• l’année dernière
La connaissance rend heureux - aussi contre-intuitif que cela puisse paraître. Pas de chance, nous sommes abreuvés de fausses informations, qui nuisent à notre savoir. Comment discerner le vrai du faux et construire une connaissance saine ? On en parle dans cet épisode.

0:00 • Introduction / Précédemment
1:08 • Début de l'épisode
1:57 • Contexte de validité de la vérité
4:17 • Discerner le vrai du faux par probabilisme
6:33 • Rôle de la connaissance
7:49 • Danger de la méconnaissance
9:59 • Connaissance et bonheur
11:57 • Écran de fin / Citations

Musique par Jean-Michou : https://soundcloud.com/jean-michou
Texte original : https://amzn.to/3wnTUxP

Retrouvez-moi sur les réseaux sociaux :
Facebook : https://facebook.com/arthur.hennes
Instagram : https://instagram.com/arthur.hennes
Twitter : https://twitter.com/ArthurHennes
LinkedIn : https://linkedin.com/in/arthurhennes
TikTok : https://tiktok.com/@arthurhennes

Me soutenir sur Tipeee : https://fr.tipeee.com/arthur-hennes

#theoriedubonheur #verite #legendeurbaine #fakenews #information #infox #enquete #probabilite #raisonnement #bonheur #philosophie #developpementpersonnel
Transcription
00:00 Nous sommes constamment confrontés à de fausses informations.
00:03 Et ce, pour une raison très simple,
00:05 c'est qu'absolument tout le monde ment.
00:07 Pas que les médias et les politiques, hein.
00:09 Tout le monde.
00:10 Consciemment ou non, vous mentez, je mens,
00:12 les gens mentent extrêmement souvent.
00:14 Ça peut arriver pour tout un tas de raisons,
00:16 par erreur, par paresse, par vanité, par compassion même.
00:19 Les gens mentent les uns aux autres,
00:21 et surtout on se ment à soi-même.
00:23 Alors, comment faire pour différencier le vrai du faux ?
00:26 On va en parler.
00:29 Précédemment, dans Théorie du Bonheur.
00:31 Un message peut être emprunt d'émotion par celui qui nous le transmet.
00:34 Il contient alors deux informations,
00:36 le fait qui nous est communiqué,
00:38 plus une charge émotionnelle.
00:40 Or, quelle que soit cette charge émotionnelle,
00:42 elle ne change rien aux faits communiqués.
00:44 Nous devons faire la part des choses dans nos messages
00:46 entre ce qui relève du fait communiqué
00:48 et ce qui relève de la charge émotionnelle.
00:51 Lorsque nous recevons une information factuelle,
00:53 il n'y a que deux possibilités.
00:55 Elle peut être vraie ou elle peut être fausse.
00:57 Et il n'y a aucun entre deux.
00:59 Je l'ai déjà dit à l'épisode 3 et je le redis,
01:02 il est absurde d'affirmer que la vérité est subjective.
01:05 Ceux qui le soutiennent confondent le fait
01:07 que la vérité est subjective.
01:09 Et c'est ce que nous avons fait.
01:11 Nous avons fait un message qui est très simple,
01:13 qui est un message qui est très simple,
01:15 mais qui est très simple,
01:17 et qui est très simple,
01:19 ceux qui le soutiennent confondent leur perception
01:21 ou encore leur opinion avec la vérité.
01:24 C'est une erreur grossière et dangereuse,
01:26 commise le plus souvent par complaisance et par paresse.
01:29 Vouloir que tout le monde ait raison est une excuse pseudo-bien-pensante
01:32 pour ne pas se remettre en question quand on se trompe,
01:34 et pour ne pas faire l'effort de rechercher la connaissance.
01:37 Appliquée au plus grand nombre,
01:38 une telle conception mène à l'ignorance générale
01:41 et à la médiocrité.
01:43 En revanche, il est exact de dire
01:48 qu'une information n'est vraie ou fausse
01:50 que dans les limites d'un contexte donné.
01:52 Par exemple, si je vous dis que 1+1=2,
01:55 a priori c'est indéniable.
01:57 Pourtant, même cette information dépend d'un certain contexte.
