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Transcription
00:00 c'est pas du tout ça, c'est bien présomptueux.
00:02 Aller jusqu'au bout de ce que je pourrais apporter pour faire valoir mes principes, mes convictions,
00:08 qui découlent de ma vie à la fois dans l'entreprise, mais aussi de mère et de père de famille,
00:14 pour qu'on retrouve le sens de l'efficacité et de la liberté,
00:19 que l'on retrouve un État managé et organisé, et avec des fonctionnaires qui ont des vraies missions,
00:25 qui ne sont pas que dans du back-office administratif, qui ne sont pas que dans la bureaucratie,
00:29 qui sont à nouveau sur le terrain, que l'on retrouve une politique culturelle et une politique éducative ambitieuse.
00:35 - Vous voulez faire valoir vos idées ? Vous avez écrit plusieurs livres.
00:38 - Oui, vous savez, je crois qu'on ne peut pas vivre sans politique.
00:42 Je sais que beaucoup de gens s'éloignent de la politique, mais la politique, c'est ce qui détermine le niveau de l'impôt,
00:47 c'est ce qui détermine la loi, c'est ce qui détermine l'organisation de la vie en commun.
00:51 Donc je suis à un âge de ma vie et à un niveau d'expérience de ma vie
00:55 où je pense que notre pays peut rebondir ou s'écrouler.
00:57 Et je ne veux pas qu'il s'écroule parce que je suis perte de famille.
00:59 Et donc j'essaie, par les convictions que je crois être bonnes, de contribuer à ce qu'il rebondisse.
01:04 Donc il n'y a aucun arrivisme, mais il n'y a aussi aucune limite à l'ambition.
01:08 - C'est un modèle, un devoir ?
01:11 - Non, pas du tout, c'est de la sincérité, c'est de l'honnêteté.
01:13 C'est-à-dire que quelles seront mes capacités politiques dans quelques mois, dans quelques années ?
01:18 Est-ce que j'aurai acquis un niveau de compétence, un niveau de soutien, un niveau de notoriété ?
01:22 Aujourd'hui, je ne suis pas connu.
01:23 Pour faire valoir et gagner ces idées.
01:25 Moi, j'y vais comme j'y vais lorsque je parcours, lorsque je fais une course, un marathon ou autre chose.
01:30 J'y vais pour faire le meilleur résultat possible.
01:32 Et en l'occurrence, ce n'est pas pour moi, c'est le plus utile possible.
01:36 Les idées d'ordre, les idées de liberté comme puissance créatrice d'ordre,
01:41 pour la protection et de l'unité de la nation par la culture,
01:44 eh bien, ce sont des idées que je n'entends plus.
01:46 Et j'arrive à les déployer concrètement dans ma commune.
01:50 Je pense qu'il y a une majorité de Français qui est derrière ces idées de bon sens.
01:54 On a aujourd'hui beaucoup d'adhésion à Nouvelle Énergie.
01:56 Les choses se font en se faisant.
01:59 Donc celle de Jean-Paul Fronier ?
02:01 Je ne sais pas, ce n'est pas à moi de le dire.
02:04 Vous allez le voir, vous allez le déguster avec lui ?
02:06 Oui, bien sûr, je vais le voir. Je suis président des maires.
02:08 Et puis, c'est quand même une personnalité importante de la vie politique française et locale.
02:12 Et je suis très, très heureux et honoré de le rencontrer.
02:16 Mais il vous dira s'il m'a rencontré en tant que président de l'AMF ou en tant que président de Nouvelle Énergie ou les deux.
02:23 C'est lui qui nous dira.
02:25 Merci.

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