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Dans la vie, on souffre toujours.

Si on définit le bonheur comme l'absence de souffrance, alors on n'est jamais heureux.

Voilà pourquoi le bonheur n'est pas notre capacité à éviter chaque goutte de pluie... mais plutôt à danser sous la pluie.

0:00 • Introduction - Apprendre à danser sous la pluie
1:15 • Précédemment dans TdB
1:45 • Début de l'épisode - Infortune et interprétations bidons
3:04 • Petites et grandes infortunes
4:05 • La résilience
5:06 • La maîtrise de soi
6:48 • Souffrance et accoutumance
8:08 • La souffrance rend libre !?
9:38 • Souffrir pour apprécier l'agréable
10:44 • Souffrir nous réunit
11:53 • Le droit de ne plus continuer
12:45 • Écran de fin / citations

Thème principal par Jean-Michou : https://soundcloud.com/jean-michou
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Transcription
00:00 On avait vu qu'il n'est jamais possible de dire si on est chanceux ou mal chanceux
00:03 parce que quelles que soient les circonstances auxquelles on fait face
00:06 elle pourrait toujours être meilleure comme elle pourrait toujours être pire
00:09 Et ça, ça a deux implications
00:11 La première c'est que même quand on souffre on peut toujours se satisfaire à l'idée que ça pourrait être pire
00:16 "Mais tu sais le meilleur de la douleur ?"
00:19 "Oh non !"
00:20 "Ca te fait savoir que tu n'es pas encore mort !"
00:22 Et la seconde c'est que si pour profiter de la vie on attend d'avoir aucune souffrance, de vivre des conditions idéales
00:28 et ben on profitera jamais de la vie
00:30 Parce qu'à bien y réfléchir, les tuiles c'est pas qu'il nous en arrive souvent
00:33 c'est plutôt qu'il n'y a aucun moment où il nous en arrive pas
00:36 Et donc il n'y a aucun moment où on ne ressent aucune souffrance
00:39 C'est pour ça que c'est une très mauvaise idée de définir le bonheur comme une absence de souffrance
00:44 parce que si on dit ça, alors on n'est jamais heureux
00:47 Bien au contraire, le bonheur réside dans notre capacité à nous satisfaire même dans les circonstances défavorables
00:52 Voilà pourquoi dans cet épisode on va pas chercher à se mettre à l'abri de la moindre goutte de pluie
00:56 à la place on va apprendre à danser sous la pluie
00:59 Précédemment dans Théorie du Bonheur
01:03 Quoi qu'on fasse dans la vie, il est impossible de se mettre complètement à l'abri de l'infortune
01:08 Il nous arrivera toujours des tuiles
01:09 même en oubliant que tout ce que la vie nous offre nous sera fatalement enlevé un jour
01:13 Il faut aussi se rappeler que notre fortune ne découle pas que de nos actions
01:17 mais aussi d'une part de hasard sur laquelle nous n'avons pas le contrôle
01:20 Or quoi qu'on fasse, on ne pourra jamais supprimer complètement cette part de hasard
01:25 et elle pourra toujours suffire à tout nous enlever
01:27 Mais qu'est ce que j'ai fait pour mériter ça ?