02:00 1+1=2 est vrai parce que nous sommes d'accord
02:02 sur le fait que nous appliquons l'algèbre classique.
02:05 C'est-à-dire que + est un opérateur d'addition,
02:08 = un symbole d'identité,
02:10 et qu'on associe au chiffre la notion de quantité.
02:12 Mais l'algèbre classique n'est pas la seule qui existe.
02:15 En algèbre booléenne, par exemple,
02:17 1+1=2 est non seulement faux,
02:19 mais en plus ça n'a aucun sens,
02:21 parce que le 2 n'existe tout simplement pas.
02:23 En algèbre booléenne, 1+1=1.
02:25 De la même manière, pour donner un exemple moins mateux,
02:28 si je dis "le jour se lève",
02:30 ça peut être vrai pour moi au moment où je le dis,
02:32 mais pour quelqu'un qui m'écoute depuis New York,
02:34 avec le décalage horaire, ce sera alors faux.
02:37 Sauf qu'évidemment, quand je dis 1+1=2 ou "le jour se lève",
02:40 la plupart du temps, j'ai pas besoin de préciser
02:42 l'algèbre que j'utilise, mon créneau horaire
02:44 ou la planète sur laquelle je vis.
02:46 Plus tard, sans doute, on parle alors de contexte implicite.
02:49 Si on est bien au clair sur son contexte,
02:51 on peut juger de si une information est vraie ou fausse.
02:54 Mais si ce contexte est confus,
02:56 alors il faut le clarifier.
02:58 J'ai vu passer cette image sur Internet
03:00 montrant deux personnes, de part et d'autre, d'un chiffre.
03:02 L'un y voit un 6, l'autre y voit un 9.
03:05 Elle est accompagnée d'un texte d'une stupidité prodigieuse qui dit
03:08 "Ce n'est pas parce que tu as raison que moi j'ai tort,
03:11 c'est juste que tu n'as pas le même point de vue que moi."
03:14 Si j'avais écrit le texte, j'aurais dit "Nous sommes de nazes."
03:16 Au lieu de chercher à savoir qui a raison et qui a tort
03:18 pour rassurer nos petits égaux minables
03:20 parce que nous sommes trop lâches pour nous remettre en question,
03:22 nous devrions nous demander dans quel contexte
03:24 ce symbole a été tracé au sol et à quel usage,
03:26 afin d'en comprendre la véritable signification.
03:29 Forcément, c'est un peu plus long.
03:31 En philosophie, l'un des plus gros problèmes
03:33 est la définition des termes employés.
03:35 On peut bien s'acharner à débattre à propos du bonheur,
03:37 de la liberté, de la justice.
03:39 Si vous et moi n'avons pas la même définition
03:41 de chacun de ces termes, nous n'arriverons jamais
03:43 à nous mettre d'accord et il ne ressortira
03:45 de notre échange que de la confusion.
03:47 Et c'est pour ça que je suis un peu lourd,
03:50 parfois, à bien approfondir certaines définitions,
03:53 même sur des trucs qui paraissent évidents.
03:55 C'est parce que je juge que sans ces clarifications,
03:57 nous risquons d'avoir l'impression de parler de la même chose,
04:00 alors qu'en fait pas du tout, et de ne pas nous comprendre.
04:03 Quant à savoir si une information est vraie ou fausse,
04:09 vous trouverez toujours des gens pour vous dire
04:11 "Oui, de toute façon, on ne peut jamais être sûr
04:13 qu'une information est absolument vraie,
04:15 alors à quoi bon chercher la vérité ?"
04:17 Là aussi, c'est une bonne excuse de branleur
04:19 trop fainéant pour se servir de son cerveau.
04:21 "Se servir de son cerveau"...
04:23 Ouais, c'est une belle allitération, ça.
04:25 Il est sain de garder une distance
04:27 par rapport à ce qu'on sait être vrai,
04:29 et d'être capable d'envisager que ça puisse être faux,
04:32 ne serait-ce que parce que les différences de contexte
04:34 dont on vient de parler peuvent nous induire en erreur.
