04 - Limans - RandoCool - Pierres Perçées et Oppidum de St Pierre
12 randonneurs se retrouvent au pied d’un pigeonnier, sur le parking du village.
Nous quittons Limans par le GR6 que nous suivons jusqu’à la ferme des Ybourgues, monument classé.
Nous revenons sur nos pas pour prendre le chemin qui prolonge le GR6 que nous suivons 800 m environs avant de prendre à droite puis à gauche malgré un panneau qui indique une voie privée.
Nous restons discret sur la montée et juste après St Lambert, nous quittons les zones (si peu) habitées.
Là, nous montons et pour qui sait les dénicher, nous commençons à voir ici et là quelques pierres percées.
Après avoir passé le ravin de la Piquette, nous devons monter, monter, monter et là des pierres percées plus grosses que les premières vue, avec des trous de la largeur d’un doigt sont ici et là le long du parcours.
Tout en haut, nous atteignons la crête au dessus du Revest des Brousses.
Nous prenons le chemin vers le nord et apercevons des rochers percées. sur les côtés. A l’ouest de Majargues, nous quittons la piste qui descend pour nous diriger, en mode sanglier, vers l’oppidum de Saint Pierre.
Nous sommes dans une forêt mais celle-ci n’est pas très dense, aussi atteignons assez rapidement notre objectif.
De cet éperon puissamment fortifié (barré par 7 murailles écroulées), nous n’avons pas clairement identifié les ruines d’une église médiévale, le mobilier préhistorique, antique (nombreuses tegulæ, céramiques « indigène rouge à dégraissant, commune aux oppida de la région entre le Ier et le IIIe siècle ») dont parle le CAG.
La nature a repris ses droits et si les murailles écroulées ont laissés des traces encore inratable, tout le reste est recouvert.
Nous continuons encore un peu vers le nord et profitons d’une vue superbe sur la montagne de Lure, Saint Etienne les Orgues, …
Nous longeons encore un peu le plateau avant d’attaquer la redescente … et par un vrai sentier, fini le mode sanglier !
Là, c’est raide et sommes contents de faire le circuit dans le sens des aiguilles d’une montre. Dans l’autre sens, cela aurait été pénible ! La partie la plus raide passée, c’est un plaisir de faire le dernier kilomètre pour regagner Limans et nos voitures.
Le thé rituel est pris en commune et alors que certains nous quittent, un petit groupe se lance dans la chasse à la limonaise … mais chut !
Nous quittons Limans par le GR6 que nous suivons jusqu’à la ferme des Ybourgues, monument classé.
Nous revenons sur nos pas pour prendre le chemin qui prolonge le GR6 que nous suivons 800 m environs avant de prendre à droite puis à gauche malgré un panneau qui indique une voie privée.
Nous restons discret sur la montée et juste après St Lambert, nous quittons les zones (si peu) habitées.
Là, nous montons et pour qui sait les dénicher, nous commençons à voir ici et là quelques pierres percées.
Après avoir passé le ravin de la Piquette, nous devons monter, monter, monter et là des pierres percées plus grosses que les premières vue, avec des trous de la largeur d’un doigt sont ici et là le long du parcours.
Tout en haut, nous atteignons la crête au dessus du Revest des Brousses.
Nous prenons le chemin vers le nord et apercevons des rochers percées. sur les côtés. A l’ouest de Majargues, nous quittons la piste qui descend pour nous diriger, en mode sanglier, vers l’oppidum de Saint Pierre.
Nous sommes dans une forêt mais celle-ci n’est pas très dense, aussi atteignons assez rapidement notre objectif.
De cet éperon puissamment fortifié (barré par 7 murailles écroulées), nous n’avons pas clairement identifié les ruines d’une église médiévale, le mobilier préhistorique, antique (nombreuses tegulæ, céramiques « indigène rouge à dégraissant, commune aux oppida de la région entre le Ier et le IIIe siècle ») dont parle le CAG.
La nature a repris ses droits et si les murailles écroulées ont laissés des traces encore inratable, tout le reste est recouvert.
Nous continuons encore un peu vers le nord et profitons d’une vue superbe sur la montagne de Lure, Saint Etienne les Orgues, …
Nous longeons encore un peu le plateau avant d’attaquer la redescente … et par un vrai sentier, fini le mode sanglier !
Là, c’est raide et sommes contents de faire le circuit dans le sens des aiguilles d’une montre. Dans l’autre sens, cela aurait été pénible ! La partie la plus raide passée, c’est un plaisir de faire le dernier kilomètre pour regagner Limans et nos voitures.
Le thé rituel est pris en commune et alors que certains nous quittent, un petit groupe se lance dans la chasse à la limonaise … mais chut !