01:42 Peut-être vous êtes vous déjà posé cette question un jour où il vous est arrivé une tuile
01:47 un peu comme si votre malchance procédait du karma, de la justice divine ou d'autres fantaisies du genre
01:53 Et pourtant on l'a vu, le hasard ne nous cible pas personnellement
01:57 Le hasard ce sont les circonstances qu'on ne contrôle pas
02:00 par opposition à notre action qui sont les circonstances que l'on contrôle
02:03 Donc le hasard parfois il va dans notre sens, parfois il va contre nous
02:06 mais nous on n'y peut rien
02:08 Et pourtant beaucoup de gens persistent à penser que s'il leur arrive malheur c'est qu'il y a forcément une raison
02:13 quitte à inventer qu'ils sont punis pour tel ou tel acte qu'ils auraient commis alors soit dans cette vie
02:17 soit dans une autre tant qu'on y est
02:19 parfois même en se plaignant de l'injustice de leur punition alors même qu'elle est imaginaire
02:24 Et on peut aller assez loin dans ce genre de délire, le problème c'est que rien de tout ça ne nous aide à affronter la réalité de ces situations
02:29 "Ça c'est des trucs de trouillards et t'en es pas un toi, tu vaux mieux que ça"
02:33 On n'avance pas plus vite en se roulant en boule et en culpabilisant pour des fautes qu'on n'a pas commises
02:37 ou encore en nous victimisant voire en nous révoltant contre du vent, ce qui en plus nous donne l'air ridicule
02:43 Si on ne peut rien faire contre notre souffrance, on n'a pas d'autre choix que de l'accepter et de la supporter
02:48 "On est toujours confrontés au cours de nos vies à des circonstances défavorables"
02:52 Parmi elles, certaines sont sans grandes conséquences comme le temps qu'il fait ou le trafic sur notre route qui nous met en retard
02:57 mais d'autres peuvent être beaucoup plus sérieuses comme quand on se tape un gros souci de santé ou quand on perd un proche
03:02 Et plus une circonstance qu'on subit est grave, autrement dit plus elle nous affecte
03:06 plus on aura besoin de temps pour encaisser, pour exprimer notre émotion, pour travailler sur nous avant de vraiment pouvoir en revenir
03:13 On en avait parlé déjà à l'épisode 4, les circonstances qu'on rencontre dans la vie provoquant nous des émotions
03:18 et ces émotions, elles dépendent de notre inconscient, c'est pas nous qui les décidons
03:22 C'est la raison pour laquelle on ne peut pas juste arrêter d'être triste
03:26 "Tu es triste ? Arrête"
03:29 Tout simplement parce qu'on n'a pas de contrôle conscient là-dessus
03:32 Et en particulier quand on rencontre des circonstances graves, bah il faut pas s'en vouloir d'avoir besoin de temps pour les digérer
03:37 Sans compter qu'elles peuvent avoir sur nous des impacts psychologiques et psychologiques
03:41 importants, qui rendent parfois nécessaire qu'on ait recours à des professionnels pour y faire face
03:45 et il faut surtout pas hésiter à le faire dans ces cas-là
03:48 Tout le monde n'a pas la même résistance face à l'infortune
03:54 Autant certains tiennent le choc dans des circonstances très difficiles
03:57 Autant d'autres s'effondrent à la moindre contrariété
04:00 "Je sais que tu termines à 18h et aujourd'hui normalement, mais s'il y avait moyen que tu restes 5 minutes de plus pour aider parce que la maison est en feu"
04:06 "Aaaaaah"
04:08 "5 minutes"
04:09 Cette résistance à l'infortune, c'est ce qu'on appelle la résilience
04:14 Et donc il existe des personnes peu résilientes, quand d'autres le sont beaucoup plus
04:18 Mais le truc c'est que notre résilience, elle est pas toujours constante
04:22 Rien que quand on est bien reposé par exemple, on encaisse beaucoup mieux les mauvaises nouvelles que quand on est crevé et de mauvais poil
04:28 Et donc puisqu'il est possible de faire varier notre résilience
04:31 Et bien nous ce qui va nous intéresser, c'est de chercher à la faire grandir
04:34 D'une part parce que ça nous permettra de garder notre sang froid et donc de réagir intelligemment aux contrariétés que la vie nous balance
04:40 Et d'autre part parce que, mine de rien, on passe quand même des journées plus agréables quand on s'écroule pas tous les quarts d'heure pour un oui pour un non
04:46 Vous vous êtes sûrement déjà cogné un orteil contre un meuble
04:53 Dans ces cas là, on a tendance à réagir, à grogner au minimum 4 ou 5 fois par semaine
04:58 Dans ces cas là, on a tendance à réagir, à grogner au minimum, voire plutôt à gueuler un bon coup pour extérioriser le truc
05:04 Alors c'est surtout dû à l'effet de surprise hein, mais n'empêche moi j'essaie de plus le faire
05:11 Parce que je me dis, bah une douleur qui va passer dans moins d'une minute, finalement est-ce que ça justifie vraiment que je braille comme un cochon ?
