• la semaine dernière
TPMP : 100% médias, 100% darka ! 


Du lundi au vendredi à 18h50 sur C8.


Tous les extraits et émissions de TPMP sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste



TPMP sur les réseaux sociaux : 


Facebook : https://www.facebook.com/TPMPTV
Twitter : https://twitter.com/TPMP
Instagram : https://instagram.com/tpmptv/

Category

📺
TV
Transcription
00:00– Le suspect de Philippine est arrivé en France, enfin le meurtrier préjouli.
00:04– Oui, alors Thao, ce jeune Marocain de 22 ans qui avait pris la fuite
00:09après avoir possiblement violé et tué Philippine,
00:13il avait été arrêté en Suisse, on avait demandé son extradition,
00:19il avait refusé dans un premier temps
00:21et puis il a fini par accepter le principe de l'extradition
00:25et il a donc été livré aux autorités françaises ce matin à 9h30,
00:30d'abord à la police de l'air et des frontières qui l'a rapatrié sur Paris
00:35où il a été mis en examen et incarcéré par le juge d'instruction.
00:40– Très bien, bon ben au moins ça s'est fait, après voilà,
00:43il ne voulait pas revenir finalement, il est revenu…
00:45– Donc il n'y aura pas de garde à vue en réalité dans cette affaire
00:47parce que c'est le juge d'instruction qui va s'occuper directement du dossier.
00:51– Merci, j'ai un SMS de Vianney que j'embrasse qui me mit,
00:56même moi je me suis fait chier pendant la séquence de Fabien.
00:59Même lui il n'a rien compris à ce que vous dites,
01:00on l'embrasse Vianney que j'aime, c'est un garçon exceptionnel,
01:04c'est un mec mais vraiment, voilà je l'aime, j'aime Vianney,
01:06et vraiment il me manque d'ailleurs, quand il veut pour un paddle,
01:10je suis là, je l'adore, je suis fou de ce gars, c'est un mec vraiment,
01:14ça n'a rien sans faute.
01:16Procès de Mazan, la parole est aux femmes des accusés,
01:18pardon Michel.
01:18– Oui alors, hier et aujourd'hui, les femmes des co-accusés de Dominique Pellicot
01:26ont été entendues, alors on a des sentiments partagés,
01:31on se rend compte en fait qu'il n'y a pas que la victime dans ces affaires-là,
01:38toutes les familles sont impactées et là on a des sentiments partagés,
01:41certaines endossent la responsabilité en disant finalement c'est un peu de ma faute,
01:45si j'avais été plus proche de mon compagnon ça ne serait pas arrivé,
01:51il y a aussi de la colère, il y a de l'incompréhension,
01:55il y a aussi du déni, déni total d'une qui dit non, je ne peux pas le croire,
02:03ce n'est pas possible, ce n'est pas l'homme avec lequel j'ai vécu
02:05qui a pu commettre ça.
02:09– On va parler maintenant, Gilles Verdez, dans un instant de Slimane,
02:12juste avant, j'aurais qu'on parle quand même de cet enfant de 4 ans,
02:16victime d'actes de torture et de barbarie, Amaury Bucot.
02:20– C'est la directrice…
02:21– Alors moi j'ai des infos mais…
02:23– C'est Gilles, allez-y, Gilles, allez-y.
02:24– C'est la directrice de l'école qui a signalé une absence,
02:29à la reprise, à la rentrée des vacances de la Toussaint,
02:32un petit enfant n'était pas là, et ce petit enfant,
02:34quelques semaines avant, avait vu sur son corps des traces de coups,
02:37donc elle a fait de l'association d'esprit, elle a signalé à la police
02:40et elle a très bien fait, parce que la police est intervenue,
02:43ça se passe à Corbeil dans l'Essonne et quand la police entre,
02:45il y a un petit garçon de 4 ans avec sa maman qui est une capeverdienne de 26 ans
02:50et il voit que le petit garçon a des ongles arrachés,