04:36 Mais ça ne veut pas dire qu'il faut s'abstenir
04:38 de juger rationnellement si les informations
04:40 qu'on reçoit sont vraies ou fausses.
04:42 Au contraire, ça nous impose d'exercer un jugement
04:44 encore plus fin, qu'on appelle probabiliste.
04:46 Alors, probabiliste, ça veut dire que
04:48 lorsqu'on évalue une information,
04:50 on ne devrait pas conclure qu'elle est vraie,
04:52 fausse, ou qu'on ne sait pas.
04:54 À la place, on devrait estimer un pourcentage
04:56 de confiance dans la véracité de cette information.
04:59 0% signifiant que vous êtes absolument sûr
05:01 qu'elle est fausse,
05:03 100% que vous êtes absolument sûr qu'elle est vraie,
05:06 et 50% que vous avez autant de raisons
05:08 de penser qu'elle est fausse que de raisons
05:10 de penser qu'elle est vraie.
05:12 L'exercice de notre jugement quand on reçoit
05:14 une information consiste à préciser
05:16 ce pourcentage de confiance
05:18 au moyen de notre raisonnement.
05:20 Et ce, jusqu'à avoir confiance
05:22 dans le pourcentage de confiance.
05:24 Bah oui, si on tire ce chiffre au hasard, ça sert à rien.
05:26 Il nous faut de bonnes justifications pour avoir confiance
05:28 ou ne pas avoir confiance dans une information.
05:31 On va prendre un exemple.
05:32 Si je vous dis que je diffuse cette émission
05:34 depuis mon vaisseau spatial,
05:36 en orbite autour de Saturne,
05:38 vous aurez tout un tas de très bonnes raisons de penser que c'est faux.
05:40 Il faudrait pour ça que j'aie voyagé jusqu'à Saturne
05:42 depuis la Terre,
05:44 ou alors que je sois un extraterrestre.
05:46 Or dans les deux cas, c'est très improbable.
05:48 Vous allez donc, à juste titre, accorder un pourcentage
05:50 de confiance quasi nul à cette information.
05:52 Pas tout à fait zéro quand même,
05:54 parce que vous ne pouvez pas prouver de manière certaine
05:56 que je ne suis pas réellement là-bas.
05:58 Mais si vous deviez parier,
06:00 vous ne miseriez raisonnablement pas sur le fait que j'y suis.
06:02 J'insiste d'ailleurs là-dessus
06:04 parce que c'est important.
06:06 On le voit bien avec cet exemple,
06:08 c'est pas parce qu'on ne peut pas prouver qu'un truc est faux
06:10 que ce truc est probablement vrai.
06:12 Or ça, c'est un argument fréquemment utilisé
06:14 pour défendre de nombreuses croyances.
06:16 Et il n'a absolument aucune valeur.
06:18 Il y a quelques épisodes, je rappelais
06:24 que le fait d'avoir mangé juste avant d'aller se baigner
06:26 n'augmentait pas le risque d'hydrocution,
06:28 et que ça n'était qu'une légende urbaine.
06:30 Vous m'avez peut-être cru sur parole,
06:32 vous avez pensé que j'ai tort,
06:34 parce que vous avez toujours entendu dire le contraire.
06:36 Pour trancher sur ce sujet, il faut raisonner,
06:38 et ne pas simplement s'arrêter à qui affirme quoi.
06:40 On peut rechercher dans ce qu'on sait du fonctionnement du corps humain
06:42 si quelque chose justifierait
06:44 que nous soyons plus sujet à l'hydrocution
06:46 lorsque nous digérons.
06:48 Or, notre connaissance du corps humain montre sans équivoque
06:50 que même si la digestion a bien des effets
06:52 sur notre métabolisme,
06:54 ceci ne justifie aucunement
06:56 une augmentation significative
06:58 du risque d'hydrocution.
07:00 Alors évidemment, je ne suis pas médecin,
07:02 donc je ne suis pas arrivé à cette conclusion tout seul.
07:04 Ne disposant pas moi-même de cette connaissance,
07:06 j'ai recherché des témoignages de spécialistes,
07:08 de médecins, de scientifiques,
07:10 afin de m'en convaincre.