05:18 Si je réagis comme ça pour des trucs aussi insignifiants, comment est-ce que je devrais réagir pour des trucs plus graves ?
05:22 Et c'est pareil pour toutes les petites contrariétés du quotidien auxquelles on peut pas grand chose
05:26 Comme le trafic, l'ordi qui bug, les pertes de temps administratives
05:29 Quand tu te mords la langue, les gens qui mangent la bouche ouverte, les toccards qui t'appellent pour te parler de ton compte CPF
05:34 Les mecs qui ont jamais découvert le savon et qui montent en même temps que toi dans le métro blindé
05:38 La copine qui écrase comme une bourrine le milieu du tube de dentifrice alors que toi tu prends délicatement le soin de le presser par l'arrière
05:43 Bref, il y a les émotions que ces circonstances provoquent en nous
05:47 Et puis il y a notre comportement face à ces circonstances
05:50 Et d'accord, nos émotions peuvent influencer notre comportement
05:54 Mais ça veut pas dire qu'il faut les laisser totalement nous contrôler
05:57 Autrement, d'une ça ferait de nous les esclaves de nos émotions, on serait pas libre
06:01 De deux, nos émotions nous feraient faire des choses qui aggraveraient les situations
06:05 Si quand on se tape l'orteil contre un meuble on s'énerve tellement qu'on met un coup de poing dans un mur
06:09 Bah le résultat c'est qu'on a mal à deux endroits, c'est encore plus énervant
06:12 Tenez, regardez cette andouille là
06:14 Et voilà, ça lui apprendra à respecter le matériel
06:16 Bref, garder la maîtrise de soi c'est ce qui permet de ne pas aggraver les situations
06:20 Et les circonstances pas trop graves, on peut aussi les voir comme des occasions de nous y entraîner
06:25 Parce que si on apprend à garder notre sang froid dans des circonstances pas trop graves
06:28 Bah on est déjà mieux équipé pour y parvenir dans des circonstances plus sérieuses
06:32 Quand j'ai commencé la course à pied, courir 4 km ça m'était très pénible
06:40 Et à l'époque quand je sortais courir, je faisais 4 tours du parc à côté de chez moi
06:43 Chaque tour faisant à peu près 1 km
06:45 Après quelques sorties, un jour où je finissais mon quatrième tour
06:48 Et bah je me suis poussé à en faire un cinquième
06:50 Puis la fois suivante un sixième, puis un septième, et ainsi de suite jusqu'à dix
06:53 Et depuis, quand je sors courir, c'est pour faire 10 km
06:56 Si bien qu'aujourd'hui, si on me dit d'aller courir 4 km
06:59 Bah ce truc là qui me paraissait très difficile avant, me paraît maintenant très facile
07:04 La souffrance, dans une certaine limite, c'est comme le plaisir
07:07 A force d'en faire l'expérience, on s'y habitue
07:09 Et ainsi elle nous paraît de plus en plus supportable
07:12 Ce qui veut dire que plus on souffre, plus on devient résilient
07:15 C'est pour ça que quelqu'un qui ne souffre presque jamais va beaucoup plus déguster les rares fois où ça lui arrive
07:20 Et qu'inversement, quelqu'un qui a souffert sera plus solide, encore une fois dans une certaine limite
07:29 C'est aussi pour cette raison d'ailleurs qu'il ne faut pas toujours fuir la souffrance
07:41 Alors attention, je ne dis pas qu'il ne faille volontairement se faire mal
07:44 Et par exemple, on n'est pas obligé de se gaver d'antidouleurs au moins de petits mal de crâne
07:48 Ni de se mettre une caisse pour oublier le moindre petit chagrin
07:51 On peut aussi s'entraîner à le supporter
07:53 La résilience, c'est pas que notre capacité à encaisser les coups durs de la vie