02:54des brûlures sur tout le corps, des trous dans la tête,
02:57donc là les policiers interviennent,
02:59les explications de la maman sont très confuses,
03:01elle dit oui on était au capeverd, il est tombé,
03:04et puis il est allergique au soleil, il s'est brûlé, ça ne les convainc pas.
03:07Donc en fait, ils s'aperçoivent que la mère n'avait déjà plus
03:10la garde intégrale de l'enfant,
03:12ils s'aperçoivent qu'il y a eu beaucoup de problèmes,
03:13qu'il y avait eu la protection de l'enfant saisie,
03:15et donc ils ont arraché littéralement l'enfant à sa mère
03:19qui a été placée immédiatement en garde à vue
03:21pour acte de torture et de barbarie
03:23et le petit a été placé et maintenant il ne sera plus
03:27sous la garde de sa mère en attendant les suites de l'enquête.
03:29Incroyable, franchement c'est fou cette histoire.
03:34On va parler maintenant de cette personne morte après avoir,
03:38on dirait qu'on lui a sectionné les deux jambes, c'est un truc de fou.
03:42Ça se passe à Paris, dans le RER, à la station Nation,
03:45donc c'est dans le RER A.
03:47Donc il y a un homme qui descend sur la voie
03:50et puis il se fait sectionner les deux jambes,
03:52les secours arrivent immédiatement, une rame arrive.
03:55Pourquoi il est descendu sur la voie ?
03:56Il est descendu sur la voie parce qu'il faisait ses besoins sur le quai
04:01et pour une raison inconnue, il est volontairement descendu sur la voie.
04:05C'est là qu'il a été happé, les deux jambes sectionnées,
04:07les secours sont intervenus très vite, on l'a emmené à l'hôpital,
04:10à la Pitié-Salpêtrière, à Paris, dans le coma, mais il est décédé.
04:15Alors le trafic a été interrompu et la police a immédiatement
04:18exploité les caméras de vidéosurveillance
04:20pour savoir si l'acte était volontaire ou s'il avait été poussé,
04:23si on l'avait jeté.
04:24Non, visiblement, pour une raison encore inconnue,
04:27il serait descendu sur la voie et donc il est décédé.
04:30Et il y a quelques semaines, dans le métro parisien à la station Stalingrad,
04:33il y avait déjà une jeune femme, une femme,
04:36qui avait été happée entre deux rames et qui était décédée.
04:38– Exactement.
04:39Les nouveaux propriétaires arrivent dans leur nouvelle propriété
04:43et découvrent le corps d'un homme disparu depuis 15 ans.
04:46– Oui, alors en fait, ils font des travaux de rénovation
04:49dans une maison qu'ils ont achetée en 2023.
04:51– En Moselle.
04:53– Pardon ? – En Moselle.
04:54– En Moselle, voilà.
04:54Un couple fait des travaux de rénovation dans cette maison.
04:57Et donc, à un moment, le mari voit quelque chose de bizarre,
05:02une sorte d'amoncellement bizarre dans un recoin très difficile à atteindre.
05:07Il s'approche, c'est un squelette.
05:10Il voit un squelette, donc il appelle les enquêteurs
05:12et en fait, les enquêteurs arrivent et s'aperçoivent que le propriétaire,
05:17qui avait émergé de 81 ans de cette maison en 2009, était porté disparu.
05:23Voilà, à l'époque, il y avait eu des battues organisées, aucun signe.
05:26Donc, les enquêteurs vont voir le squelette.
05:28À côté du squelette, ils trouvent un morceau de corde dans ce recoin inatteignable.
05:33Donc, la thèse privilégiée aujourd'hui,
05:35c'est que cet homme, en 2009, se serait suicidé.
05:38À l'époque, il y avait son épouse qui est décédée aujourd'hui,
05:41qui n'a plus jamais eu trace de lui.
05:43Et donc, la police enquête sur un suicide dans cette maison de Moselle.
05:46Sous-titrage Société Radio-Canada

Recommandations