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00:00C'était samedi, sur le marché du canal à Mulhouse, en début d'après-midi, un individu armé d'un couteau et d'un tournevis a agressé plusieurs agents municipaux, des contractuels qui mettaient des procès-verbaux.
00:20Il en a blessé cinq gravement et il a tué un retraité de 69 ans, un monsieur qui s'appelle Lino Souza Loureiro.
00:29Ce qui est complètement fou, c'est que cet individu était connu des services de police, qu'il faisait l'objet d'une obligation de quitter le territoire français d'un Algérien de 37 ans,
00:43qui avait déjà au lendemain du 7 octobre tenu sur les réseaux sociaux des propos qui l'ont amené à être condamné à six mois de prison.
00:55Il a fait de la prison, il est sorti 50 jours avant la fin de sa peine. On a voulu faire exécuter cette OQTF à dix reprises.
01:05Les autorités judiciaires françaises ont sollicité le consulat algérien pour qu'il délivre le fameux laissé-passer consulaire qui permet de les renvoyer en Algérie.
01:16À dix reprises, les Algériens ont refusé de transmettre ce fichier. Résultat, on a un mort et cinq agents municipaux grièvement blessés.
01:28– Voilà, voilà. Et eux, là, ils n'ont rien à foutre que d'enlever les chaînes. C'est leur priorité. Il y a tellement de priorités en France.
01:34Franchement, il ferait mieux de trouver des accords avec l'Algérie au lieu de… Ils ne foutent rien, c'est incroyable.
01:41Qu'est-ce qu'on peut faire pour protéger la société de M. Retailleau ? Les propos-chocs d'une avocate qui dit ça.
01:46Avocate en droit étranger, était invitée sur le plateau de BFM et elle fait une phrase qui polimique.
01:51On en parlera demain. C'est absolument incroyable ce qu'on entend.
01:54On a cette affaire des lingots d'or découverts par des ouvriers. C'est quoi cette histoire ?
01:58– Oui, absolument.
01:59– Après, on aura des images exclusives qui viennent d'arriver de Donald Trump et Emmanuel Macron.
02:02Donald Trump a charrié Emmanuel Macron, vous allez voir.
02:04On est à Angers. Des ouvriers travaillent sur un chantier pour reconstruire une ancienne agence bancaire qui a fermé il y a 4 ans.
02:12Donc ils sont en train de démonter tout ça et à un moment, il y en a un qui, dans un coffre, voit une sacoche.
02:17Il ouvre la sacoche. À l'intérieur de la sacoche, 2 lingots d'or. Il trouve 2 lingots d'or avec des papiers autour.
02:23Donc il raconte, il dit je devais déboulonner les coffres, j'ai retrouvé une sacoche, je n'ai jamais vu ça.
02:28Donc directement, je vais prévenir mon collègue.
02:30Il ramène les lingots d'or chez lui le soir pour ne pas les laisser là. Il les montre à sa femme.
02:34Il lui dit on a failli devenir riches parce qu'il sait très bien qu'il va légitimement et honnêtement les rendre à la police.
02:41Donc il va les rendre à la police et depuis, la police tente de trouver les propriétaires avec les déclarations, les petits papiers autour des lingots.
02:49Seulement, si jamais la police ne retrouve pas les propriétaires, ce qui est très possible parce qu'ils ne sont pas authentifiés encore,
02:55et bien à ce moment-là, c'est 50% pour les ouvriers et 50% pour le propriétaire du terrain, c'est-à-dire l'entreprise qui veut démolir l'agence bancaire pour reconstruire un immeuble.
03:05Et ce sont des lingots qui pèsent beaucoup, 995 grammes chacun parce que c'est des lingots au moment où le cours de l'or était moins élevé qu'aujourd'hui et qui pesait très lourd.
03:15Donc voilà, ils ont trouvé 200 000 euros dans la sacoche, au moins qu'ils aient une récompense pour leur honnêteté de l'avoir rendu à la police.
03:21– Ça serait bien. – Bien sûr, j'aimerais bien, oui, il faudrait une récompense.
03:24– Absolument. – Complètement d'accord.
03:25– Une honnêteté ou une récompense. – Bravo, bravo mon chéri.
03:28Ah, Luc Besson, qu'est-ce qui se passe, c'est qui ? C'est vous ?
03:31– Non, non. – Merci.
03:32– Oui, c'est vous. – Vous êtes venus pour quoi ?
03:34– Non, non, pas d'emmerdes non plus, pas d'emmerdes.
03:40– Moi, je n'ai pas d'emmerdes. Merci, mais c'est sympa d'être passé hier.
03:44– Oui, bien sûr. – Bien sûr.
03:46– On est vendredi soir dans la propriété de la mère de Luc Besson
03:49qui se situe à la Trinité des laitiers, c'est dans l'Orne.
03:52Un cerf rentre dans la propriété et la mère de Luc Besson, 85 ans,
03:57a la présence d'esprit de filmer la scène.
03:59La scène, c'est une boucherie, il y a deux chasseurs à court qui arrivent
04:03et qui tuent le pauvre cerf qui a été mis à terre par une motte de chien.
04:07On voit ces images, c'est ultra violent.
04:09Elle est là, la mère, elle leur dit, elle est exemplaire,
04:12elle leur dit arrêtez, mais arrêtez, sortez de chez moi.
04:14Ils n'ont pas le droit d'entrer chez Luc Besson.
04:16Il y a un conflit depuis très longtemps autour du nombre de cerfidés sur le terrain.
04:20– Ils n'ont pas le droit d'entrer chez les cerfs non plus.
04:22– Effectivement, mais la justice avait donné à Luc Besson
04:25qu'il lui dit c'est chez moi, c'est mon domaine,
04:27je ne veux pas qu'il y ait de chasse chez moi et j'ai le droit.
04:31Alors eux, ils répliquent qu'ils ont le droit d'entrer sur le terrain
04:34mais c'est la scène, la violence de la scène de ce massacre du cerf
04:38qui fait froid dans le dos et il faut rendre hommage à la mère de Luc Besson
04:41parce que grâce à elle, Luc Besson a pu porter plainte
04:45et ce massacre du cerf a été dénoncé sur la place publique, voilà.
04:48C'est puni de trois mois de prison et de 3750 euros,
04:51la chasse privée sans autorisation, voilà.
04:54– C'est fou. – Ah ben c'est fou.