07:12 J'ai déterminé mon pourcentage de confiance dans cette information
07:14 en croisant l'avis de différentes sources crédibles,
07:16 de préférence indépendante les unes des autres,
07:18 afin d'éviter les effets d'écho.
07:20 Notre raisonnement,
07:22 pour savoir si une information est vraie ou fausse,
07:24 s'appuie sur la connaissance.
07:26 Si nous ne disposons pas nous-mêmes
07:28 de la connaissance nécessaire pour clarifier un doute,
07:30 alors il nous faut la rechercher
07:32 et nous assurer de sa fiabilité.
07:34 Si la connaissance sur laquelle on se base
07:40 pour clarifier un doute est fausse ou incomplète,
07:42 alors on peut tirer de mauvaises conclusions.
07:44 Ne pas en savoir assez pour résoudre une question,
07:46 c'est une chose à laquelle on peut remédier,
07:48 comme on vient de le voir, par la recherche.
07:50 Par contre, être convaincu
07:52 qu'on a les connaissances nécessaires
07:54 alors même que ces connaissances sont fausses,
07:56 ça c'est dangereux.
07:58 Et c'est pour ça qu'il faut faire preuve d'humilité
08:00 quand on recherche la vérité.
08:02 On peut pécher par excès de confiance dans ce domaine,
08:04 et ça ne fait jamais de mal de bien vérifier
08:06 que les connaissances sur lesquelles on se base
08:08 ne sont pas erronées.
08:10 Si on ne sait pas un truc,
08:12 il nous faut reconnaître qu'on ne le sait pas.
08:14 Vous en trouverez toujours certains
08:16 qui, confrontés à une information dont ils ne savent pas
08:18 si elle est vraie ou fausse,
08:20 se croiront profonds et intelligents en concluant que,
08:22 après tout, chacun est libre de choisir
08:24 ce qu'il veut croire.
08:26 Pour ces gens-là, il faudrait inventer une espèce de machine
08:28 à distribuer des baffes
08:30 et les installer 24h dessus.
08:32 Imaginons que vous abordez un croisement en voiture
08:34 avec haute visibilité.
08:36 Vous ne savez pas si quelqu'un va débouler de la droite,
08:38 donc vous ralentissez,
08:40 parce que vous reconnaissez que vous ne savez pas
08:42 s'il y a quelqu'un, donc vous vérifiez avant de passer.
08:44 Si un conducteur approchant de cette intersection
08:46 choisit de croire qu'il n'y a personne
08:48 parce qu'il a envie de faire le kék
08:50 et d'appuyer sur le champignon,
08:52 il a une autre raison, par chance.
08:54 Il se convaincra même que de toute façon, il sait bien,
08:56 il passe ici tous les jours et il n'y a jamais personne
08:58 qui arrive de la droite à cette intersection.
09:00 Sauf que le jour où, exceptionnellement, il y aura quelqu'un,
09:02 il mettra en danger sa vie,
09:04 et surtout celle des occupants du véhicule d'en face,
09:06 qui, eux, n'ont rien demandé.
09:08 Savoir qu'on ne sait pas un truc
09:10 est nécessaire à notre prise de décision.
09:12 Remplacer ce savoir par un choix ou une croyance
09:14 ne peut que nous induire en erreur.
09:16 Ça ouvre surtout la porte à notre biais de préférence,
09:18 parce qu'on choisit généralement de croire
09:20 non pas ce qui est vrai, mais ce qu'on voudrait qu'il soit vrai.
09:22 Et pour finir, certains affirmeront encore
09:24 que quand on ne sait pas un truc,
09:26 alors il faut se fier à son intuition.
09:28 L'intuition, j'ai déjà expliqué à l'épisode 5
09:30 qu'on y a trop souvent recours
09:32 par flemme d'exercer un raisonnement rigoureux.
09:34 Or, ce n'est pas un outil fiable.
09:36 J'ai recommandé de ne nous appuyer dessus
09:38 qu'en dernier recours,
09:40 dans les situations où notre raisonnement
09:42 ne permet pas à lui seul d'aboutir à une décision ferme.
09:48 Je récapitule ce qu'on vient de voir.
