Le président de la République a assuré ce mercredi 19 avril avoir du « respect » et de « l’amitié » pour le patron de la CFDT Laurent Berger, qui a annoncé qu’il quitterait ses fonctions le 21 juin, niant que leur relation se résume au « désaccord » sur la réforme des retraites.
« C’est quelqu’un pour qui j’ai du respect, oserais-je dire de l’amitié », a affirmé le chef de l’État à la presse lors d’un déplacement en Alsace, soulignant avoir « toujours très bien travaillé » avec Laurent Berger.
Laurent Berger a annoncé ce mercredi qu’il quitterait au 21 juin ses fonctions à la tête du premier syndicat français, mettant en avant une « décision mûrement réfléchie ».
« C’est quelqu’un pour qui j’ai du respect, oserais-je dire de l’amitié », a affirmé le chef de l’État à la presse lors d’un déplacement en Alsace, soulignant avoir « toujours très bien travaillé » avec Laurent Berger.
Laurent Berger a annoncé ce mercredi qu’il quitterait au 21 juin ses fonctions à la tête du premier syndicat français, mettant en avant une « décision mûrement réfléchie ».
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00:20 C'est quoi le bilan de la relation Macron-Berger, la grande incontrôlable ?
00:23 Non, pas du tout. Non mais là il y a un désaccord sur les retraites.
00:26 Ce qui ne concerne pas que le président de la République et que Laurent Berger.
00:29 Mais qui, que j'ai exprimé dès la campagne, et je sais très bien quelle est sa position et je la respecte.
00:37 Très honnêtement, c'est quelqu'un sous différentes conditions avec qui moi j'ai toujours très bien travaillé.
00:42 Ce n'est pas un désaccord sur un sujet qui vaut pour toute une relation.
00:46 C'est quelqu'un pour qui j'ai du respect, au derrière je dirais de l'amitié.
00:49 Avec qui j'ai toujours eu des discussions, d'ailleurs bien au-delà de ses simples fonctions, de son mandat.
00:54 Sur aussi la vie et le reste de la société, qui joue encore un rôle important dans un grand syndicat français.
01:02 Et donc c'est plutôt du respect et de l'amitié.
01:05 Et après, on peut avoir des désaccords.
01:07 C'est quelqu'un pour ses missions.
01:08 Ça aurait été un réel adversaire ou un adversaire au final Laurent Berger ?
01:10 Non, non, non, non. Le président de la République, il n'a pas d'adversaire, ni dans les responsables, ni dans les syndicats.
01:15 Les mots ont plein sens.
01:16 [Musique]
01:25 [SILENCE]