08:01 Chaque fois qu'on se lève le matin pour aller bosser alors qu'on préférerait dormir
08:04 Chaque fois qu'on prolonge un effort physique alors que nos muscles sont fatigués
08:08 Chaque fois qu'on se retient de bouffer la boîte entière de spéculoos au chocolat alors qu'on en crève d'envie
08:12 Je me dégoûte
08:14 On fait appel à notre résilience puisqu'on choisit d'endurer une souffrance qu'on pourrait éviter
08:19 Et pourquoi on fait ça ? Bah parce que ça nous permet d'avoir une carrière
08:22 De nous maintenir en bonne santé, de pas finir en gros machin tout flasque
08:25 Si on n'était pas capable de se faire violence, on n'accomplirait jamais rien dans la vie
08:28 Parce que rien dans la vie ne s'obtient sans effort
08:30 La résilience, c'est ce qui nous permet de nous discipliner, de poursuivre nos objectifs
08:34 Même quand c'est difficile, au lieu de rester les esclaves de nos moindres caprices
08:38 En fait, plus on est résilient, plus on est libre
08:41 Et ce qui est marrant avec cette conclusion, c'est que si effectivement la résilience nous rend libre de faire plus de trucs
08:47 Et si, comme on l'a vu plus tôt, souffrir rend résilient
08:50 Alors, par transitivité, ça veut dire que souffrir rend libre et nous permet de nous accomplir
08:56 Mouais bon, je vais tout de suite nuancer ça parce que, encore une fois, c'est valable que dans une certaine limite
09:02 Il existe bien sûr des souffrances si dures qu'elles nous brisent au lieu de nous rendre plus forts
09:06 Donc voilà quoi, n'allez pas tout de suite vous casser tous les os du corps s'il vous plaît
09:09 C'est pas du tout ce que je voulais dire
09:11 Bon, là on revient à des fêtes de fin d'année
09:28 Et on va pas se mentir, j'ai un peu forcé sur la bouffe
09:30 Si bien que, bah, voilà, je recommence à faire attention
09:33 Et c'est pénible parce que, en attendant de réhabituer mon corps à manger moins, bah, y'a des moments, j'ai faim quoi
09:38 Mais je me dis que si j'évite de grignoter entre les repas, bah, au moment de passer à table, j'aurai vraiment faim
09:44 Et à ce moment là, je prendrai vraiment plaisir à manger, même quelque chose de léger
09:48 Dans la même idée qu'on est jamais aussi content de bien respirer que quand on guérit d'un rhume
09:52 Qu'on est jamais aussi content de se blottir au chaud dans le lit contre notre partenaire que quand on se lève tôt pour aller courir dans le froid, etc
09:58 A l'épisode 42, j'ai dit qu'on était de moins en moins sensible à nos plaisirs parce qu'on a tendance à s'y habituer
10:04 Et la privation, la frustration ou plus largement la souffrance, ça permet de casser notre habitude, ça introduit du contraste
10:10 Ça nous donne l'occasion de redécouvrir les plaisirs dont on a le privilège de profiter et de de nouveau les trouver agréables
10:17 En d'autres termes, si on ne connaissait pas la souffrance, bah rien ne nous serait agréable
10:21 Et ok, c'est pas la consolation du siècle, mais c'est quand même une idée à laquelle on peut se raccrocher quand on traverse un moment difficile
10:32 Vous vous êtes peut-être déjà trouvé un peu bête dans une situation où vous parliez à quelqu'un qui vient de perdre un proche par exemple
10:37 Et à qui vous aviez aucune idée de quoi dire parce que bah si ça vous est jamais arrivé, vous pouvez pas savoir ce que cette personne traverse et vous allez pas l'inventer