09:50 Lorsqu'on reçoit de l'information,
09:52 nous devons la passer au crible de notre raisonnement,
09:54 afin de trier entre le vrai et le faux,
09:56 et aussi d'ailleurs,
09:58 entre l'important et le pas important.
10:00 L'information que nous jugeons fausse
10:02 ou sans intérêt est rejetée,
10:04 tandis que celle que nous jugeons vraie et importante
10:06 alimente notre connaissance.
10:08 Si notre raisonnement est défectueux,
10:10 ou si, comme visiblement
10:12 beaucoup trop de gens sur les réseaux sociaux,
10:14 nous ne faisons pas ce tri,
10:16 nous appraisons une connaissance fausse.
10:18 Or, cette connaissance intervient dans notre raisonnement,
10:20 lorsque nous jugeons si de nouvelles informations
10:22 sont à leur tour vraies ou fausses.
10:24 Vous le voyez venir, le cercle vicieux !
10:26 Si notre connaissance est corrompue,
10:28 alors nous jugeons mal de la véracité
10:30 de nouvelles informations,
10:32 nous continuons de l'alimenter avec des contre-vérités,
10:34 et ainsi de suite.
10:36 De plus, comme on l'a vu, on ne peut pas être certain
10:38 à 100% de la validité de notre connaissance.
10:40 Nous ne lui accordons qu'un pourcentage
10:42 de confiance, qu'on cherche à affiner.
10:44 Et il nous faut aussi connaître
10:46 les limites du contexte dans lequel notre connaissance
10:48 s'applique. En d'autres termes,
10:50 nous devons régulièrement remettre en question
10:52 notre connaissance, la consolider,
10:54 ou la remplacer lorsqu'elle s'avère incorrecte.
10:56 Et oui, c'est du boulot.
10:58 Mais pour rappel, cette connaissance
11:00 alimente notre raisonnement,
11:02 sur laquelle nous nous appuyons pour prendre nos décisions.
11:04 Si on ne soigne pas notre connaissance,
11:06 alors on prend de mauvaises décisions.
11:08 Des décisions qu'on regrette.
11:10 Des décisions qui nous rendent malheureux.
11:12 A l'inverse, la connaissance nous permet
11:14 de mener notre barque et d'aller là où on veut aller.
11:16 En d'autres termes, elle nous confère
11:18 de la puissance et de la liberté.
11:20 Et la satisfaction qui en découle contribue
11:22 directement à notre bonheur.
11:24 On n'en a pas encore
11:26 fini avec ce mécanisme et je vais encore
11:28 le développer parce que tel que vous le voyez,
11:30 il est incomplet. L'information
11:32 n'est pas la seule à alimenter notre connaissance.
11:34 Il nous faut aussi considérer
11:36 le rôle de notre expérience.
11:38 Et ça, je vous en parle
11:40 au prochain épisode.
11:42 C'est la rentrée ! Je suis très
11:44 heureux de vous retrouver avec ce quatorzième épisode.
11:46 J'espère qu'il vous a plu.
11:48 Si c'est le cas, je vous encourage à cliquer sur l'éloquent pouce en l'air,
11:50 à vous abonner, à activer la petite cloche
11:52 pour être notifié des prochaines vidéos,
11:54 à commenter et surtout à partager cet épisode.
11:56 Nous avons largement dépassé
11:58 la centaine d'abonnés au cours de l'été,
12:00 je vous dis un énorme merci pour ça,
12:02 et aussi pour vos encouragements et vos remarques
12:04 grâce auxquels je continue à faire progresser la série.
12:06 Je vous reviens très vite avec les épisodes
12:08 15 et 16 dont j'ai déjà écrit une très grosse partie.
12:10 En fait, comme d'habitude, j'ai écrit
12:12 un épisode 14 beaucoup trop gros, il a fallu que je le coupe
12:14 en trois afin de le rendre digeste.
12:16 Mais ça, je me fous le coup à chaque fois, quoi.
12:18 Enfin voilà, c'est tout pour moi, je vous dis à la prochaine,
12:20 et d'ici là, prenez soin de vous.
12:22 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
12:25 "La vie est une aventure"
12:28 [SILENCE]

Recommandations