleil, c'était très bien.
37:42 Malheureusement, là-bas en Espagne, je suis remonté sur la France,
37:47 parce que se faire soigner en Espagne, c'est un peu la bouteille à l'encre.
37:51 D'accord, vous étiez où en Espagne ?
37:53 J'étais en dessous d'Alicante.
37:56 D'accord, vous étiez vraiment au soleil.
37:59 Tout à fait, au soleil toute l'année, oui.
38:02 Et là-bas, j'ai eu une relation avec une femme manipulatrice, perverte, narcissique et sadique.
38:10 Ah, c'est beaucoup d'adjectifs.
38:13 Beaucoup, beaucoup. Les mots sont faibles.
38:17 Effectivement.
38:19 J'étais sous sa coupe, on peut dire, elle s'amusait, elle prenait du plaisir.
38:24 Elle s'amusait, elle s'amusait.
38:29 C'était une ancienne psychologue.
38:33 Elle a votre âge ou une différence ?
38:38 Non, on avait une différence de...
38:41 Moi je suis né en 51, elle est née en 56, je crois.
38:45 Donc elle avait un an et cinq ans d'écart.
38:47 Oui, effectivement.
38:49 Et aujourd'hui vous êtes séparé de cette femme ?
38:52 Oui, bien sûr. J'ai réussi à faire le deuil de tout ça.
38:55 Et puis elle a certainement trouvé un autre cobaye.
38:59 Donc comme ça c'est parfait, elle est sortie de ma tête.
39:02 Combien de temps vous êtes resté avec ?
39:05 C'était environ trois ans, mais ça a toujours été avec des hauts et des bas.
39:11 Avec plus de bas que de haut, voilà.
39:14 J'ai perdu mon temps.
39:16 D'accord. Et alors aujourd'hui, quel est votre questionnement ?
39:20 Écoutez, à 72 ans, je me dis que j'aimerais bien trouver la femme qui me convient.
39:25 Oui, il n'y a pas d'âge pour aimer et pour être accompagné.
39:28 Oui, tout à fait.
39:30 Et vous faites des recherches ?
39:33 Ou est-ce que vous avez, vous-même, vous, activé,
39:37 peut-être eu l'initiative d'entreprendre des choses pour rencontrer aujourd'hui ?
39:42 Oui, oui, oui, bon je suis sur un site.
39:45 J'ai rencontré des personnes, bon, je ne sais pas.
39:50 Il n'y a rien de neuf qui accroche.
39:55 C'est étrange, Adrien, parce que vous m'avez parlé de l'Espagne,
39:58 de votre expérience, de ce que vous avez vécu.
40:01 Et moi, si je dois me connecter à votre vibration,
40:04 et surtout de ce que je peux ressentir pour vous sur votre futur sentimental,
40:11 eh bien, je vous sens avoir une personne avec une origine étrangère.
40:16 Alors, ça vous ramène peut-être à voyager, ça vous ramène à vous déplacer.
40:20 Ça ne veut pas dire pour autant que c'est une personne qui vit à l'étranger,
40:23 mais peut-être qui est très attachée à cette notion de son pays d'origine ou d'un autre endroit.
40:29 Et c'est une personne avec qui il y a vraiment une autonomie ou une indépendance.
40:34 Chacun va vouloir vivre de son côté, mais pour pouvoir se retrouver,
40:38 se rapprocher et créer des liens ensemble,
40:41 et aussi pouvoir permettre de partager certaines activités.
40:45 Ça va demander encore un petit peu de temps,
40:47 mais je crois que d'ici un an, vous serez dans cette période de rencontres.
40:51 Et vraiment, c'est un peu comme une rencontre du hasard, elle arrive.
40:54 Alors, c'est peut-être lié par des correspondances ou des contacts d'intermédiaires,
41:01 mais vous verrez que vous aurez un très bon équilibre
41:03 et une capacité à pouvoir faire à nouveau votre vie à deux, Adrien.
41:09 Merci. On doit rendre l'antenne, je suis vraiment désolé.
41:14 N'hésitez pas à nous tenir au courant, Adrien. D'accord ?
41:17 Très bien, je vous remercie pour tout ça.
41:19 Merci à vous.
41:20 Et pour conclure, je dirais que le vrai sentiment d'appartenance,
41:23 c'est de s'appartenir à soi-même, tout simplement.
41:26 Allez, on se redonne rendez-vous demain.
41:28 N'hésitez pas à porter vos témoignages et à communiquer sur le groupe à votre écoute de Facebook.
41:32 Je vous répondrai à l'antenne.
41:34 Passez une belle fin de journée et la place est aux vraies voix.
41:36 Bonsoir, Philippe.
41:37 Bonsoir, Alexandre Delovane.
41:39 Vaut mieux mettre le bouton en marche.
41:41 Oui, je crois.
41:43 Au menu des vraies voix.
41:44 Le bouton rouge, ça marche et le bouton vert, ça marche pas.
41:47 Contrairement à la 7ème compagnie.
41:49 À 17h30, c'est une rumeur qui court.
41:52 Un possible remaniement ministériel.
41:54 Et on vous pose cette question alors que cette majorité,
41:57 qui en est je crois, on ne sait même plus compter,
41:59 au 19ème 49.3, on peut dire est un peu à bout de souffle.
42:03 Est-ce qu'un remaniement peut donner un nouveau souffle à la présidence Macron ?
42:07 Ça fait un an et demi qu'il a été réélu.
42:09 Mais le moins qu'on puisse dire, c'est que tout le monde dit
42:11 que les trois ans et demi qui restent risquent d'être très très longs.
42:15 Est-ce que pour vous, un remaniement, c'est la bonne solution pour redonner un nouveau souffle au quinquennat ?
42:19 Ou pourquoi pas autre chose ?
42:21 Une dit solution, venez nous donner votre avis au 0826 300 300.
42:26 Le coup de projecteur, 18h37.
42:29 #Roman, les 150 millions d'euros dépensés pour le quartier de la Monnaie ont-ils servi à quelque chose ?
42:34 La politique de la ville, on a mis beaucoup d'argent.
42:37 Le premier plan, c'était en 1977, sous Valéry Giscard d'Estaing.
42:40 Voyez si ça date, Raymond Barr était Premier ministre.
42:42 Et c'est Lionel Stollerud qui gérait le premier plan banlieue.
42:45 Et après des milliards et des milliards et des milliards investis, ça va toujours plus mal.
42:50 Alors on se pose cette question, est-ce que ces 150 millions d'euros
42:53 pour un simple quartier d'une ville moyenne en France ont servi à quelque chose ?
42:56 Mais on va élargir bien évidemment le débat.
42:58 Est-ce que pour vous, il faut mettre encore plus d'argent dans les quartiers ?
43:01 Ou est-ce qu'il faut arrêter et passer à autre chose ?
43:04 Même cause, même effet, le 0826 300 300.
43:07 Nos trois vrais voix du jour aujourd'hui.
43:09 Philippe Billiger, Françoise Degoy, Jean Dorigo.
43:11 Bonne émission.
43:12 Sud Radio, à votre écoute, 16h17, Alexandre Delovane.
43:18 Avec Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email.