10:44 Dans un tel cas, c'est normal, même en étant très empathique, de pas réussir à vous mettre à sa place
10:49 Il faut pas vous en vouloir pour ça et encore moins essayer de vous persuader que si en fait vous comprenez ce que c'est
10:53 Parce que si vous faites ça, vous allez braquer la personne
10:56 Ça veut pas dire que vous pouvez pas trouver un moyen de l'aider, mais ça vous sera moins facile parce qu'il faudra trouver ce moyen sans comprendre totalement sa détresse
11:03 La souffrance peut créer un mur d'incompréhension entre ceux qui souffrent et ceux qui n'ont pas souffert
11:08 Mais quelque part, ça veut aussi dire que souffrir, bah ça nous permet aussi de comprendre ceux qui souffrent ou qui ont souffert
11:14 Et donc de nous rapprocher d'eux
11:16 En quelque sorte, la souffrance à sa manière bien à elle, bah de nous réunir
11:20 Et bon pareil, je sais que c'est pas une très grande consolation, mais ça reste toujours ça de pris, même dans les moments où on est accablé
11:26 De savoir que grâce à ça, on pourra comprendre et aider d'autres personnes à traverser ce qu'on a traversé
11:32 "L'amour de la terre, ça aide, je sais"
11:37 Enfin on l'a vu, contrairement à la perte, il n'existe pas de limite à la quantité de souffrance qu'on peut subir
11:46 Et il peut même arriver, dans des situations extrêmes, que ce que l'existence a à nous offrir ne fasse plus du tout le poids face à notre souffrance totale
11:54 Et notamment dans les cas de fin de vie où il n'existe pas d'espoir d'amélioration, bah je peux tout à fait concevoir qu'on préfère s'arrêter de vivre
12:01 Ce que je conçois beaucoup moins en revanche, c'est qu'on s'oppose à cette volonté
12:05 Qu'on soit triste de voir un proche partir, ça je comprends
12:08 Mais baragouiner que la vie est un cadeau, qu'il faut absolument en profiter jusque dans les derniers instants quand on sait à quel point il est possible de souffrir
12:14 Souvent sur la base de croyance, ce qui manque pas une fois de plus d'en prouver la toxicité
12:18 Bah pour ça je pense qu'il faut jamais avoir été confronté à ce genre de situation, il faut jamais avoir vu ne serait-ce que son animal de compagnie souffrir
12:25 Parce qu'autrement, bah je m'explique pas comment on peut être aussi inhumain
12:29 Et c'est sur cette conclusion pleine de joie de vivre que s'achève cet épisode 46
12:34 Je vous avoue que j'ai hâte de reparler de choses un peu plus rigolotes que la souffrance
12:38 Désolé pour l'attente, j'ai profité des vacances pour me reposer et aussi prendre du recul quant à ma façon de travailler sur cette chaîne
12:43 Mais je vous reviens en pleine forme avec une meilleure organisation de travail et j'espère que ça va se voir
12:47 Nous avons passé les 20 000 abonnés, un grand merci à tous, ça fait très plaisir de commencer l'année comme ça
12:52 On continue sur cette belle lancée, bien sûr pour ça je vous invite à liker, vous abonner, activer la cloche, commenter ou partager cet épisode
12:58 Si vous souhaitez contribuer à financer mon travail ici, vous en avez toujours la possibilité soit grâce à ma page Tipeee, soit grâce au bouton "merci"
13:04 Évidemment un immense merci à mes généreux contributeurs dont les noms s'affichent maintenant à l'écran
13:08 Voilà c'est tout pour moi, je vous dis à la prochaine et d'ici là...
13:12 Prenez soin de vous !
13:14 [Musique]

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